Ven 30 Avr - 13:57
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava n’ajoutera rien de plus. Du fait de son grand âge, elle avait tendance à considérer les autres comme des jeunots. Chose qu’elle ne devrait pas le faire mais c’était plus fort qu’elle. Et ce n’était pas demain la veille qu’elle réussirait à changer cela. Au moins, ces hommes là avaient l’air de connaître ce qu’il faisait. Son regard glissa des alentours jusqu’à la torche fraîchement allumée. Elle pinça brièvement les lèvres avant de détourner le regard et de se concentrer à nouveau sur la route. Sens à l’affût, œil alerte et oreille tendue. Rien d’inhabituel pour l’instant et quand bien même une bête, ou même plusieurs, rôdait dans le coin, au vu de leur nombre et du bruit grondant des sabots sur la terre, leurs présences leur avaient été signalés il y a fort longtemps. Et peut-être que leur nombre pourrait effectivement dissuader qui que ce soit d’attaquer. Mais qu’importe, cela ne changeait rien au fait qu’ils devaient rester prudents jusqu’à leur arrivée à Selles-Sur-Cher.
Ven 30 Avr - 14:33
June, vous êtes parvenu à calmer la colère de Francis et il accepte d'emprunter l'itinéraire que vous lui suggérez après Selles-sur-Cher. Il ne fera cependant aucun cas de vos commentaires sur les villages ou le Duc de Navarre, tout simplement parce qu'il porte à votre connaissance qu'il ne se sent pas concerné par ces sujets-là.
Gabriel&Stanislava, les hommes de Francis seront plus enclins à vous accepter parmi eux et vous inclueront même à leurs conversations - ou essayeront - durant les heures qui suivirent.
Vous voici deux jours plus tard, au crépuscule. Le trajet s'est déroulé sans encombre et même s'il y avait une certaine méfiance en Francis vis à vis de Gabriel et Stanislava - qu'il ne laissa pas s'approcher du chargement -, au moins une entente cordiale semble s'être installée.
Cependant, vous arrivez à un passage creusé à même une colline, formant ainsi un goulot de traverse. Tout est calme, mais Francis, toujours en tête du convoi, semble perplexe. Il invite June à se rapprocher de lui et, calmement, comme son expérience de vie semble le prouver, il délivre quelques paroles. "Je n'aime pas ça. Sébastien devait nous attendre ici, devant la traverse. Ce n'est pas son genre de fausser compagnie. Le problème, c'est qu'un contour nous fera perdre du temps et nous emmène vers des chemins beaucoup moins praticables pour les transports du genre." dit-il en désignant d'un geste du pouce le cadeau.
"Que pensez-vous que nous devrions faire ? Je n'ai pas peur de tomber dans une embuscade, mais je me dis que vous avez été de suffisamment bons conseils jusque là pour que je prenne en compte votre avis." Puis son regard glisse vers Gabriel et Stanislava. Il soupire mais ajoute "Et puisque ces deux là semblent avoir compris que forcer les choses n'étaient pas la solution, je suis prêt à les entendre également."
Vous vous trouvés devant un chemin calfeutré dans un passage étroit de colline.
NB : Vous êtes le point rouge et vous devez aller dans le sens des flèches noires.
Les flancs du passage montent à au moins dix mètres de haut et sont couverts d'herbes et d'arbres, dont les racines sortent parfois d'entre la terre et les pierres dures.
Que voulez-vous faire ?
• Prendre le chemin.
• Faire un détour.
• Attendre.
CADEAU ROYAL
June, vous êtes parvenu à calmer la colère de Francis et il accepte d'emprunter l'itinéraire que vous lui suggérez après Selles-sur-Cher. Il ne fera cependant aucun cas de vos commentaires sur les villages ou le Duc de Navarre, tout simplement parce qu'il porte à votre connaissance qu'il ne se sent pas concerné par ces sujets-là.
Gabriel&Stanislava, les hommes de Francis seront plus enclins à vous accepter parmi eux et vous inclueront même à leurs conversations - ou essayeront - durant les heures qui suivirent.
---
Vous voici deux jours plus tard, au crépuscule. Le trajet s'est déroulé sans encombre et même s'il y avait une certaine méfiance en Francis vis à vis de Gabriel et Stanislava - qu'il ne laissa pas s'approcher du chargement -, au moins une entente cordiale semble s'être installée.
Cependant, vous arrivez à un passage creusé à même une colline, formant ainsi un goulot de traverse. Tout est calme, mais Francis, toujours en tête du convoi, semble perplexe. Il invite June à se rapprocher de lui et, calmement, comme son expérience de vie semble le prouver, il délivre quelques paroles. "Je n'aime pas ça. Sébastien devait nous attendre ici, devant la traverse. Ce n'est pas son genre de fausser compagnie. Le problème, c'est qu'un contour nous fera perdre du temps et nous emmène vers des chemins beaucoup moins praticables pour les transports du genre." dit-il en désignant d'un geste du pouce le cadeau.
"Que pensez-vous que nous devrions faire ? Je n'ai pas peur de tomber dans une embuscade, mais je me dis que vous avez été de suffisamment bons conseils jusque là pour que je prenne en compte votre avis." Puis son regard glisse vers Gabriel et Stanislava. Il soupire mais ajoute "Et puisque ces deux là semblent avoir compris que forcer les choses n'étaient pas la solution, je suis prêt à les entendre également."
-- SITUATION --
Vous vous trouvés devant un chemin calfeutré dans un passage étroit de colline.
NB : Vous êtes le point rouge et vous devez aller dans le sens des flèches noires.
Les flancs du passage montent à au moins dix mètres de haut et sont couverts d'herbes et d'arbres, dont les racines sortent parfois d'entre la terre et les pierres dures.
Que voulez-vous faire ?
• Prendre le chemin.
• Faire un détour.
• Attendre.
Ven 30 Avr - 18:56
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Les deux jours qui suivirent furent sans encombre. La tension qui s'était installée avec le chef s'était un peu dissipée mais Stanislava comme Gabriel n'avait toujours pas le droit de s'approcher du colis. La vampire entrait parfois dans la conversation lorsque les hommes de Francis l'y invitaient mais sans plus. La tension qui subsistait toujours était familière. Une tension bien particulière, peut-être même nécessaire lorsqu'on voyageait seule sur les routes pendant des siècles. Mais la situation était différente cette fois ci. Elle n'était pas seule. Mais l'un n'empêchait pas l'autre.
Encore moins sur ce qui les attendait. La garde du corps écouta silencieusement les dorés du mercenaire. Sébastien qui n'était pas là, chose étrange selon Francis. Et l'embuscade qui planait au dessus d'eux, à en juger par la configuration des lieux. Surtout que la nuit approchait. Bientôt, ils seraient forcés de s'arrêter et devenir ainsi des proies faciles.
Stanislava jeta un rapide coup d'œil au colis au milieu des hommes.
-Ça pue effectivement l’embuscade à plein nez...
Le sentier était parfait pour poster des gens en hauteur et attaquer par surprise avec des archers pour disperser d'abord le groupe. Pourtant aucune flèche n'avait fusé pour l'instant.
-Si vous n'avez pas peur de vous jeter dedans, on peut utiliser ça à notre avantage et créer un effet de surprise. Et les forcer à sortir plus tôt que prévu.
La meilleure défense c'était l'attaque, comme beaucoup de personne le disait. Et si elle était tout à fait honnête, elle ne serait pas contre pour se défouler sur deux ou trois brigands...
-J'espère sincèrement que votre ami Sébastien ne s'est pas fait capturé...
A part peut-être un souci au niveau de sa monture, elle ne voyait que cette option pour expliquer son absence.
Encore moins sur ce qui les attendait. La garde du corps écouta silencieusement les dorés du mercenaire. Sébastien qui n'était pas là, chose étrange selon Francis. Et l'embuscade qui planait au dessus d'eux, à en juger par la configuration des lieux. Surtout que la nuit approchait. Bientôt, ils seraient forcés de s'arrêter et devenir ainsi des proies faciles.
Stanislava jeta un rapide coup d'œil au colis au milieu des hommes.
-Ça pue effectivement l’embuscade à plein nez...
Le sentier était parfait pour poster des gens en hauteur et attaquer par surprise avec des archers pour disperser d'abord le groupe. Pourtant aucune flèche n'avait fusé pour l'instant.
-Si vous n'avez pas peur de vous jeter dedans, on peut utiliser ça à notre avantage et créer un effet de surprise. Et les forcer à sortir plus tôt que prévu.
La meilleure défense c'était l'attaque, comme beaucoup de personne le disait. Et si elle était tout à fait honnête, elle ne serait pas contre pour se défouler sur deux ou trois brigands...
-J'espère sincèrement que votre ami Sébastien ne s'est pas fait capturé...
A part peut-être un souci au niveau de sa monture, elle ne voyait que cette option pour expliquer son absence.
Sam 1 Mai - 11:10
Of treasures and threats
Of treasures and threats
Si la tension ne s’est pas pleinement résorbée, il apparaissait évident que les choses s’étaient en partie calmées. Le sang-chaud des deux autres parisiens avait réussi à faire mouche, et si Francis semblait enfin s’apaiser au contact de June, ce dernier n’avait pas passé l’éponge sur tout ceci sans avoir au moins parlé à son subordonné. Qu’importe qu’ils ne soient pas sous les ordres l’un de l’autre, en aucun cas pouvait-il laisser passer ce comportement sans en tirer les faits réels. D’un calme forgé par les années, c’est avec une pointe de soulagement que June avait pu tirer la version réelle de cette nuit agitée, une fois rendus à leur destination du jour. Peut-être Gabriel s’était-il froissé d’entendre que June lui faisait uniquement confiance car il avait obtenu la recommandation du maréchal. Qu’importe ses états d’âme. June devait être sûr que tout se passerait à merveille. Et si pour cela il fallait jouer des tempéraments excessifs de certains, il le ferait.
Deux jours. Deux jours de chevauchée pour tenter de rattraper ce fameux Sébastien. Deux jours où Francis s’était révélé plus qu’humain en sa compagnie au point d’accepter d’entendre son opinion, et d’estimer, en une certaine mesure, celle de ses deux comparses.
L’endroit est particulièrement mal choisi. Ce sentier un pur goulot d’étranglement. La menace pourrait venir du flanc de falaise où par la hauteur… Même pas les bois escarpés à leur droite… Il ne fallait pas sonner la halte. Encore moins tenter de faire demi-tour. La manœuvre à elle seule dans un chemin si étroit pourrait les bloquer bien plus qu’ils ne l’étaient déjà. Observant rapidement l’équipement de ses équipiers, écoutant d’une oreille avisée les opinions de tous, c’est avec un léger froncement de sourcil que le duc reprend, suivant l’idée de Gabriel. Son regard se pose sur Francis et il désigne Stanislava d’un mouvement de tête, ne relâchant pas la bride de sa monture.
« Je partage l’opinion de ces deux-là. Si ce Sébastien devait nous retrouver ici, il n’y aurait pas de logique à ce qu’il ait fait le choix de changer de destination sans raison. Il a votre confiance, et la nôtre par extension. Si vous ne craignez pas l’embuscade, poursuivons sur ce chemin. »
Ceci étant, il n’a pas désigné la rousse sans raison.
« Sa monture semble plus solide que les nôtres, et un archer en point de contact nous permettrait une réaction plus rapide que de simples épées. L’envoyer en éclaireur à quelques foulées en avant nous permettrait de détecter toute suspicion venant de l’avant… Gabriel, vos hommes et moi-même surveilleront les flancs et les arrières du convoi. »
Un regard à Francis puis à la vampire, et sa voix à beau être posée, il est évident qu’il y a une pointe d’autorité là-dedans. Non, il ne tient pas à la contraindre, mais il ne lui fait pas pleinement confiance pour ne pas partir dans sa propre vendetta. Cependant, il ne doutait pas une seconde qu’elle soit mieux disposée que la majorité d’entre eux pour mener cette tâche à bien.
« Restez en vue, Dame Braginsky. Si vous apercevez quoi que ce soit, ne partez pas seule. Sonnez l’alarme avant toute chose. Vous n’êtes pas seule, et tout effet de surprise ne rimera à rien contre un groupe organisé. Ne risquons pas la vie de l’ami de Francis par démesure d’égo. »
Et cela valait pour eux tous.
Deux jours. Deux jours de chevauchée pour tenter de rattraper ce fameux Sébastien. Deux jours où Francis s’était révélé plus qu’humain en sa compagnie au point d’accepter d’entendre son opinion, et d’estimer, en une certaine mesure, celle de ses deux comparses.
L’endroit est particulièrement mal choisi. Ce sentier un pur goulot d’étranglement. La menace pourrait venir du flanc de falaise où par la hauteur… Même pas les bois escarpés à leur droite… Il ne fallait pas sonner la halte. Encore moins tenter de faire demi-tour. La manœuvre à elle seule dans un chemin si étroit pourrait les bloquer bien plus qu’ils ne l’étaient déjà. Observant rapidement l’équipement de ses équipiers, écoutant d’une oreille avisée les opinions de tous, c’est avec un léger froncement de sourcil que le duc reprend, suivant l’idée de Gabriel. Son regard se pose sur Francis et il désigne Stanislava d’un mouvement de tête, ne relâchant pas la bride de sa monture.
« Je partage l’opinion de ces deux-là. Si ce Sébastien devait nous retrouver ici, il n’y aurait pas de logique à ce qu’il ait fait le choix de changer de destination sans raison. Il a votre confiance, et la nôtre par extension. Si vous ne craignez pas l’embuscade, poursuivons sur ce chemin. »
Ceci étant, il n’a pas désigné la rousse sans raison.
« Sa monture semble plus solide que les nôtres, et un archer en point de contact nous permettrait une réaction plus rapide que de simples épées. L’envoyer en éclaireur à quelques foulées en avant nous permettrait de détecter toute suspicion venant de l’avant… Gabriel, vos hommes et moi-même surveilleront les flancs et les arrières du convoi. »
Un regard à Francis puis à la vampire, et sa voix à beau être posée, il est évident qu’il y a une pointe d’autorité là-dedans. Non, il ne tient pas à la contraindre, mais il ne lui fait pas pleinement confiance pour ne pas partir dans sa propre vendetta. Cependant, il ne doutait pas une seconde qu’elle soit mieux disposée que la majorité d’entre eux pour mener cette tâche à bien.
« Restez en vue, Dame Braginsky. Si vous apercevez quoi que ce soit, ne partez pas seule. Sonnez l’alarme avant toute chose. Vous n’êtes pas seule, et tout effet de surprise ne rimera à rien contre un groupe organisé. Ne risquons pas la vie de l’ami de Francis par démesure d’égo. »
Et cela valait pour eux tous.
Sam 1 Mai - 18:40
Francis offrit un regard étonné à Gabriel et Stanislava. Pourtant, il acquiesce le plan. "Je vous remercie sincèrement. Je ne pensais pas que vous seriez pris d'inquiétudes pour Sébastien. Je saurais ne pas l'oublier."
Vous êtes en bonne voie pour regagner sa confiance.
Stanislava est donc laissée libre de s'engouffrer en première dans le goulot, le reste des hommes de Francis ainsi que Gabriel non loin.
Stanislava&Gabriel, vos sens, bien plus aiguisés que ceux des humains auront remarqués quelque chose. Un silence de plomb. Un silence qui vous serrer la gorge et vous met mal à l'aise. Les chevaux, également, semblent sentir quelque chose et commencent à s'agiter. Leurs sabots tapent sur le sol avec plus de nervosité.
Et soudain, vos oreilles captent des cris, des hurlements un peu plus loin, que vous devinez provenir de derrière le goulot de pierre. Quelques secondes après, une lueur se dévoile entre les pans de rochers et voici qu'une silhouette montée sur un cheval arrive vers vous à grandes enjambées.
C'est Sébastien.
Stanislava, vous serez la première à sentir l'odeur âpre du sang, en abondance -et vous retenez de justesse une salivation excessive. Que se passe-t-il ? En vous voyant, Sébastien vous donne déjà un indice en criant à votre encontre. "FUYEZ ! VITE !"
Des sons que vous n'aviez jamais entendu jusqu'alors résonnent contre les parois rocheuses.
Des chevaux ? Non, c'est plus étrange que cela. Sébastien arrive vers Stanislava, blessé au bras et à la tête. Il semble choqué. Et ce que vous voyez arriver à sa suite lui donne raison.
Deux créatures identiques marchent vers vous. L'une d'elle tient des têtes humaines dans ses longues mains griffues.
immédiatement, Francis s'exclame. "NOM DE D- !"
Mais déjà, l'attelage panique et la monture de Francis, surprise, se cabre pour s'enfuir, projetant le mercenaire non loin. Un craquement distinctif vous laisse deviner qu'il s'est très probablement cassé un os ou deux dans sa mauvaise chute.
Semblerait-il que le trajet va être un peu plus sportif que prévu.
CADEAU ROYAL
Francis offrit un regard étonné à Gabriel et Stanislava. Pourtant, il acquiesce le plan. "Je vous remercie sincèrement. Je ne pensais pas que vous seriez pris d'inquiétudes pour Sébastien. Je saurais ne pas l'oublier."
Vous êtes en bonne voie pour regagner sa confiance.
Stanislava est donc laissée libre de s'engouffrer en première dans le goulot, le reste des hommes de Francis ainsi que Gabriel non loin.
Stanislava&Gabriel, vos sens, bien plus aiguisés que ceux des humains auront remarqués quelque chose. Un silence de plomb. Un silence qui vous serrer la gorge et vous met mal à l'aise. Les chevaux, également, semblent sentir quelque chose et commencent à s'agiter. Leurs sabots tapent sur le sol avec plus de nervosité.
Et soudain, vos oreilles captent des cris, des hurlements un peu plus loin, que vous devinez provenir de derrière le goulot de pierre. Quelques secondes après, une lueur se dévoile entre les pans de rochers et voici qu'une silhouette montée sur un cheval arrive vers vous à grandes enjambées.
C'est Sébastien.
Stanislava, vous serez la première à sentir l'odeur âpre du sang, en abondance -et vous retenez de justesse une salivation excessive. Que se passe-t-il ? En vous voyant, Sébastien vous donne déjà un indice en criant à votre encontre. "FUYEZ ! VITE !"
Des sons que vous n'aviez jamais entendu jusqu'alors résonnent contre les parois rocheuses.
Des chevaux ? Non, c'est plus étrange que cela. Sébastien arrive vers Stanislava, blessé au bras et à la tête. Il semble choqué. Et ce que vous voyez arriver à sa suite lui donne raison.
Deux créatures identiques marchent vers vous. L'une d'elle tient des têtes humaines dans ses longues mains griffues.
immédiatement, Francis s'exclame. "NOM DE D- !"
Mais déjà, l'attelage panique et la monture de Francis, surprise, se cabre pour s'enfuir, projetant le mercenaire non loin. Un craquement distinctif vous laisse deviner qu'il s'est très probablement cassé un os ou deux dans sa mauvaise chute.
Semblerait-il que le trajet va être un peu plus sportif que prévu.
Sam 1 Mai - 20:35
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava acquiesça en silence le plan décidé. Tandis qu’elle prenait la tête du convoi, elle en profita pour enfiler son carquois de flèche et son arc, ainsi que les protections métalliques sur ses avant bras, ses mains et ses tibias. Arc en main, appuyé contre le flanc de son destrier, elle inspira puis expirant profondément lorsqu’elle entra enfin dans le goulot, cherchant sa concentration.
En vain.
Si rien ne paraissait étrange au premier coup d’oeil, ce fut l’absence de bruit totalement qui la dérangea profondément, enserrant son estomac. Une sensation de déjà vu qu’elle se serait bien passé. Et sa monture qui n’aidait en rien à calmer son appréhension en s’ébrouant, lui rappelant que quelque chose n’allait pas. Un coup d’oeil en arrière et elle semble être dérangée par tout ce silence. Pas un piaillement. Pas un seul bruissement de feuille. Rien.
Le calme avant la tempête. Qui a osé dire ça, un jour ?
Lorsque les premiers cris parvinrent aux oreilles de Stanislava, son réflexe fut bien évidemment de dégainer l’épée dans son dos, prête à en découdre. Mais elle déglutit péniblement lorsque l’odeur du sang la prit au nez. Beaucoup. Beaucoup de sang. Sa prise se fit plus ferme en voyant une silhouette s’approcher puis se relâcha en reconnaissant Sébastien monté à cheval. Sébastien, blessé. Sébastien, fuyant. Fuyant quoi ? Sa réponse ne tarda pas à venir. Elles étaient même deux.
Son regard émeraude ne put se détacher des deux créatures, mi-homme, mi-cheval, qui s’avançait vers eux, l’une d’elles tenant visiblement des têtes d’humains. Elle souffla entre ses dents en notant les griffes acérées et les bras longs des créatures. S’en approcher serait du suicide. Du moins pour un simple humain. Mais Stanislava n’était pas une simple humaine. Elle avait une chance. Peut-être.
Si vous apercevez quoi que ce soit, ne partez pas seule. Sonnez l’alarme avant toute chose.
Voilà que sa raison, ou plutôt la voix de June, venait mettre son grain de sel. Tentant de calmer son cheval autant que faire se peut, elle grogna finalement et rangea son épée avant de s’emparer de la bride du cheval de Sébastien et de tirer dessus brièvement pour l’ordonner de poursuivre sa route vers le convoi, le suivant sur ses talons.
-Battez en retraite ! Demi-tour !
Oublions le cadeau pour la Reine et l’embuscade et les bandits. Survivre à ces créatures semblaient bien plus urgents. À nouveau avec le reste du convoi, elle resta cependant en première ligne, gardant un œil sur les créatures, et dans sa main droite, deux fioles d’eau bénite.
En vain.
Si rien ne paraissait étrange au premier coup d’oeil, ce fut l’absence de bruit totalement qui la dérangea profondément, enserrant son estomac. Une sensation de déjà vu qu’elle se serait bien passé. Et sa monture qui n’aidait en rien à calmer son appréhension en s’ébrouant, lui rappelant que quelque chose n’allait pas. Un coup d’oeil en arrière et elle semble être dérangée par tout ce silence. Pas un piaillement. Pas un seul bruissement de feuille. Rien.
Le calme avant la tempête. Qui a osé dire ça, un jour ?
Lorsque les premiers cris parvinrent aux oreilles de Stanislava, son réflexe fut bien évidemment de dégainer l’épée dans son dos, prête à en découdre. Mais elle déglutit péniblement lorsque l’odeur du sang la prit au nez. Beaucoup. Beaucoup de sang. Sa prise se fit plus ferme en voyant une silhouette s’approcher puis se relâcha en reconnaissant Sébastien monté à cheval. Sébastien, blessé. Sébastien, fuyant. Fuyant quoi ? Sa réponse ne tarda pas à venir. Elles étaient même deux.
Son regard émeraude ne put se détacher des deux créatures, mi-homme, mi-cheval, qui s’avançait vers eux, l’une d’elles tenant visiblement des têtes d’humains. Elle souffla entre ses dents en notant les griffes acérées et les bras longs des créatures. S’en approcher serait du suicide. Du moins pour un simple humain. Mais Stanislava n’était pas une simple humaine. Elle avait une chance. Peut-être.
Si vous apercevez quoi que ce soit, ne partez pas seule. Sonnez l’alarme avant toute chose.
Voilà que sa raison, ou plutôt la voix de June, venait mettre son grain de sel. Tentant de calmer son cheval autant que faire se peut, elle grogna finalement et rangea son épée avant de s’emparer de la bride du cheval de Sébastien et de tirer dessus brièvement pour l’ordonner de poursuivre sa route vers le convoi, le suivant sur ses talons.
-Battez en retraite ! Demi-tour !
Oublions le cadeau pour la Reine et l’embuscade et les bandits. Survivre à ces créatures semblaient bien plus urgents. À nouveau avec le reste du convoi, elle resta cependant en première ligne, gardant un œil sur les créatures, et dans sa main droite, deux fioles d’eau bénite.
Sam 1 Mai - 21:05
Of treasures and threats
Of treasures and threats
Je te conjure d’être prudent et de ne pas faire confiance trop vite.
Des mots qui, à l’instar d’une marque au fer rouge, ne cessent de résonner contre ses pensées à chaque instant. A chaque fois qu’il met en avant la vie d’autrui en faveur de celle d’un autre. A chaque fois que dans ce convoi, il doit juger de l’importance de chacun des atouts au creux de leurs mains.
June ne croit pas à tout ce qui se prédestine et s’écrit dans les étoiles. Ne croit pas que tout soit déterminé par avance. Qu’importe les mots de Dieu, le libre arbitre est ce qui définit le vivant. Le droit de choisir. Le droit d’être et de décider. June connait la force de ces choses. Comprend que Francis, en leur accordant sa confiance, leur donne un droit de vie ou de mort sur lui et ses hommes. Des mercenaires. Des gens dont ils ne connaissent rien, si ce n’est le peu de choses qu’ils sont parvenus à glaner en quelques jours. Des rires rauques de Luc, ou des histoires grivoises de Jean. Du mauvais caractère de Francis, adouci par un tempérament de chevalier.
Non, June ne croit pas que les choses soient définies avant que les dés ne soient jetés. Ne croit pas que la malchance est là à les attendre à chaque tournant. Il l’a appris de la plus improbable des façons. Comprend alors qu’il ne peut faire autrement, que Stanislava est un arcane majeur de cette partie. Que Gabriel pourrait se révéler aussi prometteur qu’Eve l’avait promis.
June aurait dû croire en leur bonne étoile. Mais dans le silence d’un convoi avançant au pas, c’est un hurlement qui strie l’écho infernal de la falaise. Un cavalier seul, surgit d’une cavité rocheuse cachée à leur vue… Et dans un ordre tonitruent, c’est un cri à glacer le sang de tous qui retentit. Les bêtes comprennent avant même les cavaliers. June, inconscient de l’ampleur des choses, ne voit que la chute de l’homme à ses côtés, là où dans un nuage de poussière, sa monture détale et semble provoquer un sursaut de panique chez tous.
Il n’aura pas le temps de voir les créatures à l’origine de cet enfer. Sa voix prenant sur celle de Stanislava et hélant d’autorité le repli de tous.
« Abandonnez le convoi ! Battez en retraite ! »
Mais déjà, June relâche la bride de sa monture prise d’effroi. Peu importe. Peu importe à cet instant précis. Siffle d’un son sec et clair et d’un cri parant au brouhaha général, appelle le nom de Gabriel pour attirer son attention sur eux.
Sous ses pieds, la précipitation le fait déraper sur la caillasse du sol et qu’importe la douleur évidente de Francis. Il n’est plus temps de jouer dans la dentelle. Agrippant l’homme par le membre supérieur semblant le moins amoché par sa chute, il redresse la stature imposante de Francis et sent la morsure violente contre sa nuque. Comme si ses muscles voulaient rompre. Comme si sa peau voulait se déchirer, là où la sueur froide vient courir contre son épiderme. Un regard contre le bleu des yeux de Gabriel et June se moque de comment il ferait. Attend qu’il soit à portée et semble tenir Francis pour tourner son regard vers la ruée s’approchant bien trop vite d’eux.
« Déguerpissez ! Ne vous retournez pas ! »
Un conseil qu’il aurait lui-même du appliquer. Un seul regard aux cavaliers morts et sa prise sur le monde lui échappe un instant. L’image semblant vriller sa conscience d’une douleur vive. Tend la main pour rattraper la bride de sa monture et s’y hisser à la hâte.
Fuir. Fuir était la seule solution.
Des mots qui, à l’instar d’une marque au fer rouge, ne cessent de résonner contre ses pensées à chaque instant. A chaque fois qu’il met en avant la vie d’autrui en faveur de celle d’un autre. A chaque fois que dans ce convoi, il doit juger de l’importance de chacun des atouts au creux de leurs mains.
June ne croit pas à tout ce qui se prédestine et s’écrit dans les étoiles. Ne croit pas que tout soit déterminé par avance. Qu’importe les mots de Dieu, le libre arbitre est ce qui définit le vivant. Le droit de choisir. Le droit d’être et de décider. June connait la force de ces choses. Comprend que Francis, en leur accordant sa confiance, leur donne un droit de vie ou de mort sur lui et ses hommes. Des mercenaires. Des gens dont ils ne connaissent rien, si ce n’est le peu de choses qu’ils sont parvenus à glaner en quelques jours. Des rires rauques de Luc, ou des histoires grivoises de Jean. Du mauvais caractère de Francis, adouci par un tempérament de chevalier.
Non, June ne croit pas que les choses soient définies avant que les dés ne soient jetés. Ne croit pas que la malchance est là à les attendre à chaque tournant. Il l’a appris de la plus improbable des façons. Comprend alors qu’il ne peut faire autrement, que Stanislava est un arcane majeur de cette partie. Que Gabriel pourrait se révéler aussi prometteur qu’Eve l’avait promis.
June aurait dû croire en leur bonne étoile. Mais dans le silence d’un convoi avançant au pas, c’est un hurlement qui strie l’écho infernal de la falaise. Un cavalier seul, surgit d’une cavité rocheuse cachée à leur vue… Et dans un ordre tonitruent, c’est un cri à glacer le sang de tous qui retentit. Les bêtes comprennent avant même les cavaliers. June, inconscient de l’ampleur des choses, ne voit que la chute de l’homme à ses côtés, là où dans un nuage de poussière, sa monture détale et semble provoquer un sursaut de panique chez tous.
Il n’aura pas le temps de voir les créatures à l’origine de cet enfer. Sa voix prenant sur celle de Stanislava et hélant d’autorité le repli de tous.
« Abandonnez le convoi ! Battez en retraite ! »
Mais déjà, June relâche la bride de sa monture prise d’effroi. Peu importe. Peu importe à cet instant précis. Siffle d’un son sec et clair et d’un cri parant au brouhaha général, appelle le nom de Gabriel pour attirer son attention sur eux.
Sous ses pieds, la précipitation le fait déraper sur la caillasse du sol et qu’importe la douleur évidente de Francis. Il n’est plus temps de jouer dans la dentelle. Agrippant l’homme par le membre supérieur semblant le moins amoché par sa chute, il redresse la stature imposante de Francis et sent la morsure violente contre sa nuque. Comme si ses muscles voulaient rompre. Comme si sa peau voulait se déchirer, là où la sueur froide vient courir contre son épiderme. Un regard contre le bleu des yeux de Gabriel et June se moque de comment il ferait. Attend qu’il soit à portée et semble tenir Francis pour tourner son regard vers la ruée s’approchant bien trop vite d’eux.
« Déguerpissez ! Ne vous retournez pas ! »
Un conseil qu’il aurait lui-même du appliquer. Un seul regard aux cavaliers morts et sa prise sur le monde lui échappe un instant. L’image semblant vriller sa conscience d’une douleur vive. Tend la main pour rattraper la bride de sa monture et s’y hisser à la hâte.
Fuir. Fuir était la seule solution.
Sam 1 Mai - 22:46
L’entièreté du convoi panique mais au moins, il se précipite dans la même direction, sur la gauche du goulot d’étranglement. Les mercenaires essaient de tenir le rythme mais le convoi part tout azimuts, les chevaux paniquant beaucoup trop et étant impossible à calmer en l'état.
Les deux créatures semblent vous donner la chasse. Vous les entendez rugir dans votre dos et chaque son qu'elles produisent vous serrent les entrailles. L'obscurité commence à tomber et rien n'est moins rassurant.
[Chacun des participants lance 2 Dés à la suite de ce post, sans rédiger.]
CADEAU ROYAL
L’entièreté du convoi panique mais au moins, il se précipite dans la même direction, sur la gauche du goulot d’étranglement. Les mercenaires essaient de tenir le rythme mais le convoi part tout azimuts, les chevaux paniquant beaucoup trop et étant impossible à calmer en l'état.
Les deux créatures semblent vous donner la chasse. Vous les entendez rugir dans votre dos et chaque son qu'elles produisent vous serrent les entrailles. L'obscurité commence à tomber et rien n'est moins rassurant.
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Sam 1 Mai - 22:47
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 1 Mai - 22:49
Le membre 'Sébastien Filin' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 1 Mai - 22:49
Le membre 'June van Heil' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 1 Mai - 22:50
Le membre 'Gabriel de Sercey' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 1 Mai - 22:52
Le membre 'Stanislava Braginsky' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 1 Mai - 22:57
Gabriel, Sébastien & les mercenaires parviennent à mettre un peu de distance entre eux et les créatures. Vous ne savez pas si elles vous poursuivent avec toute leur énergie ou non mais cela ne vous intéresse pas tant que vous pouvez les distancer.
June, l'une des créatures vous colle au train et l'une de ses mains essaie de se refermer sur vous.
Stanislava, la seconde créature arrivera à vous projeter hors de la route, avec votre monture. Votre cheval parviendra à se relever et repartira en direction du convoi, non sans boiter hasardeusement. Mais la créature ne semble pas vraiment intéressée par l'équidé, mais plutôt par vous. Ses griffes vous auront tailladé la poitrine.
Qu'allez-vous faire ?
• Vous battre frontalement.
• Fuir.
CADEAU ROYAL
Gabriel, Sébastien & les mercenaires parviennent à mettre un peu de distance entre eux et les créatures. Vous ne savez pas si elles vous poursuivent avec toute leur énergie ou non mais cela ne vous intéresse pas tant que vous pouvez les distancer.
June, l'une des créatures vous colle au train et l'une de ses mains essaie de se refermer sur vous.
Stanislava, la seconde créature arrivera à vous projeter hors de la route, avec votre monture. Votre cheval parviendra à se relever et repartira en direction du convoi, non sans boiter hasardeusement. Mais la créature ne semble pas vraiment intéressée par l'équidé, mais plutôt par vous. Ses griffes vous auront tailladé la poitrine.
Qu'allez-vous faire ?
• Vous battre frontalement.
• Fuir.
Sam 1 Mai - 23:42
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Quand bien même Stanislava s’était préparée au pire des scénarios, la peur commençait presque à pointer le bout de son nez alors qu’elle fut éjectée de sa monture, des griffures ornant désormais sa poitrine. Elle réussit à se relever et vit brièvement dans quelle direction partait son cheval avant de se concentrer à nouveau sur la créature, visiblement plus intéressée par sa nouvelle proie.
Depuis quand était-elle devenue une proie ?
Mais la rousse ne se posa même pas la question et agit finalement, lançant l’une de ses fioles d’eau bénite sur la créature avant de prendre à nouveau la fuite et de courir de toutes ses forces vers son cheval pour le rattraper et monter à nouveau dessus. S’ils survivent tout les deux à cela, pour sûr qu’elle le fera dorloter une fois rentrés.
Depuis quand était-elle devenue une proie ?
Mais la rousse ne se posa même pas la question et agit finalement, lançant l’une de ses fioles d’eau bénite sur la créature avant de prendre à nouveau la fuite et de courir de toutes ses forces vers son cheval pour le rattraper et monter à nouveau dessus. S’ils survivent tout les deux à cela, pour sûr qu’elle le fera dorloter une fois rentrés.
Dim 2 Mai - 0:43
Of treasures and threats
Of treasures and threats
Tout se passe très vite. Extrêmement vite. La bride de sa monture lui échappe, cheval ébroué par la terreur de l’attaque imminente. Il aurait pu ne pas faire chair de sa propre peau, mais la prise de Gabriel sur lui est si brusque et puissante qu’il n’a le temps de rien. Flanqué comme un sac contre le haut fessier de la monture du marquis. A trois sur son dos, le cheval peine à cavaler à pleine puissance. Un ralentissement qui permet à June se bonnant-malant passer ses jambes pour proprement enfourcher la monture… et apercevoir du coin de l’œil la cavale infâme qui les piste.
D’un bras autour de la taille de Gabriel, agrippant à pleine main les vêtements de Francis pour le stabiliser, June se penche à s’en briser le dos pour passer sous le bras gauche de Gabriel, sifflant aussi fort qu’il le peut.
« A droite ! Frappez ! »
Les griffes acérées effleurent presque son dos et derrière eux, la silhouette d’une autre monture les rattrape presque, chevelure de feu volant à sa suite.
D’un bras autour de la taille de Gabriel, agrippant à pleine main les vêtements de Francis pour le stabiliser, June se penche à s’en briser le dos pour passer sous le bras gauche de Gabriel, sifflant aussi fort qu’il le peut.
« A droite ! Frappez ! »
Les griffes acérées effleurent presque son dos et derrière eux, la silhouette d’une autre monture les rattrape presque, chevelure de feu volant à sa suite.