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Sam 6 Fév - 17:08
BOOM.
Ce sera très probablement votre première sensation. En ouvrant les yeux, vous constaterez que vous êtes dans une pièce sombre et, vu l'odeur, très poussiéreuse. Personne n'est venu ici depuis des lustres, semblerait-il.
A tâtons, vous finirez par trouver un rideau qui se déchirera quand vous essayerez de l'ouvrir, c'est dire si l'état de la tapisserie est plus que vieillot.
Vous tousserez probablement, sans savoir vraiment où vous êtes.
Quelque part...
BOOM.
Ce sera très probablement votre première sensation. En ouvrant les yeux, vous constaterez que vous êtes dans une pièce sombre et, vu l'odeur, très poussiéreuse. Personne n'est venu ici depuis des lustres, semblerait-il.
A tâtons, vous finirez par trouver un rideau qui se déchirera quand vous essayerez de l'ouvrir, c'est dire si l'état de la tapisserie est plus que vieillot.
Vous tousserez probablement, sans savoir vraiment où vous êtes.
Sam 6 Fév - 17:20
La… sensation est des plus désagréables. Transi de froid, l’impact contre le sol lui coupe le souffle. June déglutit, essayant de remettre ses idées en place et… Et l’obscurité totale lui répond lorsqu’il entrouvre les yeux. Le temps d’une brève seconde, c’est la peur qui prend le dessus. L’odeur des lieux est oppressante, lui arrache instantanément une quinte de toux avant qu’il ne protège son visage de son bras. De la lumière. Il doit trouver une source de lumière. Se redressant en position accroupie d'abord, ignorant les protestations de ses membres endoloris et glacés, c’est en manquant de trébucher sur un pavé mal aligné en se levant que ses doigts agrippent un pan de tissu… Qui s’arrache aussi net de son point d’ancrage en tentant de s'y rattraper.
Brave est le jeune soldat qui choit à nouveau, toussant de plus belle sous la quantité de poussière vétuste qui s’envole du rideau crasseux. Désorienté, le jeune duc retrouve maladroitement le sens du monde et s’assied au sol, tentant de retrouver son souffle, frissonnant malgré lui.
Quel putain de- Où était-il maintenant ? Instinctivement, il profite un instant de la lumière passant par la fenêtre pour chercher toute trace existante sur son corps. Trace de quoi, il n’est même plus certain. Tout ceci semble presque être un rêve insensé, maintenant.
Brave est le jeune soldat qui choit à nouveau, toussant de plus belle sous la quantité de poussière vétuste qui s’envole du rideau crasseux. Désorienté, le jeune duc retrouve maladroitement le sens du monde et s’assied au sol, tentant de retrouver son souffle, frissonnant malgré lui.
Quel putain de- Où était-il maintenant ? Instinctivement, il profite un instant de la lumière passant par la fenêtre pour chercher toute trace existante sur son corps. Trace de quoi, il n’est même plus certain. Tout ceci semble presque être un rêve insensé, maintenant.
Sam 6 Fév - 17:25
Enfin un peu de lumière et en vous retournant, vous pourrez voir une grande pièce circulaire munie d'un immense lit à baldaquins et, un peu plus loin, d'un coffre. Une garde robe dont les portes sont fermées se tient à votre droite.
Un visible escalier, à votre gauche, parait monter vers Dieu sait où.
Où allez-vous donc vous diriger ?
• Inspecter le lit.
• Inspecter la garde robe.
• Inspecter le coffre.
• Inspecter les escaliers.
Quelque part...
Enfin un peu de lumière et en vous retournant, vous pourrez voir une grande pièce circulaire munie d'un immense lit à baldaquins et, un peu plus loin, d'un coffre. Une garde robe dont les portes sont fermées se tient à votre droite.
Un visible escalier, à votre gauche, parait monter vers Dieu sait où.
Où allez-vous donc vous diriger ?
• Inspecter le lit.
• Inspecter la garde robe.
• Inspecter le coffre.
• Inspecter les escaliers.
Sam 6 Fév - 17:42
La pièce, maintenant baignée de lumière, laisse June… Terriblement perplexe. Une chambre, à en juger par ce grand lit à baldaquins. Une chambre qui n’a pas été utilisée depuis bien des mois, pour ne pas dire années… June se relève – prudent cette fois de ne pas perdre l’équilibre à nouveau – il approche d’abord de la fenêtre couverte d’une épaisse couche de saleté. D’un revers de manche, il tente de frotter le carreau. Il serre les lèvres, une pointe d’anxiété lui mordant l’esprit. Par acquis de conscience, il se retourne, cherchant les ombres, comme en proie à une paranoïa inexplicable. Comme s’il cherchait à voir quelque chose qui n’était pourtant pas là.
June expire lentement et s’éloigne de la fenêtre, s’approchant de l’escalier. Il ose espérer qu’il s’agira d’une issue. Mais avec sa récente chance, il s’attendait à peu près à tout…
June expire lentement et s’éloigne de la fenêtre, s’approchant de l’escalier. Il ose espérer qu’il s’agira d’une issue. Mais avec sa récente chance, il s’attendait à peu près à tout…
Sam 6 Fév - 17:45
La fenêtre vous donnera vue sur l'un des recoins du jardin royal, très éloigné du reste des lieux. Vous apercevez même un petit bout du labyrinthe, mais rien de plus.
En montant les escaliers, vous arrivez dans une autre salle, tout aussi circulaire. Mais il n'y a rien ici à part un bureau avec sa couche de poussières, quelques candélabres, des papiers et plusieurs tableaux accrochés au mur.
Que faire ?
• Redescendre.
• Inspecter le bureau.
• Observer les tableaux.
Quelque part...
La fenêtre vous donnera vue sur l'un des recoins du jardin royal, très éloigné du reste des lieux. Vous apercevez même un petit bout du labyrinthe, mais rien de plus.
En montant les escaliers, vous arrivez dans une autre salle, tout aussi circulaire. Mais il n'y a rien ici à part un bureau avec sa couche de poussières, quelques candélabres, des papiers et plusieurs tableaux accrochés au mur.
Que faire ?
• Redescendre.
• Inspecter le bureau.
• Observer les tableaux.
Sam 6 Fév - 17:59
D’une façon ou d’une autre, June était… toujours à Paris. Intérieurement, il pourrait fulminer, mais maintenant n’est pas le moment. Comment a-t-il atterri ici – ah ah – il voulait simplement comprendre. Ou trouver une sortie. Ou juste respirer un air frais qui ne sentait pas le renfermé et tentait à chaque seconde de lui faire rendre ses poumons. Rien que l’écho de sa toux contre les murs lui donne envie de sauter par la fenêtre. Il a horreur d’être enfermé. C’était définitivement officiel.
Gravissant les marches – de toute évidence, ce n’était pas en montant qu’il s’approcherait de la sortie, mais passons – il tombe sur un bureau qui… Semblait au moins aussi vieux que la chambre qu’il venait de quitter. Si fouiller les effets personnels d’un disparu lui causait des problématiques éthiques, il s’approche cette fois du bureau et inspire profondément – paix à son âme – avant de souffler la couche de poussière qui le recouvre, voulant trouver quelque chose. Du même mouvement, il tire sur les différents tiroirs et cabinets, cherchant tout… Ou rien. Il n’en avait absolument aucune idée. Il aperçoit bien les tableaux du coin de l’œil, mais son absence de regard artistique ne lui fait pas s’y intéresser dans l’immédiat.
Gravissant les marches – de toute évidence, ce n’était pas en montant qu’il s’approcherait de la sortie, mais passons – il tombe sur un bureau qui… Semblait au moins aussi vieux que la chambre qu’il venait de quitter. Si fouiller les effets personnels d’un disparu lui causait des problématiques éthiques, il s’approche cette fois du bureau et inspire profondément – paix à son âme – avant de souffler la couche de poussière qui le recouvre, voulant trouver quelque chose. Du même mouvement, il tire sur les différents tiroirs et cabinets, cherchant tout… Ou rien. Il n’en avait absolument aucune idée. Il aperçoit bien les tableaux du coin de l’œil, mais son absence de regard artistique ne lui fait pas s’y intéresser dans l’immédiat.
Sam 6 Fév - 18:09
Vous trouverez une clé dans le premier tiroir du bureau. Toutefois, aucune serrure à portée de regard pour le moment. A vous de choisir si vous voulez garder la clé ou non.
Il y a également une lettre fermée mais non scellée. Encore une fois, vous pouvez choisir de la lire ou non.
Quelque part...
Vous trouverez une clé dans le premier tiroir du bureau. Toutefois, aucune serrure à portée de regard pour le moment. A vous de choisir si vous voulez garder la clé ou non.
Il y a également une lettre fermée mais non scellée. Encore une fois, vous pouvez choisir de la lire ou non.
Sam 6 Fév - 18:20
D’un mouvement de main pour faire s’échapper la poussière dans l’air, le dessus du bureau ne laisse rien voir attirant son regard. Mais un objet brillant retient son attention, et d’une main le voilà à tirer une clé dans le premier tiroir. Il vérifie les autres rangements évidents du bureau et n’y voit rien pour le moment. Hm. Il prend la clé et la glisse pour l’instant dans sa poche avant de se saisir d’une lettre au cachet brisé. Retournant le document pour essayer d’y trouver un destinataire, une signature, ou peu importe quel signe, June finit par déplier le document pour y jeter un œil.
Sa lecture ne le détournera pourtant pas, in fine, de traquer par la suite le moindre signe quant au bureau. S’accroupissant pour avoir un meilleur angle de vue, June cherche minutieusement une serrure, passant ses mains contre les surfaces visibles, allant du dessous des tiroirs – contre lesquels il tape pour tenter de trouver un faux fond – les parois du bureau – et même le dessous, ugh, des toiles d’araignée – et même le fauteuil. Il devrait devenir enquêteur le petit.
Sa lecture ne le détournera pourtant pas, in fine, de traquer par la suite le moindre signe quant au bureau. S’accroupissant pour avoir un meilleur angle de vue, June cherche minutieusement une serrure, passant ses mains contre les surfaces visibles, allant du dessous des tiroirs – contre lesquels il tape pour tenter de trouver un faux fond – les parois du bureau – et même le dessous, ugh, des toiles d’araignée – et même le fauteuil. Il devrait devenir enquêteur le petit.
Sam 6 Fév - 18:29
La lettre est rédigée avec une belle écriture avec quelques tressautements.
Il y a quelques bavures sèches sur certains endroits de l'encre et du papier. De l'eau ?
Vous ne trouverez pas de passages secrets pour le moment.
• Redescendre.
• Rester dans le bureau.
Quelque part...
La lettre est rédigée avec une belle écriture avec quelques tressautements.
"A mon Lys Blanc,
Je serais probablement déjà aux côtés de Dieu lorsque ces mots glisseront entre tes mains, mais je tenais tout de même à te laisser quelque chose après cette nuit. Et cette promesse que nous nous sommes faites.
Je te serais éternellement reconnaissant d'avoir su enchanter ma vie ainsi que ma mort. Je sais que tu haïs l'idée de m'entendre en parler mais tu me connais, maintenant. Je ne suis pas homme à contenir trop longtemps ses pensées.
Je n'ai pas toujours mérité les éloges que l'on me porte, ni même ton amour. J'espère en avoir été digne au crépuscule de ma vie malgré tout.
Saches que l'amour et tout ce que tu as pu me donner sera une joie sans fin pour moi. Je n'aurais sans doute pas assez de mes connaissances pour trouver les mots justes afin de définir les bienfaits que ta présence à eu à mes côtés.
Prends soin de toi, ma très chère.
Saches que je ne cesserai jamais de t'aimer, quand bien même mon cœur aura de battre cessé.
Avec tout mon amour.
Charles."
Il y a quelques bavures sèches sur certains endroits de l'encre et du papier. De l'eau ?
Vous ne trouverez pas de passages secrets pour le moment.
• Redescendre.
• Rester dans le bureau.
Sam 6 Fév - 18:38
Ainsi plonger dans l’intimité d’un individu n’avait pas été sa première intention – peut-être aurait-il mieux valu ne pas parcourir ces quelques lignes ? –. Mais lire les tendres paroles d’un roi portait une toute autre valeur. Repliant délicatement le papier, non sans avoir effleuré les quelques tâches sur l’encre – ne pas y penser, June. Ce ne sont pas tes affaires – il ne reposera pas la lettre et la conservera. Et après une recherche infructueuse du bureau, il se dirigera vers la sortie… Avant que les couleurs des tableaux n’attirent son regard. Il s’en approche et par principe, inspecte le devant des toiles. Il s’attend désormais à trouver des portraits de la famille royale… Après tout, les lieux laissaient vivement cette hypothèse être la plus plausible.
Et June dans tout ça ? Ne perd pas le nord et après un regard global aux murs de la pièce, soulève délicatement chaque toile pour en inspecter l’arrière.
Et June dans tout ça ? Ne perd pas le nord et après un regard global aux murs de la pièce, soulève délicatement chaque toile pour en inspecter l’arrière.
Sam 6 Fév - 19:11
Plusieurs tableaux sont à votre disposition. Vous devinez également que certains autres étaient accrochés aux murs, mais ces derniers ont disparus, ne laissant que des crochets vides fichés dans la pierre.
Vos yeux se posent d'abord sur deux grands portraits. Sur le premier, vous pouvez lire :
Sur le second, vous pouvez lire :
Quatre autres tableaux, plus petits, sont accrochés là. Le premier dépeint une jeune femme à l'allure guerrière. Il est titré : "CADEAU POUR S."
Une note demeure prise dans un coin du cadre, facile à retirer et à lire. "J'aurais voulu le lui offrir plus tôt mais elle était déjà partie... Je me demande si je la reverrais un jour. Je crois bien qu'elle me manque."
Les trois autres sont malheureusement abîmés. Vous devinez que la couche de peinture noire qui a été appliquée dessus l'a été faite consciemment. Quelqu'un voulait détruire ces portraits ou, au moins, les rendre méconnaissables.
Vous ne trouverez rien de plus pour le moment.
Qu'allez-vous faire ?
• Redescendre.
• Rester dans le bureau.
Quelque part...
Plusieurs tableaux sont à votre disposition. Vous devinez également que certains autres étaient accrochés aux murs, mais ces derniers ont disparus, ne laissant que des crochets vides fichés dans la pierre.
Vos yeux se posent d'abord sur deux grands portraits. Sur le premier, vous pouvez lire :
"CHARLES DE FRANCE - ROI DE FRANCE"
Sur le second, vous pouvez lire :
"DIANE DE FRANCE - REINE DE FRANCE"
Quatre autres tableaux, plus petits, sont accrochés là. Le premier dépeint une jeune femme à l'allure guerrière. Il est titré : "CADEAU POUR S."
Une note demeure prise dans un coin du cadre, facile à retirer et à lire. "J'aurais voulu le lui offrir plus tôt mais elle était déjà partie... Je me demande si je la reverrais un jour. Je crois bien qu'elle me manque."
Les trois autres sont malheureusement abîmés. Vous devinez que la couche de peinture noire qui a été appliquée dessus l'a été faite consciemment. Quelqu'un voulait détruire ces portraits ou, au moins, les rendre méconnaissables.
Vous ne trouverez rien de plus pour le moment.
Qu'allez-vous faire ?
• Redescendre.
• Rester dans le bureau.
Sam 6 Fév - 20:37
Si l’art n’est pas sa préférence, il est particulièrement difficile de ne pas reconnaître les deux premiers portraits. La famille de France était certainement d’une beauté époustouflante. June ne pouvait que reconnaître que Victoire tenait des traits de ses aïeuls… Mais si la présence de ces peintures n’a rien de surprenant, c’est avec un brin plus de curiosité qu’il s’attarde sur les quatre autres. Effleurant du bout des doigts les traces noires salissant trois d’entre eux, c’est avec un brin plus d’intérêt qu’il s’arrête devant le dernier tableau visible. Inclinant la tête sur le côté, curieux, il s’étonne de reconnaître les lignes de ce visage sans pour autant parvenir à replacer l’individu dans ses souvenirs. Attiré par le petit bout de papier dans le coin, il le déplie et hausse un sourcil avant de l’y replacer. Une amie de Charles de France. Hm.
Il finit par lancer un dernier regard sur la pièce, mais rien n’attire son attention. Clairement, il n’allait pas se jeter par la fenêtre pour trouver la sortie… Alors il redescend jusqu’à la chambre… Et retourne à la fenêtre pour la forcer jusqu’à l’ouvrir, se penchant hâtivement jusqu’à pouvoir aspirer une bouffée d’air frais. Penché contre le rebord, il prend un instant pour refaire le plein d’air frais… Et se redresse, surpris. S…
« Stanislava ? »
Pris au dépourvu par sa propre réalisation, June remonte les marches par trois et se poste devant le tableau… Hm… Il lève une main, jouant de la perspective pour placer son index levé sous l’œil gauche du tableau et… Ah…
« Vraiment… »
June reste un instant là, observant les peintures et finit par se passer les deux mains sur le visage. Les choses perdaient de plus en plus leur sens. C’est avec une sensation d’épuisement qui l’écrase de plus en plus qu’il redescend à l’étage inférieur. Sortant à nouveau la clé trouvée plus tôt, il approche d’abord du coffre, l’inspectant curieusement.
Il finit par lancer un dernier regard sur la pièce, mais rien n’attire son attention. Clairement, il n’allait pas se jeter par la fenêtre pour trouver la sortie… Alors il redescend jusqu’à la chambre… Et retourne à la fenêtre pour la forcer jusqu’à l’ouvrir, se penchant hâtivement jusqu’à pouvoir aspirer une bouffée d’air frais. Penché contre le rebord, il prend un instant pour refaire le plein d’air frais… Et se redresse, surpris. S…
« Stanislava ? »
Pris au dépourvu par sa propre réalisation, June remonte les marches par trois et se poste devant le tableau… Hm… Il lève une main, jouant de la perspective pour placer son index levé sous l’œil gauche du tableau et… Ah…
« Vraiment… »
June reste un instant là, observant les peintures et finit par se passer les deux mains sur le visage. Les choses perdaient de plus en plus leur sens. C’est avec une sensation d’épuisement qui l’écrase de plus en plus qu’il redescend à l’étage inférieur. Sortant à nouveau la clé trouvée plus tôt, il approche d’abord du coffre, l’inspectant curieusement.
Sam 6 Fév - 20:54
Le coffre n'est pas fermé à clé.
Il contenait des vêtements de belle facture. Une robe se démarque du reste de part ses couleurs et sa coupe. Vous devinez un style ancien, qui n'a pas grand chose à voir avec les robes actuelles. Elle est accompagné d'un petit mot. Le papier est partiellement déchiré cependant.
La fin n'est pas présente car le morceau de papier est déchiré.
Et maintenant ?
• Garder la robe.
• Reposer la robe.
• Inspecter le lit.
• Inspecter la garde-robe.
Quelque part...
Le coffre n'est pas fermé à clé.
Il contenait des vêtements de belle facture. Une robe se démarque du reste de part ses couleurs et sa coupe. Vous devinez un style ancien, qui n'a pas grand chose à voir avec les robes actuelles. Elle est accompagné d'un petit mot. Le papier est partiellement déchiré cependant.
"A mon étoile,
Je sais que tu n'apprécies guère ce que Dieu à décidé de faire de toi mais je souhaitais tout de même te montrer que peu importe ton apparence, tu resteras belle à jamais à mes yeux. Le bleu et le vert sont des couleurs que tu portes à merveille et je tenais à te le rappeler. Ne doute plus jamais de ta beauté.
-------------------------------------------------------------"
La fin n'est pas présente car le morceau de papier est déchiré.
Et maintenant ?
• Garder la robe.
• Reposer la robe.
&&&
• Inspecter le lit.
• Inspecter la garde-robe.
Sam 6 Fév - 21:04
La robe et la note s’y étant glissés sont probablement aussi vieux que la poussière s’étant invitée dans la pièce. Il observe longuement la note avant de tirer la lettre de Charles de sa poche pour comparer les deux écritures. Malgré lui, il ne peut que constater que le Lys blanc et l’étoile n’avaient, en principe, aucun lien… Charles avait-il plusieurs conquêtes… ?
Il finit par reposer la robe précautionneusement et tourner son attention vers la garde-robe – non sans avoir précautionneusement rangé la lettre avec lui avant cela –. Son premier geste est pourtant bien curieux d’un regard extérieur. Sa Nanna avait eu un meuble de ce genre. L’une de ces belles armoires aux motifs délicats… Et si l’intérieur n’avait rien caché d’incroyable, June tend les bras vers le haut, tâtant le haut de la garde-robe pour inspecter s’il n’y avait pas un coffre dissimulé dans la construction du bois. Nanna avait tant de secrets à cacher… Peut-être que la personne ayant résidé aussi en avait également.
Il finit par reposer la robe précautionneusement et tourner son attention vers la garde-robe – non sans avoir précautionneusement rangé la lettre avec lui avant cela –. Son premier geste est pourtant bien curieux d’un regard extérieur. Sa Nanna avait eu un meuble de ce genre. L’une de ces belles armoires aux motifs délicats… Et si l’intérieur n’avait rien caché d’incroyable, June tend les bras vers le haut, tâtant le haut de la garde-robe pour inspecter s’il n’y avait pas un coffre dissimulé dans la construction du bois. Nanna avait tant de secrets à cacher… Peut-être que la personne ayant résidé aussi en avait également.
Sam 6 Fév - 21:31
Sa tentative se solde par un échec. Un soupir et il tâtonne longuement les côtés et le dessous de la garde-robe, ne sait-on jamais. Après son inspection, il finit enfin par tenter d’ouvrir le prote de l’armoire… Il osait espérer qu’il trouverait de quoi se mettre quelque chose sur le dos, claquer des dents, c’était bien une minute, mais là ça faisait long…
Sam 6 Fév - 21:35
En fouillant dans la garde-robe, un petit objet en tombe. Cette fois, pas de petit papier pour aller avec, simplement un accessoire surmonté d'une fleur. Une lettre est gravé à côté du motif floral. "Z."
Vous trouverez aussi un épais manteau d'une conception impeccable. Il a prit la poussière mais vous servira sans aucun doute pour vous réchauffer. En observant de plus près, vous pourrez remarquer que c'est le même manteau que celui que portait le roi Charles sur son portrait.
Et maintenant ?
• Fouiller la garde-robe un peu plus.
• Inspecter le lit.
Quelque part...
En fouillant dans la garde-robe, un petit objet en tombe. Cette fois, pas de petit papier pour aller avec, simplement un accessoire surmonté d'une fleur. Une lettre est gravé à côté du motif floral. "Z."
Vous trouverez aussi un épais manteau d'une conception impeccable. Il a prit la poussière mais vous servira sans aucun doute pour vous réchauffer. En observant de plus près, vous pourrez remarquer que c'est le même manteau que celui que portait le roi Charles sur son portrait.
Et maintenant ?
• Fouiller la garde-robe un peu plus.
• Inspecter le lit.
Sam 6 Fév - 21:51
Le manteau est prudemment passé par-dessus ses épaules, un emprunt, juste le temps de se réchauffer un peu. June inspecte longuement le peigne et caresse du pouce la fleur ornée le surplombant.
« Mon Lys blanc, hein… »
La lettre le laisse pourtant perplexe. A vue de nez, et eu égard aux couleurs de Diane de France, June aurait pensé qu’il s’agissait de nul autre que la reine mère, mais… Le doute était finalement encore présent. Il hésite un long moment avant de déposer l’accessoire soigneusement sur le côté et de continuer à fouiller la garde-robe – un faux fond ? Un tiroir caché ? –
« Mon Lys blanc, hein… »
La lettre le laisse pourtant perplexe. A vue de nez, et eu égard aux couleurs de Diane de France, June aurait pensé qu’il s’agissait de nul autre que la reine mère, mais… Le doute était finalement encore présent. Il hésite un long moment avant de déposer l’accessoire soigneusement sur le côté et de continuer à fouiller la garde-robe – un faux fond ? Un tiroir caché ? –
Sam 6 Fév - 21:53
A force de tâtonnements, vos doigts finiront par sentir un petit creux dans le fond de la garde-robe. En examinant bien, ce petit creux ressemble fortement... au trou d'une serrure.
N'aviez-vous pas une clé, sur vous ?
Quelque part...
A force de tâtonnements, vos doigts finiront par sentir un petit creux dans le fond de la garde-robe. En examinant bien, ce petit creux ressemble fortement... au trou d'une serrure.
N'aviez-vous pas une clé, sur vous ?
Dim 7 Fév - 0:50
Lorsque ses doigts tombent sur un renfoncement dans le bois, il se redresse et observe le bois. Ah ! Enfin quelque chose ! Il fouille ses poches, se surprend à être en train de fouiller plutôt les poches du manteau de Charles et… revenir à ses propres poches. La clé en main, le voilà moitié grimpé dans la garde-robe pour pouvoir trifouiller la clé dans la serrure et essayer d’ouvrir le compartiment caché.
Dim 7 Fév - 0:58
La serrure n'ayant pas été sollicitée depuis plusieurs années - décennies même, semblerait-il -, le mécanisme est un peu récalcitrant et vous oblige à forcer un peu et ré-itérer l'opération plusieurs fois.
Et enfin, vous sentez quelque chose s'actionner.
Et vous partez vers l'avant. De tout votre poids.
[Lancez un dé.]
Quelque part...
La serrure n'ayant pas été sollicitée depuis plusieurs années - décennies même, semblerait-il -, le mécanisme est un peu récalcitrant et vous oblige à forcer un peu et ré-itérer l'opération plusieurs fois.
Et enfin, vous sentez quelque chose s'actionner.
Et vous partez vers l'avant. De tout votre poids.
[Lancez un dé.]
Dim 7 Fév - 1:06
Le membre 'June van Heil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 70
'L'oeil a statué sur ' : 70
Dim 7 Fév - 1:12
Bien loin d'être un compartiment secret, vous glisser vers un... couloir.
C'est tête la première que vous ressentez l'impact avec le sol dallé. Votre nez proteste en vous infligeant une vive douleur, mais votre arcade sourcilière droite, elle, ne survis pas à la chute et se rompt, inondant votre visage de sang.
Félicitation, vous voilà revenu au château. Vous pourrez voir que vous êtes apparu de derrière un tableau représentant Eleonore de France, Mère de Charles de France. L'ouverture provoquée par votre action précédente se referme alors, le tableau reprenant sa place originale. Heureusement, vous avez toujours la clé sur vous. Le mécanisme parait capricieux.
Mais pour le moment, vous êtes là, assis sur ce sol froid, un manteau précieux sur le dos - qui ne vous appartient pas - et le visage en sang. Et surtout.
"HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!"
Boom. Vous venez de faire s'évanouir de peur une servante.
Quelque part...
Bien loin d'être un compartiment secret, vous glisser vers un... couloir.
C'est tête la première que vous ressentez l'impact avec le sol dallé. Votre nez proteste en vous infligeant une vive douleur, mais votre arcade sourcilière droite, elle, ne survis pas à la chute et se rompt, inondant votre visage de sang.
Félicitation, vous voilà revenu au château. Vous pourrez voir que vous êtes apparu de derrière un tableau représentant Eleonore de France, Mère de Charles de France. L'ouverture provoquée par votre action précédente se referme alors, le tableau reprenant sa place originale. Heureusement, vous avez toujours la clé sur vous. Le mécanisme parait capricieux.
Mais pour le moment, vous êtes là, assis sur ce sol froid, un manteau précieux sur le dos - qui ne vous appartient pas - et le visage en sang. Et surtout.
"HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!"
Boom. Vous venez de faire s'évanouir de peur une servante.
Dim 7 Fév - 1:46
A force d’insister sur la serrure, trop bien penché dans la garde-robe, lorsque le mécanisme cède enfin, c’est sous tout son poids que le fond de l’armoire se dérobe. Et pour la seconde fois ce jour, il rencontre le sol avec une force telle qu’il en lâche un aboiement de douleur mêlé à la surprise. Le souffle coupé une brève seconde avant d’amener sa main – celle qui ne tient pas la clé – à son visage en sifflant de douleur. Et quelle ne fut pas sa surprise de sentir le liquide poisseux dégringoler sur son visage… Ah, est-ce qu’il ne saignerait pas aussi du nez… ? Effleurant du dos des doigts la zone douloureuse, sa peau revient ensanglantée dans son champ de vision. Parfait. Absolument parfait.
June peine un instant à se redresser, s’asseyant là, sur les pavés salis, et repousse hâtivement le manteau sur ses épaules de peur de le salir. Inspirer par la bouche, là, oublier la douleur et l’étourdissement et se faire brutalement vriller les tympans par un hurlement strident. Un sursaut et June prend la clé au poing comme on tiendrait un poignard.
Oh quelle ne fut pas la surprise de June en voyant une jeune femme portant les couleurs du personnel du palais royal pâlir et s’écrouler au sol. Tout réflexe ou rapidité d’exécution ne lui permet pas d’atteindre la jeune femme à temps. Il la rejoint pourtant bien vite, épongeant hâtivement son visage sur ses vêtements qui se salissent de sang à toute vitesse. La clé est vivement rangée dans sa poche alors qu’il soulève doucement la jeune femme pour lui redresser le dos et tapoter sa joue claire de la main.
« Madame. Madame je vous en prie ressaisissez-vous. »
Quelle putain de plaie. Il relève les yeux et s’il ne reconnait pas ce couloir, il avait déduit sans trop de doute qu’il se trouvait au palais. D’une voix forte, il appelle, sa voix haute et claire portant contre les murs.
« Garde ! »
June peine un instant à se redresser, s’asseyant là, sur les pavés salis, et repousse hâtivement le manteau sur ses épaules de peur de le salir. Inspirer par la bouche, là, oublier la douleur et l’étourdissement et se faire brutalement vriller les tympans par un hurlement strident. Un sursaut et June prend la clé au poing comme on tiendrait un poignard.
Oh quelle ne fut pas la surprise de June en voyant une jeune femme portant les couleurs du personnel du palais royal pâlir et s’écrouler au sol. Tout réflexe ou rapidité d’exécution ne lui permet pas d’atteindre la jeune femme à temps. Il la rejoint pourtant bien vite, épongeant hâtivement son visage sur ses vêtements qui se salissent de sang à toute vitesse. La clé est vivement rangée dans sa poche alors qu’il soulève doucement la jeune femme pour lui redresser le dos et tapoter sa joue claire de la main.
« Madame. Madame je vous en prie ressaisissez-vous. »
Quelle putain de plaie. Il relève les yeux et s’il ne reconnait pas ce couloir, il avait déduit sans trop de doute qu’il se trouvait au palais. D’une voix forte, il appelle, sa voix haute et claire portant contre les murs.
« Garde ! »
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