Mer 17 Mar - 16:32
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Garçon assez renfermé qui peut paraître futile dans la mesure où il ne s’épanouit que par la musique et le chant, il est en fait plus doué pour entendre et écouter que pour parler.
Sauvage, parfois renfrogné, il passe pour timide ou insensible selon les interprétations. Il peine à s’intégrer à des groupes déjà constitués et privilégie les relations en « binôme » avec d’autres personnes de préférence aussi peu hardies que lui. Seul au monde, du moins le prétend-il, il vit dans la crainte des autres, tout en souhaitant les connaître mieux et leur être sympathique… Pas aisé à concilier…
Sa voix de baryton basse est appréciée, mais il ne tient pas du tout à devenir célèbre, être propulsé sur le devant de la scène lui apporterait plus d’ennuis que de profit. De ce refus de se mettre en avant, il a acquis la réputation d’être modeste et humble, ce qui le fait grandement apprécier des religieux avec lesquels il traite comme des autres choristes, plus avides de notoriété…
Il est également un excellent harpiste, jouant avec émotion et finesse. Il emmène lors de ses déplacement une lyre qui lui sert à immortaliser les paysages rencontrés et un luth... Refusant, à tort ou à raison, de rester longtemps au même endroit, il voyage beaucoup, proposant ses services à de nombreuses paroisses, même les plus petites. Mais quoi qu'il arrive, il revient très vite dans la grande bâtisse délabrée qu'il a acquise dans la compagne non loin de Paris.
Il aime à se vêtir de couleurs claires et de bleu, est-ce pour "noyer" dans la masse sa chevelure blonde, son teint pâle et ses yeux azurs ?
"On m’a nommé Eidolon Wraith, pourquoi un prénom aussi étrange ? Jamais Elle ne me l’a expliqué… De ma naissance je ne sais que peu de choses, sinon qu’elle eut lieu une nuit, dans un sombre château du duché de Guyenne, naissance illégitime puisqu’elle était veuve depuis bien trop longtemps pour être grosse de son défunt époux… Que lui importait … Mariée enfant à un homme trop vieux, barbon de la basse-noblesse si épris d'elle et de sa jeune prestance qu'il mourut d'amour au cours d'une nuit... agitée ? Mourir d’amour ? N’est-ce pas une fin rêvée par beaucoup ?
La toute jeune veuve fut courtisée, beaucoup, mais refusa chaque proposition… à ce que j’ai compris, après avoir testé les proposants… Ma mère était une grande amoureuse... Peu d'hommes lui résistaient et tous eurent la décence de ne rien colporter de leurs arrangements. Suffisamment riche, jeune et jolie pour attirer un essaim de prétendants, elle les lassa l'un après l'autre et parvint à l’âge de femme avec une réputation sans tâche… Bien sûr, cela impliquait de me tenir caché…
Eut-elle conscience que celui-là, ce mystérieux personnage qui venait la voir à la nuit tombée, disparaissait au lever du soleil et s'abreuvait abondamment à sa gorge avait gagné son cœur et scellé leur union ? Bien sûr... Surtout quand elle accepta de veiller sur son si long sommeil... Je suis né de cette passion. Pourquoi l'a-t-il laissé humaine ? Quel a été le marché entre eux, de cela elle n'a jamais parlé.
C’est ainsi qu’elle accoucha, secondée par une sage-femme muette et sourde qui repartit au matin, et qu’elle me présenta comme le fils d’une jeune sœur souillée par des soudards et morte en couches…
Cela m’a-t-il gêné ? Puis-je dire non ? Nous recevions si peu de visites… Son statut de veuve inconsolable établi, les hommes cessèrent de tournoyer comme autant de vautours autour de son petit fief… Son suzerain lui-même admit qu’il valait mieux une femme pieuse qu’un féal peu fiable et que la situation de nos terres supportait qu’elles ne soient point gardées… Leur conquête assurément n’aurait rien apporté à un éventuel envahisseur.
C’est ainsi que je grandis, ne manquant ni du nécessaire, ni d’amour, libre… Quantité négligeable, presque invisible, jamais notre seigneur n’eut l’idée de me prendre comme écuyer ni de m’adouber, je ne connus des armes que le strict nécessaire, n’eut de maître d’escrime qu’un vieil homme blasé et douloureux auquel la guerre avait tout pris, et qui ne m’apprenait rien hormis savoir me défendre.
Je vécus de musique, de poésie, de beauté… « aussi beau que ton père » disait-elle couramment… « Mais personne ne doit le savoir » Savoir quoi ? Que le Dormeur était resté sur place, dans la « chambre cachée » et qu’elle l’avait veillé jour après jour, sa peau figeant sa beauté sur son visage désormais ridé ? Qu’elle y descendait chaque nuit et le bordait d’une couverture de fourrure l’hiver et d’un fin voile l’été ? Qu’elle lui parlait comme s’il pouvait l’entendre ?
Certes mon reflet les années passant me renvoyait son visage, à lui… De ma mère ardente et sombre, aux cheveux noirs puis gris puis blancs… à la peau laiteuse et aux yeux de biche langoureuse d’un brun profond je n’ai rien. C’est de lui, l’Endormi, le Dormeur, l’amoureux éternel que je tiens ma chevelure blonde si pâle et mes yeux couleur d’azur profond. C’est de lui que je tiens ces pommettes hautes et saillantes, ce menton volontaire, ses dents si blanches… et si… Ce front haut, ces sourcils arqués comme interrogateurs… Même ses mains, fines et blanches, sa haute stature, ses épaules larges sur un corps mince, musclé, bien proportionnés m’ont été alloués en partage…
Que puis-je dire d’autre ? Je ne lui ai jamais parlé… Ai-je aussi son caractère ? Nos aspirations, nos envies, nos rêves sont-ils semblables ? S’il se réveillait je le saurais.
Ma mère s’en est allée, sans un murmure de désapprobation ou de regret, sans qu’il ait ouvert un oeil pour l’assister dans ses derniers moments. Peut-être étaient-ils convenus qu’il ne la verrait jamais vieillir ? Toujours est-il que je suis désormais le Veilleur. Partout où je vais, j’emporte avec moi mon secret dans une malle d’une taille impressionnante avant de lui reconstituer sa « chambre cachée ». Qui peut savoir que je veille stupidement sur mon géniteur ? Dans l'espoir d'obtenir les réponses qu'Elle ne m'a pas données en quittant ce monde ? Si jeune, alors qu'il lui aurait suffi, à lui, de la mordre une autre fois et de faire d'elle une des nôtres ?
Dans une demeure presque en ruines, perdue au milieu de nulle part, loin de ma Guyenne natale et proche de la capitale de France, quel sera mon avenir à moi ?
Personne ne me voit ni ne s’interroge, je suis une ombre chantante qui donne de la voix aux chœurs liturgiques des églises avoisinantes… Et même cette voix, si elle est belle -chacun s’accorde à le dire- ne fera jamais ma célébrité.
Je ne suis pas un enfant au verbe clair et haut perché, ni un castrat aux roucoulades d’oiseau de paradis… Un simple choriste dont les basses soulignent le merveilleux des chants d’église, et qui se permet quelques montées dans l’aigu, discrètes, pour accompagner les envolées des ténors…
C’est parfait, je ne vise pas la célébrité, être trop connu me causerait plus de problèmes que de plaisir. J’aime à me sentir apprécié et à pratiquer mon art en catimini… Timide et modeste dit-on, les gens d’église aiment ça… Je n’ai que faire de jalousie ou d’inquisition, Veilleur du Dormeur je partage avec lui notre secret que bien des hommes jugeraient inacceptable."
Eidolon Wraith
Vivamus natus est, nec superesse
L'essentiel
Sexe : Masculin
Date et lieu de naissance : 12/12/1489 dans le duché de Guyenne
Âge apparent : 20-22 ans
Race : infant vampire
Groupe : basse-noblesse
Métier / Fonction : Chantre liturgique
Condition sociale : Financièrement "à l'aise"
Feat : Aion, Barde
Date et lieu de naissance : 12/12/1489 dans le duché de Guyenne
Âge apparent : 20-22 ans
Race : infant vampire
Groupe : basse-noblesse
Métier / Fonction : Chantre liturgique
Condition sociale : Financièrement "à l'aise"
Feat : Aion, Barde
Caractère
Garçon assez renfermé qui peut paraître futile dans la mesure où il ne s’épanouit que par la musique et le chant, il est en fait plus doué pour entendre et écouter que pour parler.
Sauvage, parfois renfrogné, il passe pour timide ou insensible selon les interprétations. Il peine à s’intégrer à des groupes déjà constitués et privilégie les relations en « binôme » avec d’autres personnes de préférence aussi peu hardies que lui. Seul au monde, du moins le prétend-il, il vit dans la crainte des autres, tout en souhaitant les connaître mieux et leur être sympathique… Pas aisé à concilier…
Sa voix de baryton basse est appréciée, mais il ne tient pas du tout à devenir célèbre, être propulsé sur le devant de la scène lui apporterait plus d’ennuis que de profit. De ce refus de se mettre en avant, il a acquis la réputation d’être modeste et humble, ce qui le fait grandement apprécier des religieux avec lesquels il traite comme des autres choristes, plus avides de notoriété…
Il est également un excellent harpiste, jouant avec émotion et finesse. Il emmène lors de ses déplacement une lyre qui lui sert à immortaliser les paysages rencontrés et un luth... Refusant, à tort ou à raison, de rester longtemps au même endroit, il voyage beaucoup, proposant ses services à de nombreuses paroisses, même les plus petites. Mais quoi qu'il arrive, il revient très vite dans la grande bâtisse délabrée qu'il a acquise dans la compagne non loin de Paris.
Il aime à se vêtir de couleurs claires et de bleu, est-ce pour "noyer" dans la masse sa chevelure blonde, son teint pâle et ses yeux azurs ?
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Histoire
"On m’a nommé Eidolon Wraith, pourquoi un prénom aussi étrange ? Jamais Elle ne me l’a expliqué… De ma naissance je ne sais que peu de choses, sinon qu’elle eut lieu une nuit, dans un sombre château du duché de Guyenne, naissance illégitime puisqu’elle était veuve depuis bien trop longtemps pour être grosse de son défunt époux… Que lui importait … Mariée enfant à un homme trop vieux, barbon de la basse-noblesse si épris d'elle et de sa jeune prestance qu'il mourut d'amour au cours d'une nuit... agitée ? Mourir d’amour ? N’est-ce pas une fin rêvée par beaucoup ?
La toute jeune veuve fut courtisée, beaucoup, mais refusa chaque proposition… à ce que j’ai compris, après avoir testé les proposants… Ma mère était une grande amoureuse... Peu d'hommes lui résistaient et tous eurent la décence de ne rien colporter de leurs arrangements. Suffisamment riche, jeune et jolie pour attirer un essaim de prétendants, elle les lassa l'un après l'autre et parvint à l’âge de femme avec une réputation sans tâche… Bien sûr, cela impliquait de me tenir caché…
Eut-elle conscience que celui-là, ce mystérieux personnage qui venait la voir à la nuit tombée, disparaissait au lever du soleil et s'abreuvait abondamment à sa gorge avait gagné son cœur et scellé leur union ? Bien sûr... Surtout quand elle accepta de veiller sur son si long sommeil... Je suis né de cette passion. Pourquoi l'a-t-il laissé humaine ? Quel a été le marché entre eux, de cela elle n'a jamais parlé.
C’est ainsi qu’elle accoucha, secondée par une sage-femme muette et sourde qui repartit au matin, et qu’elle me présenta comme le fils d’une jeune sœur souillée par des soudards et morte en couches…
Cela m’a-t-il gêné ? Puis-je dire non ? Nous recevions si peu de visites… Son statut de veuve inconsolable établi, les hommes cessèrent de tournoyer comme autant de vautours autour de son petit fief… Son suzerain lui-même admit qu’il valait mieux une femme pieuse qu’un féal peu fiable et que la situation de nos terres supportait qu’elles ne soient point gardées… Leur conquête assurément n’aurait rien apporté à un éventuel envahisseur.
C’est ainsi que je grandis, ne manquant ni du nécessaire, ni d’amour, libre… Quantité négligeable, presque invisible, jamais notre seigneur n’eut l’idée de me prendre comme écuyer ni de m’adouber, je ne connus des armes que le strict nécessaire, n’eut de maître d’escrime qu’un vieil homme blasé et douloureux auquel la guerre avait tout pris, et qui ne m’apprenait rien hormis savoir me défendre.
Je vécus de musique, de poésie, de beauté… « aussi beau que ton père » disait-elle couramment… « Mais personne ne doit le savoir » Savoir quoi ? Que le Dormeur était resté sur place, dans la « chambre cachée » et qu’elle l’avait veillé jour après jour, sa peau figeant sa beauté sur son visage désormais ridé ? Qu’elle y descendait chaque nuit et le bordait d’une couverture de fourrure l’hiver et d’un fin voile l’été ? Qu’elle lui parlait comme s’il pouvait l’entendre ?
Certes mon reflet les années passant me renvoyait son visage, à lui… De ma mère ardente et sombre, aux cheveux noirs puis gris puis blancs… à la peau laiteuse et aux yeux de biche langoureuse d’un brun profond je n’ai rien. C’est de lui, l’Endormi, le Dormeur, l’amoureux éternel que je tiens ma chevelure blonde si pâle et mes yeux couleur d’azur profond. C’est de lui que je tiens ces pommettes hautes et saillantes, ce menton volontaire, ses dents si blanches… et si… Ce front haut, ces sourcils arqués comme interrogateurs… Même ses mains, fines et blanches, sa haute stature, ses épaules larges sur un corps mince, musclé, bien proportionnés m’ont été alloués en partage…
Que puis-je dire d’autre ? Je ne lui ai jamais parlé… Ai-je aussi son caractère ? Nos aspirations, nos envies, nos rêves sont-ils semblables ? S’il se réveillait je le saurais.
Ma mère s’en est allée, sans un murmure de désapprobation ou de regret, sans qu’il ait ouvert un oeil pour l’assister dans ses derniers moments. Peut-être étaient-ils convenus qu’il ne la verrait jamais vieillir ? Toujours est-il que je suis désormais le Veilleur. Partout où je vais, j’emporte avec moi mon secret dans une malle d’une taille impressionnante avant de lui reconstituer sa « chambre cachée ». Qui peut savoir que je veille stupidement sur mon géniteur ? Dans l'espoir d'obtenir les réponses qu'Elle ne m'a pas données en quittant ce monde ? Si jeune, alors qu'il lui aurait suffi, à lui, de la mordre une autre fois et de faire d'elle une des nôtres ?
Dans une demeure presque en ruines, perdue au milieu de nulle part, loin de ma Guyenne natale et proche de la capitale de France, quel sera mon avenir à moi ?
Personne ne me voit ni ne s’interroge, je suis une ombre chantante qui donne de la voix aux chœurs liturgiques des églises avoisinantes… Et même cette voix, si elle est belle -chacun s’accorde à le dire- ne fera jamais ma célébrité.
Je ne suis pas un enfant au verbe clair et haut perché, ni un castrat aux roucoulades d’oiseau de paradis… Un simple choriste dont les basses soulignent le merveilleux des chants d’église, et qui se permet quelques montées dans l’aigu, discrètes, pour accompagner les envolées des ténors…
C’est parfait, je ne vise pas la célébrité, être trop connu me causerait plus de problèmes que de plaisir. J’aime à me sentir apprécié et à pratiquer mon art en catimini… Timide et modeste dit-on, les gens d’église aiment ça… Je n’ai que faire de jalousie ou d’inquisition, Veilleur du Dormeur je partage avec lui notre secret que bien des hommes jugeraient inacceptable."
Derrière l'écran
Pseudo : Pilate (non je ne trahis personne !)
Âge : ça change tous les ans ! 26 pour l'instant
Comment as-tu trouvé le forum ? topsite
Quelques mots à nous dire ?
Pseudo : Pilate (non je ne trahis personne !)
Âge : ça change tous les ans ! 26 pour l'instant
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Quelques mots à nous dire ?
Mer 17 Mar - 17:36
Je me permets de répéter ce que j'ai déjà dit, mais un vrai plaisir à la lecture.
Très hâte de découvrir l'évolution d'Eidolon. Et bienvenue officiellement.
Très hâte de découvrir l'évolution d'Eidolon. Et bienvenue officiellement.
Mer 17 Mar - 18:04
Bonsoir et bienvenue Eidolon !
C'est une fiche très qualitative que tu as là, j'ai vraiment aimé tes tournures et ton style !
Avant de te valider, j'aurais deux petits points mineurs à voir avec toi :
1 - Si Eidolon est supposé être l'enfant d'une sœur abusée (si j'ai bien compris dans ton histoire ?) pourquoi a-t-il hérité d'un titre de basse-noblesse ? Ne devrait-il pas être du groupe du peuple, de fait ? (ce qui ne l'empêche pas d'avoir des finances cachées et confortables )
2 - Juste une petite interrogation de ma part, mais pourquoi un nom de famille anglais ?
Ces ajustements pris en compte, je te validerais de suite après.
N'hésite surtout pas à me contacter si tu as le moindre souci,
Des bisous sur toi !
C'est une fiche très qualitative que tu as là, j'ai vraiment aimé tes tournures et ton style !
Avant de te valider, j'aurais deux petits points mineurs à voir avec toi :
1 - Si Eidolon est supposé être l'enfant d'une sœur abusée (si j'ai bien compris dans ton histoire ?) pourquoi a-t-il hérité d'un titre de basse-noblesse ? Ne devrait-il pas être du groupe du peuple, de fait ? (ce qui ne l'empêche pas d'avoir des finances cachées et confortables )
2 - Juste une petite interrogation de ma part, mais pourquoi un nom de famille anglais ?
Ces ajustements pris en compte, je te validerais de suite après.
N'hésite surtout pas à me contacter si tu as le moindre souci,
Des bisous sur toi !
Mer 17 Mar - 21:16
Merci à tous, Cher Oeil d'abord il me semble que la Guyenne était anglaise, c'est d'ailleurs pour ça qu'il y est né (après je peux me tromper, c'est une période que je connais mal en fait) et ensuite le nom de famille suit mes persos depuis que je fais du rp. Autant pour moi, la Guyenne est devenue française en 1472, mais sa famille peut être d'origine anglaise, ça ne fait que 17 ans avant sa naissance...
Disons que j'ai des Wraith dans mes rps depuis 10 ans... presque
Pour la soeur, pourquoi ne serait elle pas noble aussi ? il n'y a pas que le mari de sa mère qui l'était, elle -et donc sa soeur- l'était aussi ?
Après, il peut être du peuple moi ça ne me gêne pas, et je pense que lui s'en fiche ^^ Dis moi si je dois modifier
Disons que j'ai des Wraith dans mes rps depuis 10 ans... presque
Pour la soeur, pourquoi ne serait elle pas noble aussi ? il n'y a pas que le mari de sa mère qui l'était, elle -et donc sa soeur- l'était aussi ?
Après, il peut être du peuple moi ça ne me gêne pas, et je pense que lui s'en fiche ^^ Dis moi si je dois modifier
Mer 17 Mar - 21:34
Rebienvenue encore une fois Eidolon.
C'est un bien beau personnage que tu nous présentes, merci d'avoir fait les précisions demandées, j'ai maintenant toutes mes réponses.
Notre premier infant vampire, HOURRA !
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là
Bravo tu es validé.e !
Le grand moment est enfin arrivé
Rebienvenue encore une fois Eidolon.
C'est un bien beau personnage que tu nous présentes, merci d'avoir fait les précisions demandées, j'ai maintenant toutes mes réponses.
Notre premier infant vampire, HOURRA !
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là