Mer 17 Mar - 18:52
Mais il sait être sérieux, le bougre. On ne plaisante plus dès qu’il s’agit de chevalerie. Il a sa vision de cet univers et ne compte pas en déroger. Malgré son jeune âge, il est déjà prêt à mourir pour défendre ses valeurs.
Jean a également l’esprit de compétition, adorant les tournois et la chasse. Et il est plutôt mauvais perdant.
Comme tout individu, il a ses fardeaux qu’il garde pour lui seul. Il se sentirait mal de les infliger à quelqu’un d’autre, alors il ne partage jamais ses problèmes.
Son « don » est d’ailleurs ce qu’il y a de plus dur à cacher, car il s’agit de quelque chose de physique. Le toucher de ses lèvres est mortel. Il n’est pas question d’un long contact, mais bel et bien d’un contact tout simple. Cela marche également sur les plantes et les animaux. Ce pouvoir peut être jugé pratique, cependant Jean n’a jamais eu l’idée de s’en servir. Ce n’est pas son genre et surtout il voit beaucoup trop la chose comme étant une difficulté. Il ne peut embrasser sa famille ou même faire un simple baisemain. Il est coincé, malheureux dans le fond, car il aimerait être comme tout le monde.
Bien qu’aîné de sa famille, Jean savait pertinemment qu’il n’en prendrait pas la succession. Tout d’abord parce qu’il ne s’en sentait pas capable. Et aussi parce qu’il craignait de ne jamais trouver épouse et que la lignée meurt avec lui. Son père a eu beau essayer de le convaincre, Jean refusa obstinément. Compréhensif le chef de famille a donc reporté son choix sur son second fils, François. C’était un garçon honnête qui saurait être le meneur qui convenait à la famille d’Hostun.
Jean se tourna naturellement vers la chevalerie. Il pouvait servir autrui tout en faisant honneur à sa famille. Ce compromis satisfaisait ses parents.
Mais avant tout ceci, il vécut des péripéties importantes comme la découverte de son pouvoir.
Jeune garçon de six ans, il jouait à faire semblant avec ses frères et sœur. Jusqu’au moment où sa sœur de deux ans s’effondra au sol. La panique prit la fratrie. Leur gouvernante vint aussitôt les trouver et lorsqu’elle appela du secours c’était trop tard. Jean, étant le plus âgé, fut interrogé par tout le monde sur ce qu’il s’était passé. Mais lui-même était incapable de l’expliquer.
Puis il y eut ce jour où il jouait avec l’un des Beagle de son père. Un chien de chasse très affectueux avec les enfants. Mais lui aussi fut frappé par la mort entre les bras de Jean. Ce n’était qu’un chien, personne ne s’inquiéta. Personne sauf sa mère. Son instinct lui signala l’étrangeté de la situation, la ressemblance avec la petite fille disparue, ce même geste avant que leurs corps ne lâchent : un baiser de la part de Jean. Comme pour se rassurer, elle fut plus présente auprès de son fils. Malgré la présence de gouvernante et de professeur, la mère veillait.
Vint cette autre fois où le petit garçon prenait une collation après ses leçons du jour. Sa mère assise en face de lui l’observait et voyait bien qu’il n’arrivait rien d’étrange à tout ce qu’il portait à sa bouche. Mangeant des gâteaux couverts de miel, Jean s’en mit partout. Quand il eut fini, la gouvernante lui essuya les doigts et le visage. Malheureusement son chiffon collant au miel, il découvrit son index. Et à peine eut-elle touchée les lèvres du petit que cela recommença. Son visage se déforma de douleur et elle s’écroula comme une poupée de chiffon. Pour la mère de famille, cela ne faisait plus aucun doute. Son aîné était bien la cause de tout ça.
La quatrième victime fut un canari. Parce qu’il valait mieux être sûr avant de mettre la faute sur qui que ce soit. La dame d’Hostun acheta ce petit oiseau jaune vif et demanda à son fils de lui faire un bisou. Jean était mal à l’aise à l’idée, sans doute comprenait-il inconsciemment. Et pourtant il a fini par obéir. Le même drame se produisit. Malheureux, le garçon s’est jeté sur sa mère, le visage blotti contre son ventre. L’effroi qu’elle ressentit se volatilisa lorsqu’elle constata qu’il ne lui arrivait rien. Les tissus de sa robe la protégeait du maléfice. Elle laissa donc son petit pleurer toutes les larmes de son corps contre elle.
À ses sept ans, Jean était en âge d’entrer au service d’un chevalier en tant que page. Sa mère s’y opposa. Trop petit, elle craignait qu’il commette une « bêtise ». Son mari, qui ne savait rien de l’implication de son enfant dans la mort de sa fille et de la gouvernante, crut que sa femme surprotégeait Jean. Il finit par lui céder après moultes disputes. Leur fils devint donc le page de son propre père. C’était contraire à ce qui se faisait habituellement, mais le père ne le ménagea pas pour autant. Jean dut faire le service à table pour apprendre les bonnes manières. Il dut se lever le matin avant son père pour venir l’habiller. Ensuite il apprit à monter à cheval, l’art de la fauconnerie et aussi la vénerie. Évidemment apprendre à se battre avec une épée en bois fut aussi au programme. De très longues heures d’entraînement durant lesquelles le paternel le poussait au-delà de ses limites, lui forgeant une bonne endurance.
Son travail était ponctué des leçons et remontrances de sa mère. Elle faisait tout pour qu’il perde l’habitude d’embrasser. Ça pouvait paraître bête et simple. Mais Jean a grandi dans une famille aimante où les embrassades étaient courante en privé.
Et enfin quand le garçon eut quatorze ans, il devint écuyer. Cette fois-ci, son père ne transigea pas : Jean devait passer les années futures auprès d’un autre chevalier. Des négociations avec le chevalier Aimable de Bayard aboutirent à une acceptation. Jean était heureux de pouvoir quitter le domicile familial, ainsi que le joug de sa mère qui ne put s’empêcher quelques ultimes recommandations le jour de son départ.
Le quotidien de Jean changea drastiquement sans être malheureux. Bien au contraire ! Il apprit grand nombre de choses. Son travail ne changeait pas tellement de celui qu’il occupait avec son père. Il devait toujours suivre le chevalier, l’accompagner au combat, l’équiper en conséquence, s’occuper de son cheval et entretenir son armure. Et durant le temps libre, Jean s’entraînait à la quintaine.
Des années heureuses durant lesquelles il se fit un ami. Un orphelin étrange, mais avec qui il osa partager son secret. Il ne parla pas du poids des morts sur sa conscience, seulement de ce qu’il était capable de faire contre son gré. Heureusement ce garçon garda fermement sa langue. Personne n’en sut rien. Et finalement ses années adolescentes filèrent sans qu’il ne le remarque.
Et enfin le temps de son adoubement arriva. Il avait vingt-et-un ans quand sa famille organisa cette cérémonie publique importante.
La veille, Jean dut jeûner et se purifier avec un bain. Puis il revêtit une tunique blanche pour se rendre à la chapelle et y passer une veillée d’armes en méditations et prières. Il eut tout le loisir de contempler ses armes déposées sur l’autel. Il était impatient.
Le lendemain matin, il se confessa et communia au cours d’une messe solennelle. Puis il revêtit une tunique écarlate, symbole du sang qu’il était prêt à verser pour ses engagements, et on lui mit la cotte de maille. Il put reparaître devant les invités. Son parrain, le chevalier de Bayard, lui passa le baudrier tandis que des aides fixèrent des éperons d’argent à ses talons signe du guerrier à cheval. Ensuite on lui remit son bouclier sur lequel étaient peintes ses armoiries : rouge à la croix engrelée d’or. Pour terminer, il reçut son heaume et sa lance. Ainsi vêtu, il s’agenouilla devant son parrain qui lui asséna une tape du plat de la main sur la nuque. Il venait d’être accepté dans la chevalerie.
Heureux comme jamais, Jean arborait ce sourire tout puissant. Et on put entamer les réjouissances à proprement parlé. Jean était à l’honneur aux jeux d’adresse. Il devait montrait ses talents de cavalier et de combattant, notamment à la quintaine. Puis un grand repas fut offert à tous les invités.
Désormais le jeune homme devait choisir sa voie. Il pouvait offrir son épée à un seigneur en échange de sa protection ou bien intégrer l’armée française. À vrai dire il fut incapable de se décider. Jean pensait voyager un peu pour découvrir ce dont il avait envie. De la même manière qu’un chevalier errant venant secourir quiconque il trouverait sur son chemin.
Jean d’Hostun
Rien n’est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l’homme est secondaire.
Sexe : masculin
Date et lieu de naissance : 14/07/1568 à Hostun (Province du Dauphiné)
Âge : 22 ans
Race : sorcier
Groupe : haute noblesse
Métier : chevalier
Condition sociale : il n’a pas de problème d’argent, mais il n’est pas riche.
Feat : Sylvain Jose Gautier – Fire Emblem: Three Houses
Date et lieu de naissance : 14/07/1568 à Hostun (Province du Dauphiné)
Âge : 22 ans
Race : sorcier
Groupe : haute noblesse
Métier : chevalier
Condition sociale : il n’a pas de problème d’argent, mais il n’est pas riche.
Feat : Sylvain Jose Gautier – Fire Emblem: Three Houses
Caractère
Jean est un bon gars : loyal et téméraire. Il a également le sens de l’honneur et le respect de la veuve et de l’orphelin. Ce sont des valeurs qui lui ont été inculqué depuis sa plus tendre enfance. Généreux, il aide quiconque en a besoin. C’est une bonne poire, pas rancunier pour un sou. L’ami et le partenaire idéal. Il a toujours été chaleureux. Son sourire à l’énergie solaire en tuerait un vampire (si ça existait, hahaha !). Jean aime plaisanter et rire à gorge déployée.Mais il sait être sérieux, le bougre. On ne plaisante plus dès qu’il s’agit de chevalerie. Il a sa vision de cet univers et ne compte pas en déroger. Malgré son jeune âge, il est déjà prêt à mourir pour défendre ses valeurs.
Jean a également l’esprit de compétition, adorant les tournois et la chasse. Et il est plutôt mauvais perdant.
Comme tout individu, il a ses fardeaux qu’il garde pour lui seul. Il se sentirait mal de les infliger à quelqu’un d’autre, alors il ne partage jamais ses problèmes.
Son « don » est d’ailleurs ce qu’il y a de plus dur à cacher, car il s’agit de quelque chose de physique. Le toucher de ses lèvres est mortel. Il n’est pas question d’un long contact, mais bel et bien d’un contact tout simple. Cela marche également sur les plantes et les animaux. Ce pouvoir peut être jugé pratique, cependant Jean n’a jamais eu l’idée de s’en servir. Ce n’est pas son genre et surtout il voit beaucoup trop la chose comme étant une difficulté. Il ne peut embrasser sa famille ou même faire un simple baisemain. Il est coincé, malheureux dans le fond, car il aimerait être comme tout le monde.
Histoire
Bien qu’aîné de sa famille, Jean savait pertinemment qu’il n’en prendrait pas la succession. Tout d’abord parce qu’il ne s’en sentait pas capable. Et aussi parce qu’il craignait de ne jamais trouver épouse et que la lignée meurt avec lui. Son père a eu beau essayer de le convaincre, Jean refusa obstinément. Compréhensif le chef de famille a donc reporté son choix sur son second fils, François. C’était un garçon honnête qui saurait être le meneur qui convenait à la famille d’Hostun.
Jean se tourna naturellement vers la chevalerie. Il pouvait servir autrui tout en faisant honneur à sa famille. Ce compromis satisfaisait ses parents.
Mais avant tout ceci, il vécut des péripéties importantes comme la découverte de son pouvoir.
Jeune garçon de six ans, il jouait à faire semblant avec ses frères et sœur. Jusqu’au moment où sa sœur de deux ans s’effondra au sol. La panique prit la fratrie. Leur gouvernante vint aussitôt les trouver et lorsqu’elle appela du secours c’était trop tard. Jean, étant le plus âgé, fut interrogé par tout le monde sur ce qu’il s’était passé. Mais lui-même était incapable de l’expliquer.
Puis il y eut ce jour où il jouait avec l’un des Beagle de son père. Un chien de chasse très affectueux avec les enfants. Mais lui aussi fut frappé par la mort entre les bras de Jean. Ce n’était qu’un chien, personne ne s’inquiéta. Personne sauf sa mère. Son instinct lui signala l’étrangeté de la situation, la ressemblance avec la petite fille disparue, ce même geste avant que leurs corps ne lâchent : un baiser de la part de Jean. Comme pour se rassurer, elle fut plus présente auprès de son fils. Malgré la présence de gouvernante et de professeur, la mère veillait.
Vint cette autre fois où le petit garçon prenait une collation après ses leçons du jour. Sa mère assise en face de lui l’observait et voyait bien qu’il n’arrivait rien d’étrange à tout ce qu’il portait à sa bouche. Mangeant des gâteaux couverts de miel, Jean s’en mit partout. Quand il eut fini, la gouvernante lui essuya les doigts et le visage. Malheureusement son chiffon collant au miel, il découvrit son index. Et à peine eut-elle touchée les lèvres du petit que cela recommença. Son visage se déforma de douleur et elle s’écroula comme une poupée de chiffon. Pour la mère de famille, cela ne faisait plus aucun doute. Son aîné était bien la cause de tout ça.
La quatrième victime fut un canari. Parce qu’il valait mieux être sûr avant de mettre la faute sur qui que ce soit. La dame d’Hostun acheta ce petit oiseau jaune vif et demanda à son fils de lui faire un bisou. Jean était mal à l’aise à l’idée, sans doute comprenait-il inconsciemment. Et pourtant il a fini par obéir. Le même drame se produisit. Malheureux, le garçon s’est jeté sur sa mère, le visage blotti contre son ventre. L’effroi qu’elle ressentit se volatilisa lorsqu’elle constata qu’il ne lui arrivait rien. Les tissus de sa robe la protégeait du maléfice. Elle laissa donc son petit pleurer toutes les larmes de son corps contre elle.
À ses sept ans, Jean était en âge d’entrer au service d’un chevalier en tant que page. Sa mère s’y opposa. Trop petit, elle craignait qu’il commette une « bêtise ». Son mari, qui ne savait rien de l’implication de son enfant dans la mort de sa fille et de la gouvernante, crut que sa femme surprotégeait Jean. Il finit par lui céder après moultes disputes. Leur fils devint donc le page de son propre père. C’était contraire à ce qui se faisait habituellement, mais le père ne le ménagea pas pour autant. Jean dut faire le service à table pour apprendre les bonnes manières. Il dut se lever le matin avant son père pour venir l’habiller. Ensuite il apprit à monter à cheval, l’art de la fauconnerie et aussi la vénerie. Évidemment apprendre à se battre avec une épée en bois fut aussi au programme. De très longues heures d’entraînement durant lesquelles le paternel le poussait au-delà de ses limites, lui forgeant une bonne endurance.
Son travail était ponctué des leçons et remontrances de sa mère. Elle faisait tout pour qu’il perde l’habitude d’embrasser. Ça pouvait paraître bête et simple. Mais Jean a grandi dans une famille aimante où les embrassades étaient courante en privé.
Et enfin quand le garçon eut quatorze ans, il devint écuyer. Cette fois-ci, son père ne transigea pas : Jean devait passer les années futures auprès d’un autre chevalier. Des négociations avec le chevalier Aimable de Bayard aboutirent à une acceptation. Jean était heureux de pouvoir quitter le domicile familial, ainsi que le joug de sa mère qui ne put s’empêcher quelques ultimes recommandations le jour de son départ.
Le quotidien de Jean changea drastiquement sans être malheureux. Bien au contraire ! Il apprit grand nombre de choses. Son travail ne changeait pas tellement de celui qu’il occupait avec son père. Il devait toujours suivre le chevalier, l’accompagner au combat, l’équiper en conséquence, s’occuper de son cheval et entretenir son armure. Et durant le temps libre, Jean s’entraînait à la quintaine.
Des années heureuses durant lesquelles il se fit un ami. Un orphelin étrange, mais avec qui il osa partager son secret. Il ne parla pas du poids des morts sur sa conscience, seulement de ce qu’il était capable de faire contre son gré. Heureusement ce garçon garda fermement sa langue. Personne n’en sut rien. Et finalement ses années adolescentes filèrent sans qu’il ne le remarque.
Et enfin le temps de son adoubement arriva. Il avait vingt-et-un ans quand sa famille organisa cette cérémonie publique importante.
La veille, Jean dut jeûner et se purifier avec un bain. Puis il revêtit une tunique blanche pour se rendre à la chapelle et y passer une veillée d’armes en méditations et prières. Il eut tout le loisir de contempler ses armes déposées sur l’autel. Il était impatient.
Le lendemain matin, il se confessa et communia au cours d’une messe solennelle. Puis il revêtit une tunique écarlate, symbole du sang qu’il était prêt à verser pour ses engagements, et on lui mit la cotte de maille. Il put reparaître devant les invités. Son parrain, le chevalier de Bayard, lui passa le baudrier tandis que des aides fixèrent des éperons d’argent à ses talons signe du guerrier à cheval. Ensuite on lui remit son bouclier sur lequel étaient peintes ses armoiries : rouge à la croix engrelée d’or. Pour terminer, il reçut son heaume et sa lance. Ainsi vêtu, il s’agenouilla devant son parrain qui lui asséna une tape du plat de la main sur la nuque. Il venait d’être accepté dans la chevalerie.
Heureux comme jamais, Jean arborait ce sourire tout puissant. Et on put entamer les réjouissances à proprement parlé. Jean était à l’honneur aux jeux d’adresse. Il devait montrait ses talents de cavalier et de combattant, notamment à la quintaine. Puis un grand repas fut offert à tous les invités.
Désormais le jeune homme devait choisir sa voie. Il pouvait offrir son épée à un seigneur en échange de sa protection ou bien intégrer l’armée française. À vrai dire il fut incapable de se décider. Jean pensait voyager un peu pour découvrir ce dont il avait envie. De la même manière qu’un chevalier errant venant secourir quiconque il trouverait sur son chemin.
Derrière l'écran
Pseudo : Thi
Âge : 31
Comment as-tu trouvé le forum ? QC (pour quadruple)
Quelques mots à nous dire ? Toujours un plaisir
Pseudo : Thi
Âge : 31
Comment as-tu trouvé le forum ? QC (pour quadruple)
Quelques mots à nous dire ? Toujours un plaisir
Mer 17 Mar - 19:21
J'ai pas les mots pour dire toute sa douceur et la tragédie qui l'entoure pourtant. Un joli petit roux téméraire, de quoi ravir tous les cœurs... Et en briser un paquet aussi...
C'est terrible j'ai l'impression de l'avoir vu grandir. Mon bébé va sauver la Chine.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là
Bravo tu es validé.e !
Le grand moment est enfin arrivé
J'ai pas les mots pour dire toute sa douceur et la tragédie qui l'entoure pourtant. Un joli petit roux téméraire, de quoi ravir tous les cœurs... Et en briser un paquet aussi...
C'est terrible j'ai l'impression de l'avoir vu grandir. Mon bébé va sauver la Chine.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là