Ven 8 Jan - 12:48
Celles qui sonnent.
Ordonné - Droit - Très adaptable dans l'intimité - Facile à vivre au quotidien - A plusieurs petites habitudes - A horreur des conflits et de se sentir mal-aimé (ce dont il souffre facilement) - Adapte ses émotions - Ne dit jamais non à un compromis (même s'il a une tendance à l'égoïsme) - A un besoin vital d'harmonie relationnelle (même s'il a du mal à le mettre en place) - grande difficulté à supporter la solitude (même s'il se l'inflige) - aime voir du monde (même s'il prétend le contraire) - Vie de couple harmonieuse nécessaire - Très grand sens de l'empathie - Energique - A besoin de spontaneité - Rien de pire que l'immobilisme - Se lasse vite et à besoin de changements et de se dépasser (même s'il tâche de s'enterrer présentement, ce qui ne fait que le tuer davantage) - Mature - Fiable - Affectivité contrôlée - Séduit en étant sécurisant et digne de confiance - Peu démonstratif affectivement - Ne se lance pas dans des déclaration sans être sûr de lui - Aime les belles choses anciennes - Parle peu – Quand il le fait c’est assez froid et autoritaire – Très septique (mais un pe ucroyant quand même) – Très réfléchi – Ne dit rien sans avoir beaucoup étudié le sujet – N’aime pas les paroles superficielles - Préfère ne pas parler pour ne rien dire - et il y a encore tellement à dire.
De Mezariel Denovan Elison Emmanuel de Saint-Louis ne subsiste qu’une ombre ; mais une ombre dont les prémices sont nécessaires pour comprendre son échouage.
• Sa naissance, chaotique, manqua d’être escorté de sa mort par la même occasion. Né des amours d’une humaine bohémienne et d’un lycan de sang-pur pas encore tout à fait alpha de sa meute, le véritable chef en eut plus qu’assez des caprices de son fils et entama un plan visant à dévorer la bohémienne et le bébé par la même occasion s’il le fallait. Fort heureusement, Denovan, son père, arriva juste à temps pour le sauver lui, aider de Nao, sa fidèle servante mordue. Mais il était déjà trop tard pour la mère de Mezariel qui n’eut pas la chance de vivre assez longtemps pour voir son enfant grandir.
• Jamais réellement accepté par sa meute de sang-pur aux domestiques mordus, Mezariel était cible de brimades, de rejets quasi-constants. Lui, l’infant, était vu comme la honte du clan. Pire encore, il était le fils de l’alpha en devenir. C’était inacceptable. Aliénor, la fidèle servante de son grand-père tenta même de lui ôter la vie à plusieurs reprises et fut gênée à chaque fois. Heureusement, son père et Nao étaient ses précieux alliés.
• Mezariel grandit dans une ambiance toxique, si bien que son père est bientôt forcé de l’envoyer vivre chez sa tante, une louve qui l’aimait comme un fils. La pauvre femme ayant elle aussi donné naissance à un infant n’eut cependant pas l’occasion de voir sa fille ou son mari vivre normalement puisqu’ils furent tués par la meute. Le lien d’attachement de la meute fut bien la seule raison qui motiva Juliette à rester en contact avec les siens. Elle accueillit Mezariel comme son propre fils, ce qui rassura bien du monde pendant quelques années.
• Vint pourtant un moment où Mezariel dû prendre ses responsabilités. Son père n’avait guère l’intention de le laisser hors du clan et il le nomma pour le remplacer à son rôle de Marquis à la cour de France du Roi Charles alors que Mezariel avait tout juste vingt ans. Repartir vers Paris ne l’enchanta guère au départ mais il n’eut d’autres choix que de l’accepter.
• A sa grande surprise, Paris su se faire apprécier du jeune homme. Séducteur, il ne se privait pas de passer du bon temps avec de nobles dames à qui il se donnait sans réserve pour le simple plaisir de le faire le temps d’une ou plusieurs nuits. Il y fit également ses plus belles rencontres, notamment sa meilleure amie, Lizbeth, une infant tout comme lui. A la différence qu’elle était à moitié vampire, elle. Mais à cette époque, ce n’était pas encore une pomme de discorde et les deux jeunes gens s’entendaient à merveille. Jamais Mezariel n’avait pris tant de risques à multiples reprises pour protéger quelqu’un. Mais il ne l’a jamais regretté. Sauf peut-être pour une autre femme en particulier.
• Allister a été la première personne dont il est sincèrement, entièrement tombé amoureux. Sous le charme de la bohémienne, il s’était dit que le destin avait une façon bien cruelle d’organiser les choses. Et pourtant, la beauté de la danoise parvinrent à faire céder ses appréhensions, ses doutes. Ils protégeraient leur secret ; d’autant plus qu’Allister étant à l’époque dans la Milice du Roi, elle aurait dû pourfendre Mezariel. Heureusement, cette partie-ci fini avec un tendre dénouement. De cette union tenue secrète – Mezariel s’étant marié à Lizbeth afin de l’aider à dissimuler un terrible secret – naquit un bébé en parfaite santé, une fille. Juliette.
• Durant son séjour au château de Paris, Mezariel fit également la connaissance de Lazare, un jardinier infant lycan, comme lui. Et pour cause, ils étaient frères de sang. Ce secret jeta un froid entre Mezariel et leur père de longs mois durant, le jeune homme ne comprenant pas pourquoi on lui avait caché cela si longtemps. Même Nao savait. Il se sentit trahi comme jamais il ne l’avait été. Et lorsque son père, en toute franchise, lui avoua l’avoir gardé lui plutôt que son frère du fait de sa difformité à l’œil, Mezariel ne s’en sentit que plus désabusé encore.
• Peu de temps après la naissance de sa fille ; Mezariel tua sans le vouloir son grand-père en tâchant de se défendre de ce dernier. Le vieux lycan tenta de se jeter sur lui mais par chance – ou malchance -, Mezariel avait son épée dans la main. La lame se planta dans le poitrail de l’aîné aussi sèchement que s’il avait été question d’un tronc d’arbre tendre. Ce fut à cet instant précis que la meute ressentie une désunion sans nom. Peu importe combien Castiel avait été une personne au comportement ordurier, c’était lui qui avait conçu la meute. Elle ne pouvait subsister sans lui dans les faits. Pas ainsi. L’ironie du sort fut sans doute que même Mezariel pleura toutes les larmes de son corps un individu qui n’avait eu de cesse de vouloir l’abattre.
• Il traversa une bonne partie de la guerre, comme tout le monde. Et sa meute subit des pertes. Son père avait insisté pour qu’il prenne le rôle d’alpha mais il n’avait à l’époque pas les épaules pour cela. En plus, la Duchesse de Septimanie, ancien territoire où se situaient ses propres terres familiales, l’avait désigné comme successeur de son titre puisqu’elle avait disparu sans laisser d’héritier de sang. Et Mezariel ne sut pas gérer toutes ces nouveautés en même temps. Pourtant, il essaya. Il n’eut que les ailes brûlées.
• Allister mourut et avec elle le cœur de l’infant. Heureusement il restait leur fille, qu’il sacra comme Duchesse également lorsque cela fut possible. Mais puisqu’elle n’avait pas assez de sang de loups dans les veines, Juliette vieillissait comme un humain. Elle n’eut jamais d’enfant et s’éteignit dans sa demeure, en 1585. Cela faisait déjà des années que Mezariel avait été obligé de se faire passer pour son petit-fils pour ne pas attirer les soupçons de qui que ce soit. La douleur n’aurait pu être plus grande.
• Voici cinq ans, donc, qu’il s’est retiré de toute part. Il a abandonné son titre à la faveur de son père qui parvint à survivre à la guerre et a fait la chose la moins digne du monde : fuir. La meute ayant été plus qu’ébranlée et sans réelle structure depuis la mort de son grand-père, même si la douleur fut terrible et l’est encore de temps à autre, Mezariel parvint à passer outre. Mais il sait que ce ne sera pas éternellement le cas. Pour l’heure, il dit s’appeler Emmanuel et vit une existence plus que modeste à la Cathédrale de Notre-Dame où il est devenu sonneur de cloches. Il veut juste s’oublier. Pour oublier.
Emmanuel
Cold heart
Sexe : Masculin.
Date & lieu de naissance : Dans une calèche sur la place de Notre-Dame, le 25 Décembre 1499.
Âge : Il a donc 91 ans actuellement.
Âge apparent : Pour les immortels
Race : Infant (1er degré)
Groupe : Peuple.
Métier / fonction : Peuple. Autrefois de la Haute-Noblesse (Marquis de Château l'Arc, devenu Duc de Septimanie par lègue de l'Ancienne Duchesse des terres.), il a abandonné ses droits. Qui sait s'il y reviendra un jour.
Condition sociale : Très modeste - même s'il a encore accès à la fortune familiale il tâche de ne pas en dépendre.
Feat :
Date & lieu de naissance : Dans une calèche sur la place de Notre-Dame, le 25 Décembre 1499.
Âge : Il a donc 91 ans actuellement.
Âge apparent : Pour les immortels
Race : Infant (1er degré)
Groupe : Peuple.
Métier / fonction : Peuple. Autrefois de la Haute-Noblesse (Marquis de Château l'Arc, devenu Duc de Septimanie par lègue de l'Ancienne Duchesse des terres.), il a abandonné ses droits. Qui sait s'il y reviendra un jour.
Condition sociale : Très modeste - même s'il a encore accès à la fortune familiale il tâche de ne pas en dépendre.
Feat :
Caractère
Celles qui sonnent.
Ordonné - Droit - Très adaptable dans l'intimité - Facile à vivre au quotidien - A plusieurs petites habitudes - A horreur des conflits et de se sentir mal-aimé (ce dont il souffre facilement) - Adapte ses émotions - Ne dit jamais non à un compromis (même s'il a une tendance à l'égoïsme) - A un besoin vital d'harmonie relationnelle (même s'il a du mal à le mettre en place) - grande difficulté à supporter la solitude (même s'il se l'inflige) - aime voir du monde (même s'il prétend le contraire) - Vie de couple harmonieuse nécessaire - Très grand sens de l'empathie - Energique - A besoin de spontaneité - Rien de pire que l'immobilisme - Se lasse vite et à besoin de changements et de se dépasser (même s'il tâche de s'enterrer présentement, ce qui ne fait que le tuer davantage) - Mature - Fiable - Affectivité contrôlée - Séduit en étant sécurisant et digne de confiance - Peu démonstratif affectivement - Ne se lance pas dans des déclaration sans être sûr de lui - Aime les belles choses anciennes - Parle peu – Quand il le fait c’est assez froid et autoritaire – Très septique (mais un pe ucroyant quand même) – Très réfléchi – Ne dit rien sans avoir beaucoup étudié le sujet – N’aime pas les paroles superficielles - Préfère ne pas parler pour ne rien dire - et il y a encore tellement à dire.
Histoire
De Mezariel Denovan Elison Emmanuel de Saint-Louis ne subsiste qu’une ombre ; mais une ombre dont les prémices sont nécessaires pour comprendre son échouage.
• Sa naissance, chaotique, manqua d’être escorté de sa mort par la même occasion. Né des amours d’une humaine bohémienne et d’un lycan de sang-pur pas encore tout à fait alpha de sa meute, le véritable chef en eut plus qu’assez des caprices de son fils et entama un plan visant à dévorer la bohémienne et le bébé par la même occasion s’il le fallait. Fort heureusement, Denovan, son père, arriva juste à temps pour le sauver lui, aider de Nao, sa fidèle servante mordue. Mais il était déjà trop tard pour la mère de Mezariel qui n’eut pas la chance de vivre assez longtemps pour voir son enfant grandir.
• Jamais réellement accepté par sa meute de sang-pur aux domestiques mordus, Mezariel était cible de brimades, de rejets quasi-constants. Lui, l’infant, était vu comme la honte du clan. Pire encore, il était le fils de l’alpha en devenir. C’était inacceptable. Aliénor, la fidèle servante de son grand-père tenta même de lui ôter la vie à plusieurs reprises et fut gênée à chaque fois. Heureusement, son père et Nao étaient ses précieux alliés.
• Mezariel grandit dans une ambiance toxique, si bien que son père est bientôt forcé de l’envoyer vivre chez sa tante, une louve qui l’aimait comme un fils. La pauvre femme ayant elle aussi donné naissance à un infant n’eut cependant pas l’occasion de voir sa fille ou son mari vivre normalement puisqu’ils furent tués par la meute. Le lien d’attachement de la meute fut bien la seule raison qui motiva Juliette à rester en contact avec les siens. Elle accueillit Mezariel comme son propre fils, ce qui rassura bien du monde pendant quelques années.
• Vint pourtant un moment où Mezariel dû prendre ses responsabilités. Son père n’avait guère l’intention de le laisser hors du clan et il le nomma pour le remplacer à son rôle de Marquis à la cour de France du Roi Charles alors que Mezariel avait tout juste vingt ans. Repartir vers Paris ne l’enchanta guère au départ mais il n’eut d’autres choix que de l’accepter.
• A sa grande surprise, Paris su se faire apprécier du jeune homme. Séducteur, il ne se privait pas de passer du bon temps avec de nobles dames à qui il se donnait sans réserve pour le simple plaisir de le faire le temps d’une ou plusieurs nuits. Il y fit également ses plus belles rencontres, notamment sa meilleure amie, Lizbeth, une infant tout comme lui. A la différence qu’elle était à moitié vampire, elle. Mais à cette époque, ce n’était pas encore une pomme de discorde et les deux jeunes gens s’entendaient à merveille. Jamais Mezariel n’avait pris tant de risques à multiples reprises pour protéger quelqu’un. Mais il ne l’a jamais regretté. Sauf peut-être pour une autre femme en particulier.
• Allister a été la première personne dont il est sincèrement, entièrement tombé amoureux. Sous le charme de la bohémienne, il s’était dit que le destin avait une façon bien cruelle d’organiser les choses. Et pourtant, la beauté de la danoise parvinrent à faire céder ses appréhensions, ses doutes. Ils protégeraient leur secret ; d’autant plus qu’Allister étant à l’époque dans la Milice du Roi, elle aurait dû pourfendre Mezariel. Heureusement, cette partie-ci fini avec un tendre dénouement. De cette union tenue secrète – Mezariel s’étant marié à Lizbeth afin de l’aider à dissimuler un terrible secret – naquit un bébé en parfaite santé, une fille. Juliette.
• Durant son séjour au château de Paris, Mezariel fit également la connaissance de Lazare, un jardinier infant lycan, comme lui. Et pour cause, ils étaient frères de sang. Ce secret jeta un froid entre Mezariel et leur père de longs mois durant, le jeune homme ne comprenant pas pourquoi on lui avait caché cela si longtemps. Même Nao savait. Il se sentit trahi comme jamais il ne l’avait été. Et lorsque son père, en toute franchise, lui avoua l’avoir gardé lui plutôt que son frère du fait de sa difformité à l’œil, Mezariel ne s’en sentit que plus désabusé encore.
• Peu de temps après la naissance de sa fille ; Mezariel tua sans le vouloir son grand-père en tâchant de se défendre de ce dernier. Le vieux lycan tenta de se jeter sur lui mais par chance – ou malchance -, Mezariel avait son épée dans la main. La lame se planta dans le poitrail de l’aîné aussi sèchement que s’il avait été question d’un tronc d’arbre tendre. Ce fut à cet instant précis que la meute ressentie une désunion sans nom. Peu importe combien Castiel avait été une personne au comportement ordurier, c’était lui qui avait conçu la meute. Elle ne pouvait subsister sans lui dans les faits. Pas ainsi. L’ironie du sort fut sans doute que même Mezariel pleura toutes les larmes de son corps un individu qui n’avait eu de cesse de vouloir l’abattre.
• Il traversa une bonne partie de la guerre, comme tout le monde. Et sa meute subit des pertes. Son père avait insisté pour qu’il prenne le rôle d’alpha mais il n’avait à l’époque pas les épaules pour cela. En plus, la Duchesse de Septimanie, ancien territoire où se situaient ses propres terres familiales, l’avait désigné comme successeur de son titre puisqu’elle avait disparu sans laisser d’héritier de sang. Et Mezariel ne sut pas gérer toutes ces nouveautés en même temps. Pourtant, il essaya. Il n’eut que les ailes brûlées.
• Allister mourut et avec elle le cœur de l’infant. Heureusement il restait leur fille, qu’il sacra comme Duchesse également lorsque cela fut possible. Mais puisqu’elle n’avait pas assez de sang de loups dans les veines, Juliette vieillissait comme un humain. Elle n’eut jamais d’enfant et s’éteignit dans sa demeure, en 1585. Cela faisait déjà des années que Mezariel avait été obligé de se faire passer pour son petit-fils pour ne pas attirer les soupçons de qui que ce soit. La douleur n’aurait pu être plus grande.
• Voici cinq ans, donc, qu’il s’est retiré de toute part. Il a abandonné son titre à la faveur de son père qui parvint à survivre à la guerre et a fait la chose la moins digne du monde : fuir. La meute ayant été plus qu’ébranlée et sans réelle structure depuis la mort de son grand-père, même si la douleur fut terrible et l’est encore de temps à autre, Mezariel parvint à passer outre. Mais il sait que ce ne sera pas éternellement le cas. Pour l’heure, il dit s’appeler Emmanuel et vit une existence plus que modeste à la Cathédrale de Notre-Dame où il est devenu sonneur de cloches. Il veut juste s’oublier. Pour oublier.
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