Mar 14 Déc - 21:53
Il ne releva même pas « l’erreur » et se concentra sur le fait de poursuivre sur sa lancée. « Désolé… J’aiderai dès que j’aurais raccompagné Dame d’Orléans chez elle. »
Puis il s’éloigna et présenta Misha à la demoiselle. « May, je te présente Misha, un ami très cher à mon cœur… Puis-je le laisser entre de bonnes mains ici ? »
Il se tourna ensuite vers Misha et poursuivi : « Міша, це травень. Вона подруга, якій я сліпо довіряю. Я буду довіряти йому доки я жива, знайте це. Залишайся з нею, поки я не повернуся, я обіцяю, що не затримаюсь. »
*Misha, voici May. C'est une amie en qui j'ai une confiance aveugle. Je lui confierai jusqu’à ma vie, saches-le. Restes avec elle le temps que je revienne, je te promets que je ne serais pas long.
Il hocha la tête vers May et revint vers son cheval, après avoir attaché celui de Misha à une boucle en fer dans le mur, prévue à cet effet. Remontant sur le dos de la bête, il montra le chemin à Diane. « Où souhaitez-vous que je vous raccompagne, Madame ? »
Mar 14 Déc - 21:59
Elle accueillie les informations avec un stoïcisme dont elle ne se pensait pas capable. Sans doute la fatigue jouait beaucoup dans le processus. Toutefois, elle n’était pas décidée à laisser tomber cette pauvre âme. « Bonsoir Dame d’Orléans, aucun problème, ne vous en faites pas ! »
Elle se retint de lancer un regard noir au rouquin, qu’avait-il encore fait, celui-là ?! Impliquer des nobles était un passe-temps, pour lui, il fallait croire ! Mais chaque chose en son temps. « Bien sûr ! »
Son regard bienveillant se posa sur le dénommé Misha. « Enchantée, je m’appelle May ! Viens, suis-moi, je vais te préparer à manger et te donner des vêtements propres ! » Et sans doute un bain chaud ne serait pas de refus.
Aussitôt dit, aussitôt fait, May commençait déjà à chercher un bol dans lequel elle pourrait donner un peu de soupe au jeune homme, ainsi qu’une miche de pain fraîche.
Jeu 16 Déc - 10:01
Temple de rage |
D’un coup d’œil, elle remarqua que Misha atteignait ses limites, tout comme la gélule qu’elle lui avait donné. Fort heureusement, il était sauf ici. May ne lui ferait pas le moindre mal, ce n’était ni dans ses habitudes, ni dans sa réputation. Diane faisait pleinement confiance dans la décision de Céline de l’avoir mené ici, il n’aurait pas pu trouver meilleur cachette pour se replier le temps de retrouver une santé. Néanmoins, la physicienne ne pouvait se résoudre à faire confiance, les yeux fermés, à la vendeuse et à laisser Misha sans se préoccuper de sa santé. Tout naturellement, car il ne faut pas oublier que sa bienveillance extrême la rend très, très têtue, elle fouilla ses poches pour sortir la boîte contenant la dernière gélule. Au passage, elle sentit le tissus de la bourse pleine de pièces…
Les présentations faites, Céline était prêt à tenir sa promesse de ramener la Duchesse. Avant de le suivre pour retourner se hisser sur sa monture, avant que Mademoiselle May n’embarque le lycan pour un bain et des soins, Diane rattrapa la vendeuse par le coude pour l’arrêter et l’interpeler.
- Un petit instant s’il vous plaît, Mademoiselle.
Sans lui laisser le temps de la réflexion, elle lui imposa dans la main la boîte métallique, dans laquelle se trouvait la dernière gélule d’anti-douleurs en sa possession à ce jour. La boîte était elle-même posée sur la bourse, contenant les six cents pièces que Céline lui avait donné.
- Pouvez-vous lui donner ce médicament avant toute chose ? Cela lui permettra de profiter de son repas sans trop souffrir. Elle lui offrit son sourire solaire pour mieux… faire passer la pilule. Merci Mademoiselle May, je vous suis reconnaissante pour votre aide. D’un coup d’œil vers Misha, souffrant visiblement de nouveau, elle lui souhaita un prompt rétablissement. Puissiez-vous retrouver une santé très rapidement. Profitez de votre liberté retrouvée et prenez soin de vous, Misha.
Et sans se retourner pour permettre à la vendeuse de protester en découvrant le contenu de la bourse, pour Misha comme pour elle, la physicienne quitta sa demeure pour rejoindre le rouquin. Il était déjà sur sa monture prêt à galoper dans la nuit. Avec grâce et une certaine lassitude de cette folle soirée, la Duchesse lui répondit :
- Pouvez-vous m’escorter jusqu’aux appartements parisiens de mon frère ?
A cette heure-ci, il serait probablement dans sa chambre, pris dans la lecture d’un ouvrage à la lumière d’une bougie, ou étudiant des documents au sujet de son Duché. Avec un peu de chance, elle pourrait rejoindre sa propre chambre, à pas feutrés, sans que son absence se soit fait remarquer. D’un coup léger des talons, elle intima à sa monture de se mettre en route, accompagnée de celle de Céline.
Les présentations faites, Céline était prêt à tenir sa promesse de ramener la Duchesse. Avant de le suivre pour retourner se hisser sur sa monture, avant que Mademoiselle May n’embarque le lycan pour un bain et des soins, Diane rattrapa la vendeuse par le coude pour l’arrêter et l’interpeler.
- Un petit instant s’il vous plaît, Mademoiselle.
Sans lui laisser le temps de la réflexion, elle lui imposa dans la main la boîte métallique, dans laquelle se trouvait la dernière gélule d’anti-douleurs en sa possession à ce jour. La boîte était elle-même posée sur la bourse, contenant les six cents pièces que Céline lui avait donné.
- Pouvez-vous lui donner ce médicament avant toute chose ? Cela lui permettra de profiter de son repas sans trop souffrir. Elle lui offrit son sourire solaire pour mieux… faire passer la pilule. Merci Mademoiselle May, je vous suis reconnaissante pour votre aide. D’un coup d’œil vers Misha, souffrant visiblement de nouveau, elle lui souhaita un prompt rétablissement. Puissiez-vous retrouver une santé très rapidement. Profitez de votre liberté retrouvée et prenez soin de vous, Misha.
Et sans se retourner pour permettre à la vendeuse de protester en découvrant le contenu de la bourse, pour Misha comme pour elle, la physicienne quitta sa demeure pour rejoindre le rouquin. Il était déjà sur sa monture prêt à galoper dans la nuit. Avec grâce et une certaine lassitude de cette folle soirée, la Duchesse lui répondit :
- Pouvez-vous m’escorter jusqu’aux appartements parisiens de mon frère ?
A cette heure-ci, il serait probablement dans sa chambre, pris dans la lecture d’un ouvrage à la lumière d’une bougie, ou étudiant des documents au sujet de son Duché. Avec un peu de chance, elle pourrait rejoindre sa propre chambre, à pas feutrés, sans que son absence se soit fait remarquer. D’un coup léger des talons, elle intima à sa monture de se mettre en route, accompagnée de celle de Céline.
Dim 19 Déc - 22:03
Wulf, à moitié caché derrière la haute silouette de Solovey, regardait avec une méfiance non dissimulé la nouvelle jeune femme qui avait ouvert la porte.
Si la tension dans ses épaules sembla se défaire un peu lorsque son ami la présenta comme quelqu'un de confiance, il était clair que le loup restait sur ses gardes, du moins autant qu'il l'était à l'égard de Diane, même si cette dernière l'avait aidé plus tôt.
L'anxiété et la paranoïa s'étaient encrés au plus profond du loup durant sa captivité et même si Solovey lui disait d'avoir confiance, il ne pouvait s'empêchait de chercher la menace des yeux, près à mordre au moindre geste trop brusque.
Un animal sauvage aurait sans doute raisonné d'avantage que lui à cet instant précis mais la fatigue, la douleur et la faim troublaient sa lucidité.
Si la proposition de nourriture et de vêtement plus décent que les loques qu'il portait étaient tentante, il hésita un moment, surtout quand Solovey se déplaça pour monter à nouveau à cheval, le laissant plus exposé aux yeux de tous.
Son instinct lui criait de suivre son ami mais il savait qu'il n'était guère en état de le faire. Il avait déjà peiné à arriver jusqu'ici, l'idée de remonter en selle avec ses côtes maintenant douloureuses le bloquait.
Il ne préta pas attention à Diane s'adressant à May l'espace d'un instant, se rapprochant de Solovey déjà à cheval, attirant son attention en tirant un peu sur le tissu de son pantalon.
"Або швидко, або я ламаю себе, щоб побачити в іншому місці.", marmona-t-il en essayant de paraitre ennuyé par son absence plutôt que terrifié à l'idée de se retrouver tout seul.
("Soit rapide ou je me casse voir ailleurs.")
Il n'allait pas fuir naturellement c'était une menace lancer dans le vide. Wulf était angoissé à l'idée de se retrouver seul surtout maintenant.
Il se savait plus brave que ça mais à l'heure actuelle c'était la vérité, la liberté lui faisait peur à présent, sur ce territoire inconnu et sans repère.
Il s'écarta bien vite, se forçant à rentrer pour rejoindre May à l'intérieur avant que son angoisse ne lui intime de partir d'ici en courant pour aller se planquer dans un coin quelque part.
Il se stoppa quelques secondes pour voir Diane monter à cheval et suivre Solovey.
Il n'avait pas vraiment eut le temps de la remercier correctement pour toutes ses bonnes actions ce soir mais il se promit de le faire plus tard quand il sera un peu plus en forme. Il n'était pas du genre ne pas remercier correctement l'aide qu'on lui offrait.
HRP : Je suppose qu'on peut finir là à peu près (ou si vous voulez encore faire un tour ?). En attendant, c'était très chouette de rp avec vous ~
Temple de rage
Celine Bec-De-Corvbin
Diane d'Orléans
Diane d'Orléans
Wulf, à moitié caché derrière la haute silouette de Solovey, regardait avec une méfiance non dissimulé la nouvelle jeune femme qui avait ouvert la porte.
Si la tension dans ses épaules sembla se défaire un peu lorsque son ami la présenta comme quelqu'un de confiance, il était clair que le loup restait sur ses gardes, du moins autant qu'il l'était à l'égard de Diane, même si cette dernière l'avait aidé plus tôt.
L'anxiété et la paranoïa s'étaient encrés au plus profond du loup durant sa captivité et même si Solovey lui disait d'avoir confiance, il ne pouvait s'empêchait de chercher la menace des yeux, près à mordre au moindre geste trop brusque.
Un animal sauvage aurait sans doute raisonné d'avantage que lui à cet instant précis mais la fatigue, la douleur et la faim troublaient sa lucidité.
Si la proposition de nourriture et de vêtement plus décent que les loques qu'il portait étaient tentante, il hésita un moment, surtout quand Solovey se déplaça pour monter à nouveau à cheval, le laissant plus exposé aux yeux de tous.
Son instinct lui criait de suivre son ami mais il savait qu'il n'était guère en état de le faire. Il avait déjà peiné à arriver jusqu'ici, l'idée de remonter en selle avec ses côtes maintenant douloureuses le bloquait.
Il ne préta pas attention à Diane s'adressant à May l'espace d'un instant, se rapprochant de Solovey déjà à cheval, attirant son attention en tirant un peu sur le tissu de son pantalon.
"Або швидко, або я ламаю себе, щоб побачити в іншому місці.", marmona-t-il en essayant de paraitre ennuyé par son absence plutôt que terrifié à l'idée de se retrouver tout seul.
("Soit rapide ou je me casse voir ailleurs.")
Il n'allait pas fuir naturellement c'était une menace lancer dans le vide. Wulf était angoissé à l'idée de se retrouver seul surtout maintenant.
Il se savait plus brave que ça mais à l'heure actuelle c'était la vérité, la liberté lui faisait peur à présent, sur ce territoire inconnu et sans repère.
Il s'écarta bien vite, se forçant à rentrer pour rejoindre May à l'intérieur avant que son angoisse ne lui intime de partir d'ici en courant pour aller se planquer dans un coin quelque part.
Il se stoppa quelques secondes pour voir Diane monter à cheval et suivre Solovey.
Il n'avait pas vraiment eut le temps de la remercier correctement pour toutes ses bonnes actions ce soir mais il se promit de le faire plus tard quand il sera un peu plus en forme. Il n'était pas du genre ne pas remercier correctement l'aide qu'on lui offrait.
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HRP : Je suppose qu'on peut finir là à peu près (ou si vous voulez encore faire un tour ?). En attendant, c'était très chouette de rp avec vous ~
Lun 20 Déc - 20:29
HRP : Merci pour ce rp très cool !
Je conclus donc avec ce post
Conséquences : Wulf, puisque Diane a donné l'argent à May pour toi, tu remportes +600 pièces !
Délicatement, Céline passa une main dans les cheveux de Misha. « Я б повернувся ще до того, як ти про це дізнався. »
*Je serais revenu avant même que tu ne t'en sois rendu compte.
Ceci fait, il escorta rapidement la dame d’Orléans jusque le parvis de l’immeuble où logeait son Duc de frère. Avant de partir, harnachant le cheval de Diane au sien, il eut envie de rajouter. « … Madame, vous êtes une personne d’une rare bonté et croyez-moi, je vis depuis suffisamment longtemps pour savoir en reconnaître une lorsque j’en vois. Je vous souhaite le meilleur et sachez une chose : Vous aurez toujours en moi un allié. Je n’hésiterai pas à me manifester auprès de vous en toute occasion. Je vous dois la vie de mon ami. »
Ces quelques mots déversés, il posa sa main sur son cœur et s’inclina en une révérence gracieuse. Puis, il reprit le chemin vers la boutique de May devant laquelle il laissa les chevaux avant de s’engouffrer à l’intérieur – depuis le temps, il connaissait bien les lieux.
Il retrouva Misha et vint le prendre dans ses bras, encore une fois. C’était si bon de le revoir, de le sentir si proche. C’était un rêve qui devenait réalité. May avait préparé un bol de soupe et des vêtements propres, mignonne qu’elle était. Il lui offrit un sourire sincère et rare avant qu’elle ne s’éclipse vers sa propre chambre.
Il proposera un bon bain chaud à son vieil ami et prit soin de lui jusque tard dans la nuit. « Ти хочеш переспати зі мною сьогодні ввечері? »
*Tu veux dormir avec moi cette nuit ?
Il ne dormait pas souvent ici, mais la deuxième chambre, à l’étage, pourrait servir à ce qu’ils se reposent. La nuit avait été éprouvante, après tout. Il débarrasserait les encombrants dès demain. « До речі, тут ви можете називати мене справжнім ім’ям. »
*Au fait, ici tu peux m’appeler par mon vrai prénom.
Bonne nuit.
HRP : Merci pour ce rp très cool !
Je conclus donc avec ce post
Conséquences : Wulf, puisque Diane a donné l'argent à May pour toi, tu remportes +600 pièces !