Mar 16 Fév - 11:48
Hélène
Arrière petite-fille de Barberousse
Anciennement nommée Layla
27 ans
Célibataire, en recherche d'un parti intéressant
Humaine
Basse noblesse, dame de compagnie au Palais de la Reine
Noble ottomane
Gage de l'alliance maritime avec la France
Layla, rebaptisée en Hélène de Constantinople, n'a jamais voulu être là, dans ce Paris sans mer et sans sable, là où les églises ont des formes carrées et où le soleil a des rayons pâles. Layla songe souvent à son fils, de l'autre côté de la Méditerranée, songe à ses soeurs dans leurs palais courbés, à ses cousins corsaires sur leurs bateaux pirates. Songe, songe et observe, ce pays aux couleurs grises où elle compte bien reprendre la place qui lui est due. À coups de couteaux s’il le faut.
ii. En bref
ii.i. Physique
1m73 — des cheveux bruns et ondulés jusqu'au nombril — elle en prend énormément soin — est venue en France avec sa garde-robe ottomane mais se plie à contre-coeur à la mode française — préfère les corsaires aux corsets — elle garde cependant toujours quelques bijoux méditerranéens sur elle — yeux ambrés — des grains de beauté — le visage allongé — la bouche pulpeuse — les formes voluptueuses cachées sous les kilos de tissu — les formes plus musclées qu'il n'y parait sous l'allure candide — et le sourire mutin — elle a toujours l’air de cacher quelque chose.ii.ii. Caractère
Méticuleuse — observatrice — pour ne pas dire calculatrice — très intuitive — sait très bien quand on lui ment — sait également comment se faire obéir — un tantinet capricieuse — même si son nouveau statut ne lui permet pas — sanguine — mais arrive à se contenir (la plupart du temps) — bienveillante, dans le fond — du mal à marcher sur les autres pour servir ses propres ambitions — il faut bien pourtant — intéressée — et intéressante — excellente conteuse — excellente menteuse également — elle se doit de rester vigilante si elle veut survivre à ce monde étranger.iii. En vrac
Gémeaux, lune en Cancer, ascendant Balance — sait monter à cheval ainsi que manier un sabre et tirer à l'arc — mais se garde bien de le faire savoir — convertie au christianisme mais ne croit pas au Dieu des catholiques — et les méprise en réalité, marquée comme tous les membres de sa famille par les croisades et la prise de Grenade — encore une chose qu'elle préfère ne pas ébruiter — son français n'est pas le meilleur mais elle le comprend mieux que ce qu'elle le laisse entendre — elle maîtrise en réalité l'espagnol, l'arabe et le grec — venue avec deux esclaves, une grecque et une portugaise désormais affranchies et reconverties en domestiques — ainsi que son faucon pèlerin, Khalid — très à l'aise avec l'astronomie et l'arithmétique — c'est elle qui gérait les comptes de sa province et calculait les routes maritimes pour ses frères et cousins — aurait voulu être musicienne ou peintre dans une autre vie — hélas elle n’a pas du tout la fibre artistique — on lui a toujours dit que s'il avait été un homme, elle serait sultan aujourd'hui — dommage, loin de sa contrée natale, Hélène doit se contenter des miettes qu'on lui a jeté — elle n'a cependant aucun regret — elle sait qu'elle aura sa revanche d'une façon ou d'une autre.
iv. Histoire
— Descendante directe d'Hızır Hayrettin Pasha, plus connu en Europe sous le nom de Barberousse, Layla grandit à Constantinople, d'un père gouverneur et officier marin et d'un grand-père régent d'Algers.
— En pleine période de sultanat des femmes et dans le sillon de la Reine pirate Sayyida al-Hurra, ancienne alliée de son arrière-grand-père, Layla a la chance de recevoir une éducation plus que complète, apprenant à lire et à compter ainsi qu'à chasser à cheval ou à dresser un faucon. Favorite de son grand-père, fille prodige, soeur et nièce adorée, ses frères et oncles l'emmèneront volontiers sillonner la Méditerranée à l'assaut des bateaux espagnols, portugais et italiens à détrousser.
— Elle fera partie de la délégation diplomatique de 1581 à la cour de France et fera grande impression au sein des dignitaires français en participant à la partie de chasse et en abattant un cerf sous les yeux du cortège royal.
— Il lui faudra un certain temps avant de consentir à prendre un époux mais elle finira par accepter un mariage avec un gouverneur de Tunis après sa reconquête par l'alliance franco-ottomane contre les espagnols. C'est une union sans amour mais une union fructueuse pour les deux partis. Layla sera en partie responsable des finances de son territoire et s'assurera de sa régence lorsque son mari sera tué en mer avec son père par des corsaires espagnols. Le couple aura trois enfants, mais seul un passera le seuil des 3 ans.
—En 1589, un retournement politique l'oblige à abdiquer son titre et à s'exiler chez un frère officier marin avec qui elle sillonnera le bassin méditerranéen en préparant sa vengeance.
— Alors que la couronne de France annonce vouloir entrer dans une nouvelle ère protectionniste, le sultan ottoman décide d'envoyer un généreux cadeau à la nouvelle Reine dans l'espoir de renouveler l'alliance entre l'Empire ottoman et la France. Parmi les bijoux, animaux exotiques, épices, robes et esclaves qui seront expédiés en Europe avant la fermeture des frontières françaises, il est également décidé d'envoyer une noble rejoindre la Cour en gage d'estime et de bonne foi de l’Empire. Sous pression du nouveau gouverneur de Tunis et pour pacifier la région, le sultan choisit Layla et la contraint à partir en échange de la promesse que son fils sera adopté par son oncle et accédera plus tard au titre de Pacha.
— Déracinée et dépossédée de son nom. Layla se reconvertit en Hélène de Constantinople. Sans titre et sans terres, c'est au Palais de la Reine qu'on l'envoie avec ses plus fidèles suivantes. Peu au fait des moeurs françaises, Hélène ne peut prétendre aux rôles importants parmi les dames de compagnie de Victoire. Cependant, lettrée, bonne comptable et ayant appris plusieurs langues à force de naviguer et de côtoyer des esclaves de différentes nationalités, elle espère un jour s'attirer les faveurs de la Reine en tant que diplomate ou interprète. À moins qu'il ne lui faille aguicher un noble qui lui cédera son titre et sa fortune par les liens sacrés du mariage... Elle garde l'espoir de retourner un jour dans l'Empire même s'il lui faudra attendre des années pour se faire.
— En pleine période de sultanat des femmes et dans le sillon de la Reine pirate Sayyida al-Hurra, ancienne alliée de son arrière-grand-père, Layla a la chance de recevoir une éducation plus que complète, apprenant à lire et à compter ainsi qu'à chasser à cheval ou à dresser un faucon. Favorite de son grand-père, fille prodige, soeur et nièce adorée, ses frères et oncles l'emmèneront volontiers sillonner la Méditerranée à l'assaut des bateaux espagnols, portugais et italiens à détrousser.
— Elle fera partie de la délégation diplomatique de 1581 à la cour de France et fera grande impression au sein des dignitaires français en participant à la partie de chasse et en abattant un cerf sous les yeux du cortège royal.
— Il lui faudra un certain temps avant de consentir à prendre un époux mais elle finira par accepter un mariage avec un gouverneur de Tunis après sa reconquête par l'alliance franco-ottomane contre les espagnols. C'est une union sans amour mais une union fructueuse pour les deux partis. Layla sera en partie responsable des finances de son territoire et s'assurera de sa régence lorsque son mari sera tué en mer avec son père par des corsaires espagnols. Le couple aura trois enfants, mais seul un passera le seuil des 3 ans.
—En 1589, un retournement politique l'oblige à abdiquer son titre et à s'exiler chez un frère officier marin avec qui elle sillonnera le bassin méditerranéen en préparant sa vengeance.
— Alors que la couronne de France annonce vouloir entrer dans une nouvelle ère protectionniste, le sultan ottoman décide d'envoyer un généreux cadeau à la nouvelle Reine dans l'espoir de renouveler l'alliance entre l'Empire ottoman et la France. Parmi les bijoux, animaux exotiques, épices, robes et esclaves qui seront expédiés en Europe avant la fermeture des frontières françaises, il est également décidé d'envoyer une noble rejoindre la Cour en gage d'estime et de bonne foi de l’Empire. Sous pression du nouveau gouverneur de Tunis et pour pacifier la région, le sultan choisit Layla et la contraint à partir en échange de la promesse que son fils sera adopté par son oncle et accédera plus tard au titre de Pacha.
— Déracinée et dépossédée de son nom. Layla se reconvertit en Hélène de Constantinople. Sans titre et sans terres, c'est au Palais de la Reine qu'on l'envoie avec ses plus fidèles suivantes. Peu au fait des moeurs françaises, Hélène ne peut prétendre aux rôles importants parmi les dames de compagnie de Victoire. Cependant, lettrée, bonne comptable et ayant appris plusieurs langues à force de naviguer et de côtoyer des esclaves de différentes nationalités, elle espère un jour s'attirer les faveurs de la Reine en tant que diplomate ou interprète. À moins qu'il ne lui faille aguicher un noble qui lui cédera son titre et sa fortune par les liens sacrés du mariage... Elle garde l'espoir de retourner un jour dans l'Empire même s'il lui faudra attendre des années pour se faire.
v. Hors-Jeu
Mâo, 3ème compte.
Mon feat est Talia al Ghul de DC Comics
Mon feat est Talia al Ghul de DC Comics
C y a l a n a
Mar 16 Fév - 12:23
AUNTIIIIE
Le personnage est définitivement aussi cool que l'idée dont tu m'avais parlé. GRAVE HÂTE DE LIRE TOUT ÇA
Le personnage est définitivement aussi cool que l'idée dont tu m'avais parlé. GRAVE HÂTE DE LIRE TOUT ÇA
Mar 16 Fév - 12:26
Bravo tu es validée !
Le grand moment est enfin arrivé