Jeu 7 Jan - 23:39
La parfaite recette pour concevoir un Noah tout frais :
9 kg d’ambiguïté, 10 kg d’attention, 5 kg de caprice, 4 kg de cynisme, 7 kg de désintéressement complet, 14 kg d’excessivité pure et d’impulsivité pure, 7 kg de mystère, 7 kg de solitude et enfin saupoudrer généreusement d’une sensibilité à la douleur diluée dans cinq fois son volume d’eau.
Note bene : Il ressent la douleur. C’est juste qu’il lui en faut beaucoup pour avoir mal.
Anthony est né dans une famille de paysans. Ils auraient pu être une famille nombreuse si beaucoup d’enfants ne mourraient pas de maladie ou de malnutrition.
Depuis l’âge de six ans, il travaillait avec ses parents. Il ne faisait pas grand chose : nourrir les poules, récolter des légumes. Mais plus le temps passait et plus il pouvait en faire. Le travail et les années lui donnèrent un corps solide. Son père lui apprit à poser des pièges pour attraper des lapins ou des oiseaux. La vie était simple. Heureuse dans une certaine mesure.
À 14 ans, il était l’heure de choisir quelle vie Anthony allait mener. Il n’avait pas beaucoup d’options bien sûr. Et pourtant, un jour, des soldats vinrent au village. Ils disaient être à la recherche de volontaires pour s’engager. Quelle chance ! Devenir soldat, c’est s’assurer une solde régulière. Anthony voyait là une manière d’aider sa famille. Et peut-être pourra-t-il épouser une fille pas trop vilaine, qui sait. C’est pour ça qu’il s’engagea. Il quitta la maison pour rejoindre une caserne où débuta son entraînement. C’était un garçon costaud qui était habitué aux longues journées de travail. Les entraînements ne lui faisaient pas peur. Et il envoyait la moitié de sa solde à ses parents pour les aider. Il leur était redevable.
Cinq ans plus tard, on lui proposa d’occuper un nouveau poste. Mais ça allait être dix fois plus dur pour y parvenir et une fois qu’il aura accepté, il serait impossible de revenir en arrière. On lui promit aussi une augmentation de sa solde. Comment refuser quand on a connu que la pauvreté ?
Ce fut une forme d’emprisonnement. Plus aucun contact avec l’extérieur, encore des entraînements militaires, mais pas que… Après avoir testé sa résistance et son endurance, les gens qui le supervisaient passèrent aux expérimentations. C’est là qu’on s’marre, comme on dit.
Anthony ne savait pas le détail de ce qu’on lui faisait, mais il voyait et ressentait absolument tout. Ce sang qu’on lui volait et qu’on lui remettait dans le corps. Ces morceaux de chair qui venaient remplacer la sienne. Le but : y survivre. Et si, par miracle, après des semaines de souffrance le corps vivait toujours, on en remettait une petite couche. Juste pour peaufiner tout ça. Et c’était reparti pour d’autres semaines interminables de douleur. Crier à l’aide ne servait à rien. Que ce soit les tortionnaires ou un péquenaud qui passait, personne n’entendait.
Quand c’était fini de geindre, même si le corps était encore douloureux, la seconde partie pouvait commencer. La torture. Le but restait le même : survivre. Exposer au feu, à la lumière, à l’obscurité, au verre, au cuir, au fer, à l’argent, au cuivre. Tout était bon pour faire hurler de douleur tel un animal jeté dans un cirque. Les pertes de souvenir étaient monnaie courante, inconscient de ce qui arrivait à son propre corps. Plus un seul moment de tranquillité. Après plusieurs mois à être asservi, à oublier sa propre identité, à se faire laver le cerveau, des entraînements plus militaires reprenaient. Agilité, rapidité, sens aiguisés, il fallait se faire à tous ces changements. La douleur était comme étrangère. Bien que ressentie, elle n’était plus rien après tout ce qui a été traversé. Ce qui restait le plus « extraordinaire » restait cette transformation en bête plus grande qu’un loup, mais aussi enragé qu’un ours fou furieux. En effet si la conscience était présente au début de la transformation, elle pouvait vite glisser vers le sommeil pour laisser la place à cet autre soi avide de sang.
Après des années, il sortit de cet enfer. Enfin pas tout à fait. Son ancien lui était mort durant cet enfermement. C’est pourquoi il s’attribua une nouvelle identité : Noah, né un 22/05. Il était un animal en laisse au service d’un Dieu en qui il n’était même plus sûr de croire. Il était un chasseur de bêtes nocturnes.
Noah
J'aime les monstres et les terreurs enfantines.
Prénom de naissance : Anthony de Brouy, fils de Jean de Brouy et de Marie de Brouy.
Sexe : masculin
Date et lieu de naissance : 22/05/1566 à Brouy
Groupe : peuple
Fonction : arme de guerre
Condition sociale : marginal
Feat : Dabi – Boku no Hero Academia
Sexe : masculin
Date et lieu de naissance : 22/05/1566 à Brouy
Groupe : peuple
Fonction : arme de guerre
Condition sociale : marginal
Feat : Dabi – Boku no Hero Academia
Caractère
La parfaite recette pour concevoir un Noah tout frais :
9 kg d’ambiguïté, 10 kg d’attention, 5 kg de caprice, 4 kg de cynisme, 7 kg de désintéressement complet, 14 kg d’excessivité pure et d’impulsivité pure, 7 kg de mystère, 7 kg de solitude et enfin saupoudrer généreusement d’une sensibilité à la douleur diluée dans cinq fois son volume d’eau.
Note bene : Il ressent la douleur. C’est juste qu’il lui en faut beaucoup pour avoir mal.
Histoire
Anthony est né dans une famille de paysans. Ils auraient pu être une famille nombreuse si beaucoup d’enfants ne mourraient pas de maladie ou de malnutrition.
Depuis l’âge de six ans, il travaillait avec ses parents. Il ne faisait pas grand chose : nourrir les poules, récolter des légumes. Mais plus le temps passait et plus il pouvait en faire. Le travail et les années lui donnèrent un corps solide. Son père lui apprit à poser des pièges pour attraper des lapins ou des oiseaux. La vie était simple. Heureuse dans une certaine mesure.
À 14 ans, il était l’heure de choisir quelle vie Anthony allait mener. Il n’avait pas beaucoup d’options bien sûr. Et pourtant, un jour, des soldats vinrent au village. Ils disaient être à la recherche de volontaires pour s’engager. Quelle chance ! Devenir soldat, c’est s’assurer une solde régulière. Anthony voyait là une manière d’aider sa famille. Et peut-être pourra-t-il épouser une fille pas trop vilaine, qui sait. C’est pour ça qu’il s’engagea. Il quitta la maison pour rejoindre une caserne où débuta son entraînement. C’était un garçon costaud qui était habitué aux longues journées de travail. Les entraînements ne lui faisaient pas peur. Et il envoyait la moitié de sa solde à ses parents pour les aider. Il leur était redevable.
Cinq ans plus tard, on lui proposa d’occuper un nouveau poste. Mais ça allait être dix fois plus dur pour y parvenir et une fois qu’il aura accepté, il serait impossible de revenir en arrière. On lui promit aussi une augmentation de sa solde. Comment refuser quand on a connu que la pauvreté ?
Un entraînement dix fois plus dur, hein ?
Ce fut une forme d’emprisonnement. Plus aucun contact avec l’extérieur, encore des entraînements militaires, mais pas que… Après avoir testé sa résistance et son endurance, les gens qui le supervisaient passèrent aux expérimentations. C’est là qu’on s’marre, comme on dit.
Anthony ne savait pas le détail de ce qu’on lui faisait, mais il voyait et ressentait absolument tout. Ce sang qu’on lui volait et qu’on lui remettait dans le corps. Ces morceaux de chair qui venaient remplacer la sienne. Le but : y survivre. Et si, par miracle, après des semaines de souffrance le corps vivait toujours, on en remettait une petite couche. Juste pour peaufiner tout ça. Et c’était reparti pour d’autres semaines interminables de douleur. Crier à l’aide ne servait à rien. Que ce soit les tortionnaires ou un péquenaud qui passait, personne n’entendait.
Quand c’était fini de geindre, même si le corps était encore douloureux, la seconde partie pouvait commencer. La torture. Le but restait le même : survivre. Exposer au feu, à la lumière, à l’obscurité, au verre, au cuir, au fer, à l’argent, au cuivre. Tout était bon pour faire hurler de douleur tel un animal jeté dans un cirque. Les pertes de souvenir étaient monnaie courante, inconscient de ce qui arrivait à son propre corps. Plus un seul moment de tranquillité. Après plusieurs mois à être asservi, à oublier sa propre identité, à se faire laver le cerveau, des entraînements plus militaires reprenaient. Agilité, rapidité, sens aiguisés, il fallait se faire à tous ces changements. La douleur était comme étrangère. Bien que ressentie, elle n’était plus rien après tout ce qui a été traversé. Ce qui restait le plus « extraordinaire » restait cette transformation en bête plus grande qu’un loup, mais aussi enragé qu’un ours fou furieux. En effet si la conscience était présente au début de la transformation, elle pouvait vite glisser vers le sommeil pour laisser la place à cet autre soi avide de sang.
Après des années, il sortit de cet enfer. Enfin pas tout à fait. Son ancien lui était mort durant cet enfermement. C’est pourquoi il s’attribua une nouvelle identité : Noah, né un 22/05. Il était un animal en laisse au service d’un Dieu en qui il n’était même plus sûr de croire. Il était un chasseur de bêtes nocturnes.
Derrière l'écran
Pseudo : Thi
Âge : 31
Comment as-tu trouvé le forum ? DC
Quelques mots à nous dire ? Si je reviens, c’est que j’aime l’endroit.
Pseudo : Thi
Âge : 31
Comment as-tu trouvé le forum ? DC
Quelques mots à nous dire ? Si je reviens, c’est que j’aime l’endroit.
Jeu 7 Jan - 23:44
Je ne suis officiellement plus la seule personne suffisamment sauvage pour créer un DC day one. :issou:
Je l'aime d'amour ce petit.
Je l'aime d'amour ce petit.
Ven 8 Jan - 11:02
Bravo tu es validé !
Le grand moment est enfin arrivé