Dim 24 Oct - 20:35
S’il y a bien une chose qu’Ambrose déteste le plus, c’est l’injustice. Il estime en avoir souffert lorsque la couronne a atterri sur le crâne de sa cousine. Les rênes de la France lui étaient destinées, il a grandi avec cette idée à l’esprit et la volonté d’être un souverain digne de cette grande nation. Quelle ne fut pas sa déception lorsqu’il découvrit ce qu’il prit comme une trahison de son grand-père. Cette lettre authentifiée, dernier témoignage de sa volonté, avait à elle seule nourrit sa rancœur envers Victoire et ses enfants. Il ne les voyait déjà pas d’un bon œil de part leur sang en partie germanique, mais c’était le coup de grâce, rompant définitivement toute sympathie ou lien familial avec sa cousine et ses rejetons.
Ambrose est un homme rancunier et il vaut mieux ne pas le trahir, sous peine qu’il vous tourne le dos définitivement. Néanmoins, il s’exprime très rarement et enferme généralement ses sentiments et ressentiments dans un mutisme assez déroutant. Il n’estime avoir personne pour exprimer clairement ses pensées, si ce n’est son ami et confident, rare personne méritant son opinion sans filtre : Alaric de Normandie. Il accorde très peu sa confiance, faisant de lui quelqu’un de distant et peu enclin aux conversations, ni même aux mondanités attendues en raison de son rang. Il n’aime pas la vie de cour et préfère généralement la fuir. Son excuse étant toute trouvée : depuis le couronnement de sa cousine, il n’a pas désiré montrer son visage au moindre événement d’importance, préférant sa solitude en Auvergne.
Ainsi, la romance et les mariages sont un concepts assez lointains pour lui et il a plutôt eu tendance à repousser les dames intéressées par sa personne plutôt que de les encourager. Néanmoins, il ne désire pas finir ses jours seuls et ne dirait pas non à un mariage heureux. Il sait fort bien que dans ce monde, des héritiers sont attendus pour étendre son pouvoir. Et une alliance bien choisie ne pourrait que renforcer sa popularité auprès de ceux penchant en sa faveur pour reprendre les rênes de la France. Car il le sait, sa cousine n’est pas à la hauteur. Quant à lui, il a grandit dans le but de servir la France en tant que roi. C’est son rôle et son rêve. Il n’a d’yeux que pour cette destinée, injustement volée par une incompétente qui ne cesse de se ridiculiser, alors qu’un homme ayant les épaules pour supporter le poids de la couronne rumine sur ses terres.
Sa rancœur est une source d’énergie infinie, néanmoins le Prince de France n’est pas un homme impulsif et cédant facilement aux coups de colère. Il préfère nettement agir lentement, mais parfaitement, dans l’ombre et arriver là où on ne l’attend pas. Que Victoire de France se méfie, une alliance entourant son beau palais royal pourrait bien la destituer si elle n’agit pas rapidement pour se protéger, elle et la France.
Il était une fois, l’histoire d’un Prince de France heureux et béni, dont on brisa l’enfance et les rêves à l’aide d’une simple lettre.
Fils aîné d’Anne de France et de Guillaume d’Auvergne, Ambrose débutait sa vie sur Terre dans les meilleures conditions pour apprendre à devenir un bon souverain. Et toute sa vie cette idée l’obséda, rythma ses journées, ses entraînements et ses apprentissages. Ses parents lui donnèrent toutes les cartes pour qu’il puisse être un homme intelligent, réfléchi et efficace. Il apprit l’art de la guerre, tant sur le papier, les cartes et les formules, que sur le terrain, armé d’une épée. Plus jeune, il s’était longuement entraîné avec celui qui, aujourd’hui, est son unique ami et confident : le Duc de Normandie. Néanmoins, la figure qui le marqua le plus fut celle son grand-père Charles de France. Lorsque ce dernier s’éteignit, il était âgé de dix ans et vécut sans doute le plus grand drame de sa vie. Le chagrin fut terrible et seule la volonté d’accomplir sa destinée dans les pas de son grand-père lui permit de dépasser le deuil.
La couronne passa d’un grand roi à un autre, son oncle, le père de Victoire. Autrefois, les cousins s’entendaient bien et passaient de bons moments. Jusqu’au jour où sa destinée la mena au-delà des frontières, au Saint-Empire Roman Germanique. Au début, ils mirent tout en œuvre pour entretenir un semblant de lien familial, mais les missives devinrent de plus en plus courtes, de plus en plus rares. Ambrose, qui ne jurait que par la France, se fit très vite un avis négatif sur sa cousine, qu’il estimait passée dans le camp ennemi. Et la naissance de ses deux enfants, n’en parlons pas. Il n’avait aucun désir de s’intéresser à eux et fuyait dès que possible le sujet.
Lorsqu’il fut en âge d’être marié, il était tout bonnement hors de question qu’il épouse, à l’image de sa cousine, une étrangère afin d’assurer de bonnes relations à la France lorsqu’il deviendrait roi. Cela donna lieu à de multiples disputes avec ses proches, mais il n’en démordait pas. Contrairement à Victoire, il ne ferait pas honte à la France et ne se dévouerait qu’à elle. Ainsi, trouver un parti qui avait un minimum grâce aux yeux du Prince de France s’avéra être une tâche complexe. D’autant qu’il ne mettait rien en œuvre pour encourager la moindre union. Ambrose avait le don de décourager ses prétendantes et d’agacer leur père.
Il trouva un peu de refuge à toutes ces questions de société, qui ne l’intéressaient pas même un peu, dans les entraînements à l’art de la guerre. Et avec une épée entre les mains, il s’avérait doué. Ce passe-temps commun avec le Duc de Normandie et l’amitié profonde derrière lui laissaient croire qu’il trouverait en lui un grand soutien, une fois sa tête couronnée. Ainsi, quand bien même tous les détails de sa vie étaient loin d’être parfait, il avançait la tête haute et confiant vers son avenir.
La grande épidémie de peste ravagea la France, ébranlant son avenir, fauchant ses parents, la famille royale et même nombre de ses prétendantes. C’était une véritable hécatombe autour de lui et il en vint même à penser qu’il était maudit. Il n’avait jamais songé ainsi prendre la tête de la France, mais fort heureusement, il savait qu'il pourrait compter sur le soutien de son frère, à qui il comptait céder le Duché d'Auvergne. Car le roi était mort, vive le nouveau roi…
Mais le deuil qui l’accablait n’était pas suffisant. On retrouva une lettre manuscrite, de la main de l’ancien roi Charles de France, exprimant son désir de faire de sa petite fille Victoire la reine de France. Cette traîtresse, partie enfanter au-delà des frontières françaises, plutôt que le dernier héritier mâle et en bonne santé… C’en était trop. Outre le chagrin, la colère était là, piquante, bien vivante. Cette femme qu’il avait haït au fil du temps avait brisé ce pour quoi il avait grandit : son rêve de devenir roi. Jamais il ne pourrait fouler les pas de son modèle, son grand-père. Jamais il ne pourrait diriger la France en espérant le rendre fier, là où il se trouvait.
A défaut de devenir roi, il devint Duc d’Auvergne, étant l'aîné et donc l'héritier, bien qu'il avait songé donner ce titre à son frère, pour qu'il ne soit pas en reste à son couronnement. Après le retour à Paris de la souveraine de France, il ne désira plus se rendre à la cour, ignora les invitations, mais également les reproches. Il n’avait pas envie de poser ses yeux sur cette femme décevante, incapable, mettant tout en œuvre pour être la honte de la France, entourée de ses deux rejetons étrangers. Avec tout le respect qu’il avait pour son grand-père, il ne comprendrait jamais sa décision. Ainsi, Ambrose n’abandonna pas l’espoir de devenir le roi et qu’un souverain digne de ce nom se trouve de nouveau sur le trône de France.
Ambrose de France
Prince de France
Sexe : Masculin
Date & lieu de naissance : 10 avril 1564 à Paris
Âge : 26 ans
Race : Humain
Groupe : Haute noblesse
Métier / fonction : Duc d’Auvergne et Prince de France
Condition sociale : Très aisée
Feat : Dorian Havilliard (Throne of glass)
Date & lieu de naissance : 10 avril 1564 à Paris
Âge : 26 ans
Race : Humain
Groupe : Haute noblesse
Métier / fonction : Duc d’Auvergne et Prince de France
Condition sociale : Très aisée
Feat : Dorian Havilliard (Throne of glass)
Caractère
S’il y a bien une chose qu’Ambrose déteste le plus, c’est l’injustice. Il estime en avoir souffert lorsque la couronne a atterri sur le crâne de sa cousine. Les rênes de la France lui étaient destinées, il a grandi avec cette idée à l’esprit et la volonté d’être un souverain digne de cette grande nation. Quelle ne fut pas sa déception lorsqu’il découvrit ce qu’il prit comme une trahison de son grand-père. Cette lettre authentifiée, dernier témoignage de sa volonté, avait à elle seule nourrit sa rancœur envers Victoire et ses enfants. Il ne les voyait déjà pas d’un bon œil de part leur sang en partie germanique, mais c’était le coup de grâce, rompant définitivement toute sympathie ou lien familial avec sa cousine et ses rejetons.
Ambrose est un homme rancunier et il vaut mieux ne pas le trahir, sous peine qu’il vous tourne le dos définitivement. Néanmoins, il s’exprime très rarement et enferme généralement ses sentiments et ressentiments dans un mutisme assez déroutant. Il n’estime avoir personne pour exprimer clairement ses pensées, si ce n’est son ami et confident, rare personne méritant son opinion sans filtre : Alaric de Normandie. Il accorde très peu sa confiance, faisant de lui quelqu’un de distant et peu enclin aux conversations, ni même aux mondanités attendues en raison de son rang. Il n’aime pas la vie de cour et préfère généralement la fuir. Son excuse étant toute trouvée : depuis le couronnement de sa cousine, il n’a pas désiré montrer son visage au moindre événement d’importance, préférant sa solitude en Auvergne.
Ainsi, la romance et les mariages sont un concepts assez lointains pour lui et il a plutôt eu tendance à repousser les dames intéressées par sa personne plutôt que de les encourager. Néanmoins, il ne désire pas finir ses jours seuls et ne dirait pas non à un mariage heureux. Il sait fort bien que dans ce monde, des héritiers sont attendus pour étendre son pouvoir. Et une alliance bien choisie ne pourrait que renforcer sa popularité auprès de ceux penchant en sa faveur pour reprendre les rênes de la France. Car il le sait, sa cousine n’est pas à la hauteur. Quant à lui, il a grandit dans le but de servir la France en tant que roi. C’est son rôle et son rêve. Il n’a d’yeux que pour cette destinée, injustement volée par une incompétente qui ne cesse de se ridiculiser, alors qu’un homme ayant les épaules pour supporter le poids de la couronne rumine sur ses terres.
Sa rancœur est une source d’énergie infinie, néanmoins le Prince de France n’est pas un homme impulsif et cédant facilement aux coups de colère. Il préfère nettement agir lentement, mais parfaitement, dans l’ombre et arriver là où on ne l’attend pas. Que Victoire de France se méfie, une alliance entourant son beau palais royal pourrait bien la destituer si elle n’agit pas rapidement pour se protéger, elle et la France.
Histoire
Il était une fois, l’histoire d’un Prince de France heureux et béni, dont on brisa l’enfance et les rêves à l’aide d’une simple lettre.
Fils aîné d’Anne de France et de Guillaume d’Auvergne, Ambrose débutait sa vie sur Terre dans les meilleures conditions pour apprendre à devenir un bon souverain. Et toute sa vie cette idée l’obséda, rythma ses journées, ses entraînements et ses apprentissages. Ses parents lui donnèrent toutes les cartes pour qu’il puisse être un homme intelligent, réfléchi et efficace. Il apprit l’art de la guerre, tant sur le papier, les cartes et les formules, que sur le terrain, armé d’une épée. Plus jeune, il s’était longuement entraîné avec celui qui, aujourd’hui, est son unique ami et confident : le Duc de Normandie. Néanmoins, la figure qui le marqua le plus fut celle son grand-père Charles de France. Lorsque ce dernier s’éteignit, il était âgé de dix ans et vécut sans doute le plus grand drame de sa vie. Le chagrin fut terrible et seule la volonté d’accomplir sa destinée dans les pas de son grand-père lui permit de dépasser le deuil.
La couronne passa d’un grand roi à un autre, son oncle, le père de Victoire. Autrefois, les cousins s’entendaient bien et passaient de bons moments. Jusqu’au jour où sa destinée la mena au-delà des frontières, au Saint-Empire Roman Germanique. Au début, ils mirent tout en œuvre pour entretenir un semblant de lien familial, mais les missives devinrent de plus en plus courtes, de plus en plus rares. Ambrose, qui ne jurait que par la France, se fit très vite un avis négatif sur sa cousine, qu’il estimait passée dans le camp ennemi. Et la naissance de ses deux enfants, n’en parlons pas. Il n’avait aucun désir de s’intéresser à eux et fuyait dès que possible le sujet.
Lorsqu’il fut en âge d’être marié, il était tout bonnement hors de question qu’il épouse, à l’image de sa cousine, une étrangère afin d’assurer de bonnes relations à la France lorsqu’il deviendrait roi. Cela donna lieu à de multiples disputes avec ses proches, mais il n’en démordait pas. Contrairement à Victoire, il ne ferait pas honte à la France et ne se dévouerait qu’à elle. Ainsi, trouver un parti qui avait un minimum grâce aux yeux du Prince de France s’avéra être une tâche complexe. D’autant qu’il ne mettait rien en œuvre pour encourager la moindre union. Ambrose avait le don de décourager ses prétendantes et d’agacer leur père.
Il trouva un peu de refuge à toutes ces questions de société, qui ne l’intéressaient pas même un peu, dans les entraînements à l’art de la guerre. Et avec une épée entre les mains, il s’avérait doué. Ce passe-temps commun avec le Duc de Normandie et l’amitié profonde derrière lui laissaient croire qu’il trouverait en lui un grand soutien, une fois sa tête couronnée. Ainsi, quand bien même tous les détails de sa vie étaient loin d’être parfait, il avançait la tête haute et confiant vers son avenir.
La grande épidémie de peste ravagea la France, ébranlant son avenir, fauchant ses parents, la famille royale et même nombre de ses prétendantes. C’était une véritable hécatombe autour de lui et il en vint même à penser qu’il était maudit. Il n’avait jamais songé ainsi prendre la tête de la France, mais fort heureusement, il savait qu'il pourrait compter sur le soutien de son frère, à qui il comptait céder le Duché d'Auvergne. Car le roi était mort, vive le nouveau roi…
Mais le deuil qui l’accablait n’était pas suffisant. On retrouva une lettre manuscrite, de la main de l’ancien roi Charles de France, exprimant son désir de faire de sa petite fille Victoire la reine de France. Cette traîtresse, partie enfanter au-delà des frontières françaises, plutôt que le dernier héritier mâle et en bonne santé… C’en était trop. Outre le chagrin, la colère était là, piquante, bien vivante. Cette femme qu’il avait haït au fil du temps avait brisé ce pour quoi il avait grandit : son rêve de devenir roi. Jamais il ne pourrait fouler les pas de son modèle, son grand-père. Jamais il ne pourrait diriger la France en espérant le rendre fier, là où il se trouvait.
A défaut de devenir roi, il devint Duc d’Auvergne, étant l'aîné et donc l'héritier, bien qu'il avait songé donner ce titre à son frère, pour qu'il ne soit pas en reste à son couronnement. Après le retour à Paris de la souveraine de France, il ne désira plus se rendre à la cour, ignora les invitations, mais également les reproches. Il n’avait pas envie de poser ses yeux sur cette femme décevante, incapable, mettant tout en œuvre pour être la honte de la France, entourée de ses deux rejetons étrangers. Avec tout le respect qu’il avait pour son grand-père, il ne comprendrait jamais sa décision. Ainsi, Ambrose n’abandonna pas l’espoir de devenir le roi et qu’un souverain digne de ce nom se trouve de nouveau sur le trône de France.
Derrière l'écran
Pseudo : Ahsoka
Âge : 25 ans
Comment as-tu trouvé le forum ?
Un petit mot ?
Pseudo : Ahsoka
Âge : 25 ans
Comment as-tu trouvé le forum ?
Un petit mot ?
Lun 25 Oct - 11:04
CHEH.
(teybo)
(basile t'aime quand même)
(stop nous éblouir stp)
(chui déjà myope comme une taupe)
(j'vais finir aveugle)
(bisous)
(teybo)
(basile t'aime quand même)
(stop nous éblouir stp)
(chui déjà myope comme une taupe)
(j'vais finir aveugle)
(bisous)
Lun 1 Nov - 11:40
Coucou Ambrose
Ta fiche est au top ! Il n'y a qu'un petit détail à changer pour qu'on puisse te valider ! En effet, la mention de la mort de Cyrille est à retirer, au cas où le joueur veuille revenir plus tard
Si tu veux faire claquer un de ses petits frères il peut en avoir eut plusieurs
On te laisse gérer ça à ta sauce et hop la couleur ensuite
Ta fiche est au top ! Il n'y a qu'un petit détail à changer pour qu'on puisse te valider ! En effet, la mention de la mort de Cyrille est à retirer, au cas où le joueur veuille revenir plus tard
Si tu veux faire claquer un de ses petits frères il peut en avoir eut plusieurs
On te laisse gérer ça à ta sauce et hop la couleur ensuite
Lun 1 Nov - 12:05
Cyrille est vivant, j'ai changé ici :
[...]
Ambrose de France a écrit:La grande épidémie de peste ravagea la France, ébranlant son avenir, fauchant ses parents, la famille royale et même nombre de ses prétendantes. C’était une véritable hécatombe autour de lui et il en vint même à penser qu’il était maudit. Il n’avait jamais songé ainsi prendre la tête de la France, mais fort heureusement, il savait qu'il pourrait compter sur le soutien de Cyrille, à qui il comptait céder le Duché d'Auvergne. Car le roi était mort, vive le nouveau roi…
[...]
Ambrose de France a écrit:A défaut de devenir roi, il devint Duc d’Auvergne, étant l'aîné et donc l'héritier, bien qu'il avait songé donner ce titre à son frère, pour qu'il ne soit pas en reste à son couronnement.
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