Dim 7 Fév - 15:39
Le 7 Mars 1590.
Cher maréchal de Harcourt,
Je vous écris pour vous remercier de votre temps et de votre honnêteté lors de notre entretien au palais de la Reine.
Comme nous avons discuté, il est essentiel que l'Église catholique et l'armée de France fassent front commun pour protéger le peuple de l'hérésie et de la pauvreté. C'est pourquoi en geste symbolique, je vous propose de verser la somme de 800 écus dans la caisse commune à destination des rénovations des quartiers délabrés de Paris. En prélevant sur la dîme de l'archidiocèse, je m'assurerai personnellement de rassembler l'argent nécessaire au reste du financement de ces travaux. Ce sera une excellente occasion de renouveler publiquement l'amitié sincère entre nos deux institutions tout en offrant aux plus démunis de la capitale de nouvelles conditions de vie que j'espère moins pénibles.
J'ai conscience que c'est une coquette somme, mais notre saint Royaume est en paix, vous devriez aisément trouver quelques fonds superflus à rediriger en réexaminant le budget de vos hommes. De plus, voyez cela comme un investissement : nombre de criminels se cachent actuellement dans les bas-fonds de Paris. En reconstruisant proprement ces lieux, vous chasserez ces malins hors de leurs tanières et aurez bien moins de mal à les traquer par la suite.
Bien entendu, vous n'êtes pas dans l'obligation de rassembler de suite cet argent mais j'aimerais pouvoir faire donation à la date de fin du carême en guise de célébration de la fin du jeûne.
Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous adresse mes salutations les plus respectueuses ainsi que mes prières,
À l'attention du Comte de Harcourt,
Chef des armées au service de la couronne de France,
Chef des armées au service de la couronne de France,
Le 7 Mars 1590.
Cher maréchal de Harcourt,
Je vous écris pour vous remercier de votre temps et de votre honnêteté lors de notre entretien au palais de la Reine.
Comme nous avons discuté, il est essentiel que l'Église catholique et l'armée de France fassent front commun pour protéger le peuple de l'hérésie et de la pauvreté. C'est pourquoi en geste symbolique, je vous propose de verser la somme de 800 écus dans la caisse commune à destination des rénovations des quartiers délabrés de Paris. En prélevant sur la dîme de l'archidiocèse, je m'assurerai personnellement de rassembler l'argent nécessaire au reste du financement de ces travaux. Ce sera une excellente occasion de renouveler publiquement l'amitié sincère entre nos deux institutions tout en offrant aux plus démunis de la capitale de nouvelles conditions de vie que j'espère moins pénibles.
J'ai conscience que c'est une coquette somme, mais notre saint Royaume est en paix, vous devriez aisément trouver quelques fonds superflus à rediriger en réexaminant le budget de vos hommes. De plus, voyez cela comme un investissement : nombre de criminels se cachent actuellement dans les bas-fonds de Paris. En reconstruisant proprement ces lieux, vous chasserez ces malins hors de leurs tanières et aurez bien moins de mal à les traquer par la suite.
Bien entendu, vous n'êtes pas dans l'obligation de rassembler de suite cet argent mais j'aimerais pouvoir faire donation à la date de fin du carême en guise de célébration de la fin du jeûne.
Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous adresse mes salutations les plus respectueuses ainsi que mes prières,
Son Éminence, Constantin de Saint Hilaire, Grand Cardinal de France.
Sam 19 Juin - 15:29
Flashback : la lettre a été rédigée et reçue vers fin mars 1590.
ps : j'ai modifié c:.
Cher maréchal de Harcourt,
Il n'a pas fallu de temps avant d'être rapidement mis au courant des évènements qui ont touché votre camp récemment. Vous faites beaucoup parler de vous.
J’espère que votre incompétence face à toute cette histoire n'est que passagère et qu'elle n'est que le reflet d'un manque d'expérience significative dans la façon de diriger une armée et ses hommes.
Si toutefois vous avez besoin de conseils, je suis tout disposé à vous aider.
En espérant que cela ne se reproduise plus, il en va de la santé du Royaume.
Prenez soin de vous.
Alaric, Duc de Normandie.
ps : j'ai modifié c:.
Dim 5 Sep - 14:29
Cher Maréchal de HarcourtJe tenais à vous prévenir par cette missive de mon absence hors des murs de la Capitale, et donc non en présence de Sa Majesté, pendant une durée indéterminée. En effet, je pars pour une mission, au nom de la Reine, mais également pour enquêter d’avantage sur les évènements qui ont eu lieu durant mon escorte en compagnie du Duc van Heil, du Marquis de Sercey du groupe de mercenaires engagé par le Duc de Navarre. Je vous fais donc entièrement confiance en ce qui concerne la sécurité et la protection de Sa Majesté durant mon absence.
Ma lettre est courte due à mon départ imminent. Nulle doute que je serai déjà partie lorsque vous la recevrez. Je m’efforcerai de vous écrire régulièrement pour vous tenir au courant de l’avancée de ma mission. Mes sincères salutations,
Stanislava Braginsky, garde du corps royal.
Ma lettre est courte due à mon départ imminent. Nulle doute que je serai déjà partie lorsque vous la recevrez. Je m’efforcerai de vous écrire régulièrement pour vous tenir au courant de l’avancée de ma mission. Mes sincères salutations,
Stanislava Braginsky, garde du corps royal.
Ven 15 Oct - 20:51
Cher Maréchal de HarcourtJ'espère que vous, ainsi que la Reine et ses enfants, vous vous portez bien. Je suis arrivée à bon port et avance lentement mais sûrement dans ma mission.
A ce sujet, il est une personne que j'aimerais avoir d'avantage d'informations. Connaîtriez-vous, au sein de votre armée, un jeune soldat du nom d'Ignace de Bellevallée ? Je me doute que vous ne connaissez tous vos subordonnés mais toute information serait la bienvenue.
J'attendrais votre réponse au Manoir du Vicomte de Sausheim.
Mes sincères salutations,
Stanislava Braginsky, garde du corps royal.
A ce sujet, il est une personne que j'aimerais avoir d'avantage d'informations. Connaîtriez-vous, au sein de votre armée, un jeune soldat du nom d'Ignace de Bellevallée ? Je me doute que vous ne connaissez tous vos subordonnés mais toute information serait la bienvenue.
J'attendrais votre réponse au Manoir du Vicomte de Sausheim.
Mes sincères salutations,
Stanislava Braginsky, garde du corps royal.
Dim 7 Nov - 13:01
A l'intention du Maréchal des Armées,
Août 1590.
Monsieur, je me présente : Maurice Lafont, soldat de garde à Paris pour la période estivale. Je me permets de vous faire parvenir cette missive car lors d'une ronde avec mon confrère Guy Lomme au coeur de la nuit, près des jardins royaux, quelque chose a attiré notre attention. En effet, un batîment en ruines - du moins en fort mauvais état - était là, entre les arbres et les buissons, bien dissimulé à qui n'a pas l’œil assez aiguisé pour le voir.
Quoi qu'il en soit, en nous approchant avec mon confrère, nous avons vite compris qu'au moins un voleur était en action à l'intérieur car nombre de livres jonchaient le sol extérieur et l'état des lieux était tout simplement lamentable. Nous avons essayé de l'interpeller, mais l'individu nous a... lancé un livre à la figure avant de s'enfuir par l'autre côté du batîment. Si nous n'avons pas pu le rattraper, nous avons eut le temps de voir la couleur blonde de sa chevelure. En revanche, nous avons réussi à prendre une empreinte de la trace de sa chaussure qu'il avait laissé dans le sol en s'enfuyant - je dois reconnaître que l'idée vient de Messire Lomme.
Les faits se sont déroulés fin Juillet et je tenais à vous présenter mes excuses pour ne pas vous l'avoir signalé avant. L'empreinte se trouve au Palais de Justice et le juge est au courant de l'affaire. Je me doute que vous devez avoir beaucoup de travail qui vous incombe, aussi, si nous pouvons vous aider, n'hésitez pas à nous solliciter.
Que votre présence dans notre cité soit longue,
Bien à vous,Maurice Lafont, soldat de garde à Paris.
Août 1590.
Monsieur, je me présente : Maurice Lafont, soldat de garde à Paris pour la période estivale. Je me permets de vous faire parvenir cette missive car lors d'une ronde avec mon confrère Guy Lomme au coeur de la nuit, près des jardins royaux, quelque chose a attiré notre attention. En effet, un batîment en ruines - du moins en fort mauvais état - était là, entre les arbres et les buissons, bien dissimulé à qui n'a pas l’œil assez aiguisé pour le voir.
Quoi qu'il en soit, en nous approchant avec mon confrère, nous avons vite compris qu'au moins un voleur était en action à l'intérieur car nombre de livres jonchaient le sol extérieur et l'état des lieux était tout simplement lamentable. Nous avons essayé de l'interpeller, mais l'individu nous a... lancé un livre à la figure avant de s'enfuir par l'autre côté du batîment. Si nous n'avons pas pu le rattraper, nous avons eut le temps de voir la couleur blonde de sa chevelure. En revanche, nous avons réussi à prendre une empreinte de la trace de sa chaussure qu'il avait laissé dans le sol en s'enfuyant - je dois reconnaître que l'idée vient de Messire Lomme.
Les faits se sont déroulés fin Juillet et je tenais à vous présenter mes excuses pour ne pas vous l'avoir signalé avant. L'empreinte se trouve au Palais de Justice et le juge est au courant de l'affaire. Je me doute que vous devez avoir beaucoup de travail qui vous incombe, aussi, si nous pouvons vous aider, n'hésitez pas à nous solliciter.
Que votre présence dans notre cité soit longue,
Bien à vous,Maurice Lafont, soldat de garde à Paris.