Jeu 7 Jan - 11:59
Idéaliste // Rêveuse // Maladroite // Espiègle // Ne mâche pas ses mots // Sensible // Facilement irritable // Mal du pays // Extravertie // Curieuse // Naïve // Peur bleue de son mariage futur // Déteste qu’on lui rappelle sa condition d’aîné et de princesse // Rêverait de pouvoir voyager // Essaie régulièrement de s'enfuir du palais // Voudrait partir et ne jamais revenir // En pleine crise existentielle // Passionnée d'art et de dessin, elle aimerait devenir peintre
Petite princesse germanique, propulsée du jour au lendemain au sein de l'hostile Cour française, un goût amer et une profonde mélancolie dans la gorge. Ce père parti trop tôt, et surtout, ce violent déracinement violent qui l'ont poussé à quitter les seules terres qu'elle n'avait jamais connues. L'adolescence d'Eulalie est chaotique, sans compter que son intégration à la Cour n'est pas non plus aisée. Car Eulalie est une princesse maladroite, au franc-parler trop prononcé et aux manières inadaptées aux coutumes françaises. Elle entend, au détour des couloirs, les rires étouffés des courtisans, se moquant de son accent germanique, de ses sautes d'humeur ou de son attitude jugée indigne d'une demoiselle. Sa singularité dérange ; ses rêves de voyage et de peinture plus encore.
Une femme, princesse qui plus est, qui veut peindre ! On aura tout entendu...
Eulalie ne parvient pas à rentrer dans le moule qui lui est imposé ; bien trop idéaliste, émotive et insouciante. Elle pleure le soir, dans la solitude de sa grande et froide chambrée, se remémorant avec mélancolie l'existence paisible et préservée qu'elle menait à Brandebourg, il y a encore quelques années. Dans ces soirées de doute et de remords, elle imagine aussi, ce qu'aurait pu être sa vie si elle avait été plus facile : si était née garçon, et surtout, si elle était libre de son sang bleu. Car Eulalie désire plus que tout se libérer de cette prison dorée que constitue son rang de princesse. De ce trop plein de responsabilités surtout, qui l'étouffe et qu'elle tente désespérément de fuir dans ses tentatives d'escapades clandestines en dehors du palais - faisant que régulièrement, les gardes sont amenés à la récupérer vêtue des vêtements de ses jeunes servantes, essayant de se faufiler hors de l'enceinte du palais. Et les remontrances et sermons de sa mère, dépassée par le tempérament trop fougueux de sa fille n’y font rien : plus le temps passe, et plus le poids de la couronne étouffe Eulalie, la poussant à se chercher ailleurs de nouveaux espaces de liberté. La jeune fille se l’est même jurée ; plutôt que de se voir à nouveau déracinée par un mariage auquel elle ne pourrait échapper, Eulalie quittera définitivement sa royale existence et fuguera, pour enfin vivre la vie comme elle l’entend.
Eulalie naît un matin enneigé de février, dans le grand domaine Hohenzollern, à Brandbourg. Cinquième enfant de son père, mais premier du couple qu'il forme avec sa nouvelle épouse elle grandit à l'abri du besoin, choyée par des parents, qui loin des convenances de l'époque, se prennent véritablement d'affection pour leurs enfants. Eulalie est élevée les premières années de sa vie par une nourrice, mais sa mère et son père demeurent très présents et investis dans son éducation. Elle a 7 ans lorsqu'un précepteur lui enseigne la lecture, l'écriture, le latin et quelques bases d'arithmétiques. Eulalie a le goût et l'envie d'apprendre, mais son sexe féminin poussent bientôt ses parents à favoriser les leçons de broderie et de danse plutôt que celles de philosophie.
"Eulalie, ce n'est pas un passe-temps qui sied à une demoiselle de ton rang"
La petite demoiselle bougonne, peste et s'entête pourtant à répéter ;
"Je veux des faucons ! Et des buses ! Comme vous !"
Il soupire, comprenant que sa fille, entêtée comme lui, n'en démordra pas. Il affiche un tendre sourire sur son visage et change de sujet, n'ayant pas le courage d'expliquer à cette petite tête blonde encore emplie d'innocence que la fauconnerie n'est pas un art que les femmes sont autorisées à pratiquer.
Elle est à peine âgée de 9 ans lorsque survient une terrible épidémie de peste. Eulalie perd de nombreux êtres chers, dont sa nourrice et l'une de ses amies, mais surtout son père. Elle le pleure des mois durant, le réconfort de sa mère peinant à combler la douleur qu'elle ressent.
“Mère, je ne suis plus une enfant ! Je veux savoir, pourquoi sommes-nous contraints de partir pour la France ? Que se passe-t-il avec votre famille mère ?”
La réponse tombe, tel un couperet : la couronne. Sa mère va hériter du trône de France. Un véritable coup de massue, car la jeune fille nourrissait encore le secret espoir que ce voyage n’était que temporaire. Eulalie aussitôt s’emporte, prise de panique par cette nouvelle et furieuse que sa mère ne lui en ait pas fait mention plus tôt. Victoire essaie tant bien que mal de rassurer sa fille, et lui assure : “tout ira bien”.
Pourtant, la jeune fille perçoit son arrivée en France comme le début d’une longue descente aux enfers.
Car Eulalie ne se plaît pas à la Cour ; peu importe ses efforts, on la traite comme une étrangère, à demi-germanique. Son petit accent trahissant encore plus ses origines. Et ils n’ont au fond pas tort, car ô grand jamais Eulalie ne s’est sentie française. Elle subit ce royaume étranger bien plus qu’elle ne l’apprécie. Sa langue bien pendue et ses tentatives d’escapades hors du palais font aussi jaser les courtisans, qui lui reprochent bien volontiers cette impertinence, indigne de son rang. Et puis, la voilà surtout devenue l’aînée. D’avant-dernière enfant, elle devient la première et par la même occasion, une potentielle héritière -la primogéniture mâle ayant été déjà été mise à mal par l’arrivée de sa mère au pouvoir- avec toutes les responsabilités que cela implique. Les relations entretenues avec sa mère se tendent : Eulalie est régulièrement rappelée à l’ordre par sa mère, mais ne change pas pour autant de comportement. Entre les deux femmes naissent aussi de nombreuses incompréhensions. Celles d’une mère inquiète pour son enfant, soucieuse de la voir bien s’intégrer à la Cour et de la marier prochainement. Et celles d’une fille, en pleine crise d’adolescence, qui ne rêve de son côté que de liberté et de peinture, loin de l’exil matrimonial qui l’effraie plus que tout.
Eulalie De France
Petit oiseau un jour se libérera de sa cage
Sexe : Féminin -à son grand damn.
Date & lieu de naissance : Née le 12 février 1 576 à Brandebourg.
Âge : 14 ans.
Race : Humaine (sorcière). Possède le don de se métamorphose en Elanion blanc (petit rapace) [pas encore découvert].
Groupe : Haute-noblesse
Métier / fonction : Princesse de sang royal, fille aînée de l'actuelle Reine. Prisonnière d'un rôle dont elle n'a jamais voulu, au sein d'une Cour hostile à ses origines germaniques.
Condition sociale : Aisée, bien que sa situation demeure particulièrement dépendante de celle de sa mère.
Feat : Raiponce du film éponyme de Disney.
Date & lieu de naissance : Née le 12 février 1 576 à Brandebourg.
Âge : 14 ans.
Race : Humaine (sorcière). Possède le don de se métamorphose en Elanion blanc (petit rapace) [pas encore découvert].
Groupe : Haute-noblesse
Métier / fonction : Princesse de sang royal, fille aînée de l'actuelle Reine. Prisonnière d'un rôle dont elle n'a jamais voulu, au sein d'une Cour hostile à ses origines germaniques.
Condition sociale : Aisée, bien que sa situation demeure particulièrement dépendante de celle de sa mère.
Feat : Raiponce du film éponyme de Disney.
Caractère
Idéaliste // Rêveuse // Maladroite // Espiègle // Ne mâche pas ses mots // Sensible // Facilement irritable // Mal du pays // Extravertie // Curieuse // Naïve // Peur bleue de son mariage futur // Déteste qu’on lui rappelle sa condition d’aîné et de princesse // Rêverait de pouvoir voyager // Essaie régulièrement de s'enfuir du palais // Voudrait partir et ne jamais revenir // En pleine crise existentielle // Passionnée d'art et de dessin, elle aimerait devenir peintre
Petite princesse germanique, propulsée du jour au lendemain au sein de l'hostile Cour française, un goût amer et une profonde mélancolie dans la gorge. Ce père parti trop tôt, et surtout, ce violent déracinement violent qui l'ont poussé à quitter les seules terres qu'elle n'avait jamais connues. L'adolescence d'Eulalie est chaotique, sans compter que son intégration à la Cour n'est pas non plus aisée. Car Eulalie est une princesse maladroite, au franc-parler trop prononcé et aux manières inadaptées aux coutumes françaises. Elle entend, au détour des couloirs, les rires étouffés des courtisans, se moquant de son accent germanique, de ses sautes d'humeur ou de son attitude jugée indigne d'une demoiselle. Sa singularité dérange ; ses rêves de voyage et de peinture plus encore.
Une femme, princesse qui plus est, qui veut peindre ! On aura tout entendu...
Eulalie ne parvient pas à rentrer dans le moule qui lui est imposé ; bien trop idéaliste, émotive et insouciante. Elle pleure le soir, dans la solitude de sa grande et froide chambrée, se remémorant avec mélancolie l'existence paisible et préservée qu'elle menait à Brandebourg, il y a encore quelques années. Dans ces soirées de doute et de remords, elle imagine aussi, ce qu'aurait pu être sa vie si elle avait été plus facile : si était née garçon, et surtout, si elle était libre de son sang bleu. Car Eulalie désire plus que tout se libérer de cette prison dorée que constitue son rang de princesse. De ce trop plein de responsabilités surtout, qui l'étouffe et qu'elle tente désespérément de fuir dans ses tentatives d'escapades clandestines en dehors du palais - faisant que régulièrement, les gardes sont amenés à la récupérer vêtue des vêtements de ses jeunes servantes, essayant de se faufiler hors de l'enceinte du palais. Et les remontrances et sermons de sa mère, dépassée par le tempérament trop fougueux de sa fille n’y font rien : plus le temps passe, et plus le poids de la couronne étouffe Eulalie, la poussant à se chercher ailleurs de nouveaux espaces de liberté. La jeune fille se l’est même jurée ; plutôt que de se voir à nouveau déracinée par un mariage auquel elle ne pourrait échapper, Eulalie quittera définitivement sa royale existence et fuguera, pour enfin vivre la vie comme elle l’entend.
Histoire
Eulalie naît un matin enneigé de février, dans le grand domaine Hohenzollern, à Brandbourg. Cinquième enfant de son père, mais premier du couple qu'il forme avec sa nouvelle épouse elle grandit à l'abri du besoin, choyée par des parents, qui loin des convenances de l'époque, se prennent véritablement d'affection pour leurs enfants. Eulalie est élevée les premières années de sa vie par une nourrice, mais sa mère et son père demeurent très présents et investis dans son éducation. Elle a 7 ans lorsqu'un précepteur lui enseigne la lecture, l'écriture, le latin et quelques bases d'arithmétiques. Eulalie a le goût et l'envie d'apprendre, mais son sexe féminin poussent bientôt ses parents à favoriser les leçons de broderie et de danse plutôt que celles de philosophie.
...
Particulièrement proche de son père et malgré son jeune âge, Eulalie appréciant grandement l'équitation accompagne souvent durant de longues balades son père autour du domaine familial, rêvant secrètement d'un jour pouvoir l'accompagner durant une partie de chasse. Mais plus encore que la chasse, ce qu'Eulalie aime, ce sont les oiseaux. Les rapaces surtout, que son père fait voler dans le ciel et qu'il rappelle d'un simple sifflement. Elle les trouve si beaux, si majestueux, leur force l'impressionne aussi. Elle aimerait elle aussi posséder plus tard des oiseaux de proie. Mais son père lui rétorque :"Eulalie, ce n'est pas un passe-temps qui sied à une demoiselle de ton rang"
La petite demoiselle bougonne, peste et s'entête pourtant à répéter ;
"Je veux des faucons ! Et des buses ! Comme vous !"
Il soupire, comprenant que sa fille, entêtée comme lui, n'en démordra pas. Il affiche un tendre sourire sur son visage et change de sujet, n'ayant pas le courage d'expliquer à cette petite tête blonde encore emplie d'innocence que la fauconnerie n'est pas un art que les femmes sont autorisées à pratiquer.
Elle est à peine âgée de 9 ans lorsque survient une terrible épidémie de peste. Eulalie perd de nombreux êtres chers, dont sa nourrice et l'une de ses amies, mais surtout son père. Elle le pleure des mois durant, le réconfort de sa mère peinant à combler la douleur qu'elle ressent.
...
A mesure que les années passent, Eulalie quitte lentement l'enfance pour devenir une jeune fille, les questions d'un mariage futur se faisant de plus en plus pressantes.Mais Eulalie, trop attachée à sa vie paisible à Brandebourg, évite soigneusement d'aborder le sujet avec sa mère. Elle craint plus que tout d'être envoyée loin de chez elle, de se voir déracinée et éloignée de cette famille à laquelle est si attachée. Et puis, Eulalie veut être libre. Elle constate bien que ses demi-frères aînés jouissent de privilèges dont elle ne peut même pas rêver....
Et puis arrive un jour cette maudite lettre, il y a quelques mois à peine. Eulalie est obligée de quitter Brandebourg et tout ce qu'elle a connu, pour un pays dont elle ignore tout. Au départ, elle ignore des raisons qui précipitent leur départ ; elle se dit qu'il s'agit peut-être, de la perspective d'un remariage de sa mère avec un noble français. Sa mère semble inquiète, livide. D'autant que le voyage est long et éreintant. Eulalie la presse de questions, ne supportant pas qu'on ne la mette pas au courant.“Mère, je ne suis plus une enfant ! Je veux savoir, pourquoi sommes-nous contraints de partir pour la France ? Que se passe-t-il avec votre famille mère ?”
La réponse tombe, tel un couperet : la couronne. Sa mère va hériter du trône de France. Un véritable coup de massue, car la jeune fille nourrissait encore le secret espoir que ce voyage n’était que temporaire. Eulalie aussitôt s’emporte, prise de panique par cette nouvelle et furieuse que sa mère ne lui en ait pas fait mention plus tôt. Victoire essaie tant bien que mal de rassurer sa fille, et lui assure : “tout ira bien”.
Pourtant, la jeune fille perçoit son arrivée en France comme le début d’une longue descente aux enfers.
Car Eulalie ne se plaît pas à la Cour ; peu importe ses efforts, on la traite comme une étrangère, à demi-germanique. Son petit accent trahissant encore plus ses origines. Et ils n’ont au fond pas tort, car ô grand jamais Eulalie ne s’est sentie française. Elle subit ce royaume étranger bien plus qu’elle ne l’apprécie. Sa langue bien pendue et ses tentatives d’escapades hors du palais font aussi jaser les courtisans, qui lui reprochent bien volontiers cette impertinence, indigne de son rang. Et puis, la voilà surtout devenue l’aînée. D’avant-dernière enfant, elle devient la première et par la même occasion, une potentielle héritière -la primogéniture mâle ayant été déjà été mise à mal par l’arrivée de sa mère au pouvoir- avec toutes les responsabilités que cela implique. Les relations entretenues avec sa mère se tendent : Eulalie est régulièrement rappelée à l’ordre par sa mère, mais ne change pas pour autant de comportement. Entre les deux femmes naissent aussi de nombreuses incompréhensions. Celles d’une mère inquiète pour son enfant, soucieuse de la voir bien s’intégrer à la Cour et de la marier prochainement. Et celles d’une fille, en pleine crise d’adolescence, qui ne rêve de son côté que de liberté et de peinture, loin de l’exil matrimonial qui l’effraie plus que tout.
Derrière l'écran
Pseudo : Ophidine
Âge : 20 ans.
Comment as-tu trouvé le forum ? Vicky m'a balancé le lien
Un petit mot ?J'ai hésité 8 ans entre 3 ava pour Eulalie, et j'espère avoir définitivement tranché MDR
Sinon vous êtes super beaux, gg au staff pour ce boulot, j'ai super hâte de RP et de créer du drama à la Cour
Pseudo : Ophidine
Âge : 20 ans.
Comment as-tu trouvé le forum ? Vicky m'a balancé le lien
Un petit mot ?J'ai hésité 8 ans entre 3 ava pour Eulalie, et j'espère avoir définitivement tranché MDR
Sinon vous êtes super beaux, gg au staff pour ce boulot, j'ai super hâte de RP et de créer du drama à la Cour
Jeu 7 Jan - 13:09
M A F I L L E
Je t'aime, bienvenue ici. Trop hâte de faire du drama familial à tirelarigo
Ta fiche promet du top quali en tout cas j'ai si hâte de lire aaaaaah
Je t'aime, bienvenue ici. Trop hâte de faire du drama familial à tirelarigo
Ta fiche promet du top quali en tout cas j'ai si hâte de lire aaaaaah
Jeu 7 Jan - 14:29
Voilà une créature absolument charmante. Bienvenue en enfer Eulalie
Très hâte de découvrir la suite de ce petit bout de fluff incompris.
Très hâte de découvrir la suite de ce petit bout de fluff incompris.
Mar 12 Jan - 21:53
Maman Hâte de créer plein de dramas familiaux et de causer des problèmes à Victoire vive les crises d'ado éclatées & les tags nuls sur les murs du collège signés EDF
& Merci June ton message est trop mimi Bon courage à Eulalie pour son séjour en enfer, clairement pauvre petit bout d’innocence en pleine crise d'ado ssqsdq
Du coup voilà j'ai officiellement fini cette fiche j'espère que ça vous plaira
& Merci June ton message est trop mimi Bon courage à Eulalie pour son séjour en enfer, clairement pauvre petit bout d’innocence en pleine crise d'ado ssqsdq
Du coup voilà j'ai officiellement fini cette fiche j'espère que ça vous plaira
Mer 13 Jan - 15:23
Que dire ? Une fiche superbe qui dépeint un personnage attachant et cruellement en manque de liberté dans un monde où rien n'est fait poru l'aider face à sa propre situation
Je souhaite voir beaucup de choses arriver à Eulalie car elle mérite une vie à la hauteur de ses ambitions
Merci pour ce délicieux moment de lecture, je te valide sans plus tarder.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là
Bravo tu es validé !
Le grand moment est enfin arrivé
Que dire ? Une fiche superbe qui dépeint un personnage attachant et cruellement en manque de liberté dans un monde où rien n'est fait poru l'aider face à sa propre situation
Je souhaite voir beaucup de choses arriver à Eulalie car elle mérite une vie à la hauteur de ses ambitions
Merci pour ce délicieux moment de lecture, je te valide sans plus tarder.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là
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