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L'humain a toujours su se construire des royaumes et composer plus ou moins bien avec les élites voisines. Mais ces hommes et ces femmes n'étaient pas les seuls à fouler cette terre de leurs pieds éphémères. Perdus entre le prestige de la noblesse et la vie froide de la paysannerie, nombres de vies se sont tissées les unes aux autres pendants des siècles, jusqu'à ce que les Rois et les Reines finissent par lutter concrètement contre les engeances qu'étaient les vampires et les lycanthropes. Toujours dans la discrétion la plus totale, bien entendu.

Qu'en sera-t-il de vous?
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Agnès de Saint-Louis
HUMAINE - DUCHESSE

inventaire

Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Pièces : 1999
DC : Béatrice Botherel

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Agnès de Saint-Louis
Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Pièces : 1999
DC : Béatrice Botherel
Mer 29 Sep - 0:49
Agnès de Saint-Louis
He's going blind to watch you lose

Sexe : Femme.

Date & lieu de naissance : Le 22 Juin à Beaufort.

Âge : 26 ans.

Race : Humaine.

Groupe : Haute-Noblesse.

Métier / fonction : Sous la tutelle du Duc de Septimanie, candidate pour épouser le prince d'Espagne.

Condition sociale : Très aisée, mais rien ne lui appartient.

Feat : Reze de Chainsaw Man.

Caractère

Shake my little soul for you now, toy
And I settle up into a world of noise


Elle vous dira qu’elle n’est pas très intéressante.

C’est bien l’une des rares questions sur laquelle elle s’accordait avec son mari. Il l’appelait, lui, et d’autres mauvaises langues de la cour, une fleur sans parfum. Le sourire affable, qu’elle offre à tous sans distinction, dans toutes les situations, toutes les couleurs, toutes les saveurs, toutes les déclinaisons. Elle sourit lorsqu’elle pleure. Elle sourit lorsqu’elle est contrariée. Lorsque Maman perdait la raison, il fallait bien sourire : il y avait des soucis plus graves que ses humeurs. Lorsque Papa se mettait en colère, il fallait sourire aussi, d’une façon un peu désolée : ne jamais laisser croire qu’elle pensait un peu moins que du bien de lui. Lorsqu’elle a épousé son premier conjoint, tous les regards se sont tournés vers elle. Quelle union désastreuse ! Il fallait bien sourire — montrer des crocs sympathiques — aux loups assoiffés de ses larmes, voraces d’histoires. Et puis lorsqu’elle s’est unie à son second époux, à lui qui lui souhaitait tout le bonheur du monde, il fallait sourire aussi. Peut-être que celui là était sincère. Il n’a pas duré longtemps.

Rien ne perturbe jamais Agnès. Elle est d’un calme déconcertant, d’un calme observateur, d’un calme lent, calculée autant qu’elle peut se montrer calculatrice. Tout chez elle est une question de millimètre. Où élever la commissure de ses lèvres ? Ce petit pli dans ses sourcils, lorsqu’elle feint d’être blessée pour apitoyer, devrait-il être plus grand ?

Le diable est dans les détails, et elle aussi.

Son attitude n’est plus de l’ordre du choix mais du réflexe. Trop habituée à ce qu’on décortique chaque intonation de sa voix, sa voix si charmante qu’elle ne hausse jamais, pour une énième faiblesse sur laquelle appuyer comme un bleu violacé qui suinte de sa peau. Pudique d’émotions dont elle a honte, qu’elle sait là sous la colère et le chagrin comme les ombres de monstres marins qui attendent de la noyer.

De toute façon, elle est forte, plus forte que les autres, déjà plus forte que les adultes alors qu’elle était juste enfant — qu’est-ce qu’elle était mature Agnès, et qu’est-ce qu’elle était serviable. Elle s’occupait merveilleusement bien de Maman parce que Papa n’était jamais là pour le faire : éduquée avant tout par les nourrices et les domestiques pour qui elle aura gardé une certaine tendresse, celles qui la dépoussiéraient lorsqu’on la rangeait sur l’étagère parce qu’il n’avait plus besoin d’elle.

Elle bouge avec une indolence qu’il est facile d’étendre à son intellect : mais Agnès n’est pas stupide, uniquement dissimulée. L’expérience lui a apprise qu’il valait toujours mieux prétendre être un peu plus bête, un peu plus étourdie, un peu plus naïve qu’on ne l’est en réalité, surtout lorsqu’on est une femme : qu’un garçon menacé est un garçon qui se hausse sur la pointe de son autorité maladroite et la force dans des défis qui la laissent indifférente.

À la cour, on la considère comme une bonne poire trop aimable : une jeune fille charmante qui aurait dû tromper par dix fois son mari, au moins autant que lui la trompait. Elle savait pertinemment qu’elle perdrait la sympathie qu’on donne tout naturellement à une femme vertueuse prisonnière d’un homme qui l’est un peu moins et en jouait volontairement. Pour autant, elle est moins ingénue qu’elle ne sait le faire croire et connaît l’effet que peuvent provoquer ses coups d’œil tombants et ses longs doigts qui effleurent. Elle est aussi charmeuse que charmante, ne serait-ce parce qu’il est agréable de se sentir désirée. Plus d’un se sont pris au jeu de tenter l’épouse dévouée et dévote loin de ses tristes épousailles, et ce sont ces mêmes qui lui demandent sa main maintenant que son second conjoint n’est plus dans l’équation.

Dotée d’une voix suave, très plaisante à entendre. Elle parle bas et lentement mais on tend naturellement l’oreille pour l'écouter, on se penche vers elle lorsqu’elle ouvre la bouche. ❧ Habituée à ce qu’on la désire, mais rarement à ce qu’on l’aime. ❧ Un côté étrange et excentrique qu’elle contient au mieux pour éviter de se faire remarquer pour quelque chose qu’elle ne souhaite pas. Son entourage lui connaît un intérêt mystérieux pour les grenouilles qu’elle collectionne en petites sculptures, figurines, vaisselles peintes à leurs effigies et expose sur un meuble que certains visiteurs du Duc de Septimanie ont eu le plaisir confus de voir. ❧ Elle joue de la viole de gambe mais n’aime pas beaucoup ça. En terme de loisirs, elle préfère passer du temps dans son jardin ou peindre une toile. ❧ Elle a un côté colérique, un côté qui s’insurge, et tout le mal du monde à assagir celui-ci. D’un calme d’apparence, comme beaucoup d’autre chose chez elle. ❧ C’est la peur qui gouverne ses actions : celle de se montrer pour ce qu’elle est et d’être blessée en conséquence. Elle n’a pas tant grandi de la petite fille terrifiée des autres qu’elle a un jour été. Au demeurant, elle désire simplement qu’on ne puisse plus jamais lui faire de mal impunément. ❧ Boit régulièrement du vin. Tient l'alcool par habitude.


Histoire

They bit my wings
and ate them whole


Elle naît Agnès Cécile Margot, fille de Lucille Escoffier et Isaiah Galantel, marquis de Beaufort. Son père espérait un garçon : il se désintéresse vite de son sort. Sa mère, quant à elle, est une femme un peu étrange, à l’attention qui va et qui vient, comme un fantôme dissipé dans un grand flou. Elle en a en tout cas la présence. L’idée d’un enfant l’effrayait, mais elle s’attache vite à sa fille ne serait-ce parce qu’elle est une occupation distrayante dans ce grand manoir vide. Les rires d’Agnès y remettent un petit peu de couleurs. Celles-ci se drainent lorsque qu’Isaiah est à la maison. C’est la figure du paternel sévère et misogyne, qui supposait déjà que la fille terminerait aussi fêlée que la mère. Agnès apprend à se taire lorsqu’il est dans les parages, à baisser les yeux et à hocher la tête, et petit à petit, sa voix s’enfouit loin en elle.

Elle ne sait bientôt plus parler qu’à sa mère, ou celles qui ont sa douceur : cela confirme à son père qu’elle est une enfant stupide. Son silence lui apprend à observer, et voir qui écoute vraiment, leur jeter des œillades et des sourires. Elle se lie bientôt d’amitié avec Diane d’Orléans, qu’elle adopte comme une grande sœur, et son frère Charles qu’elle trouve aussi beau qu’une dame, si bien qu’il est l’un des rares messieurs avec qui elle sait encore échanger quelques mots.

Petit à petit, sa mère parvient à la tirer de sa coquille par des élans de gentillesse et des démonstrations : elle la pousse à témoigner par elle-même qu’ils existent des gens à l’âme très laide, et d’autres qui sont beaux comme le soleil — Rencontrer les d’Orléans le lui confirme.

Elle se lance dans la haute société en jeune fille timide, mais à la parole retrouvée. Agnès y réalise combien il est important de plaire, surtout lorsqu’on a sa fragilité : Elle apprend à dire ce qu’il faut quand il le faut, s’assure de toujours être ce que les autres désirent d’elle.

Elle n’imagine pas combien cela lui sera utile dans son premier mariage. Des fils du Duc de Septimanie, qui visitent souvent le domaine familial, elle lie une amitié avec l’aîné, Isaac : il est prétentieux, caustique et solitaire, mais commencent entre eux cette camaraderie étrange qu’ont naturellement deux enfants qui attendent que leurs parents terminent une interminable discussion.

Il s’avère qu’un soir, cette discussion tourne autour d’Agnès et qu’elle épousera bientôt le cadet du Duc de Septimanie, qui ne l’aime pas beaucoup. L’idée l’angoisse alors même qu’elle sourit. Agnès sait du mariage de ses parents que ceux-ci sont rarement heureux et plus rarement encore d’amour, mais c’est autre chose d’y être précipitée alors même qu’elle a l’impression d’être une petite fille à qui on a enfilé de trop hauts talons.

Elle est morte d’inquiétude pour sa mère, sur laquelle elle veillait, lui rappelant parfois son nom et ses souvenirs — elle ne compte pas sur son père pour lui tenir la main et la guider jusqu’à sa chambre lorsqu’elle s’égare à l’extérieur, confuse, incapable de se remémorer pourquoi elle était sortie. Agnès promet de visiter aussi souvent que possible. Il lui naît un petit frère, Ermile, quelques semaines avant son départ, qu’elle ne voit pas grandir.

Les deux fils du Duc se disputent sur tout : il est dans l’ordre des choses qu’ils se disputent aussi une femme. Si Jacob est indifférent à Agnès, de par le simple fait qu’il la possède, Isaac est jaloux. Ils vivent tous ensembles chez le Duc : elle, Jacob, Isaac, et la femme de ce dernier. Puisque Jacob est à l’armée, Agnès le verra rarement. Elle passe ainsi plus de temps avec sa belle-famille que son mari, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Elle feint cependant de ne pas voir les sentiments de son beau frère, trop inquiétée de perdre son amitié si elle venait à le rejeter proprement alors qu’elle se sent seule au monde loin de chez elle.

Pour ne pas s’attirer les foudres d’un mari acariâtre qui la traite en accessoire, elle agit en épouse modèle. À défaut de pouvoir mordre, elle peut bien tendre l’autre joue et s’attirer une sympathie qui lui épargnera bien des soucis lorsque Jacob chutera de son piédestal en trébuchant sur ses propres lacets.

Finalement installée dans la routine mortelle d’un mariage ennuyeux, Agnès continuera à visiter les d’Orléans, charmants d’Orléans, princiers d’Orléans, et songera qu’elle aurait préféré épouser un homme comme Charles. L’idée la fait sourire, jusqu’à ce qu’elle la blesse : La blague n’est plus si marrante désormais qu’elle lui arrache un pincement au cœur cuisant chaque fois qu’elle pose les yeux sur son joli visage.

Elle se dit qu’il est trop tard, et elle n’a pas tort. Jacob la trompe, mais c’est elle qui tombera enceinte plutôt qu’une de ses putains : il faut croire que les fleurs sans parfum conviennent lorsqu’il s’agit de s’étendre. Agnès peine à le croire alors même qu’on fête la nouvelle partout autour d’elle. La joie n’est pas partagée : elle emprunte le chemin de sa mère bien plus tôt qu’elle ne l’aimerait, et se demande quand elle perdra ses premiers souvenirs qui rejoindront un grand flou sans passion, quand le dédain de son mari éteindra la répartie dont elle est fière.

Mais tout le monde est si heureux. Elle peut bien être heureuse, elle-aussi.

Elle vit sa grossesse comme si ce n’était pas la sienne, et tient son enfant pareillement. Au demeurant, l’instinct maternel dont elle espérait milles et unes solutions ne se manifeste jamais : elle est laissée avec un bébé dans les bras dont elle ne sait que faire. Elle est presque certaine qu’à sa naissance, sa mère l’aimait au moins un peu, mais ne parvient même pas à conjurer le sentiment.

Elle appellera son fils Auguste.

Le petit demeure sa responsabilité, et elle est douée pour les prendre : l’instinct maternel importe peu. Elle veillera sur lui parce qu’elle le doit, en travailleuse infatigable. Il partage, après tout, sa situation épineuse.

Au moins son foyer est-il baigné de vie, d’autre chose que des disputes. Auguste grandira bien, mieux qu’elle, elle en a la certitude, et l’idée lui paraît réconfortante. Il lui faut cependant espérer qu’il ne ressemble pas trop à son père.

Et puis Jacob a le bon goût de mourir. Si la peste ne l’avait pas emporté, ça aurait été Agnès. Elle verse des larmes de crocodile mais la perspective d’une vie sans lui l’effraie d’une façon inattendue : 9 ans en commun soufflés par la maladie. Isaac l’a embrassé quelque jours plutôt — son premier baiser d’amour — et elle a manqué de s’abandonner dans ses bras par solitude.

Lorsque la femme de ce dernier meurt à son tour, ses larmes sont véritables. Les choses changent après des années d’immobilité, et bien trop vite — Agnès comme Isaac sont inconsolables. Le froid qu’il y avait entre eux depuis cette autre soirée leur semble bien anecdotique désormais qu’il ne reste plus qu’eux.

On proposera de les marier, et ni l’un ni l’autre ne s’en surprend. Leur joie n’est pas explosive : comme de retour d’un long voyage, ils passent le pas de la porte avec un soupir las mais tranquille. Heureux d'être ensembles, mais vieillis par le temps que ça a pris. Agnès le considère comme l’un de ses plus proches amis même si son cœur est encore à un autre : au moins lui sera-t-il plus facile de faire semblant.

Et un jour, Isaac ne rentre pas. Elle passe une longue, interminable semaine à l’attendre : les mauvaises langues s’esclaffent qu’il est parti voir des fleurs plus exotiques. Lorsqu’il revient en morceaux, elles se taisent. Agnès est dévastée : la tempête a tout balayé, même les larmes qu’elle ne sait plus pleurer. On parle d’une bête sauvage — l’idée lui paraît hystérique et elle n’y croît qu’à moitié. C’est cependant la seule version qu’on lui servira.

Au domaine familial trône un tableau d’elle à côté de son mari et d’Isaac à côté de sa femme. Un portrait en commun peint juste alors qu’elle venait de tomber enceinte. Des quatre personnages, il ne reste désormais qu’elle et plutôt qu’une fleur, elle a l’impression d’être une increvable mauvaise herbe.

C’est sous les regards appuyés de cette même toile qu’elle écoutera d’une oreille distraite la proposition du Duc de Septimanie, tout juste convoquée pour une affaire importante. Elle en détournera finalement les yeux lorsqu’il évoquera l’éventualité d’un mariage avec le prince d’Espagne. Elle assumera d'abord une blague de très mauvais goût mais il n'en démord pas : elle est sage, pondérée, avec un sens profond du devoir, et on espère qu'elle parviendra à tempérer le prince.

Elle trouve le prétexte peu convaincant, se doutant qu'il est question d'autre chose, de bien plus — en l'état, cependant, la question lui paraît rhétorique : comment pourrait-elle décevoir son tuteur avec un refus alors qu'il s'est montré si bon avec elle ? Ses parents comptent sur elle, et son petit frère brillera en haute société d'avoir une sœur hissée à un rang comme le sien. On lui assure que son fils sera traité au mieux et cela suffit à la convaincre d'au moins rencontrer le prince.

Derrière l'écran

Pseudo : Lux.
Âge : 22 ans :aaaah:
Comment as-tu trouvé le forum ? pouet pouet.
Un petit mot ? Je devrais être en train de dormir au lieu de poster ça.  :hammi:

Invité
Invité

inventaire

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Mer 29 Sep - 9:05
Bienvenue à Agnès :love:
J'ai hâte de lire ton histoire même si je m'attends à du drama :snif:
Marie d'Ambialet
Manus Deï

inventaire

Inventaire : - Une chaîne et un pendentif en argent représentant une rose sertie d'un rubis.
- Une épée d'élite : Rédemption.
- Une chevalière à mécanisme dissimulant une pointe en argent.
Espèce : Witch but human.
Emploi : Au service du Seigneur et de son Église (souterraine).
Situation maritale : Non concernée (pour le moment)
Histoire : Puer Deï
Ses liens : Manus Deï
Pièces : 3510

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Marie d'Ambialet
Inventaire : - Une chaîne et un pendentif en argent représentant une rose sertie d'un rubis.
- Une épée d'élite : Rédemption.
- Une chevalière à mécanisme dissimulant une pointe en argent.
Espèce : Witch but human.
Emploi : Au service du Seigneur et de son Église (souterraine).
Situation maritale : Non concernée (pour le moment)
Histoire : Puer Deï
Ses liens : Manus Deï
Pièces : 3510
Mer 29 Sep - 10:41
Rebienvenue ici ! :momo:

J'ai très hâte de lire la suite.


PS : les grenouilles c'est la vie !

Lisbeth Corey

inventaire

Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
Philtre d'amour x1.
Onguent x1
Une épée étrange x1
Espèce : Humaine
Emploi : Responsable "couture" au palais
Pièces : 3203
DC : Aerin Brindal

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B-HONKED
S'est fait déb-oie-ter en RP
Les un dé 100
A fait 100 aux dés

Lisbeth Corey
Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
Philtre d'amour x1.
Onguent x1
Une épée étrange x1
Espèce : Humaine
Emploi : Responsable "couture" au palais
Pièces : 3203
DC : Aerin Brindal
Mer 29 Sep - 14:58
Bienvenue !
Hâte de découvrir ton personnage :D
Ganbatte :momo:
Isandro d'Espagne
HUMAIN - PRINCE

inventaire

Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Situation maritale : Fiançailles en pourparler
Histoire : ●●●
Ses liens : ●●●
Pièces : 2242
DC : Nainmaury

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Isandro d'Espagne
Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Situation maritale : Fiançailles en pourparler
Histoire : ●●●
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Pièces : 2242
DC : Nainmaury
Mer 29 Sep - 20:22
Madame.
*s'incline*

spill it
Stanislava Braginsky
VAMPIRE - PEUPLE

inventaire

Inventaire : Epée à une main :: Fouet :: Arc (+petites fioles d'eau bénites :: Rapière d'élite :: Epée d'élite :: 2 Dague d'élites :: Couteaux de lancé

Potit chien, Sire :: Etalon noir, Cavale :: petite fiole de parfum :: infusion du zénith (4) :: Boîte d'anti-douleurs (1) :: une coupe fancy :: onguents (2) :: contre-forsythia (1) :
Espèce : vampire
Emploi : "garde du corps de Victoire" ( en théorie )
Situation maritale : amante de Sébastien Filin
Histoire : www
Ses liens : www
Pièces : 3777
DC : Ignacio :: Dahlia :: Charles :: Lars :: Calla :: Sven

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Stanislava Braginsky
Inventaire : Epée à une main :: Fouet :: Arc (+petites fioles d'eau bénites :: Rapière d'élite :: Epée d'élite :: 2 Dague d'élites :: Couteaux de lancé

Potit chien, Sire :: Etalon noir, Cavale :: petite fiole de parfum :: infusion du zénith (4) :: Boîte d'anti-douleurs (1) :: une coupe fancy :: onguents (2) :: contre-forsythia (1) :
Espèce : vampire
Emploi : "garde du corps de Victoire" ( en théorie )
Situation maritale : amante de Sébastien Filin
Histoire : www
Ses liens : www
Pièces : 3777
DC : Ignacio :: Dahlia :: Charles :: Lars :: Calla :: Sven
Mer 29 Sep - 21:28
*secoue la cloche de drama*

rebienvenue parmi nous madame 👀
Agnès de Saint-Louis
HUMAINE - DUCHESSE

inventaire

Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Pièces : 1999
DC : Béatrice Botherel

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Agnès de Saint-Louis
Inventaire : Ceci est votre inventaire. Un objet autorisé pour le début de l'aventure.
Pièces : 1999
DC : Béatrice Botherel
Jeu 30 Sep - 22:19
merci à tous d'être passés par ici, vous êtes pipous :comfy:

diane : et encore, attends de voir les RPs

marie :

celle là, elle est pour toi:

lisbeth : merci ♥

isandro : m'lord

*abaisse le fedora métaphorique*

gentleman

stani : mdrrr c'est le clocher qu'il va falloir secouer gentleman gentleman gentleman merci bien ♥
L'Oeil
ENTITE SUPERIEURE

inventaire

Inventaire : De quoi vous faire trembler.
Situation maritale : Marié.e au mystère.
Pièces : 3019

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L'Oeil
Inventaire : De quoi vous faire trembler.
Situation maritale : Marié.e au mystère.
Pièces : 3019
Ven 1 Oct - 20:07
Validation !
Duchesse de Sceptiquemanie...

Une petite persotte qui semble enfin s'y retrouver dans sa vie... Ou pas.
J'espère qu'elle est prête à affronter le froid du côté de Paris après le joli Sud du pays. (Pas sûr que la météo soit le seul truc froid par là-bas tho. malaise tv is real)

Very hâte de découvrir si le bonheur existe pour les jolies fleurs. :momo:

Tu peux aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste !

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