Mer 13 Oct - 20:15
À l'attention de Victoire de France, Souveraine de France
Le 6 août de l'an de grâce 1590
Votre Majesté,
Je vous écris pour solliciter votre aide quant à l'affaire de Pressigny dont je représente la principale partie lésée. Je ne vous ferais pas l'affront de vous rappeler les circonstances sordides dans lesquelles mon unique enfant et héritière a trouvé la mort, ces détails sont maintenant connus de toute la France et ce qui a été fait est fait.
Non je vous écris au sujet de votre nouvelle dame de compagnie, Mademoiselle Aerin de Brindal, soeur du Chevalier Elros de Brindal qui s'est bien joué de moi lors de sa prétendue enquête sur mon domaine en permettant à son complice, l'assassin Earl de Grisecouronne, de s'enfuir avec la dot que je réservais à ma fille.
Nonobstant mes nombreuses requêtes auprès de la famille Brindal, aucune explication et dédommagement ne m'auront été fournis. Pour avoir moi-même perdu un enfant, je ne saurais leur reprocher d'être actuellement dans l'incapacité d'entendre mes griefs. C'est pourquoi je suis dans l'embarras de venir personnellement vous demander votre assistance pour régler ce différent et permettre - je l'espèce, à nos deux familles d'aller de l'avant.
Ma proposition est simple : puisque j'ai perdu une fille, graciez-moi d'une autre. Il se trouve que j'ai un neveu à la recherche d'une jeune femme qui serait prêt à épouser Mademoiselle Brindal en avançant lui-même la dot qui m'a été subtilisée. Également, si le mariage est scellé, je m'engage à retirer les accusations à l'encontre du chevalier Brindal.
Compte tenus de la gravité des faits qui sont reprochés à Messire Brindal - paix à son âme, vous conviendrez que c'est une offre plus que généreuse de la part des de Pressigny. J'espère dès lors sincèrement que vous saurez faire entendre raison à Mademoiselle Aerin et à ses aïeux. Je n'ose de même vous faire parvenir mes réserves quant au fait que vous ayez dans votre Cour une demoiselle dont la famille se couvre actuellement de déshonneur.
P-S : Afin d'éviter tout quiproquo et désireux d'être parfaitement transparent, je vous informe que le Duc de Bourgogne a également reçu mes sollicitations.
Mes plus respectueuses salutations, Maurice de Pressigny, Baron de Pressigny, chevalier de la région de Langres et votre fidèle sujet ayant défendu pendant plus de 30 ans au péril de sa vie le bon Royaume de France.
Le 6 août de l'an de grâce 1590
Votre Majesté,
Je vous écris pour solliciter votre aide quant à l'affaire de Pressigny dont je représente la principale partie lésée. Je ne vous ferais pas l'affront de vous rappeler les circonstances sordides dans lesquelles mon unique enfant et héritière a trouvé la mort, ces détails sont maintenant connus de toute la France et ce qui a été fait est fait.
Non je vous écris au sujet de votre nouvelle dame de compagnie, Mademoiselle Aerin de Brindal, soeur du Chevalier Elros de Brindal qui s'est bien joué de moi lors de sa prétendue enquête sur mon domaine en permettant à son complice, l'assassin Earl de Grisecouronne, de s'enfuir avec la dot que je réservais à ma fille.
Nonobstant mes nombreuses requêtes auprès de la famille Brindal, aucune explication et dédommagement ne m'auront été fournis. Pour avoir moi-même perdu un enfant, je ne saurais leur reprocher d'être actuellement dans l'incapacité d'entendre mes griefs. C'est pourquoi je suis dans l'embarras de venir personnellement vous demander votre assistance pour régler ce différent et permettre - je l'espèce, à nos deux familles d'aller de l'avant.
Ma proposition est simple : puisque j'ai perdu une fille, graciez-moi d'une autre. Il se trouve que j'ai un neveu à la recherche d'une jeune femme qui serait prêt à épouser Mademoiselle Brindal en avançant lui-même la dot qui m'a été subtilisée. Également, si le mariage est scellé, je m'engage à retirer les accusations à l'encontre du chevalier Brindal.
Compte tenus de la gravité des faits qui sont reprochés à Messire Brindal - paix à son âme, vous conviendrez que c'est une offre plus que généreuse de la part des de Pressigny. J'espère dès lors sincèrement que vous saurez faire entendre raison à Mademoiselle Aerin et à ses aïeux. Je n'ose de même vous faire parvenir mes réserves quant au fait que vous ayez dans votre Cour une demoiselle dont la famille se couvre actuellement de déshonneur.
P-S : Afin d'éviter tout quiproquo et désireux d'être parfaitement transparent, je vous informe que le Duc de Bourgogne a également reçu mes sollicitations.
Mes plus respectueuses salutations, Maurice de Pressigny, Baron de Pressigny, chevalier de la région de Langres et votre fidèle sujet ayant défendu pendant plus de 30 ans au péril de sa vie le bon Royaume de France.
Lun 6 Déc - 9:27
A l’attention de notre Souveraine, Victoire de France
Votre Majesté,
Je vous écris, Aimable Eleuthère de Bayard, pour vous assurer mon soutien.
En tant que Chevalier, ma loyauté vous revient. Les De Bayard ont longtemps été l’une des épées de la Royauté de France et en tant qu’héritier, il est de mon devoir de vous assurer ma fidélité. Mon épée sera vôtre.
Récemment, le Duc de Bourgogne a proposé à notre famille une alliance, que nous ne pouvons refuser. Depuis maintes générations à présent, les De Bayard ont servi le Duché de Bourgogne notamment lors de ses croisades. Cependant, ma loyauté envers vous prévaut.
Ainsi, n’ayez aucune crainte. Bien que ma lame soit à présent allouée au Duc de Bourgogne, elle servira avant tout votre volonté. Tant que ses intérêts rejoignent les vôtres, je le servirai. Jusqu'au jour où vous rééquerrerez ma présence à vos côtés.
Le Prince assiste à ses cours avec sérieux, et implication. En tant que maître d’armes, j’observe ses progrès et je le vois gagner en maturité au fur et à mesure des mois. Il s’investit lors de ses leçons. Il doute de lui et j’espère qu’avec l’expérience, il parviendra à prendre confiance en lui. Je crois en lui : ce garçon a beaucoup de potentiel.
Mes prières vous accompagnent, que Dieu vous guide et vous protège, Majesté,
Aimable Eleuthère De Bayard
Votre Majesté,
Je vous écris, Aimable Eleuthère de Bayard, pour vous assurer mon soutien.
En tant que Chevalier, ma loyauté vous revient. Les De Bayard ont longtemps été l’une des épées de la Royauté de France et en tant qu’héritier, il est de mon devoir de vous assurer ma fidélité. Mon épée sera vôtre.
Récemment, le Duc de Bourgogne a proposé à notre famille une alliance, que nous ne pouvons refuser. Depuis maintes générations à présent, les De Bayard ont servi le Duché de Bourgogne notamment lors de ses croisades. Cependant, ma loyauté envers vous prévaut.
Ainsi, n’ayez aucune crainte. Bien que ma lame soit à présent allouée au Duc de Bourgogne, elle servira avant tout votre volonté. Tant que ses intérêts rejoignent les vôtres, je le servirai. Jusqu'au jour où vous rééquerrerez ma présence à vos côtés.
Le Prince assiste à ses cours avec sérieux, et implication. En tant que maître d’armes, j’observe ses progrès et je le vois gagner en maturité au fur et à mesure des mois. Il s’investit lors de ses leçons. Il doute de lui et j’espère qu’avec l’expérience, il parviendra à prendre confiance en lui. Je crois en lui : ce garçon a beaucoup de potentiel.
Mes prières vous accompagnent, que Dieu vous guide et vous protège, Majesté,
Aimable Eleuthère De Bayard