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L'humain a toujours su se construire des royaumes et composer plus ou moins bien avec les élites voisines. Mais ces hommes et ces femmes n'étaient pas les seuls à fouler cette terre de leurs pieds éphémères. Perdus entre le prestige de la noblesse et la vie froide de la paysannerie, nombres de vies se sont tissées les unes aux autres pendants des siècles, jusqu'à ce que les Rois et les Reines finissent par lutter concrètement contre les engeances qu'étaient les vampires et les lycanthropes. Toujours dans la discrétion la plus totale, bien entendu.

Qu'en sera-t-il de vous?
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Aimable E. De Bayard
HUMAIN - CHEVALIER

inventaire

Inventaire : - Epée d'élite (Bois du Cerf d'Argent)
- Bouclier supérieur (marqué du blason des De Bayard)
- Bon pour un item chez May
- 1 Onguent
Espèce : Humain
Emploi : Chevalier - Soldat
Situation maritale : Marié
Pièces : 4289

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Aimable E. De Bayard
Inventaire : - Epée d'élite (Bois du Cerf d'Argent)
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Espèce : Humain
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Mar 12 Jan - 10:07

Pour

les curieux

Aimable E. De Bayard

The hour between wolf and dog


Une main accoutumée au maniement de l'épée s'arme d'une rugosité pénible.
La tenue de la plume exige une précision et plus particulièrement, une finesse qu'Aimable s'efforce d'acquérir, pensant naïvement que les années et l'expérience lui permettraient d'améliorer son écriture. Combien de tâches d'encre viennent souiller ses récits ?

Les phrases s'enchaînent, avec la fluidité et la rage d'un fleuve lors de la fonte des neiges, et soudain ! Soudain, le cours se tarit, il se distrait, un texte se coupe, s'oublie... Un nouveau paragraphe s'ouvre, alors que quelques pensées restent inachevées, abandonnées, tranchées avant même qu'elles n'aient eu le temps de croître et se développer.

Lors des pires moments, la Voix se mêle aux écrits, ce sont quelques phrases qu'elle insinue et qu'il écrit. Parfois, lourdes de menaces ou vides de sens, il ne pense pas toujours à se relire et Elle lui échappe, perceptible aux yeux de ceux qui le lisent.

Le rythme de ses réponses est habituellement assez rapide.  
©linus pour Epicode
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Constantin de St Hilaire
DEUS LUX NOSTRA

inventaire

Espèce : Humain
Emploi : Archevêque de France
Situation maritale : Uni à Dieu
Pièces : 4203
DC : potichien ✺ Hélène ✺ Hildegard ✺ Titi ✺ Adam ✺ Mélusine

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Constantin de St Hilaire
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Mar 12 Jan - 21:07

Paris, le 4 mars 1590

À l'attention du chevalier Aimable Eleuthère Séraphin De Bayard,

Excusez-moi, mon ami, d'avoir pris tant de temps à répondre à votre dernier courier. Soyez assuré que mon silence n'était pas le résultat d'une quelconque dissension entre nous. À vrai dire, vous et votre famille êtes souvent dans mes pensées et mes prières malgré les mois qui séparent notre dernier entretien.

Tout d'abord, il faut que vous sachiez que vos lettres me font toujours plaisir. Elles m'ont été d'un grand secours lors de mes derniers périples car votre sollicitude dont elles sont les témoins me touche énormément. Je les garde précieusement avec moi tout comme le souvenir de nos conversations passées et vous remercie du fond du coeur pour avoir pris la peine de les rédiger.
J'ai entendu dire que vous avez écrit à sa Papauté pour attester de ma bonne foi lors de mon séjour au Vatican. Je ne saurais comment vous exprimer ma reconnaissance pour ce geste mais laissez-moi vous assurer que vos paroles ne sont pas tombées dans les paroles d'un sourd, l'Église aujourd'hui me tient haut dans son estime à un tel point que j'ai toujours peur de ne pas mériter toute l'attention que me porte l'archidiocèse de Paris.

D'ailleurs aimez-vous Paris Messire ? Cela fait maintenant près de deux ans que j'y ai emménagé et alors que j'entame mes nouvelles fonctions, je réalise avec tristesse que la capitale ne m'aimera jamais vraiment. Le ciel y est gris, les gens trop nombreux et les arbres eux, trop peu nombreux. Le soleil et le silence des montagnes me manquent et le sommeil aussi : je crois que je souffre du mal du pays !
Par conséquent, Il faut absolument que vous me parliez du domaine de vos aïeux et de votre maison. Les récoltes y sont-elles généreuses ? Vos gens y sont-ils en bonne santé ? Et vos enfants ? Ils doivent être en âge d'apprendre à écrire désormais si je ne m'abuse. Vous devez être enchanté d'avoir ainsi une si joyeuse petite fratrie qui je l'espère, devrait encore s'agrandir sous peu. Rien ne comblerait plus de joie que de recevoir de bonnes nouvelles de votre part.

Mais je m'égare mon ami, je me doute que vos obligations sont ailleurs que derrière un bureau à gratter du papier. J'abrège dès lors ce courrier pour vous adresser tous mes voeux d'amitié les plus sincères et vous souhaiter une très belle journée.

Que le souffle du Saint Esprit et la prière de la Vierge Marie soient avec vous,

Constantin de Saint Hilaire, Grand Cardinal de France.

P-S : Sans vouloir vous commanditer, pouvez-vous adresser votre réponse au Messire Émile Jourdan de l'impasse Saint Martin ? Il s'agit de mon nom d'emprunt. J'ai peur que vos missives s'égarent parmi les autres papiers de mon office au palais de l'archevêché.
Constantin de St Hilaire
DEUS LUX NOSTRA

inventaire

Espèce : Humain
Emploi : Archevêque de France
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Constantin de St Hilaire
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Mer 13 Jan - 23:50

Paris, le 11 mars 1590

Cher Aimable,

Votre lettre m'est parvenue ce matin et j'ai eu beaucoup de peine à me retenir de délaisser mon travail pour y répondre immédiatement. Heureusement, vous avez raison quand vous dîtes que les journées s'évanouissent en un battement de paupières. Quand le corps et l'esprit sont occupés, le temps semble toujours nous faire défaut ! Et c'est là une très bonne chose, l'oisiveté s'approchant dangereusement de la paresse qui est un bien vilain vice émoussant à la fois l'intelligence et la santé.

Pour commencer, je vous remercie pour votre promesse de protection. Il est vrai que pour un chevalier le maniement de l'épée est aussi vital que celui de la plume, mais de grâce gardez votre bravoure pour ceux qui en ont besoin. Je suis bien (un peu trop même) entouré ici et je dois dire que la pensée que vous seriez capable de férir une autre âme en mon nom me terrifie. Dans le livre des Psaumes de David, on retrouve le verset qui dit « A la vue des actions des hommes, fidèle à la parole de tes lèvres, Je me tiens en garde contre la voie des violents; ». Vos intentions sont pures, j'en ai l'assurance, mais veillez à rester éloigné du chemin de la brutalité.

À l'heure où vous recevrez ces lignes vous devez être en plein préparatifs pour votre voyage vers la capitale. Savoir que nous nous pourrons converser à nouveau en tête-à-tête me remplit de joie, à tel point qu'il est vrai que les gens de Paris ont soudainement l'air plus souriants et son ciel bien moins terne. Ou peut-être est-ce le printemps qui finit de s'y installer ? Quant aux monuments, je reconnais aisément que Paris regorge de trésors produits par la main de l'homme. L'architecture y est magnifique et que dire des nombreuses statues remplissant les places et les églises ? Le palais où je suis censé résider est également somptueux, je pourrais vous le faire visiter. À moins que vous ne préféreriez les jardins de sa Majesté ? Ils sont magnifiques, on y a fait importer toutes sortes de plantes venues d'autres pays et même des orangers du bout du monde, rendez-vous compte ! Ils sont natifs de cet étrange royaume qu'ils appellent la Chine je crois, même si les plants ont été acheté à une nurserie de Valence.
Ah mais regardez-moi déblatérer sur les fruits et légumes de la Reine ! Je compte sur vous pour couper court à mes divagations lorsque votre frère et vous viendront me rendre visite. Ce pauvre Ulric a passé l'âge de m'entendre bavasser comme un marchand de poissons.
En tout cas, vos gentils mots me font l'effet d'une bouffée d'air frais et me prédisposent à examiner Paris d'un oeil nouveau. Qu'on soit à la ville ou dans les montagnes, Dieu est partout et sa lumière resplendit sur chaque parcelle de notre bon Royaume, pour peu qu'on se donne la peine d'ouvrir les yeux.

Je me doute que mes gribouillis sur ce parchemin seront peu de chose face à l'absence de votre frère, mais permettez-moi encore une fois de vous adresser à nouveau mes condoléances. Si ce cher Baptiste n'est plus à son bureau, sa présence demeure avec vous et avec toute votre famille à la fois dans vos coeurs et dans le Royaume des Cieux depuis lequel il veille, libéré des malheurs terrestres. Cultivez le temps qu'il vous reste avec vos proches car comme vous me l'avez si bien écrit, le cours de la vie est rapide et c'est un flot que rien n'arrête. Il faut nager dans son sens en appréciant chaque rive sur lesquelles il nous emmène.
Adressez mes salutations à votre famille, en particulier à Côme pour qui je mérite pas de figurer dans ses prières. Je vous invite également chaudement à assister Marie dans son oeuvre caritative, vous verrez - non en fait je me doute que c'est déjà le cas, que peu de choses sur Terre valent la satisfaction que l'on puisse tirer à se mettre au service des plus démunis.

Lorsque je ferme les yeux, je sens l'odeur des crocus et entend le rire de Richard et d'Isabeau. Les images que vous me décrivent réchauffent mon être et me réconfortent dans l'idée que Dieu est généreux avec ses plus fidèles serviteurs.

Ne vous encombrez pas de vivres ou d'autres présents pour ma personne, j'ai tout ce qu'il me faut ici et même bien plus. Vous avoir à mes côtés est la seule chose que je puisse souhaiter. Toutefois, s'il vous reste un peu de place dans votre équipage, prenez quelques tomes du Bresson et vins de vos cépages et offrez-le aux soeurs de l'abbaye du Marais. Elles font un travail formidable à s'occuper des malades et seront ravies de goûter à ce genre de spécialités locales qu'on ne peut que difficilement se procurer.

Je dirais à mes gens de vous faire de la place dans mon emploi du temps dès que vous serez arrivé sur Paris. Pour une amitié telle que la votre, je peux aisément allonger mes journées.

Et vos excuses dans votre post-scriptum sont refusées. Je ne vous connais que trop bien pour deviner que vous ne pensez jamais à mal et le ton de vos lettres est teinté d'une spontanéité que je ne retrouve guère plus depuis ma prise de poste. Je vous prierais dès lors de ne pas changer vos formulations pour moi sans quoi je finirai par penser que vos missives ont été écrites par quelqu'un d'autre !

Je vous laisse sur cette boutade et vous adresse tous mes voeux les plus affectueux.

Le Fils et l'Éternel vous accompagnent et guident chacun de vos gestes,

Constantin de Saint Hilaire, votre ami qui prie pour vous.

P-S : Vous vous décrivez comme un animal farouche et je dois confesser qu'en effet, vous me faîtes penser à mon premier chien berger. Une bête magnifique, loyale et terriblement tendre sous ses manières bourrues et sa tendance à retrousser les babines devant les étrangers qui ne ferait pas de mal à une mouche.
P-P-S : Je m'excuse pour ces lignes d'au-dessus, je me suis emporté. Ma journée a été longue, j'écris cette lettre en plissant les yeux à la lueur d'une bougie qui menace bientôt de s'éteindre. Je dois me hâter de terminer cette missive, aussi n'ai-je pas assez réfléchi avant d'écrire cette bêtise. Jamais je n'oserai vous insulter, et de plus vous savez toute l'affection que je porte aux animaux et à vous aussi. Votre âme est bonne, vous me pardonnerez donc je l'espère pour ce maladroit compliment.
Constantin de St Hilaire
DEUS LUX NOSTRA

inventaire

Espèce : Humain
Emploi : Archevêque de France
Situation maritale : Uni à Dieu
Pièces : 4203
DC : potichien ✺ Hélène ✺ Hildegard ✺ Titi ✺ Adam ✺ Mélusine

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Constantin de St Hilaire
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Mar 16 Mar - 19:30
La lettre est abimée, des passages entiers sont noircis à l'encre ou raturés et l'écriture est tremblante. On peut sentir que l'auteur l'a écrite rapidement d'une main anxieuse.


Manoir d'Orambre, le 19 avril 1590

À l'attention du chevalier Aimable Eleuthère Séraphin De Bayard,

Mon cher Aimable,

Je vous fais parvenir en urgence ce courrier en espérant que vous et Ulric soyez rentrés sains et saufs dans les Alpes.
Comme prédit la semaine dernière, je suis arrivé à Évreux il y a deux jours pour une affaire bien sordide de Le texte est illisible.. Hélas, lors de notre dernière rencontre j'étais loin de me douter de l'atrocité de la mission qui m'a été confiée. À l'heure où je vous écris ces lignes, je crains pour ma vie. Et je crains de ne jamais avoir le temps de vous dire adieu et de rédiger mon testament. Je le fais donc sommairement, de façon très grossière, en espérant que vous pourrez me pardonner un jour de m'imposer à vous de la sorte. Mais Le texte est illisible. Le texte est illisible existence vous êtes l'ami le plus proche qu'il me reste encore. Je m'excuse alors si je suis incapable d'honorer ma promesse de vous visiter à la fin du Carême.

En premier lieu, au moment où vous lirez ces lignes, je vous ordonne de ne rien faire de stupide. Mon sort est scellé et je serais déjà soit déjà aux côtés du Tout Puissant, soit retourné à Le texte est illisible. Le texte est illisible. Quoiqu'il en soit, ne vous torturez pas l'âme et le corps : personne ne peut rien faire pour m'aider. Pas Le texte est illisible. Le texte est illisible

Je possède peu de choses sur cette terre, mon serment envers Dieu me l'interdit. Toutefois, si je venais à illisible disparaitre un jour, je m'en voudrais de le faire sans aucunes traces, sans aucun mémorial pour notre amitié.

Vous trouverez à l'adresse d'Émile Jourdan à Paris, dans ma chambre, le peu d'affaires que j'ai accumulé au cours de ma vie. Tout d'abord mes copies de la Bible. Vous donnerez les plus récents manuscrits à votre frère Côme et lui direz de ma part que voilà à quoi devrait ressembler le travail d'un écclesiaste qui s'applique. Les ouvrages les plus anciens, je vous les donne à vous, à Richard et à Isabeau. Ce sont des copies imparfaites, pleines de fautes d'un jeune homme apprenant à manier la plume avec les pages écornées et beaucoup de notes dans les marges mais je les affectionne. Elles me représentent mieux que mes derniers travaux car elles sont le reflet de tout mon apprentissage, mes doutes, mes épreuves et mes triomphes.
Elles me représentent mieux que mes journaux, cachés sous mon matelas. Ces journaux, je vous demande conjure supplie de les brûler. Vous les brûlerez sans les lire, vous les brûlerez sans les ouvrir. Ils Le texte est illisible. Le texte est illisible. Vous les brûlerez parce que vous m'aimez comme je vous aime, je le sais, j'en ai la certitude. Et si vous m'aimez vous me laisserez partir avec le souvenir de ces Bibles pleines de fautes et de tâches et non pas de ces mémoires tâchées de Le texte est illisible Cette personne dans ces journaux, ce n'est pas moi. Enfin ce n'est pas ce que j'ai envie de devenir à vos yeux.
Je sais que c'est une requête lâche et égoïste, je sais que votre affection mérite des réponses et j'aimerais sincèrement, honnêtement pouvoir vous les donner. Hélas le temps me manque et Le texte est illisible. Le texte est illisible
Au nom de notre amitié, Aimable, vous me laisserez partir comme vous m'avez connu.

La maison m'appartient, l'acte de propriété est dans un tiroir de mon bureau. Elle doit revenir à Alfred, mon assistant. Vous lui céderez uniquement à deux conditions : Premièrement, qu'il y fasse venir sa fille, son gendre et ses petits-enfants. Cette maison est trop grande pour qu'un homme de son âge y vive seul. Secondement, que la demoiselle Béatrice Botherel (j'ignore si c'est son véritable nom, mais vous la trouverez facilement) puisse librement y séjourner si elle le désire et qu'elle n'y manque de rien. Le texte est illisible. Le texte est illisible
Dans le même tiroir, il y a une chevalière avec les initiales P.J gravées dessus. C'est un bijou qui n'a presque aucune valeur sinon sentimentale car il appartenait à mon pauvre père. À vrai dire je ne sais pas quoi en faire, je n'ai pas et n'aurais jamais d'enfants à qui le transmettre mais l'idée de disposer du maigre héritage des Jourdans me fait mal au coeur. Pouvez-vous la garder dans votre domaine je vous prie ?
Le reste de mes biens, vous les confierez à votre soeur Marie pour son orphelinat. J'ignore si l'Église vous laissera conserver beaucoup de choses Le texte est illisible. Le texte est illisible. Le texte est illisible. une coquette somme de mes livres si vous les revendez.
Quant à mes correspondances, faites-en ce qu'il vous plait. Mes comparses auront tôt fait de récupérer les écrits les plus Le texte est illisible. sensibles. Je doute que la lecture de mes nombreux courriers ennuyeux vous soit utile. Vous êtes déjà trop gentil de supporter mes interminables lettres pleines de bêtises. Peut-être pouvez-vous les donner à votre autre soeur Hildegard ? Je pense qu'elle aurait beaucoup à apprendre de votre personne si elle pouvait lire vos courriers.

J'entends des bruits de pas dans les couloirs, je pense qu'on vient bientôt me chercher. Je dois me hâter de finir cette missive et m'excuse alors sincèrement de la finir ainsi.

Pour les lignes qu'il me reste encore, je vous remercie pour votre amitié, votre bonté, votre grandeur d'âme et de coeur et je vous dis que je vous aime mon ami. Le texte est illisible. On ne dit jamais assez ces choses. Qu'importe où je vais, vous êtes toujours dans mes pensées.

Que Dieu soit avec vous Aimable, l'amour du Christ, de votre famille et le mien vous accompagne déjà dans tous vos pas.

Soyez braves comme je ne l'ai pas été.

Le texte est illisible.

Votre ami Émile
Constantin de St Hilaire
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Espèce : Humain
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Constantin de St Hilaire
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Mar 23 Mar - 13:35

Paris, le 22 avril 1590

Mon cher Aimable,

Vous devez être grandement soulagé de recevoir une nouvelle lettre apposée de mon sceau si je ne m'abuse ? Je m'excuse pour la précédente, je ne sais pas quelle mouche m'a piqué (sans doute le choc d'être parmi les premiers à constater l'ampleur du drame). Je vais, en fait, plutôt bien grace à l'intervention du Duc de Normandie et de mes acolytes. L'affaire est résolue désormais même si mon coeur est toujours meurtri de repenser à toutes ces jeunes filles brisées et à leurs pauvres parents en deuil.
Vous pouvez disposer de ce maudit courrier et toutes les craintes qui y sont contenues.

Sa Majesté la Reine fait organiser une grande fête du printemps la semaine prochaine à laquelle je ne peux hélas pas échapper même si mon humeur ne se prête pas vraiment à de telles réjouissances. Y seriez-vous présent ? J'imagine que vous avez d'autres affaires plus importantes à régler mais si tel est le cas, peut-être pourrions-nous nous arranger pour nous rendre ensemble à votre domaine une fois les festivités closes ?
Votre soeur m'a récemment écrit pour m'informer qu'elle arriverait bientôt à la capitale elle aussi. À elle non plus je ne crois pas pouvoir échapper. On doit vous le dire souvent, mais elle ressemble vraiment beaucoup à messire Ulric, c'est fascinant.

Dîtes à votre frère Côme qu'il est inutile de piocher dans ses réserves de Chartreuse, ce n'est pas mon alcool favori. Et dîtes également à Ulric que lui et son épouse sont toujours dans mes prières. Enfin, dîtes aussi à Isabeau de persister dans son apprentissage de la Bible, j'ai grande hâte qu'il partage avec moi ses passages favoris.

Je vous salue et vous adresse toutes mes amitiés les plus sincères,
Que le Fils unique de Dieu veille sur vous et vous assiste dans le bonheur et dans l'épreuve,

Constantin de St Hilaire
Constantin de St Hilaire
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Constantin de St Hilaire
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Dim 6 Juin - 22:18

Paris, le 18 mai 1590

Très chère Eleanor,

Comment vous portez-vous ? Je réalise en rédigeant ces mots que je n'ai quasiment jamais pris le temps de vous écrire et en même temps j'ai conscience que vous êtes une femme très occupée avec sans doute d'autres choses à faire que de lire mes longues lettres ennuyeuses.
Je vais donc tâcher de faire bref même si vous connaissez mon amour pour les phrases longues et inutilement alambiquées. Heureusement, vous n'avez pas à me répondre : d'ici là à ce que votre missive arrive sur Paris je serais déjà parti !

En effet, je vous écris pour vous confirmer mon départ vers votre demeure. Votre époux a pris les devants pour sécuriser la route et s'occuper de quelques tâches et devrait arriver bien avant moi. Je n'ose pas lui imposer une semaine entière de voyage en calèche qui serait probablement très ennuyeuse et humiliante pour un cavalier de sa trempe. Vous l'imaginez tout recroquevillé et plié en deux dans un carrosse avec moi qui lui récite des versets de la Bible ? Personne ne mérite une telle punition et surtout pas votre mari.
Puis-je vous demander d'ailleurs de lui transmettre mes excuses ? Avec tous les événements récents, j'ai été particulièrement grossier et ait manqué de temps pour lui accorder ne serait-ce qu'une entrevue. Je l'ai bien aperçu à la fête du printemps (avec sa soeur !) mais hélas, impossible de lui adresser la parole ce soir-là, j'ai du tenir compagnie à la garde du corps de Sa Majesté (enfin c'est plutôt elle qui a du supporter ma compagnie).

Mais je divague encore ! J'abrège et je passe à l'essentiel !

En outre, je dois également m'excuser auprès de vous pour le côté tardif de cette information mais je voulais vous prévenir que je serais accompagné de ma cousine par alliance du côté de mon grand-père paternel. C'est une jeune femme appelée Calla dont on m'a récemment confiée la garde et que je n'ose pas laisser seule à la capitale. Elle n'est pas très chaleureuse mais j'imagine que c'est parce qu'elle n'est pas encore habituée aux moeurs françaises. Rien que l'hospitalité de votre famille ne saurait défaire bien sûr !

Enfin, je vous demande de vous focaliser sur les célébrations du baptême. Quand bien même j'ai hâte de retrouver votre légendaire tarte aux pommes, ne vous tracassez pas pour nous. Pour ce qui est de nos couches et de nos repas, Calla et moi-même nous contenterons du strict nécessaire car le simple fait de passer du temps en votre compagnie (et celles de vos vaches !) suffira amplement à nous remplir de bonheur.

Je conclus donc rapidement cette lettre en vous adressant ma bénédiction à vous ainsi qu'à Richard et à Isabeau que j'ai hâte de serrer dans mes bras.
Sachez que je prierai pour que le trajet de retour de votre mari se fasse sans encombres.

Amicalement,

Constantin de St Hilaire
Françoise de Bellevallée
HUMAINE - MARQUISE

inventaire

Inventaire : Ceci est votre inventaire
Pièces : 3173

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Françoise de Bellevallée
Inventaire : Ceci est votre inventaire
Pièces : 3173
Dim 21 Nov - 17:34


Dame de Bayard
Mes excuses pour le retard de ma réponse.

Aucun mot ne saurait dignement représenter ce que la perte d'Ignace à laisser dans mon cœur. Je n'ai malheureusement guère eut le temps de me porter en deuil trop longtemps car mon père me chercher actuellement un époux et est sur le point d'y arriver. Voici pourquoi je n'étais pas présente au bal d'Augustine et vous m'en voyez navrée. J'espère avoir l'occasion d'y être l'année prochaine, si Dieu le veut.

Dites à votre mari que j'ai effectivement réussi à faire parvenir mon tableau à la Dame de Navarre.

Merci encore pour votre sollicitude,
Que Dieu vous garde,
Françoise de Bellevallée
Hildegard C. De Bayard
Abbesse-les-yeux

inventaire

Inventaire : — Un écu aux couleurs des De Bayard.
— Courtaud (cheval boulonnais gris ordinaire).
— Un espadon en alliage de cuivre et d'argent (élite).
— Une dague recouverte de cuivre et d'argent (élite).
— Une masse d'armes en alliage de cuivre et d'argent (élite)
— 1x onguent.
— 3x anti-douleurs.
— 3x anti-venin.
Espèce : Humaine.
Emploi : Abbesse — Milicienne.
Situation maritale : A fait voeu de célibat.
Pièces : 3705
DC : Constantin — Mordeuse — Hélène — Titi — Adam — Mélusine.

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Hildegard C. De Bayard
Inventaire : — Un écu aux couleurs des De Bayard.
— Courtaud (cheval boulonnais gris ordinaire).
— Un espadon en alliage de cuivre et d'argent (élite).
— Une dague recouverte de cuivre et d'argent (élite).
— Une masse d'armes en alliage de cuivre et d'argent (élite)
— 1x onguent.
— 3x anti-douleurs.
— 3x anti-venin.
Espèce : Humaine.
Emploi : Abbesse — Milicienne.
Situation maritale : A fait voeu de célibat.
Pièces : 3705
DC : Constantin — Mordeuse — Hélène — Titi — Adam — Mélusine.
Jeu 25 Nov - 0:21

Abbaye de Bonlieu,
Aimable,

Il est du devoir du chevalier que de mettre son arme au service de son Seigneur et du Très-Haut et c'est d'ailleurs la première chose qui le distingue du brigand de grand chemin. Baptiste et père ont toujours été fidèles à la cour de Bourgogne, je t'encourage à en faire de même non pas pour le soutien que ce nouveau duc pourrait nous apporter mais parce que la région a besoin d'un dirigeant fort pour être correctement tenue.
Je me dois cependant de te mettre en garde vis-à-vis de ce personnage. N'oublie pas que tout pouvoir corrompt et qu'il existe dans ton cas un conflit avec ton serment envers la Couronne. Si jamais ce duc se levait contre notre suzeraine, qui choisiras-tu de suivre ?

À titre personnel, j'ajoute que je trouve également de mauvais ton de monnayer la loyauté des De Bayard contre la promesse de fonds envers les nécessiteux et les serviteurs de Dieu. Si ce duc est bon et croyant, il n'attendrait pas de soutien de notre part avant d'offrir le sien aux nécessiteux.

Je pense également souvent à Baptiste et prie régulièrement pour le repos de son âme. Ces derniers temps passés cloîtrée au monastère pour des raisons de santé (rien de grave, une mauvaise fièvre, je me fais sans doute simplement vieille) m'ont permise de me consacrer pleinement à ma foi et à mes soeurs, mais sache qu'il me tarde d'assister à la future ordination de notre ami commun.

En attendant, je t'adresse à toi et au reste de la famille mes pensées et mes prières.



Mère Supérieure Hildegard Constance de Bayard


La lettre est également accompagnée d'une petite enveloppe qui dans son dos contient l'adresse d'une petite auberge sur la route menant du domaine des Bayard à Paris ainsi que d'une date suivie de la mention suivante : « Prends garde à ne pas être suivi ».
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Ven 3 Déc - 21:55
A l’attention du Chevalier Aimable Eleuthère De Bayard,

Je vous écris mon ami pour prendre de vos nouvelles, n’ayant pas eu la chance de vous croiser depuis la merveilleuse soirée du Bal d’Augustine. J’espère que vous vous portez bien et que votre ami ne vous cause guère de souci.

Notre dernière entrevue ayant été interrompue par une jolie fleur désireuse d’adopter une famille de chats, je souhaiterais vous proposer une nouvelle rencontre. Je me trouverai au domaine de mon frère pour quelque jours, je vous propose donc de m’y rejoindre dès que possible. Nous aurons ainsi l’occasion d’évoquer le sujet de votre ami ainsi que bien d’autres. Vous l’aurez peut-être entendu, je serais très bientôt mariée.

En attendant de recevoir de vos nouvelles, je prie mon amie de prendre bien soin de vous et de vos proches.

Diane d’Orléans
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Dim 12 Déc - 11:52
A l’attention du Chevalier Aimable Eleuthère De Bayard,

Naturellement, en tant que Chevalier et sujet de Sa Majesté, votre loyauté lui revient de droit. Je ne me permettrai jamais de vous contraindre dans vos obligations envers notre souveraine.

Néanmoins, je vous mentirai si je vous disais ne pas être ravi que votre famille accepte de conserver de bons liens avec la Bourgogne. Nous saurons en faire bon usage si l'avenir nous y contraint, autrement, je serai ravi d'avoir tout simplement une amitié durable avec les De Bayard.

Je ne puis pour le moment me déplacer jusqu'à la capitale pour vous remercier de vive voix et échanger une poignée de mains solennelle avec vous. Il se peut que je sois appelé par Sa Majesté très prochainement à revenir sur Paris, le cas échéant je vous tiendrai au courant pour organiser une nouvelle rencontre entre nous.

Dans l’attente d’avoir de vos nouvelles,
Prenez soin de vous.

Guillaume de Bourgogne, Duc de Bourgogne
Françoise de Bellevallée
HUMAINE - MARQUISE

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Françoise de Bellevallée
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Sam 18 Déc - 23:00


Dame de Bayard
Je vous remercie pour vos gentils mots à mon égard.

Je ne connais pas encore mon futur époux suffisamment pour me faire un avis à son sujet. Il semble être un homme droit et fier, comme on peut en attendre de la part de ceux qui donne leurs vies pour servir notre pays. C'est un militaire nommé Sir de Bray, j'ignore si vous le connaissez ?

Je vous souhaite le meilleur. Si la possibilité m'est laissée, j'aimerais vous inviter à mes noces.

Que Dieu vous garde,
Françoise de Bellevallée


L'écriture est parfois hésitante et on perçoit quelques irrégularités sur la feuilles, comme si de l'eau était tombée dessus.
Constantin de St Hilaire
DEUS LUX NOSTRA

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Espèce : Humain
Emploi : Archevêque de France
Situation maritale : Uni à Dieu
Pièces : 4203
DC : potichien ✺ Hélène ✺ Hildegard ✺ Titi ✺ Adam ✺ Mélusine

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Constantin de St Hilaire
Espèce : Humain
Emploi : Archevêque de France
Situation maritale : Uni à Dieu
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Dim 19 Déc - 15:06

Paris,

Cher Aimable,

Vous m'excuserez du côté décousu de ma plume, c'est qu'avec la nouvelle de mon ordination je n'ai plus une minute à moi ! Il me tenait ceci dit de répondre à votre courrier au plus vite.

Tout d'abord c'est moi qui vous remercie vous et Eleanor d'avoir été de si charmante compagnie lors du bal. Quel plaisir de vous avoir à mes côtés au milieu des eaux turbulentes que sont les intrigues de ce genre d'événements mondains ! Et ne vous souciez pas pour votre malaise, ces choses arrivent !
J'en profite pour ajouter que même si elle ne vous l'a pas clairement exprimé, Mademoiselle Calla était ravie d'avoir pu danser avec vous ! Vous la connaissez, elle est timide pour ces choses-là.

Je ne sais malheureusement que peu de choses sur le nouveau Duc si ce n'est qu'il a été recommandé par son prédécesseur et d'autres grands noms de sa région mais je ne peux que vous encourager à pérenniser cette alliance qui sera symbole de paix et de bonne gestion des terres de Bourgogne !
Comme vous le dîtes si bien, les engagements que vous contracterez pour des raisons politiques sont peu de choses tant que vous resterez fidèle à votre serment de chevalier et surtout à votre promesse envers le Très-Haut de servir la justice et de protéger les faibles.

Je ne mentirai pas : votre demande m'inquiète. Toutefois, je suis bien placé pour savoir le genre de sentiers obscurs que votre occupation vous force à emprunter. Il est des épreuves qui vous marquent à vie et qui jamais ne guérissent vraiment. C'est un fardeau difficile à porter mais nécessaire car vous êtes le gardien du Seigneur et si vos entailles saignent encore ce sont bien les preuves que vous avez épargné bien des maux à vos compatriotes.
Je suis heureux de savoir que votre état s'améliore mais pensez-vous que nous devrions vous revoir ? Je ne pense pas pouvoir me déplacer à nouveau mais s'il est nécessaire pour vous de venir à Paris je ferais en sorte que vous soyez reçu comme il se doit.

Je prie pour que rien ne vous arrive mais si le malheur venait un jour à frapper à la porte des De Bayard, ayez l'assurance que je prendrais personnellement toutes les dispositions pour que votre famille - en particulier votre épouse et vos enfants, ne manquent jamais de rien. Richard et Isabeau disposeront des meilleurs précepteurs qu'il me soit donné de trouver s'ils choisissent respectivement de poursuivre une carrière ecclésiastique ou militaire.

Quelles que soient les épreuves qui se dressent sur votre chemin, sachez également que mon amitié et l'amour de Dieu sont avec vous et qu'il n'est ni intrigues, ni alliances, ni aventures qui ne sauraient changer l'affection que j'ai à votre égard.

Que la Sainte Vierge veille sur votre rétablissement et le bonheur de vos proches,
Votre dévoué,
Émile

P-S : Savoir que Richard, Isabeau et Eleanor ont apprécié leur séjour à la capitale me procure beaucoup de joie. Embrassez-les de ma part.
P-P-S : J'attends encore le colis de votre beau-frère mais ne manquerez pas lui écrire pour le remercier de son présent quand je l'aurais reçu !
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