Mar 22 Juin - 23:58
Les véritables fous sont ceux qui le nient.
C’est un homme chaleureux, courtois et généreux. Il sait venir en aide quand l’envie l’en prend. Il se lie facilement aux autres, mais est incapable d’entretenir une relation quelconque. Si vous le comptez parmi vos amis, ce n’est pas son cas. Et il est possible que vous finissiez par l’oublier avec le temps. Il ne s’en formalisera pas.
Homme de science avant toute chose. Remord et culpabilité lui sont parfaitement étrangers. Il est persuadé que ce qu’il fait est normal. Et ça n’a rien à voir avec la doctrine de l’Eglise Souterraine.
Tout ceci est bien beau, mais Bénédicte est comme une pièce. S’il a une face sociale, le côté pile est moins reluisant.
Il ne cache pas sa satisfaction à faire du mal aux autres. Ne faites pas semblant, ça vous est déjà arrivé.
Irritable, il tolère très peu la frustration. Ça le rend impulsif, agressif et violent. Autrement dit, c’est dangereux de rester dans les parages quand ses recherches se passent mal ou quand vous le contrariez.
Il a tendance à rejeter la faute sur les autres ou, en cas de colère, à faire comme s’il ne s’était rien passé. Il n’est pas de ces gens mielleux qui s’excusent en vous promettant que ça ne se reproduira plus. Parce que Bénédicte est conscient qu'il recommencera.
[tw : Présence de violences, de propos (sous-entendus ou pas) sur des sujets comme l'autopsie, la dissection, j'en passe et des meilleurs. Point de lecture pour les gens sensibles.]
Fils d’un médecin qui organisait des autopsies illégales (et cachées), Bénédicte fut vite fasciné par la mécanique du corps. Hélas quand sa sœur fut en âge de galoper partout, Bénédicte ne put plus assister au travail de son père. Sous prétexte qu’il devait aider sa mère à veiller sur l’enfant née aveugle. Bénédicte était furieux. Il se vengea sur sa sœur en la pinçant régulièrement. Et comme il détestait l’entendre pleurer, il en venait à la bousculer. Pris parfois sur le vif, il était puni. Le problème de ce garçon, c’était qu’il n’apprenait rien des sanctions. Il était persuadé d’être dans son bon droit de se venger de sa petite sœur. Sa mère n’avait aucune autorité sur lui. Il répondait et commençait à la frapper en représailles. Son agressivité prit forme à cette époque. Il était destructeur, envoyant valdinguer tout ce qui traînait. Plus sa mère essayait de le corriger et plus il s’en prenait à elle. Il avait beau être jeune, elle était dépassée. Son problème avec l’autorité ne s’arrêta pas là. Placé en couvent, il fut rapidement renvoyé à cause de son attitude.
Un choix s’imposa : supporter sa famille ou vivre loin d’eux.
Ses parents trouvèrent finalement une école épiscopale où il y passa toute sa jeunesse.
Rapidement, il déclara à l’un de ses maîtres que son père faisait de très mauvaises choses sur des morts. Larmoyant et pleurnichant à moitié, comment ne pas le croire ? Après l’arrestation et l’enquête, son père fut jugé et condamné au bûcher. Le pauvre garçon fut pris en pitié. Il fit tout ce qu’il fallait pour être plaint sans trop attirer l’attention.
Certains prétendirent qu’il y avait eu un miracle. Bénédicte était seulement éloigné de son sujet de frustration.
L’heure de choisir une profession arriva bien assez tôt. Réciter des trucs appris par cœur ne semblait pas trop fatiguant pour gagner sa vie. Ce fut ainsi qu’il entra dans les ordres et devint curé quelques années plus tard. Il n’avait pas de grandes ambitions. Il ne demandait qu’à s’installer dans une petite ville et faire son travail. La vie devint monotone.
Son premier amour se rappela à lui. Adulte et libre de ses mouvements, il étudia la médecine dans son coin et la mit en pratique sur de petits animaux. Soigner n’était pas drôle ; il se tourna vers la recherche.
Les gens du coin trouvèrent les animaux bizarres avec leurs stigmates pas naturels, alors il y eut une enquête. Et il a suffi d’un témoin pour incriminer Bénédicte qui fut arrêté sur-le-champ. Toutefois la chance était de son côté. Son cas ne passa pas inaperçu. Une personne vint à sa rencontre. On lui offrait la liberté s’il se montrait utile à la cause. Il se fichait de ce qu’on lui offrait. Il se fichait de savoir ce que deviendrait sa mère et sa sœur, de toute manière il n’avait déjà plus de contact avec elles. Il accepta aussi simplement que cela puisse paraître. Aucun doute. Après tout il s’agissait de sauver sa propre vie. Et pour ça, il était prêt à beaucoup de choses.
On lui donna un faux nom (Pierre d’Auray), mais il le détestait et n’aimait pas l’utiliser. Il n’était plus un homme d’église, ça ne l’avait jamais vraiment intéressé. Et plus tard il eut un laboratoire, malheureusement les petites balades devaient rester limitées. Il n’y vit aucun inconvénient.
Son utilité fut de premier ordre. Bénédicte était avide de connaître ces formes de vie inconnues dont on lui parla. Et quoi de mieux pour les étudier que de mettre les mains dedans au sens propre (ou sale, c’est vous qui voyez).
S’essayant à la création, il parvint à obtenir deux êtres viables. Deux artificiels. Sa bête était puissante, mais rapidement incontrôlable, alors que son ange était proche de la perfection.
Deux artificiels étaient très insuffisants. Bénédicte en voulait d’autres. Il voulait créer encore et toujours plus. Comme Dieu.
Bénédicte de Saint-Benoît
La folie n’est que ce que l’on en fait.
Sexe : masculin
Date & lieu de naissance : 01/05/1553 à Saint-Benoît
Âge : 37 ans
Race : humain
Groupe : peuple
Métier / fonction : scientifique pour l'Église Souterraine / médecin à ses heures perdues
Condition sociale : il s’en sort.
Feat : Yuri Petrov – Tiger & Bunny
Date & lieu de naissance : 01/05/1553 à Saint-Benoît
Âge : 37 ans
Race : humain
Groupe : peuple
Métier / fonction : scientifique pour l'Église Souterraine / médecin à ses heures perdues
Condition sociale : il s’en sort.
Feat : Yuri Petrov – Tiger & Bunny
Caractère
Les véritables fous sont ceux qui le nient.
C’est un homme chaleureux, courtois et généreux. Il sait venir en aide quand l’envie l’en prend. Il se lie facilement aux autres, mais est incapable d’entretenir une relation quelconque. Si vous le comptez parmi vos amis, ce n’est pas son cas. Et il est possible que vous finissiez par l’oublier avec le temps. Il ne s’en formalisera pas.
Homme de science avant toute chose. Remord et culpabilité lui sont parfaitement étrangers. Il est persuadé que ce qu’il fait est normal. Et ça n’a rien à voir avec la doctrine de l’Eglise Souterraine.
Tout ceci est bien beau, mais Bénédicte est comme une pièce. S’il a une face sociale, le côté pile est moins reluisant.
Il ne cache pas sa satisfaction à faire du mal aux autres. Ne faites pas semblant, ça vous est déjà arrivé.
Irritable, il tolère très peu la frustration. Ça le rend impulsif, agressif et violent. Autrement dit, c’est dangereux de rester dans les parages quand ses recherches se passent mal ou quand vous le contrariez.
Il a tendance à rejeter la faute sur les autres ou, en cas de colère, à faire comme s’il ne s’était rien passé. Il n’est pas de ces gens mielleux qui s’excusent en vous promettant que ça ne se reproduira plus. Parce que Bénédicte est conscient qu'il recommencera.
Histoire
[tw : Présence de violences, de propos (sous-entendus ou pas) sur des sujets comme l'autopsie, la dissection, j'en passe et des meilleurs. Point de lecture pour les gens sensibles.]
Fils d’un médecin qui organisait des autopsies illégales (et cachées), Bénédicte fut vite fasciné par la mécanique du corps. Hélas quand sa sœur fut en âge de galoper partout, Bénédicte ne put plus assister au travail de son père. Sous prétexte qu’il devait aider sa mère à veiller sur l’enfant née aveugle. Bénédicte était furieux. Il se vengea sur sa sœur en la pinçant régulièrement. Et comme il détestait l’entendre pleurer, il en venait à la bousculer. Pris parfois sur le vif, il était puni. Le problème de ce garçon, c’était qu’il n’apprenait rien des sanctions. Il était persuadé d’être dans son bon droit de se venger de sa petite sœur. Sa mère n’avait aucune autorité sur lui. Il répondait et commençait à la frapper en représailles. Son agressivité prit forme à cette époque. Il était destructeur, envoyant valdinguer tout ce qui traînait. Plus sa mère essayait de le corriger et plus il s’en prenait à elle. Il avait beau être jeune, elle était dépassée. Son problème avec l’autorité ne s’arrêta pas là. Placé en couvent, il fut rapidement renvoyé à cause de son attitude.
Un choix s’imposa : supporter sa famille ou vivre loin d’eux.
Ses parents trouvèrent finalement une école épiscopale où il y passa toute sa jeunesse.
Rapidement, il déclara à l’un de ses maîtres que son père faisait de très mauvaises choses sur des morts. Larmoyant et pleurnichant à moitié, comment ne pas le croire ? Après l’arrestation et l’enquête, son père fut jugé et condamné au bûcher. Le pauvre garçon fut pris en pitié. Il fit tout ce qu’il fallait pour être plaint sans trop attirer l’attention.
Certains prétendirent qu’il y avait eu un miracle. Bénédicte était seulement éloigné de son sujet de frustration.
L’heure de choisir une profession arriva bien assez tôt. Réciter des trucs appris par cœur ne semblait pas trop fatiguant pour gagner sa vie. Ce fut ainsi qu’il entra dans les ordres et devint curé quelques années plus tard. Il n’avait pas de grandes ambitions. Il ne demandait qu’à s’installer dans une petite ville et faire son travail. La vie devint monotone.
Son premier amour se rappela à lui. Adulte et libre de ses mouvements, il étudia la médecine dans son coin et la mit en pratique sur de petits animaux. Soigner n’était pas drôle ; il se tourna vers la recherche.
Les gens du coin trouvèrent les animaux bizarres avec leurs stigmates pas naturels, alors il y eut une enquête. Et il a suffi d’un témoin pour incriminer Bénédicte qui fut arrêté sur-le-champ. Toutefois la chance était de son côté. Son cas ne passa pas inaperçu. Une personne vint à sa rencontre. On lui offrait la liberté s’il se montrait utile à la cause. Il se fichait de ce qu’on lui offrait. Il se fichait de savoir ce que deviendrait sa mère et sa sœur, de toute manière il n’avait déjà plus de contact avec elles. Il accepta aussi simplement que cela puisse paraître. Aucun doute. Après tout il s’agissait de sauver sa propre vie. Et pour ça, il était prêt à beaucoup de choses.
On lui donna un faux nom (Pierre d’Auray), mais il le détestait et n’aimait pas l’utiliser. Il n’était plus un homme d’église, ça ne l’avait jamais vraiment intéressé. Et plus tard il eut un laboratoire, malheureusement les petites balades devaient rester limitées. Il n’y vit aucun inconvénient.
Son utilité fut de premier ordre. Bénédicte était avide de connaître ces formes de vie inconnues dont on lui parla. Et quoi de mieux pour les étudier que de mettre les mains dedans au sens propre (ou sale, c’est vous qui voyez).
S’essayant à la création, il parvint à obtenir deux êtres viables. Deux artificiels. Sa bête était puissante, mais rapidement incontrôlable, alors que son ange était proche de la perfection.
Deux artificiels étaient très insuffisants. Bénédicte en voulait d’autres. Il voulait créer encore et toujours plus. Comme Dieu.
Derrière l'écran
Pseudo : Thi
Âge : toujours pareil
Comment as-tu trouvé le forum ? Il m’a trouvé.
Un petit mot ? Clin d’œil à ceux qui reconnaîtront ce reboot.
Pseudo : Thi
Âge : toujours pareil
Comment as-tu trouvé le forum ? Il m’a trouvé.
Un petit mot ? Clin d’œil à ceux qui reconnaîtront ce reboot.
Jeu 24 Juin - 9:11
Encore un mec de l'église ? Ils pullulent disdonc
Sinon, rebienvenue parmi nous, hâte de voir ce perso (fort intéressant comme toujours ) évoluer en rp
Sinon, rebienvenue parmi nous, hâte de voir ce perso (fort intéressant comme toujours ) évoluer en rp
Jeu 24 Juin - 14:35
Merci, ma p'tite dame.
Ne fais pas cette tête, je n'ai rien contre les êtres de la nuit. Si nos persos se rencontrent, ce sera en tout bien tout honneur
Ne fais pas cette tête, je n'ai rien contre les êtres de la nuit. Si nos persos se rencontrent, ce sera en tout bien tout honneur
Jeu 24 Juin - 17:55
Coucou Bénédicte et rebienvenue ici !
Eh bien eh bien, c’est encore un personnage haut en couleurs et plein de gentillesse ( ) que tu ponds. Il promet des étincelles le petiot :mdr :
Il y a cependant quelques points que je voudrais revoir avec toi pour que l’ensemble colle au lore du forum.
- Tu dis que son père est un médecin réputé mais qui faisait des autopsies illégales. Je suis navrée mais ce point n’est pas possible. En de très rare cas, les autopsies pouvaient être autorisées, cependant le côté illégal conduirait immédiatement à la prison ou pire, au bûcher –en plus de jeter l’opprobre sur toute la famille.
- Tu dis qu’il est envoyé au couvent, mais n’est-ce pas plutôt dans un Monastère ? Ou alors Bénédicte est une femme et je ne l’ai pas compris ainsi ? (N’hésites pas à me dire, Papa Mirette est long à la détente, c’est un secret pour personne )
- De plus, être renvoyé de chez les religieux serait un très gros point négatif. Pour réintégrer les ordres par la suite, il aurait sans doute dû passer par une phase de rédemption, plus ou moins. Dans tous les cas, cela rejaillira sur la famille et sa réputation, d’office.
- Ensuite, après ses années de curé, tu dis qu’il a commencé à soigner puis à martyriser des animaux (ew, j’étais pas prêt à lire un truc pareil, j’aurais dû faire plus attention ). Puis vient l’excommunication. Cela équivaut au bûcher ou à la prison à vie, normalement.
- Je vois bien le lien avec l’Eglise souterraine et je ne peux nier que je le trouve très intéressant. Toutefois, une phrase arrêté dans la lecture. La voici « Et comme on crut que son excommunication était un drame, on lui promit de le réintégrer s’il se montrait utile à la cause. ». L’Eglise souterraine n’est pas aussi à cheval que l’Eglise catholique sur les croyances. Ils ne l’auraient pas réintégré sauf s’il avait été très docile et utile à leur cause – par exemple, Constantin est un pion d’excellence pour eux -, ce que je devine ne pas être en accord avec ton personnage, plutôt instable.
- Bénédicte ne se ferait pas appeler « père » ni se serait curé, du coup. Dans le milieu saint ça fini toujours pas se savoir. On lui aurait probablement donné un faux nom aussi.
- Enfin, tu dis « Son mépris pour la sécurité est une irresponsabilité sans nom. Il est un danger pour lui et pour les autres » C'est non, l'Eglise souterraine ne prendrait pas de risque avec un type pareil. Ils ont besoin de soutiens fiables, ce que Bénédicte ne leur prouverait pas être s’ils doivent constamment le surveiller. Ils ont suffisamment de travail pour pas démultiplier Dans un tel cas de figure, il finirait à l'échafaud, au bûcher ou en prison à vie.
Voilà, je te laisse reprendre ces points ou venir me toper en PV pour arranger les points susnommés. N’hésites pas surtout et bonne journée à toi. :love :
Jeu 24 Juin - 23:18
Comme convenu, j'ai fait les changements qui s'imposaient.
En espérant que cette version conviendra mieux.
En espérant que cette version conviendra mieux.
Ven 25 Juin - 18:30
Eh bien mes cousins ! En voilà un type que j'aimerai pas inviter à aller prendre un verre, il serait capable de me piquer ma pupille
Très hâte de voir comment il va se débrouiller en RP en tout cas
Allez hop c'est validé !
Tu peux aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là !
Validation !
Les mains d'argent
Eh bien mes cousins ! En voilà un type que j'aimerai pas inviter à aller prendre un verre, il serait capable de me piquer ma pupille
Très hâte de voir comment il va se débrouiller en RP en tout cas
Allez hop c'est validé !
Tu peux aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là !