Sam 4 Déc - 22:47
+ qualités
Discrète – Impartiale – Prudente – Adroite – Honnête – Avenante – Sensible
- défauts
Couarde – Passive – Indécise – Pessimiste – Effacée – Solitaire – Introvertie – Cynique
Charte Astrologique détaillée
>> Soleil en Poisson :
"Le Soleil représente la vitalité, l'individualité, la volonté. Il s'agit du signe premier, de la tendance caractérielle : il représente la partie plus authentique de l'être, celle d'accès réservée aux proches."
Ma grande intuition et mon extrême sensibilité me font percevoir naturellement ce que d'autres saisissent par l'analyse. Je ne suis que peu les normes en place, les modèles de société ou d'éducation, préférant me forger une morale personnelle. Un sentiment d'isolement peut naître de mes capacités à vivre des émotions inconnues de mon entourage. Cette grande impressionnabilité me confère un sixième sens, un fort ressenti des situations. Il est des circonstances qui réclament une faculté de distance, de détachement, sans laquelle on s'enlise dans les impératifs de l'instant, les luttes inutiles d'un jour, les conflits stériles.
Ma force : une intuition très fine des enjeux sous-jacents, une sensibilité qui fait de "l'air du temps" une véritable boussole. Toute activité nécessitant un certain recul me convient. Je perçois avant d'autres les dangers d'une aventure, les risques d'échec ou de cessation... Aussi renoncé-je, parfois sans raison, à un objectif non encore épuisé. Dès lors, il importe de me préserver des désenchantements gratuits. Mais mes conseils sont formulés en demi-teintes, dans un langage particulier. Bien avisé celui qui écoute et comprend mes intuitions souvent justes mais difficilement explicables.
>> Ascendant en Cancer :
"L'Ascendant donne des indications sur l'apparence physique et la santé, mais surtout le caractère tel que les autres personnes le perçoivent au premier abord, et la façon spontanée de réagir ; il est la partie apparente de la personnalité."
Je parais d'une nature rêveuse, discrète, tournée vers les songeries, le silence, et la nostalgie du passé. Tout semble être instinct et ressenti. Tout mon être semble tourné sur protection ou défense de moi-même vis-à-vis de l'extérieur, en toute prudence et discrétion. Une imagination fertile voire même infinie semble pourtant émaner de moi, une propension à éviter tout risque inutile, à rechercher la sécurité en ne me dévoilant que lorsque la confiance est là.
>> Lune en Vierge, dominante :
"La Lune représente la réaction instinctive, la prédestination inconsciente, l'humeur de tous les jours, la sensibilité, l'émotivité, la partie féminine du caractère, l'intuition, l'imagination."
Il y a chez moi un vif désir de sécurité, un souci constant de maîtrise de mon univers intime. Ce qui m'est familier doit être choyé, protégé, et la recherche du bien-être et de la quiétude motive beaucoup de mes actes. Ma nature sensible se nourrit de ces moments de repos durant lesquels je laisse mon imaginaire vagabonder à loisir : c'est ma manière de trouver inspiration et équilibre, c'était ma manière de m'évader du temps où je vivais enfermée. Rien ne doit alors déranger ce sentiment de plénitude et de sécurité ; je suis attachée à ces moments durant lesquels on oublie tout, on se laisse aller à la dérive, sans but défini, sans autre dessein que celui de se sentir bercé par une ambiance, une situation, un moment privilégié. Il est des inspirations que l'on ne peut trouver qu'en lâchant prise, des équilibres qui reposent sur une alternance d'activité et de laisser-aller. Mes qualités s'exprimeront pleinement dès que la situation réclame familiarité ou intimité, et mes capacités sont à même de respecter le milieu que je découvre et dans lequel j'évolue, à m'y fondre, de m'y effacer.
>> Pluton en Sagittaire, dominante :
"Pluton représente les transformations profondes, les mutations et éliminations, la sexualité, le pouvoir et les secrets qui mue l'être tout entier. Il incarne la destruction en vue de la régénération"
Je me sens souvent comme étrangère au monde, à ses lois comme à ses préoccupations. Les règles du jeu social ne sont pas nécessairement les miennes. J'éprouve aussi le sentiment, confus parfois, de n'être de nulle part, de ne me sentir appartenir réellement et intimement à aucun groupe bien défini. De part mon sexe certes, mais parfois cela semble venir de plus loin, de plus profondément... Ce fossé qui me sépare des autres, du commun des mortels, fait aussi ma force : une force de lucidité, avant tout, et de prudence.
Je suis sensible à l'inconnu, qui me terrorise. Il y a peut-être quelque chose de marginal dans ma manière d'être, de penser ou d'agir. Est-ce une vie en dehors des sentiers battus, ou, plus simplement, une distance vis-à-vis de la morale conventionnelle qui fait ma spécificité ? Je n'en aurai moi-même pas la réponse... Reste à vaincre l'une des difficultés majeures d'une telle configuration : faire admettre sa différence, s'intégrer sans heurt.
Le temps s’efface comme s’enfuit la fumée d’un encensoir, il y avait maintenant bien trop longtemps que j’étais rendue à cette vie déchue et illusoire. Le temps comme la lumière s'efface, ne laissant que l’ombre de mes pas et de mes traces.
Fermant les yeux j’imaginais ce ciel étoilé, cet insaisissable velours nocturne aux éclats dorés. Depuis combien de temps seulement ne l’avais pas vu ? Depuis combien de temps ne m’étais-je pas délectée d’une quelque brise caressant ma peau ? Je n’étais que le reflet d’une vie, une âme inconnue, solitaire et démunie. Je ne me souvenais presque plus de mon enfance, de ces lointains souvenirs lumineux qui me sembleraient presque avoir été inventés par mon imaginaire de toute sa défaillance. Les réminiscences ne revenaient pas à moi, perdues à jamais, et mon identité ainsi que mon passé s’effaçaient doucement, tels des fantômes vacillants emportés par le vent. Envolés au loin. Écartés de tout espoir vain.
Y avais-je seulement déjà goûté, à la vie? Impossible à dire. Cloîtrée dans ces ténèbres, parquée comme un ignominie funèbre, j'avais l’impression de ne connaître que ces quatre murs qui me gardaient enfermée en huis clos. Depuis toujours, depuis bien trop longtemps et peut-être aussi bien trop tôt. Enchaînée. Bâillonnée. Les poignets alourdis de chaînes pour une raison qui m’échappait, les membres chaque jour plus douloureux après le passage de mes éternels bourreaux qui chaque jour revenaient. Ces gens qui se définissaient comme des justiciers, effacés sous le nom auto-proclamé << d’Eglise Souterraine >>. Ils me maltraitaient avec grand soin, ils faisaient de multiples expériences que je ne comprenais pas. Ils me répétaient sans cesse les notions de loyauté et de dévotion, ils n’avaient de cesse d’acclamer que j’étais grandement attendue, que je répondais à toutes leurs attentes. Ces douleurs lancinantes étaient donc la résultantes de leurs prévisions ? Je ne me devais que d’attendre, subir, et résister ? Peut-être. Après tout, jusque là, c’était tout ce que j’avais su faire. Pourquoi patienter, et jusqu'à quand ? Je n’en savais moi-même rien, ce n’était peut-être qu’une façon de garder la raison, d’entretenir l’étincelle d’une lueur d'espoir. Sans en avoir la conviction que cette étincelle deviendrait un jour une flamme…
Cette fois pourtant, si. Mon étincelle devint flamme, elle devint même un embrasement : la chance, ou le Destin, s’était imposé à moi. J’avais tant patienté, tant souffert ; et pourtant, sans forcer ni brusquer l’ordre des choses, l'occasion de s’échapper d’ici s’était finalement présentée. J’ignorais ce qu’il s’était passé ce jour-là, mais leur visite fut écourtée par ce qui semblait avoir été un incident, mes bourreaux s’étaient empressés de sortir lorsque leur collègue leur amena une information qui les avait rendus livides. Ils partirent dans leur précipitation, me laissant seule face à ce nouvel entrant. Allié ou ennemi, homme ou femme, impossible à savoir : une epaisse capuche taisait son identité et ses intentions. Nous étions juste là, attendant que le silence se fasse pleinement, comme deux âmes au coeur des ténèbres. Ce ne fût que lorsque tout son de ses comparses s'éteignit, signe qu'ils étaient bien loin, que l'inconnu m'invita à le suivre de toute discrétion. Marchant dans ses pas, perdue, je passai pour la première fois cette lourde porte qui me séparait du monde. Traînant mes chaînes comme l’on porte un morne fardeau, j’en avais finalement profité : je me glissai derrière lui hors de là, incertaine et effrayée. Restant dans l’ombre des dédales de pierre, m’étant faite discrète comme le chant du vent, nous avions finalement réussi à nous extraire de ces lieux qui m’avaient tourmentés tant d’années durant. Lorsque la lumière pointa enfin ses rayons comme d'étincelantes flèches dorées, preuve que nous atteignions enfin l'extérieur, il me fit signe de partir et de faire au plus vite... Et toujours dans une furtivité digne d'un prédateur en chasse. Sauf que dans cette situation, j'étais plutôt la proie à dire vrai.
Alors, je réalisai la première véritable action de toute cette vie de passivité à attendre et subir : je partis. En courant. Fuyant au gré du vent, sans savoir à quoi je cherchais véritablement à échapper.
Les pieds écorchés, tirant le poids des liens d'acier à mes poignets qui m’entravaient, et surtout particulièrement désorientée, j’avais fui au plus vite, au plus loin, dans une panique grandissante. Mais j’avais dû me rendre à l’évidence : la confusion était telle qu’elle incombait cette âme errante que j’étais, perdue dans cet environnement si vaste, si lumineux, si incompréhensible… Et inconnu, tout simplement. Tout semblait ébrécher ma détermination. Haletante et fatiguée, la douleur horrible de mon corps était insupportable, le froid hors de mon habitat habituel était mordant, et les couleurs ainsiq que la lumière du ciel me brûlaient les yeux. Les larmes avaient finalement envahi mon visage, troublant ma vision, salant la peau de mes joues sur leur sillonnage dévorant et ardent. Comme seule au milieu de ce monde aux multiples sons que je ne connaissais pas, et aux fragrances diverses et étrangères, je finis par me recroqueviller au sol, contre l’un de ses innombrable arbres, pleurant comme une enfant perdue. Peut-être même était-ce ce que j’étais, quelque part.
J’en étais presque venue à regretter mes souffrances entre ces quatre murs que j’avais connus durant si longtemps.
Alors effacée entre mes bras en sanglotant, ignorant tout de ce monde terrifiant, des bruissement de pas se firent soudainement entendre. Ils se rapprochaient, comme imperturbables. Puis une voix, grave, franche, se détacha du silence ; une voix que je ne connaissais pas non plus.
<< Qu’est-ce que tu fais là ?>>
Mon coeur fit un bond, et mon sang me sembla arrêter son immuable course qu’il effectuait normalement dans mes veines.
Tétanisée, je ne répondis pas.
<< Comment t'appelles-tu ? >>
Un nom ? Je n’avais pas de nom.
N’osant pas plus répondre, je secouais simplement la tête en signe de négation, le visage toujours enfoui dans mes bras.
<< Tu ne parles donc pas ? >>
Je relevais la tête, interloquée. Les yeux rougis par mon chagrin rencontrèrent mon interlocuteur. C’était un homme grand, bien habillé. Il s'accroupit pour se mettre à ma hauteur, et planta son regard droit et honnête dans le mien.
Il réitéra ses interrogations :
<< Alors, qu’est-ce que tu fais là ? >>
<< Je… ne… Sais pas. >>
<< Et comment t'appelles-tu ? >>
<< Je ne sais pas… >>
Alors que je réprimais un énième sanglot, il me tendit sa main.
<< Viens avec moi, tu ne peux pas rester là à pleurer. >>
Cet homme qui disait s'appeler Eliot Chanut me prit la main, et comme un guide, ou un père, il me montra le chemin. Il me ramena chez lui afin de me débarrasser de mes chaînes : il tenait une Poudrerie réputée avec sa femme, Violette Chanut, et avait donc le matériel pour m’aider à m'en défaire. À l’origine accueillie pour cette raison, ils m’invitèrent à rester pour une nuit de plus afin de me laisser me remettre de mes émotions. Puis plusieurs jours. Et finalement, la confiance s’installa entre nous, et ils vinrent à me proposer de rester chez eux, à condition de les aider à la poudrerie. Face à l'étrange situation de ne pas avoir d'identité, ce couple décida ce jour-là que mon nom serait dorénavant Camille : un choix qui, malgré leur ignorance sur ma situation, avait tout d'une décision judicieuse. Car après tout, il s'agissait d'un prénom qui siait autant aux deux sexes, avec lequel je me sentais aussi à l'aise qu'un oiseau migrateur pouvait l'être dans le ciel. L'idée que je puisse décider de moi-même quoi penser ou quoi choisir à ce propos, tout en gardant cette identité qui m'était propre me rassurait quelque part.
En restant à leurs côtés, j'en appris un peu plus sur le monde, sur les codes sociaux, sur la vie. Un des jours suivants d'ailleurs, Elliot repartit en forêt alors que sa femme fut occupée à servir des clients à la poudrerie. À son retour, face à mes interrogations et mes peurs, il me partagea une part de lui en toute honnêteté : il m'informa de l'existence de bien des choses et des espèces, me confiant une sombre facette du monde que je peinais encore à découvrir pourtant. Il était ce qu’on appelait un lycan, expliquant sa présence régulière dans la forêt dont le jour où il m’avait rencontrée : il chassait, il avait certaines nécessités pour vivre que les hommes n'avaient pas. Il me confia n'avoir cependant jamais révélé sa nature à sa femme : il l'aimait trop, et la peur de la perdre pour ça lui était bien trop douloureuse et vive, insupportable. Sachant qu'elle ne pouvait porter d'enfants, malédiction et caprice de la Nature qui était un véritable fardeau, rien ne l'obligeait à en lui faire part... D'autant qu'à présent, m’avoir dans leur vie, c’était un peu comme avoir cet enfant qu’ils n’auraient jamais pu avoir, et cela l'attendrissait quelque part.
Alors, je restai avec les Chanut, prenant leur nom et héritant de leur condition. Pour quelques temps travaillant à la poudrerie avec eux, je m’occupais essentiellement du façonnage des métaux. Ecumant quelques temps comme marginale, je restais principalement cachée derrière les fours, à fondre du métal et à confectionner des douilles pour les fusils à qui donnerait quelques piécettes pour. Je partais cependant souvent, pour amener quelques commandes chez des clients parsemés dans la France : bien heureuse de ces phases de vagabondage solitaire, durant lesquels je m'éloignais et m'échappais de mes origines. Changeant allègrement de nom, me faisant même passer pour homme afin d'éviter les dangers des routes, j'espérais que cette vie semi-nomade me protégerait de mes bourreaux d'antan, ou de quelques recherches faites à mon encontre. Parfois cela durait une semaine, parfois des mois.
Mon retour irrégulier était cependant des plus agréables. Brisant la routine, ce quelque ancrage rassurant auprès de ces deux seules personnes auxquelles je m'étais attachée valait n'importe quel pesant d'or. Si proche du monde, et pourtant si loin, j’étais comme dans mon cocon, dans mon coin, découvrant la vie dont je n'avais jamais pu me délecter.
Camille Chanut
“Un élu, c'est un homme que le doigt de Dieu coince contre un mur.”
Sexe : Intersexe. S'identifie cependant souvent au féminin et utilise majoritairement le pronom elle. Cependant, elle ne révèle pas (ou qu'à des proches de confiance) sa situation, consciente de la gène que cela pourrait imposer socialement. Elle préfère être mal vue pour être une femme effectuant un travail manuel en ne s'attirant que quelques médisances, plutôt que d'être vue comme une erreur de la nature et attirer des foudres de problèmes plus graves.
Date & lieu de naissance : inconnus. Son anniversaire correspond au jour où, adolescente, elle a été trouvée et prise sous l'aile des Chanut. Il a donc été décidé que ce serait le 16 mars.
Âge : environs 26 ans
Race : inconnue
Groupe : basse noblesse
Métier / fonction : Artisane en poudrerie et en métallurgie. De la confection d'artillerie à but offensif, à l'ornementation décoratif, la poudrerie de la famille qui l'eut accueillie est aussi diversifiée que reconnue.
Condition sociale : Confortable
Feat : Korra (Avatar : the legend of Korra)
Date & lieu de naissance : inconnus. Son anniversaire correspond au jour où, adolescente, elle a été trouvée et prise sous l'aile des Chanut. Il a donc été décidé que ce serait le 16 mars.
Âge : environs 26 ans
Race : inconnue
Groupe : basse noblesse
Métier / fonction : Artisane en poudrerie et en métallurgie. De la confection d'artillerie à but offensif, à l'ornementation décoratif, la poudrerie de la famille qui l'eut accueillie est aussi diversifiée que reconnue.
Condition sociale : Confortable
Feat : Korra (Avatar : the legend of Korra)
Caractère
+ qualités
Discrète – Impartiale – Prudente – Adroite – Honnête – Avenante – Sensible
- défauts
Couarde – Passive – Indécise – Pessimiste – Effacée – Solitaire – Introvertie – Cynique
Charte Astrologique détaillée
Soleil en Poisson, ascendant Cancer. Lune (dominante) en Vierge, Pluton (dominante) en Sagittaire, Mars en Lion, Vénus en Verseau, Mercure en Poisson.
>> Soleil en Poisson :
"Le Soleil représente la vitalité, l'individualité, la volonté. Il s'agit du signe premier, de la tendance caractérielle : il représente la partie plus authentique de l'être, celle d'accès réservée aux proches."
Ma grande intuition et mon extrême sensibilité me font percevoir naturellement ce que d'autres saisissent par l'analyse. Je ne suis que peu les normes en place, les modèles de société ou d'éducation, préférant me forger une morale personnelle. Un sentiment d'isolement peut naître de mes capacités à vivre des émotions inconnues de mon entourage. Cette grande impressionnabilité me confère un sixième sens, un fort ressenti des situations. Il est des circonstances qui réclament une faculté de distance, de détachement, sans laquelle on s'enlise dans les impératifs de l'instant, les luttes inutiles d'un jour, les conflits stériles.
Ma force : une intuition très fine des enjeux sous-jacents, une sensibilité qui fait de "l'air du temps" une véritable boussole. Toute activité nécessitant un certain recul me convient. Je perçois avant d'autres les dangers d'une aventure, les risques d'échec ou de cessation... Aussi renoncé-je, parfois sans raison, à un objectif non encore épuisé. Dès lors, il importe de me préserver des désenchantements gratuits. Mais mes conseils sont formulés en demi-teintes, dans un langage particulier. Bien avisé celui qui écoute et comprend mes intuitions souvent justes mais difficilement explicables.
>> Ascendant en Cancer :
"L'Ascendant donne des indications sur l'apparence physique et la santé, mais surtout le caractère tel que les autres personnes le perçoivent au premier abord, et la façon spontanée de réagir ; il est la partie apparente de la personnalité."
Je parais d'une nature rêveuse, discrète, tournée vers les songeries, le silence, et la nostalgie du passé. Tout semble être instinct et ressenti. Tout mon être semble tourné sur protection ou défense de moi-même vis-à-vis de l'extérieur, en toute prudence et discrétion. Une imagination fertile voire même infinie semble pourtant émaner de moi, une propension à éviter tout risque inutile, à rechercher la sécurité en ne me dévoilant que lorsque la confiance est là.
>> Lune en Vierge, dominante :
"La Lune représente la réaction instinctive, la prédestination inconsciente, l'humeur de tous les jours, la sensibilité, l'émotivité, la partie féminine du caractère, l'intuition, l'imagination."
Il y a chez moi un vif désir de sécurité, un souci constant de maîtrise de mon univers intime. Ce qui m'est familier doit être choyé, protégé, et la recherche du bien-être et de la quiétude motive beaucoup de mes actes. Ma nature sensible se nourrit de ces moments de repos durant lesquels je laisse mon imaginaire vagabonder à loisir : c'est ma manière de trouver inspiration et équilibre, c'était ma manière de m'évader du temps où je vivais enfermée. Rien ne doit alors déranger ce sentiment de plénitude et de sécurité ; je suis attachée à ces moments durant lesquels on oublie tout, on se laisse aller à la dérive, sans but défini, sans autre dessein que celui de se sentir bercé par une ambiance, une situation, un moment privilégié. Il est des inspirations que l'on ne peut trouver qu'en lâchant prise, des équilibres qui reposent sur une alternance d'activité et de laisser-aller. Mes qualités s'exprimeront pleinement dès que la situation réclame familiarité ou intimité, et mes capacités sont à même de respecter le milieu que je découvre et dans lequel j'évolue, à m'y fondre, de m'y effacer.
>> Pluton en Sagittaire, dominante :
"Pluton représente les transformations profondes, les mutations et éliminations, la sexualité, le pouvoir et les secrets qui mue l'être tout entier. Il incarne la destruction en vue de la régénération"
Je me sens souvent comme étrangère au monde, à ses lois comme à ses préoccupations. Les règles du jeu social ne sont pas nécessairement les miennes. J'éprouve aussi le sentiment, confus parfois, de n'être de nulle part, de ne me sentir appartenir réellement et intimement à aucun groupe bien défini. De part mon sexe certes, mais parfois cela semble venir de plus loin, de plus profondément... Ce fossé qui me sépare des autres, du commun des mortels, fait aussi ma force : une force de lucidité, avant tout, et de prudence.
Je suis sensible à l'inconnu, qui me terrorise. Il y a peut-être quelque chose de marginal dans ma manière d'être, de penser ou d'agir. Est-ce une vie en dehors des sentiers battus, ou, plus simplement, une distance vis-à-vis de la morale conventionnelle qui fait ma spécificité ? Je n'en aurai moi-même pas la réponse... Reste à vaincre l'une des difficultés majeures d'une telle configuration : faire admettre sa différence, s'intégrer sans heurt.
Histoire
Le temps s’efface comme s’enfuit la fumée d’un encensoir, il y avait maintenant bien trop longtemps que j’étais rendue à cette vie déchue et illusoire. Le temps comme la lumière s'efface, ne laissant que l’ombre de mes pas et de mes traces.
Fermant les yeux j’imaginais ce ciel étoilé, cet insaisissable velours nocturne aux éclats dorés. Depuis combien de temps seulement ne l’avais pas vu ? Depuis combien de temps ne m’étais-je pas délectée d’une quelque brise caressant ma peau ? Je n’étais que le reflet d’une vie, une âme inconnue, solitaire et démunie. Je ne me souvenais presque plus de mon enfance, de ces lointains souvenirs lumineux qui me sembleraient presque avoir été inventés par mon imaginaire de toute sa défaillance. Les réminiscences ne revenaient pas à moi, perdues à jamais, et mon identité ainsi que mon passé s’effaçaient doucement, tels des fantômes vacillants emportés par le vent. Envolés au loin. Écartés de tout espoir vain.
Y avais-je seulement déjà goûté, à la vie? Impossible à dire. Cloîtrée dans ces ténèbres, parquée comme un ignominie funèbre, j'avais l’impression de ne connaître que ces quatre murs qui me gardaient enfermée en huis clos. Depuis toujours, depuis bien trop longtemps et peut-être aussi bien trop tôt. Enchaînée. Bâillonnée. Les poignets alourdis de chaînes pour une raison qui m’échappait, les membres chaque jour plus douloureux après le passage de mes éternels bourreaux qui chaque jour revenaient. Ces gens qui se définissaient comme des justiciers, effacés sous le nom auto-proclamé << d’Eglise Souterraine >>. Ils me maltraitaient avec grand soin, ils faisaient de multiples expériences que je ne comprenais pas. Ils me répétaient sans cesse les notions de loyauté et de dévotion, ils n’avaient de cesse d’acclamer que j’étais grandement attendue, que je répondais à toutes leurs attentes. Ces douleurs lancinantes étaient donc la résultantes de leurs prévisions ? Je ne me devais que d’attendre, subir, et résister ? Peut-être. Après tout, jusque là, c’était tout ce que j’avais su faire. Pourquoi patienter, et jusqu'à quand ? Je n’en savais moi-même rien, ce n’était peut-être qu’une façon de garder la raison, d’entretenir l’étincelle d’une lueur d'espoir. Sans en avoir la conviction que cette étincelle deviendrait un jour une flamme…
Cette fois pourtant, si. Mon étincelle devint flamme, elle devint même un embrasement : la chance, ou le Destin, s’était imposé à moi. J’avais tant patienté, tant souffert ; et pourtant, sans forcer ni brusquer l’ordre des choses, l'occasion de s’échapper d’ici s’était finalement présentée. J’ignorais ce qu’il s’était passé ce jour-là, mais leur visite fut écourtée par ce qui semblait avoir été un incident, mes bourreaux s’étaient empressés de sortir lorsque leur collègue leur amena une information qui les avait rendus livides. Ils partirent dans leur précipitation, me laissant seule face à ce nouvel entrant. Allié ou ennemi, homme ou femme, impossible à savoir : une epaisse capuche taisait son identité et ses intentions. Nous étions juste là, attendant que le silence se fasse pleinement, comme deux âmes au coeur des ténèbres. Ce ne fût que lorsque tout son de ses comparses s'éteignit, signe qu'ils étaient bien loin, que l'inconnu m'invita à le suivre de toute discrétion. Marchant dans ses pas, perdue, je passai pour la première fois cette lourde porte qui me séparait du monde. Traînant mes chaînes comme l’on porte un morne fardeau, j’en avais finalement profité : je me glissai derrière lui hors de là, incertaine et effrayée. Restant dans l’ombre des dédales de pierre, m’étant faite discrète comme le chant du vent, nous avions finalement réussi à nous extraire de ces lieux qui m’avaient tourmentés tant d’années durant. Lorsque la lumière pointa enfin ses rayons comme d'étincelantes flèches dorées, preuve que nous atteignions enfin l'extérieur, il me fit signe de partir et de faire au plus vite... Et toujours dans une furtivité digne d'un prédateur en chasse. Sauf que dans cette situation, j'étais plutôt la proie à dire vrai.
Alors, je réalisai la première véritable action de toute cette vie de passivité à attendre et subir : je partis. En courant. Fuyant au gré du vent, sans savoir à quoi je cherchais véritablement à échapper.
Les pieds écorchés, tirant le poids des liens d'acier à mes poignets qui m’entravaient, et surtout particulièrement désorientée, j’avais fui au plus vite, au plus loin, dans une panique grandissante. Mais j’avais dû me rendre à l’évidence : la confusion était telle qu’elle incombait cette âme errante que j’étais, perdue dans cet environnement si vaste, si lumineux, si incompréhensible… Et inconnu, tout simplement. Tout semblait ébrécher ma détermination. Haletante et fatiguée, la douleur horrible de mon corps était insupportable, le froid hors de mon habitat habituel était mordant, et les couleurs ainsiq que la lumière du ciel me brûlaient les yeux. Les larmes avaient finalement envahi mon visage, troublant ma vision, salant la peau de mes joues sur leur sillonnage dévorant et ardent. Comme seule au milieu de ce monde aux multiples sons que je ne connaissais pas, et aux fragrances diverses et étrangères, je finis par me recroqueviller au sol, contre l’un de ses innombrable arbres, pleurant comme une enfant perdue. Peut-être même était-ce ce que j’étais, quelque part.
J’en étais presque venue à regretter mes souffrances entre ces quatre murs que j’avais connus durant si longtemps.
Alors effacée entre mes bras en sanglotant, ignorant tout de ce monde terrifiant, des bruissement de pas se firent soudainement entendre. Ils se rapprochaient, comme imperturbables. Puis une voix, grave, franche, se détacha du silence ; une voix que je ne connaissais pas non plus.
<< Qu’est-ce que tu fais là ?>>
Mon coeur fit un bond, et mon sang me sembla arrêter son immuable course qu’il effectuait normalement dans mes veines.
Tétanisée, je ne répondis pas.
<< Comment t'appelles-tu ? >>
Un nom ? Je n’avais pas de nom.
N’osant pas plus répondre, je secouais simplement la tête en signe de négation, le visage toujours enfoui dans mes bras.
<< Tu ne parles donc pas ? >>
Je relevais la tête, interloquée. Les yeux rougis par mon chagrin rencontrèrent mon interlocuteur. C’était un homme grand, bien habillé. Il s'accroupit pour se mettre à ma hauteur, et planta son regard droit et honnête dans le mien.
Il réitéra ses interrogations :
<< Alors, qu’est-ce que tu fais là ? >>
<< Je… ne… Sais pas. >>
<< Et comment t'appelles-tu ? >>
<< Je ne sais pas… >>
Alors que je réprimais un énième sanglot, il me tendit sa main.
<< Viens avec moi, tu ne peux pas rester là à pleurer. >>
Cet homme qui disait s'appeler Eliot Chanut me prit la main, et comme un guide, ou un père, il me montra le chemin. Il me ramena chez lui afin de me débarrasser de mes chaînes : il tenait une Poudrerie réputée avec sa femme, Violette Chanut, et avait donc le matériel pour m’aider à m'en défaire. À l’origine accueillie pour cette raison, ils m’invitèrent à rester pour une nuit de plus afin de me laisser me remettre de mes émotions. Puis plusieurs jours. Et finalement, la confiance s’installa entre nous, et ils vinrent à me proposer de rester chez eux, à condition de les aider à la poudrerie. Face à l'étrange situation de ne pas avoir d'identité, ce couple décida ce jour-là que mon nom serait dorénavant Camille : un choix qui, malgré leur ignorance sur ma situation, avait tout d'une décision judicieuse. Car après tout, il s'agissait d'un prénom qui siait autant aux deux sexes, avec lequel je me sentais aussi à l'aise qu'un oiseau migrateur pouvait l'être dans le ciel. L'idée que je puisse décider de moi-même quoi penser ou quoi choisir à ce propos, tout en gardant cette identité qui m'était propre me rassurait quelque part.
En restant à leurs côtés, j'en appris un peu plus sur le monde, sur les codes sociaux, sur la vie. Un des jours suivants d'ailleurs, Elliot repartit en forêt alors que sa femme fut occupée à servir des clients à la poudrerie. À son retour, face à mes interrogations et mes peurs, il me partagea une part de lui en toute honnêteté : il m'informa de l'existence de bien des choses et des espèces, me confiant une sombre facette du monde que je peinais encore à découvrir pourtant. Il était ce qu’on appelait un lycan, expliquant sa présence régulière dans la forêt dont le jour où il m’avait rencontrée : il chassait, il avait certaines nécessités pour vivre que les hommes n'avaient pas. Il me confia n'avoir cependant jamais révélé sa nature à sa femme : il l'aimait trop, et la peur de la perdre pour ça lui était bien trop douloureuse et vive, insupportable. Sachant qu'elle ne pouvait porter d'enfants, malédiction et caprice de la Nature qui était un véritable fardeau, rien ne l'obligeait à en lui faire part... D'autant qu'à présent, m’avoir dans leur vie, c’était un peu comme avoir cet enfant qu’ils n’auraient jamais pu avoir, et cela l'attendrissait quelque part.
Alors, je restai avec les Chanut, prenant leur nom et héritant de leur condition. Pour quelques temps travaillant à la poudrerie avec eux, je m’occupais essentiellement du façonnage des métaux. Ecumant quelques temps comme marginale, je restais principalement cachée derrière les fours, à fondre du métal et à confectionner des douilles pour les fusils à qui donnerait quelques piécettes pour. Je partais cependant souvent, pour amener quelques commandes chez des clients parsemés dans la France : bien heureuse de ces phases de vagabondage solitaire, durant lesquels je m'éloignais et m'échappais de mes origines. Changeant allègrement de nom, me faisant même passer pour homme afin d'éviter les dangers des routes, j'espérais que cette vie semi-nomade me protégerait de mes bourreaux d'antan, ou de quelques recherches faites à mon encontre. Parfois cela durait une semaine, parfois des mois.
Mon retour irrégulier était cependant des plus agréables. Brisant la routine, ce quelque ancrage rassurant auprès de ces deux seules personnes auxquelles je m'étais attachée valait n'importe quel pesant d'or. Si proche du monde, et pourtant si loin, j’étais comme dans mon cocon, dans mon coin, découvrant la vie dont je n'avais jamais pu me délecter.
Derrière l'écran
Pseudo : Amaglibr. J'ai eu beaucoup de pseudos en vrai - que je changeai souvent orz- donc pitêtre m'avez-vous croisé sous un autre pseudo. °° Maaaais Amaglibr est la contraction du début des noms de tous mes chats, et comme j'les aime d'amour je changerai sûrement plus du coup
Âge : pas encore ménopausée
Comment as-tu trouvé le forum ? Kaos m'en avait fait part il y a bien longtemps, il devait ouvrir à l'époque (quel plaisir de le voir avoir autant grandi maintenant !). Mais par manque de temps pour des raisons IRL persos, j'avais jamais pu venir... Jusqu'à maintenant.
Un petit mot ? J'm'étais promis de rejoindre Exe lorsque ma pause RP se terminerait, so me voici
Pseudo : Amaglibr. J'ai eu beaucoup de pseudos en vrai - que je changeai souvent orz- donc pitêtre m'avez-vous croisé sous un autre pseudo. °° Maaaais Amaglibr est la contraction du début des noms de tous mes chats, et comme j'les aime d'amour je changerai sûrement plus du coup
Âge : pas encore ménopausée
Comment as-tu trouvé le forum ? Kaos m'en avait fait part il y a bien longtemps, il devait ouvrir à l'époque (quel plaisir de le voir avoir autant grandi maintenant !). Mais par manque de temps pour des raisons IRL persos, j'avais jamais pu venir... Jusqu'à maintenant.
Un petit mot ? J'm'étais promis de rejoindre Exe lorsque ma pause RP se terminerait, so me voici
Sam 4 Déc - 23:07
Bienvenue sur Exesus Camille !
J'espère que tu vas te plaire parmi nous. Avant ça, je te souhaite bon courage pour la rédaction de ta fiche que j'ai hâte de lire.
J'espère que tu vas te plaire parmi nous. Avant ça, je te souhaite bon courage pour la rédaction de ta fiche que j'ai hâte de lire.
Dim 5 Déc - 2:01
Merci pour l'accueil
La rédaction étant terminée, je file déclarer ma fiche comme étant à valider ! En espérant avoir respecté les attentes du rôle et que ces écrits vous plairont
La rédaction étant terminée, je file déclarer ma fiche comme étant à valider ! En espérant avoir respecté les attentes du rôle et que ces écrits vous plairont
Dim 5 Déc - 13:23
Bienvenue parmi nous !
J'aime beaucoup ton personnage !
J'ai hâte de la croiser en RP (un jour !)
Plus que la validation GANBATTE !!
J'aime beaucoup ton personnage !
J'ai hâte de la croiser en RP (un jour !)
Plus que la validation GANBATTE !!
Dim 5 Déc - 20:08
Merci à toi pour l'accueil ! <3
Contente que ça te plaise
Je te garde au chaud un rp et un lien avec plaisir hihi ~
THANKS \o/ (on croise les doigts)
Contente que ça te plaise
Je te garde au chaud un rp et un lien avec plaisir hihi ~
THANKS \o/ (on croise les doigts)
Mer 8 Déc - 11:50
Coucou Camille !
Heureux de voir que tu as sauté le pas ! Bienvenue sur Exesus !
Malheureusement vu que tu as pris le rôle de l'Élu.e, comme expliqué précédemment, on ne peut pas procéder à la validation de ta fiche avant le retour de Victoire même si elle s'annonce prometteuse (le caractère en astro ). Milles excuses pour l'attente
Heureux de voir que tu as sauté le pas ! Bienvenue sur Exesus !
Malheureusement vu que tu as pris le rôle de l'Élu.e, comme expliqué précédemment, on ne peut pas procéder à la validation de ta fiche avant le retour de Victoire même si elle s'annonce prometteuse (le caractère en astro ). Milles excuses pour l'attente
Mer 8 Déc - 13:53
Y a pas de problème Consty (ce surnom fait un peu constipé pardon ToT) ♡
Je suis tout à fait à même d'attendre Victoire avec patience >w< L'IRL avant tout ! è.é prenez soin de vous, je reste dans un coin d'ombre à vous observer en attendant
Plein de poutous
Je suis tout à fait à même d'attendre Victoire avec patience >w< L'IRL avant tout ! è.é prenez soin de vous, je reste dans un coin d'ombre à vous observer en attendant
Plein de poutous
Mer 8 Déc - 16:36
Bonjour et bienvenue !
Oh cette fiche Je l'ai dévorée comme du petit lait. Le style est vraiment fluide, très agréable à lire, je me suis complètement laissée porter. Ajoute à ça un personnage au background intéressant, à la personnalité profonde et bien écrite, en plus de compétences originales... Vraiment hâte de voir Camille s'épanouir parmi nous et de lire la suite de ses aventures
(J'irai bien poser mes valides dans un coin de ta fiche de liens )
A très vite !!!
Oh cette fiche Je l'ai dévorée comme du petit lait. Le style est vraiment fluide, très agréable à lire, je me suis complètement laissée porter. Ajoute à ça un personnage au background intéressant, à la personnalité profonde et bien écrite, en plus de compétences originales... Vraiment hâte de voir Camille s'épanouir parmi nous et de lire la suite de ses aventures
(J'irai bien poser mes valides dans un coin de ta fiche de liens )
A très vite !!!
Mer 8 Déc - 18:07
Merci beaucoup pour l'accueil, et pour tous ces compliments qui me font rougir jusqu'aux pieds ça fait vraiment chaud au cœur, je suis toute contente que ça t'ait tant plu
(J'attends impatiemment que tu viennes poser tes petites valises de riche dans ma fiche de lien dès qu'elle existera )
Tout plein de love \0/
(J'attends impatiemment que tu viennes poser tes petites valises de riche dans ma fiche de lien dès qu'elle existera )
Tout plein de love \0/
Sam 11 Déc - 18:29
Coucou Camille !
Merci beaucoup pour ta patience
Voici la modération tant attendue !
La fiche est très bien dans l'ensemble et tu as bien compris le rôle de l'Elu.e ! Il y a cependant quelques points à revoir pour rester cohérent par rapport au lore (rien de méchant, rassures-toi !)
• La fuite de Camille est en soit un peu trop simple pour être issue d'une simple "porte non fermée". Le mieux serait qu'iel ait été aidé.e à s'enfuir (quitte à ce que la personne ne dévoile pas son identité) ou que Camille ait eut une opportunité de fuir alors qu'on menait une expérience en extérieure sur iel (une mission, un test etc). Au besoin, des PNJs du Forum pourront tenir le rôle, n'hésites pas à me mp pour en savoir davantage !
• Le couple décidant de l'adopter, lycan/vampire est malheureusement peu probable s'ils sont sédentaires (la guerre entre les deux races battait encore probablement son plein alors ils auraient été découverts). Toutefois, pourquoi pas s'ils ne sont qu'une "étape" dans la fuite de Camille, car l’Église Souterraine chercherait forcément à lui remettre la main dessus, donc ils l'auraient cherché ardemment (quitte à violenter des gens pour les faire parler tant Camille tient une place importante pour l’Église Souterraine) (oui ces gens sont très gentils ) et pour leur échapper, à moins de rester en mouvement ou de bien bien se cacher, c'est compliqué
• Également, le fait que le couple qui la recueille en premier ne voit pas d'inconvénient à sa condition d'intersexe est malheureusement peu probable vu qu'on est en 1590 et que les mentalités sont très arrêtées Cela pourra évoluer au fil du rp mais pour l'heure, c'est impossible. Camille peut cependant garder pour iel ce côté là de sa personne, histoire d'éviter les problèmes
Voilà pour les premières corrections, encore une fois, n'hésites pas si tu as besoin d'aide à me mp !
Bisous sur toi !
•
Merci beaucoup pour ta patience
Voici la modération tant attendue !
La fiche est très bien dans l'ensemble et tu as bien compris le rôle de l'Elu.e ! Il y a cependant quelques points à revoir pour rester cohérent par rapport au lore (rien de méchant, rassures-toi !)
• La fuite de Camille est en soit un peu trop simple pour être issue d'une simple "porte non fermée". Le mieux serait qu'iel ait été aidé.e à s'enfuir (quitte à ce que la personne ne dévoile pas son identité) ou que Camille ait eut une opportunité de fuir alors qu'on menait une expérience en extérieure sur iel (une mission, un test etc). Au besoin, des PNJs du Forum pourront tenir le rôle, n'hésites pas à me mp pour en savoir davantage !
• Le couple décidant de l'adopter, lycan/vampire est malheureusement peu probable s'ils sont sédentaires (la guerre entre les deux races battait encore probablement son plein alors ils auraient été découverts). Toutefois, pourquoi pas s'ils ne sont qu'une "étape" dans la fuite de Camille, car l’Église Souterraine chercherait forcément à lui remettre la main dessus, donc ils l'auraient cherché ardemment (quitte à violenter des gens pour les faire parler tant Camille tient une place importante pour l’Église Souterraine) (oui ces gens sont très gentils ) et pour leur échapper, à moins de rester en mouvement ou de bien bien se cacher, c'est compliqué
• Également, le fait que le couple qui la recueille en premier ne voit pas d'inconvénient à sa condition d'intersexe est malheureusement peu probable vu qu'on est en 1590 et que les mentalités sont très arrêtées Cela pourra évoluer au fil du rp mais pour l'heure, c'est impossible. Camille peut cependant garder pour iel ce côté là de sa personne, histoire d'éviter les problèmes
Voilà pour les premières corrections, encore une fois, n'hésites pas si tu as besoin d'aide à me mp !
Bisous sur toi !
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Dim 12 Déc - 2:06
Merci @Victoire de France
Pour la ptite mirette omnipotente, merci également pour le retour ! Les modifications ont été effectuées, j'espère que ca conviendra mieux ♡
Pour la ptite mirette omnipotente, merci également pour le retour ! Les modifications ont été effectuées, j'espère que ca conviendra mieux ♡
Dim 12 Déc - 15:21
Coucou Camille, merci beaucoup c'est très bien !
Juste un petit détail à rajouter et qui a son importance : Il faudrait idéalement que Camille donne un faux nom à chaque fois qu'elle "livre" des choses en France histoire de brouiller les pistes de l’Église Souterraine sinon une femme qui erre sur les routes de France c'est risqué (elle peut même se faire passer pour un homme à la limite, c'est pas un problème ça )
Des bisous sur toi
Juste un petit détail à rajouter et qui a son importance : Il faudrait idéalement que Camille donne un faux nom à chaque fois qu'elle "livre" des choses en France histoire de brouiller les pistes de l’Église Souterraine sinon une femme qui erre sur les routes de France c'est risqué (elle peut même se faire passer pour un homme à la limite, c'est pas un problème ça )
Des bisous sur toi
Dim 12 Déc - 16:39
Recoucou big mirette <3
Je te cite le changement du paragraphe concerné pour ajouter ces petits détails pour pas que tu aies à tout reprendre alors qu'il n'y a que ça de réellement changeant :
J'espère que ça suffira comme ajout @_@ après j'ai surtout espoir de pouvoir développer ce côté là inRP o/
tout plein de love
Je te cite le changement du paragraphe concerné pour ajouter ces petits détails pour pas que tu aies à tout reprendre alors qu'il n'y a que ça de réellement changeant :
Je partais cependant souvent, pour amener quelques commandes chez des clients parsemés dans la France : bien heureuse de ces phases de vagabondage solitaire, durant lesquels je m'éloignais et m'échappais de mes origines. Changeant allègrement de nom, me faisant même passer pour homme afin d'éviter les dangers des routes, j'espérais que cette vie semi-nomade me protégerait de mes bourreaux d'antan, ou de quelques recherches faites à mon encontre. Parfois cela durait une semaine, parfois des mois.
J'espère que ça suffira comme ajout @_@ après j'ai surtout espoir de pouvoir développer ce côté là inRP o/
tout plein de love