Mer 10 Fév - 23:52
Elle présente bien, Anastasia. C’est qu’elle a reçu une éducation, elle est lettrée, chante, connaît la musique, parle plusieurs langues. Tout sourire et attentive, elle sait être charmante, diplomate. Piquante parfois, mais honnête toujours.
Anastasia est pleine de ressources. Car elle a reçu une éducation certes, mais elle a également connue celle de la survie. Et Anastasia survit, seule, depuis un siècle et demi, animée par sa soif de liberté et sa volonté inébranlable d’arriver à ses fins.
Elle n’a connu que l’abandon, la fuite et les séparations. Sa solitude, seule la sororité qu’elle a pu rencontrer a pu l’en défaire. Et elle est prête à tout pour défendre ses semblables, pour les protéger et être pour eux la présence rassurante, la voix calme et posée, la solution aux problèmes.
Et elle a ce besoin profond d’être entourée, d’être appréciée, aimée, respectée.
Toute en contradictions, Anastasia est sourire narquois, elle aime se savoir à contre courant, elle aime questionner, énerver. Et elle bouillonne depuis toujours d’une rage viscérale, ancrée au plus profond d’elle, qu’elle sait contenir et ne laisser s’échapper que par quelques remarques acérées. Elle est observatrice, Anastasia, et n’a peur de rien. Car elle n’a rien à perdre, tout à gagner.
En vrac : Lion ascendant gémeaux, lune en cancer ✧ Parle : Turc, Persan, Arabe, Français, quelques bases d’espagnol et de latin qui lui sont peu utiles ✧ Ne sait lire et écrire que l’arabe, apprend le français ✧ Fort accent turque ✧ Voix grave et calme ✧ Contralto ✧ entretien ses boucles et sa peau presque religieusement ✧ A tendance a grincer des dents lorsqu’elle est frustrée, énervée, stressée ✧ Fascinée par les rats et la peur qu’ils inspirent ✧ Collectionne tout un tas de grigris ✧ Aime faire claquer ses talons sur les pavés ✧ Empathique toujours, a une tendresse pour tout ce qui est vivant
Née à l’aube d’une chute, d’un renversement, de la mort d’un empire et de la fin d’une ère, Anastasia n’a pas eu le luxe de connaître l’enfance qui lui était promise, simple, banale, heureuse sûrement. Anastasia n’a connu qu’une enfance raptée, une enfance jamais vraiment commencée. Comment s’élever, comment rêver quand vos horizons sont embrumés, quand on est si jeune et que l’on ne sait rien, coupés du monde, de ses origines et des siens. Par le chant, la musique, la broderie, la danse ou l’art de l’amour ? Ou peut-être par le rêve insensé, le mariage, la belle union riche et fertile avec un officier ottoman.
Dans sa prison dorée, elle est rebaptisée, on lui parle des langages étrangers au grec de sa petite enfance. D’une mère dont elle a tout oublié, il ne lui reste qu’un mot, un son, ce prénom, seul brin d’herbe auquel s’accrocher.
Et un jour la rencontre, Irène, Irène est belle, a deux ans de plus qu’Anastasia et une chevelure de feu, Irène connait le palais comme sa poche et Irène a un plan. Partir. Fuir. Irène est maligne, drôle et pour la première fois Anastasia rêve un peu la nuit, d’une vie meilleure, libre, libre de ces cours de chants qui ne mènent à rien, libre de ne pas épouser un soldat haut gradé. Fuir, à tout prix.
Et les deux adolescentes mettent à exécution leur plan, cachées dans la cale d’un bateau, direction l’inconnu mais elles sont ensemble. La traversée est longue et les enfants sont repérées, un regard échangé et elles savent quoi faire, elles ne le savent que trop bien.
Et c’est l’arrivée, Séville et sa langue inconnue, la rue est dure, violente.
Une figure maternelle, un repas chaud, et une simple proposition. Du travail. Simple. Honnête. De quoi vivre, être libres. Les enfants acceptent.
Anastasia apprend vite son métier, elle y prend même parfois goût, à l’alcool, à la liberté.
Et Anastasia est adulte. Anastasia ne se mariera jamais. Anastasia n’aura sûrement jamais d’enfant. Anastasia réalise qu’elle est vouée à rester à jamais un objet du désir des autres, musulmans ou chrétiens. Anastasia est un corps. Qu’elle soit polyglotte, qu’elle lise l’arabe, qu’elle sache chanter, tout le monde s’en fiche.
Et Irène n’est plus. Irène a été retrouvée sans vie, comme beaucoup trop de filles qui disparaissent et qu’on retrouve une nuit ou deux après, sans vie dans une ruelle, ou loin de la ville, dans la boue. Et tout le monde s’en fiche.
Dans la fosse commune Irène tu finis, comme Anastasia finira un jour, dans l’ignorance la plus totale.
Deux hivers ont passé. Et un soir, un soir de nouvelle lune un homme est entré. D’une beauté fascinante. Il a posé ses yeux sur Anastasia. Ils sont montés à l’étage. Et plus rien.
La douleur infâme du poison dans ses veines, Anastasia est morte là, dans une chambre d’un lupanar sévillan.
Abandonnée à son nouveau sort, il fallut apprendre. Seule. Trop vite elle comprit, trop vite elle fit le rapprochement entre les légendes qu’on lui contait et sa nouvelle condition. Puis il fallut fuir, bouger, constamment. Pour se nourrir. Pour survivre.
De ports en ports, de villes en villes, Anastasia rencontrait d’autres filles de sa nature. La plupart étaient nées ainsi, d’autres avaient connu le même sort qu’Anastasia.Toutes avaient fuit.
Abandonnées.
D’autres étaient lycanes, une rivalité ancestrale les opposait et pourtant pour Anastasia, tout les rapprochait.
Et pendant plus de trente ans, Anastasia fuyait, du Caire à Tunis, à Grenade, à Rome. Et un jour Paris.
La Mère Maquerelle de la maison close où elle posait ses bagages était surnommée « la plus vieille femme de Paris », 46 ans. Anastasia en avait 70.
C’était l’aube d’une nouvelle ère pour Anastasia. Mais trop vite elle fut prise dans le tourbillon de la guerre. Cette guerre dont les principaux protagonistes ne semblaient réaliser qu’elle était fratricide. Elle mis tout en oeuvre pour la faire cesser. La fin justifiait les moyens. Elle utilisa la seule monnaie qu’elle possédait pour se rapprocher des décisionnaires. Elle se mêla à plusieurs alliances, et se fit de nombreux ennemis.
Et d’année en année, de liaison en liaison, Anastasia agissait pour voir un jour cette guerre s’arrêter.
Et après un demi siècle, le cauchemar s’arrêta. Anastasia voulu croire un instant que ses actions y étaient pour quelque chose, mais c’était probablement dû aux pertes qui avaient été trop lourdes. Elle avait cessé de compter les morts de ses amis, alliés et amants.
Elle endossa le rôle de représentante de la paix inter-espèces. Mais le feu ne s’est pas éteint pour Anastasia, elle sait que la paix peut être de courte durée.
Anastasia
when you’re living on your knees, you rise up
Sexe : Féminin
Date & lieu de naissance : le 4 août 1450, Constantinople
Âge : 140 ans
Âge apparent : Petite trentaine
Race : Vampire Mordue
Groupe : Peuple
Métier / fonction : Représentante de la paix interespèces - ex prostituée
Condition sociale : Vit Bien
Feat : Nadja - What we do in the shadows
Date & lieu de naissance : le 4 août 1450, Constantinople
Âge : 140 ans
Âge apparent : Petite trentaine
Race : Vampire Mordue
Groupe : Peuple
Métier / fonction : Représentante de la paix interespèces - ex prostituée
Condition sociale : Vit Bien
Feat : Nadja - What we do in the shadows
Caractère
Elle présente bien, Anastasia. C’est qu’elle a reçu une éducation, elle est lettrée, chante, connaît la musique, parle plusieurs langues. Tout sourire et attentive, elle sait être charmante, diplomate. Piquante parfois, mais honnête toujours.
Anastasia est pleine de ressources. Car elle a reçu une éducation certes, mais elle a également connue celle de la survie. Et Anastasia survit, seule, depuis un siècle et demi, animée par sa soif de liberté et sa volonté inébranlable d’arriver à ses fins.
Elle n’a connu que l’abandon, la fuite et les séparations. Sa solitude, seule la sororité qu’elle a pu rencontrer a pu l’en défaire. Et elle est prête à tout pour défendre ses semblables, pour les protéger et être pour eux la présence rassurante, la voix calme et posée, la solution aux problèmes.
Et elle a ce besoin profond d’être entourée, d’être appréciée, aimée, respectée.
Toute en contradictions, Anastasia est sourire narquois, elle aime se savoir à contre courant, elle aime questionner, énerver. Et elle bouillonne depuis toujours d’une rage viscérale, ancrée au plus profond d’elle, qu’elle sait contenir et ne laisser s’échapper que par quelques remarques acérées. Elle est observatrice, Anastasia, et n’a peur de rien. Car elle n’a rien à perdre, tout à gagner.
En vrac : Lion ascendant gémeaux, lune en cancer ✧ Parle : Turc, Persan, Arabe, Français, quelques bases d’espagnol et de latin qui lui sont peu utiles ✧ Ne sait lire et écrire que l’arabe, apprend le français ✧ Fort accent turque ✧ Voix grave et calme ✧ Contralto ✧ entretien ses boucles et sa peau presque religieusement ✧ A tendance a grincer des dents lorsqu’elle est frustrée, énervée, stressée ✧ Fascinée par les rats et la peur qu’ils inspirent ✧ Collectionne tout un tas de grigris ✧ Aime faire claquer ses talons sur les pavés ✧ Empathique toujours, a une tendresse pour tout ce qui est vivant
Histoire
Née à l’aube d’une chute, d’un renversement, de la mort d’un empire et de la fin d’une ère, Anastasia n’a pas eu le luxe de connaître l’enfance qui lui était promise, simple, banale, heureuse sûrement. Anastasia n’a connu qu’une enfance raptée, une enfance jamais vraiment commencée. Comment s’élever, comment rêver quand vos horizons sont embrumés, quand on est si jeune et que l’on ne sait rien, coupés du monde, de ses origines et des siens. Par le chant, la musique, la broderie, la danse ou l’art de l’amour ? Ou peut-être par le rêve insensé, le mariage, la belle union riche et fertile avec un officier ottoman.
Dans sa prison dorée, elle est rebaptisée, on lui parle des langages étrangers au grec de sa petite enfance. D’une mère dont elle a tout oublié, il ne lui reste qu’un mot, un son, ce prénom, seul brin d’herbe auquel s’accrocher.
Et un jour la rencontre, Irène, Irène est belle, a deux ans de plus qu’Anastasia et une chevelure de feu, Irène connait le palais comme sa poche et Irène a un plan. Partir. Fuir. Irène est maligne, drôle et pour la première fois Anastasia rêve un peu la nuit, d’une vie meilleure, libre, libre de ces cours de chants qui ne mènent à rien, libre de ne pas épouser un soldat haut gradé. Fuir, à tout prix.
Et les deux adolescentes mettent à exécution leur plan, cachées dans la cale d’un bateau, direction l’inconnu mais elles sont ensemble. La traversée est longue et les enfants sont repérées, un regard échangé et elles savent quoi faire, elles ne le savent que trop bien.
Et c’est l’arrivée, Séville et sa langue inconnue, la rue est dure, violente.
Une figure maternelle, un repas chaud, et une simple proposition. Du travail. Simple. Honnête. De quoi vivre, être libres. Les enfants acceptent.
Anastasia apprend vite son métier, elle y prend même parfois goût, à l’alcool, à la liberté.
Et Anastasia est adulte. Anastasia ne se mariera jamais. Anastasia n’aura sûrement jamais d’enfant. Anastasia réalise qu’elle est vouée à rester à jamais un objet du désir des autres, musulmans ou chrétiens. Anastasia est un corps. Qu’elle soit polyglotte, qu’elle lise l’arabe, qu’elle sache chanter, tout le monde s’en fiche.
Et Irène n’est plus. Irène a été retrouvée sans vie, comme beaucoup trop de filles qui disparaissent et qu’on retrouve une nuit ou deux après, sans vie dans une ruelle, ou loin de la ville, dans la boue. Et tout le monde s’en fiche.
Dans la fosse commune Irène tu finis, comme Anastasia finira un jour, dans l’ignorance la plus totale.
Deux hivers ont passé. Et un soir, un soir de nouvelle lune un homme est entré. D’une beauté fascinante. Il a posé ses yeux sur Anastasia. Ils sont montés à l’étage. Et plus rien.
La douleur infâme du poison dans ses veines, Anastasia est morte là, dans une chambre d’un lupanar sévillan.
Abandonnée à son nouveau sort, il fallut apprendre. Seule. Trop vite elle comprit, trop vite elle fit le rapprochement entre les légendes qu’on lui contait et sa nouvelle condition. Puis il fallut fuir, bouger, constamment. Pour se nourrir. Pour survivre.
De ports en ports, de villes en villes, Anastasia rencontrait d’autres filles de sa nature. La plupart étaient nées ainsi, d’autres avaient connu le même sort qu’Anastasia.Toutes avaient fuit.
Abandonnées.
D’autres étaient lycanes, une rivalité ancestrale les opposait et pourtant pour Anastasia, tout les rapprochait.
Et pendant plus de trente ans, Anastasia fuyait, du Caire à Tunis, à Grenade, à Rome. Et un jour Paris.
La Mère Maquerelle de la maison close où elle posait ses bagages était surnommée « la plus vieille femme de Paris », 46 ans. Anastasia en avait 70.
C’était l’aube d’une nouvelle ère pour Anastasia. Mais trop vite elle fut prise dans le tourbillon de la guerre. Cette guerre dont les principaux protagonistes ne semblaient réaliser qu’elle était fratricide. Elle mis tout en oeuvre pour la faire cesser. La fin justifiait les moyens. Elle utilisa la seule monnaie qu’elle possédait pour se rapprocher des décisionnaires. Elle se mêla à plusieurs alliances, et se fit de nombreux ennemis.
Et d’année en année, de liaison en liaison, Anastasia agissait pour voir un jour cette guerre s’arrêter.
Et après un demi siècle, le cauchemar s’arrêta. Anastasia voulu croire un instant que ses actions y étaient pour quelque chose, mais c’était probablement dû aux pertes qui avaient été trop lourdes. Elle avait cessé de compter les morts de ses amis, alliés et amants.
Elle endossa le rôle de représentante de la paix inter-espèces. Mais le feu ne s’est pas éteint pour Anastasia, elle sait que la paix peut être de courte durée.
Derrière l'écran
Pseudo : Ana / Anastasia ça va :)
Âge : 25
Comment as-tu trouvé le forum ? Victoire
Un petit mot ?Vous êtes fort beaux!
Pseudo : Ana / Anastasia ça va :)
Âge : 25
Comment as-tu trouvé le forum ? Victoire
Un petit mot ?Vous êtes fort beaux!
Jeu 11 Fév - 1:14
Mais attendez hier je pensais justement à What we do in the shadows en me disant que c'est quand même un chouette film de vampires et que ce serait sympa d'avoir un feat sur le forum... et... et...
La chute de l'Empire romain, la fuite en Espagne, la carte astrale dans le caractère, je crois que c'est le coup de foudre vraiment !!!!!!
D'habitude je ne commente JAMAIS une fiche non terminée mais là je brise la tradition pour dire que J'ATTENDS LA FIN DE L'HISTOIRE AVEC MOULT IMPATIENCE !!!!!!!
Mais attendez hier je pensais justement à What we do in the shadows en me disant que c'est quand même un chouette film de vampires et que ce serait sympa d'avoir un feat sur le forum... et... et...
La chute de l'Empire romain, la fuite en Espagne, la carte astrale dans le caractère, je crois que c'est le coup de foudre vraiment !!!!!!
D'habitude je ne commente JAMAIS une fiche non terminée mais là je brise la tradition pour dire que J'ATTENDS LA FIN DE L'HISTOIRE AVEC MOULT IMPATIENCE !!!!!!!
Jeu 11 Fév - 8:57
BIENVENUE PARMI NOUS !
Oh j'ai succombé au charme de ce vava... Et la plume est très agréable, elle est fluide, elle emporte ! ** J'ai vraiment hâte de voir la suite et une représentante en plus de la paix interespèce ça envoie du lourd 8D
On assiste à une forme de déchéance et à une perte de repères, j'espère qu'elle trouvera des choses/des gens auxquels se raccrocher pour se redresser ;; Avec l'impatience de lire la suite **
Oh j'ai succombé au charme de ce vava... Et la plume est très agréable, elle est fluide, elle emporte ! ** J'ai vraiment hâte de voir la suite et une représentante en plus de la paix interespèce ça envoie du lourd 8D
On assiste à une forme de déchéance et à une perte de repères, j'espère qu'elle trouvera des choses/des gens auxquels se raccrocher pour se redresser ;; Avec l'impatience de lire la suite **
Jeu 11 Fév - 9:40
Bienvenue parmi nous !
Victoire nous ramène encore du beau ouh lala. J'ai adoré. Vraiment. Ton style hnnnng. En plus une nouvelle représentante de la paix ** J'ai hâte de lire la suite
Victoire nous ramène encore du beau ouh lala. J'ai adoré. Vraiment. Ton style hnnnng. En plus une nouvelle représentante de la paix ** J'ai hâte de lire la suite
Jeu 11 Fév - 20:09
Ce caractère est un pôtit bijou, bien hâte de voir la suite de la fiche. Bienvenue par ici !
Jeu 11 Fév - 20:21
Aaaah j'avoue que le début de la lecture est très qualitatif.
Bienvenue parmi nous !
Bienvenue parmi nous !
Lun 15 Fév - 17:47
BIENVENUUUE !
Cette fiche ! Je veux la suite !
Ce perso a l'air tellement intéressant alors, je te dis bonne chance pour la suite !
Cette fiche ! Je veux la suite !
Ce perso a l'air tellement intéressant alors, je te dis bonne chance pour la suite !
Lun 15 Mar - 21:06
BONJOUR MA POTITE ANASTASIA
Ta fiche était vraiment un régal à lire, pauvre Anastasia aaaaaaaah
J'ai juste besoin d'une petite précision avant de te colorer ! Est-ce que quand Anastasia s'est faite vampiriser, son 'employeure' a appelé un médecin ou autre ? Car sinon entendre une jeune femme hurler à la mort pendant des heures, voir des jours, ça risquait d'alerter les tympans du quartier
Tu n'es pas obligée de le rajouter dans la fiche, juste me préciser ici quelles ont été les réactions autour d'elle avant qu'elle ne s'enfuit, sa première soif ect.
Je te fais des BISOUS et encore MERCI pour ce moment de lecture somptueux
Ta fiche était vraiment un régal à lire, pauvre Anastasia aaaaaaaah
J'ai juste besoin d'une petite précision avant de te colorer ! Est-ce que quand Anastasia s'est faite vampiriser, son 'employeure' a appelé un médecin ou autre ? Car sinon entendre une jeune femme hurler à la mort pendant des heures, voir des jours, ça risquait d'alerter les tympans du quartier
Tu n'es pas obligée de le rajouter dans la fiche, juste me préciser ici quelles ont été les réactions autour d'elle avant qu'elle ne s'enfuit, sa première soif ect.
Je te fais des BISOUS et encore MERCI pour ce moment de lecture somptueux
Jeu 18 Mar - 15:18
Oui ! si c’est ok pour toi je dirais qu’en voyant la scène son employeur/ses collègues ont appelé un médecin qui ne savait pas trop ce qu’elle avait, on l’a transférée dans un hôpital où elle a un peu été laissée pour morte. D’où elle s’est enfuie pour assouvir sa première soif ?
MERCI à toi
Oui ! si c’est ok pour toi je dirais qu’en voyant la scène son employeur/ses collègues ont appelé un médecin qui ne savait pas trop ce qu’elle avait, on l’a transférée dans un hôpital où elle a un peu été laissée pour morte. D’où elle s’est enfuie pour assouvir sa première soif ?
MERCI à toi
Jeu 18 Mar - 17:48
Bravo tu es validé.e !
Le grand moment est enfin arrivé