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20.02
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04.12
Avec l'arrivée de l'hiver nous accueillons un nouveau design et un système de badges. Plus d'infos ici ! N'oubliez pas que les inscriptions à la Sainte-Oie secrète sont également ouvertes !
24.10
Après la NEWS #17, les nouveaux RPs hors-flashbacks devront prendre place en Août 1590, mois actuel.
10.10
Le groupe des sorciers est à nouveau fermé !
04.09
Mais dis donc, ne serait-ce pas l'heure pour un nouvel event ?! Eh bien si mes petites mirettes ! C'est ici que ça se passe !
13.06
Le recensement est terminé et comme il fallait s'y attendre, plusieurs nouveautés se rajoutent ! Venez jeter un coup d'oeil ici pour plus d'infos !
22.05
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17.05
Le forum sera en maintenance le 22 et 23 Mai. Les oies gagnent du terrain mais nous ne sommes pas encore vaincus.
06.01
Ouverture du forum. Bienvenue !
—— prédéfinis
L'humain a toujours su se construire des royaumes et composer plus ou moins bien avec les élites voisines. Mais ces hommes et ces femmes n'étaient pas les seuls à fouler cette terre de leurs pieds éphémères. Perdus entre le prestige de la noblesse et la vie froide de la paysannerie, nombres de vies se sont tissées les unes aux autres pendants des siècles, jusqu'à ce que les Rois et les Reines finissent par lutter concrètement contre les engeances qu'étaient les vampires et les lycanthropes. Toujours dans la discrétion la plus totale, bien entendu.

Qu'en sera-t-il de vous?
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Titi
VAMPIRE - ARCHIVISTE

inventaire

Inventaire : + Une guitare espagnole ; une mule appelée Marjorie ; 3x infusions du zénith ; un mystérieux masque.
- Glandes à venin
Espèce : Vampire (mordu)
Emploi : Ménestrel (en apparence)
Situation maritale : Libre comme l'air
Pièces : 1990
DC : Constantin ☆ Mordeuse ☆ Hélène ☆ Hildegard ☆ Adam ☆ Mélusine

badges


Titi
Inventaire : + Une guitare espagnole ; une mule appelée Marjorie ; 3x infusions du zénith ; un mystérieux masque.
- Glandes à venin
Espèce : Vampire (mordu)
Emploi : Ménestrel (en apparence)
Situation maritale : Libre comme l'air
Pièces : 1990
DC : Constantin ☆ Mordeuse ☆ Hélène ☆ Hildegard ☆ Adam ☆ Mélusine
Lun 29 Mar - 1:12
le souvenir
des morts
c'est le tombeau des vivants
Espagnol 13/08/1551 Vampire (mordu) Peuple
Barde itinérant (archiviste) — très aisé — ft Jaskier (The Witcher)
En bref
Tu me demandes qui je suis, je te réponds que je suis tout ce que tu veux. Les hommes me connaissent comme le ménestrel excentrique à la voix d'enfant, celui qui aime chanter faux, qui est agaçant, qui ne se produit que la nuit mais qui parle plusieurs langues et joue de la guitare espagnole. On ne dirait pas comme ça mais j'ai plein de talents et de charme : On m'a plusieurs fois demandé de devenir professeur mais j'ai déjà un vrai travail. Les immortels m'appellent l'Archiviste comme celle avant moi. Je leur donne de nouvelles identités (et le sourire) et eux me donnent de l'argent. On me fait confiance car je ne divulgue jamais rien sur ceux et celles qui m'ont engagé.
Tu m'as peut-être croisé au détour d'un bar, dans un bordel, sur un sentier de forêt sous un autre nom, sur un autre air de musique et pourtant la rengaine est toujours la même. Je bouge tout le temps, je fais beaucoup de bruit, je ris tout le temps. Je suis discret sur moi-même alors que je parle tout le temps. J'aime parler pour ne rien dire, j'aime énerver, j'aime te courir après peu importe ton âge et ton sexe. Je n'aime guère plus chanter, je ne peins plus beaucoup également car ça me rend triste et moi je préfère être tout le temps outrageusement gai. Tu peux me haïr comme m'adorer, le lendemain je suis déjà parti avec une autre histoire et un nouvel air de guitare.

En vrac
1m69 — yeux verts — cheveux bruns — parle espagnol, italien, latin, arabe et français — faussaire de génie — faux airs de crétin — séducteur un peu raté — voix d'ange, paroles de diablotin — tendresse pour les prostituées, les saltimbanques, les opprimés — mais neutre en toutes circonstances — se fait passer pour un barde itinérant — gagne très bien sa vie — mais dilapide tout son argent en jeux et en femmes — piètre combattant — mais excellent baratineur — bon danseur (dans sa tête uniquement) — des contacts, amis, des amants dans toutes les grandes villes — ment toujours sur ses origines — ment souvent en fait — préfère les chansons paillardes aux chants religieux — complexe sur ses poignées d’amour — très coquet — passe sa vie à geindre sur des choses insignifiantes — tatillon sur la nourriture (aka sur les personnes sur qui il se nourrit) — le vert émeraude est sa couleur préférée — procrastineur de première — mais très sérieux dans son travail — voyage avec une mule têtue appelée Marjorie — Lion, ascendant Verseau, lune en Balance.  
J'ai fabriqué des mondes, j'ai mis des mots et des rires, des pleurs. Et puis le temps lui a buriné mes rides, j'ai peur.
Mâo
qui peut m'arrêter
tw ; violence, agressions sexuelles.
Je n'aborde pas ces sujets en détails mais c'est suggéré donc si ce sont des choses que vous n'avez pas envie de lire, je vous conseille de passer votre chemin. Je mettrais un résumé du parcours de Titi dans sa fiche de liens.


Grenade, 1562
Maman marchait vite ce matin. Elle avait les mains moites, je voyais la sueur perler sur son front entre les mèches bouclées qui s'échappaient de sous son voile.

« Allons-nous à l'église ? » Ai-je demandé. On était pas dimanche pourtant.

Elle n'a pas répondu, elle avait l'air triste. On s'est arrêtés devant une maison, elle m'a enlacé. Elle sentait le parfum du bordel et la friture du torrijas qu'on avait mangé avant de partir. Elle m'a dit d'être sage. Des mains d'hommes, grosses, bourrues m'ont trainé à l'intérieur. J'ai reconnu dans la pièce le Père Enzo.  Il ne m'a pas salué, il est sorti rejoindre ma mère lui a tendu une bourse et elle est partie. Je n'ai pas eu le temps de crier : on m'a fourré un chiffon dans la gorge.

Ce n'est que lorsque j'ai senti la morsure du couteau chauffé à vif dans mon entre-jambe que j'ai compris qu'elle m'avait vendu.



Rome, 1569
Nous étions 15 dans la troupe, 15 petits anges. Tous des hommes ou plutôt plus tout à fait. Père Enzo a lancé la mode : les femmes étaient mal vues dans les choeurs, les hommes avaient la voix trop graves quand l'adolescence les prenait. Nous répondions à une demande nouvelle tout simplement. Il avait eu l'idée en Espagne en rencontrant les ottomans et leurs eunuques.
Notre succès fut fulgurant : à mes 18 ans nous avions fait le tour de l'Europe, chantant dans les cathédrales, devant le Pape en personne plusieurs fois. À part ses mains baladeuses, Père Enzo nous traitait bien. Grâce à lui j’ai appris le solfège, plusieurs langues et la peinture. Je n'étais plus le petit oiseau analphabète hurlant bêtement des comptines arabes dans la poussière de Grenade : j'étais un petit trésor. Qu'on s'arrachait à prix d'or.

Mais les années passant, Père Enzo s'était empâté dans son argent et son succès. Les portes de nos chambres n'étaient plus verrouillées à double-tour, il ne fouillait plus nos affaires. J'avais réussi à cacher de l'argent, j'ai pris mes pinceaux, mes plumes et Georges avec moi et je suis parti. J'avais plus besoin de mon matériel que de Georges mais je savais que la colère du Père Enzo serait double en perdant non pas un mais deux de ses chérubins.
J'avais appris à imiter les écritures, d'abord en recopiant la Bible, puis les bulles et autres documents officiels du Pape. Je n'ai pas eu de mal à écrire des lettres de passages de tel ou tel seigneur local, des ordres de missions, des lettres de la banque de Venise. On s'est enfuis par la mer tout les deux, nos rires voguant au-dessus des flots.
Je suis reparti à Grenade, il m'a suivi.



Grenade, 1571
Je me suis vu sur les toits de l'Alhambra à secouer la tête du gouverneur. Je me suis vu bondissant, la lance à la main, dans les régiments de Philippe II, transperçant les armures, les gueules et les coeurs en hurlant le nom de mes frères, de ma liberté. Je me suis vu sur les quais de Valence à tendre les bras à des bateaux entiers de mes enfants, de mes mères, de mes peuples. À leur dire que c'était aussi chez eux désormais.

Les soldats du roi nous ont fauché comme un ouragan dans les rues terreuses. J'ai vu la tête de Georges rouler à mes pieds, son sang s'est mêlé au mien, son cri s'est tu pour la dernière fois. Aben m'a tiré dans une ruelle par le col. On a couru comme des rats au milieu des corps, je l'ai perdu sans le chercher. Je suis rentré chez moi, les poches vides et les mains pleines de sang.
L’armée était arrivée avant moi. Ils n'ont pas nettoyé les cadavres. Le mari de ma mère avait bien lutté. Il était réduit en bouilli, étalé au milieu de l'entrée. Dans le couloir, mes deux petits frères. Juan avait encore son cheval en bois dans les mains. J'ai enfourché la pile, je suis monté à l'étage. Ma mère était dans son lit, ouverte en deux du ventre à la poitrine, jambes écartées, tête bleue et violacée comme un fruit trop mur. Ma soeur était à moitié couchée sur une table, la jupe relevée. Je les ai couchées dans leur lit, je suis parti ramasser Juan et Alberto pour les mettre à côté, ramassant le bras du benjamin pour le cacher sous un drap. Mon beau-père était trop lourd, ses yeux avaient coulé le long de ses pommettes. Il n'avait plus de face, seulement une purée rouge et odorante. Je l'ai laissé là, j'ai recouvert ce qui restait de ma famille avec les rideaux délavés par le soleil, leur ait fermé les yeux et je suis parti sans savoir où aller avec ma peine et ma rage.



Alger, 1571
J'avais pris le premier bateau à Malaga. On fuyait par centaines, par milliers, les pirates n'avaient plus qu'à lancer leurs filets pour venir nous pêcher.
Je valais cher, j'étais lettré, j'étais castré, j'étais polyglotte. C'est Imane, une des courtisanes préférées du sultan qui m'a acheté. Dans le sérail la vie était douce, les femmes m'adoraient. Je leur apprenais la musique et les langues à elles et leurs enfants. Imane aimait peindre, elle a pris mes armes et les a remplacés par des pinceaux et une guitare. Je n'ai jamais su composer, je me contentais de reprendre ce qui était déjà fait. Je copiais ses portraits et rejouais ses chansons. Je l'ai aimée au premier regard, sans jamais me demander pourquoi elle ne mangeait pas avec les autres, pourquoi elle ne peignait pas de couchers de soleil, pourquoi elle recevait et envoyait tant de lettres, qu'elle me demandait de laisser entrer des hommes et des femmes en secret la nuit dans sa chambre.
Un jour elle m'a montré ses crocs, elle a dit que j'étais presque prêt. Je lui ai donné mon sang sans hésiter. Les navires espagnols étaient à nos rives. Je lui ai dit qu'ici c'était beau, mais qu'ici la guerre nous rattraperait. Elle a ri.

« Tu sais, il y a des guerres bien plus sales que la tienne. » M'a-t-elle répondu.

On a quand même fui pour l'Europe avec ses papiers, mes rêves et des notes de musique pleins la tête.



Paris, 1573
Elle aimait la France alors on s’est installés à Paris. J'allais m'asseoir sur les bancs de Notre-Dame aux messes de minuit, regarder les statues, la hauteur des cierges, les couleurs des vitraux et je lui repeignais tout la nuit.
La guerre je l'ai retrouvée mais pas celle que je pensais. Des crocs contre des griffes, vampires contre lycans. Imane avait des amis des deux côtés, elle avait perdu autant de soeurs que de frères. Je la regardais sans comprendre avec tous ses livres et ses missives. Elle ne prenait jamais partie. Elle m'a expliqué son vrai travail : le travail de la mémoire. Elle était archiviste. Elle prenait les noms, les notait, en donnait d'autres. Elle créait des identités, des histoires pour les autres, pour que dans les camps on puisse continuer à exister dans la nuit, dans le secret. Sa seule règle : ne jamais divulger la liste de ses clients. Je savais pourtant qu'elle avait oeuvré pour des chefs dans tous les clans. Je lui ai dit qu'avec son savoir on pourrait mettre fin à la guerre, qu'on aurait qu'à faucher les plus grands. Elle m'a pris dans ses bras, m'a souri.

« Je suis là pour écrire l'histoire, pas pour la façonner. »

Elle m'avait choisi pour prendre sa place. On s'est disputés. Elle refusait également d'aider bénévolement les esclaves en fuite. Pas ses affaires. Alors j'ai pris les miennes et j'ai quitté le pays. Ne pas prendre de position, c'était accepter la guerre, c'était la protéger. Je refusais d'être un spectateur aux premières loges du charnier.



Paris, 1575
J'ai cru que le Nouveau-Monde serait différent. J'ai été déçu. Ce monde était vieux, très vieux, simplement encore insoumis. Je sentais sa rage de voir ses terres broyées et ses enfants massacrés. J'ai quitté le Mexique aussi vite que j'y suis arrivé, crevant du mal de mer et du mal du pays dans les cales du convoi que j'avais payé pour m'emmener. Je suis revenu la queue entre les jambes en France parce que l'Espagne et l'Italie me faisaient trop mal.

À Paris, la maison d'Imane n'avait pas changé. Elle m'attendait sur le palier. Elle n'a rien eu besoin de dire, je savais qu'elle savait. J'étais prêt désormais, j'acceptais mon destin, j'acceptais de devenir comme elle. Le lendemain, je disais adieu à ma dernière aube. Le lendemain j'ai embrassé la nuit.
J'ai recommencé sérieusement mon apprentissage. Une fois ma métamorphose achevée, elle a décidé qu'on referait le tour de l'Europe, que rester plus longtemps à Paris c'était mauvais pour les affaires.



Prague, 1587
Imane a été assassinée. Je n'ai jamais retrouvé son corps, je n'ai pas voulu. Un soir je suis rentré dans notre maison, j'ai senti l'odeur de son sang et j'ai tourné les talons. Je savais. J'avais trop peur de retrouver ma mère dans la chambre que nous partagions, j'avais trop peur que ce soit la dernière image que j'ai d'elle. Je ne suis pas allé à sa cérémonie d'au revoir avec ses frères et soeurs. Lui dire adieu c’était prendre le risque de me dégoûter de son travail. Je me suis contenté d'aller dans notre cachette pour récupérer son matériel et la guitare qu'elle m'avait donné il y avait longtemps.

Mon tour était venu.



Paris, 1590
Mes pas m'ont ramené vers Paris. Ironiquement, la guerre était finie, enfin celle de la nuit. C'était le temps de se reconstruire. Avec la Peste et tous ses morts, je ne manquais pas d'identités à emprunter, j'ai repris le rôle d'Imane et puis j'ai pris aussi celui de plusieurs pages, d'un messager, d'un ménestrel, tout pour avoir accès aux testaments, aux courriers, aux papiers d'identité. J'ai donné d'autres noms, des lettres de recommendation, des titres, des enfants, des maisons à ceux qui le réclamaient contre de l'argent. Lycans ou vampires, ça m'importait peu. Je prenais leur passé, je leur en donnais un nouveau sans poser de questions, sans jamais parler de mes autres clients. La méthode qu'Imane m'a enseigné est infaillible, je suis le meilleur des faussaires de la nuit.
La guerre était finie. Je n'avais plus de partie à prendre, plus d'opinion. Plus d'envie. Que le souvenir d'Imane et la tâche qu'elle m'avait confié.

J'avais voyagé un peu partout avec Imane : on me connaissait. J'ai hérité de son réseau en plus de son travail. Le bouche à oreille fonctionne bien, je n'ai pas besoin de chercher de la clientèle, c'est elle vient à moi même si elle s'étonne toujours de tomber sur moi et pas sur la belle byzantine.
Je ne reste jamais longtemps au même endroit, je ne raconte jamais mon histoire en entier. Que de bribes ici par là, dans le fond d'une choppe de bière, dans les draps d'une prostituée, dans un air de guitare. Elle ne me ressemble pas.
Aujourd'hui je m'appelle Titi, peut-être que demain je serais Ahmed ou Lucas. Ce n'est pas important. J'aime mon nouveau travail, j'aime ne plus avoir à penser. Je comprends pourquoi Imane souriait tout le temps.

Aujourd'hui je m'appelle Titi, parce que hier les années ont dévoré Timoteo et tous ses ancêtres. Timoteo est parti avec le soleil rouge de Grenade et s'est éclaté sur les marches du château de Prague.



cactus

Invité
Invité

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Lun 29 Mar - 2:11
Can't. Be. Disappointed. By. The. Chaotic. Energy. :right:
Stanislava Braginsky
VAMPIRE - PEUPLE

inventaire

Inventaire : Epée à une main :: Fouet :: Arc (+petites fioles d'eau bénites :: Rapière d'élite :: Epée d'élite :: 2 Dague d'élites :: Couteaux de lancé

Potit chien, Sire :: Etalon noir, Cavale :: petite fiole de parfum :: infusion du zénith (4) :: Boîte d'anti-douleurs (1) :: une coupe fancy :: onguents (2) :: contre-forsythia (1) :
Espèce : vampire
Emploi : "garde du corps de Victoire" ( en théorie )
Situation maritale : amante de Sébastien Filin
Histoire : www
Ses liens : www
Pièces : 3755
DC : Ignacio :: Dahlia :: Charles :: Lars :: Calla :: Sven

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Stanislava Braginsky
Inventaire : Epée à une main :: Fouet :: Arc (+petites fioles d'eau bénites :: Rapière d'élite :: Epée d'élite :: 2 Dague d'élites :: Couteaux de lancé

Potit chien, Sire :: Etalon noir, Cavale :: petite fiole de parfum :: infusion du zénith (4) :: Boîte d'anti-douleurs (1) :: une coupe fancy :: onguents (2) :: contre-forsythia (1) :
Espèce : vampire
Emploi : "garde du corps de Victoire" ( en théorie )
Situation maritale : amante de Sébastien Filin
Histoire : www
Ses liens : www
Pièces : 3755
DC : Ignacio :: Dahlia :: Charles :: Lars :: Calla :: Sven
Lun 29 Mar - 3:30
AAAAAH, SI BIEN ! Tellement hâte de lire tes rps avec ce personnage big mdr

rebienvenue :momo:
Lisbeth Corey

inventaire

Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
Philtre d'amour x1.
Onguent x1
Une épée étrange x1
Espèce : Humaine
Emploi : Responsable "couture" au palais
Pièces : 3181
DC : Aerin Brindal

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B-HONKED
S'est fait déb-oie-ter en RP
Les un dé 100
A fait 100 aux dés

Lisbeth Corey
Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
Philtre d'amour x1.
Onguent x1
Une épée étrange x1
Espèce : Humaine
Emploi : Responsable "couture" au palais
Pièces : 3181
DC : Aerin Brindal
Lun 29 Mar - 13:25
TOSS A COIN TO YOUR WITCHER !
J'adore le choix du vava et l'histoire vraiment passionnante !

Rebienvenue !!
L'Oeil
ENTITE SUPERIEURE

inventaire

Inventaire : De quoi vous faire trembler.
Situation maritale : Marié.e au mystère.
Pièces : 2997

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L'Oeil
Inventaire : De quoi vous faire trembler.
Situation maritale : Marié.e au mystère.
Pièces : 2997
Lun 29 Mar - 14:01
Bravo tu es validé.e !
Le grand moment est enfin arrivé

Quelle tête à claque, et en même temps combien il est attachant ? L'histoire m'a un peu soufflé, je vais pas mentir. Et l'originalité du personnage lié à l'archiviste... :right:
Très très hâte de l'entendre faire des concours d'improvisation avec les tourterelles pour réveiller petit Paris.

En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste




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