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L'humain a toujours su se construire des royaumes et composer plus ou moins bien avec les élites voisines. Mais ces hommes et ces femmes n'étaient pas les seuls à fouler cette terre de leurs pieds éphémères. Perdus entre le prestige de la noblesse et la vie froide de la paysannerie, nombres de vies se sont tissées les unes aux autres pendants des siècles, jusqu'à ce que les Rois et les Reines finissent par lutter concrètement contre les engeances qu'étaient les vampires et les lycanthropes. Toujours dans la discrétion la plus totale, bien entendu.

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Eudes de Cluny
HUMAIN - PEUPLE

inventaire

Inventaire : ✦ Une petite serpette émoussée
✦ Un mystérieux masque (don de Titi)
Espèce : Humain
Emploi : Moine gyrovague
Situation maritale : Quelle idée voyons
Pièces : 2928

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Eudes de Cluny
Inventaire : ✦ Une petite serpette émoussée
✦ Un mystérieux masque (don de Titi)
Espèce : Humain
Emploi : Moine gyrovague
Situation maritale : Quelle idée voyons
Pièces : 2928
Mar 2 Nov - 22:57



Eudes/Lisbeth
Yet I flinch every time
Ces jours, tu ne cherches plus tant à fuir la capitale.
Ses alentours ne sont pourtant pas devenu plus sauf, l’afflux constant de voyageurs et de marchands friands de dépenser et de vendre ragaillardissant les bandits de grand chemin, mais tu trouves en toi le courage de les braver lorsque tu repasses dans la région car tu t’es fait, contre toute attente, quelques amis dans le coin.

(tu n’oserais jamais les appeler ainsi, mais secrètement, tu te laisses parfois espérer que le sentiment est réciproque)

Tu n’es que de passage, mais le soleil est encore haut dans le ciel et tu as trouvé la compagnie de quelques paysans se rendant à Paris, le nombre se portant garant de votre sûreté; tu ne peux voir que la volonté du Seigneur dans ce concours de circonstance plus que favorable, alors tu te dis qu’il n’y a pas de mal à une visite de courtoisie.

Au moment de te retrouver devant la porte de l’atelier de couture, tu ne tiens plus le même discours.

Tu te sentais si confiant, et ce bien avant de te retrouver dans la région; cela fait un moment qu’à chaque fois que tu poses les yeux sur une plante comestible, tu ne peux t’empêcher d’avoir une pensée pour la jeune fille de cet été.

(tu ne peux prétendre avoir oublié son nom, pas après ce que vous avez vécu, mais tu n’oses même pas le penser de peur d’attirer malheur)

Et c’est bien ça le problème. Malgré ses paroles rassurantes et son hospitalité sans borne, tu ne peux te laver de la culpabilité qui te poursuit depuis ce jour, qui en retour ne fait que peser plus lourd lorsque tu te remémores votre dernière conversation. Tu as réussi à rationaliser tes craintes jusque là, assez même pour cueillir les premières mirabelles de saison dans le but même de ne pas venir la voir les mains vides, mais plus tu t’es enfoncé dans la ville, plus leurs voix ont pris de l’ampleur, jusqu’à couvrir la moindre de tes pensées, leur venin te paralysant sur place.

(tu penses réellement qu’elle a envie de te revoir ?)
(se doit être un soulagement pour elle de ne plus avoir croisé ton chemin)
(elle ne t’a dit ça que par politesse)(par pitié)(pour te faire arrêter de geindre)
(oiseau de malheur comme tu es, si tu passes le pas de cette porte, tu arriveras bien à mettre le feu à la bâtisse)
(pire encore, tu te crois expert, mais tu vas l’empoisonner par maladresse avec ce que tu as cueilli)(un véritable cadeau empoisonné)

(et cette fois
à qui sera la faute s’il lui arrive malheur-


Il te faut une seconde pour réaliser ce qui est arrivé,
mais entre les yeux écarquillés de l’homme au-dessus de toi,
la douleur qui te scie la tête
et la porte ouverte de la boutique,

tu fais le lien assez vite.

Avant même que tu puisses dire quoi que ce soit, sa grande main t’empoigne déjà par le bras pour te relever comme si tu ne pesais pas plus qu’une grappe de raisin.

(ce qui n’est pas si loin de la réalité)

“Bon Dieu, J’vous avais pas vu ! J’voulais pas vous envoyer valser mon Frère.” L’inconnu coupe tout souffle de tes poumons en assénant une grande tape dans ton dos avant même que tu puisses répondre. “Loin de moi l’envie de casser la clientèle !”

Ceci est, comme le rire tonitruant qui suit, lancé plus à l’attention de qui se trouve dans la boutique qu’à la tienne.

Rougeau, essoufflé et ébouriffé comme un oisillon venant de tomber du nid, ce qui ne tardera pas à devenir une bosse sur ton front et agrippant le petit baluchon qui ne t'as miraculeusement pas échappé des mains durant l’incident, c’est ainsi que tu te présentes. L’homme rustaud te congédie d’une autre tape dans le dos qui te pousse encore un peu plus loin vers le pas de la porte, son rire s’éloignant doucement dans la ruelle.

Cette fois, tu ne peux décemment plus te dérober. “Je… Euh…” Tes pensées sont encore toute chamboulées par l’impact, alors tu ne peux que balbutier un pathétique “Est-ce bien ici que Dame Lisbeth travaille ?”

Tu n’arriverais même pas à dire qui se trouve en face de toi car tes yeux se bornent à ne fixer que le sol.


@Lisbeth Corey
Lisbeth Corey

inventaire

Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
Philtre d'amour x1.
Onguent x1
Une épée étrange x1
Espèce : Humaine
Emploi : Responsable "couture" au palais
Pièces : 3203
DC : Aerin Brindal

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B-HONKED
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A fait 100 aux dés

Lisbeth Corey
Inventaire : Un sac avec dedans des cailloux et un gros livre contenant des fleurs et feuille sécher.
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Mer 3 Nov - 23:59


Marraine la bonne féeFeat -   @Eudes de Cluny

Depuis cette affaire dans les bois de Saint-Cloud, Lisbeth ne s’y est plus baladée toute seule... Voire même plus du tout. Le souvenir de cette nuit l’avait bien hantée pendant quelques nuits... Parfois, ils revenaient lorsqu’elle était stressée, mais depuis quelque temps, plus aucun cauchemar n’était revenu. Ce soir-là, beaucoup de choses, c’était passé, la pluie, sa crise, leurs fuites pour se réfugier, la tentative d’Eudes pour qu’elle ne tombe pas malade de froid et pour finir, cette fumée qui l’avait fait suffoquer... Par chance, son karma avait bien fait les choses et elle avait réussi à s’en sortir avec Eudes sur son épaule. Jamais Lisbeth ne se serait cru une chose pareille. Après cet accident, Lisbeth n’avait plus vraiment entendu parler d’Eudes... Est-ce qu’il allait bien ? Est-ce qu’il avait réussi à s’en remettre ? Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait que ce jeune homme allait s’en vouloir à vie, même si la couturière avait tout fait pour que cela n’en soit point le cas.

Les semaines ont passé, les mois, le bal venait de se terminer et aucune trace du jeune homme qu’elle avait rencontrée... Avait-il oublié ? Cela était bien possible, après tout s’il voulait oublier leurs expériences, il avait tout à fait le droit de le renier de son esprit. Rien qu’à cette pensée, le coeur de Lisbeth se serra un peu. À part Fay, personne n’avait déjà entendu sa voix et pour la première fois, un inconnu l’avait perçu... Il y avait bien le concours de circonstance, mais pourtant... Pourtant, il était l’une des exceptions. Elle continuait sa petite vie, jonglant entre le château et la boutique. Elle ne savait pas où tout cela allait l’emmener, mais le souvenir d’une opportunité mise de côté lui revint à l’esprit. C’est vrai qu’elle aurait pu devenir noble, laisser derrière elle sa passion, son métier... Mais au fond, Lisbeth le savait, elle n’était pas encore prête. Pas assez mûre, pas assez sûre d’elle et encore fortement handicapé par son incapacité à parler devant des gens.

Travaillant ce jour-là dans la petite boutique de sa mère, Lisbeth se mit au travail avec ardeur, utilisant ses nouvelles techniques de broderie pour agrémenter les dernières commandes et prenait quelques clients. Occupée à prendre la commande d’un homme bien grand et assez fort, Lisbeth finit enfin de prendre ses mesures et de les noter sur un bout de papier. Elle lui présenta alors quelques modèles et une fois sélectionnée, elle lui montra les différents tissus et couleurs pour enfin avoir la totalité de la commande. Tout était bien noté et dessiné sur son petit carnet de travail. Par chance, les personnes venant dans la boutique étaient au courant pour Lisbeth et ne trouvaient pas cela grandement dérangeant. Pour le plus grand plaisir de sa mère.

Une fois que le premier versement fut recueilli, le client se dirigea vers la sortie et Lisbeth retourna vers l’arrière-boutique pour aller se préparer un petit thé bien chaud. La journée avait été bien longue, une matinée bien chargée avec pas mal de clients, mais au final, cela s'était bien passé. Sur la petite table, un gâteau préparé par Lisbeth, pomme et chocolat. Coupant un morceau pour le déposer sur une petite assiette, elle en coupa une deuxième et la positionna juste à côté et attendit que le thé se fasse tranquillement.

Soudain, pendant qu’elle était en train de feuilleter son petit recueil de feuille qui avait pris un peu l’eau, la voix de sa mère se fit entendre.

- Ma petite Lili, un jeune homme veut te voir ! Ma fille à du succès dit do…

- MAMAN !.

Lâchant son recueil avec empressement, la demoiselle mit sa main sur sa bouche tout en foudroyant sa mère, fière d’elle. Quand va-t-elle arrêter de dire ce genre de chose, elle n'en avait pas assez ? Tournant son regard, elle remarqua alors Eudes et un large sourire se dessina sur son visage. Faisant une salutation de la tête, elle prit son carnet et écrivit deux choses.

- Je pensais que tu avais fermé pour qu’on fasse une pause ! C’est pas gentille maman, ne va pas lancer de fausses rumeurs !

Puis se tourne vers Eudes, le regard un peu fuyant face à la situation.

- Bonjour Eudes, cela fait longtemps ! Vient entre, je t’en prie !

Se rapprochant un peu, elle récupéra sa petite veste, la déposa sur le porte-manteau et lui fit signe de s’avancer.

- Lisbeth, prépare donc une assiette et une tasse de thé pour ton ami. Je viens de me rappeler que j’ai quelque chose à faire, je n'en ai pas pour longtemps.

Elle se pencha pour embrasser le front de son enfant et, rouge de gêne, Lisbeth se cacha légèrement derrière son carnet. Ce n'est pas vrai... Que va-t-il penser d’elle maintenant ? Un jour, elle ferait un sale coup de vengeance... Un jour !

Eudes de Cluny
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Eudes de Cluny
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Ven 5 Nov - 21:53



Eudes/Lisbeth
Yet I flinch every time
La bonne nouvelle, c’est que l’on ne t’as pas mal indiqué ton chemin; la mauvaise, c’est que dans cette boutique, il n’y a que des femmes, et si tu t’es acclimaté à la présence de Lisbeth, il n’en n’est rien pour sa mère, qui plus est n’a pas sa langue dans sa poche.

(c’est ce qui arrive quand un jeune homme vient quémander une demoiselle pas encore mariée)(que va-t-elle penser de toi ? Y avais-tu seulement songé ?)
(non bien sûr, tu ne pensais qu’à ta petite personne)(comme toujours)

Si entendre la voix de celle que tu cherches te prend d’abord de court, tu ne tardes pas à te confondre en explication; en vous y mettant à deux, vous arriverez peut-être à plaider votre innocence. “Ce- je vous assure que ça n’a rien à voir avec ça !”

(il n’y a que les coupables qui trébuchent sur leurs mots)

Ton cœur se serre un premier temps en voyant enfin Lisbeth débouler dans la boutique, mais son sourire rayonnant balaie l’angoisse montante avec l’aisance de la marée emportant avec elle ce qui choit sur la grève… Le soulagement est tel que tu ne réfléchis pas à deux fois avant d’enfin passer le pas de la porte. “Ha- bonjour, Lisbeth, tu es…”

Radieuse ? Lumineuse ? Eclatante ?

Dieu seul sait ce que tu allais dire, car les mots restent bloqués dans ta gorge en croisant le regard de sa mère. Tu détournes vite les yeux, plus écarlate que les étoffes de l’atelier, mais tu n’es pas assez gauche pour oser refuser son invitation, alors c’est avec grande peine que tu lui fais face. “Merci de votre hospitalité, je ne serais pas long…” Tu regrettes tes mots en repensant à la joie sur le visage de Lisbeth, même si ce n’est que la plus stricte vérité: il ne serait pas bon pour toi de t’attarder.

Et puis, aussi bien intentionné que tu es, bien du temps est passé depuis votre dernière rencontre, et la magie intimiste de votre dernière soirée s’est évaporée pour laisser derrière elle silence et gêne dès que sa mère vous laisse seuls.

Un rire nerveux t'échappe, qui en retour ne fait que monter d’un cran ton malaise. “On ne change pas une mère…”

(une phrase toute faite)(factice)(sans aucune expérience derrière elle)
(ta mère, elle, n’a jamais plaisanté sur le sujet)
(l’idée que l’on puisse te désirer n’était probablement même pas une possibilité pour elle)

Tu te racles la gorge, essaie d’avaler cette déplaisante pensée et te souvient enfin de ton baluchon. “C’est pour toi- enfin, pour vous- toi et ta famille, s’ils en veulent-” Tu te perds dans les contours, alors tu préfères ouvrir le tissu sur la table, découvrant une ribambelle de couleur estivales: quelques mirabelles orangées, des pissenlits aux pétales chatoyants, des campanules d'un lilas tendre ainsi qu’un bouquet d’herbe au goutteux charnus. Un humble présent, juste de quoi agrémenter un repas, qui d’un coup te semble bien pitoyable.

(mais toi, un moine, plus que quiconque, n’a pas de raison de couvrir une jeune fille de cadeaux coûteux)
(ce n’est pas comme si tu cherchais à impressionner son père)

Mais bon… Tout ça, ça pousse dans la région, ce n’est rien d’incroyable. “J’aurais voulu te ramener des variétés de Bourgogne, hélas… Je pense que tu sais mieux que quiconque que les plantes supportent mal le voyage une fois coupées.” Ce n’est pas comme si tu n’y avais pas songé. Il y a tant de plantes avec lesquelles tu as grandi là-bas qui ne poussent pas ici que tu pourrais lui montrer, mais ce n’est pas comme si elle allait te suivre dans tes pérégrinations. “Je ne sais pas si tu as déjà eu l’occasion de t’y rendre, mais les montagnes sont magnifiques à cette époque de l’année…”

Si l’Homme peut être cruel et la vie tumultueuse, poser le regard sur l’oeuvre du Seigneur suffit à emplir quiconque d’admiration, plus encore lorsque la nature est à son apogée, pavanant son plus beau vert juste avant le défilé de l'automne…

Tu réalises que tu te perds dans tes rêveries, tousse, regarde ailleurs en serrant tes mains l’une contre l’autre. “J’espère que tu te portes bien.”

(mieux que la dernière fois)

“Il est difficile pour moi de recevoir du courrier, alors je suis venu prendre des nouvelles.”

(tu aurais probablement dû commencer par là)

Lisbeth Corey

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Mer 10 Nov - 0:19


Marraine la bonne féeFeat -   @Eudes de Cluny

Pourquoi sa mère continuait à avoir ce genre de comportement aussi insouciant et quelque peu gênant ? Depuis que son ami Lycoris est passé demander quelques nouvelles, sa mère n’avait pas arrêté de la taquiner. Elle pouvait comprendre que l’inquiétude de sa mère avait entraîné dans son comportement une peur de voir sa précieuse fille solitaire. Mais parfois, la demoiselle pouvait être quelque peu mal à l’aise face à ce comportement. Pourtant, au fond d’elle, Lisbeth ne pouvait pas lui en vouloir, elle était bien contente d’avoir une mère aussi bienveillante qu’elle... Certaines personnes n’en avaient pas la chance. Gonflant ses joues et fixant sa mère, celle-ci rigola alors à la frimousse de son tendre enfant et tourna son regard vers le nouvel arrivant. Cela faisait bien longtemps qu’elle ne l’avait point vue, elle se demandait s’il allait bien. Depuis cette mésaventure, elle l’avait attendu, mais petit à petit, son quotidien finit par la rattraper et elle oublia.

Pourtant, il avait fini par venir, se trouvant devant elle, sa mère le regardant et rigolant un peu à sa tentative d’explication. Connaissant sa mère, il avait beaucoup d’espoir d’essayer de la raisonner ou de lui faire comprendre la vérité...Elle ne croyait que ce qu'elle voulait. Cela fit sourire la couturière, c’était assez mignon de le voir tenter, même si cela n’avait nullement fonctionné. Il n'avait pas vraiment changé pendant cette absence, toujours aussi timide et mal à l’aise... Pourtant, elle n’allait pas le manger !

Souriant simplement, la jeune femme fit un signe d’au revoir à sa maman et, finalement, sortie de derrière son carnet pour voir Eudes et lui sourit un peu timidement. Il avait raison, on ne pouvait pas changer une maman.

- Oui... Vous avez raison, mais même si elle est parfois gênante, je l’aime de tout mon cœur. Oh et ne vous inquiétez pas, vous pouvez rester autant de temps que vous voulez Eudes ! Cela ne me dérange absolument pas !

Elle referma son carnet une fois terminé et lui demande de te suivre pour aller à l’arrière-boutique. Passant la tête par le petit rideau, Lisbeth jeta un œil à la pancarte et, satisfaite, retourna près du jeune arrivant pour lui offrir un joli sourire.

Un baluchon sur la table, Lisbeth pencha la tête sur le côté et écouta ses paroles... Pour elle ? Et sa famille ? Que c’était gentil ! Il était rare les cadeaux qu’on lui faisait, alors elle ne fut qu’heureuse de voir cette attention si charmante. Elle posa alors son carnet sur le côté et regarda avec des étoiles dans les yeux toutes ses variétés. Elle en connaissait une majeure partie, mais certains lui étaient totalement inconnus. Tout sourire, elle continua de les regarder et de les toucher avec précautions et releva la tête, vraiment heureuse de ce cadeau.

Il recommença alors à se rabaisser légèrement et Lisbeth gonfla légèrement les joues et lui poka le front de son index. Secouant la tête et reprenant son carnet pour écrire, l’air très sérieux et pourtant, un soupçon de bienveillance se lisait dans son regard.

- Eudes, ne soyez pas désolé, j’adore ce présent ! Je vous remercie pour cela, nous l'acceptons avec un grand plaisir ! C’est déjà super adorable de nous offrir un tel présent ! Alors ne vous en faites pas ! Merci beaucoup !

Elle laisse maintenant apparaître un petit rire et se tourne pour aller chercher son grand livre un peu abîmé par sa dernière aventure dans la forêt et regarde les plantes. Satisfaite, elle dépose juste après son recueil et réfléchit aux paroles de l’homme avant d’écrire un peu pensivement.

- J’ai déjà eu l’opportunité d’aller en Bourgogne... Malheureusement, je n’ai pas pu étudier les plantes de la région... Un jour, si j’y retourne, je serai honoré que vous m’accompagnez pour partir à la découverte de ses fameuses variétés !

Prenant avec délicatesse le baluchon pour le refermer et le déposer dans un endroit plus approprié et moins encombrant, elle fit très attention en le déposant et se retourna vers Eudes qui lui demandait si elle allait bien et s'excusait de son manque de présence. Secouant la tête, Lisbeth prend son carnet et écrit quelque chose, le tendant maintenant au garçon.

- Je me porte comme un charme et vous ? Pour vous rassurer, j’ai été pas mal occupé aussi, je n’ai point vu le temps passé alors ne vous en faites pas. Je suis contente que vous ne m’ayez pas oublié !

Rigolant un peu, elle remit l’une de ses mèches derrière son oreille et se retourne alors pour déposer les deux parts de gâteau sur la table et verse doucement le thé dans les deux tasses, proposant par la suite à Eudes de s'asseoir sur le canapé... Un peu mieux rangé que d’ordinaire.

- Vous pouvez vous asseoir si vous le désirez. J’ai préparé un petit gâteau et du thé que j’ai appelée “Nuit à Paris”. C’est un thé aux caractéristiques apaisantes et très fruité ! Je vais vous confier un secret, c’est ma mère qui l'a fait !

Eudes de Cluny
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Mer 17 Nov - 23:20



Eudes/Lisbeth
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Tu ne te lasses jamais de ces interruptions, le temps que la jeune femme écrive ses réponses; la conversation peut respirer et toi penser à tes mots, une occasion rare de pouvoir prendre le temps de les choisir avec soin.

Même si elle arrive à te surprendre au milieu de ta réflexion en frappant ton front de l'index, en plein dans la bosse qui commence à poindre là.

(celle-ci, tu ne l’as sûrement pas volée)

“Ah… Je suis soulagé de l’entendre.” Ton cœur peine à accepter ses sentiments comme sincère, mais tu veux te forcer à y croire pour ne pas les salir, d’autant qu’il est difficile de nourrir le doute lorsqu’elle renchérit encore, comme si elle pouvait pressentir tes pensées négatives et les chasser à coups de flatterie.

(fais bien attention, ça te montera à la tête, comme le rose à tes joues)

Tu vois mal comment les astres pourraient s’aligner de façon à ce que vous vous retrouviez tous les deux en Bourgogne, mais ça ne t’empêche pas d’apprécier le sentiment chaleureux que te laisse cet échange pendant que Lisbeth emporte ton présent. Tu as tant l’habitude de ne côtoyer les gens en dehors de l’église que pour un instant fugace que tu avais presque oublié cette sensation particulière.

Tu souris, presque inconsciemment, en lisant qu’elle se porte bien et que ton absence ne s’est pas faite ressentir, même si cela serre inexplicablement ton cœur.

(qu’imaginais-tu ?)(personne ne se languit de ta présence)
(tu devrais te réjouir de ne pas lui avoir causé de tourments inutiles)

“Comment aurais-je pu ?” Ton rire doux se colore de gêne. Il vaut mieux rire que de pleurer de vos mésaventures précédentes, n’est-ce pas ? Peut-être est-ce là la clef pour enfin te débarrasser de ta culpabilité, bien que tu restes prudent: l’on t’as maintes fois mis en garde des dangers de la dérision.

Bien que tu te sois retrouvé sur les fesses il y a peu, tes jambes endolories apprécient l’invitation à s'asseoir. “Merci.” glisse-tu en acceptant la tasse de thé, dédouané par la politesse du malaise à accepter tant d’hospitalité. Tu y trempes tes lèvres précautionneusement, ton visage s’illuminant lorsque les premières notes fruitées touchent tes papilles. “C’est délicieux…”

(pitié retiens tes larmes)

Tu les ravales comme tu peux; heureusement, tes cheveux se chargent du reste, et si le silence s’étire, tu peux en être excusé en prenant une autre gorgée. Chacune, comme tout entre ces murs, réchauffe ton âme transie de froid, comme du baume au cœur. C’est si agréable que tu ne peux t’empêcher de ne pas t’en sentir digne, mais cette pensée peut restée enfermée derrière tes lèvres… “Je suis heureux que les affaires se portent bien…” Que tu n’ais pas d’une façon où d’une autre jeté un sort sur cette malheureuse fille, comme tu sembles si doué pour le faire. “Sur quoi travailles-tu en ce moment ?” Tu n’as pas oublié les croquis qu’il t’a été permis de voir par le passé… Il y a bien des chances que certains d’entre eux soient devenus de vrais vêtements à présent.

Lisbeth Corey

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Dim 2 Jan - 16:15


Marraine la bonne féeFeat -   @Eudes de Cluny

Lisbeth était vraiment contente de revoir Eudes. Depuis leurs mésaventures, beaucoup d’eau a pu couler sous les ponts. Mais malgré tout, parfois, la jeune femme repensait à cette journée-là.. Que quelqu’un entende pour la première fois sa voix, c’était un peu nouveau pour elle. Malgré tout, elle n’allait pas rester sur cela, elle allait évoluer et un jour, mettre de côté son carnet pour parler comme tout le monde ! C’était un rêve qu’elle essayait de réaliser chaque jour qui passe. Ce n’était pas simple, mais c’était un challenge pour elle. Toute heureuse, la demoiselle enleva doucement le présent du nouveau venu, en faisant attention de ne pas l'abîmer ou de même le perdre. Une fois, cela fait et pleinement satisfaite, elle allait pouvoir s’adonner à son plus grand atout, la curiosité ! Depuis leurs séparations, que ce soit pour lui ou pour elle, il a bien dû vivre des épopées passionnantes !

Lisbeth avait bien commencé à échanger avec lui, des banalités évidemment, mais pour elle, c’était sincère, elle voulait vraiment savoir comment il allait. Mais une chose tiqua chez elle, il était encore en train de se rabaisser à l’instant ? Gonflant les joues et croisant les bras, Lisbeth se montre peu contente de sa remarque. Ce n’est pas parce que le temps était passé vite qu’elle n’avait pas pensé à lui en se demandant s’il allait bien ! Il avait beau rigoler, Lisbeth avait bien remarqué que quelque chose n'allait pas ! Prenant son carnet, elle écrit alors assez rapidement avant de le lui montrer.

- Je vous ai déjà dit de ne pas vous rabaisser devant moi Eudes ! Je pensais évidemment à vous ! Je me demandais si vous alliez bien, si vous profitiez de vos explorations et de vos rencontres ! Attention, la prochaine fois, je vous pince les joues tellement fort qu’on vous comparera à un écureuil !

Sa moue boudeuse finit par laisser apparaître un léger sourire puis un rire assez joyeux passer entre ses lèvres. Décidément, il avait le chic pour la mettre dans des états pas possibles ! Pourtant, elle n’allait pas le fâcher ou autres…Enfin si un peu, pour lui montrer qu’il n’avait pas à se rabaisser devant elle ! Mais quand même.

Une fois installée, la demoiselle lui donna une petite tasse à thé bien chaude et une fois finit, lui apporta. Ahlala, qu’est ce qu’elle allait bien pouvoir faire de ce jeune homme ! Il était encore tout timide devant elle ! Rigolant intérieurement à sa remarque, c’est vrai que comme ça, il ressemblait un peu à un chiot, un adorable petit chiot. Se servant aussi une tasse, la jeune femme s’assit en face de lui pour en boire une gorgée et goûta son gâteau avec appétit. C'était bon ! Peut-être manquait-il un peu de fruit… Hmm, il faudrait qu’elle améliore cette recette…Sans doute prendre rendez-vous avec Lycoris pour s’améliorer ?

Perdue dans ses pensées, elle est rapidement ramenée à la réalité en entendant la voix du jeune homme en face d’elle. Elle fut heureuse de l’entendre dire que c’était délicieux ! Sa mère avait un petit talent pour créer de délicieux thé avec les plantes qu’elle achetait. Enfin, Lisbeth aussi le lui en fournissait, évidemment, mais c’était plutôt un secret bien gardé dans la famille. Il est vrai que depuis que ses tenues ont été portées lors de divers événements, la demoiselle a vu les affaires augmenter un petit peu. Elle n’était pas encore au niveau de Charles d’Orléans, pour qui elle a une admiration sans faille. Prenant son carnet, la revoilà partie dans ses phrases très profondes.

- Oh, eh bien, petit à petit, on commence à se faire une place ! Même si de mon côté, c’est plus au niveau du palais…Ma mère a su utiliser cette opportunité pour faire connaître la boutique et j’en suis heureuse !

Rigolant un peu, elle reposa son carnet sur ses genoux pour boire une nouvelle gorgée de son thé et en entendant la dernière phrase d’Eudes, des étoiles dans les yeux apparaissent assez rapidement. Pleine d’assurance et d’une joie non dissimulée, la couturière se lève assez rapidement et s’enfonce dans le bureau non loin. Mettant un peu de bazar au passage, Lisbeth était comme une tornade inarrêtable. Ramenant des feuilles et quelques rouleaux, tu les déposes sur le fauteuil prêt de toi et commences alors à montrer énormément de dessin. Prenant son carnet, la revoilà partie pour partager sa joie.

- J’ai travaillé sur énormément de tenues différentes ! Notamment pour le bal d’Augustine et les quelques événements passés ! Oh et j’ai réalisé une nouvelle tenue pour homme ! J’ai un ami qui s’est proposé pour être ma muse !

Elle montre alors beaucoup de tenue, toute aussi originale qu’extravagante, puis s’arrête sur le croquis qu’Eudes avait choisi la dernière fois. Le prenant entre ses mains, un large sourire fini par se dessiner sur ses lèvres et elle leva la tête, pleine d’espoir.

- Oh, d’ailleurs, j’ai finalisé votre tenue, celle que vous aviez choisi, vous voulez voir ? Comme je vous ai porté et que vous avez porté des affaires plus chaudes une fois chez mes parents, j’ai pu faire un premier jet de la tenue avec les mensurations que j’ai pu déduire !

Toute heureuse, Lisbeth n’attendit pas un instant et se leva pour aller dans une petite pièce. Soulevant le petit rideau, elle sourit grandement en faisant signe à Eudes de la rejoindre.



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Tenues:
Eudes de Cluny
HUMAIN - PEUPLE

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Inventaire : ✦ Une petite serpette émoussée
✦ Un mystérieux masque (don de Titi)
Espèce : Humain
Emploi : Moine gyrovague
Situation maritale : Quelle idée voyons
Pièces : 2928

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Eudes de Cluny
Inventaire : ✦ Une petite serpette émoussée
✦ Un mystérieux masque (don de Titi)
Espèce : Humain
Emploi : Moine gyrovague
Situation maritale : Quelle idée voyons
Pièces : 2928
Dim 9 Jan - 19:24



Eudes/Lisbeth
Yet I flinch every time
Ce n’était pas ton intention de laisser ta morosité poindre, mais il est difficile pour toi de t’en faire longtemps face aux menaces absurdes de la couturière, et même l’excuse soufflée du bout de tes lèvres ne peut empêcher ton sourire d’y fleurir.
Dans ces conditions, la culpabilité ne peut prendre racine.

(elle aussi détestait t’entendre chouiner)
(ses mots avaient beau être bien plus acérés, ils te procuraient le même réconfort)

(il n’y a que toi pour songer à des reproches avec nostalgie)

Tu ne t’attends pas à ce que ta remarque fasse mouche: il y a pourtant bien des sujets qui te passionnent et dont il ne suffirait que d’une question pour te lancer dans la même ferveur ayant fait sauté Lisbeth hors de son siège.

Tu gardes ta tasse près de toi lorsqu’elle revient, soucieux de tout ruiner d’une maladresse. “Des tenues pour le bal ?” Il y a dans ta voix cassée une admiration presque enfantine, comme si l’idée qu’elle habille les rois et les princesses venait tout juste de te percuter. Si tu es bien d’avis que la royauté devrait adopter plus de sobriété dans la façon dont ils se vêtissent, une part enfouie au plus profond de toi ne peut s'empêcher de s’émerveiller devant les ébauches, ne pouvant qu’imaginer la richesse des étoffes et des broderies des vêtements en découlant. “On dirait un conte de fée… L’assemblée devait être magnifique.”

(ne va pas regretter de ne pas t’y être pointé)(un moine n’a rien à faire dans les bals mondains)
(ces étalages de richesse et de faux-semblants)(juste sous le nez des miséreux)

(et puis, qui t’aurais habillé ?)(Lisbeth ?)
(Ha !)

Le petit carnet sous ton nez t’éloigne de ce maelstrom, mais le répit ne dure qu’un instant avant que tu ne relèves vivement la tête vers la jeune femme. M-ma tenue ?”
Oh tu n’as pas pu oublier ce croquis qui t'avait captivé, mais jamais tu n’aurais eu la prétention de posséder ce vêtement: tu aurais été tout aussi heureux de le voir réalisé, de pouvoir l’admirer de loin,
mais que ce soit le tiens ?

Tu ne peux pas accepter,
de par tes voeux d'ascétisme et tes mensonges,

mais elle te sourit avec tant de bienveillance,
tant de fierté

tu ne peux faire autrement que poser ta tasse et te lever.

Le serpent prend bien des formes, mais tu ne peux l’imaginer revêtir celle d’une personne aussi chaleureuse.

(c’est ta propre faiblesse que tu devrais craindre)

“Vous n’auriez pas dû-” balbuties-tu en la rejoignant, peinant à choisir les bons mots pour t’expliquer sans te montrer ingrat. “Je ne pourrais vous dédommager pour vos services…” Ni décemment emporter cela avec toi: même avec si peu de possession, tu arrives déjà à te faire détrousser, et cela te crèverait le cœur qu’une création de Lisbeth finisse entre les mains du premier truand.

(ou entre les tiennes)
(soyons honnête, tu n’as rien qui pourrait mettre en valeur son talent)
(tu es à peine bon à être un portemanteau)(droit et guindé)

Et pourtant, tu ne peux pas ignorer la pointe d’excitation à l’idée de la voir. “Enfin…” Tu joues nerveusement avec tes doigts, n’osant rencontrer le regard de la couturière. “J’imagine qu’il n’y pas de mal à avoir servi de mannequin pour un premier jet… Si cela a put-être utile.” Il existe sans doute une dame dans Paris qui partage tes mensurations, ce ne serait pas forcément perdu…

(oui)
(une oie)
(ou une poutre)
(ou encore un arbuste malade)

(aucun d'entre eux n'a besoin de vêtements)



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