Ven 19 Fév - 22:52
Eliandre est ce qu’on appelle un ermite. Il ne sort que très peu de chez lui et n’est pas exactement la personne la plus sociable que vous rencontrerez dans votre vie. Alors comment se fait-il qu’on parle de lui et qu’on accepte quand même de lui rendre visite ? Probablement parce que sous son désintérêt de son prochain et sa désinvolture se cache une personne qui excelle dans son métier : l’herboristerie. Besoin d’une herbe pour quoi que ce soit ? Il est certain qu’il en a et qu’il peut vous en procurer dans les dosages adéquats. Aussi, même si ses visiteurs s’accordent à dire que le service client est déplorable, ils reviennent.
D’ailleurs, ce n’est un secret pour personne qu’il n’est pas un citoyen modèle alors en soit-ce n’est pas très étonnant. Pourtant Eliandre ne cherche pas spécialement les ennuis, mais il a son franc parlé. « Diplomatie » n’est définitivement pas un mot qui fait partie de son vocabulaire et vexer ou froisser les autres ne lui fait ni chaud, ni froid, peu importe son rang social. S’il doit finir pendu… Et bien il finira pendu, que voulez-vous qu’il vous dise ? Point bonus si vous revenez finalement vers lui après lui avoir offert un spectacle de colère, soyez sûr que vous serez accueillit avec un rictus et une salutation moqueuse.
Eliandre n’est pas idiot. Aveugle mais pas idiot. Il sait qu’il fait affaire avec des personnes de tout rang, et que certaines des plantes qu’il vend ne sont définitivement pas faites pour des soins, mais bel et bien dans l’idée de porter préjudice à quelqu’un d’autre. Certains le lui reproche à mi-mot. Lui s’en moque. Il n’est intéressé que par son propre sort, trop précaire pour qu’il porte attention au malheur des autres. Aussi il est inutile d’aller pleurer (ou chouiner, comme il dit) dans ses jupes, à moins de vouloir vous faire dégager à grand coup de pieds dans l’arrière train.
Il n’aime pas que vous lui imposiez votre présence. Il n’aime pas qu’on tente de lui forcer la main. Il n’aime pas qu’on insiste un peu trop lorsqu’il dit non et il a une sainte horreur qu’on tente de le tromper. Tête de mule n’aimant pas reconnaître ses erreurs. Il n’aime donc rien ni personne. Personne ? Ce n’est pas tout à fait vrai. Il a un respect infini pour le clergé, les seuls qui, dans ce monde noir, obtiennent sa sympathie.
Ha non, il y a son chat aussi.
Le point de départ de l’histoire se déroule au tout début de l’hiver, dans le Nord de la France, lors d’une rencontre entre deux personnes qui, neuf mois plus tard, donnera naissance au fruit de leur union : un petit nouveau-né bruyant. Un bon début dirait certain, mais pas exactement. Il y avait une simple petite ombre au tableau mais qui, pour ce temps-là, constituait un crime majeur. Cet enfant était né hors mariage. Ce qui dont aurait dû être une source de bonheur intense pour madame devint le premier pas dans les enfers. Ses propres parents, Sa famille, Les voisins, Tous ceux qui connaissaient la famille. Tous ces gens faisaient la même chose : la regarder de haut, souffler sur son passage à quel point c’était honteux, inconvenable, et tout autre synonyme. Monsieur ? il la soutint autant que possible, mais pas trop quand même. Lui aussi d’ailleurs subissait les on-dit, les regards condescendants, hautain ou méprisant.
Lui, dans tout ça ? il grandit comme il put, entre l’indifférence de sa mère ou les crises de colère de celle-ci à son encontre. Ce qui ne l’aida pas, fut qu’il n’était pas exactement l’enfant le plus sage ou le plus irréprochable du village. Non, parce qu’avec l’exemple qu’il avait et l’envie d’avoir un peu d’attention, il devint colérique et agressif. Et quand il eut cinq ans, les conséquences de son attitude lui tombèrent dessus. Sa mère en eut assez, assez des réflexions, assez de cette situation, assez de lui, et elle le déposa au plus proche orphelinat en lui promettant de revenir. Il attend toujours.
Certains diraient que ce n’était peut-être pas si mal pour l’enfant qui, au passage, reçu son prénom : Eliandre. La réalité fut un peu différente. Il ne parvint pas réellement à se faire une place et à trouver des amis parmi les autres orphelins. Parce que là où eux n’avaient jamais connu leurs parents, ayant été abandonné à la naissance, lui avait la chance d’avoir des parents, mais avait simplement été trop mauvais pour les garder.
Les adultes ? Trop peu nombreux et eux même débordés par le nombre d’enfants qu’ils avaient à leur charge et qui ne cessait d’augmenter. Leur priorité était de trouver des fonds pour faire tourner la barraque. Alors ça se réglait dans un coin de la cour, à grand coup de poings, quand les adultes avaient le dos tourné. Quand ils réalisaient ce qui s’était passé il était trop tard et il ne pouvait que panser les blessures et consoler les pleurs, tout en leur faisant la morale. Jusqu’à la fois suivante.
Etais-ce utile de préciser qu’il ne fut jamais adopté ? Son sale caractère rebutait tout le monde mais en même temps si ses propres parents n’avaient pas voulu de lui, alors qui ?
Même l’orphelinat finit par le mettre dehors, estimant qu’à défaut de mettre le boxon à l’intérieur, il pouvait tout aussi bien aller voir ailleurs s’ils y étaient. Alors oui, il pouvait toujours y dormir, mais le reste du temps… Et puis même ça, ça finit par sauter lorsqu’on estima qu’il fut assez grand pour se démerder tout seul. A votre avis, que fait un gamin paumé ayant déjà une mauvaise réputation lorsqu’on le laisse à lui-même ? La réponse est : pas de bonnes choses. De fil en aiguille, son attitude et sa tendance à s’attirer des ennuis lui valurent l’attention de poissons un peu trop grands pour l’adolescent. Ce fut d’ailleurs lors d’une rixe qu’il finit par perdre la vue, suite à un concours de circonstances malheureux et une mauvaise esquive. Qu’importe qu’il ne soit au fond toujours qu’un gosse, la sentence lui tomba dessus.
Cela eut au moins le mérite de finalement le calmer pour de bon. Du moins en apparence car le garçon se contenta simplement d’intérioriser sa colère et son mal être au lieu de l’exprimer ouvertement. De toute façon, désormais aveugle et toujours aussi seul, il était inoffensif et plus rejeté que jamais sans réelle moyen de faire autre chose que se replier.
Etrangement, pourtant, la chance se décida enfin à lui sourire en la présence d’un homme d’Eglise qui croisa sa route. Il ne comprit jamais vraiment pourquoi une personne originaire de Paris était venue se perdre dans les provinces du Nord, il ne comprit jamais vraiment pourquoi il se décida à lui tendre la main et à lui proposer de faire autre chose de sa vie que d’attendre tranquillement que tout s’arrête. Tout ce qu’il pouvait dire avec une pointe de regret, était qu’il n’avait pas été très tendre avec lui. Du moins au début. Mais il ne connaissait que ça, il ne savait littéralement pas comment se comporter autrement. Pourtant l’homme ne perdit jamais son sourire, ni sa bienveillance, décida de le prendre sous son aile et de lui montrer la lumière avec ses enseignements.
Il eut un peu de mal au début. Même beaucoup. D’autant plus qu’il fut « enlevé » pour être ramené vers la capitale. Jusqu’à ce que finalement, entre deux versets de la Bible, il ne trouve et ne s’intéresse à ce que faisait l’homme d’Eglise en dehors de ses sermons : les plantes médicinales. Une chose qui ne nécessitait aucune interaction avec d’autres personnes et qui constitua rapidement un centre d’intérêt pour le garçon, intérêt qui fut encouragé.
Il redoubla d’effort. Son tuteur ne s’intéressait qu’au potentiel de guérison, le jeune adolescent se concentra sur l’intégralité de leurs aspects. Il dût apprendre à se maitriser : maîtriser son calme pour se concentrer sur les odeurs propres à chaque plante, maîtriser ses gestes pour effleurer avec douceur les pétales et les feuilles afin de pouvoir confirmer ce que son nez lui disait. Il ne verrait jamais le regard remplit de fierté lorsqu’il se décida pleinement à embrasser cette « carrière ».
(Il serait probablement moins fier de savoir qu’il avait à ce jour potentiel vendu pas mal de poison aussi, mais ça…)
Ce fut aussi son tuteur attitré qui lui permit de perfectionner ses connaissances auprès de quelqu’un dont c’était l’actuel métier. Qui se montra quelque peut sceptique au début de prendre un aveugle à son service et qui finit par comprendre que finalement oui, il pouvait être utile. Aujourd’hui, c’est lui qui tient la boutique. Il sait bien qu’il n’est pas bien seul si jamais il a besoin (même si… Son tuteur est plus vraiment très jeune maintenant), mais pour lui-même, prendre sa vie en main lui semblait important.
Et aujourd’hui ? La boutique roule, ses connaissances ont été reconnues par la couronne elle-même…
Et il est toujours terré dans son coin, à grogner à chaque fois qu’il entends la porte d’entrée s’ouvrir.
Eliandre
C'est pas parce que je suis aveugle
que je peux pas t'en coller une, gamin
que je peux pas t'en coller une, gamin
Sexe : Masculin
Date & lieu de naissance : 4 juillet 1557
Âge : 32 ans
Race : Humain
Groupe : Noble Rattaché
(Basse noblesse)
Métier / fonction : Herboriste
Condition sociale : Moyenne basse
Feat : Arknights - Hellagur
Date & lieu de naissance : 4 juillet 1557
Âge : 32 ans
Race : Humain
Groupe : Noble Rattaché
(Basse noblesse)
Métier / fonction : Herboriste
Condition sociale : Moyenne basse
Feat : Arknights - Hellagur
Caractère
Eliandre est ce qu’on appelle un ermite. Il ne sort que très peu de chez lui et n’est pas exactement la personne la plus sociable que vous rencontrerez dans votre vie. Alors comment se fait-il qu’on parle de lui et qu’on accepte quand même de lui rendre visite ? Probablement parce que sous son désintérêt de son prochain et sa désinvolture se cache une personne qui excelle dans son métier : l’herboristerie. Besoin d’une herbe pour quoi que ce soit ? Il est certain qu’il en a et qu’il peut vous en procurer dans les dosages adéquats. Aussi, même si ses visiteurs s’accordent à dire que le service client est déplorable, ils reviennent.
D’ailleurs, ce n’est un secret pour personne qu’il n’est pas un citoyen modèle alors en soit-ce n’est pas très étonnant. Pourtant Eliandre ne cherche pas spécialement les ennuis, mais il a son franc parlé. « Diplomatie » n’est définitivement pas un mot qui fait partie de son vocabulaire et vexer ou froisser les autres ne lui fait ni chaud, ni froid, peu importe son rang social. S’il doit finir pendu… Et bien il finira pendu, que voulez-vous qu’il vous dise ? Point bonus si vous revenez finalement vers lui après lui avoir offert un spectacle de colère, soyez sûr que vous serez accueillit avec un rictus et une salutation moqueuse.
Eliandre n’est pas idiot. Aveugle mais pas idiot. Il sait qu’il fait affaire avec des personnes de tout rang, et que certaines des plantes qu’il vend ne sont définitivement pas faites pour des soins, mais bel et bien dans l’idée de porter préjudice à quelqu’un d’autre. Certains le lui reproche à mi-mot. Lui s’en moque. Il n’est intéressé que par son propre sort, trop précaire pour qu’il porte attention au malheur des autres. Aussi il est inutile d’aller pleurer (ou chouiner, comme il dit) dans ses jupes, à moins de vouloir vous faire dégager à grand coup de pieds dans l’arrière train.
Il n’aime pas que vous lui imposiez votre présence. Il n’aime pas qu’on tente de lui forcer la main. Il n’aime pas qu’on insiste un peu trop lorsqu’il dit non et il a une sainte horreur qu’on tente de le tromper. Tête de mule n’aimant pas reconnaître ses erreurs. Il n’aime donc rien ni personne. Personne ? Ce n’est pas tout à fait vrai. Il a un respect infini pour le clergé, les seuls qui, dans ce monde noir, obtiennent sa sympathie.
Ha non, il y a son chat aussi.
Histoire
Le point de départ de l’histoire se déroule au tout début de l’hiver, dans le Nord de la France, lors d’une rencontre entre deux personnes qui, neuf mois plus tard, donnera naissance au fruit de leur union : un petit nouveau-né bruyant. Un bon début dirait certain, mais pas exactement. Il y avait une simple petite ombre au tableau mais qui, pour ce temps-là, constituait un crime majeur. Cet enfant était né hors mariage. Ce qui dont aurait dû être une source de bonheur intense pour madame devint le premier pas dans les enfers. Ses propres parents, Sa famille, Les voisins, Tous ceux qui connaissaient la famille. Tous ces gens faisaient la même chose : la regarder de haut, souffler sur son passage à quel point c’était honteux, inconvenable, et tout autre synonyme. Monsieur ? il la soutint autant que possible, mais pas trop quand même. Lui aussi d’ailleurs subissait les on-dit, les regards condescendants, hautain ou méprisant.
Lui, dans tout ça ? il grandit comme il put, entre l’indifférence de sa mère ou les crises de colère de celle-ci à son encontre. Ce qui ne l’aida pas, fut qu’il n’était pas exactement l’enfant le plus sage ou le plus irréprochable du village. Non, parce qu’avec l’exemple qu’il avait et l’envie d’avoir un peu d’attention, il devint colérique et agressif. Et quand il eut cinq ans, les conséquences de son attitude lui tombèrent dessus. Sa mère en eut assez, assez des réflexions, assez de cette situation, assez de lui, et elle le déposa au plus proche orphelinat en lui promettant de revenir. Il attend toujours.
Certains diraient que ce n’était peut-être pas si mal pour l’enfant qui, au passage, reçu son prénom : Eliandre. La réalité fut un peu différente. Il ne parvint pas réellement à se faire une place et à trouver des amis parmi les autres orphelins. Parce que là où eux n’avaient jamais connu leurs parents, ayant été abandonné à la naissance, lui avait la chance d’avoir des parents, mais avait simplement été trop mauvais pour les garder.
Les adultes ? Trop peu nombreux et eux même débordés par le nombre d’enfants qu’ils avaient à leur charge et qui ne cessait d’augmenter. Leur priorité était de trouver des fonds pour faire tourner la barraque. Alors ça se réglait dans un coin de la cour, à grand coup de poings, quand les adultes avaient le dos tourné. Quand ils réalisaient ce qui s’était passé il était trop tard et il ne pouvait que panser les blessures et consoler les pleurs, tout en leur faisant la morale. Jusqu’à la fois suivante.
Etais-ce utile de préciser qu’il ne fut jamais adopté ? Son sale caractère rebutait tout le monde mais en même temps si ses propres parents n’avaient pas voulu de lui, alors qui ?
Même l’orphelinat finit par le mettre dehors, estimant qu’à défaut de mettre le boxon à l’intérieur, il pouvait tout aussi bien aller voir ailleurs s’ils y étaient. Alors oui, il pouvait toujours y dormir, mais le reste du temps… Et puis même ça, ça finit par sauter lorsqu’on estima qu’il fut assez grand pour se démerder tout seul. A votre avis, que fait un gamin paumé ayant déjà une mauvaise réputation lorsqu’on le laisse à lui-même ? La réponse est : pas de bonnes choses. De fil en aiguille, son attitude et sa tendance à s’attirer des ennuis lui valurent l’attention de poissons un peu trop grands pour l’adolescent. Ce fut d’ailleurs lors d’une rixe qu’il finit par perdre la vue, suite à un concours de circonstances malheureux et une mauvaise esquive. Qu’importe qu’il ne soit au fond toujours qu’un gosse, la sentence lui tomba dessus.
Cela eut au moins le mérite de finalement le calmer pour de bon. Du moins en apparence car le garçon se contenta simplement d’intérioriser sa colère et son mal être au lieu de l’exprimer ouvertement. De toute façon, désormais aveugle et toujours aussi seul, il était inoffensif et plus rejeté que jamais sans réelle moyen de faire autre chose que se replier.
Etrangement, pourtant, la chance se décida enfin à lui sourire en la présence d’un homme d’Eglise qui croisa sa route. Il ne comprit jamais vraiment pourquoi une personne originaire de Paris était venue se perdre dans les provinces du Nord, il ne comprit jamais vraiment pourquoi il se décida à lui tendre la main et à lui proposer de faire autre chose de sa vie que d’attendre tranquillement que tout s’arrête. Tout ce qu’il pouvait dire avec une pointe de regret, était qu’il n’avait pas été très tendre avec lui. Du moins au début. Mais il ne connaissait que ça, il ne savait littéralement pas comment se comporter autrement. Pourtant l’homme ne perdit jamais son sourire, ni sa bienveillance, décida de le prendre sous son aile et de lui montrer la lumière avec ses enseignements.
Il eut un peu de mal au début. Même beaucoup. D’autant plus qu’il fut « enlevé » pour être ramené vers la capitale. Jusqu’à ce que finalement, entre deux versets de la Bible, il ne trouve et ne s’intéresse à ce que faisait l’homme d’Eglise en dehors de ses sermons : les plantes médicinales. Une chose qui ne nécessitait aucune interaction avec d’autres personnes et qui constitua rapidement un centre d’intérêt pour le garçon, intérêt qui fut encouragé.
Il redoubla d’effort. Son tuteur ne s’intéressait qu’au potentiel de guérison, le jeune adolescent se concentra sur l’intégralité de leurs aspects. Il dût apprendre à se maitriser : maîtriser son calme pour se concentrer sur les odeurs propres à chaque plante, maîtriser ses gestes pour effleurer avec douceur les pétales et les feuilles afin de pouvoir confirmer ce que son nez lui disait. Il ne verrait jamais le regard remplit de fierté lorsqu’il se décida pleinement à embrasser cette « carrière ».
(Il serait probablement moins fier de savoir qu’il avait à ce jour potentiel vendu pas mal de poison aussi, mais ça…)
Ce fut aussi son tuteur attitré qui lui permit de perfectionner ses connaissances auprès de quelqu’un dont c’était l’actuel métier. Qui se montra quelque peut sceptique au début de prendre un aveugle à son service et qui finit par comprendre que finalement oui, il pouvait être utile. Aujourd’hui, c’est lui qui tient la boutique. Il sait bien qu’il n’est pas bien seul si jamais il a besoin (même si… Son tuteur est plus vraiment très jeune maintenant), mais pour lui-même, prendre sa vie en main lui semblait important.
Et aujourd’hui ? La boutique roule, ses connaissances ont été reconnues par la couronne elle-même…
Et il est toujours terré dans son coin, à grogner à chaque fois qu’il entends la porte d’entrée s’ouvrir.
Derrière l'écran
Pseudo : Arienlys
Âge : 30 ans
Comment as-tu trouvé le forum ?
J'ai vu de la lumière et je suis rentré.
Un petit mot ?les Tartes aux pommes c’est bon.
Pseudo : Arienlys
Âge : 30 ans
Comment as-tu trouvé le forum ?
J'ai vu de la lumière et je suis rentré.
Un petit mot ?les Tartes aux pommes c’est bon.
Sam 20 Fév - 10:01
Bienvenuuue
Un herboriste grumpy
Basile lui rendra visite un jour, c'est sûr
Des bisous tout doux et à bientôt
Un herboriste grumpy
Basile lui rendra visite un jour, c'est sûr
Des bisous tout doux et à bientôt
Sam 20 Fév - 10:37
Ouuuh J'adore!
(Et ces MUSCLES /PAN )
Je trouve qu'il ressemble un peux a Violet pour certains points. Je reviendrais peut être vers toi quand ce personnage sera validé! ;)
Oh et re bienvenue!
(Et ces MUSCLES /PAN )
Je trouve qu'il ressemble un peux a Violet pour certains points. Je reviendrais peut être vers toi quand ce personnage sera validé! ;)
Oh et re bienvenue!
Sam 20 Fév - 11:14
UN ADORABLE MONSIEUR QUE VOICI (comment ça non ? /dies)
J'ai beaucoup aimé l'histoire et la manière dont tu as dépeint sa vie, vraiment, je me suis attachée en moins de trois lignes
Je lui souhaite autant de bonheur que possible !
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là
Bravo tu es validé !
Le grand moment est enfin arrivé
UN ADORABLE MONSIEUR QUE VOICI (comment ça non ? /dies)
J'ai beaucoup aimé l'histoire et la manière dont tu as dépeint sa vie, vraiment, je me suis attachée en moins de trois lignes
Je lui souhaite autant de bonheur que possible !
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là