Mer 2 Juin - 22:42
Adam de Harcourt
There will be no tenderness
Date et lieu de naissance11 Juin 1203 en Bulgarie
Âge apparentLa vingtaine
RaceVampire (sang pur)
GroupeHaute noblesse
OccupationAdministrateur et dirigeant de la branche ainée des de Harcourt en Normandie
Condition socialeTrès aisée
Statut maritalRécemment veuf
Les grandes lignes
1m82 — le portrait exact d'Eve — reflet dans le miroir — gouttes d'eau dans la mer — le coeur bien plus sec — bien plus renfermé — le tempérament bien plus sanguin — bien plus tranchant — yeux bleus — cheveux jusqu'aux hanches — Adam a les nerfs à vif — et la patience usée — tendue — brisée — vous n'avez pas encore ouvert la bouche que vous le fatiguez déjà — déloyal — désintéressé — désinvolte — désabusé — vraiment, être saoulé est son mood de base — resting bitch face syndrome — et faux sourires — il rit bien moins qu’avant — il avait un si beau rire pourtant — fut un temps où il savait faire semblant — mais le voilà lassé maintenant — il ne reste bien plus que pour son adelphe — si seulement Eve voulait bien partir avec lui...
En vrac
Excellent musicien — son instrument de prédilection est le violon — la musique est peut-être la seule chose terrestre qui le touche encore — parle le slave, le russe, le latin et le français — boit beaucoup — mais n'arrive plus à se saouler depuis des années — parfois, il prend un malin plaisir à se faire passer pour Eve — porter le corset ou du maquillage ne l'indispose pas le moins du monde — fin bretteur — mais a peur des armes à feu — elles font un boucan pas possible — oscille entre un subtil mélange (selon son humeur) de dégout, de haine et de mépris envers les non vampires sang pur (spoiler : c’est surtout du mépris)— on lui connait beaucoup d'amantes — et d'amants — tous.tes abandonné.es quand vient le matin — il est toutefois resté fidèle à son épouse — elle est morte si vite après leur mariage la pauvre — en couches avec leur premier enfant — quelle tristesse — son beau-père, le duc de Bretagne est inconsolable — il lui avait pourtant offert une dot considérable — quel dommage, vraiment.
Histoire
Au début il y avait Andrei et Ivana. Au début il y avait la famille, ses chaines invisibles, ses devoirs étouffants. Parents terribles, enfants plus terribles encore. Ils sont l'avenir de leur race infâme, le flambeau de ce culte dévoué à la nuit : deux moitiés identiques et qui pourtant ne sont que complètes que lorsqu'elles s'assemblent. Ils sont parfaits à l'image de leurs géniteurs. Et ils sont vils également. Car le poids des générations est une laisse à leurs cous, le devoir une muselière.
Il n'a suffit que d'un jour, que d'un souffle et le vent a changé de direction : bourreaux sont devenus sacrifiés et inversement. Le clan est massacré sans sommation, sans pitié pour la simple raison qu'ils peuvent et donc qu'ils doivent. Jamais les Petrova n'auront autant saigné.
S'ensuivent des siècles de cavale à travers l'Europe où les noms et les identités se dissolvent au fil des années et où rien, absolument rien ne peut arrêter leur soif de pouvoir, de chaos. Tout ce qui brille est à eux. Tout ce qui saigne, tout ce qui hurle est à eux. Les jumeaux navigueront d'un pays à l'autre sur le continent européen, n'obéissant qu'à eux-mêmes et à leurs instincts sauvages. Animaux incontrôlés et incontrôlables, le monde de la nuit est à leurs pieds.
Seulement, seulement, même ce duo furieux s'effrite sous l'usure du temps. Adam s'épuise. Ne trouve plus de sens à sa vie. Sa flamme se meurt petit à petit. À quoi bon quand on a tout goûté ? La soif s'est tarie, les crocs se sont effilés, le désir terni. Il ne sait plus qui il est. A contrario de son adelphe, il regarde les jours filer sans plus en tirer de plaisir ou d'envie quelconque. Il regarde la vie passer sans comprendre pourquoi elle ne l'emporte plus avec elle. Peut-être que la guerre souterraine a laissé ses traces sur lui mine de rien.
Adam a vieilli.
Eve non.
Le fossé s'est creusé.
Leur dernier périple les amène en France sous le titre des héritiers de Harcourt. Une dernière fois. Une dernière fois lui promet Eve. Adam cède, courtise une noble au titre et aux possessions intéressantes, l'épouse même pour s'emparer d’un beau manoir sur les côtes de la Bretagne. Il s'enferme là-bas, attendant d'être rejoint par son adelphe, attendant que la fin daigne arriver. Qu'il serait bon de s'endormir dans cette demeure usée donnant sur la côte en attente de jours meilleurs, de jours nouveaux. Ici le soleil brille toujours pareil, ici les hommes sont toujours pareils. Ici il n'y a plus rien pour eux.
Mais Eve ne vient pas.
Le fossé est trop grand.
Et Adam a trop peur d'y tomber seul.
À la mort de sa femme après leur lune de miel, il revient à la Cour avec l'espoir, non la certitude, qu'Eve tiendra sa promesse. Quitte à lui forcer la main.
Parce qu'Adam n'est rien sans Eve. Et inversement.
Mâo. Tous les jours je pense au concept art d’Alucard et à la note qui dit « His eyelashes cast shadows ! »
Feat : Alucard de Castlevania.
NC
Date et lieu de naissance11 Juin 1203 en Bulgarie
Âge apparentLa vingtaine
RaceVampire (sang pur)
GroupeHaute noblesse
OccupationAdministrateur et dirigeant de la branche ainée des de Harcourt en Normandie
Condition socialeTrès aisée
Statut maritalRécemment veuf
1m82 — le portrait exact d'Eve — reflet dans le miroir — gouttes d'eau dans la mer — le coeur bien plus sec — bien plus renfermé — le tempérament bien plus sanguin — bien plus tranchant — yeux bleus — cheveux jusqu'aux hanches — Adam a les nerfs à vif — et la patience usée — tendue — brisée — vous n'avez pas encore ouvert la bouche que vous le fatiguez déjà — déloyal — désintéressé — désinvolte — désabusé — vraiment, être saoulé est son mood de base — resting bitch face syndrome — et faux sourires — il rit bien moins qu’avant — il avait un si beau rire pourtant — fut un temps où il savait faire semblant — mais le voilà lassé maintenant — il ne reste bien plus que pour son adelphe — si seulement Eve voulait bien partir avec lui...
Excellent musicien — son instrument de prédilection est le violon — la musique est peut-être la seule chose terrestre qui le touche encore — parle le slave, le russe, le latin et le français — boit beaucoup — mais n'arrive plus à se saouler depuis des années — parfois, il prend un malin plaisir à se faire passer pour Eve — porter le corset ou du maquillage ne l'indispose pas le moins du monde — fin bretteur — mais a peur des armes à feu — elles font un boucan pas possible — oscille entre un subtil mélange (selon son humeur) de dégout, de haine et de mépris envers les non vampires sang pur (spoiler : c’est surtout du mépris)— on lui connait beaucoup d'amantes — et d'amants — tous.tes abandonné.es quand vient le matin — il est toutefois resté fidèle à son épouse — elle est morte si vite après leur mariage la pauvre — en couches avec leur premier enfant — quelle tristesse — son beau-père, le duc de Bretagne est inconsolable — il lui avait pourtant offert une dot considérable — quel dommage, vraiment.
Au début il y avait Andrei et Ivana. Au début il y avait la famille, ses chaines invisibles, ses devoirs étouffants. Parents terribles, enfants plus terribles encore. Ils sont l'avenir de leur race infâme, le flambeau de ce culte dévoué à la nuit : deux moitiés identiques et qui pourtant ne sont que complètes que lorsqu'elles s'assemblent. Ils sont parfaits à l'image de leurs géniteurs. Et ils sont vils également. Car le poids des générations est une laisse à leurs cous, le devoir une muselière.
Il n'a suffit que d'un jour, que d'un souffle et le vent a changé de direction : bourreaux sont devenus sacrifiés et inversement. Le clan est massacré sans sommation, sans pitié pour la simple raison qu'ils peuvent et donc qu'ils doivent. Jamais les Petrova n'auront autant saigné.
S'ensuivent des siècles de cavale à travers l'Europe où les noms et les identités se dissolvent au fil des années et où rien, absolument rien ne peut arrêter leur soif de pouvoir, de chaos. Tout ce qui brille est à eux. Tout ce qui saigne, tout ce qui hurle est à eux. Les jumeaux navigueront d'un pays à l'autre sur le continent européen, n'obéissant qu'à eux-mêmes et à leurs instincts sauvages. Animaux incontrôlés et incontrôlables, le monde de la nuit est à leurs pieds.
Seulement, seulement, même ce duo furieux s'effrite sous l'usure du temps. Adam s'épuise. Ne trouve plus de sens à sa vie. Sa flamme se meurt petit à petit. À quoi bon quand on a tout goûté ? La soif s'est tarie, les crocs se sont effilés, le désir terni. Il ne sait plus qui il est. A contrario de son adelphe, il regarde les jours filer sans plus en tirer de plaisir ou d'envie quelconque. Il regarde la vie passer sans comprendre pourquoi elle ne l'emporte plus avec elle. Peut-être que la guerre souterraine a laissé ses traces sur lui mine de rien.
Adam a vieilli.
Eve non.
Le fossé s'est creusé.
Leur dernier périple les amène en France sous le titre des héritiers de Harcourt. Une dernière fois. Une dernière fois lui promet Eve. Adam cède, courtise une noble au titre et aux possessions intéressantes, l'épouse même pour s'emparer d’un beau manoir sur les côtes de la Bretagne. Il s'enferme là-bas, attendant d'être rejoint par son adelphe, attendant que la fin daigne arriver. Qu'il serait bon de s'endormir dans cette demeure usée donnant sur la côte en attente de jours meilleurs, de jours nouveaux. Ici le soleil brille toujours pareil, ici les hommes sont toujours pareils. Ici il n'y a plus rien pour eux.
Mais Eve ne vient pas.
Le fossé est trop grand.
Et Adam a trop peur d'y tomber seul.
À la mort de sa femme après leur lune de miel, il revient à la Cour avec l'espoir, non la certitude, qu'Eve tiendra sa promesse. Quitte à lui forcer la main.
Parce qu'Adam n'est rien sans Eve. Et inversement.
Mâo. Tous les jours je pense au concept art d’Alucard et à la note qui dit « His eyelashes cast shadows ! »
Feat : Alucard de Castlevania.
NC
Jeu 3 Juin - 5:28
Hey brother.
Tu sais déjà mon amour pour ta plume et pour Adam en particulier. Au moins maintenant le portrait Harcourt est complet.
Tu sais déjà mon amour pour ta plume et pour Adam en particulier. Au moins maintenant le portrait Harcourt est complet.
Jeu 3 Juin - 8:58
C'était donc ce frère dont Eve parlait
Enfin- j'aurais dû la voir venir
Alucard
"Check your lipstick before you come for me" T'as toujours les meilleures ref, Naomi my queen
Adam is queen too.
King aussi j'imagine.
Toujours ta superbe plume.
Bref, un bonheur à découvrir
Rebienvenue
Enfin- j'aurais dû la voir venir
Alucard
"Check your lipstick before you come for me" T'as toujours les meilleures ref, Naomi my queen
Adam is queen too.
King aussi j'imagine.
Toujours ta superbe plume.
Bref, un bonheur à découvrir
Rebienvenue
Jeu 3 Juin - 14:20
Aucun anonymat nécessaire ici, on va pas se mentir. Ce perso, je l'attends depuis qu'on a pensé l'embryon des adelphes Petrova, et hot fucking damn am I not disappointed. Je pourrais sans peine t'écrire un pavé monstrueux sur mon amour pour le chaos qu'Adam représente. Mais c'est aussi le plaisir de pouvoir faire une démonstration d'un parfait "two sides of the same coin" qui me fait vibrer.
De l'amour sans limite pour ta plume, ça, ça changera jamais. Profondément hâte de pouvoir wreck havoc sur Paris avec un tandem des enfers digne de ce nom. Jolem. Jotem. Adieu.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là.
Bravo tu es validé.e !
Le grand moment est enfin arrivé.
Aucun anonymat nécessaire ici, on va pas se mentir. Ce perso, je l'attends depuis qu'on a pensé l'embryon des adelphes Petrova, et hot fucking damn am I not disappointed. Je pourrais sans peine t'écrire un pavé monstrueux sur mon amour pour le chaos qu'Adam représente. Mais c'est aussi le plaisir de pouvoir faire une démonstration d'un parfait "two sides of the same coin" qui me fait vibrer.
De l'amour sans limite pour ta plume, ça, ça changera jamais. Profondément hâte de pouvoir wreck havoc sur Paris avec un tandem des enfers digne de ce nom. Jolem. Jotem. Adieu.
En attendant tu peux déjà aller recenser sa trogne et commencer l'administratif de ton bébé juste là.