Sam 10 Juil - 20:19
Ce qui pourrait être décrit comme des défauts, est mis en avant par Guillaume comme des qualités essentielles à quiconque partirait de rien pour devenir quelqu’un. C’est un manipulateur qui n’agit que pour son bon plaisir. S’il vous rend un service ou vous donne l’illusion d’agir pour votre bien, méfiez-vous, cela n’est pas le cas. Il n’est jamais gentil par altruisme. Ses actions sont calculées pour avoir des coups d’avance et éviter les pièges qui pourraient se dresser sur son chemin. Peu lui importe ce dernier, tant qu’il le mène à la gloire, à un destin grandiose, à verrouiller ses positions et devenir un grand homme admiré.
Il est ambitieux, peut-être un peu trop. Il se fait confiance, sans doute bien trop. Ainsi, il ose tout ce qui lui traverse l’esprit et stimule son ego. Peu de choses l’effraient et le freinent, pas même Dieu, dont il n’a cure. Pour parfaire son rôle, il est un fidèle, mais en vérité, il n’accorde aucune espèce d’importance à l’Église. Ce n’est pas comme s’il comptait s’offrir une place au paradis avec tout ce qu’il a commis en tant que mortel. Le plus important pour lui étant d’accomplir sa destinée exceptionnelle, à n’en point douter.
Pour lui, rien que pour lui, il est prêt à tout. Il n’a même pas eu de remords à vendre son corps lorsque cela était nécessaire pour s’assurer un avenir, obtenir des secrets ou de l’argent. Ce n’était pas comme si cela l’avait marqué, il ne ressent pas grand-chose de ce point de vue. Les plaisirs charnels ne sont qu’un détail insignifiant dans sa vie. Il n’est pas du genre à chercher à pénétrer le lit d’une femme, ou d’un homme. Néanmoins, l’idée de se marier pour devenir plus riche encore ne lui déplaît pas. Et même, son excès de confiance et son ego surdimensionnée visent une femme haut placée. Si haut placée qu’elle porte la couronne de France. N’y-a-t-il pas meilleur destin que sur un trône en tant que roi ?
Il n’a que très peu de liens avec autrui et préfère sa solitude. Il n’aime ni partager ses sentiments, ni partager ses secrets. Il faut dire aussi qu’ils pourraient le ruiner et même le tuer. Seul un homme connaît ses manigances, puisqu’il lui a permis d’inventer de toutes pièces son « passé ». Il lui doit toujours de l’argent, ce qui est à peu près sa seule source d’angoisses à ce jour, avec le fait d’être démasqué. Qui sait, ce Titi pourrait bien faire s’écrouler son édifices dont les fondations ne sont que des mensonges.
En bref : opportuniste - manipulateur – calculateur - menteur – égoïste – confiant – orgueilleux – ambitieux – vif d’esprit – moqueur – observateur – s’adapte rapidement aux situations – ressent très peu de désir pour autrui – n’aime pas vraiment les contacts physique – solitaire – peu expressif - froid
On le connaît sous le nom de Guillaume de Bourgogne, mais il pourrait bien s’appeler Pierre, Paul ou Jacques que ce serait toujours un mensonge. A l’origine, il s’appelait Édouard et était l’enfant unique d’un couple ayant acquis une toute petite fortune grâce au commerce de vins. Rien d’extravagant, mais de quoi vivre sans craindre de se coucher et de subir sa journée du lendemain.
Son éducation n’était pas exceptionnellement riche, mais il était vif d’esprit et très bon dans l’art du mimétisme et de l’observation, la meilleure façon pour lui d’apprendre et de développer ses talents de menteur et de manipulateur. Il avait appris à lire et à écrire, mais à part bredouiller quelques mots de latin, il n’excellait en rien si ce n’était dans son petit plaisir personnel : exaspérer avec son attitude désinvolte et méprisante. C’est au fil des années, de ses rencontres, de ses manigances et de ses mensonges qu’il s’est cultivé pour coller aux rôles qu’il dérobait.
L’entreprise de ses parents faisant de l’ombre à d’autres localement, une compétition très malsaine, pour ne pas appeler cela une chasse aux sorcières, débuta. Et ainsi, Édouard encore jeune adolescent, se retrouva sans parent, alors accusés de vendre un vin empoisonné et terminant leur vie la corde autour du cou. Devenu Édouard sans le sou, sans droit de succession, dépossédé, il décida de changer d’identité n’appréciant guère celle-ci.
Pendant des années, il eut un prénom puis un autre. Selon les bons plaisirs de ceux qu’il essayait de séduire et de piéger, tout simplement. Il savait se rendre plaisant, attirant, utile, bien que tout cela le répugnait. Il savait surtout écouter au bon moment, dérober juste ce qui lui était nécessaire pour agrandir son pécule et ne pas éveiller de soupçon. Il se déguisait et y prenait presque un peu de plaisir. Berner les autres était devenu plus qu’un passe-temps, il en voulait toujours plus. Plus de mensonges, plus de richesses, plus de pouvoirs.
Les guerres, les famines, la maladie. Dieu l’aidait presque à poursuivre son rêve, même s’il ne croyait pas en Lui. Il n’avait qu’à se trouver au bon moment au bon endroit pour gravir un nouvel échelon. Mais un jour, l’un des barreaux s’avéra être trop haut pour lui. C’était épouvantable, insupportable, insurmontable. Il n’y arriverait pas et ne ferait que chuter tout en bas de l’échelle s’il s’y tentait. Pourrait-il seulement se relever ? Il ressentit cette chose étrange qui vous fait perdre vos moyens, vous dépossède de votre confiance, déchire votre ego et provoque la peur : le doute.
Il voulait devenir Guillaume, mais seul il n’y arriverait pas. C’était un pari risqué, mais il décida de placer toute sa richesse accumulée dans les mains d’un homme : Titi, un faussaire qui excelle dans son domaine, tant que vous ne posez pas trop de questions et que vous payez grassement. Lui seul pouvait lui donner le bagage qui lui manquait, la légitimité qui scellerait sa position, les papiers qui feraient illusions. Moyennant une dette qu’il n’a à ce jour pas encore terminé de rembourser, il put devenir cet homme, ce cousin du Duc de Bourgogne, qu’il ne connaissait pourtant ni d’Eve, ni d’Adam et qui n’existait même pas. Moyennant le pouvoir de le détruire, de l’écraser, de l’achever, Guillaume apparut pour réclamer son titre, sa succession, ses droits, son duché : la Bourgogne.
Le Duc de Bourgogne avait peu à peu cesser de donner des nouvelles après la disparition de son majordome, pour finalement à son tour prendre mystérieusement la poudre d’escampette. Guerre, famine, maladie, peste, fuite, complot, tant de raisons pouvaient avoir privé la Bourgogne de son Duc, ainsi que d’une bonne partie de ses domestiques et servants. Les raisons n’avaient aucun importance, seul ce poste vacant intéressait Guillaume. Et la France subissait une telle désorganisation, qu’avec le soutien du faussaire, il parvint à berner l’administration : il était ce cousin éloigné, désigné héritier de la Bourgogne, faute de mieux. Il était cet homme dont certains documents faisaient mention, mais dont peu de personnes avaient entendu parler, tant il était improbable qu’un jour il accède au duché. Il était un mensonge si gros que c’en était ridicule, mais à la fois si bon, si satisfaisant.
Édouard sans le sou n’était qu’un lointain souvenir, une vie parmi tant d’autres. Guillaume de Bourgogne était un récit excitant, plein de promesses, d’aventures, de secrets, de coups bas. Il était un bon parti, beau, riche, à la tête d’un grand duché. Il était de la haute noblesse et avait une place naturelle à la cour, qu’il n’hésiterait pas à revendiquer, à dérober comme tout le reste, dans laquelle il s’amuserait en attendant de voir plus grand et plus loin encore. Ses rêves étaient ambitieux, fous et égoïstes. Il voulait même devenir le roi, épouser cette reine et débuter sa lignée. Il voulait son pouvoir et le faire sien. Il voulait prendre son temps, se délecter, s’approprier, écraser, effacer, pour réécrire son histoire.
Guillaume de Bourgogne
Memento audere semper
Sexe : Masculin
Date & lieu de naissance : 1er août 1563 à Nevers
Âge : 27 ans
Race : Humain
Groupe : Haute noblesse
Métier / fonction : Duc de Bourgogne, prochainement chancelier et qui sait peut-être roi (des roublards)
Condition sociale : Très aisée mais rien ne lui appartient
Feat : Laurent de Vere (Captive Prince)
Date & lieu de naissance : 1er août 1563 à Nevers
Âge : 27 ans
Race : Humain
Groupe : Haute noblesse
Métier / fonction : Duc de Bourgogne, prochainement chancelier et qui sait peut-être roi (des roublards)
Condition sociale : Très aisée mais rien ne lui appartient
Feat : Laurent de Vere (Captive Prince)
Caractère
Ce qui pourrait être décrit comme des défauts, est mis en avant par Guillaume comme des qualités essentielles à quiconque partirait de rien pour devenir quelqu’un. C’est un manipulateur qui n’agit que pour son bon plaisir. S’il vous rend un service ou vous donne l’illusion d’agir pour votre bien, méfiez-vous, cela n’est pas le cas. Il n’est jamais gentil par altruisme. Ses actions sont calculées pour avoir des coups d’avance et éviter les pièges qui pourraient se dresser sur son chemin. Peu lui importe ce dernier, tant qu’il le mène à la gloire, à un destin grandiose, à verrouiller ses positions et devenir un grand homme admiré.
Il est ambitieux, peut-être un peu trop. Il se fait confiance, sans doute bien trop. Ainsi, il ose tout ce qui lui traverse l’esprit et stimule son ego. Peu de choses l’effraient et le freinent, pas même Dieu, dont il n’a cure. Pour parfaire son rôle, il est un fidèle, mais en vérité, il n’accorde aucune espèce d’importance à l’Église. Ce n’est pas comme s’il comptait s’offrir une place au paradis avec tout ce qu’il a commis en tant que mortel. Le plus important pour lui étant d’accomplir sa destinée exceptionnelle, à n’en point douter.
Pour lui, rien que pour lui, il est prêt à tout. Il n’a même pas eu de remords à vendre son corps lorsque cela était nécessaire pour s’assurer un avenir, obtenir des secrets ou de l’argent. Ce n’était pas comme si cela l’avait marqué, il ne ressent pas grand-chose de ce point de vue. Les plaisirs charnels ne sont qu’un détail insignifiant dans sa vie. Il n’est pas du genre à chercher à pénétrer le lit d’une femme, ou d’un homme. Néanmoins, l’idée de se marier pour devenir plus riche encore ne lui déplaît pas. Et même, son excès de confiance et son ego surdimensionnée visent une femme haut placée. Si haut placée qu’elle porte la couronne de France. N’y-a-t-il pas meilleur destin que sur un trône en tant que roi ?
Il n’a que très peu de liens avec autrui et préfère sa solitude. Il n’aime ni partager ses sentiments, ni partager ses secrets. Il faut dire aussi qu’ils pourraient le ruiner et même le tuer. Seul un homme connaît ses manigances, puisqu’il lui a permis d’inventer de toutes pièces son « passé ». Il lui doit toujours de l’argent, ce qui est à peu près sa seule source d’angoisses à ce jour, avec le fait d’être démasqué. Qui sait, ce Titi pourrait bien faire s’écrouler son édifices dont les fondations ne sont que des mensonges.
En bref : opportuniste - manipulateur – calculateur - menteur – égoïste – confiant – orgueilleux – ambitieux – vif d’esprit – moqueur – observateur – s’adapte rapidement aux situations – ressent très peu de désir pour autrui – n’aime pas vraiment les contacts physique – solitaire – peu expressif - froid
Histoire
On le connaît sous le nom de Guillaume de Bourgogne, mais il pourrait bien s’appeler Pierre, Paul ou Jacques que ce serait toujours un mensonge. A l’origine, il s’appelait Édouard et était l’enfant unique d’un couple ayant acquis une toute petite fortune grâce au commerce de vins. Rien d’extravagant, mais de quoi vivre sans craindre de se coucher et de subir sa journée du lendemain.
Son éducation n’était pas exceptionnellement riche, mais il était vif d’esprit et très bon dans l’art du mimétisme et de l’observation, la meilleure façon pour lui d’apprendre et de développer ses talents de menteur et de manipulateur. Il avait appris à lire et à écrire, mais à part bredouiller quelques mots de latin, il n’excellait en rien si ce n’était dans son petit plaisir personnel : exaspérer avec son attitude désinvolte et méprisante. C’est au fil des années, de ses rencontres, de ses manigances et de ses mensonges qu’il s’est cultivé pour coller aux rôles qu’il dérobait.
L’entreprise de ses parents faisant de l’ombre à d’autres localement, une compétition très malsaine, pour ne pas appeler cela une chasse aux sorcières, débuta. Et ainsi, Édouard encore jeune adolescent, se retrouva sans parent, alors accusés de vendre un vin empoisonné et terminant leur vie la corde autour du cou. Devenu Édouard sans le sou, sans droit de succession, dépossédé, il décida de changer d’identité n’appréciant guère celle-ci.
Pendant des années, il eut un prénom puis un autre. Selon les bons plaisirs de ceux qu’il essayait de séduire et de piéger, tout simplement. Il savait se rendre plaisant, attirant, utile, bien que tout cela le répugnait. Il savait surtout écouter au bon moment, dérober juste ce qui lui était nécessaire pour agrandir son pécule et ne pas éveiller de soupçon. Il se déguisait et y prenait presque un peu de plaisir. Berner les autres était devenu plus qu’un passe-temps, il en voulait toujours plus. Plus de mensonges, plus de richesses, plus de pouvoirs.
Les guerres, les famines, la maladie. Dieu l’aidait presque à poursuivre son rêve, même s’il ne croyait pas en Lui. Il n’avait qu’à se trouver au bon moment au bon endroit pour gravir un nouvel échelon. Mais un jour, l’un des barreaux s’avéra être trop haut pour lui. C’était épouvantable, insupportable, insurmontable. Il n’y arriverait pas et ne ferait que chuter tout en bas de l’échelle s’il s’y tentait. Pourrait-il seulement se relever ? Il ressentit cette chose étrange qui vous fait perdre vos moyens, vous dépossède de votre confiance, déchire votre ego et provoque la peur : le doute.
Il voulait devenir Guillaume, mais seul il n’y arriverait pas. C’était un pari risqué, mais il décida de placer toute sa richesse accumulée dans les mains d’un homme : Titi, un faussaire qui excelle dans son domaine, tant que vous ne posez pas trop de questions et que vous payez grassement. Lui seul pouvait lui donner le bagage qui lui manquait, la légitimité qui scellerait sa position, les papiers qui feraient illusions. Moyennant une dette qu’il n’a à ce jour pas encore terminé de rembourser, il put devenir cet homme, ce cousin du Duc de Bourgogne, qu’il ne connaissait pourtant ni d’Eve, ni d’Adam et qui n’existait même pas. Moyennant le pouvoir de le détruire, de l’écraser, de l’achever, Guillaume apparut pour réclamer son titre, sa succession, ses droits, son duché : la Bourgogne.
Le Duc de Bourgogne avait peu à peu cesser de donner des nouvelles après la disparition de son majordome, pour finalement à son tour prendre mystérieusement la poudre d’escampette. Guerre, famine, maladie, peste, fuite, complot, tant de raisons pouvaient avoir privé la Bourgogne de son Duc, ainsi que d’une bonne partie de ses domestiques et servants. Les raisons n’avaient aucun importance, seul ce poste vacant intéressait Guillaume. Et la France subissait une telle désorganisation, qu’avec le soutien du faussaire, il parvint à berner l’administration : il était ce cousin éloigné, désigné héritier de la Bourgogne, faute de mieux. Il était cet homme dont certains documents faisaient mention, mais dont peu de personnes avaient entendu parler, tant il était improbable qu’un jour il accède au duché. Il était un mensonge si gros que c’en était ridicule, mais à la fois si bon, si satisfaisant.
Édouard sans le sou n’était qu’un lointain souvenir, une vie parmi tant d’autres. Guillaume de Bourgogne était un récit excitant, plein de promesses, d’aventures, de secrets, de coups bas. Il était un bon parti, beau, riche, à la tête d’un grand duché. Il était de la haute noblesse et avait une place naturelle à la cour, qu’il n’hésiterait pas à revendiquer, à dérober comme tout le reste, dans laquelle il s’amuserait en attendant de voir plus grand et plus loin encore. Ses rêves étaient ambitieux, fous et égoïstes. Il voulait même devenir le roi, épouser cette reine et débuter sa lignée. Il voulait son pouvoir et le faire sien. Il voulait prendre son temps, se délecter, s’approprier, écraser, effacer, pour réécrire son histoire.
Derrière l'écran
Pseudo : Ahsoka
Âge : 25 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? C’est Diane qui me l’a conseillé.
Un petit mot ? Je suis peut-être Diane d’Orléans
Pseudo : Ahsoka
Âge : 25 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? C’est Diane qui me l’a conseillé.
Un petit mot ? Je suis peut-être Diane d’Orléans
Sam 10 Juil - 20:45
BIENVENUE ICI MONSIEUR.
Vraiment, la fiche a été un REGAL a lire, j'ai hâte de voir Guigui en action :caramba:
Vraiment, la fiche a été un REGAL a lire, j'ai hâte de voir Guigui en action :caramba:
Sam 10 Juil - 20:49
Ah tiens, voilà ma poule aux oeufs d'or
Je suis désolé mais
Très très hyped de ce double-compte également. La fiche va droit à l'essentiel, on sent que Guillaume oscille dangereusement entre folie et grandeur comme le font la plupart des gens trop ambitieux.
Hâte de voir ce que ça va donner en jeu
(Et ne t'inquiète pas, tant que tu payes, ton secret est bien gardé héhéhéhé)
Je suis désolé mais
- Quand je lis roi des roublards je pense à:
Très très hyped de ce double-compte également. La fiche va droit à l'essentiel, on sent que Guillaume oscille dangereusement entre folie et grandeur comme le font la plupart des gens trop ambitieux.
Hâte de voir ce que ça va donner en jeu
(Et ne t'inquiète pas, tant que tu payes, ton secret est bien gardé héhéhéhé)
Sam 10 Juil - 21:40
Bienvenue mon petit ambitieux
Je ne vais pas répéter ce que mes VDDs ont magnifiquement résumé ! Celà dit, juste une petite précision à apporter sitoplé : Très très peu de personnes savent que Titi est l'archiviste (la plupart du temps ce sont des créatures qui sont au courant). Pour Guillaume, ce ne serait qu'un faussaire très doué
Il faut juste changer cette dénomination et je speedrun te mettre ta couleur juste après
Des bisous !
Je ne vais pas répéter ce que mes VDDs ont magnifiquement résumé ! Celà dit, juste une petite précision à apporter sitoplé : Très très peu de personnes savent que Titi est l'archiviste (la plupart du temps ce sont des créatures qui sont au courant). Pour Guillaume, ce ne serait qu'un faussaire très doué
Il faut juste changer cette dénomination et je speedrun te mettre ta couleur juste après
Des bisous !
Sam 10 Juil - 21:52
@L'Oeil Merci
Et c'est corrigé, voici les deux passages revus :
Il voulait devenir Guillaume, mais seul il n’y arriverait pas. C’était un pari risqué, mais il décida de placer toute sa richesse accumulée dans les mains d’un homme : Titi, un faussaire qui excelle dans son domaine, tant que vous ne posez pas trop de questions et que vous payez grassement.
Et la France subissait une telle désorganisation, qu’avec le soutien du faussaire,
Et c'est corrigé, voici les deux passages revus :
Il voulait devenir Guillaume, mais seul il n’y arriverait pas. C’était un pari risqué, mais il décida de placer toute sa richesse accumulée dans les mains d’un homme : Titi, un faussaire qui excelle dans son domaine, tant que vous ne posez pas trop de questions et que vous payez grassement.
Et la France subissait une telle désorganisation, qu’avec le soutien du faussaire,
Sam 10 Juil - 21:55
Validation !
Roi des roublards
|
|