Sam 16 Oct - 22:50
Alors que les dernières notes de musique s'évaporent dans les airs, les instruments de l'orchestre se taisent. C'est la fin de la cinquième valse et donc la cloture de la piste !
Pas besoin du maître de danse, chacun comprend qu'il est temps de quitter son.a partenaire, surtout lorsque la Reine s'avance au centre de la pièce comme si elle avait quelque chose à dire. Tous les regards sont rivés vers elle, personne n'osant souffler un mot puisque la suzeraine s'apprête à faire un discours !
- C'est la fin des danses ! Merci à tous d'avoir participé. Seule @Victoire de France peut rester sur ce sujet. Les autres invités sont priés de rejoindre les autres topics !
- L'animation sera bouclée dans la soirée du samedi 23 octobre. Vous êtes libres de réagir au discours de Victoire ou de quitter les lieux, c'est comme vous voulez. Sachez simplement que passée cette date les sujets seront définitivement verrouillés.
Fermeture de la piste
Alors que les dernières notes de musique s'évaporent dans les airs, les instruments de l'orchestre se taisent. C'est la fin de la cinquième valse et donc la cloture de la piste !
Pas besoin du maître de danse, chacun comprend qu'il est temps de quitter son.a partenaire, surtout lorsque la Reine s'avance au centre de la pièce comme si elle avait quelque chose à dire. Tous les regards sont rivés vers elle, personne n'osant souffler un mot puisque la suzeraine s'apprête à faire un discours !
Les règles
- C'est la fin des danses ! Merci à tous d'avoir participé. Seule @Victoire de France peut rester sur ce sujet. Les autres invités sont priés de rejoindre les autres topics !
- L'animation sera bouclée dans la soirée du samedi 23 octobre. Vous êtes libres de réagir au discours de Victoire ou de quitter les lieux, c'est comme vous voulez. Sachez simplement que passée cette date les sujets seront définitivement verrouillés.
Dim 17 Oct - 1:23
Résumé : Ca parle BEAUCOUP trop didon
Mention de @Aymeric Ruiz @Hélène de Constantinople & @Aydos Habsbourg
Elle quitta son partenaire de dernière danse avec une ultime révérence polie – mais pas excessivement – puisque de toute manière, aucun discours ne semblait lui convenir.
Cette soirée avait été riche en apprentissage et Victoire s’assurerait d’en prendre chaque point en compte. Elle osa un regard vers Hélène qui, malgré l’affection qu’elle lui portait, ne perdait rien pour attendre. Et elle n’était que la figure de proue de ce qui décidait Victoire à agir prochainement de la sorte.
Si c’était du changement qu’ils voulaient tous et toutes, ils l’auraient. Mieux valaient qu’ils se préparent en conséquences, cependant.
Son regard glissa vers le centre de la piste et, comme convenue dans ses échanges de lettres avec la Duchesse de Châtillon – qu’au fond d’elle, elle ne remerciait pas vraiment -, la Reine s’avança et se positionna en un dos droit, face à la foule. Son regard est fatigué mais elle tient bon, il n’était pas encore temps de s’écrouler.
« Messires, Mesdames, Mesdemoiselles… Merci pour votre présence à cette soirée qui, je l’espère, restera dans les mémoires de chacun. » Politesses de circonstances. « Merci également à Dame de Châtillon ainsi qu’à son… Ménestrel- » C’était bien ce qu’il était, non ? « -d’avoir organisé un tel évènement. En plus des festivités, cela me permet d’annoncer plusieurs choses d’importances à un maximum d’entre vous. »
Elle prend une inspiration et couve la foule d’un regard qu’elle espère être bienveillant. « Tout d’abord, la réouverture du théâtre ! Comme certains d’entre vous le savent, mon grand-père et mon père ont toujours beaucoup aimé les arts, tout comme moi. C’est donc avec une immense joie que j’annonce officiellement la réouverture du bâtiment après de long et fastidieux travaux entamés peu de temps après mon début de règne. » A la lumière des bougies, elle cherche du regard le visage d’Aydos et le trouve rapidement. Étendant sa main, Victoire le désigne. « Nous devons cette réouverture grâce aux fonds engagés majoritairement par le Prince Aydos d’Habsbourg, ainsi que d’une autre donatrice noble qui n’a malheureusement pu assister à la soirée. J’aimerais donc applaudir mon parèdre germain pour cette aide précieuse au cœur de Paris. » Reprenant sa main, elle vient joindre ses doigts les uns aux autres, comme une étreinte qu’elle se donnait elle-même pour s’encourager à continuer.
« L’autre nouvelle que j’ai à cœur de vous porter est la réouverture des frontières avec nos alliés suédois. » Elle doit bien choisir ses mots. « Après des pourparlers et des négociations avec la couronne suédoise, il nous est apparu qu’un tel poids sur les déplacements entre nos deux pays n’était absolument pas nécessaire ou, du moins, qu’il ne l’était plus. L’épidémie de peste étant désormais sous contrôle, nous avons décidé, la royauté de la Suède et moi-même, d’autoriser de nouveaux les voyages entre nos deux nations. Il s’agit du premier cas de fracture des frontières bloquées et j’aime à penser qu’il ne sera pas le dernier. » Elle pensait sincèrement au positif que tout cela allait pouvoir lui apporter, et ce, sur tous les plans. « Une délégation suédoise est par ailleurs déjà en chemin et devrait arriver dans les prochains jours. Je compte sur chacun d’entre vous pour leur faire un accueil chaleureux. » Elle, en tout cas, ferait de son mieux.
Quelques banalités supplémentaires plus tard, Victoire choisit de se retirer et de s’en retourner au palais royal. Une bonne chose de faite.
Résumé : Ca parle BEAUCOUP trop didon
Mention de @Aymeric Ruiz @Hélène de Constantinople & @Aydos Habsbourg