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Ven 3 Sep - 10:54
Si l'endroit n'est pas interdit aux invités, personne n'aurait l'incongrue idée de manquer la fête pour s'infiltrer dans les noirceurs du petit jardin de la famille de Châtillon !
Si un homme et une dame devaient y être surpris seuls ensemble, nul doute qu'ils risqueraient de faire scandale !
Les règles spécifiques à cet endroit sont les suivantes :
- Vous pouvez voir les personnes présentes sur le balcon mais celles-ci peuvent également vous voir !
- Être surpris seul ou en mauvaise compagnie à cet endroit peut entrainer des conséquences !
Les jardins
Si l'endroit n'est pas interdit aux invités, personne n'aurait l'incongrue idée de manquer la fête pour s'infiltrer dans les noirceurs du petit jardin de la famille de Châtillon !
Si un homme et une dame devaient y être surpris seuls ensemble, nul doute qu'ils risqueraient de faire scandale !
Les règles
Les règles spécifiques à cet endroit sont les suivantes :
- Vous pouvez voir les personnes présentes sur le balcon mais celles-ci peuvent également vous voir !
- Être surpris seul ou en mauvaise compagnie à cet endroit peut entrainer des conséquences !
Sam 4 Sep - 20:32
Caelestis prenait toujours son travail de chasse à cœur. Lors de grands événements, il arrivait parfois que des créatures s’infiltrent dans les rangs des convives pour les attirer dans les mailles de leurs filets et essayer de leur faire du mal. Caelestis était donc là pour endiguer cette possibilité.
Mais avant d’aller faire le tour des pièces disponibles à la ronde, il partit d’abord faire une inspection dans les jardins. Les sens sur le qui-vive, il tâchait de faire en sorte que rien ne le perturbe, pas même les bruits de fonds. Si une créature se trouvait là, il devrait la débusquer. Il n’avait pas son épée sur lui, mais il pourrait au moins la tenir à distance avec ses poings.
Enfin, il espérait…
Dim 5 Sep - 10:47
@Caelestis Amarillo
Un bal… L’évènement lui rappelle la fête du printemps.
Les mains croisées dans le dos, le Chevalier patrouille au milieu des allées. Le port droit et le regard fier, il est aux aguets. Depuis quelques mois, l’Ouroboros a décelé la présence de tant de créatures parmi la Noblesse… Des vampires, pour la majorité d’entre eux. Que faire de cette information ? Doit-il en parler à sa sœur ? Eleanor, à son bras, esquisse un sourire et repose tendrement sa tête contre son épaule. Les yeux mi-clos, son épouse se laisse porter au rythme du pas de son compagnon. Puis elle redresse la tête, remarquant, au loin, une silhouette qu'elle lui montre...
_ Monsieur ? Interpelle-t-il simplement. Il n’a pas besoin d’hausser la voix : son coffre est grave, sa voix gronde, couvrant, sans un effort, les rumeurs de la nuit. Ce jeune homme… Il l’a déjà vu. Ah, oui ! Lors de la bataille dans l’eau, rappelle maladroitement l’Ouroboros, la bataille navale, corrige Aimable. Un sourire s’esquisse sur ses traits usés, alors qu’il lève une main pour masser sa nuque.
_ Comment allez-vous ? Je n’ai pas pu vous protéger lors de la bataille navale. Je vous présente mes excuses. Je me présente, Aimable Eleuthère De Bayard et voici ma tendre épouse, Eleanor De Bayard...
Il espère que sa mémoire ne lui fait pas défauts. Il n’est pas toujours sûr de lui… Enfin, il n’est pas sûr de ses souvenirs. De tout ce qui peut lui revenir à l’esprit – mensonges, cauchemars, une réalité déformée par la vision de l’Ouroboros.
Les mains croisées dans le dos, le Chevalier patrouille au milieu des allées. Le port droit et le regard fier, il est aux aguets. Depuis quelques mois, l’Ouroboros a décelé la présence de tant de créatures parmi la Noblesse… Des vampires, pour la majorité d’entre eux. Que faire de cette information ? Doit-il en parler à sa sœur ? Eleanor, à son bras, esquisse un sourire et repose tendrement sa tête contre son épaule. Les yeux mi-clos, son épouse se laisse porter au rythme du pas de son compagnon. Puis elle redresse la tête, remarquant, au loin, une silhouette qu'elle lui montre...
_ Monsieur ? Interpelle-t-il simplement. Il n’a pas besoin d’hausser la voix : son coffre est grave, sa voix gronde, couvrant, sans un effort, les rumeurs de la nuit. Ce jeune homme… Il l’a déjà vu. Ah, oui ! Lors de la bataille dans l’eau, rappelle maladroitement l’Ouroboros, la bataille navale, corrige Aimable. Un sourire s’esquisse sur ses traits usés, alors qu’il lève une main pour masser sa nuque.
_ Comment allez-vous ? Je n’ai pas pu vous protéger lors de la bataille navale. Je vous présente mes excuses. Je me présente, Aimable Eleuthère De Bayard et voici ma tendre épouse, Eleanor De Bayard...
Il espère que sa mémoire ne lui fait pas défauts. Il n’est pas toujours sûr de lui… Enfin, il n’est pas sûr de ses souvenirs. De tout ce qui peut lui revenir à l’esprit – mensonges, cauchemars, une réalité déformée par la vision de l’Ouroboros.
@Caelestis Amarillo
Dim 5 Sep - 12:16
@Aimable E. De Bayard
Occupé à faire sa ronde, Caelestis fut surprit d’entendre qu’on l’interpellait – il songea par la suite que cela aurait pu être une erreur, mais au vu des circonstances, c’était là fort peu probable.
Il se retourna prestement, droit comme un i, et observa le couple approchant. Il ne connaissait pas la femme mais cette dernière lui fut présentée. Il s’inclina donc respectueusement devant elle. Toutefois, même si le visage de l’homme lui disait vaguement quelque chose, il était bien incapable de poser une affirmation sur sa pensée.
« Monsieur, Madame… Puisses le Seigneur vous accorder une bonne soirée. » Puis ses yeux bleus se posèrent sur la silhouette de l’homme. « Toutes mes excuses, je pense bien vous avoir déjà croisé, en effet, mais je ne suis guère capable de resituer où, quand ou comment lors de la bataille navale. »
Il espérait ne froisser personne.
@Aimable E. De Bayard
Dim 5 Sep - 12:27
@Caelestis Amarillo
Ah, sa mémoire lui joue-t-elle des tours ?
Décontenancé, Aimable s’apprête à s’excuser… Percevant son trouble, Eleanor raffermit tendrement son étreinte sur son bras. Un geste discret. Encourageant. Aimable sent ses muscles se relâcher légèrement, malgré son cœur qui s’accélère sous la nervosité. Interagir avec d’autres personnes reste toujours compliqué…Pour autant, la présence de son épouse l’apaise assez pour qu’il esquisse un sourire. Un haussement d’épaules lui échappe, en un geste se voulant apaisant pour leur interlocuteur.
_ Vous avez nagé jusqu’à ma barque, une jeune fille sur votre dos. Le temps que je vous aide à grimper… Vous êtes tombé de nouveau à l’eau.
Eleanor, curieuse, s’avance d’un pas. Etonnée, elle observe les yeux clairs de Caelestis et l'accueille d'un sourire chaleureux.
_ Mon mari vous connaît mais n’a pas même la décence de vous présenter ! Taquine-t-elle, tendrement, Comment puis-je vous nommer, Monsieur ? Êtes-vous Chevalier vous aussi ?
Décontenancé, Aimable s’apprête à s’excuser… Percevant son trouble, Eleanor raffermit tendrement son étreinte sur son bras. Un geste discret. Encourageant. Aimable sent ses muscles se relâcher légèrement, malgré son cœur qui s’accélère sous la nervosité. Interagir avec d’autres personnes reste toujours compliqué…Pour autant, la présence de son épouse l’apaise assez pour qu’il esquisse un sourire. Un haussement d’épaules lui échappe, en un geste se voulant apaisant pour leur interlocuteur.
_ Vous avez nagé jusqu’à ma barque, une jeune fille sur votre dos. Le temps que je vous aide à grimper… Vous êtes tombé de nouveau à l’eau.
Eleanor, curieuse, s’avance d’un pas. Etonnée, elle observe les yeux clairs de Caelestis et l'accueille d'un sourire chaleureux.
_ Mon mari vous connaît mais n’a pas même la décence de vous présenter ! Taquine-t-elle, tendrement, Comment puis-je vous nommer, Monsieur ? Êtes-vous Chevalier vous aussi ?
@Caelestis Amarillo
Dim 5 Sep - 13:12
Résumé : Ca discute un poil @Aimable E. De Bayard
Oh, oui, ça lui revenait maintenant ! "Mes excuses, je n'avais pas fait le rapprochement. Merci d'avoir eu l'obligeance de nous accepter sur votre navire, par ailleurs, n'en déplaise à l'issue qui fut la nôtre." Et puis il avait bien été obligé d'admettre qu'il s'était un peu amusé, la-bas. Lorsque la dame se mis en avant, Caelestis inclina la tête. "Je manque également à mes obligations. Je ne suis pas chevalier, je suis au travail de l'église." Elle n'était pas obligée de savoir le reste.
"Avez-vous eu des nouvelles de la jeune femme qui était avec moi, par ailleurs, Chevalier ? Je ne l'ai plus revu depuis."
Maintenant qu'il y pensait, peut-être qu'Anna serait présente également ? A cette pensée, un sourire naquit sur ses lèvres.
Résumé : Ca discute un poil @Aimable E. De Bayard
Dim 5 Sep - 16:38
@Caelestis Amarillo
Mention de @Constantin de St Hilaire
L’homme ne confie pas son nom. La curiosité attisée, Eleanor s’apprête à le questionner davantage, avant qu’un doux mouvement de son compagnon ne l’invite à respecter son silence. Elle ne connaît que trop bien Aimable pour savoir que certains sujets… Se doivent de rester secrets. Même un nom ? Même un nom. Alors elle n’insiste pas. Pas sur ce sujet là en tous cas.
_ Oh ! Vous travaillez pour l’église ? Connaissez-vous le Grand Cardinal ? Un homme aussi grand par la taille que par le cœur ! Rit-elle avec tendresse, N’est-ce pas Aimable ?
Aimable hoche la tête. Constantin… Penser à lui suffit à ce qu’il porte songeusement la main à la croix d’argent qu’il garde autour du cou.
_ Oui… Un ami, se contente-t-il de répondre. Pour un homme peu loquace, ce simple mot trahit toute l’affection qu’il peut lui porter, Je suis navré. J’ai crainte de ne pas l’avoir vue.
_ A quoi ressemblait-elle ? Peut-être pourrions-nous profiter de cette soirée pour nous lancer à sa recherche ! Propose Eleanor, toujours animée de cette folle énergie, D’ailleurs, que fait un homme de l’église ici ? Êtes-vous un prêtre ?
Elle détaille d’un regard surpris la tenue de l’homme mais lui sourit d’un air encourageant.
_ Oh. A moins que vous ne soyez un timide… N’ayez crainte, je suis sure que vous pourrez prendre plaisir à cette soirée. Peut-être même pourriez-vous inviter quelqu’un à danser ? Glisse-t-elle avec malice. Aimable se retient de lui dire que si Caelestis a fait vœu de célibat, cette proposition pourrait être indécente mais Eleanor ne voit pas le vice derrière une simple danse.
_ Oh ! Vous travaillez pour l’église ? Connaissez-vous le Grand Cardinal ? Un homme aussi grand par la taille que par le cœur ! Rit-elle avec tendresse, N’est-ce pas Aimable ?
Aimable hoche la tête. Constantin… Penser à lui suffit à ce qu’il porte songeusement la main à la croix d’argent qu’il garde autour du cou.
_ Oui… Un ami, se contente-t-il de répondre. Pour un homme peu loquace, ce simple mot trahit toute l’affection qu’il peut lui porter, Je suis navré. J’ai crainte de ne pas l’avoir vue.
_ A quoi ressemblait-elle ? Peut-être pourrions-nous profiter de cette soirée pour nous lancer à sa recherche ! Propose Eleanor, toujours animée de cette folle énergie, D’ailleurs, que fait un homme de l’église ici ? Êtes-vous un prêtre ?
Elle détaille d’un regard surpris la tenue de l’homme mais lui sourit d’un air encourageant.
_ Oh. A moins que vous ne soyez un timide… N’ayez crainte, je suis sure que vous pourrez prendre plaisir à cette soirée. Peut-être même pourriez-vous inviter quelqu’un à danser ? Glisse-t-elle avec malice. Aimable se retient de lui dire que si Caelestis a fait vœu de célibat, cette proposition pourrait être indécente mais Eleanor ne voit pas le vice derrière une simple danse.
@Caelestis Amarillo
Mention de @Constantin de St Hilaire
Dim 5 Sep - 19:05
Résumé : Euh. Bah voilà
Oh, alors même Aimable ne savait ce qu’était devenue la jeune femme. Bon, il restait à Caelestis de se confondre en une prière pour elle, en espérant qu’elle aille bien.
D’un sourire poli, Caelestis répondit à la compagne d’Aimable. « Non, un prêtre n’est pas supposé danser, je laisse cette plaisante activité aux laïques. »
Lorsque la proposition fusa de l’aider à retrouver la demoiselle dont il parlait précédemment, Caelestis tâcha de se remémorer les détails la concernant. « Eh bien, elle était brune, à peu près grande… comme ceci, je dirais ? » Il montra une ligne imaginaire près de son torse « Et son nom… Oh, il m’échappe. Navré. »
Sait-on jamais qu’ils puissent s’entre-aider. « En parlant de nom, le mien est Caelestis Amarillo. » Finalement, il pouvait bien lui donner à ces deux personnes qui ne semblaient pas être des dangers pour autrui.
Résumé : Euh. Bah voilà
Lun 6 Sep - 11:16
@Caelestis Amarillo
Mention de @Guillaume De Bourgogne
Eleanor sourit avec tendresse.
_ Un prêtre sait mieux voir que personne la beauté de Dieu au travers de ses créations. Combien même n’iriez-vous pas danser, peut-être pourrez-vous profiter de la musique et des rires ?
Propose-t-elle, attentionnée. Aimable repose une main sur celle de son épouse pour l’inviter à s’apaiser.
_ Ma douce, peut-être préfère-t-il la tranquillité de la nuit que l’agitation des convives ? Glisse-t-il avec malice. Elle lui adresse un regard empli de connivence – Oh elle sait très bien où il veut en venir.
_ Je vois. Comme quoi, un Chevalier et un homme de foi peuvent être faits d’un même alliage, concède-t-elle avant de tourner les yeux vers Caelestis, Nous chercherons cette jeune femme et si nous la trouvons, je lui dirai que vous la cherchez ! Votre nom est de toute beauté, êtes-vous originaire de Paris ? Où officiez-vous en tant que prêtre ? Êtes-vous venu ici pour commémorer une union ou pour surveiller à ce qu’aucune âme fougueuse ne s’égare sur des voies peu respectables ?
Elle est curieuse et bien plus bavarde que lui… Aimable la laisse faire. Simplement l’entendre lui fait du bien, sa voix recouvre la Sienne et ses bras entourant tendrement le sien l’apaisent. Percevant des regards dressés vers eux, Aimable élève les yeux et observe, le temps d’un battement de paupières, les silhouettes lointaines.
VAMPIRE !
Non, Guillaume, pense Aimable en détournant les yeux pour les tourner vers son épouse. Essayant d’ignorer le frisson dans son dos.
Et ceux à côté de lui… L’un d’entre eux. Il l’a déjà vu. N’est-ce pas ?
_ Un prêtre sait mieux voir que personne la beauté de Dieu au travers de ses créations. Combien même n’iriez-vous pas danser, peut-être pourrez-vous profiter de la musique et des rires ?
Propose-t-elle, attentionnée. Aimable repose une main sur celle de son épouse pour l’inviter à s’apaiser.
_ Ma douce, peut-être préfère-t-il la tranquillité de la nuit que l’agitation des convives ? Glisse-t-il avec malice. Elle lui adresse un regard empli de connivence – Oh elle sait très bien où il veut en venir.
_ Je vois. Comme quoi, un Chevalier et un homme de foi peuvent être faits d’un même alliage, concède-t-elle avant de tourner les yeux vers Caelestis, Nous chercherons cette jeune femme et si nous la trouvons, je lui dirai que vous la cherchez ! Votre nom est de toute beauté, êtes-vous originaire de Paris ? Où officiez-vous en tant que prêtre ? Êtes-vous venu ici pour commémorer une union ou pour surveiller à ce qu’aucune âme fougueuse ne s’égare sur des voies peu respectables ?
Elle est curieuse et bien plus bavarde que lui… Aimable la laisse faire. Simplement l’entendre lui fait du bien, sa voix recouvre la Sienne et ses bras entourant tendrement le sien l’apaisent. Percevant des regards dressés vers eux, Aimable élève les yeux et observe, le temps d’un battement de paupières, les silhouettes lointaines.
VAMPIRE !
Non, Guillaume, pense Aimable en détournant les yeux pour les tourner vers son épouse. Essayant d’ignorer le frisson dans son dos.
Et ceux à côté de lui… L’un d’entre eux. Il l’a déjà vu. N’est-ce pas ?
@Caelestis Amarillo
Mention de @Guillaume De Bourgogne
Lun 6 Sep - 22:32
Résumé : TCHAO BONSOER
Tout prit qu’il était dans son office de sociabilité, Caelestis n’oubliait pas pourquoi il était là également. Il devait retourner patrouiller.
Alors, il répondit dans un premier temps à la gente dame. « Je suis né en Islande, à vrai dire, une contrée froide, reculée. » Mais qu’il aimait avec ferveur. « J’officie dans plusieurs églises, peut-être aurons-nous l’occasion de nous recroiser un jour. »
Il fit une révérence de circonstance pour remercier de la recherche et s’éclipsa ensuite un peu plus loin, vers le hall d’entrée. Peut-être que des créatures sauraient se méprendre, ici ?
Résumé : TCHAO BONSOER
Lun 6 Sep - 22:37
@Aimable E. De Bayard
Sans doute n'était-ce pas une bonne idée que de venir titiller les instincts de chasse de l'Ouroboros en ce lieu, avec toutes ces créatures autour de vous...
L'Ouroboros griffe, crie de plus belle et se déchaine, venant planter ses crocs dans vos os, de contrariété.
Pis encore... Vous pouvez sentir une douleur caractéristique venir de derrière la rangée de vos dents de votre mâchoire supérieure. Les crocs de la bête ont transpercé votre palais. Le goût du fer envahi rapidement votre bouche.
Intervention PNJ
@Aimable E. De Bayard
Sans doute n'était-ce pas une bonne idée que de venir titiller les instincts de chasse de l'Ouroboros en ce lieu, avec toutes ces créatures autour de vous...
L'Ouroboros griffe, crie de plus belle et se déchaine, venant planter ses crocs dans vos os, de contrariété.
Pis encore... Vous pouvez sentir une douleur caractéristique venir de derrière la rangée de vos dents de votre mâchoire supérieure. Les crocs de la bête ont transpercé votre palais. Le goût du fer envahi rapidement votre bouche.
Lun 6 Sep - 22:55
Résumé : leave meh alone U DUMBADSSES
L’air frais du soir sur son visage lui fit du bien. Mais, n’ayant pas envie de converser avec les gens déjà présents dans le jardin, Merill les salua poliment avec une révérence nécessaire et partie se tenir isolée le plus possible.
Elle observait les gens en haut, sur le balcon, sans les voir vraiment. Là, les les bras battant l’air le long de son corps, elle laissa son regard glissé sur un point invisible de l’horizon. « J’espère que tu es toujours en sécurité, toi… » souffla-t-elle, murmure pour elle-même.
Elle eut ensuite envie de chanter un peu. A voix basse, elle entonna alors les premiers mots qui lui vinrent en tête, d’une mélodie qu’elle avait entendue il y a longtemps.
« Où sont les enfants qui étaient dans les bois ?
Les enfants sur les sommets,
Les sommets sur l’île,
L’île sous la mer,
Où sont les enfants qui étaient au sommet ? »
Résumé : leave meh alone U DUMBADSSES
Mar 7 Sep - 8:45
_ L’Islande ? S’étonne Eleanor, Est-ce proche de la Suède ?
Mais déjà, Caelestis s’éloigne. Elle s’apprête à le saluer quand une tension, sous ses doigts, attire son regard. Etonnée, elle élève les yeux vers Aimable.
Aimable s’est immobilisé. Il ne remarque pas même la femme qui vient les saluer, il ne l’entend pas chanter. Il n’entend que la Voix et la douleur qui crisse jusqu’à ses oreilles. Les crocs qui percent sa chair – et il y en aura d’autres. Il sait d’où ils viendront. Ils s’extirperont de ses gencives, ils déchireront son palais, ils descendront jusqu’à l’intérieur de sa gorge pour la lui déchirer. Ses mâchoires humaines ne pourront pas supporter la pression – il sait que les os se disloqueront, que sa peau s’arrachera lorsque sa gueule s’ouvrira.
Le sang afflue sur ses papilles, il doit partir, partir. Il n’y a pas eu de douleur pour l’avertir, il a peur que l’Ouroboros le submerge – se sentir partir. Un pas en arrière, il s’apprête à s’en aller mais Eleanor saisit son bras, sa main s’élève jusqu’à sa mâchoire. Il veut parler mais n’ose pas : ses lèvres scellées contiennent le sang qu’il ravale.
_ Aimable ? Murmure-t-elle. Sa main accroche sa mâchoire et il n’a d’autres choix que tourner les yeux vers elle.
_ Je… J’aurais voulu t’emmener danser…, murmure-t-il. D’une voix rauque et brisée. Alors que du sang s’échappe le long de son menton. Eleanor, surprise, se saisit de son mouchoir pour essuyer le sang. Elle s’approche. Et se dresse sur la pointe des pieds. Pour l’embrasser du bout des lèvres.
Surpris, Aimable bat des paupières.
_ Et tu m’emmèneras. Contiens-le, nous allons trouver une solution, assure-t-elle dans un sourire. Prenant la main de son mari dans la sienne, elle s’éloigne des jardins, le tirant avec elle. Il faut de la lumière, du monde ! S’il se rétracte dans les ombres… Elle sait qu’il s’y abandonnera.
Mais déjà, Caelestis s’éloigne. Elle s’apprête à le saluer quand une tension, sous ses doigts, attire son regard. Etonnée, elle élève les yeux vers Aimable.
Aimable s’est immobilisé. Il ne remarque pas même la femme qui vient les saluer, il ne l’entend pas chanter. Il n’entend que la Voix et la douleur qui crisse jusqu’à ses oreilles. Les crocs qui percent sa chair – et il y en aura d’autres. Il sait d’où ils viendront. Ils s’extirperont de ses gencives, ils déchireront son palais, ils descendront jusqu’à l’intérieur de sa gorge pour la lui déchirer. Ses mâchoires humaines ne pourront pas supporter la pression – il sait que les os se disloqueront, que sa peau s’arrachera lorsque sa gueule s’ouvrira.
Le sang afflue sur ses papilles, il doit partir, partir. Il n’y a pas eu de douleur pour l’avertir, il a peur que l’Ouroboros le submerge – se sentir partir. Un pas en arrière, il s’apprête à s’en aller mais Eleanor saisit son bras, sa main s’élève jusqu’à sa mâchoire. Il veut parler mais n’ose pas : ses lèvres scellées contiennent le sang qu’il ravale.
_ Aimable ? Murmure-t-elle. Sa main accroche sa mâchoire et il n’a d’autres choix que tourner les yeux vers elle.
_ Je… J’aurais voulu t’emmener danser…, murmure-t-il. D’une voix rauque et brisée. Alors que du sang s’échappe le long de son menton. Eleanor, surprise, se saisit de son mouchoir pour essuyer le sang. Elle s’approche. Et se dresse sur la pointe des pieds. Pour l’embrasser du bout des lèvres.
Surpris, Aimable bat des paupières.
_ Et tu m’emmèneras. Contiens-le, nous allons trouver une solution, assure-t-elle dans un sourire. Prenant la main de son mari dans la sienne, elle s’éloigne des jardins, le tirant avec elle. Il faut de la lumière, du monde ! S’il se rétracte dans les ombres… Elle sait qu’il s’y abandonnera.
- Spoiler:
- Aimable et Eleanor se dirigent vers les buffets
Mention de @Caelestis Amarillo et de @Merill
Désolée j'ai pas pu respecter la limite de mots, j'ai fait de mon mieux
Mar 7 Sep - 11:52
tenue d'ignacio sans le pantalon à paillettes siou plaît
@Merill et mention de @June van Heil @Hélène de Constantinople
Ignacio avait pourtant dit qu’il ne viendrait pas, quand bien même Merill avait insisté, lui avait rabaché les oreilles avec ces histoires. Il avait entendu dire que plusieurs autres de ses collègues y seraient présents alors une personne ou de moins… Mais la vérité était qu’il s’ennuyait comme un rat mort. Aussi avait-il finir par s’y rendre. Il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas assisté à ce genre d’évènements. Cela remontait sans aucun doute avant qu’il ne devienne pirate. Il grimaça à l’idée d’avoir perdu à nouveau son rythme de vie. Plutôt que de s’assombrir l’esprit, il se faufile comme il put parmi les invités, ne vit nulle part Merill du coté du buffet ou du carrée des dames, où un attroupement certain se formait. Il tenta donc sa chance vers les jardins – non sans piquer un petit four au buffet – et, bingo ! Il s’approcha donc d’elle à pas de loup dans son dos.
-Alors, tu as trouvé gentilhomme avec qui danser ce soir ? Lui souffla-t-il à l’oreille avant de s’éloigner brusquement pour esquiver toute riposte.
Il avait cru voir, bien évidemment, Layla et June en venant ici et jubilait déjà à l’idée de voir la belle ottomane se faire violence pour ne pas faire une scène devant tout ce beau monde.
tenue d'ignacio sans le pantalon à paillettes siou plaît
@Merill et mention de @June van Heil @Hélène de Constantinople
Mar 7 Sep - 20:36
Salutations à @Merill @Ignacio Hernandez & mention de @Janvier @Vlad III Basarab @Sadie
A sa grande surprise, il n’y a que bien peu d’âmes au cœur des jardins. Un homme accompagné d’une jeune femme s’y trouvent, discutant de façon vivante. Un signe de tête poli à leur adresse et le Maréchal poursuit sa brève ronde, soupirant de soulagement lorsqu’un peu plus loin du couple croisé, elle peut laisser retomber légèrement ses épaules.
Un regard vers les balcons lui indique la présence d’un tout autre couple bien plus jeune encore – semblant de quereller ? – ainsi que le curieux invité de June. Ah… N’est-ce pas la silhouette du grand homme gardant Victoire qu’il percevait aux rideaux ?
Un regard vers les balcons lui indique la présence d’un tout autre couple bien plus jeune encore – semblant de quereller ? – ainsi que le curieux invité de June. Ah… N’est-ce pas la silhouette du grand homme gardant Victoire qu’il percevait aux rideaux ?
Salutations à @Merill @Ignacio Hernandez & mention de @Janvier @Vlad III Basarab @Sadie
Mar 7 Sep - 22:14
Résumé : Ca chouine dans le giron d'Ignagnacio et ça zieute Eve
Toute prise qu’elle était dans sa comptine, Merill se fit surprendre par l’arrivée d’Ignacio. Toutefois, elle n’était pas comme ne mission, constamment sur le qui-vive. Il n’eut rien à craindre d’un mouvement un peu ample de ma part. « Oh, tu es venu finalement. »
Elle aurait été bien plus enthousiaste si elle ‘n’avait pas enchainé trois déceptions coup sur coup, en réalité. « Non. On a donné mon premier ticket à quelqu’un d’autres et on m’a rendu les deux suivants. Je vais arrêter de les distribuer je pense, tant pis. » Et puis… « Tu sais… Je crois juste que les gens comme moi sont juste trop monstrueux pour que l’on veuille ne serait-ce que s’éterniser à leurs côtés, donc bon… Autant m’y faire maintenant. »
Mais qu’est-ce qu’elle racontait ?
Ses yeux perçurent la salutation d’un bel éphèbe blond et Merill se demanda si elle pourrait espérer l’approcher un peu.
Résumé : Ca chouine dans le giron d'Ignagnacio et ça zieute Eve
Mer 8 Sep - 2:26
@Merill et mentions de @Eve de Harcourt @Victoire de France
Les jardins n'étaient pas trop frequentés. Toute la noblesse devait être à l'intérieur. Sauf peut être ce jeune homme-ou cette jeune femme, il avait un doute-qui flânait non loin. Il salua la personne d'un signe de tête et écouta à nouveau Merill.
-En voilà de vils goujats. Dans ce cas...
D'un geste rapide, il lui subtislisa son ticket numéro de 2.
-Que dirais-tu de danser avec un de tes semblables ?
Il ne lui laissera pas le temps de protester qu'il glisse le papier dans sa poche. En levant les yeux, il aperçut une belle dame, un jolie blonde, et croit se souvenir qu'il s'agissait là de la Reine de France qu'il avait vu à ce fameux mariage. Aucun doute, la crème de la crème de la noblesse française était présente ce soir. Et parmi eux des créatures. Ignacio se demandait encore en quoi ces gens étaient des monstres. Ils avaient tous l'air si normaux...
@Merill et mentions de @Eve de Harcourt @Victoire de France
Mer 8 Sep - 7:57
Gabriel franchit l’entrée des jardins avec un certain soupir de soulagement. Une fois décalé pour dégager le passage il laissa ses épaules descendre d’un cran tandis qu’il fermait les yeux et inspiré pour chasser les dernières bribes de sucre et le bourdonnement qui s’était installé dans ses oreilles. Rien d’inhabituel pour lui au contraire, mais c’était toujours quelque chose qui finissait par le faire fuir les soirées. Quel dommage.
Dans un coin de son esprit, le loup réagit soudainement et le marquis rouvrit les yeux, observant les lieux. Un couple qu’il n’allait certainement pas déranger et… Harcourt ?
Qu’on lui accord quelques minutes pour se reprendre, et conformément aux désirs immédiats du loup, il se risquerait certainement à aller converser avec. Et pourtant, avant qu'il ne puisse le réaliser...
- Maréchal?
Grondement satisfait du loup. Sale bête.
@Eve de Harcourt, + mention de @Merill et @Ignacio HernandezDans un coin de son esprit, le loup réagit soudainement et le marquis rouvrit les yeux, observant les lieux. Un couple qu’il n’allait certainement pas déranger et… Harcourt ?
Qu’on lui accord quelques minutes pour se reprendre, et conformément aux désirs immédiats du loup, il se risquerait certainement à aller converser avec. Et pourtant, avant qu'il ne puisse le réaliser...
- Maréchal?
Grondement satisfait du loup. Sale bête.
Mer 8 Sep - 13:46
@Gabriel de Sercey & mention de @Hermance de Navarre
Eve perdue à sa contemplation ne remarque que tardivement l’approche d’un certain loup. Et son titre à sa bouche lui arrache un léger sourire.
« Gabriel. Quelle surprise de vous retrouver ici. »
Mutine, le son de sa voix indique sans peine qu’elle n’y trouve aucune surprise. Levant sa coupe pour trinquer avec son subalterne et amant, elle ne l’approche pas davantage que la bienséance ne le permettrait. Ce soir, il n’est pas question de laisser voir son affection, aussi triste ce constat soit-il.
« La fragrance des fleurs de nuit est agréable, ne trouvez-vous pas ? » Plus légère que les effluves de parfums de toutes ces dames. Eve n’appréciait guère ces odeurs en ces temps estivaux, alors elle ne pouvait qu’imaginer le désagrément que cela devait procurer à son cher et tendre.
« Antoine ne vous a pas suivi ? L’avez-vous laissé avec… votre amie ? »
Oh, il n’y a pas de fiel dans ce propos. Mais la curiosité dans son regard est sincère. Bleu contre bleu, eux deux ne peuvent plus rien se cacher désormais. Levant le regard vers le balcon, Victoire semble toujours en compagnie sûre… Au moins les lieux semblaient ne pas présenter de danger… Pour le moment.
« Gabriel. Quelle surprise de vous retrouver ici. »
Mutine, le son de sa voix indique sans peine qu’elle n’y trouve aucune surprise. Levant sa coupe pour trinquer avec son subalterne et amant, elle ne l’approche pas davantage que la bienséance ne le permettrait. Ce soir, il n’est pas question de laisser voir son affection, aussi triste ce constat soit-il.
« La fragrance des fleurs de nuit est agréable, ne trouvez-vous pas ? » Plus légère que les effluves de parfums de toutes ces dames. Eve n’appréciait guère ces odeurs en ces temps estivaux, alors elle ne pouvait qu’imaginer le désagrément que cela devait procurer à son cher et tendre.
« Antoine ne vous a pas suivi ? L’avez-vous laissé avec… votre amie ? »
Oh, il n’y a pas de fiel dans ce propos. Mais la curiosité dans son regard est sincère. Bleu contre bleu, eux deux ne peuvent plus rien se cacher désormais. Levant le regard vers le balcon, Victoire semble toujours en compagnie sûre… Au moins les lieux semblaient ne pas présenter de danger… Pour le moment.
@Gabriel de Sercey & mention de @Hermance de Navarre
Mer 8 Sep - 14:22
La réflexion lui arracha un sourire amusé et c'est bien volontiers qu'il trinque avec Harcourt en cette soirée tranquille.
- Oui, vous avez raison. Bien que je ne perçoive aucun Belle-de-nuit dans ces jardins. C'est dommage, il parait que leur parfum est envoutant, fit-il, avant qu'un léger rire ne lui échappe.
Il y avait bien autre chose qui lui faisait apprécier l'endroit instantanément mais il ne piperait mot à ce sujet. Son regard intercepta celui d'Eve et il tourna, un peu curieux, la tête dans la même direction pour apercevoir la Reine en personne...En un cruel rappel également que les écarts n'étaient pas permis.
- Non, il est resté discuter, j'ai du m'éclipser assez rapidement : le mélange des odeurs et des sons m'a forcé à la retraite, souffla-t-il doucement.
A le couvrir, comme à son habitude. Le marquis n'avait jamais nié l'importance qu'avait son ami d'enfance de toute façon. Un rapide coup d’œil pour être certain qu'ils n'était pas le centre d'attention, et il laissa un pauvre sourire se dessiner sur ses lèvres.
- Antoine a les épaules plus solides qu'il n'en a l'air. Je ne m'en fais pas trop à son sujet. Du moins pas pour ça.
Mais déjà il se reprenait, tandis que l'air frais balayait le sucre et que la voix d'Eve apaisait son esprit.
- Mais cela reste entre nous, plaisanta-t-il.
- Oui, vous avez raison. Bien que je ne perçoive aucun Belle-de-nuit dans ces jardins. C'est dommage, il parait que leur parfum est envoutant, fit-il, avant qu'un léger rire ne lui échappe.
Il y avait bien autre chose qui lui faisait apprécier l'endroit instantanément mais il ne piperait mot à ce sujet. Son regard intercepta celui d'Eve et il tourna, un peu curieux, la tête dans la même direction pour apercevoir la Reine en personne...En un cruel rappel également que les écarts n'étaient pas permis.
- Non, il est resté discuter, j'ai du m'éclipser assez rapidement : le mélange des odeurs et des sons m'a forcé à la retraite, souffla-t-il doucement.
A le couvrir, comme à son habitude. Le marquis n'avait jamais nié l'importance qu'avait son ami d'enfance de toute façon. Un rapide coup d’œil pour être certain qu'ils n'était pas le centre d'attention, et il laissa un pauvre sourire se dessiner sur ses lèvres.
- Antoine a les épaules plus solides qu'il n'en a l'air. Je ne m'en fais pas trop à son sujet. Du moins pas pour ça.
Mais déjà il se reprenait, tandis que l'air frais balayait le sucre et que la voix d'Eve apaisait son esprit.
- Mais cela reste entre nous, plaisanta-t-il.
- Résumé:
- MAIS QUELLE TORTURE!!!!
Mer 8 Sep - 15:18
@Gabriel de Sercey @Adam de Harcourt
Un rire lui répond, peu surprise de tout ceci, plus encore de ces fleurs qu’il mentionne comme par nostalgie. Au moins, eux deux savaient se suffire sans peine. Et si elle devait avouer qu’elle aurait préféré danser à ses côtés plutôt que jouer les soldats, elle saurait se contenter de l’avoir simplement à ses côtés. Peut-être ce soir trouvera-t-elle à se faire pardonner lorsque la soirée sera terminée.
« Il est donc bien plus courageux que je ne le suis. » Cette femme avait l’ingrate tendance de brosser le maréchal à rebrousse-poil. Et Dieu seul savait qu’elle n’appréciait guère être mal léchée. « Mais ne vous en faites pas, je n’oserai pas incommoder l’un de mes chers amis. »
Pour le reste, sûrement pourrait-elle survivre jusqu’à ce soir. Elle tenterait simplement de ne pas se laisser indisposer par l’oppressante Duchesse de Navarre. Peu importe, elle ne voulait pas s’appesantir sur ce qui pourrait lui déplaire. S’éclaircissant la voix, elle reprend, plus curieuse.
« Avez-vous eu l’occasion de rencontrer mon frère ? Peut-être cette soirée serait le moment opiné pour vous présenter. » Une pause et elle hésite à tremper ses lèvres dans son verre avant de secouer doucement la tête. Rester lucide serait plus judicieux.
« Ceci étant je ne serais que peu surpris s’il venait à nous retrouver de son propre fait. » Un sourire tendre et elle avoue, plus douce, sans aucun doute par la fierté naturelle d’être la sœur de son adelphe. « Il ne sait que peu passer inaperçu. »
« Il est donc bien plus courageux que je ne le suis. » Cette femme avait l’ingrate tendance de brosser le maréchal à rebrousse-poil. Et Dieu seul savait qu’elle n’appréciait guère être mal léchée. « Mais ne vous en faites pas, je n’oserai pas incommoder l’un de mes chers amis. »
Pour le reste, sûrement pourrait-elle survivre jusqu’à ce soir. Elle tenterait simplement de ne pas se laisser indisposer par l’oppressante Duchesse de Navarre. Peu importe, elle ne voulait pas s’appesantir sur ce qui pourrait lui déplaire. S’éclaircissant la voix, elle reprend, plus curieuse.
« Avez-vous eu l’occasion de rencontrer mon frère ? Peut-être cette soirée serait le moment opiné pour vous présenter. » Une pause et elle hésite à tremper ses lèvres dans son verre avant de secouer doucement la tête. Rester lucide serait plus judicieux.
« Ceci étant je ne serais que peu surpris s’il venait à nous retrouver de son propre fait. » Un sourire tendre et elle avoue, plus douce, sans aucun doute par la fierté naturelle d’être la sœur de son adelphe. « Il ne sait que peu passer inaperçu. »
@Gabriel de Sercey @Adam de Harcourt
Mer 8 Sep - 21:39
Gabriel pencha légèrement la tête sur le côté, sentant bien que le sujet devenait un peu épineux mais ce n’était ni le lieu, ni le moment, pour poser des questions à ce sujet.
- Je sais, fit-il simplement.
Vraiment, il se risquerait peut-être à demander ce qui pouvait bien coincer entre les deux femmes et dans le même temps… Voulait-il vraiment savoir ?
- Mhhh… fit-il, pensif, Non, je n’ai pas souvenir d’avoir vu quelqu’un vous ressemblant. Il n’est pas passé par le buffet. Mais je serais honoré de le rencontrer.
Ceci étant dit, il lui semblait que la jeune femme les avait mis en garde plus qu’autre chose sur cet homme. Il restait tout de même de la famille de sa compagne et c’était une simple raison qui pourrait pousser à faire des efforts. Quand bien même il aurait affaire à un second vampire.
- Les jardins ne sont pas vraiment le meilleur endroit s’il veut se montrer. J’ose supposer qu’il doit être dans le carré des dames, n’est-ce pas ?
Une pause. Il en profita pour prendre une gorgée de sa propre boisson tandis que le loup grondait toujours à l’intérieur de son esprit. Et qu’il percevait aussi les éclats de voix en provenance du balcon. Une voix qu'il avait déjà entendu. Il fit rouler ses épaules.
- Accordez-moi quelques minutes et je pourrais retourner à l’intérieur.
@Eve de Harcourt + mention de @Hélène de Constantinople- Je sais, fit-il simplement.
Vraiment, il se risquerait peut-être à demander ce qui pouvait bien coincer entre les deux femmes et dans le même temps… Voulait-il vraiment savoir ?
- Mhhh… fit-il, pensif, Non, je n’ai pas souvenir d’avoir vu quelqu’un vous ressemblant. Il n’est pas passé par le buffet. Mais je serais honoré de le rencontrer.
Ceci étant dit, il lui semblait que la jeune femme les avait mis en garde plus qu’autre chose sur cet homme. Il restait tout de même de la famille de sa compagne et c’était une simple raison qui pourrait pousser à faire des efforts. Quand bien même il aurait affaire à un second vampire.
- Les jardins ne sont pas vraiment le meilleur endroit s’il veut se montrer. J’ose supposer qu’il doit être dans le carré des dames, n’est-ce pas ?
Une pause. Il en profita pour prendre une gorgée de sa propre boisson tandis que le loup grondait toujours à l’intérieur de son esprit. Et qu’il percevait aussi les éclats de voix en provenance du balcon. Une voix qu'il avait déjà entendu. Il fit rouler ses épaules.
- Accordez-moi quelques minutes et je pourrais retourner à l’intérieur.
Jeu 9 Sep - 1:17
L’éclat de voix de la dame de Constantinople a le mérite de gagner toute son attention même pour un bref instant. Oh, voilà que désormais la suite de la reine elle-même commençait à jaser. N'avaient-elles pas conscience que même aux oreilles des non initiés, leur discussion serait perçue ?
Eve secoue la tête et s’impose de ne pas écouter davantage. Malgré elle, l’idée de trouver cet homme et de forcer le destin s’imposait à ses sens. Protéger la vertu et la maigre approbation du peuple à l’égard de Victoire était un enjeu majeur. Ah- elle s’était laissée distraire.
Battant des cils, elle adresse un sourire désolé à Gabriel. Autant pour son inattention que la certitude qu’il devait sincèrement trouver peine à naviguer entre tous ces stimuli à ses sens. Une hésitation et le maréchal sort doucement son mouchoir finement pressé de la poche intérieure de sa veste. Le glissant au creux de la main du loup elle lui souffle, trop bas pour être entendue de nul autre que lui.
« Peut-être pourrez-vous palier à ces odeurs en y apposant la mienne. » Elle ne voulait que le voir soulagé. Même un bref instant. Le geste n’aurait rien de choquant. Un mouchoir n’était qu final que ça…
« Pour le reste il n’y a pas de hâte. Je ne doute aucunement qu’Adam aura trouvé charmante compagnie en mon absence. Respirez tout ce qu’il se doit. Je ne m’en irais pas. »
Du moins elle ne l’espérait pas.
@Gabriel de Sercey & mention de @Hélène de Constantinople @Victoire de FranceEve secoue la tête et s’impose de ne pas écouter davantage. Malgré elle, l’idée de trouver cet homme et de forcer le destin s’imposait à ses sens. Protéger la vertu et la maigre approbation du peuple à l’égard de Victoire était un enjeu majeur. Ah- elle s’était laissée distraire.
Battant des cils, elle adresse un sourire désolé à Gabriel. Autant pour son inattention que la certitude qu’il devait sincèrement trouver peine à naviguer entre tous ces stimuli à ses sens. Une hésitation et le maréchal sort doucement son mouchoir finement pressé de la poche intérieure de sa veste. Le glissant au creux de la main du loup elle lui souffle, trop bas pour être entendue de nul autre que lui.
« Peut-être pourrez-vous palier à ces odeurs en y apposant la mienne. » Elle ne voulait que le voir soulagé. Même un bref instant. Le geste n’aurait rien de choquant. Un mouchoir n’était qu final que ça…
« Pour le reste il n’y a pas de hâte. Je ne doute aucunement qu’Adam aura trouvé charmante compagnie en mon absence. Respirez tout ce qu’il se doit. Je ne m’en irais pas. »
Du moins elle ne l’espérait pas.
Ven 10 Sep - 6:59
Il lui faut bien toute sa retenue pour ne pas broncher lorsque le morceau de tissu fut glissé dans sa main. Et tout autant pour ne pas le porter directement au nez. Ses doigts se refermèrent sur le mouchoir, le capturant au creux de sa main.
- Merci.
Son visage se fit plus doux l’espace d’un instant, tandis que d’un mouvement, il ramenait le tissu vers sa veste, décidé à y glisser le précieux objet, non sans l’avoir passé assez prêt pour pouvoir en saisir le parfum léger et caractéristique.
- Vous êtes bien trop bon avec moi mais il va tout de même falloir que je me résigne. Il serait dommage de rater les festivités.
L’idée était tentante. Très tentante. Tout comme proposer à Eve de débuter sans attendre les autres et de danser en sa compagnie.
Pourtant il ne bougeait pas plus qu’elle.
- Si vos obligations ne vous retiennent pas, souffle-t-il, en référence à la présence proche et certaine de la reine, je serais ravi de faire la rencontre de votre frère Maréchal.
En vrai, il était plutôt mitigé sur la question, mais il ne dénierait pas Eve.
@Eve de Harcourt- Merci.
Son visage se fit plus doux l’espace d’un instant, tandis que d’un mouvement, il ramenait le tissu vers sa veste, décidé à y glisser le précieux objet, non sans l’avoir passé assez prêt pour pouvoir en saisir le parfum léger et caractéristique.
- Vous êtes bien trop bon avec moi mais il va tout de même falloir que je me résigne. Il serait dommage de rater les festivités.
L’idée était tentante. Très tentante. Tout comme proposer à Eve de débuter sans attendre les autres et de danser en sa compagnie.
Pourtant il ne bougeait pas plus qu’elle.
- Si vos obligations ne vous retiennent pas, souffle-t-il, en référence à la présence proche et certaine de la reine, je serais ravi de faire la rencontre de votre frère Maréchal.
En vrai, il était plutôt mitigé sur la question, mais il ne dénierait pas Eve.
Ven 10 Sep - 12:16
Résumé : Igna-cute @Ignacio Hernandez + mention viteuf de @Eve de Harcourt @Gabriel de Sercey
Merill s’était attendue à bien des choses de la part d’Ignacio, mais pas qu’il prenne de lui-même un ticket de son pochon pour s’en emparer. La surprise passée, elle ne put que rire à gorge déployée. « Eh bien, mon cher pirate, voici une galanterie dont je ne vous croyais pas capable ! »
Elle essuya le rebord de ses yeux pour en chasser les résidus de larmes et lui offrit un beau sourire. « Ce serait avec plaisir, évidemment… » Ses yeux se plantèrent vers le sol, comme si la timidité avait eu raison d’elle. « Merci, Ignacio. »
Laissant leur intimité aux deux autres personnes ici présentes, Merill avait maintenant presque hâte d’entendre la musique du premier tour. « Tu crois que je peux planter le premier cavalier ? Après tout ce n’est pas moi qui l’ait choisi donc… »
Résumé : Igna-cute @Ignacio Hernandez + mention viteuf de @Eve de Harcourt @Gabriel de Sercey
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