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Dim 24 Oct - 16:16
Caelestis se sentit bien marri d'avoir fait sursauter la jeune soeur, mais la suivit religieusement sans rien dire de plus. Le hasard voulu qu'elle le mena directement vers Soeur Iris, laquelle était visiblement très affairée. Mais sa venue, une fois encore, sembla jeter la gêne sur sa vis à vis. "N'ayez crainte, Soeur Iris, c'est déjà beaucoup plus que ce que j'espérais. Vous auriez pu me laisser dormir sous un arbre, à la belle étoile et vous ne l'avez pas fait. Mille merci, ma soeur, ce sera plus que parfait."
Il n'exagérait en rien et était parfaitement reconnaissant pour l'effort fourni à son confort. Un sourire pour auréoler le tout et il patienta pour être sûr de n'avoir pas gêné Soeur Iris.
Lun 25 Oct - 15:53
Elle accueille les mots de Soeur Ludivine avec un sourire. Cette dernière semble plus détendue à présent. Néanmoins, Néphélie n'envisage pas en tirer avantage. Elle se contente donc de la suivre jusque dans la chapelle où, sur ses indications, elle s'emploie à trouver un livre sous sa propre place.
S'agenouillant ensuite, elle s'imprègne de l'atmosphère et joins doucement les mains, avant de baisser la tête pour prier.
« Que le Père, le Fils et le Saint-Esprit, la Sainte Trinité tout entière descendent sur nous...
Que la Vierge Immaculée, les sept Archanges qui se tiennent en présence de Dieu et tous les choeurs célestes, les saints et les saintes du Paradis se penchent sur nous... Investissez-nous, Seigneur, transformez-nous, remplissez-nous de Vous, servez-Vous de nous...
Chassez loin de nous toutes les forces du mal, anéantissez-les, détruisez-les, pour que nous puissions être en bonne santé et faire le bien...
Chassez loin de nous : les maléfices, les sorcelleries, la magie noire, les messes noires, les mauvais sorts, les liens, les malédictions, le mauvais oeil, l’infestation diabolique, la possession diabolique, l’obsession diabolique, tout ce qui est mal, péché, envie, jalousie, perfidie : la maladie physique, psychique, morale, spirituelle et diabolique...
Brûlez tous ces maux en enfer pour qu’ils ne nous accablent plus, ni aucune créature au monde. »
S'agenouillant ensuite, elle s'imprègne de l'atmosphère et joins doucement les mains, avant de baisser la tête pour prier.
« Que le Père, le Fils et le Saint-Esprit, la Sainte Trinité tout entière descendent sur nous...
Que la Vierge Immaculée, les sept Archanges qui se tiennent en présence de Dieu et tous les choeurs célestes, les saints et les saintes du Paradis se penchent sur nous... Investissez-nous, Seigneur, transformez-nous, remplissez-nous de Vous, servez-Vous de nous...
Chassez loin de nous toutes les forces du mal, anéantissez-les, détruisez-les, pour que nous puissions être en bonne santé et faire le bien...
Chassez loin de nous : les maléfices, les sorcelleries, la magie noire, les messes noires, les mauvais sorts, les liens, les malédictions, le mauvais oeil, l’infestation diabolique, la possession diabolique, l’obsession diabolique, tout ce qui est mal, péché, envie, jalousie, perfidie : la maladie physique, psychique, morale, spirituelle et diabolique...
Brûlez tous ces maux en enfer pour qu’ils ne nous accablent plus, ni aucune créature au monde. »
Mar 2 Nov - 21:51
Un rire léger échappe à la demoiselle qui lance un sourire rassurant à Guillaume.
« Ne craignez rien, nous prenons bien soin de nos patients ici. »
Elle se dirige dès lors vers un très imposant bahut prenant amplement la majorité du mur. On dirait presque que le meuble a été fait sur mesure, tant son envergure est imposante. De nombreux placards et tiroirs le composent, et c’est avec une certaine assurance qu’elle se met sur la pointe des pieds après avoir ouvert un placard assez haut placé, tentant du bout des doigts d’attraper un récipient.
[Lancez un dé, la narration reprendra par la suite.]
Iris semble rassurée de la remarque que vous lui faites et courbe doucement le dos pour vous signifier sa reconnaissance.
« Merci mon frère. J’ose espérer que votre ami le Duc de Bourgogne saura comprendre notre choix. Il est bien des choses que nous ne saurions nous permettre en ces lieux. »
Elle reprend sa tâche et semble tirer des draps sur vos futures couches, tournant autour des paillasses. Les tomettes de la pièce semblent un peu branlantes. Ce lieu n’est vraiment pas souvent utilisé, c’est une évidence.
[Lancez un dé, la narration reprendra par la suite.]
Votre temps de prière se joint à celui de sœur Ludivine. Elle aussi tient à sa main l’un des livres de prière et à vos côtés vous entendez sans peine la piété de ses louanges au Seigneur.
L’instant est plein de quiétude, et vous ne réaliserez pas que le chœur semble avoir terminé son office. Il n’y a désormais plus que vous deux dans la chapelle. Le soleil a pleinement décliné et seuls quelques candélabres éclairent encore les lieux.
Sœur Ludivine semble perdue à sa prière, voûtée contre l’appui du prie-Dieu.
Qu’allez-vous faire ?
Divine comédie
Guillaume
Un rire léger échappe à la demoiselle qui lance un sourire rassurant à Guillaume.
« Ne craignez rien, nous prenons bien soin de nos patients ici. »
Elle se dirige dès lors vers un très imposant bahut prenant amplement la majorité du mur. On dirait presque que le meuble a été fait sur mesure, tant son envergure est imposante. De nombreux placards et tiroirs le composent, et c’est avec une certaine assurance qu’elle se met sur la pointe des pieds après avoir ouvert un placard assez haut placé, tentant du bout des doigts d’attraper un récipient.
[Lancez un dé, la narration reprendra par la suite.]
Caelestis
Iris semble rassurée de la remarque que vous lui faites et courbe doucement le dos pour vous signifier sa reconnaissance.
« Merci mon frère. J’ose espérer que votre ami le Duc de Bourgogne saura comprendre notre choix. Il est bien des choses que nous ne saurions nous permettre en ces lieux. »
Elle reprend sa tâche et semble tirer des draps sur vos futures couches, tournant autour des paillasses. Les tomettes de la pièce semblent un peu branlantes. Ce lieu n’est vraiment pas souvent utilisé, c’est une évidence.
[Lancez un dé, la narration reprendra par la suite.]
Marie
Votre temps de prière se joint à celui de sœur Ludivine. Elle aussi tient à sa main l’un des livres de prière et à vos côtés vous entendez sans peine la piété de ses louanges au Seigneur.
L’instant est plein de quiétude, et vous ne réaliserez pas que le chœur semble avoir terminé son office. Il n’y a désormais plus que vous deux dans la chapelle. Le soleil a pleinement décliné et seuls quelques candélabres éclairent encore les lieux.
Sœur Ludivine semble perdue à sa prière, voûtée contre l’appui du prie-Dieu.
Qu’allez-vous faire ?
—Continuer à prier quand bien même vous n’avez rien à ajouter au Seigneur.
—Profiter de l’absence de toute autre âme que Ludivine en ces lieux pour inspecter la chapelle.
—Quitter les lieux sans prévenir Ludivine.
Mar 2 Nov - 21:55
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Mar 2 Nov - 22:02
La jeune sœur semble perdre l’équilibre mais vous le réalisez avant que les choses ne tournent au vinaigre. Vos réflexes sont suffisants pour que vous parveniez à attraper pour elle le flacon qu’elle semblait vouloir récupérer.
Rien ne se brise au sol, nul n’embrasse passionnément le plancher suite à une malencontreuse chute. Cependant, en vous approchant pour sauver la situation, vous semblez réaliser qu’ici, le sol est recouvert de ce qui pourrait être un tapis.
Divine comédie
Guillaume
La jeune sœur semble perdre l’équilibre mais vous le réalisez avant que les choses ne tournent au vinaigre. Vos réflexes sont suffisants pour que vous parveniez à attraper pour elle le flacon qu’elle semblait vouloir récupérer.
Rien ne se brise au sol, nul n’embrasse passionnément le plancher suite à une malencontreuse chute. Cependant, en vous approchant pour sauver la situation, vous semblez réaliser qu’ici, le sol est recouvert de ce qui pourrait être un tapis.
Mar 2 Nov - 22:25
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Mar 2 Nov - 22:28
La sœur n'était pas vexée par sa remarque qui avait plutôt eu le don de l'amuser. Rapidement, il lui répondit pour faire bonne figure :
- Je ne crains rien ma sœur, je ne doute pas de vos bons soins et de votre bienveillance. Je constate tout cela, d'ailleurs.
Sans se laisser déconcentrée, d'un geste sûr, elle trouva ce qu'elle cherchait dans un meuble a la taille remarquable et aux divers rangements. Elle n'avait qu'à se hisser sur la pointe des pieds et tendre le bout des doigts pour l'atteindre. Le Duc s'avança, pensant utiliser sa taille largement plus grande pour attraper avec aisance ce qu'elle désirait, mais voilà que le récipient chutait. Malgré son état nauséeux, Guillaume conserva son esprit vif et ses gestes dépassèrent ses pensées en rapidité. Il parvint à éviter que le récipient ne se brise au sol. Il jeta un œil vers la sœur et s'enquit de son état :
- Un étourdissement ma sœur ? N'hésitez pas à me demander ce genre de choses, si je peux vous aider... Malgré ce tapis, je doute que ceci aurait survécu à la chute. Dit-il en désignant le fameux récipient et en regardant le tapis qu'il trouvait tout particulièrement immonde.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
- Je ne crains rien ma sœur, je ne doute pas de vos bons soins et de votre bienveillance. Je constate tout cela, d'ailleurs.
Sans se laisser déconcentrée, d'un geste sûr, elle trouva ce qu'elle cherchait dans un meuble a la taille remarquable et aux divers rangements. Elle n'avait qu'à se hisser sur la pointe des pieds et tendre le bout des doigts pour l'atteindre. Le Duc s'avança, pensant utiliser sa taille largement plus grande pour attraper avec aisance ce qu'elle désirait, mais voilà que le récipient chutait. Malgré son état nauséeux, Guillaume conserva son esprit vif et ses gestes dépassèrent ses pensées en rapidité. Il parvint à éviter que le récipient ne se brise au sol. Il jeta un œil vers la sœur et s'enquit de son état :
- Un étourdissement ma sœur ? N'hésitez pas à me demander ce genre de choses, si je peux vous aider... Malgré ce tapis, je doute que ceci aurait survécu à la chute. Dit-il en désignant le fameux récipient et en regardant le tapis qu'il trouvait tout particulièrement immonde.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
Mer 3 Nov - 21:46
Peut-être étiez-vous simplement en train de faire du sur place, ou juste aviez-vous l’intention de l’aider ou de lui laisser de l’espace ? Peu importe la raison, lorsque vous bougez l’un de vos pieds, une tomette un peu branlante sous votre poids laisse un important dénivelé au sol… Et par l’opération du saint esprit, à défaut de vous ramasser glorieusement sur le sol seul, vous entraînez Iris dans votre chute.
Un cri lui échappe, trop étouffé pour attirer l’attention de tous, mais bien assez pour vous révéler son malaise évident, à l’instar de la couleur carmin qui s’étire sur ses joues. Elle a même relevé ses deux mains sur son visage pour se cacher.
A l’instant présent, vous êtes tous les deux au sol, de la paille et les draps fraîchement installés en un voilage curieux sur l’entremêlé de vos deux personnes sur au sol. Bravo les vœux de chasteté…
Divine comédie
Caelestis
Peut-être étiez-vous simplement en train de faire du sur place, ou juste aviez-vous l’intention de l’aider ou de lui laisser de l’espace ? Peu importe la raison, lorsque vous bougez l’un de vos pieds, une tomette un peu branlante sous votre poids laisse un important dénivelé au sol… Et par l’opération du saint esprit, à défaut de vous ramasser glorieusement sur le sol seul, vous entraînez Iris dans votre chute.
Un cri lui échappe, trop étouffé pour attirer l’attention de tous, mais bien assez pour vous révéler son malaise évident, à l’instar de la couleur carmin qui s’étire sur ses joues. Elle a même relevé ses deux mains sur son visage pour se cacher.
A l’instant présent, vous êtes tous les deux au sol, de la paille et les draps fraîchement installés en un voilage curieux sur l’entremêlé de vos deux personnes sur au sol. Bravo les vœux de chasteté…
Lun 15 Nov - 15:57
Elle n'a rien à ajouter. Sa prière terminée, Néphélie laisse son regard glisser vers Soeur Ludivine. Elle n'a pas l'intention de gêner à son recueillement. Aussi et tandis que la religieuse garde son esprit pieusement tourné vers le Seigneur, l'albinos choisit de découvrir les lieux. Discrètement, elle quitte le banc de prière. Ses pas se font silencieux alors qu'elle remonte l'allée centrale de la chapelle. Elle ne touche à rien, mais observe. Lève les yeux pour admirer la voûte, s'intéresse à l'autel et continue de tranquillement explorer l'endroit, cherchant, comme souvent à s'imprégner de son atmosphère pour se sentir un peu plus proche de Dieu.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Guillaume de Bourgogne
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Guillaume de Bourgogne
Mar 16 Nov - 21:19
Il n’avait pas compris ce qui s’était passé alors qu’il avait simplement amorcé un pas dans la direction de Sœur Iris pour lui venir en aide – hors de question de laisser la jeune femme faire sa couche seule. Mais par un concours de malchance, non seulement Caelestis tomba à la renverse, mais comble de la gaffe, il entraîna la pauvre jeune femme avec lui.
Le cri de la blonde se répercuta sur les murs et lorsque Caelestis comprit où était le problème, il ne tarda pas à se redresser prestement. « Toutes mes excuses, ma sœur ! Je ne souhaitais pas vous mettre en pareille situation. » De nouveau debout, l’homme du nord proposa sa main sa consœur religieuse et s’assura d’avoir de bons appuis sur ses jambes, cette fois. Retomber une deuxième fois ? Non merci.
« Je vais m’éloigner et vous laisser terminer, si vous préférez. Navré de n’avoir pu vous être d’un quelconque secours, vraiment… » Il se sentait vraiment inutile.
Sam 20 Nov - 18:34
Votre sauvetage est vu avec beaucoup d’admiration avant qu’elle ne rougisse brusquement à la remarque. Encore faut-il être certain de quelle partie la fit réagir de la sorte…
« O-oh non… Je… Je suis simplement étourdie… L-le tapis a été placé ici p-pour cette raison. »
Un regard vers le sol, puis elle relève précipitamment les yeux sur Guillaume et ose prendre la fiole d’entre ses mains. Leurs doigts s’effleurent et elle s’en excuse prestement avant de reprendre le chandelier en main et de lui indiquer prudemment, une main tirant doucement sur la manche du duc pour l’éloigner du grand meuble.
« Si vous me permettez… A-asseyez-vous juste ici, l’odeur de cette plante est très potent et je ne voudrais pas que vous vous sentiez mal. »
Le guidant jusqu’à l’assise à quelques pas de là, elle récupère un linge blanc et y imprègne une certaine quantité du produit de la fiole avant de lui tendre.
« Inspirez profondément plusieurs fois. S-si vous permettez, il serait également bon pour vous de l’appliquer sur votre nuque et le haut de votre dos… S-si vous m’en donnez la permission. »
Vous trouverez l’endroit particulièrement reposant. Ici, le mal ne semble pas avoir trouvé sa place, vous vous y sentez même à votre aise, comme un cocon rassurant.
Au niveau de l’autel, vous n’apercevez rien d’étrange ou hors du commun.
Qu’allez-vous faire ?
Malgré votre preste retrait, sœur Iris semble visiblement secouée, les joues brûlantes avant de signer à plusieurs reprises en s’excusant non pas au Seigneur mais à un autre nom que vous ne saisissez qu’à moitié… Serait-ce Earl… ?
Elle finit pourtant par se redresses, à genou sur le sol, les draps en partie défaits des paillasses et elle vous implore doucement.
« J-je vais me hâter. N-ne vous excusez pas mon f-frère. »
Lorsque vous sortez de la petite pièce qui vous servira bientôt de chambre, vous tombez nez à nez avec plusieurs sœurs visiblement très curieuses et attirées par le précédent cri d’Iris…
« Que s’est-il passé ? »
« Seigneur, aurait-il osé- »
« Oh Seigneur. »
Toutes les sœurs se hâtent de signer, semblant particulièrement inquiètes face à Caelestis… Oh l’impie.
Divine comédie
Guillaume
Votre sauvetage est vu avec beaucoup d’admiration avant qu’elle ne rougisse brusquement à la remarque. Encore faut-il être certain de quelle partie la fit réagir de la sorte…
« O-oh non… Je… Je suis simplement étourdie… L-le tapis a été placé ici p-pour cette raison. »
Un regard vers le sol, puis elle relève précipitamment les yeux sur Guillaume et ose prendre la fiole d’entre ses mains. Leurs doigts s’effleurent et elle s’en excuse prestement avant de reprendre le chandelier en main et de lui indiquer prudemment, une main tirant doucement sur la manche du duc pour l’éloigner du grand meuble.
« Si vous me permettez… A-asseyez-vous juste ici, l’odeur de cette plante est très potent et je ne voudrais pas que vous vous sentiez mal. »
Le guidant jusqu’à l’assise à quelques pas de là, elle récupère un linge blanc et y imprègne une certaine quantité du produit de la fiole avant de lui tendre.
« Inspirez profondément plusieurs fois. S-si vous permettez, il serait également bon pour vous de l’appliquer sur votre nuque et le haut de votre dos… S-si vous m’en donnez la permission. »
Marie
Vous trouverez l’endroit particulièrement reposant. Ici, le mal ne semble pas avoir trouvé sa place, vous vous y sentez même à votre aise, comme un cocon rassurant.
Au niveau de l’autel, vous n’apercevez rien d’étrange ou hors du commun.
Qu’allez-vous faire ?
—Retourner prier.
—Quitter la chapelle seule.
—Inspecter davantage la chapelle. [Lancez un dé]
Caelestis
Malgré votre preste retrait, sœur Iris semble visiblement secouée, les joues brûlantes avant de signer à plusieurs reprises en s’excusant non pas au Seigneur mais à un autre nom que vous ne saisissez qu’à moitié… Serait-ce Earl… ?
Elle finit pourtant par se redresses, à genou sur le sol, les draps en partie défaits des paillasses et elle vous implore doucement.
« J-je vais me hâter. N-ne vous excusez pas mon f-frère. »
Lorsque vous sortez de la petite pièce qui vous servira bientôt de chambre, vous tombez nez à nez avec plusieurs sœurs visiblement très curieuses et attirées par le précédent cri d’Iris…
« Que s’est-il passé ? »
« Seigneur, aurait-il osé- »
« Oh Seigneur. »
Toutes les sœurs se hâtent de signer, semblant particulièrement inquiètes face à Caelestis… Oh l’impie.
Sam 20 Nov - 18:51
Bien qu’il se sache particulièrement séduisant naturellement, le Duc s’étonne que cette sœur soit autant intimidée. Enfin, il met cela sur le compte de la solitude et du huis clos entre femmes. Forcément, un Apollon comme lui qui débarque, cela réveille des pensées qui ne concernent pas seulement le Seigneur.
Il jeta un œil suspicieux à la carpette, ne voyant pas comme il pourrait empêcher quelques drames si cette sœur est en effet aussi maladroite que ce qu’il a put voir. Ses prunelles reviennent vers elle lorsqu’elle frôle sa main pour prendre la fiole. Il en aurait presque un frisson de dégoût. Un effet secondaire de sa nausée ? Son dégoût naturel pour les contacts physiques, surtout ceux qu’il ne provoque pas lui même ? Sous prétexte de ne pas davantage la gêner par sa présence, il fait un pas en arrière, avant de nouveau d’être touchée par la nonne. Mais dis donc, c’est que la solitude lui pèse ? Ah non, elle souhaite seulement lui désigner une chaise sur laquelle s’asseoir et le Duc s’exécute, rassuré de constater qu’il ne subit pas un assaut sensuel de la religieuse.
Pouvait-il se sentir plus mal qu’actuellement avec sa nausée ? Sincèrement, il en doutait. Néanmoins, l’idée de totalement céder et de ruiner le tapis au sol par en renvoi ne lui plaisait guère. Bon, puisque la sœur désirait tant le toucher, il supposait qu’il n’avait pas le choix… Après avoir inspiré plusieurs fois le linge, comme elle le lui avait conseillé, il se tourna sur la chaise, se dégagea de sa veste et… avec beaucoup d’appréhension, il déboutonna les premiers boutons de sa chemise. Hors de question de l’ôter, cela serait bien trop pour lui. La sœur devrait passer les mains dans l’espace que permettaient ces boutons non noués. Il voulait bien faire un effort, afin de se sentir mieux, mais ce serait trop lui demander que de quitter sa chemise devant elle, de la laisser regarder sa peau et d’y toucher. Vomir serait une option bien plus séduisante.
- Et bien… Je vous en prie… Je suppose…
Le malaise. Il avait envie de crever. Ce qu’il ne fallait pas faire pour cette foutue mission et son désir de gratter de la popularité !
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
Il jeta un œil suspicieux à la carpette, ne voyant pas comme il pourrait empêcher quelques drames si cette sœur est en effet aussi maladroite que ce qu’il a put voir. Ses prunelles reviennent vers elle lorsqu’elle frôle sa main pour prendre la fiole. Il en aurait presque un frisson de dégoût. Un effet secondaire de sa nausée ? Son dégoût naturel pour les contacts physiques, surtout ceux qu’il ne provoque pas lui même ? Sous prétexte de ne pas davantage la gêner par sa présence, il fait un pas en arrière, avant de nouveau d’être touchée par la nonne. Mais dis donc, c’est que la solitude lui pèse ? Ah non, elle souhaite seulement lui désigner une chaise sur laquelle s’asseoir et le Duc s’exécute, rassuré de constater qu’il ne subit pas un assaut sensuel de la religieuse.
Pouvait-il se sentir plus mal qu’actuellement avec sa nausée ? Sincèrement, il en doutait. Néanmoins, l’idée de totalement céder et de ruiner le tapis au sol par en renvoi ne lui plaisait guère. Bon, puisque la sœur désirait tant le toucher, il supposait qu’il n’avait pas le choix… Après avoir inspiré plusieurs fois le linge, comme elle le lui avait conseillé, il se tourna sur la chaise, se dégagea de sa veste et… avec beaucoup d’appréhension, il déboutonna les premiers boutons de sa chemise. Hors de question de l’ôter, cela serait bien trop pour lui. La sœur devrait passer les mains dans l’espace que permettaient ces boutons non noués. Il voulait bien faire un effort, afin de se sentir mieux, mais ce serait trop lui demander que de quitter sa chemise devant elle, de la laisser regarder sa peau et d’y toucher. Vomir serait une option bien plus séduisante.
- Et bien… Je vous en prie… Je suppose…
Le malaise. Il avait envie de crever. Ce qu’il ne fallait pas faire pour cette foutue mission et son désir de gratter de la popularité !
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Sam 20 Nov - 18:56
La culpabilité piquait du bout de ses doigts le derme du nordique. Toutefois, il savait aussi ne rien pouvoir faire de plus pour le moment. Aussi, notant tout de même ce qu’il avait cru entendre – Earl ? -, il sorti de la remise pour laisser Sœur Iris se remettre de ses émotions.
Les commentaires des autres sœurs, qu’il croisa en chemin, n’eurent rien pour lui plaire mais Caelestis n’irait pas les voir pour essayer de se justifier, cela ne risquait que de le faire passer pour un suspect. Et puis il ne voulait pas troubler la quiétude des lieux.
Ainsi, il se dirigea vers la chapelle où il vit la silhouette de sa consœur de l’Eglise Souterraine. Caelestis lui adressa un signe de tête et se mit en position de prière, ne souhaitant pas déranger la jeune femme si elle s’affairait elle aussi à communier avec le Seigneur.
Sam 20 Nov - 19:07
Je vais prendre le partie d'inspecter un peu plus les lieux... Comme on s'y sent bien
Sam 20 Nov - 19:07
Le membre 'Marie d'Ambialet' a effectué l'action suivante : Combats
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Dim 21 Nov - 19:53
La jeune sœur semble soulagée que vous acceptiez son aide et vous contourne en s’excusant prestement du dérangement. Rien de désagréable pour le commun des mortels. Vous sentez le tissu tamponner votre peau au niveau de votre nuque et du haut de votre dos. La sensation est un peu froide et humide, sans surprise lorsque l’on se fait appliquer un produit sur la peau.
A-t-elle seulement vérifié que la fiole était la bonne, dans cette pénombre…
L’odeur vous indispose, mais vous réalisez après quelques instants que la nausée persistante qui vous tenait depuis un moment n’est plus aussi proéminente.
Dans l’obscurité et ce silence gêné partagé, vous entendez au loin les geignements de douleur de ce que vous pourrez supposer être les patients dans les pièces adjacentes.
« V-voilà… J’ose espérer que ce remède saura alléger votre malaise. »
Il semblerait que vous puissiez désormais disposer si vous le souhaitez…
En redescendant de l’autel, vous apercevez la figure de Caelestis pénétrant dans la chapelle. Que vous décidiez ou non de l’approcher, en passant à proximité des bancs, vous réalisez qu’un livre de prière semble en piteux état.
Qu’allez-vous faire ?
Sûrement avez-vous bien fait de vous éloigner prestement. Vous entendrez la voix de Sœur Iris désamorçant les propos des autres sœurs tandis que vous vous éloignez vers la chapelle.
Le lieu vous semble tranquille. Vous y priez sans le moindre dérangement.
Qu’allez-vous faire ?
Divine comédie
Guillaume
La jeune sœur semble soulagée que vous acceptiez son aide et vous contourne en s’excusant prestement du dérangement. Rien de désagréable pour le commun des mortels. Vous sentez le tissu tamponner votre peau au niveau de votre nuque et du haut de votre dos. La sensation est un peu froide et humide, sans surprise lorsque l’on se fait appliquer un produit sur la peau.
A-t-elle seulement vérifié que la fiole était la bonne, dans cette pénombre…
L’odeur vous indispose, mais vous réalisez après quelques instants que la nausée persistante qui vous tenait depuis un moment n’est plus aussi proéminente.
Dans l’obscurité et ce silence gêné partagé, vous entendez au loin les geignements de douleur de ce que vous pourrez supposer être les patients dans les pièces adjacentes.
« V-voilà… J’ose espérer que ce remède saura alléger votre malaise. »
Il semblerait que vous puissiez désormais disposer si vous le souhaitez…
Marie
En redescendant de l’autel, vous apercevez la figure de Caelestis pénétrant dans la chapelle. Que vous décidiez ou non de l’approcher, en passant à proximité des bancs, vous réalisez qu’un livre de prière semble en piteux état.
Qu’allez-vous faire ?
—Retourner prier.
—Solliciter l’attention de Caelestis ou de Sœur Ludivine.
—Quitter la chapelle.
—Inspecter davantage le livre de prière. [Lancez un dé après rédaction de votre réponse]
Caelestis
Sûrement avez-vous bien fait de vous éloigner prestement. Vous entendrez la voix de Sœur Iris désamorçant les propos des autres sœurs tandis que vous vous éloignez vers la chapelle.
Le lieu vous semble tranquille. Vous y priez sans le moindre dérangement.
Qu’allez-vous faire ?
—Continuer de prier.
—Solliciter l’attention de Marie ou de Sœur Ludivine.
—Quitter la chapelle.
—Inspecter ce qui vous entoure. [Lancez un dé après rédaction de votre réponse]
Dim 21 Nov - 20:32
Fort heureusement, les gestes de la religieuse étaient respectueux, maîtrisés et à des années lumières d’être suspects. Le Duc ferma les yeux le temps qu’elle passe le linge sur sa nuque et le haut de son dos, essayant de détendre ses muscles. Sans doute s’était-elle rendue compte de la tension dans son corps et malheureusement, elle n’en était pas réellement responsable. Guillaume était ainsi et rien, personne, ou presque, n’avait le don de le changer. Au tout début, c’était tout simplement désagréable car l’odeur était assez épouvantable et il se demanda quelques instants si elle n’essayait pas de soigner le mal par le mal, en le poussant à céder face à la nausée. Puis ses narines semblèrent s’accoutumer et le mal commencer à se dissiper. Cette chose puante avait donc la qualité d’être efficace, il n’aurait pas parié dessus !
- Merci ma sœur, je ressens déjà les bénéfices de cette… chose… ? Qu’est-ce donc ?
Il garda le dos tourné, le temps de reboutonner sa chemise. Tant pis si la lotion utilisée tâche sa chemise, hors de question de se trimballer dans un lieu rempli de religieuses débraillé. Hors de question de le faire ailleurs, soit dit en passant. Une fois tous les boutons sagement noués, il enfila sa veste et se tourna de nouveau vers la religieuse. Il entendit des gémissements et autres plaintes et, dans une grand élan d’altruisme car plutôt satisfait de sentir la nausée s’en aller, il proposa :
- Puis-je vous apporter mon aide en échange ?
Proposer innocemment ne l’engagerait en rien. Les probabilités qu’elle mette en péril la vie du Duc en le mêlant à tous ces gueux malades et plein de germes étaient inexistantes, n’est-ce pas ? On le verrait seulement comme un brave proposant son aide mais que l’on oserait accepter car la tâche est bien trop indigne de sa personne ? N’est-ce… pas ?
J’ai peut-être fait une connerie.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
- Merci ma sœur, je ressens déjà les bénéfices de cette… chose… ? Qu’est-ce donc ?
Il garda le dos tourné, le temps de reboutonner sa chemise. Tant pis si la lotion utilisée tâche sa chemise, hors de question de se trimballer dans un lieu rempli de religieuses débraillé. Hors de question de le faire ailleurs, soit dit en passant. Une fois tous les boutons sagement noués, il enfila sa veste et se tourna de nouveau vers la religieuse. Il entendit des gémissements et autres plaintes et, dans une grand élan d’altruisme car plutôt satisfait de sentir la nausée s’en aller, il proposa :
- Puis-je vous apporter mon aide en échange ?
Proposer innocemment ne l’engagerait en rien. Les probabilités qu’elle mette en péril la vie du Duc en le mêlant à tous ces gueux malades et plein de germes étaient inexistantes, n’est-ce pas ? On le verrait seulement comme un brave proposant son aide mais que l’on oserait accepter car la tâche est bien trop indigne de sa personne ? N’est-ce… pas ?
J’ai peut-être fait une connerie.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
Dim 21 Nov - 20:53
Caelestis se mis à genoux et pria donc en long en large et en travers. La quiétude des lieux lui étant plaisante, il décida de poursuivre ses prières et donc, de ne pas se relever immédiatement. Que Dieu puisse guider son épée dans cette recherche de la source des tourments de cet endroit.
Résumé : Caelestis continue de prier.
Lun 22 Nov - 15:16
Toujours portée par ce que les lieux lui inspirent de sérénité, Néphélie flâne dans cet univers de reliques et de saintes représentations. La venue d'une nouvelle âme lui fait néanmoins relever les yeux et lorsqu'elle aperçoit Caelestis, elle ne peut s'empêcher de froncer les sourcils avec étonnement.
Elle avait cru comprendre qu'il souhaitait se reposer, mais le voilà qui s'installe dans la chapelle pour prier.
Intriguée, elle s'imagine qu'il a peut-être une information à partager. Elle quitte donc l'autel et s'engage dans l'allée centrale pour se diriger vers ce membre de l'église souterraine qu'elle ne connaît que peu.
Veillant à ne toutefois pas attirer l'attention par quelques attitudes trop cavalières, elle prend son temps. Machinalement, son regard survole les bancs de prière qui s'alignent de part et d'autre de la chapelle. Alors qu'elle est sur le point de rejoindre Caelestis, ses prunelles accrochent un un livre de prière à l'aspect insolite. Sans réellement savoir pourquoi, elle s'en empare et entreprend de le feuilleter.
(Lançons un dé !)
Elle avait cru comprendre qu'il souhaitait se reposer, mais le voilà qui s'installe dans la chapelle pour prier.
Intriguée, elle s'imagine qu'il a peut-être une information à partager. Elle quitte donc l'autel et s'engage dans l'allée centrale pour se diriger vers ce membre de l'église souterraine qu'elle ne connaît que peu.
Veillant à ne toutefois pas attirer l'attention par quelques attitudes trop cavalières, elle prend son temps. Machinalement, son regard survole les bancs de prière qui s'alignent de part et d'autre de la chapelle. Alors qu'elle est sur le point de rejoindre Caelestis, ses prunelles accrochent un un livre de prière à l'aspect insolite. Sans réellement savoir pourquoi, elle s'en empare et entreprend de le feuilleter.
(Lançons un dé !)
Lun 22 Nov - 15:16
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Sam 18 Déc - 15:26
Votre réaction semble ravir la jeune sœur en votre compagnie. Elle détourne prudemment le regard et vous laisse vous remettre en état et semble essuyer ses mains contre un autre tissu plus propre. Les bruits des lieux en lui échappent pas et elle adresse un sourire au jeune duc.
« Une concoction de plantes. Nous avons quelques jeunes consœurs ayant de bien intéressantes connaissances en termes d’herbologie. »
Elle n’en dit cependant pas plus avant de vous offrir un sourire.
« Ne vous inquiétez pas. Si les maux vous sont passés, il serait certainement judicieux d’aller prendre du repos. Notre mère supérieure devrait être de retour demain. Vous aurez bien des choses à entreprendre, je n’en doute point. »
Visiblement, elle n’est pas intéressée par votre aide. Ou peut-être a-t-elle quelque chose à cacher ? Elle s’empare d’un tissu blanc et le noue à son visage, comme un masque pour se couvrir de tout ce qui ne se voit pas à l’oeil humain. Elle vous tend la chandelle.
« Prenez-la, vous en aurez certainement l’utilité pour quitter cette pièce et rejoindre votre couche. Bonne nuit, Monsieur. »
Les gémissements s’amplifient, et en quelques pas, elle sort déjà du clair halo de lumière. Vous entendez ses pas quelques instants avant qu’un grincement de porte déconcertant ne laisse échapper davantage les sons des plaintes humaines. Un grand clac et le bruit semble rapidement cesser.
Qu’allez-vous faire ?
La prière vous laisse le luxe de retrouver votre calme. Vous oubliez un temps tous vos troubles et ressentez la sérénité vous envahir. Dieu est à vos côtés, vous en avez l’intime conviction.
Votre prospection vous laisse tranquille. Vous ne ressentez aucun malaise en ces lieux. Cependant, lorsque vous vous saisissez du livre de prière, si de prime abord il vous laisse dubitative… Vous trouvez rapidement des pages déchirées. Vous n’aurez pas le temps d’analyser quels passages qu’un petit bout de papier s’échappe d’entre les pages. Lorsque vous vous en saisirez, vous pourrez y lire comme suit :
La note n’est pas signée. A son dos, il n’y a aucune réponse. Est-ce une note oubliée ou peut-être toute récente… ?
Vous n’aurez pas le temps de vous interroger davantage que sœur Ludivine se redresse de sa prière et signe paisiblement avant de se tourner vers vous, un sourire plus tranquille aux lèvres.
Sœur Ludivine vous rejoint et n’ose pas interrompre la prière du blond, mais il entendra sans peine les propos qu’elle échange à l’albinos.
« La nuit est belle, et demain vous amènera les réponses à votre venue. Je crois que Dieu entend nos prières, ma sœur. Je crois que vous êtes ce qui permettra de préserver notre couvent de cette insanité. »
Sœur Ludivine vous ouvre le chemin pour quitter la chapelle. Vous pouvez la suivre ou rester ici. Il n’y a plus que vous deux en ces lieux, désormais.
Divine comédie
Guillaume
Votre réaction semble ravir la jeune sœur en votre compagnie. Elle détourne prudemment le regard et vous laisse vous remettre en état et semble essuyer ses mains contre un autre tissu plus propre. Les bruits des lieux en lui échappent pas et elle adresse un sourire au jeune duc.
« Une concoction de plantes. Nous avons quelques jeunes consœurs ayant de bien intéressantes connaissances en termes d’herbologie. »
Elle n’en dit cependant pas plus avant de vous offrir un sourire.
« Ne vous inquiétez pas. Si les maux vous sont passés, il serait certainement judicieux d’aller prendre du repos. Notre mère supérieure devrait être de retour demain. Vous aurez bien des choses à entreprendre, je n’en doute point. »
Visiblement, elle n’est pas intéressée par votre aide. Ou peut-être a-t-elle quelque chose à cacher ? Elle s’empare d’un tissu blanc et le noue à son visage, comme un masque pour se couvrir de tout ce qui ne se voit pas à l’oeil humain. Elle vous tend la chandelle.
« Prenez-la, vous en aurez certainement l’utilité pour quitter cette pièce et rejoindre votre couche. Bonne nuit, Monsieur. »
Les gémissements s’amplifient, et en quelques pas, elle sort déjà du clair halo de lumière. Vous entendez ses pas quelques instants avant qu’un grincement de porte déconcertant ne laisse échapper davantage les sons des plaintes humaines. Un grand clac et le bruit semble rapidement cesser.
Qu’allez-vous faire ?
—Examiner la pièce
—Quitter la pièce et chercher votre couche
—Quitter la pièce et explorer – indiquez quel lieu vous souhaitez approcher –
Caelestis
La prière vous laisse le luxe de retrouver votre calme. Vous oubliez un temps tous vos troubles et ressentez la sérénité vous envahir. Dieu est à vos côtés, vous en avez l’intime conviction.
Marie
Votre prospection vous laisse tranquille. Vous ne ressentez aucun malaise en ces lieux. Cependant, lorsque vous vous saisissez du livre de prière, si de prime abord il vous laisse dubitative… Vous trouvez rapidement des pages déchirées. Vous n’aurez pas le temps d’analyser quels passages qu’un petit bout de papier s’échappe d’entre les pages. Lorsque vous vous en saisirez, vous pourrez y lire comme suit :
« Il me tarde de te retrouver. Les nuits sont si longues lorsque tu n’es pas à mes côtés. Retrouvons-nous deux heures après la tombée de la nuit, là où le ciel, l’eau et la terre seront seuls témoins de notre amour. »
La note n’est pas signée. A son dos, il n’y a aucune réponse. Est-ce une note oubliée ou peut-être toute récente… ?
Vous n’aurez pas le temps de vous interroger davantage que sœur Ludivine se redresse de sa prière et signe paisiblement avant de se tourner vers vous, un sourire plus tranquille aux lèvres.
Marie & Caelestis
Sœur Ludivine vous rejoint et n’ose pas interrompre la prière du blond, mais il entendra sans peine les propos qu’elle échange à l’albinos.
« La nuit est belle, et demain vous amènera les réponses à votre venue. Je crois que Dieu entend nos prières, ma sœur. Je crois que vous êtes ce qui permettra de préserver notre couvent de cette insanité. »
Sœur Ludivine vous ouvre le chemin pour quitter la chapelle. Vous pouvez la suivre ou rester ici. Il n’y a plus que vous deux en ces lieux, désormais.
Sam 18 Déc - 20:58
Son mal avait été éloigné par des plantes. Cela manquait de précision, mais il valait peut-être mieux ne pas savoir lesquelles exactement, au risque de lui provoquer une crise de tocs et un besoin impérieux de se frotter le corps tout entier dans un bon bain. Il restera donc sur son avis : cette chose était efficace.
La sœur n’avait pas tord. Il avait fait un long voyage, subissait des maux et une attaque de puces, avait longuement sociabilisé malgré ses réticences. Du repos et du calme lui feraient le plus grand des biens, afin d’être en meilleure forme pour affronter le lendemain et son lot de surprises. Car au vu de ce début de mission, Guillaume ne s’attendait pas à simplement écouter une vieille religieuse parler de malédiction, pleurer le Seigneur et voir tout s’arranger par une prière à laquelle il ne croira pas.
- Bien, comme vous voudrez ma sœur. Bonne nuit également.
En même temps, il n’allait pas la supplier de lui permettre d’aller à la rencontre des mourants qui agonisaient bruyamment. La vue de son masque de protection de fortune lui rappela ô combien il avait en sainte horreur les germes. Fort heureusement, sa pulsion d’altruisme inexpliquée ne lui portait pas préjudice. Il prit en main le chandelier que lui tendait la sœur et attendit qu’elle quitte la pièce. Il grimaça en entendant les plaintes des patientes, suivies d’un grand silence. Curieux. Pour autant, il ne lui emboiterait certainement pas le pas. Par contre, il décida de s’approcher du grand buffet pour examiner, à l’aide de sa chandelle, les noms sur les différents bocaux et autres contenants, afin de voir s’il pourrait deviner quel genre de traitements les patients, ainsi que lui-même, ont reçu.
Guigui farfouille la pièce.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
La sœur n’avait pas tord. Il avait fait un long voyage, subissait des maux et une attaque de puces, avait longuement sociabilisé malgré ses réticences. Du repos et du calme lui feraient le plus grand des biens, afin d’être en meilleure forme pour affronter le lendemain et son lot de surprises. Car au vu de ce début de mission, Guillaume ne s’attendait pas à simplement écouter une vieille religieuse parler de malédiction, pleurer le Seigneur et voir tout s’arranger par une prière à laquelle il ne croira pas.
- Bien, comme vous voudrez ma sœur. Bonne nuit également.
En même temps, il n’allait pas la supplier de lui permettre d’aller à la rencontre des mourants qui agonisaient bruyamment. La vue de son masque de protection de fortune lui rappela ô combien il avait en sainte horreur les germes. Fort heureusement, sa pulsion d’altruisme inexpliquée ne lui portait pas préjudice. Il prit en main le chandelier que lui tendait la sœur et attendit qu’elle quitte la pièce. Il grimaça en entendant les plaintes des patientes, suivies d’un grand silence. Curieux. Pour autant, il ne lui emboiterait certainement pas le pas. Par contre, il décida de s’approcher du grand buffet pour examiner, à l’aide de sa chandelle, les noms sur les différents bocaux et autres contenants, afin de voir s’il pourrait deviner quel genre de traitements les patients, ainsi que lui-même, ont reçu.
Guigui farfouille la pièce.
@L'Oeil @Caelestis Amarillo @Marie d'Ambialet
Sam 18 Déc - 21:20
Résumé : Cael tape la discut' avec Marie.
@L'Oeil @Guillaume de Bourgogne @Marie d'Ambialet
Que Dieu est grand et lui éphémère. Caelestis se sentait bien pendant ce moment de prière, cet instant privilégié avec le Seigneur. Il en avait tout oublié de ses mésaventures avec Sœur Iris – tout en souhaitant le meilleur à cette dernière.
Toutefois, il perçu l’arrivée de Sœur Ludivine et de ce que cette dernière dit à Marie, sa consœur.
Lorsque la religieuse s’éloigna, Caelestis se remit debout et posa son regard sur la chasseresse. « Que pensez-vous de tout cela ? » Lui était perplexe. Quelque chose se passait effectivement au sein de ce couvent mais il n’avait que trop peu d’élément encore pour organiser son propos.
Une seule chose était certaine : il lui faudrait ouvrir l’œil.
Résumé : Cael tape la discut' avec Marie.
@L'Oeil @Guillaume de Bourgogne @Marie d'Ambialet
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