Dim 14 Fév - 20:26
L'odeur de terre meuble et bien trop fraîche ne pouvait être ignorée. Habituellement, elle signifiait le passage de quelque animal sauvage, souvent des sangliers ayant fait un carnage à la recherche de nourriture. Mais le talus auquel arriva Sadie ne ressemblait en rien à ce genre de chaos.
Il s'arrêta devant la zone et inspecta les alentours et branches situées juste au-dessus avant de s'estimer suffisamment confiant pour s'accroupir et déblayer rapidement quelques mottes à l'aide de sa main libre.
Il s'arrêta devant la zone et inspecta les alentours et branches situées juste au-dessus avant de s'estimer suffisamment confiant pour s'accroupir et déblayer rapidement quelques mottes à l'aide de sa main libre.
Dim 14 Fév - 20:35
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Dim 14 Fév - 20:38
Vous trouverez les cadavres que trois hommes, partiellement éventré et dépouillés de toute possession. Ils semblent avoir été dévorés. Ou plutôt, ce qui les a tué parait avoir agit de façon tout sauf naturel.
Vous apercevez une petite ferme, au loin.
Qu'allez-vous faire ?
• Rebrousser chemin vers la calèche.
• Aller vers la ferme.
ESCORTE MYSTERIEUSE
Vous trouverez les cadavres que trois hommes, partiellement éventré et dépouillés de toute possession. Ils semblent avoir été dévorés. Ou plutôt, ce qui les a tué parait avoir agit de façon tout sauf naturel.
Vous apercevez une petite ferme, au loin.
Qu'allez-vous faire ?
• Rebrousser chemin vers la calèche.
• Aller vers la ferme.
Dim 14 Fév - 20:43
« Ay, dios mios. »
Fronçant le nez à l'odeur des tripes ouvertes aux quatres vent, Sadie leva les yeux vers le bâtiment au loin avant de rebrousser chemin. Quand il arriva en vue de la calèche, il tonna le nom de Gaspard et des deux autres membres de l'escorte afin de les alerter au plus vite. Et retint un rictus en voyant sursauter le dos de François.
Fronçant le nez à l'odeur des tripes ouvertes aux quatres vent, Sadie leva les yeux vers le bâtiment au loin avant de rebrousser chemin. Quand il arriva en vue de la calèche, il tonna le nom de Gaspard et des deux autres membres de l'escorte afin de les alerter au plus vite. Et retint un rictus en voyant sursauter le dos de François.
Dim 14 Fév - 20:54
Sadie attendit que l'ensemble du groupe soit de nouveau autour de la calèche et à portée de voix.
« Trois corps enterrés, à cinq minutes vers l'Ouest juste avant une ferme. Je ne sais pas si c'est les renforts que vous attendiez. En tout cas, ils ne se sont pas faits tuer par des bandits, vous pouvez en être sûr. »
Quand bien même les macchabées avaient, de toute évidence, été détroussés. Peut-être avant, peut-être après. Cela n'avait aucune espèce d'importance pour les concernés.
« Trois corps enterrés, à cinq minutes vers l'Ouest juste avant une ferme. Je ne sais pas si c'est les renforts que vous attendiez. En tout cas, ils ne se sont pas faits tuer par des bandits, vous pouvez en être sûr. »
Quand bien même les macchabées avaient, de toute évidence, été détroussés. Peut-être avant, peut-être après. Cela n'avait aucune espèce d'importance pour les concernés.
Dim 14 Fév - 21:01
Le mercenaire se tend, vous pouvez presque entendre son cœur battre plus vite, tout à coup. "Rah, c'est bien notre veine. Peu de temps avant Paris en plus."
Vous devez être à moins de deux jours de l'objectif, au maximum. "Bon, attendez un peu."
Gaspard grimpe sur le côté de la calèche et échange quelques mots avec la clientèle à l'intérieur. Vous verrez très mal ce qu'il s'y passe, seules quelques mèches de cheveux roux sauront nourrir votre curiosité.
Lorsque Gaspard revient vers vous, il déclare. "Nous allons passer la nuit dans cette ferme. C'est embêtant car nous n'avions pas prévu une autre halte du genre mais nous n'avons pas le choix. Au moins là-bas nous seront à l'abri."
Le petit groupe fait donc une halte vers la ferme et c'est Gaspard qui ira parler avec le propriétaire et sa femme.
[Lancez un Dé.]
ESCORTE MYSTERIEUSE
Le mercenaire se tend, vous pouvez presque entendre son cœur battre plus vite, tout à coup. "Rah, c'est bien notre veine. Peu de temps avant Paris en plus."
Vous devez être à moins de deux jours de l'objectif, au maximum. "Bon, attendez un peu."
Gaspard grimpe sur le côté de la calèche et échange quelques mots avec la clientèle à l'intérieur. Vous verrez très mal ce qu'il s'y passe, seules quelques mèches de cheveux roux sauront nourrir votre curiosité.
Lorsque Gaspard revient vers vous, il déclare. "Nous allons passer la nuit dans cette ferme. C'est embêtant car nous n'avions pas prévu une autre halte du genre mais nous n'avons pas le choix. Au moins là-bas nous seront à l'abri."
Le petit groupe fait donc une halte vers la ferme et c'est Gaspard qui ira parler avec le propriétaire et sa femme.
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Dim 14 Fév - 21:03
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Dim 14 Fév - 21:07
Le couple de fermiers, en dépit de leurs guénilles, possède une fort belle apparence. Ils sont très beaux, tous les deux.
Lorsque Gaspard les questionne, ils finissent par pointer du doigt le paddock non loin, là où des chevaux superbes s'ébattent. "Vous devriez demander à Hector, il vit avec nous depuis plusieurs années maintenant et il passe le plus clair de son temps au paddock. Si quelqu'un à vu quelque chose concernant ce dont vous parler, ce sera surement lui !"
La dame invite ensuite tout le monde à rentrer avant de mener elle-même la calèche vers la grande.
Qu'allez-vous faire ?
• Inspecter la ferme.
• Aller voir Hector.
• Rentrer à l'intérieur.
ESCORTE MYSTERIEUSE
Le couple de fermiers, en dépit de leurs guénilles, possède une fort belle apparence. Ils sont très beaux, tous les deux.
Lorsque Gaspard les questionne, ils finissent par pointer du doigt le paddock non loin, là où des chevaux superbes s'ébattent. "Vous devriez demander à Hector, il vit avec nous depuis plusieurs années maintenant et il passe le plus clair de son temps au paddock. Si quelqu'un à vu quelque chose concernant ce dont vous parler, ce sera surement lui !"
La dame invite ensuite tout le monde à rentrer avant de mener elle-même la calèche vers la grande.
Qu'allez-vous faire ?
• Inspecter la ferme.
• Aller voir Hector.
• Rentrer à l'intérieur.
Dim 14 Fév - 21:48
La beauté était une chose bien fugace. Tantôt droite, tantôt courbe, tantôt sombre, tantôt claire. Les goûts et les couleurs, une valse sans fin pouvant aller d'un extrême à l'autre sans jamais s'épuiser. Mais des masses montaient souvent un consensus tacite, un canon d'esthète servant de talon pour mesurer le Beau.
Pour Sadie, la beauté n'était que synonyme de traîtrise et de mensonge. De prédateurs étourdissant leurs proies pour mieux endormir leur vigilance. Mais Sadie n'était pas dupe. Car Sadie n'était pas une proie.
L'apparence de leurs hôtes improvisés planta immédiatement des alertes brûlantes dans sa nuque, jusqu'à lui picoter le bout des doigts. Il avait vu du pays, avait traversé des siècles de labour et d'élevage par des dizaines de nations et de peuples. La beauté de ces gens étaient ailleurs que dans leur apparence et celle de leurs hôtes ne lui inspira que méfiance.
La chose serait si aisée.
Sortir son arme longue, poser le tranchant contre leur peau et la voir se mettre à bouillir, à craqueler, confirmant ses soupçons en une joie féroce.
Oubliant momentanément l'objet de ce détour, et se fichant comme d'une guigne de la mort de trois pégus anonymes, il suivit la calèche du regard. Sans s'en détourner, il jeta en direction de Gaspard.
« Je vais monter la garde auprès de la clientèle tant qu'ils ne seront pas à l'intérieur. J'en profiterai pour faire un tour de la propriété en venant vous rejoindre ensuite. »
Il emboîta le pas à la fermière sans attendre de réponse.
Pour Sadie, la beauté n'était que synonyme de traîtrise et de mensonge. De prédateurs étourdissant leurs proies pour mieux endormir leur vigilance. Mais Sadie n'était pas dupe. Car Sadie n'était pas une proie.
L'apparence de leurs hôtes improvisés planta immédiatement des alertes brûlantes dans sa nuque, jusqu'à lui picoter le bout des doigts. Il avait vu du pays, avait traversé des siècles de labour et d'élevage par des dizaines de nations et de peuples. La beauté de ces gens étaient ailleurs que dans leur apparence et celle de leurs hôtes ne lui inspira que méfiance.
La chose serait si aisée.
Sortir son arme longue, poser le tranchant contre leur peau et la voir se mettre à bouillir, à craqueler, confirmant ses soupçons en une joie féroce.
Oubliant momentanément l'objet de ce détour, et se fichant comme d'une guigne de la mort de trois pégus anonymes, il suivit la calèche du regard. Sans s'en détourner, il jeta en direction de Gaspard.
« Je vais monter la garde auprès de la clientèle tant qu'ils ne seront pas à l'intérieur. J'en profiterai pour faire un tour de la propriété en venant vous rejoindre ensuite. »
Il emboîta le pas à la fermière sans attendre de réponse.
Dim 14 Fév - 21:59
Gaspard valide votre initiative et rentre à la suite du fermier.
La fermière ne semble pas être particulièrement anxieuse ou suspecte, elle emmène la calèche et fait descendre la clientèle. Vous verrez alors émerger deux silhouettes couvertes de longues capes à capuches vous empêchant de voir leurs visages. Seule l'odeur d'un parfum léger et floral, comme un premier jour, demeure.
Malgré tout, votre présence semble déranger au moins l'une des deux clientèles puisque vous entendez un très net "Tsk." agacé.
La fermière ouvre ensuite la marche en montant un petit escalier menant à une porte. "Voici l'étage où vous pourrez passer la nuit. J'ai cru comprendre que vous étiez des personnes d'importance alors nous vous laisserons notre chambre."
Sans ajouter quoi que ce soit de plus, les deux silhouettes s'immiscent à l'intérieur et ferme la porte. La fermière redescend les escaliers en s'accrochant à la rambarde, comme si elle craignait de tomber. "Eh bien... Vous en escortez, du beau monde..." Visiblement, elle est un peu attristée par la tournure des événements.
Mais elle se tourne ensuite vers vous. "Je vais aller chercher des provisions à la cave afin que vous puissiez avoir un repas décent. Avez vous des envies particulières ? J'ai de la viande ou du poisson séché que mon mari prélève dans la forêt alentours. La forêt nous fourni d'excellent gibiers !" Elle semble fière, très fière de son petit bout de lopin de terre.
Qu'allez-vous faire ?
• Inspecter la ferme.
• Aller voir Hector.
• Rentrer à l'intérieur.
• Interroger la fermière.
• Attaquer.
ESCORTE MYSTERIEUSE
Gaspard valide votre initiative et rentre à la suite du fermier.
La fermière ne semble pas être particulièrement anxieuse ou suspecte, elle emmène la calèche et fait descendre la clientèle. Vous verrez alors émerger deux silhouettes couvertes de longues capes à capuches vous empêchant de voir leurs visages. Seule l'odeur d'un parfum léger et floral, comme un premier jour, demeure.
Malgré tout, votre présence semble déranger au moins l'une des deux clientèles puisque vous entendez un très net "Tsk." agacé.
La fermière ouvre ensuite la marche en montant un petit escalier menant à une porte. "Voici l'étage où vous pourrez passer la nuit. J'ai cru comprendre que vous étiez des personnes d'importance alors nous vous laisserons notre chambre."
Sans ajouter quoi que ce soit de plus, les deux silhouettes s'immiscent à l'intérieur et ferme la porte. La fermière redescend les escaliers en s'accrochant à la rambarde, comme si elle craignait de tomber. "Eh bien... Vous en escortez, du beau monde..." Visiblement, elle est un peu attristée par la tournure des événements.
Mais elle se tourne ensuite vers vous. "Je vais aller chercher des provisions à la cave afin que vous puissiez avoir un repas décent. Avez vous des envies particulières ? J'ai de la viande ou du poisson séché que mon mari prélève dans la forêt alentours. La forêt nous fourni d'excellent gibiers !" Elle semble fière, très fière de son petit bout de lopin de terre.
Qu'allez-vous faire ?
• Inspecter la ferme.
• Aller voir Hector.
• Rentrer à l'intérieur.
• Interroger la fermière.
• Attaquer.
Dim 14 Fév - 22:42
Gardant ses distances, l'attention de Sadie resta attentive aux mouvements de la fermière, n'accordant qu'un bref regard hautain aux silhouettes lorsque l'une d'elle fait mine de s'offusquer. Une fois les ô combien mystérieuses âmes en sécurité à l'étage loin des regards, le lycan s'approcha.
« Je ne saurais le dire, leur identité m'est inconnue, » avoua-t-il sans honte tandis qu'elle le rejoignait en bas. « L'important est de les mener à bon port. »
Il l'observa, penchant légèrement la tête. Comment faire, comment faire, comment faire. Il ne pouvait alerter la clientèle juste au dessus de leur tête.
« Pas d'envie particulière non, » offrit-il en secouant la tête, « mes compagnons et moi-mêmes seront ravis de partager ce qu'il vous plaira après le trajet que nous venons de faire, ne vous en faites pas. » Il s'étira les bras avec un grognement satisfait avant de soupirer, tel un homme las et fatigué de son voyage, et lui sourit d'un air aimable. « Laissez-moi vous aider. C'est la moindre des choses pour vous remercier de votre accueil. »
Se faisant, il franchit les quelques pas pour la rejoindre en direction de la cave, trébucha malencontreusement contre Dieu sait-quoi, et fit en sorte que la partie exposée de la lame de son épée, juste sous la garde, attrape l'avant-bras nu de la fermière. Il se redressa aussitôt, jouant la confusion et faisant un pas de côté, aussi bien par sécurité que pour ne pas l'alarmer fusse-t-elle humaine, et s'excusa platement.
« ¡Dios!, lo siento, je ne vous ai pas fait mal ? »
« Je ne saurais le dire, leur identité m'est inconnue, » avoua-t-il sans honte tandis qu'elle le rejoignait en bas. « L'important est de les mener à bon port. »
Il l'observa, penchant légèrement la tête. Comment faire, comment faire, comment faire. Il ne pouvait alerter la clientèle juste au dessus de leur tête.
« Pas d'envie particulière non, » offrit-il en secouant la tête, « mes compagnons et moi-mêmes seront ravis de partager ce qu'il vous plaira après le trajet que nous venons de faire, ne vous en faites pas. » Il s'étira les bras avec un grognement satisfait avant de soupirer, tel un homme las et fatigué de son voyage, et lui sourit d'un air aimable. « Laissez-moi vous aider. C'est la moindre des choses pour vous remercier de votre accueil. »
Se faisant, il franchit les quelques pas pour la rejoindre en direction de la cave, trébucha malencontreusement contre Dieu sait-quoi, et fit en sorte que la partie exposée de la lame de son épée, juste sous la garde, attrape l'avant-bras nu de la fermière. Il se redressa aussitôt, jouant la confusion et faisant un pas de côté, aussi bien par sécurité que pour ne pas l'alarmer fusse-t-elle humaine, et s'excusa platement.
« ¡Dios!, lo siento, je ne vous ai pas fait mal ? »
Dim 14 Fév - 22:47
Et rien ne se passe selon votre petit manège. La peau de la fermière ne brûle pas.
En revanche, en faisant mine de trébucher, vous avez vraiment fait perdre l'équilibre à la jeune femme qui doit, de fait, se raccrocher à vous pour ne pas tomber dans les escaliers menant à la cave. "Aaah!"
La poitrine comprimée sur votre bras, voici un moment sans doute gênant. Lorsqu'elle réalise la situation, elle s'éloigne, les joues en feu. "Euh... Je... Non non, tout... tout va bien, merci..." Elle n'ose plus vous regarder dans les yeux pour le moment. "Je suis... Je suis vraiment désolée..."
ESCORTE MYSTERIEUSE
Et rien ne se passe selon votre petit manège. La peau de la fermière ne brûle pas.
En revanche, en faisant mine de trébucher, vous avez vraiment fait perdre l'équilibre à la jeune femme qui doit, de fait, se raccrocher à vous pour ne pas tomber dans les escaliers menant à la cave. "Aaah!"
La poitrine comprimée sur votre bras, voici un moment sans doute gênant. Lorsqu'elle réalise la situation, elle s'éloigne, les joues en feu. "Euh... Je... Non non, tout... tout va bien, merci..." Elle n'ose plus vous regarder dans les yeux pour le moment. "Je suis... Je suis vraiment désolée..."
Dim 14 Fév - 22:59
Une simple humaine donc.
Quelle déception.
Toute trace de lassitude quitta sa posture. Il s'inclina légèrement avant de se détourner, pour accommoder l'humaine et sa pudeur.
« Non, non, je vous en prie madame, ma maladresse n'est certainement pas votre faute. Veuillez m'excuser. » Estimant avoir suffisamment attendu pour qu'elle ait pu se remettre de ses émotions, il lui offrit un sourire gêné, agitant une main. « Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, pouvez-vous m'indiquer la direction du paddock ? »
Et il s'y dirigea une fois l'information obtenue, toute expression de faux-semblant aimable désertant son visage une fois le dos tourné. Pas de chasse, pour l'instant. Pas de chasse. Pas encore.
Quelle déception.
Toute trace de lassitude quitta sa posture. Il s'inclina légèrement avant de se détourner, pour accommoder l'humaine et sa pudeur.
« Non, non, je vous en prie madame, ma maladresse n'est certainement pas votre faute. Veuillez m'excuser. » Estimant avoir suffisamment attendu pour qu'elle ait pu se remettre de ses émotions, il lui offrit un sourire gêné, agitant une main. « Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, pouvez-vous m'indiquer la direction du paddock ? »
Et il s'y dirigea une fois l'information obtenue, toute expression de faux-semblant aimable désertant son visage une fois le dos tourné. Pas de chasse, pour l'instant. Pas de chasse. Pas encore.
Dim 14 Fév - 23:19
Sadie lui répondit d'un bonjour laconique. Il ferait mieux d'en finir vite ici et de rentrer. Quelle perte de temps.
« Je suis avec le groupe qui reste pour la nuit. Les propriétaires nous ont dit que vous connaissiez bien les environs ? Trois hommes sont morts un peu plus bas sur ce chemin, là, » expliqua-t-il en montrant la route de terre de la main. « Pas beau à voir. Vous avez eu d'autres attaques de bêtes récemment ? »
« Je suis avec le groupe qui reste pour la nuit. Les propriétaires nous ont dit que vous connaissiez bien les environs ? Trois hommes sont morts un peu plus bas sur ce chemin, là, » expliqua-t-il en montrant la route de terre de la main. « Pas beau à voir. Vous avez eu d'autres attaques de bêtes récemment ? »
Dim 14 Fév - 23:36
Son sourcil se haussa avant qu'il ne puisse le retenir. De même que la réplique passablement agacée.
« Porque se comieron el culo a tres hombres armados, a solamente 300 metros de tu finca, pendejo. Bah, pour rien. Merci quand même. »
Il tourna les talons et rejoignit le bâtiment central de la ferme, ne jetant qu'un vague coup d'oeil aux environs du terrain sur le trajet.
« Porque se comieron el culo a tres hombres armados, a solamente 300 metros de tu finca, pendejo. Bah, pour rien. Merci quand même. »
Il tourna les talons et rejoignit le bâtiment central de la ferme, ne jetant qu'un vague coup d'oeil aux environs du terrain sur le trajet.
Dim 14 Fév - 23:41
A l’intérieur du batîment, tout le monde est assis et installé confortablement. Le fermier parait bien aimable et les mercenaires rit bien à ses blagues. La femme, quant à elle, à ramener du poissons qu'elle commence à faire bouillir avec du chou, du blé et un peu de pain rassis dans l'eau d'un chaudron poser non loin. Les odeurs de nourriture emplissent l'endroit.
Gaspard, vous voyant arriver, vous interpelle "Oh mon gars ! Viens donc goûter un peu d'cette gnôle maison ! C'est vraiment bon, rien à voir avec ma piquette j'te garantie !" Et s faisant, il vous tend un pichet.
ESCORTE MYSTERIEUSE
A l’intérieur du batîment, tout le monde est assis et installé confortablement. Le fermier parait bien aimable et les mercenaires rit bien à ses blagues. La femme, quant à elle, à ramener du poissons qu'elle commence à faire bouillir avec du chou, du blé et un peu de pain rassis dans l'eau d'un chaudron poser non loin. Les odeurs de nourriture emplissent l'endroit.
Gaspard, vous voyant arriver, vous interpelle "Oh mon gars ! Viens donc goûter un peu d'cette gnôle maison ! C'est vraiment bon, rien à voir avec ma piquette j'te garantie !" Et s faisant, il vous tend un pichet.
Lun 15 Fév - 12:44
L'eau lui vint à la bouche au prospect d'un repas chaud et conséquent, après plusieurs jours de dîner à moitié froid ou de viande séchée. Mais réfléchir avec son estomac ne le mènerait nulle part.
« J'en conclus que personne ne tient la garde auprès de la clientèle, » remarqua-t-il d'un ton acerbe, jetant un coup d'oeil à l'assemblée de mercenaires oisifs.
Il prit néanmoins le pichet et se servit une lampée, reniflant le fumet puis y trempant ses lèvres avec curiosité. Pas mauvais pour de l'alambic de cave. Même s'il avait connu mieux.
« De toute façon, rien ne peut être pire que l'hérésie liquide que vous appelez vin, Gaspard. »
La pique était bonne enfant, une façon d'adoucir un peu son agacement évident, qui ne cessait de prendre de l'ampleur suite aux désagréments des dernières heures. Il remplit son verre de façon plus convenable et rendit le pichet à son voisin.
« Je vais prendre le premier quart à la grange, si personne n'y voit d'inconvénient. »
« J'en conclus que personne ne tient la garde auprès de la clientèle, » remarqua-t-il d'un ton acerbe, jetant un coup d'oeil à l'assemblée de mercenaires oisifs.
Il prit néanmoins le pichet et se servit une lampée, reniflant le fumet puis y trempant ses lèvres avec curiosité. Pas mauvais pour de l'alambic de cave. Même s'il avait connu mieux.
« De toute façon, rien ne peut être pire que l'hérésie liquide que vous appelez vin, Gaspard. »
La pique était bonne enfant, une façon d'adoucir un peu son agacement évident, qui ne cessait de prendre de l'ampleur suite aux désagréments des dernières heures. Il remplit son verre de façon plus convenable et rendit le pichet à son voisin.
« Je vais prendre le premier quart à la grange, si personne n'y voit d'inconvénient. »
Lun 15 Fév - 12:48
Comme pour adoucir l'atmosphère, le fermier se permet interpeller Sadie "Ah, ce que vous appeler "clientèle"... Monsieur Gaspard a voulu aller les voir mais personne n'a été autorisé à rentrer... La porte a été fermée à clef de l'intérieur, du coup j'en ai profité pour proposer à tout le monde de venir manger à la place, c'ma faute."
Gaspard, lui, hausse les épaules et ajoute "Si la clientèle ne veut pas de nous, on peut pas forcer. Et notre vin est très bon ! J'te ferais faire un tour de France des vignobles un jour, t'verras comme tu as eu tord !" Et il rit de plus belle. L'ambiance est charmante et tout le monde rit ou partage des anecdotes. Tout se passe pour le mieux.
La nuit est tombée depuis une heure maintenant quand le premier tour de garde débute. Sadie est à l'extérieur et débute son office.
[Lancez un dé.]
ESCORTE MYSTERIEUSE
Comme pour adoucir l'atmosphère, le fermier se permet interpeller Sadie "Ah, ce que vous appeler "clientèle"... Monsieur Gaspard a voulu aller les voir mais personne n'a été autorisé à rentrer... La porte a été fermée à clef de l'intérieur, du coup j'en ai profité pour proposer à tout le monde de venir manger à la place, c'ma faute."
Gaspard, lui, hausse les épaules et ajoute "Si la clientèle ne veut pas de nous, on peut pas forcer. Et notre vin est très bon ! J'te ferais faire un tour de France des vignobles un jour, t'verras comme tu as eu tord !" Et il rit de plus belle. L'ambiance est charmante et tout le monde rit ou partage des anecdotes. Tout se passe pour le mieux.
***
La nuit est tombée depuis une heure maintenant quand le premier tour de garde débute. Sadie est à l'extérieur et débute son office.
[Lancez un dé.]