Ven 12 Fév - 17:31
20 AVRIL 1590
Après quatre jours de chevauchées – qui auraient pu être réduit à trois si vos montures avaient été coopératives -, vous parvenez jusqu’au charmant village de Châteauroux. Vivian Sinclair vous a fait savoir, dans la lettre qu’il vous a envoyer, qu’il vous attendrait à l’auberge afin de vous expliquer tous les détails. Il s’est décrit comme étant particulièrement bel homme et avec un sens de l’esthétisme à faire pâlir, afin que vous aider à le retrouver.
Les lieux sont vivants mais vous devinez, à voir les infrastructures de la ville, qu’elle a beaucoup souffert de la peste précédente. Certains bâtiments sont en ruine – alors même qu’ils sont situés en plein cœur de Châteauroux – et la mendicité semble être le cas commun d’une bonne partie de la population.
L’auberge, nommée La Guillerette, se trouve à une encablure de là où vous pouvez laisser vos chevaux se reposer. Un peu de foin de d’eau fraîche devrait suffire à les remettre d’aplombs.
En attendant, qu’allez-vous faire ?
• Aller directement à l'auberge.
• Inspecter la ville.
• Interroger la populace.
CADEAU ROYAL
20 AVRIL 1590
Après quatre jours de chevauchées – qui auraient pu être réduit à trois si vos montures avaient été coopératives -, vous parvenez jusqu’au charmant village de Châteauroux. Vivian Sinclair vous a fait savoir, dans la lettre qu’il vous a envoyer, qu’il vous attendrait à l’auberge afin de vous expliquer tous les détails. Il s’est décrit comme étant particulièrement bel homme et avec un sens de l’esthétisme à faire pâlir, afin que vous aider à le retrouver.
Les lieux sont vivants mais vous devinez, à voir les infrastructures de la ville, qu’elle a beaucoup souffert de la peste précédente. Certains bâtiments sont en ruine – alors même qu’ils sont situés en plein cœur de Châteauroux – et la mendicité semble être le cas commun d’une bonne partie de la population.
L’auberge, nommée La Guillerette, se trouve à une encablure de là où vous pouvez laisser vos chevaux se reposer. Un peu de foin de d’eau fraîche devrait suffire à les remettre d’aplombs.
En attendant, qu’allez-vous faire ?
• Aller directement à l'auberge.
• Inspecter la ville.
• Interroger la populace.
Ven 12 Fév - 23:29
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava souffla pour la énième fois sur une mèche de cheveux roux récalcitrant barrant son visage. Ils étaient enfin arrivés au village de Châteauroux et la garde du corps royale n'avait qu'une hâte : retrouver Vivian Sinclair et repartir aussi sec pour retourner sur Paris avec ce cadeau. Son regard s'attarda sur les alentours, sur les personnes vivantes et s'alarma quelques peu du nombres de mendiants présents dans les rues. La peste avait fait bien des ravages par ici. Et elle se dit qu'Aigues-Mortes avaient bien eu de la chance, contrairement à ce petit village.
La vampire avisa d'un bref coup d'œil l'auberge où ils étaient censés avoir rendez-vous, alors qu'elle laissait sa monture se reposer enfin à point d'eau. Elle lui tapota l'encolure et s'approcha finalement des deux nobles alors qu'elle réajustait les protections métalliques sur ses avant-bras.
-Devrions-nous nous rendre directement à l'auberge pour aller voir ce Vivian Sinclair? Je pensais aller interroger les habitants, voir s'ils ont quelques informations utiles pour notre voyage du retour.
Ils n'avaient pas eu de réels problèmes, sauf avec leurs montures, avec les fameux bandits à l'aller. Même si elle avait très envie de rentrer sur Paris le plus promptement possible, l'idéal serait de revenir en un seul morceau et avec le cadeau, de préférence. Que ce soit elle ou même ses compagnons de voyage. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit.
La vampire avisa d'un bref coup d'œil l'auberge où ils étaient censés avoir rendez-vous, alors qu'elle laissait sa monture se reposer enfin à point d'eau. Elle lui tapota l'encolure et s'approcha finalement des deux nobles alors qu'elle réajustait les protections métalliques sur ses avant-bras.
-Devrions-nous nous rendre directement à l'auberge pour aller voir ce Vivian Sinclair? Je pensais aller interroger les habitants, voir s'ils ont quelques informations utiles pour notre voyage du retour.
Ils n'avaient pas eu de réels problèmes, sauf avec leurs montures, avec les fameux bandits à l'aller. Même si elle avait très envie de rentrer sur Paris le plus promptement possible, l'idéal serait de revenir en un seul morceau et avec le cadeau, de préférence. Que ce soit elle ou même ses compagnons de voyage. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit.
Dim 14 Fév - 21:03
Toutes les excuses étaient bonnes pour fuir Paris. Les regards, l’insistance insoutenable de la noblesse et de ses compagnons d’armes… Mais plus que tout, June avait ressenti le besoin d’échapper à l’étau protecteur de Victoire de France, une reine qui à certains moments, se comportait davantage comme la bonne et douce mère qu’elle était, plutôt qu’en amie d’un jeune duc avec qui elle s’était liée.
Le choix avait été simple, dès lors que son état resté inexplicable tant lui-même n’aurait su expliquer les circonstances de sa disparition ni même de sa réapparition, l’avait forcé hors de ses fonctions le temps qu’il fasse montre d’un complet rétablissement. Croire que June pouvait un seul instant demeurer dans cette inertie était une grave erreur. Il avait bien des choses à faire, de temps à rattraper… Et si son devoir envers la France ne pouvait être accompli par son travail habituel… Il s’était donc engagé à participer à une quête pour la couronne. Une escorte pour un bien. Oh avec qui n’aurait pas fait d’importance… Sur le principe.
Les quatre jours de chevauchée auront été… curieux. Le trajet ne fut pas entièrement sans embuche, mais il n’y eut pas pour autant la moindre complexité insurmontable. Et June aurait menti en disant que la compagnie était désagréable. Arrivés sur place, sa monture sanglée à l’abri des intempéries et à proximité de quoi se repaître, il s’assure que tout soit en ordre avec l’animal avant de relever les yeux vers Stanislava, cajolant son étalon contre le crin sombre de sa haute tête.
« Il serait sûrement plus judicieux d’aller consulter Monsieur Sinclair au plus vite… Mais je dois avouer que l’idée de me dégourdir enfin les jambes m’est plus attrayante. Peut-être entendrons-nous même quelques informations quant au convoi depuis son arrivée ici. »
Un regard vers Gabriel, quelque chose d’indescriptible dans son regard. Il ne dit finalement rien et s’étire longuement.
« Peut-être pourrons-nous également rapporter mot à sa Majesté de la condition de son peuple en province. »
Le choix avait été simple, dès lors que son état resté inexplicable tant lui-même n’aurait su expliquer les circonstances de sa disparition ni même de sa réapparition, l’avait forcé hors de ses fonctions le temps qu’il fasse montre d’un complet rétablissement. Croire que June pouvait un seul instant demeurer dans cette inertie était une grave erreur. Il avait bien des choses à faire, de temps à rattraper… Et si son devoir envers la France ne pouvait être accompli par son travail habituel… Il s’était donc engagé à participer à une quête pour la couronne. Une escorte pour un bien. Oh avec qui n’aurait pas fait d’importance… Sur le principe.
Les quatre jours de chevauchée auront été… curieux. Le trajet ne fut pas entièrement sans embuche, mais il n’y eut pas pour autant la moindre complexité insurmontable. Et June aurait menti en disant que la compagnie était désagréable. Arrivés sur place, sa monture sanglée à l’abri des intempéries et à proximité de quoi se repaître, il s’assure que tout soit en ordre avec l’animal avant de relever les yeux vers Stanislava, cajolant son étalon contre le crin sombre de sa haute tête.
« Il serait sûrement plus judicieux d’aller consulter Monsieur Sinclair au plus vite… Mais je dois avouer que l’idée de me dégourdir enfin les jambes m’est plus attrayante. Peut-être entendrons-nous même quelques informations quant au convoi depuis son arrivée ici. »
Un regard vers Gabriel, quelque chose d’indescriptible dans son regard. Il ne dit finalement rien et s’étire longuement.
« Peut-être pourrons-nous également rapporter mot à sa Majesté de la condition de son peuple en province. »
Jeu 18 Fév - 22:19
June partira donc vers l'auberge. Il ne mettra pas longtemps à reconnaître Vivian Sinclair puisqu'il était bien le seul à porter des vêtements de ces... couleurs. Et quel beau-parleur, s'il en était.
"Et vous auriez vu le bandit se dresser devant moi ! Je l'ai ramené en arrière du simple bout de ma botte trouée, ahahah !" déclame-t-il à son assistance, soit trois jeunes filles à peine sorties de l'adolescence. En vous attendant, il semblerait que Messire Sinclair n'ait pas perdu le Nord.
Gabriel, lui, commencera donc son investigation seul, à l'extérieur.
Stanislava, vous pourrez suivre celui que vous souhaiterez.
CADEAU ROYAL
June partira donc vers l'auberge. Il ne mettra pas longtemps à reconnaître Vivian Sinclair puisqu'il était bien le seul à porter des vêtements de ces... couleurs. Et quel beau-parleur, s'il en était.
"Et vous auriez vu le bandit se dresser devant moi ! Je l'ai ramené en arrière du simple bout de ma botte trouée, ahahah !" déclame-t-il à son assistance, soit trois jeunes filles à peine sorties de l'adolescence. En vous attendant, il semblerait que Messire Sinclair n'ait pas perdu le Nord.
Gabriel, lui, commencera donc son investigation seul, à l'extérieur.
Stanislava, vous pourrez suivre celui que vous souhaiterez.
Ven 19 Fév - 23:17
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava fut ravie de voir qu'ils étaient plus ou moins sur la même longueur d'onde. Peut-être que ce petit groupe improvisé allait mieux collaborer qu'elle ne l'espérait. Du moins pour l'instant, elle supposait. Ils avaient un objectif commun après tout. Après un commun accord, il était donc préférable que ce soit June se présentant face à ce Vivian Sinclair, étant un Duc. Pour sa part, Stanislava n'était sûre et certaine de rester courtoise très longtemps devant l'individu. Elle aurait sûrement plus de chance du côté du peuple.
-Je vais interroger la populace, voir si je peux en tirer quelque chose… Je vous rejoins plus tard.
Et sur ces mots, elle laissa les deux nobles et se dirigea vers le cœur de la ville. Elle avait laissé, comme à son habitude, son uniforme pour des vêtements plus modestes pour se fondre dans la masse et peut-être éviter les attaques de bandit. Mais elle ne passait pas spécialement inaperçue avec son attirail d'armes. Sa main restait non loin de ses dagues sous sa cape.
Elle observa les rues, nota l'état inquiétant des infrastructures, la pauvre condition de la plupart des habitants. Le suédois avait bien raison, il fallait en référer de tout cela à Victoire. Qui était le noble déférant cette petite ville déjà? Stanislava regretterait presque un peu ne pas connaître la carte des Duchés. Enfin, ce n'était pas spécialement son rôle non plus…
Elle s'arrêta finalement devant un marchand de fruit et décida qu'elle allait commencer sa petite interrogation par ici.
-Pourriez-vous me donner six de vos meilleures pommes, mon brave? Demanda-t-elle finalement après avoir observé son étal.
Alors qu'elle tira les pièces nécessaires pour payer, elle en donna en fait le double.
-Dites… j'ai entendu dire qu'il avait pas mal d'attaques de bandit sur les routes, en direction de la capitale, c'est vrai?
Elle récupéra une des pommes, l'astiqua brièvement sur le devant de sa chemise avant de croquer dans le fruit rouge. Légèrement sucré. Nulle doute que les chevaux allaient apprécier cette petite douceur avant qu'ils ne reprennent la route.
-Je vais interroger la populace, voir si je peux en tirer quelque chose… Je vous rejoins plus tard.
Et sur ces mots, elle laissa les deux nobles et se dirigea vers le cœur de la ville. Elle avait laissé, comme à son habitude, son uniforme pour des vêtements plus modestes pour se fondre dans la masse et peut-être éviter les attaques de bandit. Mais elle ne passait pas spécialement inaperçue avec son attirail d'armes. Sa main restait non loin de ses dagues sous sa cape.
Elle observa les rues, nota l'état inquiétant des infrastructures, la pauvre condition de la plupart des habitants. Le suédois avait bien raison, il fallait en référer de tout cela à Victoire. Qui était le noble déférant cette petite ville déjà? Stanislava regretterait presque un peu ne pas connaître la carte des Duchés. Enfin, ce n'était pas spécialement son rôle non plus…
Elle s'arrêta finalement devant un marchand de fruit et décida qu'elle allait commencer sa petite interrogation par ici.
-Pourriez-vous me donner six de vos meilleures pommes, mon brave? Demanda-t-elle finalement après avoir observé son étal.
Alors qu'elle tira les pièces nécessaires pour payer, elle en donna en fait le double.
-Dites… j'ai entendu dire qu'il avait pas mal d'attaques de bandit sur les routes, en direction de la capitale, c'est vrai?
Elle récupéra une des pommes, l'astiqua brièvement sur le devant de sa chemise avant de croquer dans le fruit rouge. Légèrement sucré. Nulle doute que les chevaux allaient apprécier cette petite douceur avant qu'ils ne reprennent la route.
Sam 20 Fév - 23:37
C’est assez simple en réalité. Il n’aura fallu à June que le moment où ses yeux se sont échoués sur les couleurs hurlantes de la tenue d’un homme flirtant de façon impudique avec quelques oiselles pour qu’il sache deux choses :
1/ Cet homme avait dû s’appeler Narcisse dans une vie antérieure, et son reflet avait dû être salement piétiné par un troupeau de bœufs.
2/ Il regrettait amèrement de ne pas avoir suivi ses deux compagnons avant d’avoir à affronter une grande gueule de la sorte.
Ravalant son agacement pour le pathétisme humain, June s’approche du groupe, le dos droit, son épée à sa ceinture, fier noble dans ses traits. La tenue n’y changera rien, de noir simplement vêtu, et la ligne d’une blessure contre son arcade n’enlève rien à son charme. Un raclement de gorge léger – mais trop peu pour être ignoré – a l’adresse de la jolie troupe, et son regard capte celui de Vivian avant qu’il ne se tourne vers ces dames, captant les prunelles sombres de ces dames avant de leur offrir un sourire léger, courbant l’échine pour les saluer comme son titre le demandait.
« Mesdames. Messire Sinclair. »
Une fois l’homme à son tour salué, le dos droit, ses mains croisées dans son dos en signe évident qu’il n’allait pas les laisser finir leur conversation de sitôt, il reprend, le ton sûr, son charisme naturel reprenant sans peine la main.
« Veuillez pardonner cette interruption. Duc van Heil, commandant des armées de France, à votre service. Je fais partie de la délégation que vous avez fait quérir de Paris afin de faire porter le présent de votre Seigneur à notre Majesté Victoire de France. Serait-il possible de nous entretenir promptement ? »
Oh, il ne fait rien pour faire reculer ces dames, bien loin de là. Et s’il ne baise pas leurs mains par politesse, c’est par simple sens de les laisser consentir à sa présence. Elles en ont sûrement beaucoup à dire elles aussi.
« Mes compagnons s’excusent par ailleurs de ne pas se présenter à vous cet instant, d’autres tâches les ont enquit en d’autres lieux. Mais ils vous font parvenir leurs plus humbles salutations. »
1/ Cet homme avait dû s’appeler Narcisse dans une vie antérieure, et son reflet avait dû être salement piétiné par un troupeau de bœufs.
2/ Il regrettait amèrement de ne pas avoir suivi ses deux compagnons avant d’avoir à affronter une grande gueule de la sorte.
Ravalant son agacement pour le pathétisme humain, June s’approche du groupe, le dos droit, son épée à sa ceinture, fier noble dans ses traits. La tenue n’y changera rien, de noir simplement vêtu, et la ligne d’une blessure contre son arcade n’enlève rien à son charme. Un raclement de gorge léger – mais trop peu pour être ignoré – a l’adresse de la jolie troupe, et son regard capte celui de Vivian avant qu’il ne se tourne vers ces dames, captant les prunelles sombres de ces dames avant de leur offrir un sourire léger, courbant l’échine pour les saluer comme son titre le demandait.
« Mesdames. Messire Sinclair. »
Une fois l’homme à son tour salué, le dos droit, ses mains croisées dans son dos en signe évident qu’il n’allait pas les laisser finir leur conversation de sitôt, il reprend, le ton sûr, son charisme naturel reprenant sans peine la main.
« Veuillez pardonner cette interruption. Duc van Heil, commandant des armées de France, à votre service. Je fais partie de la délégation que vous avez fait quérir de Paris afin de faire porter le présent de votre Seigneur à notre Majesté Victoire de France. Serait-il possible de nous entretenir promptement ? »
Oh, il ne fait rien pour faire reculer ces dames, bien loin de là. Et s’il ne baise pas leurs mains par politesse, c’est par simple sens de les laisser consentir à sa présence. Elles en ont sûrement beaucoup à dire elles aussi.
« Mes compagnons s’excusent par ailleurs de ne pas se présenter à vous cet instant, d’autres tâches les ont enquit en d’autres lieux. Mais ils vous font parvenir leurs plus humbles salutations. »
Mar 23 Fév - 13:09
Stanislava, le marchand vous donnera vos pommes avec un air plus que patibulaire. En revanche, il vous toisera de haut en bas à votre seconde question, avant d'ouvrir la bouche. Vous pensiez qu'il allait vous tirer la langue ? Il aurait pu. S'il en avait encore une.
Cela répond d'office à votre question, sans doute.
June, vos propos ont le mérite de faire cesser le petit manège de Vivian. Il ouvre de grands yeux lumineux sur votre personne et se lève pour vous serrer la main d'une bien énergique façon. "Oooooh Monsieur le Duc en personne ! Je suis comblé de vous voir ici pour répondre à mon appel de détresse, vraiment ! C'est un grand honneur pour moi de vous rencontrer !"
[Lancez 1 Dé.]
CADEAU ROYAL
Stanislava, le marchand vous donnera vos pommes avec un air plus que patibulaire. En revanche, il vous toisera de haut en bas à votre seconde question, avant d'ouvrir la bouche. Vous pensiez qu'il allait vous tirer la langue ? Il aurait pu. S'il en avait encore une.
Cela répond d'office à votre question, sans doute.
June, vos propos ont le mérite de faire cesser le petit manège de Vivian. Il ouvre de grands yeux lumineux sur votre personne et se lève pour vous serrer la main d'une bien énergique façon. "Oooooh Monsieur le Duc en personne ! Je suis comblé de vous voir ici pour répondre à mon appel de détresse, vraiment ! C'est un grand honneur pour moi de vous rencontrer !"
[Lancez 1 Dé.]
Mar 23 Fév - 13:11
Lorsque Gabriel s'approche de la silhouette, cette dernière le toisa de son unique oeil restant, l'autre étant visiblement enfoncé dans son orbite si profondément qu'il valait mieux ne pas poser de question sur cette trace-ci.
"Héhé..." Il ne parait pas très sain d'esprit mais regarde tout de même le Marquis. Son regard est indéchiffrable. "Pwéhéhéhéhé, y'a plus rien ici ! Plus rien ! Plus rieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen ! Ahahahahah !"
Enfin l'étrange homme se redresse et s'enfuit vers les buissons tout proches. Il n'y a bien que son rire étrange qui résonne encore pendant quelques instants avant d'abandonner de nouveau Châteauroux au silence.
CADEAU ROYAL
Lorsque Gabriel s'approche de la silhouette, cette dernière le toisa de son unique oeil restant, l'autre étant visiblement enfoncé dans son orbite si profondément qu'il valait mieux ne pas poser de question sur cette trace-ci.
"Héhé..." Il ne parait pas très sain d'esprit mais regarde tout de même le Marquis. Son regard est indéchiffrable. "Pwéhéhéhéhé, y'a plus rien ici ! Plus rien ! Plus rieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen ! Ahahahahah !"
Enfin l'étrange homme se redresse et s'enfuit vers les buissons tout proches. Il n'y a bien que son rire étrange qui résonne encore pendant quelques instants avant d'abandonner de nouveau Châteauroux au silence.
Mar 23 Fév - 13:20
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Mar 23 Fév - 14:08
June, les trois jeunes femmes détournent leur attention de Vivian et semblent curieuses de votre présence. Sans plus, cependant.
CADEAU ROYAL
June, les trois jeunes femmes détournent leur attention de Vivian et semblent curieuses de votre présence. Sans plus, cependant.
Mar 23 Fév - 20:12
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava n'arriva pas à retenir la légère expression de surprise sur son faciès en voyant que le marchant n'avait plus de langue. Allons bon, que lui était-il arrivé à ce pauvre homme? En général, on coupait la langue de quelqu'un pour l'empêcher de parler. Ou si on était suffisamment sadique pour le faire par pur plaisir. Stanislava pencherait bien pour la première option. Devait-elle poursuivre sa petite enquête auprès du peuple? Son instinct lui soufflait de retourner auprès de ses compagnons de voyage. Et son envie de retourner sur Paris le plus rapidement possible lui revint soudainement. Ses pommes contre elle, elle s'excusa auprès du marchand et lui souhaita une bonne journée avant de rebrousser chemin.
De retour là où ils avaient laissé leurs chevaux, elle offrit à chacun d'entre eux le fruit rouge, prenant de les cajoler chacun leur tour. Elle se demanda quoi faire désormais. Elle se sentait un peu honteuse de ne pas revenir avec quelques informations intéressantes. Bah, tant pis. Ils arriveront bien à se débrouiller sur le chemin du retour. De ce qu'elle en savait, ses deux compagnons étaient d'excellents combattants. Les bandits ne devraient pas être un problème pour eux. Sauf s'ils étaient plusieurs, bien évidemment…
Stanislava sort de sa réflexion en entendant un étrange rire se répercuter contre les murs un peu décrépis de la ville, lui arrachant un frisson le long de son échine. Oui, il était peut-être temps de mettre les voiles de cet endroit.
La vampire se dirigea finalement vers l'auberge et y entra quand même avec une légère réticence. Et comme elle avait raison. Ce Vivian Sinclair était exactement comme il s'était décrit lui-même. Impossible de le rater. Stanislava dut se faire violence pour ne pas afficher une expression désagréable lorsqu'elle s'approcha des deux hommes et - pourquoi y'avaient-ils trois demoiselles ? - resta silencieusement en retrait, les laissant terminer leur conversation.
De retour là où ils avaient laissé leurs chevaux, elle offrit à chacun d'entre eux le fruit rouge, prenant de les cajoler chacun leur tour. Elle se demanda quoi faire désormais. Elle se sentait un peu honteuse de ne pas revenir avec quelques informations intéressantes. Bah, tant pis. Ils arriveront bien à se débrouiller sur le chemin du retour. De ce qu'elle en savait, ses deux compagnons étaient d'excellents combattants. Les bandits ne devraient pas être un problème pour eux. Sauf s'ils étaient plusieurs, bien évidemment…
Stanislava sort de sa réflexion en entendant un étrange rire se répercuter contre les murs un peu décrépis de la ville, lui arrachant un frisson le long de son échine. Oui, il était peut-être temps de mettre les voiles de cet endroit.
La vampire se dirigea finalement vers l'auberge et y entra quand même avec une légère réticence. Et comme elle avait raison. Ce Vivian Sinclair était exactement comme il s'était décrit lui-même. Impossible de le rater. Stanislava dut se faire violence pour ne pas afficher une expression désagréable lorsqu'elle s'approcha des deux hommes et - pourquoi y'avaient-ils trois demoiselles ? - resta silencieusement en retrait, les laissant terminer leur conversation.
Ven 26 Fév - 1:59
Le raffut à l’extérieur lui échappe. En réalité, la dure réalité de ce village tout entier n’est pas à sa connaissance. Et tout ce dont il est certain, c’est que la présence des quatre personnes devant lui n’allait certainement pas être des plus fascinantes. Ravalant son opinion et la rangeant précieusement sous sa botte, il ne se défait pas d’un demi sourire entendu, lèvres simplement étirées d’une ligne aimable. Il représentait la couronne de France aussi bien que celle de Suède. Le manque d’étiquette n’était pas une alternative possible.
« L’honneur est partagé, Monsieur Sinclair, Mesdames… ? »
Se tournant vers les jeunes femmes il se permet enfin de baiser les mains des trois soeurs, non pas par tentative de séduction, mais par courtoisie. Peu importe le rang de ces demoiselles, elles semblaient être des habitantes de ce village… Et ce silence ne lui plaisait que très peu. Peut-être éclaireraient-elles sa lanterne quant à connaître leurs noms par cette simple interrogation…
Il tourne après un moment à nouveau son attention vers Vivian, la couleur de ses vêtements un dégoût toujours égal à ses yeux, mais il en fait abstraction. Reprenant les termes de l’homme avec une inclinaison curieuse de la tête.
« Appel de détresse, effectivement. Pourriez-vous nous en apprendre davantage sur le sujet ? »
Le bruit des planches dans son dos lui fait tourner son attention vers Stanislava et Gabriel. Déjà revenus… ?
« Ah, Monsieur, Mesdames, permettez-moi de vous présenter le reste de notre délégation parisienne, le Colonel et Marquis de Sercey, et la Gente Dame Braginsky, une représentante émérite de la garde royale. »
Les présentations faites, et donnant l’opportunité à ses compagnons de se joindre à son interrogatoire, June précise cependant.
« Je vous avoue que nous n’avons eu que peu d’informations au départ de la capitale. Pourriez-vous nous éclairer sur la situation ? Et sur ce… présent, qu’il nous faudrait quérir jusqu’à notre Majesté. »
« L’honneur est partagé, Monsieur Sinclair, Mesdames… ? »
Se tournant vers les jeunes femmes il se permet enfin de baiser les mains des trois soeurs, non pas par tentative de séduction, mais par courtoisie. Peu importe le rang de ces demoiselles, elles semblaient être des habitantes de ce village… Et ce silence ne lui plaisait que très peu. Peut-être éclaireraient-elles sa lanterne quant à connaître leurs noms par cette simple interrogation…
Il tourne après un moment à nouveau son attention vers Vivian, la couleur de ses vêtements un dégoût toujours égal à ses yeux, mais il en fait abstraction. Reprenant les termes de l’homme avec une inclinaison curieuse de la tête.
« Appel de détresse, effectivement. Pourriez-vous nous en apprendre davantage sur le sujet ? »
Le bruit des planches dans son dos lui fait tourner son attention vers Stanislava et Gabriel. Déjà revenus… ?
« Ah, Monsieur, Mesdames, permettez-moi de vous présenter le reste de notre délégation parisienne, le Colonel et Marquis de Sercey, et la Gente Dame Braginsky, une représentante émérite de la garde royale. »
Les présentations faites, et donnant l’opportunité à ses compagnons de se joindre à son interrogatoire, June précise cependant.
« Je vous avoue que nous n’avons eu que peu d’informations au départ de la capitale. Pourriez-vous nous éclairer sur la situation ? Et sur ce… présent, qu’il nous faudrait quérir jusqu’à notre Majesté. »
Ven 26 Fév - 15:26
Les trois jeunes femmes semblaient prêtes à vous répondre lorsqu'une voix tonitruante les interpella sans douceur depuis le comptoir, un peu plus loin. "SOPHIE-LISE ! MARIE-LISE ! ANNE-LISE ! ARRETEZ DONC DE FAIRE LES BELLES ET RETOURNEZ A LA CUISINE !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, et déjà, elles disparaissent, non sans vous jeter quelques regards entendus.
Laissez seuls avec Vivian Sinclair, il saluera diligemment Gabriel et Stanislava - à qui il offrira un baise-main également. Il répondra ensuite à vos questions. "La carriole qu'il nous faut escorter se trouve à deux rues d'ici. Je ne sais pas ce qu'elle contient, le Duc qui a envoyé ceci a dit que c'était une surprise à ne pas gâcher pour l'anniversaire à venir de la Reine de France."
Il se masse la nuque avant de poursuivre. "Quant aux bandits, nous savons qu'ils opèrent systématiquement la nuit et qu'ils tuent ou enlèvent tout ce qui est susceptible de les intéresser. Autrement, à part les témoignages des rares survivants, nous ne savons rien de plus, malheureusement."
CADEAU ROYAL
Les trois jeunes femmes semblaient prêtes à vous répondre lorsqu'une voix tonitruante les interpella sans douceur depuis le comptoir, un peu plus loin. "SOPHIE-LISE ! MARIE-LISE ! ANNE-LISE ! ARRETEZ DONC DE FAIRE LES BELLES ET RETOURNEZ A LA CUISINE !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, et déjà, elles disparaissent, non sans vous jeter quelques regards entendus.
Laissez seuls avec Vivian Sinclair, il saluera diligemment Gabriel et Stanislava - à qui il offrira un baise-main également. Il répondra ensuite à vos questions. "La carriole qu'il nous faut escorter se trouve à deux rues d'ici. Je ne sais pas ce qu'elle contient, le Duc qui a envoyé ceci a dit que c'était une surprise à ne pas gâcher pour l'anniversaire à venir de la Reine de France."
Il se masse la nuque avant de poursuivre. "Quant aux bandits, nous savons qu'ils opèrent systématiquement la nuit et qu'ils tuent ou enlèvent tout ce qui est susceptible de les intéresser. Autrement, à part les témoignages des rares survivants, nous ne savons rien de plus, malheureusement."
Ven 26 Fév - 17:22
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava pinça les lèvres et secoua doucement la tête de droite à gauche face à la question de Gabriel. Ils avaient fait chou blanc tous les deux. Au moins, elle se sentait moins seule dans cette histoire. Un sourire aimable de circonstance se dessina sur ses lèvres lorsque June vint à les présenter. Vraiment, elle n'arrivait pas à s'y faire qu'on la présente en tant que Dame, parce qu'elle n'en avait aucune caractéristique. Après le départ impromptu des sœurs Lise, elle dut se faire violence pour ne pas grimacer de dégoût lorsque Vivian la salua d'un baise-main. Mais dès qu'elle fut assurée qu'il ne regardait pas, elle essuya le dos de sa main contre sa cape et leva les yeux vers le plafond avant de reprendre son sérieux pour écouter la suite.
Une surprise à ne pas gâcher pour l'anniversaire de la Reine? Tiens donc.
-Pourquoi tant de mystères? Je pense que mes compagnons et moi-même sauront tenir notre langue à ce sujet. A moins qu'il ne s'agisse d'un cadeau empoisonné, là c'est une autre histoire. D'ailleurs, je trouve cela fort étrange que nous ne connaissons pas le nom de ce Duc, pas vous, Duc Van Heil, Marquis de Sercey?
Sa main droite s'était naturellement glissée vers la manche de sa dague cinglée à sa cuisse, son regard émeraude fusillant Vivian Sinclair du regard. Qu'il le voulait ou non, Stanislava refuserait de partir de Châteauroux tant qu'elle n'en aura pas le cœur net sur cadeau. Avec les récents évènements, la méfiance de la vampire avait monté de plusieurs crans et quiconque s'approchant de la Reine ou des enfants n'étaient pas inconnus au regard suspicieuse de la vampire.
-Pour les bandits, c'est un mode opératoire assez classique. Attaquer au moment où les voyageurs sont les plus vulnérables. Ils comptent sur la nuit et/ou leurs nombres pour les avantager. S'il faut bivouaquer, feu de camp interdit pour ne pas donner notre position et des tours de garde, bien évidemment. Interroger les survivants pour avoir plus de détail sur leur nombre serait un plus… sauf si les bandits leur ont coupé la langue.
Et si le cadeau était une carriole, cela signifiait que leur trajet allait plus de temps que l'allée. Urgh, un voyage qui s'annonçait bien compliquée.
Une surprise à ne pas gâcher pour l'anniversaire de la Reine? Tiens donc.
-Pourquoi tant de mystères? Je pense que mes compagnons et moi-même sauront tenir notre langue à ce sujet. A moins qu'il ne s'agisse d'un cadeau empoisonné, là c'est une autre histoire. D'ailleurs, je trouve cela fort étrange que nous ne connaissons pas le nom de ce Duc, pas vous, Duc Van Heil, Marquis de Sercey?
Sa main droite s'était naturellement glissée vers la manche de sa dague cinglée à sa cuisse, son regard émeraude fusillant Vivian Sinclair du regard. Qu'il le voulait ou non, Stanislava refuserait de partir de Châteauroux tant qu'elle n'en aura pas le cœur net sur cadeau. Avec les récents évènements, la méfiance de la vampire avait monté de plusieurs crans et quiconque s'approchant de la Reine ou des enfants n'étaient pas inconnus au regard suspicieuse de la vampire.
-Pour les bandits, c'est un mode opératoire assez classique. Attaquer au moment où les voyageurs sont les plus vulnérables. Ils comptent sur la nuit et/ou leurs nombres pour les avantager. S'il faut bivouaquer, feu de camp interdit pour ne pas donner notre position et des tours de garde, bien évidemment. Interroger les survivants pour avoir plus de détail sur leur nombre serait un plus… sauf si les bandits leur ont coupé la langue.
Et si le cadeau était une carriole, cela signifiait que leur trajet allait plus de temps que l'allée. Urgh, un voyage qui s'annonçait bien compliquée.
Dim 28 Fév - 13:30
June observe la scène se dérouler comme on assiste à une expérience hors de son propre corps. Son sourire ne bouge pas, mais le léger tic de sa mâchoire se crispant d’agacement, s’il était remarqué, est une démonstration évidente de son déplaisir. Subitement, le duc comprenait beaucoup mieux pour quelle raison il lui avait été soufflé que sa présence ne serait pas de trop. Il ne fait pourtant pas l’offense de reprendre Stanislava, la laissant cracher tout son fiel dans une démonstration profondément évidente de son manque d’étiquette. Oh, il ne parlait pas d’elle au titre de sa seule personne. Mais ici et maintenant, ils n’étaient pas là en leur nom. Mais en celui de Victoire de France. Victoire de France qui n’avait certainement pas besoin que les propos soient rapportés à tout le pays que ses plus proches alliés – à commencer par sa garde rapprochée – était une personne ordurière aux manières plus dépravées que le premier roturier rencontré sur un sentir de Compostelle.
Mains croisées dans son dos, June ne perd rien de sa posture, et seigneur Dieu devait être en leur présence puisque le Colonel de Sercey sut intervenir en lieu et temps convenu. Il allait vraiment falloir qu’ils remettent les choses en ordre. Et peu importe leurs différences. June n’allait pas reculer.
Un pas de côté et June, d’autorité, se place devant Stanislava pour lui intimer sans un mot qu’il n’était pas temps d’antagoniser la personne devant eux.
« Monsieur Sinclair, il n’est que trop normal pour Dame Braginsky de montrer son inquiétude. Paris n’a pas été très calme en ces dernières semaines. »
Il ne redirait pas que la jeune princesse de France avait subi une attaque, pas même que les quartiers militaires avaient attaqué. Et la cicatrice à son visage était une preuve suffisante que lorsque l’on mentionnait le terme d’enlèvement, June n’était que trop au courant de la situation.
« Si le Duc souhaite conserver le secret, il n’est pas un problème de cela. »
Un mensonge, évident. Et June le laisse entendre à Stanislava et Gabriel d’un simple geste militaire de la main dans son dos. Eux deux seuls pourraient le voir. Le commandement est simple. Celui de jouer le jeu. Vivian Sinclair ne serait pas avec eux en toutes circonstances, ils auraient tout le loisir du monde de découvrir ce que cachait ce fameux présent à la reine.
« Pourriez-vous nous guider jusqu’à ladite cariole, j’apprécierai de remercier les hommes ayant fait tout ce voyage jusqu’ici pour le plaisir de notre Majesté. » Une pause et June, d’un sourire entendu et pourtant si perçant rajoute. « J’aimerai tout particulièrement faire la rencontre de ceux qui vous ont soufflé que pareille menace vous attendait en chemin. Après tout, c’est grâce à ces braves gens que nous pouvons aujourd’hui nous rencontrer. »
Quelque chose n’était pas normal. Les deux personnes en sa compagnie étaient revenues trop vite. Comment n’avaient-ils pas croisé le chemin de ces supposées personnes ayant été victimes de ces attaques ? Non, June ne pensait pas que tout ceci tournait rond. Mais refusant de laisser à Sinclair le temps de s’évader, il se recule d’un pas, lui ouvrant le chemin jusqu’à la porte.
« Si vous pouviez ouvrir le chemin, Monsieur. »
Oh, la politesse ne cachait en rien qu’il ne prendrait pas non pour une réponse. Et une fois que Sinclair les eut dépassés, June siffle doucement entre ses dents.
« Que l’un de vous interroge les trois jeunes filles. Pas de bavures. Nous sommes ici pour sa Majesté, non pas pour créer un conflit diplomatique. »
Mains croisées dans son dos, June ne perd rien de sa posture, et seigneur Dieu devait être en leur présence puisque le Colonel de Sercey sut intervenir en lieu et temps convenu. Il allait vraiment falloir qu’ils remettent les choses en ordre. Et peu importe leurs différences. June n’allait pas reculer.
Un pas de côté et June, d’autorité, se place devant Stanislava pour lui intimer sans un mot qu’il n’était pas temps d’antagoniser la personne devant eux.
« Monsieur Sinclair, il n’est que trop normal pour Dame Braginsky de montrer son inquiétude. Paris n’a pas été très calme en ces dernières semaines. »
Il ne redirait pas que la jeune princesse de France avait subi une attaque, pas même que les quartiers militaires avaient attaqué. Et la cicatrice à son visage était une preuve suffisante que lorsque l’on mentionnait le terme d’enlèvement, June n’était que trop au courant de la situation.
« Si le Duc souhaite conserver le secret, il n’est pas un problème de cela. »
Un mensonge, évident. Et June le laisse entendre à Stanislava et Gabriel d’un simple geste militaire de la main dans son dos. Eux deux seuls pourraient le voir. Le commandement est simple. Celui de jouer le jeu. Vivian Sinclair ne serait pas avec eux en toutes circonstances, ils auraient tout le loisir du monde de découvrir ce que cachait ce fameux présent à la reine.
« Pourriez-vous nous guider jusqu’à ladite cariole, j’apprécierai de remercier les hommes ayant fait tout ce voyage jusqu’ici pour le plaisir de notre Majesté. » Une pause et June, d’un sourire entendu et pourtant si perçant rajoute. « J’aimerai tout particulièrement faire la rencontre de ceux qui vous ont soufflé que pareille menace vous attendait en chemin. Après tout, c’est grâce à ces braves gens que nous pouvons aujourd’hui nous rencontrer. »
Quelque chose n’était pas normal. Les deux personnes en sa compagnie étaient revenues trop vite. Comment n’avaient-ils pas croisé le chemin de ces supposées personnes ayant été victimes de ces attaques ? Non, June ne pensait pas que tout ceci tournait rond. Mais refusant de laisser à Sinclair le temps de s’évader, il se recule d’un pas, lui ouvrant le chemin jusqu’à la porte.
« Si vous pouviez ouvrir le chemin, Monsieur. »
Oh, la politesse ne cachait en rien qu’il ne prendrait pas non pour une réponse. Et une fois que Sinclair les eut dépassés, June siffle doucement entre ses dents.
« Que l’un de vous interroge les trois jeunes filles. Pas de bavures. Nous sommes ici pour sa Majesté, non pas pour créer un conflit diplomatique. »
Lun 1 Mar - 13:13
Vivian vous regarde, perplexe. "Non, ne vous en faites pas, je peux totalement comprendre votre curiosité. Moi-même j'ai essayé de glisser un œil à l'intérieur mais..." il lève le menton où vous devinez une trace jaunâtre d'un ancien bleu. Sans doute un bon crochet du droit. "Le chef de l'expédition m'a clairement fait comprendre que je n'avais pas intérêt à recommencer..." il soupire avant de vous faire un signe de la main en sortant. "Suivez-moi. La plupart des hommes étaient partis au bordel en laissant le soin à deux de leurs compères de garder la carriole. Ils doivent être revenus, maintenant."
Se faisant, il vous guide un peu plus loin, vers une carriole dont rien ne dépasse. A vrai dire, elle ressemble davantage à une très grosse boîte bien fermée qu'à une carriole. Là, vous voyez dix personnes vous accueillir avec des regards tous plus patibulaires les uns que les autres. Vivian se penche vers vous juste avant que vous puissiez parler. "Ne vous fiez pas à leurs airs de grosses brutes, ils sont certes mal dégrossis mais pas méchants pour un sou. Enfin, pas trop !"
Un homme au visage barré d'une cicatrice vous regarde, presque de haut. "C'est qui ceux-là ? On avait demandé des renforts, pas les chérubins mal lunés de nobles de la capitale."
Ah. Ça commence bien. Qu’allez-vous faire ?
• Rester diplomate.
• Lui éclater la figure.
• Rentrer chez vous.
CADEAU ROYAL
Vivian vous regarde, perplexe. "Non, ne vous en faites pas, je peux totalement comprendre votre curiosité. Moi-même j'ai essayé de glisser un œil à l'intérieur mais..." il lève le menton où vous devinez une trace jaunâtre d'un ancien bleu. Sans doute un bon crochet du droit. "Le chef de l'expédition m'a clairement fait comprendre que je n'avais pas intérêt à recommencer..." il soupire avant de vous faire un signe de la main en sortant. "Suivez-moi. La plupart des hommes étaient partis au bordel en laissant le soin à deux de leurs compères de garder la carriole. Ils doivent être revenus, maintenant."
Se faisant, il vous guide un peu plus loin, vers une carriole dont rien ne dépasse. A vrai dire, elle ressemble davantage à une très grosse boîte bien fermée qu'à une carriole. Là, vous voyez dix personnes vous accueillir avec des regards tous plus patibulaires les uns que les autres. Vivian se penche vers vous juste avant que vous puissiez parler. "Ne vous fiez pas à leurs airs de grosses brutes, ils sont certes mal dégrossis mais pas méchants pour un sou. Enfin, pas trop !"
Un homme au visage barré d'une cicatrice vous regarde, presque de haut. "C'est qui ceux-là ? On avait demandé des renforts, pas les chérubins mal lunés de nobles de la capitale."
Ah. Ça commence bien. Qu’allez-vous faire ?
• Rester diplomate.
• Lui éclater la figure.
• Rentrer chez vous.
Mar 2 Mar - 1:16
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava le savait. Elle savait qu'un jour ou l'autre, son sale caractère, sa tendance à ne pas mâcher ses mots et surtout à ne pas avoir de filtres quand elle parlait lui retomberait un jour dessus. Et en ce jour elle payait les frais. Elle grogna brièvement lorsque Gabriel lui asséna un coup de coude et la sermonna sur son comportement. Pas le temps d'en placer une puisque June s'interposa pour empêcher la jeune femme d'en dire d'avantage. Un grognement quitta le fond de sa gorge et ses yeux pouvaient lancer des dagues, les deux nobles seraient sans doute déjà mort. Si le commanditaire était également un tant soit peu honnête, il ne resterait pas anonyme non plus, se retint-elle de dire. Au lieu de cela, elle laissa un autre grognement s'échapper.
Lèvres pincées, elle regarda June et Vivian sortir de l'auberge puis glissa son regard vers Gabriel avant d'ouvrir à nouveau la bouche.
-Je… je vais prendre l'air pour me calmer. Je vous rejoins plus tard pour interroger les jeunes filles.
Et sur ces mots, la rousse sortit de l'auberge et se dirigea vers les chevaux qu'ils avaient laissé à leur arrivée. Une fois près du sien, Stanislava lâcha un très très long soupir en appuyant sa tête contre l'encolure de l'animal, qui visiblement s'en fichait pas mal des états d'âme de sa cavalière.
Ne sois pas stupide, ma grande. Ne foire pas cette mission comme l'autre.
Les remontrances des nobles avaient au moins eu le don de lui remettre en tête les idées en place. Elle était la garde du corps de Victoire de France. De Victoire. Pas de Charles. Victoire, contrairement à son grand-père, avait besoin d'affirmer son autorité sur le trône. Et ce n'était pas en ayant un sale comportement pendant une mission officielle qu'elle l'aiderait. C'était comme l'a poignardé directement dans le dos. Stanislava devait donc ravaler sa fierté surdimensionnée pour le reste du voyage. Soit. Elle pouvait bien faire cet effort si c'était pour la Reine.
Jugeant qu'elle était désormais plus posée après cinq bonnes minutes, la vampire revint à l'auberge comme promis pour interroger les demoiselles Lise, se glissant près de Gabriel discrètement pour ne pas les déranger.
Lèvres pincées, elle regarda June et Vivian sortir de l'auberge puis glissa son regard vers Gabriel avant d'ouvrir à nouveau la bouche.
-Je… je vais prendre l'air pour me calmer. Je vous rejoins plus tard pour interroger les jeunes filles.
Et sur ces mots, la rousse sortit de l'auberge et se dirigea vers les chevaux qu'ils avaient laissé à leur arrivée. Une fois près du sien, Stanislava lâcha un très très long soupir en appuyant sa tête contre l'encolure de l'animal, qui visiblement s'en fichait pas mal des états d'âme de sa cavalière.
Ne sois pas stupide, ma grande. Ne foire pas cette mission comme l'autre.
Les remontrances des nobles avaient au moins eu le don de lui remettre en tête les idées en place. Elle était la garde du corps de Victoire de France. De Victoire. Pas de Charles. Victoire, contrairement à son grand-père, avait besoin d'affirmer son autorité sur le trône. Et ce n'était pas en ayant un sale comportement pendant une mission officielle qu'elle l'aiderait. C'était comme l'a poignardé directement dans le dos. Stanislava devait donc ravaler sa fierté surdimensionnée pour le reste du voyage. Soit. Elle pouvait bien faire cet effort si c'était pour la Reine.
Jugeant qu'elle était désormais plus posée après cinq bonnes minutes, la vampire revint à l'auberge comme promis pour interroger les demoiselles Lise, se glissant près de Gabriel discrètement pour ne pas les déranger.
Ven 5 Mar - 15:38
Peu importe les choix de ses compagnons, June ne leur prête pas un regard supplémentaire. Si Braginsky décide de quitter les lieux et partir, ainsi soit-il. Il n’est pas ici pour assumer les états d’âme de ceux qui travaillent sur cette mission. Lui-même ne se laisserait pas envahir par ses propres questionnements. Paris était à Paris. La seule chose qui devait retenir leur attention pour le moment était cette tâche de couleur dans leur paysage que constitue l’ignominieux Sinclair. Ou plus exactement, l’équipe de loubards qui semblaient avoir été sélectionnés avec tant de minutie par un duc inconnu des contrées du sud de ce pays.
June n’est pas le plus imposant, Gabriel porte peut-être davantage l’air d’un combattant, mais rien, absolument rien, ne peut le démonter. Droit et assuré aux côtés de Vivian, le groupe de dix hommes, la carriole, il les observe d’un air détaché.
« Et je présume que vous nécessitez vous-même des renforts car vous êtes tellement plus compétents que nous. Hm, évidemment. »
Dépassant Vivian sans la moindre hésitation, June observe les hommes les uns après les autres et décroche un sourire entendu à celui qui pensait que l’amabilité était une chose désuète.
« Nous sommes votre seule option, il faudra vous en contenter. Mes deux compagnons nous rejoindront bientôt, d’ici-là, vous pouvez m’appeler June. »
June ne fait pourtant aucun geste pour offrir une poignée de main ou tout autre signe de politesse. Leur confiance mutuelle se gagnerait au heurt de leurs personnalités, et il n’y avait aucun intérêt à enrober la situation.
« Avez-vous d’autres doléances à me partager autre que les questions de nos naissances respectives ? Je n’ai pas davantage l’intention que vous de laisser ce chargement tomber aux mains de quiconque d’autre que son destinataire. Avons-nous perdu suffisamment de temps pour désormais parler de choses sérieuses ? »
June n’est pas le plus imposant, Gabriel porte peut-être davantage l’air d’un combattant, mais rien, absolument rien, ne peut le démonter. Droit et assuré aux côtés de Vivian, le groupe de dix hommes, la carriole, il les observe d’un air détaché.
« Et je présume que vous nécessitez vous-même des renforts car vous êtes tellement plus compétents que nous. Hm, évidemment. »
Dépassant Vivian sans la moindre hésitation, June observe les hommes les uns après les autres et décroche un sourire entendu à celui qui pensait que l’amabilité était une chose désuète.
« Nous sommes votre seule option, il faudra vous en contenter. Mes deux compagnons nous rejoindront bientôt, d’ici-là, vous pouvez m’appeler June. »
June ne fait pourtant aucun geste pour offrir une poignée de main ou tout autre signe de politesse. Leur confiance mutuelle se gagnerait au heurt de leurs personnalités, et il n’y avait aucun intérêt à enrober la situation.
« Avez-vous d’autres doléances à me partager autre que les questions de nos naissances respectives ? Je n’ai pas davantage l’intention que vous de laisser ce chargement tomber aux mains de quiconque d’autre que son destinataire. Avons-nous perdu suffisamment de temps pour désormais parler de choses sérieuses ? »
Ven 5 Mar - 23:13
Stanislava & Gabriel, vous trouverez finalement les triplées, occuper à faire la cuisine. L'une d'elle vous voit et s'interrompt dans sa tâche. "Oh, bonjour, vous voulez quelque chose à manger ?"
June, vos paroles laissent les mercenaires perplexes. Mais le chef fini par rire un bon goût. "AHAHAHAH, j'aime bien c'môme là, s'il a autant de talent à l'épée que de verve en bouche, finalement c'p'être pas un si mauvais ch'val que ça !"
Les autres approuvent. Le chef reprend "Pas d'problème, nous aussi on veut que le chargement arrive en un seul morceau à Paris, le Duc nous a payé une avance mais le reste de la somme, nous l'aurons une fois la réception par la reine confirmée. Et croyez-moi, pour ce paquet d'argent, j'escorterais n'importe qui au bout de la France !"
Il s'arrête un instant avant de préciser : "J'ai demandé à un de mes amis de venir nous prêter main forte aussi. Il est monté à Paris récemment. Il nous rejoindra à Selles-sur-Cher. Rien d'autre à dire, on part quand vous voulez."
CADEAU ROYAL
@Gabriel de Sercey @"Stanislava Braginsky" & @June van Heil
Stanislava & Gabriel, vous trouverez finalement les triplées, occuper à faire la cuisine. L'une d'elle vous voit et s'interrompt dans sa tâche. "Oh, bonjour, vous voulez quelque chose à manger ?"
June, vos paroles laissent les mercenaires perplexes. Mais le chef fini par rire un bon goût. "AHAHAHAH, j'aime bien c'môme là, s'il a autant de talent à l'épée que de verve en bouche, finalement c'p'être pas un si mauvais ch'val que ça !"
Les autres approuvent. Le chef reprend "Pas d'problème, nous aussi on veut que le chargement arrive en un seul morceau à Paris, le Duc nous a payé une avance mais le reste de la somme, nous l'aurons une fois la réception par la reine confirmée. Et croyez-moi, pour ce paquet d'argent, j'escorterais n'importe qui au bout de la France !"
Il s'arrête un instant avant de préciser : "J'ai demandé à un de mes amis de venir nous prêter main forte aussi. Il est monté à Paris récemment. Il nous rejoindra à Selles-sur-Cher. Rien d'autre à dire, on part quand vous voulez."