Sam 6 Mar - 15:39
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Rejoindre June… Oui, il était peut-être préférable qu'elle se joigne au duc plutôt qu'avec le marquis. Il pouvait très bien s'occuper de trois filles sans elle non. Bon, elle ne garantissait pas de tenir sa langue devant des gardes mais elle ferait un petit effort pour le bien de la mission. Pour Victoire. Elle suivit donc le conseil de Gabriel et rejoint le petit groupe à l'extérieur. Lorsqu'elle approcha du groupe, elle nota donc les dix gardes, peu avenant au début et sursauta presque en entendant rire celui qui semblait être le chef de la bande. On dirait que June n'avait pas besoin d'elle en fait. Ses yeux émeraudes s'attardèrent finalement sur la carriole puis détailla un à un les membres de l'escorte. Une jolie somme donc? Quel duc du Sud pouvait bien se permettre telle folie ?
-Selles-sur-Cher… Si nous partons maintenant et qu'il ne nous arrive rien de fâcheux en chemin, nous devrions y être avant la tombée de la nuit, demain, glissa-t-elle à l'intention du Duc suédois.
C'était une vague estimation, basée sur ses propres expériences. La dernière fois que Stanislava avait voyagé en groupe remontait à un peu plus de 60 ans. L'allure avait été beaucoup plus modérée que lorsqu'elle était seule. Elle n'avait personne à attendre, après tout. Beaucoup de paramètres était à prendre en compte et, si sur le moment, Stanislava n'avait pas eu de destination précise, suivant simplement le groupe, cette fois-ci, elle sentait bien que sa patience allait être mise à rude épreuve. Et ce cadeau qu'ils ne pouvaient pas voir. Urgh… Un long voyage en perspective.
-Selles-sur-Cher… Si nous partons maintenant et qu'il ne nous arrive rien de fâcheux en chemin, nous devrions y être avant la tombée de la nuit, demain, glissa-t-elle à l'intention du Duc suédois.
C'était une vague estimation, basée sur ses propres expériences. La dernière fois que Stanislava avait voyagé en groupe remontait à un peu plus de 60 ans. L'allure avait été beaucoup plus modérée que lorsqu'elle était seule. Elle n'avait personne à attendre, après tout. Beaucoup de paramètres était à prendre en compte et, si sur le moment, Stanislava n'avait pas eu de destination précise, suivant simplement le groupe, cette fois-ci, elle sentait bien que sa patience allait être mise à rude épreuve. Et ce cadeau qu'ils ne pouvaient pas voir. Urgh… Un long voyage en perspective.
Dim 7 Mar - 17:16
Resté impassible, l’éclat de rire de l’homme face à lui n’incite qu’un léger signe de tête de la part de June qui hoche enfin la tête lorsqu’ils semblaient avoir trouvé un terrain d’entente. Bien. Il n’avait pas l’intention de perdre du temps à jouer à qui avait le plus de force. Clairement, ces hommes-là n’auraient pas fait long feu en duel contre eux trois, aussi doués soient-ils.
« Je comprends parfaitement, votre travail est ainsi libellé, je ne saurai vous reprendre sur vos choix. »
Une question d’argent, n’est-ce pas ? Des deux, qu’était la chose la plus précieuse : le chargement, ou le fait qu’il soit spécifiquement délivré à la reine ? Restant calme, malgré l’arrivée de Stanislava dans son dos, le son très posé de sa voix contre lui est une indication que la jeune femme semblait s’être calmée. Bien. Ils allaient pouvoir jouer au jeu du chat et de la souris à armes égales. Un regard en arrière indique pourtant au jeune noble que le marquis de Sercey ne les a pas suivis. Il avait dû se contenter d’aller interroger les trois demoiselles… En parlant de cela.
« Il est une chance que la ville vous ait été hospitalière le temps de votre arrêt. Est-il un noble en ces lieux qu’il nous faudrait remercier au nom de sa Majesté avant notre départ ? Nous venons nous-même d’arriver d’une longue chevauchée, quelques instants pour nous dégourdir les jambes ne seraient pas de refus. N’est-ce pas Stanislava ? »
Une œillade à la jeune femme et il reprend doucement, une main effleurant le coude de sa compagne. Ils doivent parler. Quelque chose ne tournait pas rond. Mais avant ça.
« Oh, et il est sûrement de mon tort, mais qu’avez-vous dit être le nom de votre commanditaire ? »
« Je comprends parfaitement, votre travail est ainsi libellé, je ne saurai vous reprendre sur vos choix. »
Une question d’argent, n’est-ce pas ? Des deux, qu’était la chose la plus précieuse : le chargement, ou le fait qu’il soit spécifiquement délivré à la reine ? Restant calme, malgré l’arrivée de Stanislava dans son dos, le son très posé de sa voix contre lui est une indication que la jeune femme semblait s’être calmée. Bien. Ils allaient pouvoir jouer au jeu du chat et de la souris à armes égales. Un regard en arrière indique pourtant au jeune noble que le marquis de Sercey ne les a pas suivis. Il avait dû se contenter d’aller interroger les trois demoiselles… En parlant de cela.
« Il est une chance que la ville vous ait été hospitalière le temps de votre arrêt. Est-il un noble en ces lieux qu’il nous faudrait remercier au nom de sa Majesté avant notre départ ? Nous venons nous-même d’arriver d’une longue chevauchée, quelques instants pour nous dégourdir les jambes ne seraient pas de refus. N’est-ce pas Stanislava ? »
Une œillade à la jeune femme et il reprend doucement, une main effleurant le coude de sa compagne. Ils doivent parler. Quelque chose ne tournait pas rond. Mais avant ça.
« Oh, et il est sûrement de mon tort, mais qu’avez-vous dit être le nom de votre commanditaire ? »
Dim 7 Mar - 20:36
Stanislava&June Le chef de l'expédition vous répond gentiment "On peut partir demain matin si vous voulez. Ce qui nous importe c'est de livrer la marchandise, le temps on peut en faire ce qu'on veut." Il se racle a gorge et poursuit. "Le Duc de Navarre."
Gabriel, les trois jeunes femmes vous regardent et, à vos mots, semblent comprendre de toutes autres intentions. Anne-Lise s'approche de vous, paillonnant des yeux. "Oh eh bien si vous voulez nous pouvons-vous montrer plein de choses d'ici, oui ! Vous voulez aller chez nous ?"
CADEAU ROYAL
Stanislava&June Le chef de l'expédition vous répond gentiment "On peut partir demain matin si vous voulez. Ce qui nous importe c'est de livrer la marchandise, le temps on peut en faire ce qu'on veut." Il se racle a gorge et poursuit. "Le Duc de Navarre."
Gabriel, les trois jeunes femmes vous regardent et, à vos mots, semblent comprendre de toutes autres intentions. Anne-Lise s'approche de vous, paillonnant des yeux. "Oh eh bien si vous voulez nous pouvons-vous montrer plein de choses d'ici, oui ! Vous voulez aller chez nous ?"
Lun 8 Mar - 12:24
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Partir demain matin? Franchement, Stanislava préférerait partir dès maintenant. Ou du moins, quand Gabriel aurait fini sa petite enquête. Mais elle ne pouvait décemment pas imposer son avis. Même si chaque jour loin de la Reine la rendait un peu plus nerveuse, elle devait faire avec. Elle retint donc une grimace et haussa un sourcil interrogateur. Le Duc de Navarre, donc. S'il arrivait quoi que ce soit à la Reine, elle savait où elle devait traquer le bonhomme, au moins.
Prenant son mal en patience, fixant à nouveau la cariole suspicieuse, Stanislava se détourna finalement du petit groupe mais revint finalement pour poser une dernière question.
-Votre ami qui nous rejoindra à Selles-sur-Cher, comment s'appelle-t-il?
J'espère qu'il sait se battre, faillit franchir ses lèvres mais elle retint les mots de justesse. La réussite de la mission dépendait beaucoup de leur entente et de leur cohésion. Et en premier lieu, elle devait faire en sorte de s'entendre avec June et-
-Oh, j'ai failli oublier. J'ai un message pour vous de la part de Mademoiselle May Travel. Elle souhaite vous faire savoir qu'elle est très heureuse de vous savoir en bonne santé. Et que vous lui manquez terriblement et qu'elle a hâte de vous revoir le plus rapidement possible.
La première partie était vraie. La seconde partie était juste une petite taquinerie de sa part. Cette petite blague aurait au moins eu le mérite de dissiper un peu sa frustration.
Prenant son mal en patience, fixant à nouveau la cariole suspicieuse, Stanislava se détourna finalement du petit groupe mais revint finalement pour poser une dernière question.
-Votre ami qui nous rejoindra à Selles-sur-Cher, comment s'appelle-t-il?
J'espère qu'il sait se battre, faillit franchir ses lèvres mais elle retint les mots de justesse. La réussite de la mission dépendait beaucoup de leur entente et de leur cohésion. Et en premier lieu, elle devait faire en sorte de s'entendre avec June et-
-Oh, j'ai failli oublier. J'ai un message pour vous de la part de Mademoiselle May Travel. Elle souhaite vous faire savoir qu'elle est très heureuse de vous savoir en bonne santé. Et que vous lui manquez terriblement et qu'elle a hâte de vous revoir le plus rapidement possible.
La première partie était vraie. La seconde partie était juste une petite taquinerie de sa part. Cette petite blague aurait au moins eu le mérite de dissiper un peu sa frustration.
Jeu 11 Mar - 18:09
Le Duc de Navarre. Un homme dont June ne connait que le nom, mais un nom qu’il ne risque désormais plus d’oublier. Au moins ces hommes-là semblaient avoir plus de jugeotte que ce cher Vivian Sinclair qui s’était subitement fait bien silencieux. Une oeillade en sa direction et June hausse simplement un sourcil avant d’opiner du chef en direction du meneur de la bande.
« Je présume que nous attendrons d’abord notre compagnon, il ne devrait pas tarder. »
Puis de lancer un regard à Stanislava à sa question, s’apprêtant à demander à la jeune femme sa préférence quant à leur départ, mais, lèvres entrouvertes sur un mot qui ne viendra jamais, June reste un instant interdit à la mention de May. Sa mâchoire se referme et s’il aurait certainement pu rougir d’apprendre l’inquiétude de la jeune marchande, c’est pourtant l’agacement de June qui flambe par-dessus tout ceci. Les mots lui échappent avant qu’il n’ait le temps de les penser davantage, ne se démontant pas une seconde d’avoir été ainsi affiché quant à ses affinités avec la jeune Travel.
« Indiscipline, modèle de peintre, et désormais, badinages. Quel impressionnant curriculum, Dame Braginsky. »
Une pause, il la fusille du regard. Quatre jours de voyage et c’était à cet instant précis qu’elle se permettait de rabaisser June devant des hommes dont ils devaient gagner la confiance ? Très bien. June n’oublierait pas que tous les membres de son expédition ne sont pas de son côté. Une réalité dont il n’espérait pas avoir à prendre l’habitude. Enfin, il adresse un regard aux hommes, un sourire en coin aux lèvres, ignorant désormais royalement la rousse alors qu’il approche du chef du groupe, se permettant d’approcher du convoi.
« Pour en revenir aux choses d’intérêt. Vos chevaux doivent être épuisés de tirer pareil convoi. Devrions-nous envisager de faire mander d’autres bêtes pour rendre l’expédition moins ardue ? »
« Je présume que nous attendrons d’abord notre compagnon, il ne devrait pas tarder. »
Puis de lancer un regard à Stanislava à sa question, s’apprêtant à demander à la jeune femme sa préférence quant à leur départ, mais, lèvres entrouvertes sur un mot qui ne viendra jamais, June reste un instant interdit à la mention de May. Sa mâchoire se referme et s’il aurait certainement pu rougir d’apprendre l’inquiétude de la jeune marchande, c’est pourtant l’agacement de June qui flambe par-dessus tout ceci. Les mots lui échappent avant qu’il n’ait le temps de les penser davantage, ne se démontant pas une seconde d’avoir été ainsi affiché quant à ses affinités avec la jeune Travel.
« Indiscipline, modèle de peintre, et désormais, badinages. Quel impressionnant curriculum, Dame Braginsky. »
Une pause, il la fusille du regard. Quatre jours de voyage et c’était à cet instant précis qu’elle se permettait de rabaisser June devant des hommes dont ils devaient gagner la confiance ? Très bien. June n’oublierait pas que tous les membres de son expédition ne sont pas de son côté. Une réalité dont il n’espérait pas avoir à prendre l’habitude. Enfin, il adresse un regard aux hommes, un sourire en coin aux lèvres, ignorant désormais royalement la rousse alors qu’il approche du chef du groupe, se permettant d’approcher du convoi.
« Pour en revenir aux choses d’intérêt. Vos chevaux doivent être épuisés de tirer pareil convoi. Devrions-nous envisager de faire mander d’autres bêtes pour rendre l’expédition moins ardue ? »
Jeu 11 Mar - 21:18
Gabriel, les trois jeunes femmes se regardent, comme si elles se concertaient en silence. Puis l'une d'elle rompt le silence. "Oui, nous l'avons vu mais impossible d'approcher, les hommes qui le gardaient ont dit que personne ne devait prendre de risque avec la cargaison. Pourquoi ?"
Stanislava&June, le chef de l'expédition hausse les épaules en prenant la parole, bras croisés sur son torse. "Moi ça me va de prendre de nouvelles bêtes pour faire le trajet, le Duc paiera les frais supplémentaires de toute façon. Mais avant qu'on les aient, il fera déjà nuit. Vous voudriez partir cette nuit ?" Puis il reprend. "Mon ami s’appelle Sébastien Filin. Pourquoi ?"
CADEAU ROYAL
Gabriel, les trois jeunes femmes se regardent, comme si elles se concertaient en silence. Puis l'une d'elle rompt le silence. "Oui, nous l'avons vu mais impossible d'approcher, les hommes qui le gardaient ont dit que personne ne devait prendre de risque avec la cargaison. Pourquoi ?"
Stanislava&June, le chef de l'expédition hausse les épaules en prenant la parole, bras croisés sur son torse. "Moi ça me va de prendre de nouvelles bêtes pour faire le trajet, le Duc paiera les frais supplémentaires de toute façon. Mais avant qu'on les aient, il fera déjà nuit. Vous voudriez partir cette nuit ?" Puis il reprend. "Mon ami s’appelle Sébastien Filin. Pourquoi ?"
Sam 13 Mar - 20:13
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava laissa couler les remarques de June, habituée à ce qu'on lui reproche bien des choses. Son indiscipline et sa tendance à ne pas tenir sa langue dans sa poche étaient en tête de liste, et Dieu seul sait qu'elle avait eu suffisamment de culot pour défier à plusieurs reprises un des hommes les plus puissants qu' elle ait rencontré. Et elle avait encore la tête sur les épaules. Ce n'était pas June qui allait la recadrer aussi facilement. Elle ne fit donc pas grand cas de son regard courroucé et lui repondit même d'un haussement d'épaule et leva les yeux au ciel lorsqu'il eut le dos tourné. Si on ne pouvait plus plaisanter... Et qu'est-ce qu'il entendait par modèle de peintre ? Stanislava ne se souvenait pas avoir posé un jour pour qui que ce soit. .. Mais elle n'eut pas le temps de trop se prendre la tête avec ça qu'elle eut sa réponse.
Sébastien Filin? Ce Sébastien la ? De toutes les personnes sur cette terre, tous les amis que pouvaient avoir ce mercenaire, il fallait que ça tombe sur... Un ancien amant. Car c'était clairement ce qu'il était.
Comme si la mission ne risquait pas d'être déjà compliquée...
-Juste pour savoir... Ce serait peut-être mieux si on se reposait cette nuit pour être frais demain.
Sébastien Filin? Ce Sébastien la ? De toutes les personnes sur cette terre, tous les amis que pouvaient avoir ce mercenaire, il fallait que ça tombe sur... Un ancien amant. Car c'était clairement ce qu'il était.
Comme si la mission ne risquait pas d'être déjà compliquée...
-Juste pour savoir... Ce serait peut-être mieux si on se reposait cette nuit pour être frais demain.
Dim 14 Mar - 13:16
Au moins la pique eut le mérite de calmer les ardeurs enflammées de la jeune femme à ses côtés. Non, si June pouvait apprécier la taquinerie dans le domaine du privé, ou simplement en public restreint et sûr, il n’y avait aucun monde dans lequel se voir dénigré devant de possibles mercenaires serait bien vu par lui.
June opine du chef dans un mot, prêtant une oreille peu curieuse à l’information du nom de l’homme venant leur prêter main forte à quelques villes de là. Pourquoi faire mandater les soldats si c’était pour ramener des amis du convoi ? L’idée le dépasse. Clairement, ce Duc de Navarre, et tout ce convoi faisait montre d’un manque de rigueur qui le laissait perplexe. Si ce n’était pour la question de la protection du chargement.
L’idée est alors lancée de partir le lendemain. June incline la tête sur le côté.
« Alors profitons-en pour récupérer de nouvelles bêtes. Si l’on procède à un roulement, le trajet se fera plus vite. » Pour ce qui est du reste.
« Acceptez également que nous opérions un roulement pour protéger le chargement. Nous n’avons pas plus le souhait que sa Majesté voie sa surprise gâchée. Et si vous êtes effectivement ici depuis plusieurs jours, vous et vos hommes devez être épuisés. Des tours de garde permettraient que nous puissions tous partir dans les meilleures dispositions demain. »
Et que si par hasard ils se trouvaient enfin seul avec le chargement, ils puissent enfin prendre connaissance de son contenu.
June opine du chef dans un mot, prêtant une oreille peu curieuse à l’information du nom de l’homme venant leur prêter main forte à quelques villes de là. Pourquoi faire mandater les soldats si c’était pour ramener des amis du convoi ? L’idée le dépasse. Clairement, ce Duc de Navarre, et tout ce convoi faisait montre d’un manque de rigueur qui le laissait perplexe. Si ce n’était pour la question de la protection du chargement.
L’idée est alors lancée de partir le lendemain. June incline la tête sur le côté.
« Alors profitons-en pour récupérer de nouvelles bêtes. Si l’on procède à un roulement, le trajet se fera plus vite. » Pour ce qui est du reste.
« Acceptez également que nous opérions un roulement pour protéger le chargement. Nous n’avons pas plus le souhait que sa Majesté voie sa surprise gâchée. Et si vous êtes effectivement ici depuis plusieurs jours, vous et vos hommes devez être épuisés. Des tours de garde permettraient que nous puissions tous partir dans les meilleures dispositions demain. »
Et que si par hasard ils se trouvaient enfin seul avec le chargement, ils puissent enfin prendre connaissance de son contenu.
Dim 14 Mar - 22:54
June&Stanislava, le chef, qui vous révèle s'appeler Francis, accepte votre offre. Cependant... "On est dix avec mes gars, douze ou treize avec vous, on fera trois roulements dans la nuit comme ça vous serez toujours au moins quatre avec mes gars pour surveiller le convoi."
Vous n'aurez donc aucun moment de réellement libre pour inspecter le chargement.
Gabriel, les jeunes femmes vous offre un sourire entendu. "Oh non non, ils nous on juste houspillées, rien de plus." La plus proche de vous se penche à votre oreille. "Mais peut-être qu'on pourrait vous aider à jeter un coup d’œil cette nuit ?"
CADEAU ROYAL
June&Stanislava, le chef, qui vous révèle s'appeler Francis, accepte votre offre. Cependant... "On est dix avec mes gars, douze ou treize avec vous, on fera trois roulements dans la nuit comme ça vous serez toujours au moins quatre avec mes gars pour surveiller le convoi."
Vous n'aurez donc aucun moment de réellement libre pour inspecter le chargement.
Gabriel, les jeunes femmes vous offre un sourire entendu. "Oh non non, ils nous on juste houspillées, rien de plus." La plus proche de vous se penche à votre oreille. "Mais peut-être qu'on pourrait vous aider à jeter un coup d’œil cette nuit ?"
Lun 15 Mar - 17:32
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava légèrement en retrait retint cependant une grimace de contrariété face à la réponse de Francis le mercenaire. Ils seraient donc 13 jusqu'à Selles-sur-Cher, puis 14. Ce n'était pas trop mal pour protéger un convoi contre un groupe de bandits. Par contre, ils seront donc forcément flanqués des hommes mandatés par le Duc. Donc compliqué de jeter un œil dans le convoi. Quelle galère. Même s'ils se retrouvaient à deux dans le même groupe, faire diversion pour les deux autres sans éveiller les soupçons allaient être compliqués. Et même s'ils arrivaient à être tous les 3 avec le convoi, il en restait toujours un… A moins de l'assommer… Bon, si on pouvait éviter les blessés avant de partir. Le forcer à boire tellement qu'il ferait une longue pause pipi? Amadouer l'un des leurs? Urgh… Elle n'était pas spécialement d'humeur pour ce genre de jeux. Surtout s'il devait voyager ensemble après. Aah… La vampire s'était connue plus subtile que ça. Quand elle avait le temps et les moyens sous la mains. Ne pourraient-ils donc pas voir la cargaison avant leur départ? Elle n'allait pas trouver une solution seule.
Elle se contenta donc d'un hochement de tête pour sa part pour signifier qu'elle n'avait rien contre le roulement ( protester aurait été suspect ) et s'éloigna finalement du groupe, signalant au Duc qu'elle allait retrouver Gabriel pour lui annoncer la nouvelle de leur départ reporté demain matin.
Lorsqu'elle revint à l'auberge, elle retrouva donc le marquis en pleine discussion avec les Lise. Visiblement, il n'avait pas fini. Que faire? Bon, autant demander des chambres, s'il en restait. Elle s'approcha donc de ceux qui semblaient être les propriétaires.
-Excusez-moi, est-ce que vous auriez encore trois chambres de disponible pour ce soir? Ou même deux ou une seule.
Pour sa part, cela ne la dérangeait nullement de dormir à la belle étoile. Ce n'était pas une nouveauté pour elle.
Elle se contenta donc d'un hochement de tête pour sa part pour signifier qu'elle n'avait rien contre le roulement ( protester aurait été suspect ) et s'éloigna finalement du groupe, signalant au Duc qu'elle allait retrouver Gabriel pour lui annoncer la nouvelle de leur départ reporté demain matin.
Lorsqu'elle revint à l'auberge, elle retrouva donc le marquis en pleine discussion avec les Lise. Visiblement, il n'avait pas fini. Que faire? Bon, autant demander des chambres, s'il en restait. Elle s'approcha donc de ceux qui semblaient être les propriétaires.
-Excusez-moi, est-ce que vous auriez encore trois chambres de disponible pour ce soir? Ou même deux ou une seule.
Pour sa part, cela ne la dérangeait nullement de dormir à la belle étoile. Ce n'était pas une nouveauté pour elle.
Mer 17 Mar - 14:45
June ne fait aucun cas du départ de Stanislava et opine simplement du chef pour signifier son accord à Francis. Un roulement pourrait dans tous les cas être plus utile pour au minimum inspecter que le chargement ne contienne rien de… vivant. Lançant un regard à l’ensemble des hommes, June finit par serrer la main à Francis avec un sourire en coin.
« Alors je pense que nous avons un accord. Profitons d’une dernière nuit de repos puis nous partirons à l’aube. »
Il devait s’occuper de trouver de nouvelles bêtes, également. Il ferait au mieux sur ce front-là. En attendant…
« Le chemin a dû être long depuis le sud. Puis-je vous tenter d’une brève pause et d’une choppe d’alcool ? Le jour est encore jeune. »
Il n’y avait de toute façon pas grand-chose de plus qu’ils puissent faire désormais. Une bonne entente avec Francis et ses hommes ne rendrait que le trajet moins pénible pour les jours à venir.
« Alors je pense que nous avons un accord. Profitons d’une dernière nuit de repos puis nous partirons à l’aube. »
Il devait s’occuper de trouver de nouvelles bêtes, également. Il ferait au mieux sur ce front-là. En attendant…
« Le chemin a dû être long depuis le sud. Puis-je vous tenter d’une brève pause et d’une choppe d’alcool ? Le jour est encore jeune. »
Il n’y avait de toute façon pas grand-chose de plus qu’ils puissent faire désormais. Une bonne entente avec Francis et ses hommes ne rendrait que le trajet moins pénible pour les jours à venir.
Mer 17 Mar - 15:05
June, Francis vous serre la main avec enthousiasme. "Pas d'refus mon gars ! Jean et Luc vont monter la garde pendant qu'on boit puisque ce sont les derniers à être revenus du lupanar !" Il éclate d'un rire gras et vous suit avec le reste de l'équipe, hormis Jean et Luc.
Stanislava, l'une des sœurs Lise vient vous voir avec un grand sourire. "Je vais vérifier si nous avons encore des chambres !" Elle disparait à l'étage avant de revenir. "Oui, nous en avons un ! Avec un grand lit de couple !" Elle glisse un regard entendu entre vous et Gabriel, signe qu'elle s'était déjà imaginé des choses. Elle vous offre un grand sourire entendu, encore.
Gabriel, la Lise la plus proche de vous vous offrira un clin d’œil. "Très bien, nous verrons tout cela ce soir !"
C'est l'heure de la reprise du service et les jeunes femmes doivent retourner à leurs offices.
CADEAU ROYAL
June, Francis vous serre la main avec enthousiasme. "Pas d'refus mon gars ! Jean et Luc vont monter la garde pendant qu'on boit puisque ce sont les derniers à être revenus du lupanar !" Il éclate d'un rire gras et vous suit avec le reste de l'équipe, hormis Jean et Luc.
Stanislava, l'une des sœurs Lise vient vous voir avec un grand sourire. "Je vais vérifier si nous avons encore des chambres !" Elle disparait à l'étage avant de revenir. "Oui, nous en avons un ! Avec un grand lit de couple !" Elle glisse un regard entendu entre vous et Gabriel, signe qu'elle s'était déjà imaginé des choses. Elle vous offre un grand sourire entendu, encore.
Gabriel, la Lise la plus proche de vous vous offrira un clin d’œil. "Très bien, nous verrons tout cela ce soir !"
C'est l'heure de la reprise du service et les jeunes femmes doivent retourner à leurs offices.
Jeu 18 Mar - 1:30
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava retint un grognement en entendant qu'il ne restait qu'une chambre. Avec un lit. Assez grand pour un couple. Elle plissa presque des yeux en voyant le regard plein de sous-entendu se diriger sans aucune discrétion vers Gabriel qui interrogeait encore les autres Lise. Qu'est-ce que- Non? Quand même pas? Gabriel et elle? À quel moment…? Elle ouvrit la bouche pour protester mais à quoi bon se justifier? Ce n'était pas comme si elle allait rester là longtemps. Pour sa part, Stanislava avait d'autres plans en tête que de partager sa couche avec le marquis. Elle se contenta donc d'un regard désapprobateur et blasé et paya le prix de la chambre.
-Va pour cette chambre.
C'était mieux que rien. Elle récupéra la clé et partit inspecter la chambre rapidement de quitter l'auberge à nouveau. Elle hésita à retourner auprès de June ou d'attendre Gabriel. Ce dernier avait l'air de bien gérer les Lise. Quand au premier, lui aussi semblait se débrouiller. Soupirant, la vampire s'éloigna finalement des lieux pour retourner en ville, déambulant sans but précis, observant tout de même les alentours. Retenta cette fois-ci sa chance avec les demoiselles du lupanar de la ville. Après tout, n'était-ce pas là où s'étaient retrouvés les gardes avant leur arrivée?
Stanislava fit donc quelques détours et lorsqu'elle fut persuadée d'être seule dans une ruelle se trouvant non loin du bordel, elle rabattit sa capuche sur sa tête et s'y dirigea et entra sans hésiter. Ce ne fut qu'une fois à l'abri des regards et des oreilles indiscrètes à l'intérieur qu'elle se découvrit la tête. Lorsqu'on s'approcha d'elle, elle sortit une bourse bien pleine.
-Je veux profiter de la compagnie d'une de vos demoiselles. Jusqu'à la tombée de la nuit.
-Va pour cette chambre.
C'était mieux que rien. Elle récupéra la clé et partit inspecter la chambre rapidement de quitter l'auberge à nouveau. Elle hésita à retourner auprès de June ou d'attendre Gabriel. Ce dernier avait l'air de bien gérer les Lise. Quand au premier, lui aussi semblait se débrouiller. Soupirant, la vampire s'éloigna finalement des lieux pour retourner en ville, déambulant sans but précis, observant tout de même les alentours. Retenta cette fois-ci sa chance avec les demoiselles du lupanar de la ville. Après tout, n'était-ce pas là où s'étaient retrouvés les gardes avant leur arrivée?
Stanislava fit donc quelques détours et lorsqu'elle fut persuadée d'être seule dans une ruelle se trouvant non loin du bordel, elle rabattit sa capuche sur sa tête et s'y dirigea et entra sans hésiter. Ce ne fut qu'une fois à l'abri des regards et des oreilles indiscrètes à l'intérieur qu'elle se découvrit la tête. Lorsqu'on s'approcha d'elle, elle sortit une bourse bien pleine.
-Je veux profiter de la compagnie d'une de vos demoiselles. Jusqu'à la tombée de la nuit.
Mer 24 Mar - 0:03
L’éclat de voix a le mérite de lui arracher un sourire. Ah, on ne changeait pas les hommes qu’importe leurs horizons et leurs origines. Un regard vers Jean et Luc et il leur offre un simple hochement de tête pour remercier leur courage quant à prendre le premier tour de garde. Note malgré tout que même en pleine journée, ils ne relâchaient pas leur surveillance. Il faudrait que June trouve à parler avec ses compagnons de route. Mais avant cela, il faudrait tenter de graisser la patte et la panse de ces hommes.
Enjoignant Francis alors qu’il les suit jusqu’à la taverne la plus proche, June n’hésite pas à offrir la première tournée en gage de bonne foi – et surtout de bonne humeur –. S’il ne lance aucune conversation trop précise pour commencer, c’est en apercevant Gabriel qu’il l’enjoint à participer – avec modération, il l’espérait – à leur grande débandade. Oh, ils devaient avoir fière allure les deux soldats de l’armée de France à boire pendant leur temps de travail. Mais l’hydromel se fait exquis, à sa surprise, et après quelques pintes, June se tourne vers Francis et ses hommes et se penche sur la table, feignant – ah bon ? N’était-il pas un peu éméché lui-même ? – de souffler un secret.
« Alors comme ça dix braves gars comme vous craignez une attaque ? Dites-nous en davantage. J’ai peine à croire qu’une bande de voleurs puisse vous arrêter. »
Enjoignant Francis alors qu’il les suit jusqu’à la taverne la plus proche, June n’hésite pas à offrir la première tournée en gage de bonne foi – et surtout de bonne humeur –. S’il ne lance aucune conversation trop précise pour commencer, c’est en apercevant Gabriel qu’il l’enjoint à participer – avec modération, il l’espérait – à leur grande débandade. Oh, ils devaient avoir fière allure les deux soldats de l’armée de France à boire pendant leur temps de travail. Mais l’hydromel se fait exquis, à sa surprise, et après quelques pintes, June se tourne vers Francis et ses hommes et se penche sur la table, feignant – ah bon ? N’était-il pas un peu éméché lui-même ? – de souffler un secret.
« Alors comme ça dix braves gars comme vous craignez une attaque ? Dites-nous en davantage. J’ai peine à croire qu’une bande de voleurs puisse vous arrêter. »
Mer 24 Mar - 11:45
Tout a été apprêté pour vous cette nuit et une chambre est disponible - si vous arrivez à vous communiquer l’information les uns les autres, évidemment.
Stanislava, la tenancière du bordel vous regarde de haut en bas sans faire davantage de commentaires." D'accord, choisissez celle qu'vous préférez, elles font tout d'toute façon..."
A vous de faire votre choix.
Gabriel&June, les échanges de verres sont lancés. Toutefois, lorsque le Van Heil s'essaie à la négociation, il est très rapidement percé à jour. "Ahahah... Vous nous prenez vraiment pour des lapins de trois semaines, hein ?" Francis prend son verre et descend une bonne gorgée avant de continuer. "Voyez-vous, le contenu de ce chargement est visiblement précieux et difficile à obtenir, surtout en ce moment. Le Duc veut donc s'assurer que tout se passe bien sur la route. Si nous sommes si nombreux, c'est parce que nous sommes bien payés mais aussi prudent. J'ai vu des choses dans ma vie, auparavant, et je préfères trop assurer mes arrières que pas assez. Voilà tout. Nous nous borderons aux consignes du Duc, point barre."
Il termina sa pinte sur ces mots.
CADEAU ROYAL
Tout a été apprêté pour vous cette nuit et une chambre est disponible - si vous arrivez à vous communiquer l’information les uns les autres, évidemment.
Stanislava, la tenancière du bordel vous regarde de haut en bas sans faire davantage de commentaires." D'accord, choisissez celle qu'vous préférez, elles font tout d'toute façon..."
A vous de faire votre choix.
Gabriel&June, les échanges de verres sont lancés. Toutefois, lorsque le Van Heil s'essaie à la négociation, il est très rapidement percé à jour. "Ahahah... Vous nous prenez vraiment pour des lapins de trois semaines, hein ?" Francis prend son verre et descend une bonne gorgée avant de continuer. "Voyez-vous, le contenu de ce chargement est visiblement précieux et difficile à obtenir, surtout en ce moment. Le Duc veut donc s'assurer que tout se passe bien sur la route. Si nous sommes si nombreux, c'est parce que nous sommes bien payés mais aussi prudent. J'ai vu des choses dans ma vie, auparavant, et je préfères trop assurer mes arrières que pas assez. Voilà tout. Nous nous borderons aux consignes du Duc, point barre."
Il termina sa pinte sur ces mots.
Mer 24 Mar - 12:46
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava avait eu quelques appréhensions qu'on l'accepte ou non dans ce bordel et retint un soupir de soulagement lorsque la gérante accepta. Pourquoi refuserait-elle une cliente qui payait de toute façon? Les temps étaient durs après tout et tout était bon à prendre. Ou presque. Stanislava observa les demoiselles présentes et tendit la main vers une jolie blonde aux yeux verts ( je te vois venir nonoeil ), lui adressant un mince sourire, lui demandant avant tout son prénom. La rousse profita donc de sa compagnie, faisant également en sorte que l'instant soit tout aussi agréable pour elle. Le voyage qui s'annonçait promettait d'être fastidieux alors en profiter. Qui plus est, sur Paris, elle n'avait pas l'occasion de s’octroyer ce genre de plaisir.
Entre deux soupirs, allongée sur le flanc, Stanislava tenta un bout de conversation, caressant ses hanches du bout des doigts.
-Je voyage beaucoup, tu sais... et j'ai été étonnée de voir Châteauroux dans cet état. Je sais que la peste a fait des dégâts, mais à ce point? C'est normal?
Même si la peste s'était résorbée depuis quelques temps, rien ne garantissait qu'elle ne reviendra pas au galop. Et la peste avait mené à de grands moments de désespoir. En résultaient peut-être alors les bandits de grands chemins qu'ils risquaient de croiser. Alors, toutes informations étaient bonnes à prendre, ne serait-ce que pour en référer à Victoire et l'aider à améliorer le niveau de vie de son peuple.
Entre deux soupirs, allongée sur le flanc, Stanislava tenta un bout de conversation, caressant ses hanches du bout des doigts.
-Je voyage beaucoup, tu sais... et j'ai été étonnée de voir Châteauroux dans cet état. Je sais que la peste a fait des dégâts, mais à ce point? C'est normal?
Même si la peste s'était résorbée depuis quelques temps, rien ne garantissait qu'elle ne reviendra pas au galop. Et la peste avait mené à de grands moments de désespoir. En résultaient peut-être alors les bandits de grands chemins qu'ils risquaient de croiser. Alors, toutes informations étaient bonnes à prendre, ne serait-ce que pour en référer à Victoire et l'aider à améliorer le niveau de vie de son peuple.
Jeu 25 Mar - 13:56
June relève les mains dans un signe pacifiste un rire dans la voix.
« Désolé, j’ai été élevé pour être méfiant, chassez le naturel il revient au galop. »
En réalité, il était presque… soulagé d’entendre Francis parler de la sorte. Peut-être qu’ils cherchaient quelque chose qu’il ne fallait pas dans ce chargement. Peut-être que leur méfiance naturelle due aux récents événements parisiens avait mis leurs sens trop en alerte. Tâchant de laisser de côté ses questions pour ce soir June joint une pièce de plus pour payer sa tournée et s’enjoint à Gabriel quant à des sujets plus légers, des histoires de leurs aventures. Peut-être qu’à défaut de tirer la moindre information de ce soir, ils allègeraient l’ambiance pour la suite du voyage.
Et s’il devait être sincère, plus il observait Francis et son groupe, plus il voulait croire à la bonne foi de ces bons gars qui ne voulaient que faire leur travail et être payés en fin de course. Tout le monde ne pouvait pas en vouloir à la reine de France.
« Désolé, j’ai été élevé pour être méfiant, chassez le naturel il revient au galop. »
En réalité, il était presque… soulagé d’entendre Francis parler de la sorte. Peut-être qu’ils cherchaient quelque chose qu’il ne fallait pas dans ce chargement. Peut-être que leur méfiance naturelle due aux récents événements parisiens avait mis leurs sens trop en alerte. Tâchant de laisser de côté ses questions pour ce soir June joint une pièce de plus pour payer sa tournée et s’enjoint à Gabriel quant à des sujets plus légers, des histoires de leurs aventures. Peut-être qu’à défaut de tirer la moindre information de ce soir, ils allègeraient l’ambiance pour la suite du voyage.
Et s’il devait être sincère, plus il observait Francis et son groupe, plus il voulait croire à la bonne foi de ces bons gars qui ne voulaient que faire leur travail et être payés en fin de course. Tout le monde ne pouvait pas en vouloir à la reine de France.
Jeu 25 Mar - 14:56
Stanislava, la jeune femme, complétement prise dans vos filets, vous donne quelques confessions. "La baronnie... La baronnie n'est plus active depuis.... depuis la fin de la peste... Personne n'a cherché à régenté ce territoire et... personne n'a osé remonter l'information..."
Gabriel&June, Francis s'apaise quelque peu et accepte de vous parler un peu de lui. "J'ai fais des choses répréhensibles plus jeune. J'vais pas m'en cacher, je volais tout et n'importe quoi. Avec mon ami, Gaspard, à l'époque, on survivait comme ça. On était deux gosses des rues à la base, alors on a apprit à vivre avec." Il boit une gorgée de la nouvelle bière servie. "Puis un jour il est tombé amoureux d'une fille de noble qu'a fuit sa famille pour vivre avec lui. Il a continué un peu le vol mais il a fini par se ranger. V'savez, c'est le genre d'homme qui peut vous persuader de tout et n'importe quoi alors... J'ai raccroché aussi. Et j'me suis organisé une petite bande de bras cassés plus efficaces qu'ils n'en ont l'air ! Depuis, plus d'vol, juste des missions d'escorte, principalement."
CADEAU ROYAL
Stanislava, la jeune femme, complétement prise dans vos filets, vous donne quelques confessions. "La baronnie... La baronnie n'est plus active depuis.... depuis la fin de la peste... Personne n'a cherché à régenté ce territoire et... personne n'a osé remonter l'information..."
Gabriel&June, Francis s'apaise quelque peu et accepte de vous parler un peu de lui. "J'ai fais des choses répréhensibles plus jeune. J'vais pas m'en cacher, je volais tout et n'importe quoi. Avec mon ami, Gaspard, à l'époque, on survivait comme ça. On était deux gosses des rues à la base, alors on a apprit à vivre avec." Il boit une gorgée de la nouvelle bière servie. "Puis un jour il est tombé amoureux d'une fille de noble qu'a fuit sa famille pour vivre avec lui. Il a continué un peu le vol mais il a fini par se ranger. V'savez, c'est le genre d'homme qui peut vous persuader de tout et n'importe quoi alors... J'ai raccroché aussi. Et j'me suis organisé une petite bande de bras cassés plus efficaces qu'ils n'en ont l'air ! Depuis, plus d'vol, juste des missions d'escorte, principalement."
Jeu 25 Mar - 21:05
@feat gabriel de sercey & june van heil acte 1. scène 2Awful
Mission cadeau royal
et un colis pour la reine, un!
Stanislava fronça un sourcil... La baronnie ? Donc la noblesse avait bel et bien abandonné cet endroit ? Et ce depuis la fin de la peste ? Et cela faisait quoi... 2 ans ? Pas étonnant que la ville soit en si piteuse état, si personne ne leur avait tendu la main ces deux dernières années. Victoire n'était sur le trône que depuis le début de l'année alors elle n'avait pas eu le temps de se pencher sur ce sujet. Du moins, elle l'imaginait. Mais nulle doute que la vampire allait lui en parler.
-Personne ne régente... Vraiment ? Mais quoi ? Ils sont morts de la peste, c'est ça ? C'est quoi leurs noms, déjà ? Moi qui voulait proposer mes services en tant que mercenaire... Je suppose que je vais devoir tenter ma chance ailleurs...
Ayant revêti des vêtements bien plus sobres et modestes que son uniforme, personne n'avait besoin de savoir son véritable métier et elle n'avait aucun scrupule à sortir un tel mensonge. Elle allait partir le lendemain à l'aube de toute façon.
-Personne ne régente... Vraiment ? Mais quoi ? Ils sont morts de la peste, c'est ça ? C'est quoi leurs noms, déjà ? Moi qui voulait proposer mes services en tant que mercenaire... Je suppose que je vais devoir tenter ma chance ailleurs...
Ayant revêti des vêtements bien plus sobres et modestes que son uniforme, personne n'avait besoin de savoir son véritable métier et elle n'avait aucun scrupule à sortir un tel mensonge. Elle allait partir le lendemain à l'aube de toute façon.