Ven 16 Juil - 0:56
Elle nota avec précaution et détail la discussion qui était en train de se passer. Lisbeth admirait la vitesse de réflexion de Diane et la réactivité d'Hélène. Une chose est sûre, dans le comportement de ce marquis, il y avait quelques choses de louche. Rien qu'en regardant son comportement, elle ressentait bien évidemment sa colère,, mais également autres choses...Comme s'il cachait quelques choses. C'était un sentiment assez étrange. La remarque de Diane fit réfléchir la demoiselle et elle écrivit de nouveau, restant caché pour éviter le regard de l'homme en face d'elles. Serait-ce une histoire d'amour déguisé en kidnapping ? Aurait-elle fui à cause de la pression que lui mettait le marquis ? Cela aurait du sens si celui-ci comptait sur elle pour remettre une santé à ses finances, comme le disait ce noble.
Elle garda néanmoins le silence, continuant d'analyser la situation et peut-être remarqué des choses que ses comparses de missions ne remarquent pas.
@L'Oeil @Diane d'Orléans @Hélène de ConstantinopleElle garda néanmoins le silence, continuant d'analyser la situation et peut-être remarqué des choses que ses comparses de missions ne remarquent pas.
Ven 16 Juil - 1:36
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Les questions de Diane indiquent que cette dernière a l'air de penser la même chose qu'Hélène : il ne s'agit clairement pas d'un simple enlèvement qui pourrait aisément être résolu devant le juge. D'ailleurs elle est agréablement surprise du sous-entendu du noble qui semble vouloir donner les rênes du marquisat à sa fille. Toutefois, mieux vaut ne pas aller trop vite en besogne.
▬ Cette histoire doit être bien pénible pour vous Messire. Nous ferions mieux d'aller toucher deux mots au ravisseur le plus rapidement possible. Se penchant vers Diane pour lui chuchoter : Je ne pense pas qu'il soit très sage de pousser Messire dans ses retranchements Madame.
S'il est évident qu'il ment, ne serait-ce qu'en omettant certains éléments, les trois dames n'ont aucun intérêt à se le mettre à dos aussi rapidement.
▬ Cette histoire doit être bien pénible pour vous Messire. Nous ferions mieux d'aller toucher deux mots au ravisseur le plus rapidement possible. Se penchant vers Diane pour lui chuchoter : Je ne pense pas qu'il soit très sage de pousser Messire dans ses retranchements Madame.
S'il est évident qu'il ment, ne serait-ce qu'en omettant certains éléments, les trois dames n'ont aucun intérêt à se le mettre à dos aussi rapidement.
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Jeu 22 Juil - 16:41
DÉBUT JUILLET 1590
Le Marquis fronça les sourcils, signe désapprobateur au possible de ces questions. "C'est impossible qu'ils se soient vu ! Charlotte ne sort presque jamais hors du manoir, je la garde... Je veux dire, elle est fragile et ne supporte pas trop longtemps de divaguer comme les enfants des paysans. Je prends grand soin d'elle alors à mon avis, c'est un des domestiques qui a dû aller baver chez cet autre noble pour aiguiser son intérêt ! Et comme ma fille est fragile, eh bien il a surement voulu en profiter pour voir une épouse docile, vous savez..."
La tension monte de plus en plus. Vous avez maintenant le choix entre partir ou rester auprès du Marquis.
Qu’allez-vous faire ?
Un choix par personnage. Vous pouvez vous séparer.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Le Marquis fronça les sourcils, signe désapprobateur au possible de ces questions. "C'est impossible qu'ils se soient vu ! Charlotte ne sort presque jamais hors du manoir, je la garde... Je veux dire, elle est fragile et ne supporte pas trop longtemps de divaguer comme les enfants des paysans. Je prends grand soin d'elle alors à mon avis, c'est un des domestiques qui a dû aller baver chez cet autre noble pour aiguiser son intérêt ! Et comme ma fille est fragile, eh bien il a surement voulu en profiter pour voir une épouse docile, vous savez..."
La tension monte de plus en plus. Vous avez maintenant le choix entre partir ou rester auprès du Marquis.
Qu’allez-vous faire ?
— Aller voir le Marquis incriminé.
— Rester ici.
— Rentrer à Paris.
Un choix par personnage. Vous pouvez vous séparer.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
- N'hésitez pas à contacter l'Oeil ou Victoire en cas de questions !
Jeu 22 Juil - 16:55
Lisbeth devant les paroles du marquis comprit quelques choses. Il empêchait sa fille de sortir et la tenait comme prisonnière. Ce n'était que des suppositions mais plus le temps passé, plus elle ressentait comme une sorte de malaise. Elle fronça un peu les sourcils et prenant son carnet de nouveau, elle écrivit alors quelques choses sur son carnet et tira doucement le tissu de la tenue de Diane pour lui faire signe de se tourner et lui montre ainsi son carnet avec ses pensées inscrites dessus.
- Dame Diane, je pense que nous avons assez parlé avec le Marquis. Au vue de ce qu'il nous dit, il y a quelques choses de louche la dessous. Je propose qu'on parte maintenant, rester ne nous aidera pas plus. Je propose qu'on aille voir le marquis en question...Nous pourrons ainsi parler de ce que l'on pense de cette affaire.
Elle referma son carnet et laissa Diane se retourner, restant cacher derrière celle-ci au cas où.
@Hélène de Constantinople @L'Oeil @Diane d'Orléans - Dame Diane, je pense que nous avons assez parlé avec le Marquis. Au vue de ce qu'il nous dit, il y a quelques choses de louche la dessous. Je propose qu'on parte maintenant, rester ne nous aidera pas plus. Je propose qu'on aille voir le marquis en question...Nous pourrons ainsi parler de ce que l'on pense de cette affaire.
Elle referma son carnet et laissa Diane se retourner, restant cacher derrière celle-ci au cas où.
Sam 24 Juil - 18:18
A chaque fois qu'il prenait la parole, le Marquis se rendait plus exécrable encore. Sa manière de "protéger" sa fille, pour ne pas dire la séquestrer sous couvert d'espérer un bon mariage pour elle qui ravira ses affaires à lui, c'était absolument insupportable, mais malheureusement très courant dans cette société. La dame d'Orléans sentit ses mains se crisper sur sa toilette, à défaut de pouvoir ouvertement critiquer ce grossier personnage. Et puis, Lisbeth attira son attention sur son carnet, que la physicienne parcourut rapidement du regard avant de hocher la tête en regardant droit dans les yeux son amie. Elle se tourna ensuite vers son autre amie Ottomane, pour résumer ce qu'elle venait de lire et lui proposer de quitter la demeure de l'horrible Marquis.
- Comme vous, notre amie suggère de rendre visite au marquis incriminé. Pressons nous mes dames, je crois que nous n'aurons pas plus d'informations ici.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
- Comme vous, notre amie suggère de rendre visite au marquis incriminé. Pressons nous mes dames, je crois que nous n'aurons pas plus d'informations ici.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Dim 25 Juil - 0:14
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Plus le marquis parle, plus Hélène est persuadée que sa fille a délibérément pris la fuite pour échapper aux griffes de son père. Peut-on lui reprocher ?
Puisque les trois drôles de dames semblent être d'accord pour aller discutailler avec le soi-disant ravisseur, Hélène tire une révérence au noble en guise de salut avant de se diriger vers la sortie.
▬ Merci pour ces informations Messire. Nous prenons congé pour aller voir le marquis et promettons de faire notre meilleur pour mettre en lumière cette histoire.
Et comme il n'y aucun serviteur, c'est elle-même qui ouvre la porte et invite Diane et Lisbeth à s'engager dehors.
Puisque les trois drôles de dames semblent être d'accord pour aller discutailler avec le soi-disant ravisseur, Hélène tire une révérence au noble en guise de salut avant de se diriger vers la sortie.
▬ Merci pour ces informations Messire. Nous prenons congé pour aller voir le marquis et promettons de faire notre meilleur pour mettre en lumière cette histoire.
Et comme il n'y aucun serviteur, c'est elle-même qui ouvre la porte et invite Diane et Lisbeth à s'engager dehors.
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Sam 31 Juil - 17:17
DÉBUT JUILLET 1590
Dédaigneux jusqu'au bout, le Marquis souffle finalement un "Ce n'est pas trop tôt !" Avant de vous laisser partir. Il aura cependant prit soin de communiquer l'adresse de l'autre marquis à votre chauffeur de calèche, lequel est déjà prêt à repartir.
Le voyage durera deux bonnes heures supplémentaires avant que vous n'arriviez, enfin, devant le château possédé par le Marquis incriminé. C'est une beauté architecturale ! Étrange, par ailleurs, qu'un simple marquis puisse posséder pareille demeure. Mais soit...
Tout semble calme et il y a même un endroit où faire se reposer les chevaux des voyageurs. Votre cocher y conduira les bêtes afin qu'elles se reposent un peu. Vous entendez alors, porté par le vent léger, un rire, provenant du côté gauche du château. Un accès extérieur s'y trouve sans doute. Mais ne devriez-vous pas aller vérifier d'abord l'entrée principale ?
Les sons recommence. "Maman ! Regardes ! Ma-man !" Et de nouveau, un rire.
Qu’allez-vous faire ?
Un choix par personnage. Vous pouvez vous séparer.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Dédaigneux jusqu'au bout, le Marquis souffle finalement un "Ce n'est pas trop tôt !" Avant de vous laisser partir. Il aura cependant prit soin de communiquer l'adresse de l'autre marquis à votre chauffeur de calèche, lequel est déjà prêt à repartir.
Le voyage durera deux bonnes heures supplémentaires avant que vous n'arriviez, enfin, devant le château possédé par le Marquis incriminé. C'est une beauté architecturale ! Étrange, par ailleurs, qu'un simple marquis puisse posséder pareille demeure. Mais soit...
Tout semble calme et il y a même un endroit où faire se reposer les chevaux des voyageurs. Votre cocher y conduira les bêtes afin qu'elles se reposent un peu. Vous entendez alors, porté par le vent léger, un rire, provenant du côté gauche du château. Un accès extérieur s'y trouve sans doute. Mais ne devriez-vous pas aller vérifier d'abord l'entrée principale ?
Les sons recommence. "Maman ! Regardes ! Ma-man !" Et de nouveau, un rire.
Qu’allez-vous faire ?
— Aller voir l’origine des sons.
— Rester ici.
— Aller frapper à la porte principale.
Un choix par personnage. Vous pouvez vous séparer.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
- N'hésitez pas à contacter l'Oeil ou Victoire en cas de questions !
Dim 1 Aoû - 10:46
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Diane d'Orléans
La jeune muette fronça les sourcils une fois le dos tourner au marquis et serre le poing. Il était abjecte et en plus de cela un très mauvais réceptionniste. Elle suivit alors les demoiselles jusqu'à leurs calèche et se mirent en route aussitôt. Pendant le trajet, Lisbeth analysé ce qu'elle avait marquée et finit par montrer à Diane et Hélène, leurs faisant lire par la même occasion ses pensées.
- Je trouve cela suspect ce que le marquis à dit...J'ai l'impression que sa fille avait un but bien précis dans ces plans...Je n'ai pas vraiment une bonne intuition sur tout cela...
Elle soupira un peu et rangea de nouveau son carnet avant d'arriver finalement devant la demeure du marquis incriminé. Une fois descendu, elle regarda le bâtiment. Ce n'était pas trop luxueux pour un marquis ? Elle haussa les épaules et regarde autour d'elle, un peu perplexe. Elle entendait des bruits d'enfant. Son coeur se mit à battre rapidement et doucement, commença à se diriger vers les bruits qui venait d'être émis. Elle aimait beaucoup les enfants, les voir si joyeux et innocent la faisait revenir en arrière.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Diane d'Orléans
- Action RP:
- Elle va donc se diriger vers la source du bruit, intriguée et mélancolique.
Mar 3 Aoû - 19:13
Dans sa grande bonté, l'imbuvable Marquis avait indiqué aux trois femmes où trouver son terrible rival. Proposer un rafraichissement avant ces deux nouvelles heures de voyage était décidemment bien trop lui demander. Tant pis pour ces dames, retour dans la calèche qui cahote sur la route... Libseth fit part de ses pensées et la physicienne ne se priva pas pour donner son propre avis :
- Le Marquis ne semble préoccupé que par sa propre situation. J'imagine sans peine le désarroi de sa fille qui aurait voulu fuir et peut-être vivre un véritable amour ailleurs...
A leur arrivée, Diane admira la demeure du Marquis incriminé qui avait un goût prononcé pour le luxe. Cela devait lui coûter une vraie fortune pour l'entretien et c'était même surprenant lorsque l'on comparait avec la demeure de l'autre Marquis qui laissait à désirer. Une fois descendue de la calèche, comme ses deux compagnes de voyage, la dame d'Orléans entendit les rires d'un enfant appelant sa mère. Tout naturellement, elle emboîta le pas de Lisbeth, pour d'une part ne pas la laisser seule, mais également par instinct maternel. Et puis elle se souvint que même ici, elle représentait les Orléans et qu'on imaginerait difficilement la sœur du Duc ne pas faire bonne figure et adopter l'attitude attendue par son rang. Elle se ravisa donc, jeta un regard vers l'ottomane, puis se dirigea vers la porte principale, pour frapper à la porte et se présenter.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
- Le Marquis ne semble préoccupé que par sa propre situation. J'imagine sans peine le désarroi de sa fille qui aurait voulu fuir et peut-être vivre un véritable amour ailleurs...
A leur arrivée, Diane admira la demeure du Marquis incriminé qui avait un goût prononcé pour le luxe. Cela devait lui coûter une vraie fortune pour l'entretien et c'était même surprenant lorsque l'on comparait avec la demeure de l'autre Marquis qui laissait à désirer. Une fois descendue de la calèche, comme ses deux compagnes de voyage, la dame d'Orléans entendit les rires d'un enfant appelant sa mère. Tout naturellement, elle emboîta le pas de Lisbeth, pour d'une part ne pas la laisser seule, mais également par instinct maternel. Et puis elle se souvint que même ici, elle représentait les Orléans et qu'on imaginerait difficilement la sœur du Duc ne pas faire bonne figure et adopter l'attitude attendue par son rang. Elle se ravisa donc, jeta un regard vers l'ottomane, puis se dirigea vers la porte principale, pour frapper à la porte et se présenter.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Ven 6 Aoû - 0:39
Perdue dans ses pensées, le regard rivés sur le paysage, Hélène ne fait qu'acquiescer de la tête les réflexions de Diane et s'étonne du contraste entre les deux demeures des marquis. Celui du présumé ravisseur est en effet en bien meilleur état. Espérons que l'accueil soit à la hauteur de la beauté des lieux.
Alors que les dames s'avancent vers l'entrée, leur attention est captée par les cris d'un enfant. Lisbeth se lance aussitôt vers la source de son bruit, presque suivie par Diane. L'ottomane, elle, ne dévie pas d'un pas de son objectif, fronce les sourcils et haussa la voix pour tenter en vain de ramener la couturière :
▬ Lisbeth, il est de bonne tonalité de se présenter immédiatement au propriétaire de l'endroit !
Toutefois comme elle n'allait pas lui courir après, elle emboîte le pas à Diane et la devance même pour aller taper à la porte.
▬ Permettez ma Dame. Trois coups solides sont frappés contre le bois, aussitôt suivis de l'accent prononcé d'Hélène qui annonce. Mademoiselle d'Orléans, soeur du duc d'Orléans venue en personne s'entretenir avec Messire le marquis !
Alors que les dames s'avancent vers l'entrée, leur attention est captée par les cris d'un enfant. Lisbeth se lance aussitôt vers la source de son bruit, presque suivie par Diane. L'ottomane, elle, ne dévie pas d'un pas de son objectif, fronce les sourcils et haussa la voix pour tenter en vain de ramener la couturière :
▬ Lisbeth, il est de bonne tonalité de se présenter immédiatement au propriétaire de l'endroit !
Toutefois comme elle n'allait pas lui courir après, elle emboîte le pas à Diane et la devance même pour aller taper à la porte.
▬ Permettez ma Dame. Trois coups solides sont frappés contre le bois, aussitôt suivis de l'accent prononcé d'Hélène qui annonce. Mademoiselle d'Orléans, soeur du duc d'Orléans venue en personne s'entretenir avec Messire le marquis !
Hélène frappe à la porte et annonce l'arrivée de Diane.
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'OeilDim 8 Aoû - 19:46
DÉBUT JUILLET 1590
Lisbeth, lorsque vous arrivez près des rires, vous apercevez une ravissante jeune femme.
Toutefois, votre présence la fait se relever immédiatement et presque poser une main sur le pommeau de l'épée qu'elle a la ceinture. Finalement, elle se rétracte, prend dans ses bras un bambin qui se tenait jusque là dans l'herbe, en attrape un autre par la main et s'enfuit vers la porte la plus proche qui vous restera fermée au nez. Visiblement, vous avez effrayée la jeune femme qui ne tient pas du tout à vous parler.
Qu’allez-vous faire ?
Diane & Hélène, votre arrivée n’obtient pas immédiatement de réponse. Mais après deux minutes de patience - et de silence pour le moins pesant -, la lourde porte bouge enfin pour ne faire que s'entre-ouvrir. Vous apercevez alors l'imposante stature d'un homme dont le visage porte une balafre affreuse. Instinctivement, vous savez qu'il s'agit du Marquis incriminé.
Il vous adresse un regard neutre, loin d'être hostile mais absolument pas accueillant non plus. "Que voulez-vous ? Je n'ai rien qui soit digne d’intérêt d'une Duchesse, ici."
La suite semble dépendre de ce que vous allez répondre.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Lisbeth, lorsque vous arrivez près des rires, vous apercevez une ravissante jeune femme.
Toutefois, votre présence la fait se relever immédiatement et presque poser une main sur le pommeau de l'épée qu'elle a la ceinture. Finalement, elle se rétracte, prend dans ses bras un bambin qui se tenait jusque là dans l'herbe, en attrape un autre par la main et s'enfuit vers la porte la plus proche qui vous restera fermée au nez. Visiblement, vous avez effrayée la jeune femme qui ne tient pas du tout à vous parler.
Qu’allez-vous faire ?
— Frapper à la porte.
— Glisser un mot sous la porte.
— Retourner auprès de Diane et Hélène.
Diane & Hélène, votre arrivée n’obtient pas immédiatement de réponse. Mais après deux minutes de patience - et de silence pour le moins pesant -, la lourde porte bouge enfin pour ne faire que s'entre-ouvrir. Vous apercevez alors l'imposante stature d'un homme dont le visage porte une balafre affreuse. Instinctivement, vous savez qu'il s'agit du Marquis incriminé.
Il vous adresse un regard neutre, loin d'être hostile mais absolument pas accueillant non plus. "Que voulez-vous ? Je n'ai rien qui soit digne d’intérêt d'une Duchesse, ici."
La suite semble dépendre de ce que vous allez répondre.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
- N'hésitez pas à contacter l'Oeil ou Victoire en cas de questions !
Ven 13 Aoû - 15:52
Son amie ottomane fit en sorte de lui passer devant pour annoncer son arrivée. Une histoire de rang, tout simplement. Les deux femmes attendirent des secondes et même des minutes, quand enfin, on ouvra la porte. Mais pas trop non plus, sait-on jamais que ces deux femmes bien éduquées se permettent de repousser l'homme et d'entrer violemment dans sa demeure. Après l'accueil des plus douteux du précédent marquis, celui de l'actuel était presque trop sympathique. Plantées sur le seuil de la porte, elles avaient au moins la vague brise pour les rafraichir. Mais visiblement, lui non plus n'était pas prêt à les accueillir et à leur proposer une petite boisson pour leur peine. La bouche déjà bien asséchée, la dame d'Orléans s'adressa à l'homme dont le visage était abimé d'une grande cicatrice.
- Messire le Marquis, permettez-moi de vous présenter mon amie, Madame de Constantinople. Une autre jeune femme de la cour, Mademoiselle Corey, nous accompagne également, mais elle se dégourdie les jambes... Nous sommes ici pour soulever le mystère autour d'un sujet épineux. Voyez-vous, Monsieur le Marquis de Montluçat est persuadé de l'enlèvement de sa fille. Nous ne sommes pas ici pour vous incriminer, mais tout naturellement pour entendre votre version des faits avant d'en tirer la moindre conclusion. Nous avons fait beaucoup de route par cette chaleur et sommes plutôt éprouvées... Accepteriez-vous un petit entretien à l'ombre ?
Elle voulut également quémander un breuvage bien frais, mais il y avait des limites au pathétique. Ses joues rougies par la chaleur et son air fatigué devraient être suffisant pour la croire.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
- Messire le Marquis, permettez-moi de vous présenter mon amie, Madame de Constantinople. Une autre jeune femme de la cour, Mademoiselle Corey, nous accompagne également, mais elle se dégourdie les jambes... Nous sommes ici pour soulever le mystère autour d'un sujet épineux. Voyez-vous, Monsieur le Marquis de Montluçat est persuadé de l'enlèvement de sa fille. Nous ne sommes pas ici pour vous incriminer, mais tout naturellement pour entendre votre version des faits avant d'en tirer la moindre conclusion. Nous avons fait beaucoup de route par cette chaleur et sommes plutôt éprouvées... Accepteriez-vous un petit entretien à l'ombre ?
Elle voulut également quémander un breuvage bien frais, mais il y avait des limites au pathétique. Ses joues rougies par la chaleur et son air fatigué devraient être suffisant pour la croire.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Dim 15 Aoû - 14:33
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Attendre ainsi deux longues minutes en silence devant la porte irrite Hélène : est-ce là donc une façon de recevoir une duchesse ? Les gens de la région n'ont-ils donc aucune éducation ? Même elle qui est étrangère sait que cela ne se fait pas ! Et à sa grande surprise c'est l'effrayante figure du marquis lui-même qui apparait dans l'entrée quand on daigne enfin leur répondre. Par réflexe, l'ottomane a un mouvement de recul, une main posée sur sa cuisse là où sous ses jupons est cachée sa dague. Toutefois elle se reprend bien vite et se redresse derrière Diane qui ouvre le dialogue.
▬ Sans vouloir abuser de votre hospitalité Messire, Madame d'Orléans a roulé depuis Paris sans halte par cette sécheresse pour résoudre la quenelle qui vous oppose au père de la demoiselle... Elle cherche à voir par-dessus l'épaule du balafré s'il n'y a pas un domestique dans la maison. Une si grande demeure doit forcément être entretenue par au moins une dizaine de serviteurs ! Auriez-vous l'obligeance de lui offrir un breuvage ?
Évidemment qu'Hélène a bien remarqué que son amie souffre de la chaleur estivale. Même elle qui est habituée aux températures élevées de Constantinople ne serait pas contre un verre d'eau frais. Il faut dire que l'on sue facilement à grosses gouttes dans ces kilos de robes mal aérées et surtout dans ces corsets bien trop serrés !
▬ Sans vouloir abuser de votre hospitalité Messire, Madame d'Orléans a roulé depuis Paris sans halte par cette sécheresse pour résoudre la quenelle qui vous oppose au père de la demoiselle... Elle cherche à voir par-dessus l'épaule du balafré s'il n'y a pas un domestique dans la maison. Une si grande demeure doit forcément être entretenue par au moins une dizaine de serviteurs ! Auriez-vous l'obligeance de lui offrir un breuvage ?
Évidemment qu'Hélène a bien remarqué que son amie souffre de la chaleur estivale. Même elle qui est habituée aux températures élevées de Constantinople ne serait pas contre un verre d'eau frais. Il faut dire que l'on sue facilement à grosses gouttes dans ces kilos de robes mal aérées et surtout dans ces corsets bien trop serrés !
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Lun 16 Aoû - 11:42
@Diane d'Orléans @Hélène de Constantinople @L'Oeil
La jeune couturière s'approchait doucement de la scène qui s'offrait à ses yeux et se stoppa en apercevant une sublime jeune femme qui la dévisagea. Souriant doucement, elle fit un signe de la main mais en la voyant fuir, la demoielle fut surprise et devant le comportement de la demoiselle, Lisbeth resta un peu perplexe. Elle avait peut-être mal agit ? Après une petite réflexion, la petite couturière prit son carnet et s'approcha de la porte avant de déposer sous celle-ci une petite missive écrit avec réflexion.
- Je suis désolé de vous avoir effrayée. Je ne le voulais pas. Je suis arrivée ici en compagnie de deux autres dames pour résoudre le mystère sur une demande particulière venant d'un marquis voisin. Nous sommes ici pour comprendre la situation. Je ne peux malheureusement pas utiliser ma voix mais je voulais simplement vous dire que je suis sincèrement désolé.
La jeune femme se recula alors et resta à une distance raisonnable. Se tournant alors pour regarder le ciel, la demoiselle baissa un peu la tête et se remit à réfléchir. Elle n'avait pas fait vraiment attention à ce détail et à cause d'elle, la jeune femme ne voudrait surement pas lui parler. Voir l'enfant si innocent lui rappelait son propre passé et un petit moment de nostalgie avait envahi son coeur meurtri.
@Diane d'Orléans @Hélène de Constantinople @L'Oeil
Lun 16 Aoû - 19:03
DÉBUT JUILLET 1590
Lisbeth, vous n’obtiendrez pas de retour de votre mot. Cependant, alors que vous faisiez demi-tour, la porte s'ouvre brusquement et quelque chose - ou quelqu'un ? - vous attrape sans ménagement par le col de votre habit et vous ramènes à l'intérieur, non sans vous ceinturer de force.
Diane & Hélène, le marquis hoche la tête en signe d'approbation. "Bien sûr, entrez, la fraîcheur des murs vous sera bénéfique."
Vous pénétrez alors dans son immense demeure et un domestique referme les portes derrière vous. Le noble vous conduit jusqu'à une grand salon à la lumière tamisée, sans doute pour essayer d'endiguer la chaleur extérieure.
"Rémi, prépares donc un breuvage frais pour ces dames, veux-tu ?" Adresse-t-il à un domestique qui ploie devant lui - et vous - avant de s’éclipser rapidement vers ce que vous devinez être les cuisines. En attendant, vous pouvez disposer de fauteuils propres et confortables pour reposer vos corps de vos périples récents.
Le marquis, lui aussi, prend place en face de vous.
Il allait d'ailleurs pour prendre la parole lorsqu'une autre personne fait irruption dans la pièce à grand renfort d'un coup de pied dans la porte qui en séparait le couloir. Il jette Lisbeth, bâillonnée et ligotée, sur le sol du salon, à la surprise générale, semble-t-il.
"Albert ?!" S'exclame le Marquis.
"Messire ! J'ai trouvée cette sale gamine à l'arrière en train d'épier sous la porte !"
"Albert..."
"Je suis sûr qu'elle venait elle aussi pour essayer de reprendre mademoiselle-"
"ALBERT !"
Le marquis frappa du poing sur l'accoudoir de son fauteuil, provoquant un craquement sinistre dans le bois. Son regard, s'il n'est pas menaçant envers son domestique, est porteur d'un message clair. Pas un mot de plus.
La tension est maintenant électrique, si bien que le jeune Rémi, revenu avec des verres d'eau fraîche, ne semble plus savoir sur quel pied danser.
La suite dépend de vous.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Lisbeth, vous n’obtiendrez pas de retour de votre mot. Cependant, alors que vous faisiez demi-tour, la porte s'ouvre brusquement et quelque chose - ou quelqu'un ? - vous attrape sans ménagement par le col de votre habit et vous ramènes à l'intérieur, non sans vous ceinturer de force.
Diane & Hélène, le marquis hoche la tête en signe d'approbation. "Bien sûr, entrez, la fraîcheur des murs vous sera bénéfique."
Vous pénétrez alors dans son immense demeure et un domestique referme les portes derrière vous. Le noble vous conduit jusqu'à une grand salon à la lumière tamisée, sans doute pour essayer d'endiguer la chaleur extérieure.
"Rémi, prépares donc un breuvage frais pour ces dames, veux-tu ?" Adresse-t-il à un domestique qui ploie devant lui - et vous - avant de s’éclipser rapidement vers ce que vous devinez être les cuisines. En attendant, vous pouvez disposer de fauteuils propres et confortables pour reposer vos corps de vos périples récents.
Le marquis, lui aussi, prend place en face de vous.
Il allait d'ailleurs pour prendre la parole lorsqu'une autre personne fait irruption dans la pièce à grand renfort d'un coup de pied dans la porte qui en séparait le couloir. Il jette Lisbeth, bâillonnée et ligotée, sur le sol du salon, à la surprise générale, semble-t-il.
"Albert ?!" S'exclame le Marquis.
"Messire ! J'ai trouvée cette sale gamine à l'arrière en train d'épier sous la porte !"
"Albert..."
"Je suis sûr qu'elle venait elle aussi pour essayer de reprendre mademoiselle-"
"ALBERT !"
Le marquis frappa du poing sur l'accoudoir de son fauteuil, provoquant un craquement sinistre dans le bois. Son regard, s'il n'est pas menaçant envers son domestique, est porteur d'un message clair. Pas un mot de plus.
La tension est maintenant électrique, si bien que le jeune Rémi, revenu avec des verres d'eau fraîche, ne semble plus savoir sur quel pied danser.
La suite dépend de vous.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
- N'hésitez pas à contacter l'Oeil ou Victoire en cas de questions !
Mer 18 Aoû - 9:31
Par chance, ce Marquis avait davantage d'empathie que le précédent et Diane eut presque envie de soupirer de soulagement. La promesse d'un boisson bien fraiche était un véritable encouragement. Les deux dames prirent place sur des fauteuils très accueillants. Il n'était pas question de paraître plus avachie dans sa position, alors Diane se tenait toujours bien droite face au Marquis. Le simple fait d'être confortablement assise était déjà un grand progrès. Tandis que l'hôte s'apprêtait à prendre la parole, un homme fit une apparition bruyante. Et c'est alors que Lisbeth, ligotée et réduite au silence, fut littéralement jetée au sol. Choquée par la condition de son amie, la physicienne bondit de son fauteuil en portant ses mains à son visage.
- Lisbeth ! Déjà elle se penchait pour essayer de dégager son amie de ses entraves. Mademoiselle Corey ne mérite pas un pareil traitement !
Lorsqu'elle jeta un regard outré vers le rustre et le Marquis, elle aperçu un changement radicale dans l'attitude de leur hôte. Menaçant. Il n'y avait pas d'autre mot pour le décrire. L'atmosphère venait de radicalement changer en une poignée de secondes. Et surtout, les dernières paroles du grossier personnage étaient lourdes de sens. Sans doute, elles en avaient trop entendu. Il fallait faire diversion.
- Je vous prie de rendre sa dignité à la responsable couturière de Sa Majesté !
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
- Lisbeth ! Déjà elle se penchait pour essayer de dégager son amie de ses entraves. Mademoiselle Corey ne mérite pas un pareil traitement !
Lorsqu'elle jeta un regard outré vers le rustre et le Marquis, elle aperçu un changement radicale dans l'attitude de leur hôte. Menaçant. Il n'y avait pas d'autre mot pour le décrire. L'atmosphère venait de radicalement changer en une poignée de secondes. Et surtout, les dernières paroles du grossier personnage étaient lourdes de sens. Sans doute, elles en avaient trop entendu. Il fallait faire diversion.
- Je vous prie de rendre sa dignité à la responsable couturière de Sa Majesté !
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Jeu 19 Aoû - 19:50
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Le soulagement d'Hélène d'être enfin reçue convenablement se dissipe immédiatement lorsque leur jeune compagne est trainée devant eux saucissonnée comme un vulgaire animal. Au moins cette agitation fait déjà parler le serviteur. L'ottomane ne manque pas de noter le changement d'attitude du marquis quand il est fait mention d'une certaine mademoiselle.
▬ Sûrement, vous ne prenez pas toutes les gens passant pour des espions venus kidnapper vos gens. En voilà des accusations ridicules, autant que votre façon de traiter une jeune femme. Fait-elle calmement remarquer en jetant un regard sceptique à leur hôte.
C'est donc naturellement qu'elle se lève et s'en va s'agenouiller auprès de Lisbeth pour tenter de défaire ses liens en commençant par ses poignets.
▬ Vous croyez vraiment qu'un petit bout de femme comme ça oserait menacer votre mademoiselle ? C'est qu'elle doit être très précieuse à vos yeux alors. Ajoute-t-elle, presque moqueuse car malgré tout un peu amusée par la scène. Les français n'ont définitivement pas volé leur réputation de malpolis !
▬ Sûrement, vous ne prenez pas toutes les gens passant pour des espions venus kidnapper vos gens. En voilà des accusations ridicules, autant que votre façon de traiter une jeune femme. Fait-elle calmement remarquer en jetant un regard sceptique à leur hôte.
C'est donc naturellement qu'elle se lève et s'en va s'agenouiller auprès de Lisbeth pour tenter de défaire ses liens en commençant par ses poignets.
▬ Vous croyez vraiment qu'un petit bout de femme comme ça oserait menacer votre mademoiselle ? C'est qu'elle doit être très précieuse à vos yeux alors. Ajoute-t-elle, presque moqueuse car malgré tout un peu amusée par la scène. Les français n'ont définitivement pas volé leur réputation de malpolis !
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Jeu 19 Aoû - 21:24
@Diane d'Orléans @Hélène de Constantinople @L'Oeil
Tout se passa si vite, après avoir déposé le mot s'excuser de cette inquiétude, la jeune femme se tourna alors pour réfléchir et d'un coup, elle se retrouva tirée en arrière et ligoter. Apeurée, elle voulut pousser un cri, mais sa bouche se retrouva vite obstruée et la voilà dans une situation délicate. Sa curiosité l'avait encore amenée dans une situation difficile et Lisbeth ne savait pas du tout comment ça allait se finir. Emportée vers une direction inconnue, elle n'essaya même pas de se débattre...À quoi bon ! Elle n'était qu'une frêle jeune femme qui n'avait plus la possibilité de faire quoi que ce soit.
Retenant ses larmes devant une telle humiliation, elle se retrouva soudainement balançait sur le sol, retenant un petit cri de douleur et redresse la tête. Ses yeux se posèrent sur l'homme assis sur le premier fauteuil puis quelques instants après, elle découvrit que ses deux compères de missions se trouvaient également dans la pièce. Ouvrant de grands yeux, elle cacha sa tête directement en n'osant pas les regarder.
Quelques instants après, la voilà maintenant libérée après une lutte acharnée des deux dames et la tête baissée, Lisbeth trembla légèrement. Elles l'avaient prévenue, mais elle n'en avait fait qu'à sa tête. Redressant finalement le regard, elle rebaissa doucement pour leur montrer qu'elle était désolée et chercha son carnet des yeux pour essayer de leur expliquer la situation... Malheureusement, elle ne vit nulle part son petit cahier de notes et se dit qu'elle l'avait peut-être laissée tomber lors de l'accident.
@Diane d'Orléans @Hélène de Constantinople @L'Oeil
Ven 20 Aoû - 15:51
DÉBUT JUILLET 1590
Aux mots de Diane et d'Hélène, le Marquis se lève de son assise pour venir aider les deux femmes à libérer Lisbeth. "Bien entendu. Par ailleurs, vous n'êtes pas dans l'obligation de les accepter, mais sachez que je vous présente mes sincères excuses pour le comportement de mon majordome."
Il aide ensuite Lisbeth a se remettre debout sans le moindre effort et lance un nouveau regard vers Albert.
"Quelque chose est accroché à votre talon, Albert."
"... Hein ? Oh..."
Il s'agit du mot que Lisbeth avait prit soin d'écrire et de glisser sous la porte. Albert, penaud, l'apporte au Marquis qui le lit et soupire en se tenant la tête. Puis il enchaine.
"Je comprends mieux maintenant. Albert, mademoiselle semble chercher quelque chose, veuillez aller voir si en la traitant de la sorte elle n'aurait pas égaré quelque chose."
"Je..."
"Tout de suite."
Ses mots ne laisse aucun doute sur leur teneur. C'est un ordre et le dénommé Albert fait rapidement volte-face pour disparaitre dans le couloir d'où il avait émergé.
"Albert n'est pas un mauvais bougre, il est simplement... Très maladroit dans ses appréciations. Je vous ferais dédommager la somme qui vous semblera correcte pour laver cet affront qui vous a été fait, Mademoiselle. Encore une fois, je vous présente mes excuses."
Le jeune Rémi reçoit alors un signe de main du Marquis pour apporter les boissons.
"Rémi, veuillez apporter un autre verre pour mademoiselle Corey. Et appelez Emma également pour appliquer du baume sur ses poignets et ses chevilles."
"Bien Messire !"
Il est vrai que les cordages avaient entaillés un peu la chaire de la jeune femme. Vous voici désormais seules avec le noble qui se réinstalle dans son fauteuil, une main sur la tempe. Vous devinez que les choses ont prit des proportions bien trop grandes. "Servez-vous, n'hésitez pas, l'eau fraîche saura, je l'espère, apaiser les tensions. Il semblerait que nous soyons empêtrés, tous et toutes autant que nous sommes dans un gigantesque malentendu. Je suis disposé à répondre à toutes les questions que vous pourriez avoir."
Au moins, on ne peut pas dire qu'il est du même bois que le Marquis de Montluçât.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Aux mots de Diane et d'Hélène, le Marquis se lève de son assise pour venir aider les deux femmes à libérer Lisbeth. "Bien entendu. Par ailleurs, vous n'êtes pas dans l'obligation de les accepter, mais sachez que je vous présente mes sincères excuses pour le comportement de mon majordome."
Il aide ensuite Lisbeth a se remettre debout sans le moindre effort et lance un nouveau regard vers Albert.
"Quelque chose est accroché à votre talon, Albert."
"... Hein ? Oh..."
Il s'agit du mot que Lisbeth avait prit soin d'écrire et de glisser sous la porte. Albert, penaud, l'apporte au Marquis qui le lit et soupire en se tenant la tête. Puis il enchaine.
"Je comprends mieux maintenant. Albert, mademoiselle semble chercher quelque chose, veuillez aller voir si en la traitant de la sorte elle n'aurait pas égaré quelque chose."
"Je..."
"Tout de suite."
Ses mots ne laisse aucun doute sur leur teneur. C'est un ordre et le dénommé Albert fait rapidement volte-face pour disparaitre dans le couloir d'où il avait émergé.
"Albert n'est pas un mauvais bougre, il est simplement... Très maladroit dans ses appréciations. Je vous ferais dédommager la somme qui vous semblera correcte pour laver cet affront qui vous a été fait, Mademoiselle. Encore une fois, je vous présente mes excuses."
Le jeune Rémi reçoit alors un signe de main du Marquis pour apporter les boissons.
"Rémi, veuillez apporter un autre verre pour mademoiselle Corey. Et appelez Emma également pour appliquer du baume sur ses poignets et ses chevilles."
"Bien Messire !"
Il est vrai que les cordages avaient entaillés un peu la chaire de la jeune femme. Vous voici désormais seules avec le noble qui se réinstalle dans son fauteuil, une main sur la tempe. Vous devinez que les choses ont prit des proportions bien trop grandes. "Servez-vous, n'hésitez pas, l'eau fraîche saura, je l'espère, apaiser les tensions. Il semblerait que nous soyons empêtrés, tous et toutes autant que nous sommes dans un gigantesque malentendu. Je suis disposé à répondre à toutes les questions que vous pourriez avoir."
Au moins, on ne peut pas dire qu'il est du même bois que le Marquis de Montluçât.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
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Sam 21 Aoû - 21:33
Cette même scène se serait déroulée chez le Marquis de Montluçat, il n'aurait sans doute jamais cherché à présenter des excuses. Mais fort heureusement, ces dames se trouvaient chez un homme éduqué qui les aida à libérer leur amie.
D'un rapide coup d'œil, la physicienne du groupe remarqua l'échauffement de sa peau là où des liens se trouvaient, ce qui ne manqua pas de la faire froncer ses sourcils. Le Marquis le remarqua également et, après avoir envoyé le fameux Albert chercher le carnet de Lisbeth, il lui présenta des excuses et parla même d'un dédommagement. La décision revenait bien évidemment à la couturière et Diane ne s'en mêlerait pas, a priori. Leur hôte ordonna à ses domestiques d'apporter de quoi rafraichir Lisbeth, mais également de quoi soulager sa peau meurtrie. La dame d'Orléans ferait en sorte d'inspecter le dit baume, pour s'assurer qu'on ne propose pas n'importe quelle solution aux blessures de son amie.
Le calme revenu entre eux, chacun s'assit pour profiter de son verre et mettre de l'ordre dans ses pensées. Diane tira légèrement sur le bras de Lisbeth, pour que cette dernière prenne place entre elle et Hélène, protégée par leur présence. Et puis, cela lui permettra d'avoir un œil sur ce fameux baume...
- Malgré la tournure des événements, vous ne correspondez en aucun cas au portrait que le Marquis de Montluçat nous a dressé. Les joues de la dame d'Orléans étaient encore rougies par l'enchainement des émotions. Après ce petit préambule, elle décida d'attaquer directement. Après tout, elles n'étaient pas venues admirer les moulures et avaient subi suffisamment d'épreuves... Que pouvez-vous nous dire au sujet de la fille du Marquis ? Demanda-t-elle, tout simplement. Elle laissait le loisir à son amie ottomane de s'exprimer et de poser d'autres questions, à sa façon toujours très franche, la pauvre Lisbeth étant encore probablement trop chamboulée.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
D'un rapide coup d'œil, la physicienne du groupe remarqua l'échauffement de sa peau là où des liens se trouvaient, ce qui ne manqua pas de la faire froncer ses sourcils. Le Marquis le remarqua également et, après avoir envoyé le fameux Albert chercher le carnet de Lisbeth, il lui présenta des excuses et parla même d'un dédommagement. La décision revenait bien évidemment à la couturière et Diane ne s'en mêlerait pas, a priori. Leur hôte ordonna à ses domestiques d'apporter de quoi rafraichir Lisbeth, mais également de quoi soulager sa peau meurtrie. La dame d'Orléans ferait en sorte d'inspecter le dit baume, pour s'assurer qu'on ne propose pas n'importe quelle solution aux blessures de son amie.
Le calme revenu entre eux, chacun s'assit pour profiter de son verre et mettre de l'ordre dans ses pensées. Diane tira légèrement sur le bras de Lisbeth, pour que cette dernière prenne place entre elle et Hélène, protégée par leur présence. Et puis, cela lui permettra d'avoir un œil sur ce fameux baume...
- Malgré la tournure des événements, vous ne correspondez en aucun cas au portrait que le Marquis de Montluçat nous a dressé. Les joues de la dame d'Orléans étaient encore rougies par l'enchainement des émotions. Après ce petit préambule, elle décida d'attaquer directement. Après tout, elles n'étaient pas venues admirer les moulures et avaient subi suffisamment d'épreuves... Que pouvez-vous nous dire au sujet de la fille du Marquis ? Demanda-t-elle, tout simplement. Elle laissait le loisir à son amie ottomane de s'exprimer et de poser d'autres questions, à sa façon toujours très franche, la pauvre Lisbeth étant encore probablement trop chamboulée.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Sam 28 Aoû - 15:49
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Lisbeth libérée et les boissons apportées, Hélène s'en va se saisir de la carafe pour servir un premier verre à Diane puis un second à la couturière aux poignets meurtris avant d'enfin remplir un troisième gobelet pour elle et de rejoindre son fauteuil.
Si le traitement réservé à leur camarade fait plutôt mauvaise impression, il faut dire qu'elle demeure agréablement surprise par la réaction du marquis qui semble sincèrement embarrassé par la situation. L'ottomane décide donc de ne pas s'attarder sur cet accident et rejoint la Dame d'Orléans dans ses premières questions :
▬ Est-ce que mademoiselle est présente ? Son père s'inquiète énormément pour elle et attend de Madame l'assurance qu'elle ait pu voir de ses propres yeux qu'elle va bien. Ses yeux ne quittent pas le noble alors qu'elle prend une première gorgée. Il est vrai que Messire a l'air bien plus aimable que ce qu'elles avaient pu s'imaginer mais après tout, l'habit ne fait pas le moine...
Si le traitement réservé à leur camarade fait plutôt mauvaise impression, il faut dire qu'elle demeure agréablement surprise par la réaction du marquis qui semble sincèrement embarrassé par la situation. L'ottomane décide donc de ne pas s'attarder sur cet accident et rejoint la Dame d'Orléans dans ses premières questions :
▬ Est-ce que mademoiselle est présente ? Son père s'inquiète énormément pour elle et attend de Madame l'assurance qu'elle ait pu voir de ses propres yeux qu'elle va bien. Ses yeux ne quittent pas le noble alors qu'elle prend une première gorgée. Il est vrai que Messire a l'air bien plus aimable que ce qu'elles avaient pu s'imaginer mais après tout, l'habit ne fait pas le moine...
@Diane d'Orléans @Lisbeth Corey @L'Oeil
Sam 28 Aoû - 16:27
@Hélène de Constantinople @Diane d'Orléans @L'Oeil
La jeune femme avait mal au poignet, c'était certains. Avec l'aide des personnes présent dans la salle, la voilà maintenant libre. Massant avec douceur ses poignets, elle leva alors la tête vers le marquis et le regarda prendre le bout de papier et en le lisant, Lisbeth baissa un peu la tête, légèrement embêtée. Heureusement qu'elle avait écrit ce mot, cela avait suffi pour la défendre de toute mauvaise méfiance. Aux paroles de l'homme, Lisbeth secoua la tête en prenant une petite respiration pour reprendre ses pensées. Elle avait été chamboulée par ce comportement, mais elle ne voulait pas apporter encore plus de désordre dans ce lieu. Gentillement, elle secoua alors la tête face à la proposition de dédommagement, mais ne pouvant pas répondre convenablement, elle allait attendre que son bien lui revienne.
Remerciant d'un léger sourire l'ottomane qui venait de lui donner un verre d'eau,. Tirée par Diane, elle alla rejoindre les deux jeunes femmes sur les fauteuils, se retrouvant au milieu. Attendant patiemment que le médecin arrive avec de quoi soulagé ses brûlures, la couturière écouta alors les questions de ses deux alliées, buvant tranquillement son verre d'eau, faisant attention à ne pas trop abîmé l'état de ses poignets.
@Hélène de Constantinople @Diane d'Orléans @L'Oeil
Sam 28 Aoû - 22:17
DÉBUT JUILLET 1590
Le Marquis se masse la nuque, visiblement bien embêté par vos questions. Toutefois, vous ne sentez en aucun cas qu'il essaie de se défiler, bien au contraire. "Eh bien..."
Mais là, nouveau coup de théâtre ! De derrière l'un des rideaux associés à la fenêtre dans votre dos émerge une silhouette fluette mais vivace. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Diane et Hélène se retrouvent avec la lame aiguisée d'un poignard sous la gorge. Si elles bougent, les conséquences pourraient être dramatiques. "Faites un seul mouvement et je vous juste que je n'aurais aucun état d'âme à vous abattre ici et maintenant ! Quant à vous, l'imbécile au carnet, n'ayez crainte, je peux vous assommer avec un bon coup de tête bien placé alors n'essayer par de bouger plus que vos comparses, vous ne me prendrez pas mes enfants ni ne me ramènerez là-bas !"
Visiblement, la demoiselle que vous cherchiez est bien vivante et plutôt en forme. Mais elle ne semble pas être d'humeur à vous laisser poursuivre sur cette voie. "Savoir si je vais bien, non mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre venant de lui ! Il n'y a bien que des gourdes de femmes nobles pour croire à de telles inepties !"
Le marquis, qui s'était redressé de son assise, lève les mains en l'air en signe évident de tentative d'apaisement. Sa voix s'est adoucit et il veut visiblement éviter que le pire ne se produise ici.
"Annette, je t'en prie... Poses ces poignards. Ces femmes ne te veulent pas de mal, je peux te l'assurer. S'il te plaît..."
"... Mais... Chantal..."
"Je sais. Fais moi confiance."
Le temps semble suspendu et un vacillement est perceptible dans la tenue des poignards de la jeune femme.
ACTIONS POSSIBLES :
Vous pouvez tenter une action de votre choix ou ne rien faire et rédiger votre réaction.
Si vous décidez d'entamer une action, précisez là en fin de votre post et lancez deux dés.
Exemple : Hélène essaie de s'échapper en faisant du break dance + 2 dés.
Fugue insolente
DÉBUT JUILLET 1590
Le Marquis se masse la nuque, visiblement bien embêté par vos questions. Toutefois, vous ne sentez en aucun cas qu'il essaie de se défiler, bien au contraire. "Eh bien..."
Mais là, nouveau coup de théâtre ! De derrière l'un des rideaux associés à la fenêtre dans votre dos émerge une silhouette fluette mais vivace. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Diane et Hélène se retrouvent avec la lame aiguisée d'un poignard sous la gorge. Si elles bougent, les conséquences pourraient être dramatiques. "Faites un seul mouvement et je vous juste que je n'aurais aucun état d'âme à vous abattre ici et maintenant ! Quant à vous, l'imbécile au carnet, n'ayez crainte, je peux vous assommer avec un bon coup de tête bien placé alors n'essayer par de bouger plus que vos comparses, vous ne me prendrez pas mes enfants ni ne me ramènerez là-bas !"
Visiblement, la demoiselle que vous cherchiez est bien vivante et plutôt en forme. Mais elle ne semble pas être d'humeur à vous laisser poursuivre sur cette voie. "Savoir si je vais bien, non mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre venant de lui ! Il n'y a bien que des gourdes de femmes nobles pour croire à de telles inepties !"
Le marquis, qui s'était redressé de son assise, lève les mains en l'air en signe évident de tentative d'apaisement. Sa voix s'est adoucit et il veut visiblement éviter que le pire ne se produise ici.
"Annette, je t'en prie... Poses ces poignards. Ces femmes ne te veulent pas de mal, je peux te l'assurer. S'il te plaît..."
"... Mais... Chantal..."
"Je sais. Fais moi confiance."
Le temps semble suspendu et un vacillement est perceptible dans la tenue des poignards de la jeune femme.
ACTIONS POSSIBLES :
Vous pouvez tenter une action de votre choix ou ne rien faire et rédiger votre réaction.
Si vous décidez d'entamer une action, précisez là en fin de votre post et lancez deux dés.
Exemple : Hélène essaie de s'échapper en faisant du break dance + 2 dés.
- Quelques précisions:
- - Vous avez 10 jours à compter d'une intervention de l'Oeil pour répondre sans quoi je considérerai que vous avez manqué un tour et me réserverai le droit de prendre des sanctions en conséquences.
- Privilégiez les réponses courtes. Si vos posts sont longs, un résumé clair de vos actions sera fortement apprécié !
- 5 lignes ou 5 paragraphes on s'en fiche ! L'important est de s'amuser ! Ne vous sentez pas obligés de combler avec des descriptions ou des introspections ou de reprendre les éléments donnés par le MJ. Le format de la quête est pensé pour être scindé par des narrations courtes mais nombreuses.
- Si aucun choix ne vous ait explicitement donné c'est que vous êtes totalement libre de vos actions. Attention, chaque choix aura des conséquences, restez cohérents ! Enfin si vous tenez à la vie...
- N'hésitez pas à contacter l'Oeil ou Victoire en cas de questions !
Dim 29 Aoû - 1:43
Si elle est bien entendu surprise par cette attaque éclair, Hélène ne perd pas une miette de sa contenance. Ce n'est pas la première fois qu'on la menace avec le bout d'une lame aiguisée. L'ottomane reste droite et relève un peu le menton en regardant la dénommée Annette dans le blanc des yeux presque comme si elle la mettait au défi. Tout ceci est décidément de plus en plus intriguant !
C'est alors avec un calme olympien et même une pointe de malice qu'elle prend la parole :
▬ En effet Mademoiselle nous ne sommes pas ici pour guerroyer, simplement pour savoir si vous allez bien. Elle tourne la tête et désigne Diane du regard. Madame d'Orléans ici présente a été très touchée par la rumeur qu'une jeune fille ait pu être kidnappée pour être conduite de force devant l'autel. Ayant eu vent de cette affaire elle n'a écouté que sa bravoure pour voler à votre encontre et vous prêter assistance si besoin en est. Revenant vers la demoiselle, elle ajoute un sourire : Et si mes yeux ne me font pas défaut, je vois qu'effectivement vous vous portez comme un charme !
Elle n'a après tout aucune raison de lever la main sur Annette tout comme celle-ci n'en a aucune d'exécuter sa menace. Devant un animal hostile, mieux vaut effectivement garder son calme et montrer patte blanche.
C'est alors avec un calme olympien et même une pointe de malice qu'elle prend la parole :
▬ En effet Mademoiselle nous ne sommes pas ici pour guerroyer, simplement pour savoir si vous allez bien. Elle tourne la tête et désigne Diane du regard. Madame d'Orléans ici présente a été très touchée par la rumeur qu'une jeune fille ait pu être kidnappée pour être conduite de force devant l'autel. Ayant eu vent de cette affaire elle n'a écouté que sa bravoure pour voler à votre encontre et vous prêter assistance si besoin en est. Revenant vers la demoiselle, elle ajoute un sourire : Et si mes yeux ne me font pas défaut, je vois qu'effectivement vous vous portez comme un charme !
Elle n'a après tout aucune raison de lever la main sur Annette tout comme celle-ci n'en a aucune d'exécuter sa menace. Devant un animal hostile, mieux vaut effectivement garder son calme et montrer patte blanche.
Dim 29 Aoû - 19:52
Le calme était revenu, c’était tout de même mieux de converser dans ces conditions. Hélène prit la peine de servir un verre à toutes les trois et Diane l’en remercia avec un sourire sincère. Enfin, une boisson ! Elle porta avec dignité et lenteur son gobelet à ses lèvres, était sur le point de pouvoir désaltérer sa gorge sèche, un bonheur… qui n’arriva jamais.
Voilà qu’une lame menaçait sa gorge. Mais d’où sortait-elle ? Par quel miracle cette femme était-elle parvenue à faire preuve à ce point de discrétion ? Totalement surprise et même un peu pétrifiée par la peur, la dame d’Orléans décida qu’il serait plus sage de lentement, très lentement décaler son gobelet de ses lèvres en signe de reddition. Le reste de son corps ne bougea pas d’un iota. A vrai dire, c’était bien la première fois que sa vie était ainsi menacée… Elle écouta la fière ottomane justifier de leurs bonnes intentions et enfonça cette porte ouverte :
- Loin de nous l’idée de vous forcer à retourner auprès de votre père, le Marquis. Sachez Madame que, bien que nous essayions de rester les plus neutres possibles dans cette affaire, nous avons quelques avis sur les raisons qui vous pousseraient à nous menacer de vos lames plutôt que de retourner vivre sous sa coupe. Vous trouverez de la compassion chez chacune d’entre nous.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey
Voilà qu’une lame menaçait sa gorge. Mais d’où sortait-elle ? Par quel miracle cette femme était-elle parvenue à faire preuve à ce point de discrétion ? Totalement surprise et même un peu pétrifiée par la peur, la dame d’Orléans décida qu’il serait plus sage de lentement, très lentement décaler son gobelet de ses lèvres en signe de reddition. Le reste de son corps ne bougea pas d’un iota. A vrai dire, c’était bien la première fois que sa vie était ainsi menacée… Elle écouta la fière ottomane justifier de leurs bonnes intentions et enfonça cette porte ouverte :
- Loin de nous l’idée de vous forcer à retourner auprès de votre père, le Marquis. Sachez Madame que, bien que nous essayions de rester les plus neutres possibles dans cette affaire, nous avons quelques avis sur les raisons qui vous pousseraient à nous menacer de vos lames plutôt que de retourner vivre sous sa coupe. Vous trouverez de la compassion chez chacune d’entre nous.
@L'Oeil @Hélène de Constantinople @Lisbeth Corey