Mer 17 Mar - 15:39
Elle crie de douleur au coup de Scar. Le sang gicle abondamment pendant quelques secondes de sa blessure.
Caelestis, vous êtes violemment repoussé contre le mur le plus proche. Vous êtes sonné pour le prochain tour.
Un nouveau coup vous touche de plein fouet, cette fois. A l'inverse de Béatrice, cependant, vous souffrirez des épines du fouet qui vous entaillent profondément. Vous tombez à genoux, incapables de vous relever. Votre mal de tête s'intensifie et votre soif devient de plus en plus... irrépressible.
Si la Comtesse ne semble pas vouloir la laisser approcher, elle vous octroie un coup de fouet volontairement dévié aux jambes, afin de vous maintenir au sol.
[Si vous souhaitez initier une action "offensive", précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
DISPARITIONS INQUIETANTES
Elle crie de douleur au coup de Scar. Le sang gicle abondamment pendant quelques secondes de sa blessure.
COMTESSE D'ORAMBRE
65%Caelestis, vous êtes violemment repoussé contre le mur le plus proche. Vous êtes sonné pour le prochain tour.
CAELESTIS
61%Un nouveau coup vous touche de plein fouet, cette fois. A l'inverse de Béatrice, cependant, vous souffrirez des épines du fouet qui vous entaillent profondément. Vous tombez à genoux, incapables de vous relever. Votre mal de tête s'intensifie et votre soif devient de plus en plus... irrépressible.
SCAR
5%Si la Comtesse ne semble pas vouloir la laisser approcher, elle vous octroie un coup de fouet volontairement dévié aux jambes, afin de vous maintenir au sol.
CONSTANTIN
65%[Si vous souhaitez initier une action "offensive", précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
Mer 17 Mar - 16:23
avant edit : j'édit après, mais Béa se picpic avec la potion de métamorphose avant d'attaquer la comtesse, avec un regain d'énergie.
deux dés :
si le premier est pair, elle se change en loup garou. s'il est impair, elle se change en vampire.
selon le résultat du second, elle a la présence d'esprit (ou non) de donner du sang à scar malgré la potion qui lui embrouille l'esprit.
let's goooo
All this running aroundI can't fight it much longer
Tout se passa très vite.
Le fouet siffla à ses pieds avant que n’émergent du sol des formes osseuses, comme si les squelettes des victimes fleurissaient des bourgeons de leur sang vicié. Béatrice n’eut pas le temps de faire un pas qu’elles asservirent ses jambes, ses bras, son corps tout entier — avant de serrer, serrer, serrer. Elle s’entendit hurler, elle se sentit tomber, elle essaya même de ramper pour rester mobile, ne pas s’avouer vaincue, avant qu’un poids ne se place sur elle et l’immobilise.
La comtesse ? Mais elle ne réussit même pas à se débattre, sonnée, vidée, s’entendant respirer sans savoir si elle vivait encore.
— Pas toi aussi.
Un murmure lointain. Et là, sous l’eau noire, l’eau gelée qui la glaçait jusqu’aux os, elle sentit quelqu’un remuer.
Avec un râle pitoyable, elle ouvrit les yeux. Tout était rouge, jusqu’à ses cils. Les bruits secs et lourds du combat lui revenaient par par à-coups, tantôt clairs, tantôt ténus, et elle tendit la main jusqu’à son épée. Son bras ne bougea pas. La lame, à quelques mètres, et pourtant trop loin.
Un autre sifflement. Elle se rapprochait, Béatrice en avait la certitude. Elle devait bouger — où était Constantin ? —, soulever son épée avec ses dents si cela était nécessaire. Pas comme ça. Pas comme ça.
Ils allaient mourir ici.
Où était Constantin ?
Elle leva les yeux. Au sol. Est-ce qu’il était mort ? Non, non, pas couvert de sang. Caelestis ? Nulle part. Trop sombre. Et Scar, alors ? Devant. Il avait soif et mal. Elle rampa vers lui.
Un dernier recours.
Un putain de —
Un putain de pari avec Thanatos.
Sa jambe frôla la seringue qui alourdissait sa poche.
Un dernier recours.
Elle la planta dans son bras sans même y penser. Il lui sembla qu’à l’assaut, seul avait survécu son instinct. Et la douleur, une douleur exquise, à mille lieux préférable à une léthargie mortelle. Ses ongles s’allongèrent et s’aiguisèrent, ses canines bousculèrent les autres dents de sa mâchoire — des crocs, des crocs, elle aussi pouvaient mordre — et s’entendit hurler avec une voix qui ne lui appartenait pas.
Elle allait la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer —
— Attends.
Elle cilla. On lui parlait. Qui parlait ? Scar ? Scar ? Pourquoi est-ce qu’elle était devant lui ? Elle était venue là, pour quoi, pour mourir ? Elle lui tendit le cou.
Si Béatrice vivait encore, elle était reléguée avec les autres spectres qui ordonnaient son corps.
— Calme-toi. Je sais que c'est difficile, mais essaie. Concentre-toi sur ma voix. Ça va aller. Je suis avec toi.
Un ombre passa devant le voile rouge qui recouvrait sa vision. Une silhouette, au loin, plus sombre que les autres. La comtesse ! La comtesse ! Béatrice montra les crocs, les griffes, et se jeta sur elle.
Le fouet siffla à ses pieds avant que n’émergent du sol des formes osseuses, comme si les squelettes des victimes fleurissaient des bourgeons de leur sang vicié. Béatrice n’eut pas le temps de faire un pas qu’elles asservirent ses jambes, ses bras, son corps tout entier — avant de serrer, serrer, serrer. Elle s’entendit hurler, elle se sentit tomber, elle essaya même de ramper pour rester mobile, ne pas s’avouer vaincue, avant qu’un poids ne se place sur elle et l’immobilise.
La comtesse ? Mais elle ne réussit même pas à se débattre, sonnée, vidée, s’entendant respirer sans savoir si elle vivait encore.
— Pas toi aussi.
Un murmure lointain. Et là, sous l’eau noire, l’eau gelée qui la glaçait jusqu’aux os, elle sentit quelqu’un remuer.
Avec un râle pitoyable, elle ouvrit les yeux. Tout était rouge, jusqu’à ses cils. Les bruits secs et lourds du combat lui revenaient par par à-coups, tantôt clairs, tantôt ténus, et elle tendit la main jusqu’à son épée. Son bras ne bougea pas. La lame, à quelques mètres, et pourtant trop loin.
Un autre sifflement. Elle se rapprochait, Béatrice en avait la certitude. Elle devait bouger — où était Constantin ? —, soulever son épée avec ses dents si cela était nécessaire. Pas comme ça. Pas comme ça.
Ils allaient mourir ici.
Où était Constantin ?
Elle leva les yeux. Au sol. Est-ce qu’il était mort ? Non, non, pas couvert de sang. Caelestis ? Nulle part. Trop sombre. Et Scar, alors ? Devant. Il avait soif et mal. Elle rampa vers lui.
Un dernier recours.
Un putain de —
Un putain de pari avec Thanatos.
Sa jambe frôla la seringue qui alourdissait sa poche.
Un dernier recours.
Elle la planta dans son bras sans même y penser. Il lui sembla qu’à l’assaut, seul avait survécu son instinct. Et la douleur, une douleur exquise, à mille lieux préférable à une léthargie mortelle. Ses ongles s’allongèrent et s’aiguisèrent, ses canines bousculèrent les autres dents de sa mâchoire — des crocs, des crocs, elle aussi pouvaient mordre — et s’entendit hurler avec une voix qui ne lui appartenait pas.
Elle allait la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer la tuer —
— Attends.
Elle cilla. On lui parlait. Qui parlait ? Scar ? Scar ? Pourquoi est-ce qu’elle était devant lui ? Elle était venue là, pour quoi, pour mourir ? Elle lui tendit le cou.
Si Béatrice vivait encore, elle était reléguée avec les autres spectres qui ordonnaient son corps.
— Calme-toi. Je sais que c'est difficile, mais essaie. Concentre-toi sur ma voix. Ça va aller. Je suis avec toi.
Un ombre passa devant le voile rouge qui recouvrait sa vision. Une silhouette, au loin, plus sombre que les autres. La comtesse ! La comtesse ! Béatrice montra les crocs, les griffes, et se jeta sur elle.
avant edit : j'édit après, mais Béa se picpic avec la potion de métamorphose avant d'attaquer la comtesse, avec un regain d'énergie.
deux dés :
si le premier est pair, elle se change en loup garou. s'il est impair, elle se change en vampire.
selon le résultat du second, elle a la présence d'esprit (ou non) de donner du sang à scar malgré la potion qui lui embrouille l'esprit.
let's goooo
Mer 17 Mar - 16:23
Le membre 'Béatrice Botherel' a effectué l'action suivante : Combats
#1 'L'oeil a statué sur ' : 72
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#2 'L'oeil a statué sur ' : 79
#1 'L'oeil a statué sur ' : 72
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#2 'L'oeil a statué sur ' : 79
Mer 17 Mar - 16:30
La Comtesse est abasourdie par ce qu'elle voit. Elle ne bouge pas pour ce tour-ci.
Béatrice, vous devenez un être hybride entre le lycan et l'humain. Vos sens sont brouillés mais vous parvenez à rejoindre Scar pour lui donner de votre sang. Vos blessures se sont refermées et votre coeur bat à tout rompre.
Béatrice vous permet de boire du sang d'un goût détestable mais qui a le mérite de doper votre part vampirique. Vos plus petites plaies arrêtent de saigner et votre mal de tête n'est plus que très léger. Vous pouvez vous remettre debout et effectuer deux sauts maximum.
[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
DISPARITIONS INQUIETANTES
La Comtesse est abasourdie par ce qu'elle voit. Elle ne bouge pas pour ce tour-ci.
COMTESSE D'ORAMBRE
65%Béatrice, vous devenez un être hybride entre le lycan et l'humain. Vos sens sont brouillés mais vous parvenez à rejoindre Scar pour lui donner de votre sang. Vos blessures se sont refermées et votre coeur bat à tout rompre.
BEATRICE
100%Béatrice vous permet de boire du sang d'un goût détestable mais qui a le mérite de doper votre part vampirique. Vos plus petites plaies arrêtent de saigner et votre mal de tête n'est plus que très léger. Vous pouvez vous remettre debout et effectuer deux sauts maximum.
SCAR
45%[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
Mer 17 Mar - 18:13
Darkest Veil.
Le second impact est un hurlement dans la nuit. Tes crocs serrés à en rompre l’émail, tu ne fais pourtant pas le moindre bruit. Tu restes aussi ferme que tu le peux sur tes appuis, une main te rattrapant pourtant au sol. Les cris ne sont pas les tiens, ils sont ceux qui saccagent tes pensées, un battement infâme qui te ronge le crâne. Carmin s’empourpre et tu sais que si tu relâches ta mâchoire, tu ne sauras pas t’arrêter. Non.
Pourtant là où le monde vacille devant toi, c’est dans ton dos que le mouvement te surprend. Non. Non tu ne peux pas laisser l’une des humaines se dérober. Elles sont blessées. Mortelles. Mais rien de tes idées, de tes mots ou de tes choix n’a de cohérence. Pas lorsque tu ne perçois plus qu’une gorge offerte dans le vrombissement sauvage de la douleur. Léthargie contre tes sens.
L’instinct t’appelle et tes crocs se referment sur la chair pâle. Rouge contre rouge, les mèches blondes t’échappent. Seul l’abomination de ce goût contre ta langue explose contre ta langue. Mais tu lapes et bois, gronde et referme instinctivement ta main sur le flanc offert. Ta paume en revient poisseuse, mais le flot de sang a cessé. Et contre le tissu d’une robe, tu réalises alors que tu la relâches, comme frappé par la réalisation abjecte.
Devant toi, l’humaine se redresse, portant à sa face et ses traits les lignes d’une race aberrante. Furie éclate là où tu ne peux que voir l’étincelle de peur et de surprise sur la vermine qu’est cette comtesse. Attaquer. Attaquer. Le regain est un torrent de flammes contre tes entrailles et d’un mouvement, tu récupères l’arme laissée au sol. L’épée de l’humaine entre tes mains est légère et tu ne peux penser qu’à la rattraper. Or contre carmin, tu bondis, sens tes jambes protester et pousse une seconde fois, encore plus fort. Toujours plus fort.
Une frappe frontale. Tout pour épargner l’humaine.
Pourtant là où le monde vacille devant toi, c’est dans ton dos que le mouvement te surprend. Non. Non tu ne peux pas laisser l’une des humaines se dérober. Elles sont blessées. Mortelles. Mais rien de tes idées, de tes mots ou de tes choix n’a de cohérence. Pas lorsque tu ne perçois plus qu’une gorge offerte dans le vrombissement sauvage de la douleur. Léthargie contre tes sens.
L’instinct t’appelle et tes crocs se referment sur la chair pâle. Rouge contre rouge, les mèches blondes t’échappent. Seul l’abomination de ce goût contre ta langue explose contre ta langue. Mais tu lapes et bois, gronde et referme instinctivement ta main sur le flanc offert. Ta paume en revient poisseuse, mais le flot de sang a cessé. Et contre le tissu d’une robe, tu réalises alors que tu la relâches, comme frappé par la réalisation abjecte.
Devant toi, l’humaine se redresse, portant à sa face et ses traits les lignes d’une race aberrante. Furie éclate là où tu ne peux que voir l’étincelle de peur et de surprise sur la vermine qu’est cette comtesse. Attaquer. Attaquer. Le regain est un torrent de flammes contre tes entrailles et d’un mouvement, tu récupères l’arme laissée au sol. L’épée de l’humaine entre tes mains est légère et tu ne peux penser qu’à la rattraper. Or contre carmin, tu bondis, sens tes jambes protester et pousse une seconde fois, encore plus fort. Toujours plus fort.
Une frappe frontale. Tout pour épargner l’humaine.
Mer 17 Mar - 18:18
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 84, 35
'L'oeil a statué sur ' : 84, 35
Mer 17 Mar - 18:19
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 34
'L'oeil a statué sur ' : 34
Mer 17 Mar - 18:23
La Comtesse est abasourdie par ce qu'elle voit. Elle ne bouge pas pour ce tour-ci.
Béatrice, votre hargne vous permet de contrer l'attaque de la Comtesse. Elle en aura presque lâché le fouet mais sera parvenu à refermer ses doigts sur la hampe au dernier moment. Vos coups de griffes lui ont lacéré les épaules et la poitrine. Elle crie, elle saigne. Vous lui avez porté un coup puissant et elle n'a pas pu vous blesser.
Scar, vous ratez complétement votre attaque et vous retombez sur vos rotules, déjà en mauvais état. La seconde attaque de la Comtesse a raison de vos dernières forces. Pour le moment, vous vous évanouissez.
[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
DISPARITIONS INQUIETANTES
La Comtesse est abasourdie par ce qu'elle voit. Elle ne bouge pas pour ce tour-ci.
COMTESSE D'ORAMBRE
35%Béatrice, votre hargne vous permet de contrer l'attaque de la Comtesse. Elle en aura presque lâché le fouet mais sera parvenu à refermer ses doigts sur la hampe au dernier moment. Vos coups de griffes lui ont lacéré les épaules et la poitrine. Elle crie, elle saigne. Vous lui avez porté un coup puissant et elle n'a pas pu vous blesser.
BEATRICE
100%Scar, vous ratez complétement votre attaque et vous retombez sur vos rotules, déjà en mauvais état. La seconde attaque de la Comtesse a raison de vos dernières forces. Pour le moment, vous vous évanouissez.
SCAR
0%[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
Mer 17 Mar - 18:26
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 9
'L'oeil a statué sur ' : 9
Mer 17 Mar - 18:29
Le membre 'Béatrice Botherel' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 18
'L'oeil a statué sur ' : 18
Mer 17 Mar - 18:36
Le membre 'Caelestis Amarillo' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 21
'L'oeil a statué sur ' : 21
Mer 17 Mar - 18:37
Toutes les attaques ont échoué.
[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
DISPARITIONS INQUIETANTES
Toutes les attaques ont échoué.
COMTESSE D'ORAMBRE
35%BEATRICE
100%SCAR
0%[Si vous souhaitez initier une action, précisez-là dans votre post et lancez un dé.]
Mer 17 Mar - 18:40
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 31
'L'oeil a statué sur ' : 31
Mer 17 Mar - 18:40
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 23
'L'oeil a statué sur ' : 23
Mer 17 Mar - 19:29
wrong turn
Le moins qu'on puisse dire, c'était que Constantin n'avait rien d'un combattant. En dépit de cette puissante frayeur qui le faisait se mouvoir, il glissa au sol et s'écrasa de tout son long par terre. Un nouveau coup de fouet, cette fois-ci aux guibolles, lui passa toute envie de promptement se relever. Se redressant, la vision toute aussi floue que les idées, il observa avec horreur une créature affreuse en prises avec la mère du Comte, assistée de Caelestis qui se démenait avec son épée gigantesque. À ses côtés, gisaient les corps de Scar et Merill. Où était Béatrice ? Quelle était cette abomination en train de lacérer la sois-disante Bathory ?
Rien ne faisait sens.
▬ A-a-arrêtez ! Par tous les saints... Inutile de finir sa phrase, il savait qu'on ne l'écouterait plus et s'avança donc péniblement vers la Dame d'Orambre avec l'espoir stupide et paradoxalement désespéré qu'un simple toucher pourrait la stopper et mettre fin au carnage ambiant.
Rien ne faisait sens.
▬ A-a-arrêtez ! Par tous les saints... Inutile de finir sa phrase, il savait qu'on ne l'écouterait plus et s'avança donc péniblement vers la Dame d'Orambre avec l'espoir stupide et paradoxalement désespéré qu'un simple toucher pourrait la stopper et mettre fin au carnage ambiant.
Mer 17 Mar - 19:29
Le membre 'Constantin de St Hilaire' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 20
'L'oeil a statué sur ' : 20