Mer 24 Mar - 17:10
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Lettre à un PNJ
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Ven 18 Juin - 0:32
La lecture de cette missive le fait soupirer. Il s’attendait à ce genre de demandes, bien entendu. Il en recevait déjà quelques-unes à Bray puis lors de son service auprès du Duc de Bretagne et plus récemment du Comte d’Harcourt. Son frère le lui a soufflé, sa mère n’a de cesse de le répéter : il fait désormais un bon parti.
Lorsqu’il était auprès du Vicomte d’Émanville, ce dernier attendait de ses chevaliers qu’ils soient nobles de cœur et aucunement perturbés par les faits de la conjugalité. Amaury avait accepté cette réalité, reléguant loin, loin, les choses du mariage. Par la suite, il arrivait à prétexter un manque de temps, un manque d’attrait ou remettait en cause la lignée des prétendantes (ou de leurs parents, plutôt).
Désormais, le temps passe et à son âge, rester un Chevalier célibataire n’est pas toujours bien perçu, il le sait. Ce n’est pas un sujet qui l’anime particulièrement, il a tendance à préférer les plaisirs fugaces et affirmer sa responsabilité envers Dieu, avant toute chose. Quand on risque aussi souvent sa vie, comment peut-on devenir un époux convenable ?
Il ne peut pas pour autant tourner sans cesse le dos à ce genre de demande, et il préfère encore s’occuper de lui-même de ce genre de choses que laisser d’autres s’en charger pour lui. Et puis… le Marquis de Bellevallée a bonne presse, dans les salons de la Cour.
Très clairement, il n’attend rien d’une telle rencontre.
Il aura toutefois l’élégance de ne pas décliner.
En réponse au courrier du Marquis de Bellevallée.
La lecture de cette missive le fait soupirer. Il s’attendait à ce genre de demandes, bien entendu. Il en recevait déjà quelques-unes à Bray puis lors de son service auprès du Duc de Bretagne et plus récemment du Comte d’Harcourt. Son frère le lui a soufflé, sa mère n’a de cesse de le répéter : il fait désormais un bon parti.
Lorsqu’il était auprès du Vicomte d’Émanville, ce dernier attendait de ses chevaliers qu’ils soient nobles de cœur et aucunement perturbés par les faits de la conjugalité. Amaury avait accepté cette réalité, reléguant loin, loin, les choses du mariage. Par la suite, il arrivait à prétexter un manque de temps, un manque d’attrait ou remettait en cause la lignée des prétendantes (ou de leurs parents, plutôt).
Désormais, le temps passe et à son âge, rester un Chevalier célibataire n’est pas toujours bien perçu, il le sait. Ce n’est pas un sujet qui l’anime particulièrement, il a tendance à préférer les plaisirs fugaces et affirmer sa responsabilité envers Dieu, avant toute chose. Quand on risque aussi souvent sa vie, comment peut-on devenir un époux convenable ?
Il ne peut pas pour autant tourner sans cesse le dos à ce genre de demande, et il préfère encore s’occuper de lui-même de ce genre de choses que laisser d’autres s’en charger pour lui. Et puis… le Marquis de Bellevallée a bonne presse, dans les salons de la Cour.
Très clairement, il n’attend rien d’une telle rencontre.
Il aura toutefois l’élégance de ne pas décliner.
19 juin,
An de grâce 1590.
An de grâce 1590.
À l’attention du Marquis de Bellevallée.
Monsieur le Marquis,
Merci de l’intérêt que vous semblez porter à ma personne.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de vous croiser, vous et votre fille, et ne saurai refuser telle invitation. Pour autant, il m’apparait courtois de ne m’avancer d’aucune manière quant à votre proposition. Je suis homme de combat et j’ai du mal à m’imaginer autrement que l’épée à la main. Ferais-je en cela un époux convenable pour une jeune femme ? Mes différents engagements m’ont éloigné de ce genre de réflexion jusque-là.
Néanmoins, j’accepte de vous rencontrer, vous et Mademoiselle votre fille. La vie est faite de choix et de conséquences, voyons où cela nous mènera.
D’ici le 28 juin, que Dieu vous ait en sa bonne garde, Monsieur le Marquis.
Mes salutations toutes particulières à votre fille.
Monsieur le Marquis,
Merci de l’intérêt que vous semblez porter à ma personne.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de vous croiser, vous et votre fille, et ne saurai refuser telle invitation. Pour autant, il m’apparait courtois de ne m’avancer d’aucune manière quant à votre proposition. Je suis homme de combat et j’ai du mal à m’imaginer autrement que l’épée à la main. Ferais-je en cela un époux convenable pour une jeune femme ? Mes différents engagements m’ont éloigné de ce genre de réflexion jusque-là.
Néanmoins, j’accepte de vous rencontrer, vous et Mademoiselle votre fille. La vie est faite de choix et de conséquences, voyons où cela nous mènera.
D’ici le 28 juin, que Dieu vous ait en sa bonne garde, Monsieur le Marquis.
Mes salutations toutes particulières à votre fille.
— Chevalier
Amaury de Bray
Amaury de Bray
Dim 11 Juil - 1:41
À l'attention de Soeur Merill,
Très chère Mademoiselle Merill, désireux de rectifier mon impolitesse de ces derniers mois, je profite d'un voyage chez des amis du Sud pour vous écrire et vous demander de vos nouvelles ainsi que celles de Frère Ferdinand. J'ai honte de l'admettre mais Mademoiselle Béatrice et moi-même avons été des hôtes si déplorables lors de sa visite qu'il nous a quitté avant même l'heure du dessert ! Va-t-il donc bien ?
Bien entendu, si vous ou Frère Ferdinand souhaitez repasser à la maison pour goûter à la tarte aux pommes de Mademoiselle vous êtes toujours les bienvenus. Je vous promets qu'elles ne sont pas aussi salées que le sarcasme de leur cuisinière, en fait elles sont mêmes tout à fait goûteuses. Sinon vous pouvez également passer au palais de l'Archevêché et me faire demander, je prierai mes gens de bien vous recevoir.
Connaissez-vous les Alpes ? C'est une région merveilleuse, pleine de soleil et de tranquillité. Je vous avoue que Paris ne me manque pas vraiment, mais avec tout le travail qui m'attend à la capitale je ne peux évidemment pas rester longtemps dans le Sud.
Dans tous les cas, je vous fais parvenir avec ce courrier quelques bouteilles de vin de la région qui sauront, je l'espère, vous faire oublier la pénibilité de ces derniers mois et surtout le manque de manière de Messire Amarillo. Puis-je vous demander d'en offrir une à Frère Ferdinand et de lui transmettre de ma part et également de celle de Mademoiselle Béatrice nos plus sincères excuses ainsi que nos remerciements pour sa visite et la brioche ?
En vous remerciant d'avance, soyez bénie par le Très-Haut.
Sincères amitiés,
Domaine de Bayard, le 25 mai 1590
À l'attention de Soeur Merill,
Très chère Mademoiselle Merill, désireux de rectifier mon impolitesse de ces derniers mois, je profite d'un voyage chez des amis du Sud pour vous écrire et vous demander de vos nouvelles ainsi que celles de Frère Ferdinand. J'ai honte de l'admettre mais Mademoiselle Béatrice et moi-même avons été des hôtes si déplorables lors de sa visite qu'il nous a quitté avant même l'heure du dessert ! Va-t-il donc bien ?
Bien entendu, si vous ou Frère Ferdinand souhaitez repasser à la maison pour goûter à la tarte aux pommes de Mademoiselle vous êtes toujours les bienvenus. Je vous promets qu'elles ne sont pas aussi salées que le sarcasme de leur cuisinière, en fait elles sont mêmes tout à fait goûteuses. Sinon vous pouvez également passer au palais de l'Archevêché et me faire demander, je prierai mes gens de bien vous recevoir.
Connaissez-vous les Alpes ? C'est une région merveilleuse, pleine de soleil et de tranquillité. Je vous avoue que Paris ne me manque pas vraiment, mais avec tout le travail qui m'attend à la capitale je ne peux évidemment pas rester longtemps dans le Sud.
Dans tous les cas, je vous fais parvenir avec ce courrier quelques bouteilles de vin de la région qui sauront, je l'espère, vous faire oublier la pénibilité de ces derniers mois et surtout le manque de manière de Messire Amarillo. Puis-je vous demander d'en offrir une à Frère Ferdinand et de lui transmettre de ma part et également de celle de Mademoiselle Béatrice nos plus sincères excuses ainsi que nos remerciements pour sa visite et la brioche ?
En vous remerciant d'avance, soyez bénie par le Très-Haut.
Sincères amitiés,
Constantin de St Hilaire
Lun 30 Aoû - 20:34
Chère Demoiselle de Navarre Comment pourrais-je oublier une ravissante demoiselle telle que vous ? Je n’ai pu assister à toutes les activités de cette journée mais j’espère, malgré votre incident, que vous avez pu en profiter. Vous me voyez honoré, ainsi que la Reine, si j’ose parler en son nom dans cette missive, que le Parc de Saint-Cloud ait pu accueillir un tel évènement. Feu notre grand-père, Francis de Saint-Cloud ne peut être que ravi.
Mon aide est on ne peut plus naturel et je suis persuadé que d’autre l’aurait fait à ma place également. Si je puis mettre, j’espère qu’à l’avenir vous prendrez d’avantage soin de votre santé, car sans elle, il nous ait bien difficile d’accomplir certaines choses. Quoi qu’il en soit, je suis enchanté de voir que vous semblez bien portante. Si vous éprouvez quelconques soucis de santé lors de votre séjour sur la capitale, n’hésitez pas à aller consulter ma sœur Diane d’Orléans, également le médecin attitré de la Reine. Ne soyez point intimidée par cela, car jeune femme au grand coeur, elle se fera un plaisir de vous aider, que vous le souhaitiez ou non.
Je serai ravi de répondre à votre invitation et, sauf imprévus, je serai disponible pour le jour et l’heure que vous me proposez. Il me tarde de vous revoir ce jour-là.
Iris fut très heureuse de votre cadeau et vous envoie ses plus tendres baisers comme remerciements. Mes plus sincères salutations,
Charles d'Orléans.
Mon aide est on ne peut plus naturel et je suis persuadé que d’autre l’aurait fait à ma place également. Si je puis mettre, j’espère qu’à l’avenir vous prendrez d’avantage soin de votre santé, car sans elle, il nous ait bien difficile d’accomplir certaines choses. Quoi qu’il en soit, je suis enchanté de voir que vous semblez bien portante. Si vous éprouvez quelconques soucis de santé lors de votre séjour sur la capitale, n’hésitez pas à aller consulter ma sœur Diane d’Orléans, également le médecin attitré de la Reine. Ne soyez point intimidée par cela, car jeune femme au grand coeur, elle se fera un plaisir de vous aider, que vous le souhaitiez ou non.
Je serai ravi de répondre à votre invitation et, sauf imprévus, je serai disponible pour le jour et l’heure que vous me proposez. Il me tarde de vous revoir ce jour-là.
Iris fut très heureuse de votre cadeau et vous envoie ses plus tendres baisers comme remerciements. Mes plus sincères salutations,
Charles d'Orléans.
Jeu 14 Oct - 20:17
Malgré la surprise du contenu de cette missive et le fait qu'elle n'en connaissait pas l'auteur, le cœur de la physicienne ne pouvait se résoudre à ne pas répondre à cet appel. Ainsi, elle se laissa emporter par tant de mystères et se rendit à Notre-Dame. Les indications lui permirent de facilement trouver où cacher sa réponse, très succincte. Elle prit soin de ne pas mettre son nom, dans le cas où sa lettre ne serait pas trouvée par la bonne personne :
A la personne de confiance,
J'entends votre appel et j'y répondrai volontiers pour votre ami.
Un médecin de confiance.
Dim 24 Oct - 12:45
Messire de Normandie,
Je ne puis répondre pour mon frère, le Duc d'Orléans, néanmoins je vous confirme avec plaisir accepter votre invitation à vous rendre visite dans vos appartements parisiens, le deux août à onze heure.
En attendant ce jour, portez vous bien et bonne convalescence.
Amitiés,
Diane d'Orléans
Dim 24 Oct - 16:45
Chere Duc de Normandie Votre lettre est, en effet, une bien agréable surprise que voilà. Mais je suis enchanté d'apprendre que vous vous êtes remis de vos blessures suffisamment pour souhaiter vous entretenir avec ma chère soeur et moi-même.
L'heure et la date me convient parfaitement. Vous ne bousculez en rien mon propre emploi du temps. Je ne puis m'avancer sur les disponibilités de Diane aussi je lui laisse le soin de répondre en son nom.
Dans l'attente de pouvoir discuter avec vous, je prierai pour un prompt rétablissement pour vous.Mes plus sincères salutations,
Charles d'Orléans.
L'heure et la date me convient parfaitement. Vous ne bousculez en rien mon propre emploi du temps. Je ne puis m'avancer sur les disponibilités de Diane aussi je lui laisse le soin de répondre en son nom.
Dans l'attente de pouvoir discuter avec vous, je prierai pour un prompt rétablissement pour vous.Mes plus sincères salutations,
Charles d'Orléans.
Lun 25 Oct - 15:44
La lettre a été soigneusement rédigée et envoyée par Eleanor de Bayard.
Son époux a bien conscience qu’en tant qu’homme marié, il serait complexe de justifier l’envoi d’un courrier à une Dame célibataire. Aimable a partagé ses inquiétudes à son épouse pour Mlle De Bellevallée, qu’il n’a pas vue lors du bal. Eleanor s’est décidée à la contacter.
- A l'adresse de Mlle De Bellevallée -
La lettre a été soigneusement rédigée et envoyée par Eleanor de Bayard.
Son époux a bien conscience qu’en tant qu’homme marié, il serait complexe de justifier l’envoi d’un courrier à une Dame célibataire. Aimable a partagé ses inquiétudes à son épouse pour Mlle De Bellevallée, qu’il n’a pas vue lors du bal. Eleanor s’est décidée à la contacter.
Mlle De Bellevallée
Je suis Mme Eleanor Euridice De Bayard, épouse du Chevalier De Bayard.
J’ai entendu dire beaucoup de bien de vous et j’espérais vous rencontrer au Bal d’Augustine. Malheureusement, je n’ai pas eu la chance de vous voir – ou de vous reconnaître parmi toutes ces gens. J’espère de tout cœur qu’il nous sera donné l’occasion de vous rencontrer et d’échanger avec vous.
Mon mari et moi avons su pour la perte tragique de votre frère. Nous vous écrivons pour vous transmettre nos plus sincères condoléances. Nous serons à votre écoute si nous pouvons vous apporter assistance, de quelques manières qu’il soit. Notre boîte aux lettres vous est ouverte.
Mon mari souhaite profiter de ce courrier pour savoir si vous avez pu offrir votre tableau à Dame De Navarre et si votre soirée s'était bien terminée.
Au plaisir de vous lire, que Dieu veille sur vous et votre famille,
Eleanor Euridice De Bayard, Epouse d’Aimable Eleuthère De Bayard
Je suis Mme Eleanor Euridice De Bayard, épouse du Chevalier De Bayard.
J’ai entendu dire beaucoup de bien de vous et j’espérais vous rencontrer au Bal d’Augustine. Malheureusement, je n’ai pas eu la chance de vous voir – ou de vous reconnaître parmi toutes ces gens. J’espère de tout cœur qu’il nous sera donné l’occasion de vous rencontrer et d’échanger avec vous.
Mon mari et moi avons su pour la perte tragique de votre frère. Nous vous écrivons pour vous transmettre nos plus sincères condoléances. Nous serons à votre écoute si nous pouvons vous apporter assistance, de quelques manières qu’il soit. Notre boîte aux lettres vous est ouverte.
Mon mari souhaite profiter de ce courrier pour savoir si vous avez pu offrir votre tableau à Dame De Navarre et si votre soirée s'était bien terminée.
Au plaisir de vous lire, que Dieu veille sur vous et votre famille,
Eleanor Euridice De Bayard, Epouse d’Aimable Eleuthère De Bayard
Dim 7 Nov - 14:30
Paris, Août 1590
Monsieur,
Votre missive m'est arrivée ce jour, et plus que d'étirer la teneur de ces faits curieux sur ces lignes de papier, sachez que mon intérêt a été pleinement piqué. Aucune réprimande ne sera faite à l'état de vos services, à condition que vous-même, Monsieur Lafont, ainsi que votre compagnon, Monsieur Lomme, répondent en temps et en heure à cette convocation immédiate par laquelle je vous somme de rejoindre le quartier des armées pour venir à ma rencontre.
Missive similaire a été mandée à Monsieur Lomme.
Je vous prie, Monsieur, d'entendre l'urgence de ma demande et de ne laisser aucun délai céder le pas à la fuite de celui ou celle qui se serait introduit contre la loi dans l'un des bâtiments du Palais royal.
Dans l'attente de votre rencontre.
Eve de Harcourt, Maréchal des armées de France -
Dim 21 Nov - 17:24
A Messire le Baron de Pressigny, Cette missive fait suite à celle que vous m'avez fait parvenir il y a quelques semaines maintenant au sujet de Damoiselle Brindal et de votre volonté de marier la jeune femme à votre neveu. Sachez que je me suis entretenu avec elle et que votre proposition a été acceptée par ses soins.
Je ne demanderais qu'une chose à votre personne, si vous me permettez ce caprice. Dame Brindal - prochainement Dame de Melay, donc - reste ma Dame de Compagnie. Aussi, il est fort possible que j'ai besoin de ses services et de sa présence à ma Cour rapidement. La laisser partir sur vos terres pour son union est chose certaine, mais je souhaiterais qu'elle soit revenue, idéalement, avant le moins de Novembre de cette année. Votre neveu est d'ailleurs le bienvenu à la Cour, s'il le souhaite également.
En vous remerciant de votre missive, je vous souhaite le meilleur pour l'avenir. Puisse votre fille reposer en paix.
Victoire de France.
Je ne demanderais qu'une chose à votre personne, si vous me permettez ce caprice. Dame Brindal - prochainement Dame de Melay, donc - reste ma Dame de Compagnie. Aussi, il est fort possible que j'ai besoin de ses services et de sa présence à ma Cour rapidement. La laisser partir sur vos terres pour son union est chose certaine, mais je souhaiterais qu'elle soit revenue, idéalement, avant le moins de Novembre de cette année. Votre neveu est d'ailleurs le bienvenu à la Cour, s'il le souhaite également.
En vous remerciant de votre missive, je vous souhaite le meilleur pour l'avenir. Puisse votre fille reposer en paix.
Victoire de France.
Lun 6 Déc - 9:50
Mlle De Bellevallée
Mlle De Bellevallée,
Je suis sincèrement désolée pour ce drame que vous avez traversé. Je regrette mon impuissance ; je n’ai pas vécu de telles pertes et crains que mes mots ne soient que pure maladresse. Néanmoins, je souhaite vous exprimer mon désir de vous soutenir dans cette épreuve. Si nous pouvons vous aider d’une quelconque manière, je le répète, n’hésitez pas à nous écrire.
Aimable a lui-même perdu une sœur et un frère et combien même n’aborde-t-il que très rarement ces sujets, je sais que ces pertes sont une blessure que le temps ne guérit pas. Il serait le plus à même de comprendre la peine que vous pouvez ressentir. Si un jour, vous souhaitez échanger avec lui, ne vous laissez pas impressionner par son allure si austère. Comme tout homme, un cœur bat sous son armure.
J’ai conscience que chaque deuil est unique. Certains, certaines, préfèrent exprimer leurs peines alors que d’autres privilégient le silence. Ne voyez aucune obligation dans mon invitation : il ne s’agit que de propositions, que vous êtes libre ou non de saisir.
La priorité est que vous puissiez traverser cette épreuve, réussir à vivre malgré la perte et ce poids qui pèse sur vos épaules. N’hésitez pas à faire appel aux personnes de confiance de votre entourage pour vous soutenir, tout comme vous avez aussi le droit de vous isoler pour récupérer des forces.
J’espère que ce mariage vous apportera un certain réconfort ou une aide. Connaissez-vous l’heureux élu ? Vous entendez-vous bien avec lui ?
Concernant le tableau, j’ai transmis l’information à Aimable. Il est à Paris, à présent, bien loin de nos montagnes tant aimées. J’imagine que quelques semaines seront nécessaires pour que le courrier lui parvienne. Enfin, je puis vous assurer qu’il sera heureux que votre tableau soit bien arrivé à destination !
Que Dieu vous garde,
Eleanor Euridice De Bayard, Epouse d’Aimable Eleuthère De Bayard
Mlle De Bellevallée,
Je suis sincèrement désolée pour ce drame que vous avez traversé. Je regrette mon impuissance ; je n’ai pas vécu de telles pertes et crains que mes mots ne soient que pure maladresse. Néanmoins, je souhaite vous exprimer mon désir de vous soutenir dans cette épreuve. Si nous pouvons vous aider d’une quelconque manière, je le répète, n’hésitez pas à nous écrire.
Aimable a lui-même perdu une sœur et un frère et combien même n’aborde-t-il que très rarement ces sujets, je sais que ces pertes sont une blessure que le temps ne guérit pas. Il serait le plus à même de comprendre la peine que vous pouvez ressentir. Si un jour, vous souhaitez échanger avec lui, ne vous laissez pas impressionner par son allure si austère. Comme tout homme, un cœur bat sous son armure.
J’ai conscience que chaque deuil est unique. Certains, certaines, préfèrent exprimer leurs peines alors que d’autres privilégient le silence. Ne voyez aucune obligation dans mon invitation : il ne s’agit que de propositions, que vous êtes libre ou non de saisir.
La priorité est que vous puissiez traverser cette épreuve, réussir à vivre malgré la perte et ce poids qui pèse sur vos épaules. N’hésitez pas à faire appel aux personnes de confiance de votre entourage pour vous soutenir, tout comme vous avez aussi le droit de vous isoler pour récupérer des forces.
J’espère que ce mariage vous apportera un certain réconfort ou une aide. Connaissez-vous l’heureux élu ? Vous entendez-vous bien avec lui ?
Concernant le tableau, j’ai transmis l’information à Aimable. Il est à Paris, à présent, bien loin de nos montagnes tant aimées. J’imagine que quelques semaines seront nécessaires pour que le courrier lui parvienne. Enfin, je puis vous assurer qu’il sera heureux que votre tableau soit bien arrivé à destination !
Que Dieu vous garde,
Eleanor Euridice De Bayard, Epouse d’Aimable Eleuthère De Bayard
Sam 18 Déc - 22:40
A peine rentrée de sa soirée aux arènes illégales, à pas feutrés, Diane avait trouvé le réconfort de sa chambre. Assise sur son lit, en glissant ses doigts dans ses cheveux pour les démêler, elle prit sa décision. Elle ne désirait plus attendre. Elle ne désirait plus réfléchir. Elle savait. Ainsi, son écriture était nette, sans tremblement et ses mots, plus directs, presque plus intimes que lors de ses précédentes missives à l'adresse du Duc.
Mon cher Alaric,
Je vous ai promis une réponse rapide et je compte bien honorer ma promesse.
Pour votre bonne convalescence, je vous propose de venir vous rendre visite après-demain, dans l'après-midi.
Si vous ne pouvez me recevoir, j'entends bien que ma lettre est cavalière et suis disposée à repousser notre entrevue. Cela ne changera en rien la réponse de mon cœur.
Je pense à vous,
Diane d'Orléans
Dim 19 Déc - 17:49
Je monterai sur Paris au début du mois prochain puisque tu me le demandes mais sache que cela va à l'encontre des instructions de notre très cher AR de rester éloignée de la capitale.
Je vais moi-même bien. Ma dernière mission a été pour le moins éprouvante, je suis finalement contente d'avoir pu me concentrer sur le monastère.
Félicitations pour tes fiançailles avec Diane. S'il y a bien dans ce pays un homme capable de la rendre heureuse et de la protéger en tant qu'époux c'est bien toi.
Je suis heureuse pour vous deux.
Concentre-toi sur les préparatifs du mariage et ton rétablissement. Je détesterai devoir te porter jusqu'à l'autel.
Mes salutations,
Abbaye de Bonlieu,
Alaric,Je monterai sur Paris au début du mois prochain puisque tu me le demandes mais sache que cela va à l'encontre des instructions de notre très cher AR de rester éloignée de la capitale.
Je vais moi-même bien. Ma dernière mission a été pour le moins éprouvante, je suis finalement contente d'avoir pu me concentrer sur le monastère.
Félicitations pour tes fiançailles avec Diane. S'il y a bien dans ce pays un homme capable de la rendre heureuse et de la protéger en tant qu'époux c'est bien toi.
Je suis heureuse pour vous deux.
Concentre-toi sur les préparatifs du mariage et ton rétablissement. Je détesterai devoir te porter jusqu'à l'autel.
Mes salutations,
Hildegard