Lun 10 Jan - 21:56
Vous deux
Le squelette ne cherche pas à arrêter Hildegard. Il laisse Marc descendre, ainsi que sa sœur, sur le sol. Là, vous pouvez voir que la jeune femme est gravide et de plusieurs mois puisque son profil est bien rond. Mais elle ne semble pas ravie de vous voir. Marc lui prend la main, rassuré. "On ne veut pas vous gêner alors... Peut-être qu'on peut vous attendre là ?"
Sauf si vous avez une autre idée, bien sûr.
Aux propos de Charles, le squelette secoue la tête. "Pas la peine de m'appeler, je n'ai plus de nom depuis des siècles et ça me va comme ça." Puis il fait pivoter sa monture vers la porte par laquelle il est entré. "La porte d'en face débouche sur une pièce où est retenue mon ami. Mais je ne peux pas approcher des entraves qu'il lui a posé."
Si vous aller vers ladite porte puis que vous l'ouvrez, vous verrez en effet une silhouette opaque, comme retenue contre le mur par des chaînes épaisses mais pas incassables. Le squelette reprend. "Je le laisserai se présenter si vous êtes curieux, mais c'est grâce à ses pouvoirs que Penemue a pu vous piéger ici, si facilement. Ces chaînes sont faites pour repousser les créatures telles que moi, mais vous, vous ne devriez pas avoir de problème à les casser avec le bon outil."
Marche à suivre : Si vous voulez briser les chaînes, lancez chacun 1 Dé sans rédiger.
La charrue sans les boeufs
Vous deux
Le squelette ne cherche pas à arrêter Hildegard. Il laisse Marc descendre, ainsi que sa sœur, sur le sol. Là, vous pouvez voir que la jeune femme est gravide et de plusieurs mois puisque son profil est bien rond. Mais elle ne semble pas ravie de vous voir. Marc lui prend la main, rassuré. "On ne veut pas vous gêner alors... Peut-être qu'on peut vous attendre là ?"
Sauf si vous avez une autre idée, bien sûr.
Aux propos de Charles, le squelette secoue la tête. "Pas la peine de m'appeler, je n'ai plus de nom depuis des siècles et ça me va comme ça." Puis il fait pivoter sa monture vers la porte par laquelle il est entré. "La porte d'en face débouche sur une pièce où est retenue mon ami. Mais je ne peux pas approcher des entraves qu'il lui a posé."
Si vous aller vers ladite porte puis que vous l'ouvrez, vous verrez en effet une silhouette opaque, comme retenue contre le mur par des chaînes épaisses mais pas incassables. Le squelette reprend. "Je le laisserai se présenter si vous êtes curieux, mais c'est grâce à ses pouvoirs que Penemue a pu vous piéger ici, si facilement. Ces chaînes sont faites pour repousser les créatures telles que moi, mais vous, vous ne devriez pas avoir de problème à les casser avec le bon outil."
Marche à suivre : Si vous voulez briser les chaînes, lancez chacun 1 Dé sans rédiger.
Lun 10 Jan - 22:09
Le membre 'Amaury de Bray' a effectué l'action suivante : Combats
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Lun 10 Jan - 22:30
Le membre 'Charles d'Orléans' a effectué l'action suivante : Combats
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Lun 10 Jan - 22:32
Vous deux
Vous vous attaquez aux chaînes et, surprenamment, Amaury aura bien moins de difficultés que Charles a en venir à bout.
Toutefois vous parvenez à vos fins et le prisonnier est maintenant libre, quoi que ce soit. La silhouette se positionne devant vous mais demeure informe, du sable en perpétuel mouvement formant son corps. "Merci, voyageurs." vous adresse-t-il en une voix fardée d'échos.
La charrue sans les boeufs
Vous deux
Vous vous attaquez aux chaînes et, surprenamment, Amaury aura bien moins de difficultés que Charles a en venir à bout.
Toutefois vous parvenez à vos fins et le prisonnier est maintenant libre, quoi que ce soit. La silhouette se positionne devant vous mais demeure informe, du sable en perpétuel mouvement formant son corps. "Merci, voyageurs." vous adresse-t-il en une voix fardée d'échos.
Dim 23 Jan - 19:59
N’ayant pas particulièrement d’alternative à proposer, Amaury croit bon de suivre l’initiative du duc d’Orléans, qui semble disposer à aider le squelette. Cela n’est pourtant pas du tout au goût d’Hildegard qui, de son côté, est partagée entre la surprise de retrouver l’enfant, et l’horreur des mots de Charles. Amaury ne connait pas suffisamment les deux miliciens pour savoir particulièrement le pourquoi de chacune de leur réaction. Pire, il ne voit pas venir la décision de la milicienne… certes, elle lui a bien donné l’image, jusque-là, d’une femme pieuse et appliquée. Mais la posture noble et déterminée qu’elle incarne brusquement, Amaury en est figé. Elle parle, plus qu’elle ne l’a fait en sa présence, semble-t-il, et affirme haut et fort qu’elle ne pactisera pas avec le démon.
Elle est noble et déterminée quand elle passe devant eux et le de Bray sent une forme de culpabilité poindre en lui. Serait-il, lui aussi, tombé dans un piège savamment orchestré ? Celui de se détourner de Dieu en croyant trouver une solution auprès d’un squelette enflammé venu de nulle part ? Il ne peut nier, toutefois, que celui-ci les a sortis d’une situation chaotique…
« Hildegard ? » Il tente, d’une voix plus douce qu’à l’accoutumée, mais rien à faire. La femme, toute charisme et en droiture, s’éloigne déjà d’eux. Le chevalier ne sait guère où elle va et se contente de rester là, les bras ballants. Personne n’insiste, pour autant, et Amaury repose son attention sur le squelette et ses compagnons.
Il y a Marc, qu’ils ont déjà croisé, ainsi qu’une jeune femme enceinte. Elle ne parle pas. C’est le squelette qui prend la parole, tout en mystère. Amaury croise le regard de Charles, toujours un peu sceptique. Il n’aime pas l’inactivité et finit par aller vers la porte en question, une fois ouverte il constate que la créature ne leur a pas menti. Il y a bien une présence ici, attachée à un mur.
« Qui est-ce ? » Quelle certitude ont-ils, en cet instant, de prendre les bonnes décisions ? Un léger tremblement se ressent sur le bras droit du chevalier. Cela lui arrive, parfois, en cas d’efforts trop soudains et désordonnés.
Une nouvelle fois, Amaury cherche une forme de réassurance dans le regard de l’autre milicien. Au charisme naturel qu’il dégage, il se dit que celui-ci a plus d’expérience que lui en la matière. Et il a fait, jusqu’ici, de meilleurs choix. « Je me demande si je n’aurais pas mieux fait de suivre Hildegarde… » souffle-t-il entre ses dents, avant de cogner lourdement la grosse chaîne qui maintient le prisonnier attaché. Un coup, deux coups et… ça cède. Il y a sans doute un peu de chance là-dedans, ou un angle bienheureux dans le dernier coup porté.
C’est quand la silhouette se redresse qu’il réalise qu’ils n’ont pas à faire à un homme, là encore. La créature semble faite de sable en constant mouvement et Amaury a un mouvement de recul, l’épée levée. « Qu’êtes-vous donc ?! Pourquoi êtes-vous ici ? »
Rien de tout cela n’a de sens et pourtant son esprit trop terre à terre ne peut s’empêcher de chercher des explications, aussi futiles soient-elles…
La charrue sans les boeufs.
N’ayant pas particulièrement d’alternative à proposer, Amaury croit bon de suivre l’initiative du duc d’Orléans, qui semble disposer à aider le squelette. Cela n’est pourtant pas du tout au goût d’Hildegard qui, de son côté, est partagée entre la surprise de retrouver l’enfant, et l’horreur des mots de Charles. Amaury ne connait pas suffisamment les deux miliciens pour savoir particulièrement le pourquoi de chacune de leur réaction. Pire, il ne voit pas venir la décision de la milicienne… certes, elle lui a bien donné l’image, jusque-là, d’une femme pieuse et appliquée. Mais la posture noble et déterminée qu’elle incarne brusquement, Amaury en est figé. Elle parle, plus qu’elle ne l’a fait en sa présence, semble-t-il, et affirme haut et fort qu’elle ne pactisera pas avec le démon.
Elle est noble et déterminée quand elle passe devant eux et le de Bray sent une forme de culpabilité poindre en lui. Serait-il, lui aussi, tombé dans un piège savamment orchestré ? Celui de se détourner de Dieu en croyant trouver une solution auprès d’un squelette enflammé venu de nulle part ? Il ne peut nier, toutefois, que celui-ci les a sortis d’une situation chaotique…
« Hildegard ? » Il tente, d’une voix plus douce qu’à l’accoutumée, mais rien à faire. La femme, toute charisme et en droiture, s’éloigne déjà d’eux. Le chevalier ne sait guère où elle va et se contente de rester là, les bras ballants. Personne n’insiste, pour autant, et Amaury repose son attention sur le squelette et ses compagnons.
Il y a Marc, qu’ils ont déjà croisé, ainsi qu’une jeune femme enceinte. Elle ne parle pas. C’est le squelette qui prend la parole, tout en mystère. Amaury croise le regard de Charles, toujours un peu sceptique. Il n’aime pas l’inactivité et finit par aller vers la porte en question, une fois ouverte il constate que la créature ne leur a pas menti. Il y a bien une présence ici, attachée à un mur.
« Qui est-ce ? » Quelle certitude ont-ils, en cet instant, de prendre les bonnes décisions ? Un léger tremblement se ressent sur le bras droit du chevalier. Cela lui arrive, parfois, en cas d’efforts trop soudains et désordonnés.
Une nouvelle fois, Amaury cherche une forme de réassurance dans le regard de l’autre milicien. Au charisme naturel qu’il dégage, il se dit que celui-ci a plus d’expérience que lui en la matière. Et il a fait, jusqu’ici, de meilleurs choix. « Je me demande si je n’aurais pas mieux fait de suivre Hildegarde… » souffle-t-il entre ses dents, avant de cogner lourdement la grosse chaîne qui maintient le prisonnier attaché. Un coup, deux coups et… ça cède. Il y a sans doute un peu de chance là-dedans, ou un angle bienheureux dans le dernier coup porté.
C’est quand la silhouette se redresse qu’il réalise qu’ils n’ont pas à faire à un homme, là encore. La créature semble faite de sable en constant mouvement et Amaury a un mouvement de recul, l’épée levée. « Qu’êtes-vous donc ?! Pourquoi êtes-vous ici ? »
Rien de tout cela n’a de sens et pourtant son esprit trop terre à terre ne peut s’empêcher de chercher des explications, aussi futiles soient-elles…
— 12 juin 1590.
ft. @Charles d'Orléans