Ven 11 Juin - 23:20
"Cette situation ne peut plus durer ! Presque à chaque voyage, nos convois de nourritures sont attaqués par on ne sait trop qui ! Certes, ils ne volent pas tout, mais cela reste préjudiciable pour notre affaire ! Qui que vous soyez, venez donc nous prêter main forte, on saura vous récompenser !"
Yves & Marcus, marchands de légumes.
Il vous aura fallut deux jours de chevauchées depuis Paris pour vous rendre jusqu'au petit village de Cinglais, près de la ville de Caen. Vous ne passez pas inaperçu en arrivant près de l'entrée dudit village et déjà, les gens vous dévisage, certains avec curiosité, d'autres avec une peur évidente dans le fond de l’œil.
Il ne vous faudra pas longtemps avant qu'un individu plutôt affable, avec une barbe de trois jours et des bras à faire pâlir un bucheron vous interpelle sans trop de cérémonies. "Oï ! C'est vous les personnes qui se sont portées volontaires pour nous aider ? Venez, suivez moi, avec Marcus on va tout vous expliquer !"
Vous serez invités à le suivre dans sa maisonnée ou le dénommé Marcus - son frère jumeau -, vous attend également. Il vous proposera un repas frugal avant de vous inviter à la discussion. "Voyez, on a jamais eu trop d'problèmes nous sur la route... Parfois deux-trois bandits mais en général, un bon coup d'hache dans le crâne, ça calme les ardeurs, arh arh arh !" Il s'essuie la lèvre inférieure avec sa manche avant de poursuite. "Mais voilà, depuis bien des mois maintenant, on a pas trop compté à partir d'quand c't'arrivé, mais nos convois sont attaqués tout l'temps ! Y'a jamais une cagette qu'arrive pleine ! Faut que vous fassiez quelque chose ! Les temps sont durs et on a b'soin d'argent, comme tout l'monde..."
Marche à suivre : C'est à vous de jouer ! Amusez-vous en profitant de l'ambiance, les premiers posts seront là pour planter le décor, petit à petit et délivrer des possibilités selon vos actions.
La charrue sans les boeufs
"Cette situation ne peut plus durer ! Presque à chaque voyage, nos convois de nourritures sont attaqués par on ne sait trop qui ! Certes, ils ne volent pas tout, mais cela reste préjudiciable pour notre affaire ! Qui que vous soyez, venez donc nous prêter main forte, on saura vous récompenser !"
Yves & Marcus, marchands de légumes.
Il vous aura fallut deux jours de chevauchées depuis Paris pour vous rendre jusqu'au petit village de Cinglais, près de la ville de Caen. Vous ne passez pas inaperçu en arrivant près de l'entrée dudit village et déjà, les gens vous dévisage, certains avec curiosité, d'autres avec une peur évidente dans le fond de l’œil.
Il ne vous faudra pas longtemps avant qu'un individu plutôt affable, avec une barbe de trois jours et des bras à faire pâlir un bucheron vous interpelle sans trop de cérémonies. "Oï ! C'est vous les personnes qui se sont portées volontaires pour nous aider ? Venez, suivez moi, avec Marcus on va tout vous expliquer !"
Vous serez invités à le suivre dans sa maisonnée ou le dénommé Marcus - son frère jumeau -, vous attend également. Il vous proposera un repas frugal avant de vous inviter à la discussion. "Voyez, on a jamais eu trop d'problèmes nous sur la route... Parfois deux-trois bandits mais en général, un bon coup d'hache dans le crâne, ça calme les ardeurs, arh arh arh !" Il s'essuie la lèvre inférieure avec sa manche avant de poursuite. "Mais voilà, depuis bien des mois maintenant, on a pas trop compté à partir d'quand c't'arrivé, mais nos convois sont attaqués tout l'temps ! Y'a jamais une cagette qu'arrive pleine ! Faut que vous fassiez quelque chose ! Les temps sont durs et on a b'soin d'argent, comme tout l'monde..."
Marche à suivre : C'est à vous de jouer ! Amusez-vous en profitant de l'ambiance, les premiers posts seront là pour planter le décor, petit à petit et délivrer des possibilités selon vos actions.
Sam 12 Juin - 12:36
Un peu d'action lui ferait le plus grand bien. Pour une fois qu'on l'appelait sur la capitale pour une vraie chasse et non pas du repérage ou des compte-rendus à rendre, Hildegard était ravie de retrouver Paris enfin presque. L'abbesse et son cheval trapu ne s'étaient pas arrêtés à la ville puisque la milicienne avait préféré rejoindre immédiatement Charles dans son domaine avant de partir direction l'Ouest là où ils avaient été dépêchés. Elle fut toutefois désagréablement surprise de voir leur duo chamboulé par l'ajout d'une nouvelle tête qu'elle ne connaissait que de nom : Amaury de Bray, un milicien normalement positionné dans la région de Bretagne mais qui avait depuis peu rejoint la Cour. Autant dire que les présentations furent sommaires. Déjà qu'elle n'était pas réputée pour être chaleureuse, tout le long du trajet Hildegard se montra d'une froideur presque discourtoise envers le chevalier de Bray qui devait probablement penser qu'elle l'avait pris en grippe. En réalité, Hildegard pensait toujours amèrement à cette maudite fois où Charles, elle et un autre membre de la milice étaient partis ensemble en mission et que seuls deux d'entre eux en étaient sortis vivants. Depuis, partir à trois en traque avec Charles la rendait toujours anxieuse.
Une fois sur place, Hildegard ne prêta pas attention aux regards pleins de curiosité et de peur des villageois qui ne devaient pas être habitués à voir une femme armée et se laissa conduire vers le couple de marchands qui avait quémandé leur aide.
▬ Attaqués par quoi exactement ? Quand et comment ? De nuit ou de jour ? Ont-ils des armes ? Ils vous ont dit quoi vos hommes ? Grogna-t-elle en remuant le vin qu'elle avait dans son verre puisqu'ils venaient d'ores et déjà de rentrer dans le vif du sujet sans prendre le temps de s'étaler en civilités. Ce qui lui allait très bien.
Une fois sur place, Hildegard ne prêta pas attention aux regards pleins de curiosité et de peur des villageois qui ne devaient pas être habitués à voir une femme armée et se laissa conduire vers le couple de marchands qui avait quémandé leur aide.
▬ Attaqués par quoi exactement ? Quand et comment ? De nuit ou de jour ? Ont-ils des armes ? Ils vous ont dit quoi vos hommes ? Grogna-t-elle en remuant le vin qu'elle avait dans son verre puisqu'ils venaient d'ores et déjà de rentrer dans le vif du sujet sans prendre le temps de s'étaler en civilités. Ce qui lui allait très bien.
Jeu 17 Juin - 14:41
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Devoir quitter son domaine pour plusieurs jours en laissant Iris au bon soin de Diane lui faisait un peu mal au coeur mais c’était pour la bonne cause. Cette mission qu’il avait accepté, elle ne changeait pas tant que cela de ce qu’il avait fait jusqu’à présent. Qui plus est, il serait en compagnie d’Hildegard, une camarade d’arme en qui il avait pleinement confiance. Venait se greffer un nouveau milicien, Amaury de Bray, venue directement de Bretagne et fraîchement arrivé à la Cour. Il ne le connaissait pas mais c’était l’occasion de faire connaissance et, au vu de la mission, peut-être pourra-t-il observer ses aptitudes au combat également. Si Charles voyait la présence du chevalier comme une opportunité, son amie était beaucoup plus réticente à cette idée, semble-t-il. Il avait une vague idée pourquoi mais inutile de revenir sur le passé. L’heure était de se concentrer au présent et d’aider justement ces personnes dans le besoin.
L’affaire semblait urgente si bien qu’Yves, il supposait que c’était Yves puisque c’est lui qui a posté l’annonce, les héla aussitôt et entra dans le vif en leur expliquant cette situation. Le Duc les écouta avec patience et retint un discret soupir amusé face à la rudesse réciproque de Hildegard. C’était elle tout craché.
-Une question à la fois, ma chère, intervint-il d’un sourire avant de se tourner vers Marcus et Hildegard. Je comprends l’urgence de la situation mais commençons par le début. Nous n’avons pas eu le temps de nous présenter. Je suis Charles d’Orléans. Et voici Hildegard de Bayard ainsi qu’Amaury de Bray, pour vous servir.
Une chose de faite, déjà.
-Pour en revenir aux questions de ma collègue… Si vous n’arrivez pas à identifier vos assaillants, avez-vous remarqué s’ils attaquaient d’une certaine façon ? Un point commun entre chaque attaque ?
Il avait encore tant d’autres question mais il fallait d’abord rassembler le plus d’informations possibles avant de se lancer.
L’affaire semblait urgente si bien qu’Yves, il supposait que c’était Yves puisque c’est lui qui a posté l’annonce, les héla aussitôt et entra dans le vif en leur expliquant cette situation. Le Duc les écouta avec patience et retint un discret soupir amusé face à la rudesse réciproque de Hildegard. C’était elle tout craché.
-Une question à la fois, ma chère, intervint-il d’un sourire avant de se tourner vers Marcus et Hildegard. Je comprends l’urgence de la situation mais commençons par le début. Nous n’avons pas eu le temps de nous présenter. Je suis Charles d’Orléans. Et voici Hildegard de Bayard ainsi qu’Amaury de Bray, pour vous servir.
Une chose de faite, déjà.
-Pour en revenir aux questions de ma collègue… Si vous n’arrivez pas à identifier vos assaillants, avez-vous remarqué s’ils attaquaient d’une certaine façon ? Un point commun entre chaque attaque ?
Il avait encore tant d’autres question mais il fallait d’abord rassembler le plus d’informations possibles avant de se lancer.
(c) codée par evangeline
Jeu 17 Juin - 20:20
Dans la vie, il faut savoir compartimenter les choses. Il y a les nouvelles qui attristent et les responsabilités des fonctions que l’on a choisies. C’est ainsi. L’arrivée du Comte d’Harcourt a amenée son lot de bouleversements mais Amaury n’est pas du genre à revenir sur ses engagements. La Milice, cette facette cachée de sa vie de bon Chevalier soldat, est une voie qu’il a décidé d’embrasser pleinement. Alors quand on l’assigne à une mission en compagnie de deux autres miliciens, en terres normandes qui plus est, il se contente d’un « À vos ordres. ». Il reste soldat avant tout. Dans l’ombre ou la lumière, il fera ce qu’il doit faire.
Jusque-là, il n’a pas eu l’occasion de côtoyer les miliciens les plus renommés du QG parisien. La lignée des de Bayard ne lui est pas étrangère, puisqu’il est amené à croiser un autre de ses représentants sous les ordres du Maréchal. Il ne sait rien de la dénommée Hildegard, toutefois, dont on lui a brossé le portrait d’une femme droite et redoutable. Quant au Duc d’Orléans, apprendre son appartenance à la Milice n’a fait que confirmer à Amaury qu’il était lui-même dans le juste, à rejoindre par ce biais des hommes – et des femmes – prêts à combattre et protéger les plus démunis de menaces obscures. A lui maintenant de se faire une place dans cette Milice parisienne animée et amenée à intervenir sur tout le Royaume de France.
Il doit rejoindre les deux autres miliciens sur la route vers la Normandie. Une fois sur place, les présentations sont brèves. S’il fronce les sourcils au regard noir de l’autre milicienne, il se retient de faire un commentaire. Sans doute est-elle simplement concentrée en prévision de la mission à venir ? Ou peut-être n’est-elle pas expansive ? Il lui laisse le bénéfice du tout et échange quelques mots polis avec le Duc, qui semble déjà plus enclin à discuter.
Moutiers-en-Cinglais est un village d’agriculteurs et d’artisans qui lui rappelle sans mal Bray et ses environs. Il n’en est pas si loin, après tout. L’homme qui vient à leur rencontre, fait de muscles et de barbe, les guide vers un second, en tous points semblable. Autour d’un repas, les explications sont rapides : des convois sont attaqués. Les questions d’Hidegard fusent alors, cherchant à combler le manque d’informations. Elle ne s’embarrasse pas de formalités et le Duc intervient, avec plus de douceur.
C’est le jour et la nuit, ces deux-là, songe Amaury en soufflant un « Enchanté. » aux regards que lui adressent les jumeaux après la présentation de Charles. « J’ai conscience que cela fait beaucoup de questions d’un coup, mais ces attaques ont-elles faites des victimes ? Et, les convois ciblés ne contiennent que des denrées alimentaires ou il y a eu des vols sur d’autres types de marchandise ? »
Il s’arrête là et prend une gorgée du vin qui leur a été servi.
La charrue sans les boeufs.
Dans la vie, il faut savoir compartimenter les choses. Il y a les nouvelles qui attristent et les responsabilités des fonctions que l’on a choisies. C’est ainsi. L’arrivée du Comte d’Harcourt a amenée son lot de bouleversements mais Amaury n’est pas du genre à revenir sur ses engagements. La Milice, cette facette cachée de sa vie de bon Chevalier soldat, est une voie qu’il a décidé d’embrasser pleinement. Alors quand on l’assigne à une mission en compagnie de deux autres miliciens, en terres normandes qui plus est, il se contente d’un « À vos ordres. ». Il reste soldat avant tout. Dans l’ombre ou la lumière, il fera ce qu’il doit faire.
Jusque-là, il n’a pas eu l’occasion de côtoyer les miliciens les plus renommés du QG parisien. La lignée des de Bayard ne lui est pas étrangère, puisqu’il est amené à croiser un autre de ses représentants sous les ordres du Maréchal. Il ne sait rien de la dénommée Hildegard, toutefois, dont on lui a brossé le portrait d’une femme droite et redoutable. Quant au Duc d’Orléans, apprendre son appartenance à la Milice n’a fait que confirmer à Amaury qu’il était lui-même dans le juste, à rejoindre par ce biais des hommes – et des femmes – prêts à combattre et protéger les plus démunis de menaces obscures. A lui maintenant de se faire une place dans cette Milice parisienne animée et amenée à intervenir sur tout le Royaume de France.
Il doit rejoindre les deux autres miliciens sur la route vers la Normandie. Une fois sur place, les présentations sont brèves. S’il fronce les sourcils au regard noir de l’autre milicienne, il se retient de faire un commentaire. Sans doute est-elle simplement concentrée en prévision de la mission à venir ? Ou peut-être n’est-elle pas expansive ? Il lui laisse le bénéfice du tout et échange quelques mots polis avec le Duc, qui semble déjà plus enclin à discuter.
Moutiers-en-Cinglais est un village d’agriculteurs et d’artisans qui lui rappelle sans mal Bray et ses environs. Il n’en est pas si loin, après tout. L’homme qui vient à leur rencontre, fait de muscles et de barbe, les guide vers un second, en tous points semblable. Autour d’un repas, les explications sont rapides : des convois sont attaqués. Les questions d’Hidegard fusent alors, cherchant à combler le manque d’informations. Elle ne s’embarrasse pas de formalités et le Duc intervient, avec plus de douceur.
C’est le jour et la nuit, ces deux-là, songe Amaury en soufflant un « Enchanté. » aux regards que lui adressent les jumeaux après la présentation de Charles. « J’ai conscience que cela fait beaucoup de questions d’un coup, mais ces attaques ont-elles faites des victimes ? Et, les convois ciblés ne contiennent que des denrées alimentaires ou il y a eu des vols sur d’autres types de marchandise ? »
Il s’arrête là et prend une gorgée du vin qui leur a été servi.
Jeu 17 Juin - 21:03
Yves parait désarçonnés de par la rudesse d'Hildegard, toutefois, en évitant son regard, il s'essaie à fournir une explication. "On sait pas just'ment... On arrive jamais à voir quoi que ce soit, ça va trop vite et on est... éblouis."
Son teint pâlit. Marcus reprend. "En fait ce que nous et nos gars on a tous vu, c'est des espèces de grosses boules blanches qui nous foncent dessus. On dirait des torches, de loin, mais plus ça se rapproche et plus ça fait de la lumière. Dès qu'on a le malheur de fermer les yeux, hop-là ! On se fait transbahuter par terre et quand on se relève, y'a plus de lumières et... bah plus l’entièreté de notre marchandise. Parfois y'avait un cheval ou une mule qui disparaissait, oui... Mais c'est pas une généralité."
Yves, qui reprend une gorgée de sa boisson, éclairci sa gorge. "Les attaques se passent toujours de nuit. On a pas l'choix d'y aller de nuit, on essaie de faire des marchés le plus longtemps possibles pour ramener de l'argent, alors..."
Marcus reprend : "Personne n'a jamais été blessé directement. Après c'est pas les rumeurs qui manquent ici, mais nous, on s'y intéresse pas trop. On a ma tête dans l'travail pour garder notre ferme."
Vous n'êtes pas beaucoup plus avancés - ou peut-être que si ?
Qu'allez-vous faire ?
(Vous pouvez vous séparer)
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
La charrue sans les boeufs
Yves parait désarçonnés de par la rudesse d'Hildegard, toutefois, en évitant son regard, il s'essaie à fournir une explication. "On sait pas just'ment... On arrive jamais à voir quoi que ce soit, ça va trop vite et on est... éblouis."
Son teint pâlit. Marcus reprend. "En fait ce que nous et nos gars on a tous vu, c'est des espèces de grosses boules blanches qui nous foncent dessus. On dirait des torches, de loin, mais plus ça se rapproche et plus ça fait de la lumière. Dès qu'on a le malheur de fermer les yeux, hop-là ! On se fait transbahuter par terre et quand on se relève, y'a plus de lumières et... bah plus l’entièreté de notre marchandise. Parfois y'avait un cheval ou une mule qui disparaissait, oui... Mais c'est pas une généralité."
Yves, qui reprend une gorgée de sa boisson, éclairci sa gorge. "Les attaques se passent toujours de nuit. On a pas l'choix d'y aller de nuit, on essaie de faire des marchés le plus longtemps possibles pour ramener de l'argent, alors..."
Marcus reprend : "Personne n'a jamais été blessé directement. Après c'est pas les rumeurs qui manquent ici, mais nous, on s'y intéresse pas trop. On a ma tête dans l'travail pour garder notre ferme."
Vous n'êtes pas beaucoup plus avancés - ou peut-être que si ?
Qu'allez-vous faire ?
(Vous pouvez vous séparer)
— Demander à voir la carriole.
— Aller interroger les habitants.
— Continuer à parler avec Yves et Marcus.
— Renverser la table (bisous hildegarde).
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
Sam 19 Juin - 1:35
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Plus Yves et Marc parlaient, plus la situation semblaient avoir moins de sens. Des boules lumineuses sembleraient les attaquer. Pour un peu, il était presque déçu. De ses connaissances des créatures, aucune n’avait jamais manifesté ce genre d’aptitudes. Au mieux… ce serait un humain un peu particulier. Un sorcier donc. Pourquoi agir de la sorte, dans ce cas ? Si c’était bien un humain, ils pourront toujours lui demander. Si dialogue ils pouvaient établir, bien évidemment.
Attaque de nuit, pour profiter de la pénombre et ne pas être repéré facilement. Des boules de lumières, là il faisait chou blanc. Si ce n’était que des denrée alimentaires cherchaient seulement peut-être à se nourrir. Et le cheval et la mule… Des animaux bien trop gros pour faire disparaître en un claquement de doigt. Quelque chose n’allait pas dans cette histoire.
-Etrange, en effet… Vous parliez de rumeurs ? Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
Même si parfois, il s’agissait d’histoire à faire peur, pour créer quelques commérages ou autres, il y avait parfois un fond de vérité dans ses rumeurs. Il suffisait de démêler le vrai du faux.
Attaque de nuit, pour profiter de la pénombre et ne pas être repéré facilement. Des boules de lumières, là il faisait chou blanc. Si ce n’était que des denrée alimentaires cherchaient seulement peut-être à se nourrir. Et le cheval et la mule… Des animaux bien trop gros pour faire disparaître en un claquement de doigt. Quelque chose n’allait pas dans cette histoire.
-Etrange, en effet… Vous parliez de rumeurs ? Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
Même si parfois, il s’agissait d’histoire à faire peur, pour créer quelques commérages ou autres, il y avait parfois un fond de vérité dans ses rumeurs. Il suffisait de démêler le vrai du faux.
(c) codée par evangeline
Sam 19 Juin - 18:29
En entendant les précisions des deux hommes, Amaury ne peut contenir une grimace. Est-ce donc une blague ? Une plaisanterie de mauvais goût ? Ont-ils réellement fait venir des gens de la capitale pour… ça ? Il termine son verre et souffle : « Et vous êtes certains que ce n’est pas un mauvais vin qui vous est monté à la tête ?! » Cela semble peu probable, surtout s’ils sont nombreux à avoir vu la même chose, mais quand même ! Attaqués par des « boules blanches » ?!
Il tourne la tête pour essayer de capter ce qu’en pensent le Duc et Hildegard. Sur le premier, il lit une forme de professionnalisme aguerri, sur l’autre… il n’arrive pas à déchiffrer. Il soupire. « Un cheval ou une mule qui disparaissent… Si tout cela est vrai, elles sont sacrément robustes, ces boules de lumière ! »
Les faits ont eu lieu de nuit, ce qui n’est pas étonnant. Le pire se passe toujours la nuit, dissimulé dans l’ombre.
Amaury n’a jamais entendu parler d’un tel phénomène… il tapote distraitement le bois de la table à laquelle il est assise, avant que ça lui revienne. Ah. Les sorciers. Il n’a que très ponctuellement entendu parler d’hommes et de femmes détenant des capacités étranges, surnaturelles – qu’il aurait tendance à associer à Satan, personnellement.
Si c’est bien de cela qu’il s’agit, pourquoi des sorciers s’en prendraient à de tels convois ? A ses côtés, Charles questionne. Sans doute qu’il a lui aussi associé cela à la « magie ». Amaury ajoute : « Et, ce serait possible de voir votre carriole, par hasard ? »
On sait jamais. Peut-être que cela leur donnera quelques indices concrets ? Et puis, ça l’occupera. Il se sent un peu cynique vis-à-vis de ce qu’on lui raconte, ce n’est sans doute pas ce qui est attendu de lui. La carriole lui permettra de mettre un peu de réel sur tout ça.
La charrue sans les boeufs.
En entendant les précisions des deux hommes, Amaury ne peut contenir une grimace. Est-ce donc une blague ? Une plaisanterie de mauvais goût ? Ont-ils réellement fait venir des gens de la capitale pour… ça ? Il termine son verre et souffle : « Et vous êtes certains que ce n’est pas un mauvais vin qui vous est monté à la tête ?! » Cela semble peu probable, surtout s’ils sont nombreux à avoir vu la même chose, mais quand même ! Attaqués par des « boules blanches » ?!
Il tourne la tête pour essayer de capter ce qu’en pensent le Duc et Hildegard. Sur le premier, il lit une forme de professionnalisme aguerri, sur l’autre… il n’arrive pas à déchiffrer. Il soupire. « Un cheval ou une mule qui disparaissent… Si tout cela est vrai, elles sont sacrément robustes, ces boules de lumière ! »
Les faits ont eu lieu de nuit, ce qui n’est pas étonnant. Le pire se passe toujours la nuit, dissimulé dans l’ombre.
Amaury n’a jamais entendu parler d’un tel phénomène… il tapote distraitement le bois de la table à laquelle il est assise, avant que ça lui revienne. Ah. Les sorciers. Il n’a que très ponctuellement entendu parler d’hommes et de femmes détenant des capacités étranges, surnaturelles – qu’il aurait tendance à associer à Satan, personnellement.
Si c’est bien de cela qu’il s’agit, pourquoi des sorciers s’en prendraient à de tels convois ? A ses côtés, Charles questionne. Sans doute qu’il a lui aussi associé cela à la « magie ». Amaury ajoute : « Et, ce serait possible de voir votre carriole, par hasard ? »
On sait jamais. Peut-être que cela leur donnera quelques indices concrets ? Et puis, ça l’occupera. Il se sent un peu cynique vis-à-vis de ce qu’on lui raconte, ce n’est sans doute pas ce qui est attendu de lui. La carriole lui permettra de mettre un peu de réel sur tout ça.
Sam 19 Juin - 19:10
Les explications des jumeaux laissèrent Hildegard plus que dubitative et la milicienne cacha sa grimace derrière son verre de vin. Des orbes scintillants et puis quoi encore ? Manquerait plus que ça parle d'objets volants venus enlever par la téléportation les vaches du champ voisin. De l'autre bout de la table, la milicienne adressa à Charles plein d'interrogations. Une affaire de sorcellerie ?
Amaury lui ôta littéralement les mots de la bouche. Finalement ils allaient peut-être bien s'entendre.
▬ Messire de Bray a raison. Ce n'est pas en nous remplissant la panse que nous allons obtenir des réponses. Acquiesça-t-elle en se levant, peut-être un peu trop brutalement parce qu'elle bouscula la table et manqua presque de renverser les gobelets de tout le monde. M'enfin ce n'était pas comme si elle s'arrêtait sur ce genre de détails. Allons-y, montrez-nous votre convoi. Il faut profiter des dernières lueurs du jour pour l'examiner. Avec un peu de chance, ils y trouveraient peut-être des traces de crocs ou de griffes ou n'importe quoi pouvant mettre un peu de lumière sur cette affaire. Charles, tu peux rester continuer à les interroger et profiter du dessert.
S'ils étaient venus à trois c'était justement pour pouvoir couvrir plus de terrain. Et clairement, le duc d'Orléans n'avait pas besoin d'eux pour mener son interrogatoire. C'était le seul du groupe à être à l'aise avec les mots.
Amaury lui ôta littéralement les mots de la bouche. Finalement ils allaient peut-être bien s'entendre.
▬ Messire de Bray a raison. Ce n'est pas en nous remplissant la panse que nous allons obtenir des réponses. Acquiesça-t-elle en se levant, peut-être un peu trop brutalement parce qu'elle bouscula la table et manqua presque de renverser les gobelets de tout le monde. M'enfin ce n'était pas comme si elle s'arrêtait sur ce genre de détails. Allons-y, montrez-nous votre convoi. Il faut profiter des dernières lueurs du jour pour l'examiner. Avec un peu de chance, ils y trouveraient peut-être des traces de crocs ou de griffes ou n'importe quoi pouvant mettre un peu de lumière sur cette affaire. Charles, tu peux rester continuer à les interroger et profiter du dessert.
S'ils étaient venus à trois c'était justement pour pouvoir couvrir plus de terrain. Et clairement, le duc d'Orléans n'avait pas besoin d'eux pour mener son interrogatoire. C'était le seul du groupe à être à l'aise avec les mots.
Sam 19 Juin - 20:07
Aux accusation à peine voilées d'Amaury et d'Hildegard - du moins c'est ainsi que le comprennent les jumeaux -, ils se renfrognent. Toutefois, ils savent qu'ils ne vous on pas fait venir ici pour des politesses excessives... Mais n'attendez pas davantage de leur part. "Ouai... V'nez voir." dit Marcus en se levant, le vous tenant pas la porte alors qu'il sort de la maisonnée, direction la grange à quinze mètres de là. La carriole s'y trouve. "Allez-y. J'lai pas regardé depuis qu'on l'a déchargé la dernière fois."
Amaury&Hildegard, lancez 5 dés chacun.
Charles : Yves soupire après le départ de vos deux comparses. "Des rumeurs comme partout v'savez. Y'en a qui dise que c'une punition divine pour pas avoir pris au sérieux la disparition de certaines jeunes personnes dans le village, depuis plusieurs mois. Mais vraiment, ça vaut pas de s'arrêter là-dessus. Les jeunes ont juste envie de partir pour tenter leur chance comme domestiques dans des grandes maisons parisiennes, c'est tout... Y'a pas de quoi fouetter un chat."
Qu'allez-vous faire ?
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
La charrue sans les boeufs
Aux accusation à peine voilées d'Amaury et d'Hildegard - du moins c'est ainsi que le comprennent les jumeaux -, ils se renfrognent. Toutefois, ils savent qu'ils ne vous on pas fait venir ici pour des politesses excessives... Mais n'attendez pas davantage de leur part. "Ouai... V'nez voir." dit Marcus en se levant, le vous tenant pas la porte alors qu'il sort de la maisonnée, direction la grange à quinze mètres de là. La carriole s'y trouve. "Allez-y. J'lai pas regardé depuis qu'on l'a déchargé la dernière fois."
Amaury&Hildegard, lancez 5 dés chacun.
Charles : Yves soupire après le départ de vos deux comparses. "Des rumeurs comme partout v'savez. Y'en a qui dise que c'une punition divine pour pas avoir pris au sérieux la disparition de certaines jeunes personnes dans le village, depuis plusieurs mois. Mais vraiment, ça vaut pas de s'arrêter là-dessus. Les jeunes ont juste envie de partir pour tenter leur chance comme domestiques dans des grandes maisons parisiennes, c'est tout... Y'a pas de quoi fouetter un chat."
Qu'allez-vous faire ?
— Demander à voir la carriole.
— Aller interroger les habitants.
— Continuer à parler avec Yves
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
Sam 19 Juin - 20:10
Le membre 'Hildegard C. De Bayard' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 53, 51, 74, 7, 28
'L'oeil a statué sur ' : 53, 51, 74, 7, 28
Sam 19 Juin - 23:07
Le membre 'Amaury de Bray' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 91, 88, 95, 35, 80
'L'oeil a statué sur ' : 91, 88, 95, 35, 80
Dim 20 Juin - 9:51
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Charles ne cacha même pas son soupir d’exaspération face aux tons accusateurs de ses collègues. Il s’y attendait de la part de Hildegard mais Amaury… Il ne le connaissait pas, le bougre, alors apprendre qu’il était un tantinet nerveux aussi ne l’arrangeait guère. Une forte tête en plus dans leurs rangs, de quoi lui donner des migraines. Le Duc attendit alors qu’ils soient tous les deux partis avant de se tourner à nouveau vers Yves ? Marcus ?
-Je vous prie d’excuser leurs… rudesses. Nous sommes tous un peu tendus après de récents évènements.
C’était faux – en parti vrai – mais il ne voyait pas d’autres excuses à donner pour justifier leurs caractères bien trempés. Il resongea brièvement à cette histoire de disparitions de jeunes personnes.
-Des disparitions ? Combien de ses jeunes personnes sont partis, jusqu’à présent ? Ils n’ont plus donné de nouvelles depuis ? Pas même une petite lettre ?
Pourquoi parler de disparitions si on était convaincu que les personnes en question étaient partis de leur plein gré pour tenter une vie meilleure ?
-Je vous prie d’excuser leurs… rudesses. Nous sommes tous un peu tendus après de récents évènements.
C’était faux – en parti vrai – mais il ne voyait pas d’autres excuses à donner pour justifier leurs caractères bien trempés. Il resongea brièvement à cette histoire de disparitions de jeunes personnes.
-Des disparitions ? Combien de ses jeunes personnes sont partis, jusqu’à présent ? Ils n’ont plus donné de nouvelles depuis ? Pas même une petite lettre ?
Pourquoi parler de disparitions si on était convaincu que les personnes en question étaient partis de leur plein gré pour tenter une vie meilleure ?
(c) codée par evangeline
Dim 20 Juin - 12:49
Hildegard&Amaury : En examinant la carriole, vous commencerez à l'examiner. Mais alors que Hildegard pouvait surtout voir son aspect délabré de prime abord - même les roues avaient des trous ! -, c'est Amaury qui parvient à trouver d'étranges marques dans le bois.
Il y en a plusieurs.
Qu'allez-vous faire ?
Charles : Yves vous regarde avec des yeux sincèrement surpris par votre question. "Une lettre ? Mais monsieur, avec tous le respect que je vous dois.... personne sait lire et écrire ici, à part nous et le vieux curé grabataire..." Il se réinstalle sur sa chaise "Certains jeunes espèrent tomber sur des maîtres qui leur paieront une éducation, vous savez ? Et puis c'est difficile de revenir dans les villages après avoir fuit. Les gens aiment pas trop ça les couards..."
Qu'allez-vous faire ?
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
La charrue sans les boeufs
Hildegard&Amaury : En examinant la carriole, vous commencerez à l'examiner. Mais alors que Hildegard pouvait surtout voir son aspect délabré de prime abord - même les roues avaient des trous ! -, c'est Amaury qui parvient à trouver d'étranges marques dans le bois.
Il y en a plusieurs.
Qu'allez-vous faire ?
— Continuer d'examiner la carriole.
— Aller interroger les habitants.
— Continuer à parler avec Marcus.
Charles : Yves vous regarde avec des yeux sincèrement surpris par votre question. "Une lettre ? Mais monsieur, avec tous le respect que je vous dois.... personne sait lire et écrire ici, à part nous et le vieux curé grabataire..." Il se réinstalle sur sa chaise "Certains jeunes espèrent tomber sur des maîtres qui leur paieront une éducation, vous savez ? Et puis c'est difficile de revenir dans les villages après avoir fuit. Les gens aiment pas trop ça les couards..."
Qu'allez-vous faire ?
— Demander à voir la carriole.
— Aller interroger les habitants.
— Continuer à parler avec Yves
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
Dim 20 Juin - 14:04
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Charles esquissa une légère grimace face à sa bourde. Il n’avait pas pensé à cela, il est vrai. Mais savoir que presque tout un village entier ne savait lire ou écrire l’attristait un peu. Cela le confortait dans son idéal d’aider le plus possible les gens habitants sur ses terres à lui.
-Je vous prie de m’excuser pour ma maladresse. Mais n’est-ce pas injuste de traiter ses jeunes de couards alors qu’ils essaient simplement de vivre comme ils le peuvent. Enfin, passons...
Au fond, il y trouvait une certaine admiration face à ses jeunes personnes parties loin de leurs foyers, de leur maisons pour essayer de changer quelque chose dans leur vie.
-Pourriez-vous m’accompagner pour aller interroger les habitants ?
Leurs témoignages pourraient peut-être les aider à dénicher quelques indices, ici et là, pour la suite.
-Je vous prie de m’excuser pour ma maladresse. Mais n’est-ce pas injuste de traiter ses jeunes de couards alors qu’ils essaient simplement de vivre comme ils le peuvent. Enfin, passons...
Au fond, il y trouvait une certaine admiration face à ses jeunes personnes parties loin de leurs foyers, de leur maisons pour essayer de changer quelque chose dans leur vie.
-Pourriez-vous m’accompagner pour aller interroger les habitants ?
Leurs témoignages pourraient peut-être les aider à dénicher quelques indices, ici et là, pour la suite.
(c) codée par evangeline
Mer 23 Juin - 10:52
Dès qu’ils arrivent auprès de la carriole, Amaury s’avance. Il laisse glisser sa main sur le bois, s’agenouille pour voir au plus bas, au niveau des roues, des essieux, et remarque en peu de temps une première trace. Il se penche et… pas de doute, cela ressemble aux marques laissés par un grand coup de griffes.
« Hildegard. » Sa voix est ferme et il invite la milicienne à venir de son côté de la carriole, il pointe du doigt la première marque et en remarque assez rapidement d’autres. Quand il se redresse, son regard est sombre. Il n’y a pas beaucoup d’hésitation quant à ce qui peut être à l’origine de telles traces.
Il se tourne vers Marcus. « Êtes-vous certain de n’avoir vu que des « boules blanches » ? Vous n’avez rien entendu de particulier ? » Il l’invite, lui aussi, à venir voir. « Vous avez déjà vu de telles marques ? J’imagine qu’elles n’étaient pas présentes, avant l’attaque ? »
Beaucoup de questions viennent à l’esprit du Chevalier de Bray. Là, le moment n’est plus à l’ironie.
La charrue sans les boeufs.
Dès qu’ils arrivent auprès de la carriole, Amaury s’avance. Il laisse glisser sa main sur le bois, s’agenouille pour voir au plus bas, au niveau des roues, des essieux, et remarque en peu de temps une première trace. Il se penche et… pas de doute, cela ressemble aux marques laissés par un grand coup de griffes.
« Hildegard. » Sa voix est ferme et il invite la milicienne à venir de son côté de la carriole, il pointe du doigt la première marque et en remarque assez rapidement d’autres. Quand il se redresse, son regard est sombre. Il n’y a pas beaucoup d’hésitation quant à ce qui peut être à l’origine de telles traces.
Il se tourne vers Marcus. « Êtes-vous certain de n’avoir vu que des « boules blanches » ? Vous n’avez rien entendu de particulier ? » Il l’invite, lui aussi, à venir voir. « Vous avez déjà vu de telles marques ? J’imagine qu’elles n’étaient pas présentes, avant l’attaque ? »
Beaucoup de questions viennent à l’esprit du Chevalier de Bray. Là, le moment n’est plus à l’ironie.
Mer 23 Juin - 21:09
A priori, la charrette n'avait rien de bien extraordinaire sinon son déplorable état qu'Hildegard soupçonnait de dater d'avant les attaques. Un miracle que les ouvriers des jumeaux aient pu ramener cette ordure roulante.
Ceci dit, Amaury lui indiqua rapidement un élément fort intriguant. En se penchant pour examiner les marques désignées par le chevalier, l'abbesse parut songeuse.
▬ Hum bien vu de Bray. Clairement, ces traces ressemblaient à celles d'une ou plusieurs grosses bêtes. Peut-être des créatures de la nuit ? Ou un ours affamé ? Mais un animal aussi imposant devait nécessairement être carnivore, pas sûr qu'il s'en serait pris aux cargaisons de légumes...
▬ Les attaques se font-elles sur une route bien précise ou est-ce que le lieu d'embuscade change tout le temps ? Les fermiers du coin ont-ils perdu des bêtes récemment ? Et vos chasseurs ont repéré des cadavres d'animaux plus nombreux dans les environs ?
Pauvre Marcus devait subir l'avalanche de questions d'Amaury et d'Hildegard. Mais après tout ils ne faisaient que leur travail.
Ceci dit, Amaury lui indiqua rapidement un élément fort intriguant. En se penchant pour examiner les marques désignées par le chevalier, l'abbesse parut songeuse.
▬ Hum bien vu de Bray. Clairement, ces traces ressemblaient à celles d'une ou plusieurs grosses bêtes. Peut-être des créatures de la nuit ? Ou un ours affamé ? Mais un animal aussi imposant devait nécessairement être carnivore, pas sûr qu'il s'en serait pris aux cargaisons de légumes...
▬ Les attaques se font-elles sur une route bien précise ou est-ce que le lieu d'embuscade change tout le temps ? Les fermiers du coin ont-ils perdu des bêtes récemment ? Et vos chasseurs ont repéré des cadavres d'animaux plus nombreux dans les environs ?
Pauvre Marcus devait subir l'avalanche de questions d'Amaury et d'Hildegard. Mais après tout ils ne faisaient que leur travail.
Mer 23 Juin - 21:23
Hildegard&Amaury : Marcus vous regarde avec un air surpris mais vous sentez qu'il essaie de réellement bien faire. "Huuum... Il est vrai que les attaques étaient souvent sur ou près du même tronçons forestier mais... Il n'y a rien dans les environs. Des chasseurs sont partis inspecter la forêt mais rien de suspect n'a été trouvé." Il fait une pause dans de continuer. "Non, aucunes bêtes portées disparues si ce n'est celles de l'attelage. Pour le coup on en aurait entendu parler plus que par rumeur si quelque chose avait eut trait à ça." Il pose ses yeux sur vos silhouettes, tour à tour. "Vous pensez à quelque chose ?
Qu'allez-vous faire ?
Charles : Yves se lève de son assise et hoche la tête. "Bien sûr, venez." Il vous emmène à l'extérieur. "Où voulez- vous allez en premier ?"
Le village est modeste mais comporte plusieurs maisons.
1 - ???
2 - Chez Marcus & Yves
3 - ???
4 - ???
5 - ???
6 - ???
7 - ???
8 - ???
9 - ???
10 - ???
Qu'allez-vous faire ?
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
La charrue sans les boeufs
Hildegard&Amaury : Marcus vous regarde avec un air surpris mais vous sentez qu'il essaie de réellement bien faire. "Huuum... Il est vrai que les attaques étaient souvent sur ou près du même tronçons forestier mais... Il n'y a rien dans les environs. Des chasseurs sont partis inspecter la forêt mais rien de suspect n'a été trouvé." Il fait une pause dans de continuer. "Non, aucunes bêtes portées disparues si ce n'est celles de l'attelage. Pour le coup on en aurait entendu parler plus que par rumeur si quelque chose avait eut trait à ça." Il pose ses yeux sur vos silhouettes, tour à tour. "Vous pensez à quelque chose ?
Qu'allez-vous faire ?
— Continuer d'examiner la carriole.
— Aller interroger les habitants.
— Continuer à parler avec Marcus.
Charles : Yves se lève de son assise et hoche la tête. "Bien sûr, venez." Il vous emmène à l'extérieur. "Où voulez- vous allez en premier ?"
Le village est modeste mais comporte plusieurs maisons.
1 - ???
2 - Chez Marcus & Yves
3 - ???
4 - ???
5 - ???
6 - ???
7 - ???
8 - ???
9 - ???
10 - ???
Qu'allez-vous faire ?
— Demander à voir la carriole.
— Aller interroger les habitants (Choisir un numéro en le spécifiant en résumé à la fin de votre post)
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
Ven 25 Juin - 17:38
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Mains dans le dos, Charles marcha auprès d’Yves en dehors de la maison et désigna la première, juste en face d’eux. Puisqu’ils étaient là, autant commencer par le commencement. Qui plus est, c’était une maison proche de l’entrée du village. Peut-être qu’ils auraient pu voir ou entendre quelque chose… n’importe quoi. Le Duc était preneur.
[La maison 1 s'iou plaît ]
[La maison 1 s'iou plaît ]
(c) codée par evangeline
Sam 26 Juin - 2:21
Échangeant un regard à son collègue, Hildegard répondit la première :
▬ Si aucune bête sauvage ou bétail n'est porté disparu alors ce sont sûrement des bandits bien organisés. On ne sait jamais quel genre de nouvelles méthodes ils trouvent ces lâches. Bien entendu que dans sa tête une grosse voix lui hurlait toujours le mot sorcier mais Marcus n'avait pas à être au courant de cela.
Faisant un pas vers la sortie de la grange, la milicienne déclara :
▬ Au point où on est, autant en savoir plus ces rumeurs. De Bray si tu veux rester ne te sens pas obligé de me suivre.
Il pouvait bien se débrouiller tout seul comme un grand pendant qu'elle s'en allait interroger les habitants.
▬ Si aucune bête sauvage ou bétail n'est porté disparu alors ce sont sûrement des bandits bien organisés. On ne sait jamais quel genre de nouvelles méthodes ils trouvent ces lâches. Bien entendu que dans sa tête une grosse voix lui hurlait toujours le mot sorcier mais Marcus n'avait pas à être au courant de cela.
Faisant un pas vers la sortie de la grange, la milicienne déclara :
▬ Au point où on est, autant en savoir plus ces rumeurs. De Bray si tu veux rester ne te sens pas obligé de me suivre.
Il pouvait bien se débrouiller tout seul comme un grand pendant qu'elle s'en allait interroger les habitants.
Je vais prendre la maison 10 si c'est possible !
Lun 28 Juin - 19:02
La réponse de Marcus ne leur apprend pas grand-chose de plus, et quand l’homme questionne, c’est Hildegard qui répond. Elle n’a pas tort en effet, mais ces marques sur la carriole… c’est à n’y rien comprendre. Il leur faut en apprendre plus, car ce ne sont pas avec ces simples suppositions qu’ils avanceront.
L’autre milicienne à la même idée et le fait savoir, avec cette bienveillance à laquelle Amaury va devoir s’habituer.
« Ce n’était pas dans mes plans. » Il se tourne enfin vers Marcus et lui indique : « Merci pour vos informations, nous allons interroger les villageois, peut-être glanerons-nous des éléments supplémentaires. »
Hildegard a déjà quitté la grange et Amaury regarde la direction qu’elle prend, afin d’aller complètement à l’opposé : parce qu’il n’a guère l’intention de rester sur ses talons et parce qu’ainsi ils couvriront plus rapidement l’entièreté du village. Il lui semblerait d’ailleurs logique que le Duc soit également en train de questionner d’autres personnes.
(direction la maison 4)
La charrue sans les boeufs.
La réponse de Marcus ne leur apprend pas grand-chose de plus, et quand l’homme questionne, c’est Hildegard qui répond. Elle n’a pas tort en effet, mais ces marques sur la carriole… c’est à n’y rien comprendre. Il leur faut en apprendre plus, car ce ne sont pas avec ces simples suppositions qu’ils avanceront.
L’autre milicienne à la même idée et le fait savoir, avec cette bienveillance à laquelle Amaury va devoir s’habituer.
« Ce n’était pas dans mes plans. » Il se tourne enfin vers Marcus et lui indique : « Merci pour vos informations, nous allons interroger les villageois, peut-être glanerons-nous des éléments supplémentaires. »
Hildegard a déjà quitté la grange et Amaury regarde la direction qu’elle prend, afin d’aller complètement à l’opposé : parce qu’il n’a guère l’intention de rester sur ses talons et parce qu’ainsi ils couvriront plus rapidement l’entièreté du village. Il lui semblerait d’ailleurs logique que le Duc soit également en train de questionner d’autres personnes.
(direction la maison 4)
Mer 30 Juin - 0:14
1 - Marthe
2 - Chez Marcus & Yves
3 - ???
4 - Mademoiselle ???
5 - ???
6 - ???
7 - ???
8 - ???
9 - ???
10 - Famille Forge
Charles : Yves vous accompagnera jusqu’à la porte de la maison 1 en vous spécifiant ceci « C’est la p’tite Marthe. Elle vit toute seule depuis qu’son frère a prit la clef des champs alors… Soyez pas trop dur avec elle s’il vous plaît. » Puis, il prendra congé pour aller s’occuper de sa mule restante.
A votre tape sur la porte, c’est une frêle demoiselle, timide et reculée derrière la pièce de bois qui vous ouvre. « O-Oui ? Qu-que voulez-vous ? Je n’ai pas d’argent… »
Elle semble mal à l’aise.
Hildegarde : La Maison 10 appartient à la famille Forge, qui vous ouvre la porte sans problème. Toutefois, vous ressentirez un certain malaise, chez eux. Votre sens de l’orientation vous permettra de distinguer qu’une paire de bottes se trouve à l’entrée, prenant la poussière. A en juger par la pointure et celles de la famille, cette paire n’appartient pas à l’un des membres présents. Mais alors, pourquoi tant de nervosité ?
Amaury : La maison 4, un peu en hauteur des autres, abrite une dénommée Lilas. Elle vit seule et hésites à vous faire rentrer. « Veuillez m’excuser mais… J’ai recueillie une personne âgée il y a peu de temps et je ne voudrais pas troubler son repos… »
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
La charrue sans les boeufs
1 - Marthe
2 - Chez Marcus & Yves
3 - ???
4 - Mademoiselle ???
5 - ???
6 - ???
7 - ???
8 - ???
9 - ???
10 - Famille Forge
Charles : Yves vous accompagnera jusqu’à la porte de la maison 1 en vous spécifiant ceci « C’est la p’tite Marthe. Elle vit toute seule depuis qu’son frère a prit la clef des champs alors… Soyez pas trop dur avec elle s’il vous plaît. » Puis, il prendra congé pour aller s’occuper de sa mule restante.
A votre tape sur la porte, c’est une frêle demoiselle, timide et reculée derrière la pièce de bois qui vous ouvre. « O-Oui ? Qu-que voulez-vous ? Je n’ai pas d’argent… »
Elle semble mal à l’aise.
Hildegarde : La Maison 10 appartient à la famille Forge, qui vous ouvre la porte sans problème. Toutefois, vous ressentirez un certain malaise, chez eux. Votre sens de l’orientation vous permettra de distinguer qu’une paire de bottes se trouve à l’entrée, prenant la poussière. A en juger par la pointure et celles de la famille, cette paire n’appartient pas à l’un des membres présents. Mais alors, pourquoi tant de nervosité ?
Amaury : La maison 4, un peu en hauteur des autres, abrite une dénommée Lilas. Elle vit seule et hésites à vous faire rentrer. « Veuillez m’excuser mais… J’ai recueillie une personne âgée il y a peu de temps et je ne voudrais pas troubler son repos… »
Marche à suivre : Vous avez 10 jours pour répondre avant le tour suivant ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter l'oeil.
Jeu 1 Juil - 21:44
La famille qui vint répondre aux grands coups frappés à leur porte semblait nerveuse et Hildegard comprenait aisément pourquoi. Voir débarquer de nulle part une bonne femme armée avec des airs de chien méchant n'avait en effet rien de bien rassurant :
▬ Navrée du dérangement. Je viens de la part des jumeaux Marcus et Yves. Elle ne se risqua pas à entrer dans la maison de peur de gêner plus qu'autre chose. C'est au sujet des attaques sur leurs convois. Vous n'avez rien remarqué d'inhabituel ? Pointant le petit enclos de la maison voisine : Ces animaux sont à vous ? Sont-ils nerveux dernièrement ? Étant en marge du village, si une créature était assez téméraire pour s'approcher du hameau, ils l'auraient peut-être vue.
La milicienne remarqua la paire de chaussures mais ne se formalisa pas là-dessus. Peut-être qu'elle appartenait tout simplement à un voisin ou un membre décédé. Ce n'était après tout pas ses affaires.
▬ Navrée du dérangement. Je viens de la part des jumeaux Marcus et Yves. Elle ne se risqua pas à entrer dans la maison de peur de gêner plus qu'autre chose. C'est au sujet des attaques sur leurs convois. Vous n'avez rien remarqué d'inhabituel ? Pointant le petit enclos de la maison voisine : Ces animaux sont à vous ? Sont-ils nerveux dernièrement ? Étant en marge du village, si une créature était assez téméraire pour s'approcher du hameau, ils l'auraient peut-être vue.
La milicienne remarqua la paire de chaussures mais ne se formalisa pas là-dessus. Peut-être qu'elle appartenait tout simplement à un voisin ou un membre décédé. Ce n'était après tout pas ses affaires.
Lun 5 Juil - 23:07
Marchant un peu au hasard dans le village, il atteint une zone un peu en hauteur. Une maison, seule, est placée là avec une vue en contrebas sur le reste du village. D’aspect extérieur, rien ne la démarque spécialement des autres. Il frappe. Il attend un peu et une femme finit par ouvrir. Entrouvrir, plutôt. Sur le pas de la porte, elle jette un coup d’œil et Amaury la dévisage. Il ne veut pas l’effrayer et en même temps… tout peut paraitre suspect, dans une situation comme celle-ci.
Il n’a pas le temps de se présenter qu’elle parle et indique ne pas vouloir être dérangée car une autre personne, âgée, vit avec elle. Les sourcils d’Amaury se froncent d’eux-mêmes. « Je ne cherche à perturber le repos de personne, Madame. Je suis venu dans votre village sur la demande des jumeaux… » Il temporise son timbre de voix, pour ne pas la brusquer. « Nous cherchons à comprendre ce qui a pu se passer. Si vous avez la moindre information concernant les attaques des convois ou des événements inhabituels, c’est autant de votre sécurité que de celle de la personne âgée que vous hébergez dont il est question. »
Il lui laisse le temps d’y réfléchir et ajoute : « C’est tout à votre honneur de prendre soin de vos aînés. Pour la quiétude de votre demeure et de tout votre village, n’hésitez pas à me dire si quelque chose vous vient à l’esprit. »
La charrue sans les boeufs.
Marchant un peu au hasard dans le village, il atteint une zone un peu en hauteur. Une maison, seule, est placée là avec une vue en contrebas sur le reste du village. D’aspect extérieur, rien ne la démarque spécialement des autres. Il frappe. Il attend un peu et une femme finit par ouvrir. Entrouvrir, plutôt. Sur le pas de la porte, elle jette un coup d’œil et Amaury la dévisage. Il ne veut pas l’effrayer et en même temps… tout peut paraitre suspect, dans une situation comme celle-ci.
Il n’a pas le temps de se présenter qu’elle parle et indique ne pas vouloir être dérangée car une autre personne, âgée, vit avec elle. Les sourcils d’Amaury se froncent d’eux-mêmes. « Je ne cherche à perturber le repos de personne, Madame. Je suis venu dans votre village sur la demande des jumeaux… » Il temporise son timbre de voix, pour ne pas la brusquer. « Nous cherchons à comprendre ce qui a pu se passer. Si vous avez la moindre information concernant les attaques des convois ou des événements inhabituels, c’est autant de votre sécurité que de celle de la personne âgée que vous hébergez dont il est question. »
Il lui laisse le temps d’y réfléchir et ajoute : « C’est tout à votre honneur de prendre soin de vos aînés. Pour la quiétude de votre demeure et de tout votre village, n’hésitez pas à me dire si quelque chose vous vient à l’esprit. »