Sam 20 Nov - 21:45
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
-Hildegard! Amaury !
Mais c'était trop tard. A quoi s'attendait-il ? Forcément qu'ils allaient lui voler dans les plumes, enfin dans les os. Celui qui avait une réaction bizarre ici c'était lui. Pas eux. Mais voilà, pour avoir grandi avec une vampire, Charles pensait différemment des autres. Et il savait que sa façon de penser pourrait lui coûter cher aussi préférait-il se taire. Mais peut être aurait-il dû leur souffler de ne pas attaquer. Mais le mal était fait.
Il rattrapa la lance que lui lançait la créature mais ne prit pas vraiment le temps de l'inspecter puisqu'il se dirigea aussitôt vers ses compagnons et se pinça les lèvres en voyant l'étendue des dégâts. Il se pencha donc d'abord sur le cas d'Amaury en premier et usa de son propre onguent pour le soigner.
-Ne t'avise pas de bouger d'un poil ou je t'achève moi-même, lui souffla-t-il avant d'aller vers la milicienne.
Cette fois-ci il ne put empêcher un soupir de désappointement et sorti les onguents d'Hildegard pour la soigner, en silence. Lorsqu'il eut fini sa besogne, il se tourna à nouveau vers le squelette enflammé.
-Pouvez vous m'aider à les sortir de là ? Je vous aiderai à trouver votre connaissance, en échange.
Faire un pacte avec un démon? Charles le ferait s'il pouvait sauver ses deux confrères.
Mais c'était trop tard. A quoi s'attendait-il ? Forcément qu'ils allaient lui voler dans les plumes, enfin dans les os. Celui qui avait une réaction bizarre ici c'était lui. Pas eux. Mais voilà, pour avoir grandi avec une vampire, Charles pensait différemment des autres. Et il savait que sa façon de penser pourrait lui coûter cher aussi préférait-il se taire. Mais peut être aurait-il dû leur souffler de ne pas attaquer. Mais le mal était fait.
Il rattrapa la lance que lui lançait la créature mais ne prit pas vraiment le temps de l'inspecter puisqu'il se dirigea aussitôt vers ses compagnons et se pinça les lèvres en voyant l'étendue des dégâts. Il se pencha donc d'abord sur le cas d'Amaury en premier et usa de son propre onguent pour le soigner.
-Ne t'avise pas de bouger d'un poil ou je t'achève moi-même, lui souffla-t-il avant d'aller vers la milicienne.
Cette fois-ci il ne put empêcher un soupir de désappointement et sorti les onguents d'Hildegard pour la soigner, en silence. Lorsqu'il eut fini sa besogne, il se tourna à nouveau vers le squelette enflammé.
-Pouvez vous m'aider à les sortir de là ? Je vous aiderai à trouver votre connaissance, en échange.
Faire un pacte avec un démon? Charles le ferait s'il pouvait sauver ses deux confrères.
(c) codée par evangeline
Dim 21 Nov - 18:59
Clairement Dieu ne semblait pas avoir entendu leurs prières ou peut-être ne les jugeait-il pas dignes de réponse car même en combinant leurs efforts, Amaury et Hildegard ne parvinrent même pas à effleurer le démon que la monture infernale envoya balader sans aucun efforts. Projetée à plusieurs mètres, Hildegard sentit quelque chose craquer sous le fer de son armure alors que sa vision se teintait rouge.
▬ La malice et la cruauté du Démon sont sans limites et il ne m'appartient pas de comprendre les cheminements sinueux de sa pensée au risque d'y succomber. Grogna-t-elle tout de même, pas prête à en démentir. Femme ou homme peu importe, mon épée et mon âme sont à Dieu et à Dieu seul ! Plus que la douleur dans ses côtes, c'était sans doute le commentaire sur son sexe qui l'avait piquée en plein vif.
Peut-être que finalement il y avait une part de vérité dans les propos de cette créature. Peut-être que Dieu s'offusquait qu'une femme puisse combattre en Son nom. Peut-être que Dieu s'offusquait qu'elle puisse combattre en Son nom. Ses sens se brouillèrent, la milicienne sentit qu'elle était sur le point de perdre connaissance et seul le nom de Penemue qui lui était familier parvint à ses oreilles.
Hildegard cligna des yeux et dut faire un effort surhumain pour les rouvrir. Elle eut un sursaut qui lui arracha un geignement de souffrance en voyant que Charles était à ses côtés.
▬ Je ne pactise pas avec le Malin. Grogna-t-elle faiblement en repoussant mollement son confrère qui retirait son plastron dans le but d'appliquer de l'onguent sur ses plaies. Elle souffla péniblement et désigna du regard sa sacoche, puis Amaury : Sors les anti-douleurs et occupe-toi du nouveau. Et se saisit du baume que Charles avait entre les mains pour en appliquer une couche grossière sous sa tunique, là où la douleur était la plus forte tout en récitant une prière silencieuse, aucun son ne sortant de ses lèvres.
Seigneur prends-moi, punis-moi pour mes pensées impures si telle est ta volonté mais je t'implore, accorde ta protection à mes frères d'armes.
▬ La malice et la cruauté du Démon sont sans limites et il ne m'appartient pas de comprendre les cheminements sinueux de sa pensée au risque d'y succomber. Grogna-t-elle tout de même, pas prête à en démentir. Femme ou homme peu importe, mon épée et mon âme sont à Dieu et à Dieu seul ! Plus que la douleur dans ses côtes, c'était sans doute le commentaire sur son sexe qui l'avait piquée en plein vif.
Peut-être que finalement il y avait une part de vérité dans les propos de cette créature. Peut-être que Dieu s'offusquait qu'une femme puisse combattre en Son nom. Peut-être que Dieu s'offusquait qu'elle puisse combattre en Son nom. Ses sens se brouillèrent, la milicienne sentit qu'elle était sur le point de perdre connaissance et seul le nom de Penemue qui lui était familier parvint à ses oreilles.
Hildegard cligna des yeux et dut faire un effort surhumain pour les rouvrir. Elle eut un sursaut qui lui arracha un geignement de souffrance en voyant que Charles était à ses côtés.
▬ Je ne pactise pas avec le Malin. Grogna-t-elle faiblement en repoussant mollement son confrère qui retirait son plastron dans le but d'appliquer de l'onguent sur ses plaies. Elle souffla péniblement et désigna du regard sa sacoche, puis Amaury : Sors les anti-douleurs et occupe-toi du nouveau. Et se saisit du baume que Charles avait entre les mains pour en appliquer une couche grossière sous sa tunique, là où la douleur était la plus forte tout en récitant une prière silencieuse, aucun son ne sortant de ses lèvres.
Seigneur prends-moi, punis-moi pour mes pensées impures si telle est ta volonté mais je t'implore, accorde ta protection à mes frères d'armes.
Dim 21 Nov - 22:12
Peut-être a-t-il été un peu trop ambitieux… mais si c’était à refaire, il le referait. Il est milicien et combattant pour protéger les fidèles de Dieu. Ce serait trahir à son engagement de chevalier que de ne pas agir face à une créature démoniaque, quelle qu’elle soit. Perchée sur son cheval, entouré de flamme, ce démon ne se dissimule guère et semble presque le narguer. Bien sûr qu’Amaury l’attaque ! Et il n’est pas seul. Hildegarde agit également, cherchant à viser le cheval de l’autre côté.
Mais la créature est curieusement agile et en moins de temps qu’il ne le faut pour dire ouf, voilà qu’elle fait face au brun dans un bond furieux. Il était debout, son épée haute devant lui et l’instant d’après le voici au sol, le souffle coupé en deux et une douleur redoutable dans son ventre tout d’abord puis ses jambes. Des cris de douleur passent par ses lèvres et tout n’est que martèlement. Il sent un poids frénétique qui frappe ses jambes et son corps par à-coup. Dans son dos sa clavicule n’a pas aimée la violence de la chute et ses jambes…
Ses jambes… Il n’a aucun moyen de bouger, la violence des coups est trop forte, la douleur incommensurable. Le goût du sang monte à ses lèvres, le tourment monte en lui et il n’a même pas le loisir de pouvoir serrer son épée. Elle a voltigé il ne sait où sous la force du choc des sabots de la monture. Désormais, il n’est qu’un tapis sur lequel le démon s’essuie. Un tapis qui ne sent plus les membres de son corps. Un tapis qui n’est que douleur et sait, dans le chaos de ses sensations, que ses jambes ont été violemment atteinte. Lorsque le martèlement s’arrête enfin, ce qui lui a semblé durer une éternité a probablement été bien moins long et déjà la créature prend Hildegarde pour cible.
Cloué au sol, il a à peine la capacité de redresser la tête, ses oreilles bourdonnent et il est loin, bien loin de tout ce qui l’entoure. Il est dans une coquille fissurée en tout part. Il connait son corps et a bien compris que ce dernier n’a plus la force de quoique ce soit. Il voit finalement Charles arriver à son niveau, se penchant sur lui. Si l’homme lui parle, il ne saisit pas bien.
D’un geste de la main il veut repousser le duc qui cherche à le soigner. Il parvient ensuite à glisser sa main dans sa besace en murmurant « J’ai… j’ai des flacons. Prenez-les. Prenez-les, pour Hildegarde, et… partez. Je ne serai qu’un fardeau. » Son corps autant que sa conscience sont curieusement d’accord, en cet instant. Il est chevalier et combattant avant tout. S’il n’a plus la force de se mouvoir, si les os de ses jambes sont cassés, à quoi leur servirait-il ?
C’est sans doute la mémoire des gestes qui est la plus forte car il réalise, ensuite. « Ah et… l’objet… la boule verte. Prenez… prenez là. Je-je ne sais pas si elle vous sera utile. M-Mais prenez-là aussi. » Il lui faut faire un mouvement semblable à un trémoussement pour que de son autre main il atteigne la curieuse boule verte découverte la veille. Il la présente péniblement au duc, ne sachant guère à quoi elle sert. Chaque geste est douloureux. Chaque mouvement du haut de son corps relance la douleur dans ses jambes. Il a les yeux plissés, des larmes de douleur perlant en leur creux.
« Partez, Charles. P-partez loin de ce démon… »
Et laissez-le mourir, seul. Il aura au moins la conscience tranquille de savoir que ses deux compères s’en seront sortis. Il pourra mourir apaisé ensuite. Il a fait ce qu’il avait à faire.
(Veut repousser Charles qui tente de lui appliquer un onguent (mais on va dire que le duc s'entête et y parvient quand même /pan). Lui donne son onguent (1) et ses anti-douleurs (3), ainsi que la curieuse boule verte trouvée la veille. Accepte son sort et la mort qui approche.)
La charrue sans les boeufs.
Peut-être a-t-il été un peu trop ambitieux… mais si c’était à refaire, il le referait. Il est milicien et combattant pour protéger les fidèles de Dieu. Ce serait trahir à son engagement de chevalier que de ne pas agir face à une créature démoniaque, quelle qu’elle soit. Perchée sur son cheval, entouré de flamme, ce démon ne se dissimule guère et semble presque le narguer. Bien sûr qu’Amaury l’attaque ! Et il n’est pas seul. Hildegarde agit également, cherchant à viser le cheval de l’autre côté.
Mais la créature est curieusement agile et en moins de temps qu’il ne le faut pour dire ouf, voilà qu’elle fait face au brun dans un bond furieux. Il était debout, son épée haute devant lui et l’instant d’après le voici au sol, le souffle coupé en deux et une douleur redoutable dans son ventre tout d’abord puis ses jambes. Des cris de douleur passent par ses lèvres et tout n’est que martèlement. Il sent un poids frénétique qui frappe ses jambes et son corps par à-coup. Dans son dos sa clavicule n’a pas aimée la violence de la chute et ses jambes…
Ses jambes… Il n’a aucun moyen de bouger, la violence des coups est trop forte, la douleur incommensurable. Le goût du sang monte à ses lèvres, le tourment monte en lui et il n’a même pas le loisir de pouvoir serrer son épée. Elle a voltigé il ne sait où sous la force du choc des sabots de la monture. Désormais, il n’est qu’un tapis sur lequel le démon s’essuie. Un tapis qui ne sent plus les membres de son corps. Un tapis qui n’est que douleur et sait, dans le chaos de ses sensations, que ses jambes ont été violemment atteinte. Lorsque le martèlement s’arrête enfin, ce qui lui a semblé durer une éternité a probablement été bien moins long et déjà la créature prend Hildegarde pour cible.
Cloué au sol, il a à peine la capacité de redresser la tête, ses oreilles bourdonnent et il est loin, bien loin de tout ce qui l’entoure. Il est dans une coquille fissurée en tout part. Il connait son corps et a bien compris que ce dernier n’a plus la force de quoique ce soit. Il voit finalement Charles arriver à son niveau, se penchant sur lui. Si l’homme lui parle, il ne saisit pas bien.
D’un geste de la main il veut repousser le duc qui cherche à le soigner. Il parvient ensuite à glisser sa main dans sa besace en murmurant « J’ai… j’ai des flacons. Prenez-les. Prenez-les, pour Hildegarde, et… partez. Je ne serai qu’un fardeau. » Son corps autant que sa conscience sont curieusement d’accord, en cet instant. Il est chevalier et combattant avant tout. S’il n’a plus la force de se mouvoir, si les os de ses jambes sont cassés, à quoi leur servirait-il ?
C’est sans doute la mémoire des gestes qui est la plus forte car il réalise, ensuite. « Ah et… l’objet… la boule verte. Prenez… prenez là. Je-je ne sais pas si elle vous sera utile. M-Mais prenez-là aussi. » Il lui faut faire un mouvement semblable à un trémoussement pour que de son autre main il atteigne la curieuse boule verte découverte la veille. Il la présente péniblement au duc, ne sachant guère à quoi elle sert. Chaque geste est douloureux. Chaque mouvement du haut de son corps relance la douleur dans ses jambes. Il a les yeux plissés, des larmes de douleur perlant en leur creux.
« Partez, Charles. P-partez loin de ce démon… »
Et laissez-le mourir, seul. Il aura au moins la conscience tranquille de savoir que ses deux compères s’en seront sortis. Il pourra mourir apaisé ensuite. Il a fait ce qu’il avait à faire.
(Veut repousser Charles qui tente de lui appliquer un onguent (mais on va dire que le duc s'entête et y parvient quand même /pan). Lui donne son onguent (1) et ses anti-douleurs (3), ainsi que la curieuse boule verte trouvée la veille. Accepte son sort et la mort qui approche.)
Dim 21 Nov - 22:29
Amaury & Hildegard
Alors que vous étiez près à abandonner, vous sentez quelque chose s'extraire de votre poche. C'est la boule verte qui semble... s'agiter ? Sautiller, même !
Couverte de sang - le votre -, la sphère saute sur place devant le cavalier qui souffle par le nez. "Ah bah... Je ne sais pas qui tu es mais tu débarques au bon moment pour ces deux bougres !" A ces mots, la sphère continue de sautiller sur place, comme en colère, ce qui ne manque pas d'agacer légèrement le squelette . "Oui, bon, ça va hein, ils m'ont attaqués je te signale ! Fais donc ce pourquoi le Seigneur t'as fait naître au lieu de me houspiller comme ça."
La boule verte roule, d'abord jusqu'au visage d'Amaury. Cognant doucement sur la joue du milicien, ce dernier est bientôt entouré d'une douce et très plaisante chaleur et d'une puissante lumière. Lorsqu'il réouvre les yeux, il ne pourra que constater qu'il a la tête... Entre les seins d'une femme magnifique mais toute verte, à la chevelure en fleurs et au sourire désarmant de sincérité. "Huhu." dit-elle avant de refermer ses bras sur Amaury.
Difficile de dire ce qu'il se passe mais le fait est qu'en quelques instants, le chevalier de Bray n'est plus du tout blessé. Mieux, il est même revigoré comme s'il venait de sortir du lit après un très bon sommeil réparateur.
Une fois Amaury soigné, la mystérieuse femme verte fait de même avec Hildegard, réitérant l'opération. De la même manière que son confrère, la milicienne se sentira en pleine forme par la suite. Son office faite, l'inconnue leur adresse un signe de la main - non sans tirer la langue au squelette - et se fane en une lumière irisée avant de redevenir une boule verte et statique, aux pieds d'Amaury.
Le squelette y va de son petit commentaire. "Si j'étais vous, je garderais cette petite avec moi très précieusement."
Charles
Le squelette vous regarde de ses orbites vides. "En d'autres circonstances, j'aurais dis oui, mais vous pouvez me croire, vous ne serez pas trop de trois face à ce qui vous attend ensuite." Puis il vous balaye d'un mouvement de tête. "Que les choses soient bien claires, j'ai fais le choix de vous tirer de votre mauvaise passe par sympathie. J'aurais tout aussi bien pu vous laisser crever. Vous chercher un gosse, je cherche un ami, nous pouvons nous aider, les choses s'arrêtent là. Donc maintenant, soit vous me suivez dans ce dédale qui ne m'atteint pas de ses ruses, soit vous partez de votre côté mais arrêtez de me comparer à Satan. Il hurlerait s'il vous entendait... M'enfin."
Le cavalier sort de la pièce et part vers la droite.
Qu'allez-vous faire ?
• Le suivre.
• Partir dans une autre direction ?
• Ne rien faire.
La charrue sans les boeufs
Amaury & Hildegard
Alors que vous étiez près à abandonner, vous sentez quelque chose s'extraire de votre poche. C'est la boule verte qui semble... s'agiter ? Sautiller, même !
Couverte de sang - le votre -, la sphère saute sur place devant le cavalier qui souffle par le nez. "Ah bah... Je ne sais pas qui tu es mais tu débarques au bon moment pour ces deux bougres !" A ces mots, la sphère continue de sautiller sur place, comme en colère, ce qui ne manque pas d'agacer légèrement le squelette . "Oui, bon, ça va hein, ils m'ont attaqués je te signale ! Fais donc ce pourquoi le Seigneur t'as fait naître au lieu de me houspiller comme ça."
La boule verte roule, d'abord jusqu'au visage d'Amaury. Cognant doucement sur la joue du milicien, ce dernier est bientôt entouré d'une douce et très plaisante chaleur et d'une puissante lumière. Lorsqu'il réouvre les yeux, il ne pourra que constater qu'il a la tête... Entre les seins d'une femme magnifique mais toute verte, à la chevelure en fleurs et au sourire désarmant de sincérité. "Huhu." dit-elle avant de refermer ses bras sur Amaury.
Difficile de dire ce qu'il se passe mais le fait est qu'en quelques instants, le chevalier de Bray n'est plus du tout blessé. Mieux, il est même revigoré comme s'il venait de sortir du lit après un très bon sommeil réparateur.
Une fois Amaury soigné, la mystérieuse femme verte fait de même avec Hildegard, réitérant l'opération. De la même manière que son confrère, la milicienne se sentira en pleine forme par la suite. Son office faite, l'inconnue leur adresse un signe de la main - non sans tirer la langue au squelette - et se fane en une lumière irisée avant de redevenir une boule verte et statique, aux pieds d'Amaury.
Le squelette y va de son petit commentaire. "Si j'étais vous, je garderais cette petite avec moi très précieusement."
Charles
Le squelette vous regarde de ses orbites vides. "En d'autres circonstances, j'aurais dis oui, mais vous pouvez me croire, vous ne serez pas trop de trois face à ce qui vous attend ensuite." Puis il vous balaye d'un mouvement de tête. "Que les choses soient bien claires, j'ai fais le choix de vous tirer de votre mauvaise passe par sympathie. J'aurais tout aussi bien pu vous laisser crever. Vous chercher un gosse, je cherche un ami, nous pouvons nous aider, les choses s'arrêtent là. Donc maintenant, soit vous me suivez dans ce dédale qui ne m'atteint pas de ses ruses, soit vous partez de votre côté mais arrêtez de me comparer à Satan. Il hurlerait s'il vous entendait... M'enfin."
Le cavalier sort de la pièce et part vers la droite.
Qu'allez-vous faire ?
• Le suivre.
• Partir dans une autre direction ?
• Ne rien faire.
Jeu 25 Nov - 23:32
Elle ne comprenait pas.
Un instant il y avait la douleur, le sang et l'insupportable voix de cette engeance enflammée. Et puis juste après, il y eut la lumière, une grande lumière verte et la chaleur rassurante, presque étouffante de cette femme qui venait de blottir sa généreuse poitrine près de son visage. La milicienne, incapable d'assimiler le cours des événements, rougit furieusement et resta tout simplement sur les fesses lorsque la nymphe disparut en ayant visiblement emporté avec elle tout ses maux.
Enfin ceux du corps tout simplement.
Ce ne pouvait être qu'une ruse ! Un test du Très-Haut. Oui voilà, tout ceci était encore un piège. Et le fait d'entendre cette chose parler si nonchalamment de Satan ne pouvait que confirmer ses pensées : Dieu la plaçait sur le chemin de la tentation, cherchant à la mettre à l'épreuve, à éprouver sa foi et la rigueur de ses voeux.
Pourquoi aurait-elle sinon tiré du soulagement de l'étreinte d'une succube ?
Ainsi, lâchant son arme et se saisissant de la croix cachée sous son plastron, Hildegard se mit à genoux à réciter avec frénésie :
▬ Ȏ Jésus, protège-moi des appâts, des convoitises et des fiévreuses hantises qui paralysent ma foi. Garde-moi du tentateur, de son insidieuse science qui assoupit ma conscience et le sens de mes valeurs ! Sauve-moi des tentations ; chasse de moi les pensées perverses et insensées d’un souffle de ta Passion !
Elle n'était qu'une pauvre pécheresse après tout.
Un instant il y avait la douleur, le sang et l'insupportable voix de cette engeance enflammée. Et puis juste après, il y eut la lumière, une grande lumière verte et la chaleur rassurante, presque étouffante de cette femme qui venait de blottir sa généreuse poitrine près de son visage. La milicienne, incapable d'assimiler le cours des événements, rougit furieusement et resta tout simplement sur les fesses lorsque la nymphe disparut en ayant visiblement emporté avec elle tout ses maux.
Enfin ceux du corps tout simplement.
Ce ne pouvait être qu'une ruse ! Un test du Très-Haut. Oui voilà, tout ceci était encore un piège. Et le fait d'entendre cette chose parler si nonchalamment de Satan ne pouvait que confirmer ses pensées : Dieu la plaçait sur le chemin de la tentation, cherchant à la mettre à l'épreuve, à éprouver sa foi et la rigueur de ses voeux.
Pourquoi aurait-elle sinon tiré du soulagement de l'étreinte d'une succube ?
Ainsi, lâchant son arme et se saisissant de la croix cachée sous son plastron, Hildegard se mit à genoux à réciter avec frénésie :
▬ Ȏ Jésus, protège-moi des appâts, des convoitises et des fiévreuses hantises qui paralysent ma foi. Garde-moi du tentateur, de son insidieuse science qui assoupit ma conscience et le sens de mes valeurs ! Sauve-moi des tentations ; chasse de moi les pensées perverses et insensées d’un souffle de ta Passion !
Elle n'était qu'une pauvre pécheresse après tout.
Hildegard.exe a cessé de fonctionner.
Jeu 2 Déc - 18:23
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Charles, comme ses compagnons, était sans voix, face à ce qui était entrain de se dérouler sous ses yeux. Amaury et Hildegard était à nouveau sur pied, comme si le squelette enflammé ne leur avait rien fait. Sa main tenant fermement sa nouvelle lance, il observa de longues la boule qui habitait apparemment des pouvoirs bien étranges, mais fort pratique. Il ouvrit la bouche, voulut demander quelque chose mais se tut en voyant Hildegarde se plonger dans une litanie de prière. Évidemment… sa réaction ne l’étonnait guère.
-Merci de nous avoir aidé.
Il observa une nouvelle l’étrange créature et songea que le monde abritait encore des choses, des entités étranges et de nombreux mystères. Et que sa vie seule ne suffira sans doute pas à tout comprendre. Mais là n’était pas la question. Ils avaient une affaire bien plus urgente à régler. On verra pour les apparitions guérisseuses plus tard. Il prit donc une grande inspiration et se tourna vers ses collègues miliciens.
-Je sais que tout ça nous dépasse, mais on ne peut pas rester là sans rien faire. Il faut qu’on retrouve Marc et qu’on sorte de là. C’est notre priorité.
Et s’ils devaient affronter Penemue… Il aimerait ne pas y penser pour l’instant.
-Merci de nous avoir aidé.
Il observa une nouvelle l’étrange créature et songea que le monde abritait encore des choses, des entités étranges et de nombreux mystères. Et que sa vie seule ne suffira sans doute pas à tout comprendre. Mais là n’était pas la question. Ils avaient une affaire bien plus urgente à régler. On verra pour les apparitions guérisseuses plus tard. Il prit donc une grande inspiration et se tourna vers ses collègues miliciens.
-Je sais que tout ça nous dépasse, mais on ne peut pas rester là sans rien faire. Il faut qu’on retrouve Marc et qu’on sorte de là. C’est notre priorité.
Et s’ils devaient affronter Penemue… Il aimerait ne pas y penser pour l’instant.
(c) codée par evangeline
Dim 12 Déc - 13:26
Vous trois
Le squelette est parti de la pièce où vous vous trouvez, ce qui vous laisse le temps de reprendre constance. Mais pas pour longtemps, malheureusement. Car des bruits de course attirent immédiatement votre attention. Quelque chose arrive vers vous. Et quoi que ce soit, ça arrive vite, très vite.
D'un coup, le mur en face de vous vole en éclat et dans la poussière, vous ne tardez pas à apercevoir deux forme s'avancer vers vous.
Ce dont d'étranges créatures bipèdes mais qui ne ressemblent à rien de ce que vous connaissez. Et le dessus de leurs crânes abrite une sphère très brillante qui vous éblouit. Ne serait-ce pas en lien avec les boules lumineuses que les gens disent avoir vu la nuit ? Et les griffes à leurs pattes semblent correspondre aux griffures subit pas la carriole des jumeaux.
Quoi qu'il en soit, les choses continuent de s'approcher de vous et elles, visiblement, ne nourrissent aucun sentiment positif à votre égard.
Qu'allez-vous faire ?
• Attaquer.
• Fuir.
• Ne rien faire.
La charrue sans les boeufs
Vous trois
Le squelette est parti de la pièce où vous vous trouvez, ce qui vous laisse le temps de reprendre constance. Mais pas pour longtemps, malheureusement. Car des bruits de course attirent immédiatement votre attention. Quelque chose arrive vers vous. Et quoi que ce soit, ça arrive vite, très vite.
D'un coup, le mur en face de vous vole en éclat et dans la poussière, vous ne tardez pas à apercevoir deux forme s'avancer vers vous.
Ce dont d'étranges créatures bipèdes mais qui ne ressemblent à rien de ce que vous connaissez. Et le dessus de leurs crânes abrite une sphère très brillante qui vous éblouit. Ne serait-ce pas en lien avec les boules lumineuses que les gens disent avoir vu la nuit ? Et les griffes à leurs pattes semblent correspondre aux griffures subit pas la carriole des jumeaux.
Quoi qu'il en soit, les choses continuent de s'approcher de vous et elles, visiblement, ne nourrissent aucun sentiment positif à votre égard.
Qu'allez-vous faire ?
• Attaquer.
• Fuir.
• Ne rien faire.
Dim 12 Déc - 15:15
Plongée dans sa supplique, Hildegard ne prêta pas attention au squelette qui s'en allait, pas plus qu'aux paroles de Charles. Elle était avec le Seigneur et attendait un signe de ce dernier. Hélas, ce ne fut pas Dieu qui lui répondit mais un duo de créatures abjectes, visiblement coupables des attaques contre les convois des jumeaux au vu des lumières sur leur tête et de la taille de leurs griffes.
Clairement, l'heure n'était plus à la prière.
Bondissant sur ses deux jambes, elle ramassa sa masse d'armes au sol et se positionna dans une position défensive derrière le grand écu portant l'insigne des De Bayard.
▬ Charles, Amaury, en formation ! Derrière moi ! Ordonna-t-elle en prenant la tête de leur trio, faisant office de bouclier face aux engeances ce qui laisserait le loisir à ses congénères de frapper sur le côté au moment où elle repousserait ces abominables créatures.
Clairement, l'heure n'était plus à la prière.
Bondissant sur ses deux jambes, elle ramassa sa masse d'armes au sol et se positionna dans une position défensive derrière le grand écu portant l'insigne des De Bayard.
▬ Charles, Amaury, en formation ! Derrière moi ! Ordonna-t-elle en prenant la tête de leur trio, faisant office de bouclier face aux engeances ce qui laisserait le loisir à ses congénères de frapper sur le côté au moment où elle repousserait ces abominables créatures.
Hildegard fait le tank et attaque.
Jeu 16 Déc - 17:34
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Comme si les choses n’étaient pas assez compliqués comme ça, voilà que non pas une mais deux créatures étranges surgissent et les prirent pour cibles. Ils n’avaient pas le temps de s’appitoyer sur leurs sorts. À en juger par leurs apparences, ce devait être les boules lumineuses qui attaquaient les carioles. Le Duc grogna en voyant les griffes. Un seul coup et c’était sans doute fini pour eux.
-Hildegarde, Amaury ! S’exclama Charles en leur confiant ses armes d’élites à ses collègues.
Sa lance fraîchement acquise et offerte par le squelette enflammée dans la main, il se plaça derrière la milicienne, prêt à attaquer à la première ouverture.
[HRP: Charles a donné une lance d'élite à Hildegarde! Charles a donné une épée d'élite à Amaury !]
-Hildegarde, Amaury ! S’exclama Charles en leur confiant ses armes d’élites à ses collègues.
Sa lance fraîchement acquise et offerte par le squelette enflammée dans la main, il se plaça derrière la milicienne, prêt à attaquer à la première ouverture.
[HRP: Charles a donné une lance d'élite à Hildegarde! Charles a donné une épée d'élite à Amaury !]
(c) codée par evangeline
Jeu 16 Déc - 20:59
Amaury a du mal à se remettre de ses émotions. Il se pensait au seuil de la mort, résolu à laisser la faucheuse arriver et prêt à se sacrifier pour aider les deux autres miliciens à quitter ce lieu maudit et survivre, autant que possible. Il était prêt à tout abandonner lorsque l’étrange boule verte s’est animée jusqu’à… prendre vie ? C’est bien le mot. Tout à coup un… un ange tout en vert est venu le sauver, un signe que Dieu en avait décidé autrement. Il n’était pas l’heure de mourir. Une soudaine chaleur l’a envahi, suivie d’une sentiment de plénitude et d’apaisement. Plus de douleur, plus de souffle coupé et la sensation de ses jambes retrouvée. « Un… un ange… » Un ange en courbes généreuses dont il a pu admirer de près toute l’étendue. Il l’a laissé faire. Que faire d’autre en pareille situation ? Mourir ou se laisser soigner par un être venu tout droit du divin ?
Quand elle s’éloigne, ensuite, il a du mal à réaliser qu’il est guéri, totalement remis sur pied et en pleine possession de ses moyens. Il n’a pas la force de bouger tout de suite, observant bêtement l’esprit en train de soigner Hildegard. Une fois ses bonnes actions achevées, l’ange a un regard vers le squelette démoniaque et se change finalement en « boule ». Comme si tout cela n’était que le fruit de leur imagination. Ses grands yeux fixant l’endroit où se tenait sa sauveuse quelques secondes plus tôt, Amaury n’en revient pas, et le commentaire de la créature enflammée lui semble étrangement teinté de bon sens. Alors il s’abaisse et récupère l’objet avec un léger murmure : « Merci mon Dieu. »
Il n’entend rien de ce que le squelette indique à Charles, il est toujours dans un cocon nébuleux, sous le choc. Il était véritablement prêt à mourir, bon sang ! C’est la litanie d’Hildegard qui le tire de sa torpeur. Il n’en comprend pas forcément la teneur mais souffle à son tour ces quelques mots : « Je te remercie, Seigneur, qui m’a armé chevalier à ton service, donne force à mon âme à chaque instant et me protège du mal. » Il se signe et se redresse à l’injonction du Duc, s’étonnant toujours de ne ressentir plus aucune souffrance en son corps. Il ne réalise pas tout de suite que le squelette a disparu.
Un bruit de course, lourd, résonne alors. Il se tourne vers le mur devant lui pile au moment où celui-ci est démoli. Deux immondes créatures leur font face. Les pièges de cette arène démoniaque vont-ils prendre fin un jour ?! Hildegard est plus prompte à réagir et Amaury, sans arme, fait ce qu’elle indique, se positionnant derrière elle.
Il faut qu’ils se regroupent pour faire bloc. « Les lumières, les griffes… » Il réfléchit à voix haute. Seraient-ce là les causes des tourments du village voisin ? Il ne sait guère à quoi il peut servir, à mains nues et Charles semble lire dans son esprit puisqu’il l’interpelle en lui confiant une épée. « Merci ! » A peine l’empoigne-t-il qu’Amaury effectue un mouvement circulaire avec sa lame. Ils se doivent d’attaquer !
(Se positionne derrière Hildegard un peu sur le côté, agrippe l'épée que lui confie Charles (thx bro !) et l'agite pour faire genre "oulalala on est prêts à vous poutrer la tronche".)
La charrue sans les boeufs.
Amaury a du mal à se remettre de ses émotions. Il se pensait au seuil de la mort, résolu à laisser la faucheuse arriver et prêt à se sacrifier pour aider les deux autres miliciens à quitter ce lieu maudit et survivre, autant que possible. Il était prêt à tout abandonner lorsque l’étrange boule verte s’est animée jusqu’à… prendre vie ? C’est bien le mot. Tout à coup un… un ange tout en vert est venu le sauver, un signe que Dieu en avait décidé autrement. Il n’était pas l’heure de mourir. Une soudaine chaleur l’a envahi, suivie d’une sentiment de plénitude et d’apaisement. Plus de douleur, plus de souffle coupé et la sensation de ses jambes retrouvée. « Un… un ange… » Un ange en courbes généreuses dont il a pu admirer de près toute l’étendue. Il l’a laissé faire. Que faire d’autre en pareille situation ? Mourir ou se laisser soigner par un être venu tout droit du divin ?
Quand elle s’éloigne, ensuite, il a du mal à réaliser qu’il est guéri, totalement remis sur pied et en pleine possession de ses moyens. Il n’a pas la force de bouger tout de suite, observant bêtement l’esprit en train de soigner Hildegard. Une fois ses bonnes actions achevées, l’ange a un regard vers le squelette démoniaque et se change finalement en « boule ». Comme si tout cela n’était que le fruit de leur imagination. Ses grands yeux fixant l’endroit où se tenait sa sauveuse quelques secondes plus tôt, Amaury n’en revient pas, et le commentaire de la créature enflammée lui semble étrangement teinté de bon sens. Alors il s’abaisse et récupère l’objet avec un léger murmure : « Merci mon Dieu. »
Il n’entend rien de ce que le squelette indique à Charles, il est toujours dans un cocon nébuleux, sous le choc. Il était véritablement prêt à mourir, bon sang ! C’est la litanie d’Hildegard qui le tire de sa torpeur. Il n’en comprend pas forcément la teneur mais souffle à son tour ces quelques mots : « Je te remercie, Seigneur, qui m’a armé chevalier à ton service, donne force à mon âme à chaque instant et me protège du mal. » Il se signe et se redresse à l’injonction du Duc, s’étonnant toujours de ne ressentir plus aucune souffrance en son corps. Il ne réalise pas tout de suite que le squelette a disparu.
Un bruit de course, lourd, résonne alors. Il se tourne vers le mur devant lui pile au moment où celui-ci est démoli. Deux immondes créatures leur font face. Les pièges de cette arène démoniaque vont-ils prendre fin un jour ?! Hildegard est plus prompte à réagir et Amaury, sans arme, fait ce qu’elle indique, se positionnant derrière elle.
Il faut qu’ils se regroupent pour faire bloc. « Les lumières, les griffes… » Il réfléchit à voix haute. Seraient-ce là les causes des tourments du village voisin ? Il ne sait guère à quoi il peut servir, à mains nues et Charles semble lire dans son esprit puisqu’il l’interpelle en lui confiant une épée. « Merci ! » A peine l’empoigne-t-il qu’Amaury effectue un mouvement circulaire avec sa lame. Ils se doivent d’attaquer !
(Se positionne derrière Hildegard un peu sur le côté, agrippe l'épée que lui confie Charles (thx bro !) et l'agite pour faire genre "oulalala on est prêts à vous poutrer la tronche".)
Jeu 16 Déc - 21:07
DES 1&2 : LES CREATURES (ASSAUTS)
DE 3 : ATTAQUE HILDEGARD
DE 4 : ATTAQUE CHARLES
DE 5 : ATTAQUE AMAURY
DE 3 : ATTAQUE HILDEGARD
DE 4 : ATTAQUE CHARLES
DE 5 : ATTAQUE AMAURY
Jeu 16 Déc - 21:07
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
'L'oeil a statué sur ' : 5, 62, 58, 96, 96
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Jeu 16 Déc - 21:16
Vous trois
La première créature... se vautre sur le sol en se prenant, ni plus ni moins, que les pattes arrières l'une dans l'autre, ce qui vous permet de lui porter un coup puissant. Toutefois, elle parvient à se relever et s'éloigner un peu, vous jaugeant de son crâne défoncé dont coule un liquide noir et poisseux, répugnant.
Sa comparse aura eu moins de chance puisqu'elle vient littéralement s'empaler sur les lames de Charles et d'Amaury, expirant en un soubresaut répugnant, crachant sur vous son sang noir et essayant jusqu'au dernier instant de vous mordre, sans succès. Son cadavre retombe près de vous.
Il reste une créature en vie, qu'allez-vous faire ?
• Attaquer (lancez un Dé sans rédiger)
• Fuir.
• Autre action.
La charrue sans les boeufs
Vous trois
La première créature... se vautre sur le sol en se prenant, ni plus ni moins, que les pattes arrières l'une dans l'autre, ce qui vous permet de lui porter un coup puissant. Toutefois, elle parvient à se relever et s'éloigner un peu, vous jaugeant de son crâne défoncé dont coule un liquide noir et poisseux, répugnant.
CREATURE 1
53%Sa comparse aura eu moins de chance puisqu'elle vient littéralement s'empaler sur les lames de Charles et d'Amaury, expirant en un soubresaut répugnant, crachant sur vous son sang noir et essayant jusqu'au dernier instant de vous mordre, sans succès. Son cadavre retombe près de vous.
CREATURE 2
0%Il reste une créature en vie, qu'allez-vous faire ?
• Attaquer (lancez un Dé sans rédiger)
• Fuir.
• Autre action.
Dim 19 Déc - 6:18
Le membre 'Charles d'Orléans' a effectué l'action suivante : Combats
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Dim 19 Déc - 17:50
Le membre 'Amaury de Bray' a effectué l'action suivante : Combats
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Dim 19 Déc - 17:50
Le membre 'Hildegard C. De Bayard' a effectué l'action suivante : Combats
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Dim 19 Déc - 17:58
Le membre 'L'Oeil' a effectué l'action suivante : Combats
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Dim 19 Déc - 18:06
Vous trois
La créature tente de vous attaquer mais Amaury lui porte le coup fatal et parvient à lui transpercer le crâne, qui se déchire et le recouvre donc d'un liquide poisseux, noir et malodorant. Hildegard n'a même pas eu besoin de lever sa lame contre la chose.
Toutefois, sitôt la créature abattue, l’entièreté du batîment se met à trembler et vous entendez un... cri - ? - provenir d'on ne sait où mais qui semble être l’émanation d'une puissante douleur.
Le cri résonne jusque dans vos os mais fini par s'éteindre aussi vite qu'il est apparu.
Quelques instant plus tard, le squelette fait sa réapparition dans l'embrasure de la porte. Mais il n'est pas seul ! Avec lui, Marc et une jeune femme - sans doute sa soeur - se trouve également sur le cheval enflammé. "Semblerait que vous ayez porté un coup à Penemue. Félicitations, vous êtes moins des incapables que je ne le pensais." Il désigne ensuite Marc. "C'est qui que vous cherchiez ? La demoiselle était avec lui, mais aucune trace de Lili."
Silence, puis il ajoute : "J'aurais besoin de votre aide pour libérer mon ami. Une créature telle que moi ne pourra pas défaire les chaînes dans lesquelles il est empêtré." Il patiente un peu puis, en soupirant, ajoute : "... S'il vous plaît ?"
La charrue sans les boeufs
Vous trois
La créature tente de vous attaquer mais Amaury lui porte le coup fatal et parvient à lui transpercer le crâne, qui se déchire et le recouvre donc d'un liquide poisseux, noir et malodorant. Hildegard n'a même pas eu besoin de lever sa lame contre la chose.
Toutefois, sitôt la créature abattue, l’entièreté du batîment se met à trembler et vous entendez un... cri - ? - provenir d'on ne sait où mais qui semble être l’émanation d'une puissante douleur.
Le cri résonne jusque dans vos os mais fini par s'éteindre aussi vite qu'il est apparu.
Quelques instant plus tard, le squelette fait sa réapparition dans l'embrasure de la porte. Mais il n'est pas seul ! Avec lui, Marc et une jeune femme - sans doute sa soeur - se trouve également sur le cheval enflammé. "Semblerait que vous ayez porté un coup à Penemue. Félicitations, vous êtes moins des incapables que je ne le pensais." Il désigne ensuite Marc. "C'est qui que vous cherchiez ? La demoiselle était avec lui, mais aucune trace de Lili."
Silence, puis il ajoute : "J'aurais besoin de votre aide pour libérer mon ami. Une créature telle que moi ne pourra pas défaire les chaînes dans lesquelles il est empêtré." Il patiente un peu puis, en soupirant, ajoute : "... S'il vous plaît ?"
Mar 28 Déc - 14:14
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Ils arrivèrent à faire tomber une première créature. Et la seconde ne tarda pas à succomber à leurs attaques quelques instants. Et quand bien même ils semblaient tirer d’affaire, le cri qui résonna par la suite n’annonçait rien de bon. Charles agita la main devant son visage alors que l’odeur insupportable du liquide poisseux recouvrant Amaury arriva jusqu’à ses narines. Ils ne devaient pas sentir la rose à la base mais là, c’était quelque chose d’autres.
Leur stupeur passé, il n’eut pas le temps de se reposer puisque réapparut le squelette enflammé, en compagne de Marc et d’une demoiselle, loin de la description qu’ils avaient donné au sujet de Lili. Au moins avait-il trouvé Marc.
-Vous pouvez compter sur moi pour vous aider, répondit Charles.
Après tout, il avait bien proposé son aide pour retrouver son ami et le squelette avait bien retrouvé ceux qu’il cherchait. Ou presque. Il ne savait si Hilde et Amaury seraient enchantés par ses paroles, mais au moins savaient-ils qu’ils ne devaient pas prendre leur « sauveur » à la légère. Du moins, il l’espérait.
-Hm… Comment dois-je vous appeler ?
Leur stupeur passé, il n’eut pas le temps de se reposer puisque réapparut le squelette enflammé, en compagne de Marc et d’une demoiselle, loin de la description qu’ils avaient donné au sujet de Lili. Au moins avait-il trouvé Marc.
-Vous pouvez compter sur moi pour vous aider, répondit Charles.
Après tout, il avait bien proposé son aide pour retrouver son ami et le squelette avait bien retrouvé ceux qu’il cherchait. Ou presque. Il ne savait si Hilde et Amaury seraient enchantés par ses paroles, mais au moins savaient-ils qu’ils ne devaient pas prendre leur « sauveur » à la légère. Du moins, il l’espérait.
-Hm… Comment dois-je vous appeler ?
(c) codée par evangeline
Mar 28 Déc - 22:02
Les immenses créatures sont visiblement plus imposantes qu’intelligentes, heureusement ! La première créature perd l’équilibre, ce qui laisse au trio le champ libre pour lui infliger une attaque rapide. La deuxième n’est pas en reste et n’a pas l’air d’avoir conscience du danger. Toute en griffe et en grognement, son corps est plus facile à transpercer qu’Amaury ne l’aurait cru. La lame confiée par Charles est salvatrice puisqu’en peu de temps, l’une des créatures git au sol, répandant son sang noir en une mare énorme. « Une de moins », murmure le chevalier autant pour lui que pour ses comparses.
Après tout ce qu’ils ont vécu jusque-là, il agit comme par automatisme mû par une énergie nouvelle et la perspective d’être passé si près de la mort… Il est bien vivant, maintenant, et il compte préserver cette seconde chance que le divin lui a donné. Autant pour lui que pour les deux autres miliciens à ses côtés. S’il n’est pas le plus grand, son sens du combat parle pour lui et il porte un coup fatal à la créature encore debout, lui transperçant le crâne, les deux mains sur la poignée de l’épée.
La respiration agitée, il ose croire à un petit moment de répit, mais un cri lugubre le fige sur place. C’est un râle de mort ou de douleur. « Il y en a d’autres ? » Il questionne en sachant pertinemment qu’aucun des deux miliciens à ses côtés ne pourra lui répondre. Ce qui n’est peut-être pas le cas du squelette démoniaque qui arrive en suivant, sur le pas de la porte. Amaury en oublierait presque être dans une soi-disant maison.
Ce démon ne lui inspire aucunement confiance et il le laisse parler tout en observant le gamin et la jeune femme également juchés sur la monture enflammée. Charles engage la discussion et Amaury essaie de rassembler quelques morceaux. Le nom de Penemue lui rappelle le cri hystérique du vieillard… Pen-Pen. Il secoue la tête en silence, surpris de voir le squelette leur demander de l’aide. Il a un échange de regard avec Hildegard avant de se tourner vers l’autre milicien :
« J’espère que tu sais ce que tu fais, Charles. » Jusque-là le duc a sans doute été le plus avisé d’entre eux, alors… autant continuer à se fier à lui.
La charrue sans les boeufs.
Les immenses créatures sont visiblement plus imposantes qu’intelligentes, heureusement ! La première créature perd l’équilibre, ce qui laisse au trio le champ libre pour lui infliger une attaque rapide. La deuxième n’est pas en reste et n’a pas l’air d’avoir conscience du danger. Toute en griffe et en grognement, son corps est plus facile à transpercer qu’Amaury ne l’aurait cru. La lame confiée par Charles est salvatrice puisqu’en peu de temps, l’une des créatures git au sol, répandant son sang noir en une mare énorme. « Une de moins », murmure le chevalier autant pour lui que pour ses comparses.
Après tout ce qu’ils ont vécu jusque-là, il agit comme par automatisme mû par une énergie nouvelle et la perspective d’être passé si près de la mort… Il est bien vivant, maintenant, et il compte préserver cette seconde chance que le divin lui a donné. Autant pour lui que pour les deux autres miliciens à ses côtés. S’il n’est pas le plus grand, son sens du combat parle pour lui et il porte un coup fatal à la créature encore debout, lui transperçant le crâne, les deux mains sur la poignée de l’épée.
La respiration agitée, il ose croire à un petit moment de répit, mais un cri lugubre le fige sur place. C’est un râle de mort ou de douleur. « Il y en a d’autres ? » Il questionne en sachant pertinemment qu’aucun des deux miliciens à ses côtés ne pourra lui répondre. Ce qui n’est peut-être pas le cas du squelette démoniaque qui arrive en suivant, sur le pas de la porte. Amaury en oublierait presque être dans une soi-disant maison.
Ce démon ne lui inspire aucunement confiance et il le laisse parler tout en observant le gamin et la jeune femme également juchés sur la monture enflammée. Charles engage la discussion et Amaury essaie de rassembler quelques morceaux. Le nom de Penemue lui rappelle le cri hystérique du vieillard… Pen-Pen. Il secoue la tête en silence, surpris de voir le squelette leur demander de l’aide. Il a un échange de regard avec Hildegard avant de se tourner vers l’autre milicien :
« J’espère que tu sais ce que tu fais, Charles. » Jusque-là le duc a sans doute été le plus avisé d’entre eux, alors… autant continuer à se fier à lui.
Ven 7 Jan - 17:34
Sans doute dans une tentative ultime de les déstabiliser, à peine la dernière des créatures achevées qu'un long cri se fit entendre - le genre à percer les tympans, aussitôt suivi du tremblement de la maison.
▬ J'ignore s'il en reste mais je préférerai ne pas rester pour le vérifier. Sortons. En effet, mieux valait au plus vite quitter les lieux avant que l'intégralité de la structure ne s'écroule sous leurs pieds.
Toutefois, les choses ne pouvaient jamais être faciles n'est-ce pas ? Car à peine fit-elle un pas vers la sortie que l'effroyable silhouette du squelette refit apparition, cette fois-ci accompagnée de Marc et probablement de sa soeur Lucie.
▬ Marc ! La surprise mêlée à la terreur se lisait sur le visage de la milicienne. Joignant les mains devant sa poitrine, elle murmura : Pardonnez-leur leurs offenses, ils ne savent pas ce qu'ils font.
Mais ce fut l'approbation immédiate de Charles qui acheva de l'horrifier. Sentant la force abandonner ses membres et le poids de son échec s'abattre sur ses épaules, la milicienne prit alors une longue inspiration, secoua la lame prêtée par son collègue pour la débarrasser d'un surplus de liquide poisseux puis replaça son bouclier dans son dos avant de s'avancer vers le démon.
▬ Je suis Hidelgard Constance de Bayard, fille de chevalier de la région de Bourgogne, sujet de la Sainte Couronne de France, membre de la Milice, abbesse de Bonlieu et fidèle servante du Très-Haut et je ne pactise pas avec les créatures des enfers.
D'un pas déterminé elle dépassa l'engeance, quitte à le bousculer et jeta un dernier regard à ses camarades.
▬ Lorsque j'ai fait serment à la Milice, j'ai juré de toujours combattre le mal pas de le servir. J'inscrirai tout ce qu'il s'est passé dans mon rapport. Que Dieu veille sur vous.
Elle ignorait quelles épreuves le Seigneur avait encore placé sur sa route, mais elle était persuadée que pactiser avec un démon n'en faisait certainement pas partie. Car sans sa foi et ses principes, Hildegard n'était personne.
▬ J'ignore s'il en reste mais je préférerai ne pas rester pour le vérifier. Sortons. En effet, mieux valait au plus vite quitter les lieux avant que l'intégralité de la structure ne s'écroule sous leurs pieds.
Toutefois, les choses ne pouvaient jamais être faciles n'est-ce pas ? Car à peine fit-elle un pas vers la sortie que l'effroyable silhouette du squelette refit apparition, cette fois-ci accompagnée de Marc et probablement de sa soeur Lucie.
▬ Marc ! La surprise mêlée à la terreur se lisait sur le visage de la milicienne. Joignant les mains devant sa poitrine, elle murmura : Pardonnez-leur leurs offenses, ils ne savent pas ce qu'ils font.
Mais ce fut l'approbation immédiate de Charles qui acheva de l'horrifier. Sentant la force abandonner ses membres et le poids de son échec s'abattre sur ses épaules, la milicienne prit alors une longue inspiration, secoua la lame prêtée par son collègue pour la débarrasser d'un surplus de liquide poisseux puis replaça son bouclier dans son dos avant de s'avancer vers le démon.
▬ Je suis Hidelgard Constance de Bayard, fille de chevalier de la région de Bourgogne, sujet de la Sainte Couronne de France, membre de la Milice, abbesse de Bonlieu et fidèle servante du Très-Haut et je ne pactise pas avec les créatures des enfers.
D'un pas déterminé elle dépassa l'engeance, quitte à le bousculer et jeta un dernier regard à ses camarades.
▬ Lorsque j'ai fait serment à la Milice, j'ai juré de toujours combattre le mal pas de le servir. J'inscrirai tout ce qu'il s'est passé dans mon rapport. Que Dieu veille sur vous.
Elle ignorait quelles épreuves le Seigneur avait encore placé sur sa route, mais elle était persuadée que pactiser avec un démon n'en faisait certainement pas partie. Car sans sa foi et ses principes, Hildegard n'était personne.
Hildegard quitte la mission.