Sam 30 Oct - 21:40
Le membre 'Charles d'Orléans' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 30 Oct - 22:33
En franchissant la porte, c'est comme s'il était avalé par un éclat de lumière aveuglant. Une fois les yeux rouverts, il est... ailleurs. Clairement pas dans cette folle demeure qui semble prendre un malin plaisir à le perdre.
Non, la première chose qu'il voit : un visage. Et quel visage ! Héloïse ! Jeune et souriante Héloïse penchée sur lui. Il se relève prestement et la voilà qui sourit, non sans une petite remarque à son égard. « Héloïse ? Comment diable... » Il sait que ce n'est pas possible. Son esprit lui joue des tours et son coeur s'emballe en sachant toutefois qu'elle ne peut pas. « Tu n'es pas... tu n'es pas là, Héloïse. Ce n'est pas possible. » Elle n'est pas là mais son visage, son sourire, son attitude tout lui parait plus réel que jamais.
De même que l'arbre sous lequel il est assis, son dos adossé au tronc. Il a presque le sentiment d'être revenu quelques années en arrière, dans l'imposant jardin du Duc de Bretagne.
Même si cela n'est qu'un mauvais tour de son imagination, ce souvenir lui fait du bien. « Je suis quand même content de te voir. »
La charrue sans les boeufs.
En franchissant la porte, c'est comme s'il était avalé par un éclat de lumière aveuglant. Une fois les yeux rouverts, il est... ailleurs. Clairement pas dans cette folle demeure qui semble prendre un malin plaisir à le perdre.
Non, la première chose qu'il voit : un visage. Et quel visage ! Héloïse ! Jeune et souriante Héloïse penchée sur lui. Il se relève prestement et la voilà qui sourit, non sans une petite remarque à son égard. « Héloïse ? Comment diable... » Il sait que ce n'est pas possible. Son esprit lui joue des tours et son coeur s'emballe en sachant toutefois qu'elle ne peut pas. « Tu n'es pas... tu n'es pas là, Héloïse. Ce n'est pas possible. » Elle n'est pas là mais son visage, son sourire, son attitude tout lui parait plus réel que jamais.
De même que l'arbre sous lequel il est assis, son dos adossé au tronc. Il a presque le sentiment d'être revenu quelques années en arrière, dans l'imposant jardin du Duc de Bretagne.
Même si cela n'est qu'un mauvais tour de son imagination, ce souvenir lui fait du bien. « Je suis quand même content de te voir. »
Sam 30 Oct - 22:33
Le membre 'Amaury de Bray' a effectué l'action suivante : Combats
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Sam 30 Oct - 22:58
Charles
Vous y croyez. Vous êtes convaincu d'être à votre mariage.
Amaury
Vous doutez d'Héloïse.
Hildegard
Vous avez quelques doutes mais une part de vous est persuadée d'être auprès de cette femme. Vous vous sentez comme à l'émergence, effectivement, d'un très long rêve.
La charrue sans les boeufs
Charles
Vous y croyez. Vous êtes convaincu d'être à votre mariage.
Amaury
Vous doutez d'Héloïse.
Hildegard
Vous avez quelques doutes mais une part de vous est persuadée d'être auprès de cette femme. Vous vous sentez comme à l'émergence, effectivement, d'un très long rêve.
Dim 31 Oct - 11:46
Happée dans l'inconnu, la maison et Ulric disparurent pour laisser place à... une meute de foin. Se redressant en sursaut avec de la paille dans les cheveux, Hildegard tâta par réflexe sa ceinture, cherchant son arme quand une voix familière l'interrompit.
▬ Lou ? Son corps était lourd, ses sens engourdis et sa bouche pâteuse, comme si elle venait de se réveiller. La grange était celle du domaine De Bayard, pour peu, Hildegard pouvait presque entendre au loin le mugissement des vaches et sentir encore la chaleur du corps de Lou. Oubliés la Milice, Marc, Amaury et Charles. Elle battit des paupières, un sourire timide sur les lèvres malgré l'inquiétude qui se lisait dans son regard. Je... j'ai fait un drôle de rêve. Rétorqua-t-elle en se relevant avant de tendre la main à la demoiselle. On devrait y aller avant que quelqu'un nous voit.
Quand bien même, le coeur d'Hildegard était empli de bonheur, quelque chose n'allait pas.
Et si jamais sa mère les surprenait ?
▬ Lou ? Son corps était lourd, ses sens engourdis et sa bouche pâteuse, comme si elle venait de se réveiller. La grange était celle du domaine De Bayard, pour peu, Hildegard pouvait presque entendre au loin le mugissement des vaches et sentir encore la chaleur du corps de Lou. Oubliés la Milice, Marc, Amaury et Charles. Elle battit des paupières, un sourire timide sur les lèvres malgré l'inquiétude qui se lisait dans son regard. Je... j'ai fait un drôle de rêve. Rétorqua-t-elle en se relevant avant de tendre la main à la demoiselle. On devrait y aller avant que quelqu'un nous voit.
Quand bien même, le coeur d'Hildegard était empli de bonheur, quelque chose n'allait pas.
Et si jamais sa mère les surprenait ?
Dim 31 Oct - 12:14
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Charles cligna des yeux, ébloui et se frotta les yeux avant que sa vue ne s’ajuste à la luminosité. Il resta un instant interdit en voyant le doux visage de Camille, inquiète, face à lui.
-Mais qu’est-ce que tu racontes? Je ne peux être on ne peut plus heureux de t’épouser…
Sa main vint saisir doucement la sienne et serra avec délicatesse ses doigts. Il vint coller son front contre le sien. Au loin, il pouvait entendre la musique, l’air doux du printemps. Il ne manquerait plus que quelques personnes pour que tout soit parfait.
-Mais qu’est-ce que tu racontes? Je ne peux être on ne peut plus heureux de t’épouser…
Sa main vint saisir doucement la sienne et serra avec délicatesse ses doigts. Il vint coller son front contre le sien. Au loin, il pouvait entendre la musique, l’air doux du printemps. Il ne manquerait plus que quelques personnes pour que tout soit parfait.
(c) codée par evangeline
Mer 3 Nov - 17:46
Pris par la surprise et l’émotion Amaury la tutoie, signe s’il en est que tout cela n’est pas réel. Ne peut pas l’être. La jeune femme ne s’en étonne guère, d’ailleurs. Elle sourit et il ne faudrait pas grand-chose pour qu’il se contente de la regarder, l’écouter lui parler et se rappeler cette époque insouciante.
Pourtant, il ne doit pas se laisser endormir. Il ne peut pas. Il faut qu’il retrouve les deux autres miliciens présents comme lui dans ce labyrinthe du diable. Il faut qu’il retrouve le jeune garçon et que tous ensemble ils comprennent enfin ce qui se passe.
Il profite encore un bref instant, se contentant d’écouter le son de sa voix. Même si tout cela n’est qu’une machination, il n’aura guère de nouvelle occasion. Et finalement, prenant appuie sur le tronc derrière lui, il se redresse dans un soupir.
« Je vais partir, Héloïse. Je ne sais pas à qui je dois ce joli rêve, mais je ne suis pas dupe… des gens encore bien vivants m’attendent. Je regrette. » Les cadeaux du ciel, dans un instant comme celui-ci, il n’y croit guère. La méfiance monte en lui et il préfère faire quelque pas au-delà de son fantôme, essayant de voir si une quelconque issue se cache, quelque part.
Qu’il est difficile de ne pas se retourner pour la contempler, une fois de plus… il préfère alors chercher du regard son volatile. « Oz… où es-tu ? » Lui l’aurait sûrement guidé.
La charrue sans les boeufs.
Pris par la surprise et l’émotion Amaury la tutoie, signe s’il en est que tout cela n’est pas réel. Ne peut pas l’être. La jeune femme ne s’en étonne guère, d’ailleurs. Elle sourit et il ne faudrait pas grand-chose pour qu’il se contente de la regarder, l’écouter lui parler et se rappeler cette époque insouciante.
Pourtant, il ne doit pas se laisser endormir. Il ne peut pas. Il faut qu’il retrouve les deux autres miliciens présents comme lui dans ce labyrinthe du diable. Il faut qu’il retrouve le jeune garçon et que tous ensemble ils comprennent enfin ce qui se passe.
Il profite encore un bref instant, se contentant d’écouter le son de sa voix. Même si tout cela n’est qu’une machination, il n’aura guère de nouvelle occasion. Et finalement, prenant appuie sur le tronc derrière lui, il se redresse dans un soupir.
« Je vais partir, Héloïse. Je ne sais pas à qui je dois ce joli rêve, mais je ne suis pas dupe… des gens encore bien vivants m’attendent. Je regrette. » Les cadeaux du ciel, dans un instant comme celui-ci, il n’y croit guère. La méfiance monte en lui et il préfère faire quelque pas au-delà de son fantôme, essayant de voir si une quelconque issue se cache, quelque part.
Qu’il est difficile de ne pas se retourner pour la contempler, une fois de plus… il préfère alors chercher du regard son volatile. « Oz… où es-tu ? » Lui l’aurait sûrement guidé.
Jeu 4 Nov - 20:13
Charles
Une légère fatigue vous prend au crâne. Pendant un instant, vous fermez les yeux. Un soubresaut vous secoue et vous force alors à réouvrir les yeux. Vous êtes à une réception de mariage, toujours. Les gens viennent vous féliciter. Comment vous appellent-ils ? Votre Altesse ?
Vous comprenez cependant rapidement en voyant approcher de vous la mariée. Victoire se trouve auprès de vous et vous sourit. "Je suis heureuse de t'épouser, Charles."
Elle est magnifique, dans sa robe blanche, immaculée. C'est tout ce dont vous aviez toujours rêvez, vous le savez. C'est sans doute pour cela que vous y croyez.
[Lancez un Dé.]
Amaury
Si Oz fini par entrer dans votre champ de vision, il se réceptionne très mal sur vous et vous fait tomber à la renverse, vous faisant vous cogner la tête par terre. La douleur irradie votre crâne l'espace d'un instant mais s’atténue rapidement. Lorsque vous rouvrez les yeux, vous êtes à une cérémonie de mariage et surprenamment, vos proches paraissent ravis pour vous. A vos côtés, Héloïse rayonne, irradie même. Son sourire vous désarme alors qu'elle prend votre main.
C'est une chose que vous avez ardemment désiré sans même vous l'avouez, n'est-ce pas ?
Vous y croyez. Vous y croyez et votre cœur s'emballe. Vous êtes heureux.
[Lancez un Dé.]
Hildegard
Vous aidez la jeune femme à se redresser, mais vos têtes se heurtent l'une l'autre, vous causant une douleur vive mais passagère. Et, lorsque vous rouvrez les yeux, vous constatez que Diane se trouve devant vous, en tenue d'Eve. "Hildegard ? Un problème ?" Ses mimiques sont là, ainsi que le ton de sa voix et tout le reste. Vous ne doutez pas, vous êtes convaincue que vous venez de passer un agréable moment avec Diane.
[Lancez un Dé.]
Marche à suivre : Pour ce tour, vous avez simplement besoin de lancer les Dés. La narration reprendra au poste suivant du MJ.
La charrue sans les boeufs
Charles
Une légère fatigue vous prend au crâne. Pendant un instant, vous fermez les yeux. Un soubresaut vous secoue et vous force alors à réouvrir les yeux. Vous êtes à une réception de mariage, toujours. Les gens viennent vous féliciter. Comment vous appellent-ils ? Votre Altesse ?
Vous comprenez cependant rapidement en voyant approcher de vous la mariée. Victoire se trouve auprès de vous et vous sourit. "Je suis heureuse de t'épouser, Charles."
Elle est magnifique, dans sa robe blanche, immaculée. C'est tout ce dont vous aviez toujours rêvez, vous le savez. C'est sans doute pour cela que vous y croyez.
[Lancez un Dé.]
Amaury
Si Oz fini par entrer dans votre champ de vision, il se réceptionne très mal sur vous et vous fait tomber à la renverse, vous faisant vous cogner la tête par terre. La douleur irradie votre crâne l'espace d'un instant mais s’atténue rapidement. Lorsque vous rouvrez les yeux, vous êtes à une cérémonie de mariage et surprenamment, vos proches paraissent ravis pour vous. A vos côtés, Héloïse rayonne, irradie même. Son sourire vous désarme alors qu'elle prend votre main.
C'est une chose que vous avez ardemment désiré sans même vous l'avouez, n'est-ce pas ?
Vous y croyez. Vous y croyez et votre cœur s'emballe. Vous êtes heureux.
[Lancez un Dé.]
Hildegard
Vous aidez la jeune femme à se redresser, mais vos têtes se heurtent l'une l'autre, vous causant une douleur vive mais passagère. Et, lorsque vous rouvrez les yeux, vous constatez que Diane se trouve devant vous, en tenue d'Eve. "Hildegard ? Un problème ?" Ses mimiques sont là, ainsi que le ton de sa voix et tout le reste. Vous ne doutez pas, vous êtes convaincue que vous venez de passer un agréable moment avec Diane.
[Lancez un Dé.]
Marche à suivre : Pour ce tour, vous avez simplement besoin de lancer les Dés. La narration reprendra au poste suivant du MJ.
Jeu 4 Nov - 20:20
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Jeu 4 Nov - 20:22
Le membre 'Hildegard C. De Bayard' a effectué l'action suivante : Combats
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Jeu 4 Nov - 23:20
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Dim 7 Nov - 17:01
Charles
Vous vous sentez sincèrement heureux de l’événement. Victoire est magnifique et les invités sont charmants. Toutefois, toujours pris d'une certaine fatigue, vous vous dirigez vers la fontaine toute proche dans le but de vous passer de l'eau sur le visage.
Rien n'aurait normalement dû vous troubler mais voilà, alors que vos yeux croisent ceux de votre reflet, vous vous apercevez que ce dernier... Vous répond. Il semble même être agité !
"REVEILLES-TOI !" Vous crit-il. Vous ne comprenez pas. "TU ES EN TRAIN DE MOURIR ! REVEILLES-TOI !"
Stupéfait, vous avez pourtant à peine le temps de réagir que votre reflet vous attrape et vous fait sombrer sous cette eau limpide. Vous n'auriez pas dû pouvoir disparaitre de la sorte, la fontaine n'était pas profonde... Mais voilà, vous êtes comme prit dans un océan, désormais. Vous recevez un coup de tête sévère de votre double et le noir s'installe dans votre esprit.
Lorsque vous rouvrez les yeux, la première sensation qui vous vient est celle de l’étouffement. Pourtant, vous n'avez heureusement pas le temps de vous engluer dans cette sensation que quelque chose - ou quelqu'un vous tire brutalement en arrière, vous faisant tomber sur votre séant. En relevant les yeux, vous découvrez que vous êtes couvert d'une espèce de... mucus de couleur chair. Le mur contre lequel vous étiez visiblement collé, en face de vous, suinte cette même matière.
Et là, dans votre dos, une voix.
"Eh ben, un peu plus et il te digérait sans que tu ne te rende compte de rien toi aussi."
Ce n'est pas un homme qui se tient là, mais une chose que vous n'aviez jamais vu encore.
Un squelette... Monté sur un cheval ? Capable de parole ? Et enflammé, par dessus le marché ? Qu'est-ce que...
"Bon, pendant que tu reprend tes esprit, je vais libérer ta copine, tu permets."
Amaury
Vous ne doutez pas de l'instant, pour le moment. Mais vous vous sentez de plus en plus fatigué.
Hildegard
Diane se rhabille finalement, au même rythme que vous et vous sortez, le roses aux joues toutes les deux. Tout cela vous apparait tellement réel... Vous êtes heureuse. Quel dommage que ce maudit mal de crâne vous empêche de savourer pleinement l'instant.
Vous voyez finalement la silhouette de Lou, votre servante, en train d'essayer de remonter un sceau d'eau du puits familial, probablement pour s’acquitter de ses tâches ménagères. La jeune femme ne parvient pas à remonter le sceau. Vous décidez d'aller l'aider mais Diane vous retient par le bras. "Hildegarde... Où vas-tu ?"
Vous la rassurez en disant que vous revenez bientôt, vous ne pouvez pas laisser la gentille Lou se débattre ainsi sans l'aider. Votre main vient bientôt se poser sur la corde du sceau pour aider à le remonter. Tout se passe bien... jusqu'à la fin de la remontée. Car en effet, lorsque vos yeux se pose sur la surface de l'eau contenue dans le sceau, un reflet de... vous-même - ?- y apparaît.
"MAIS TU VAS ÉMERGER, BON SANG ?!"
Avant même que vous ne puissiez réagir, votre reflet vous attrape et vous bascule dans le puits. Vous avez seulement le temps d'entendre les voix de Lou et de Diane vous appeler avant d'être avalée par l'obscurité. Lorsque vos yeux se rouvrent, un besoin de respirer puissant se fait sentir. Mais impossible. Vous êtes comme paralysée. Heureusement, cela ne dure pas puisque vous êtes tirée en arrière, depuis un mur gluant, jusqu'à pouvoir respirer à grandes goulées d'air. Vous êtes couverte d'un mucus de couleur et de texture répugnantes et le mur d'où vous avez été extraite ne semble pas en bon état. Il suinte dudit mucus.
Dans votre dos, une voix.
"Ça y est ? Ça se réveille ?"
Mais. Quoi ?
Hildegard & Charles
La "chose" vous adresse la parole comme si de rien n'était. "Avant de vouloir probablement me trucider, on va peut-être aller aider votre ami, non ?" Il désigne, de son doigt squelettique, Amaury en train d'être... Absorbé par le mur contre lequel il se trouve. Lui aussi est couvert de mucus. "Depêchez-vous ou laissez-moi faire mais il faut vraiment agir maintenant si vous voulez le sauver."
La charrue sans les boeufs
Charles
Vous vous sentez sincèrement heureux de l’événement. Victoire est magnifique et les invités sont charmants. Toutefois, toujours pris d'une certaine fatigue, vous vous dirigez vers la fontaine toute proche dans le but de vous passer de l'eau sur le visage.
Rien n'aurait normalement dû vous troubler mais voilà, alors que vos yeux croisent ceux de votre reflet, vous vous apercevez que ce dernier... Vous répond. Il semble même être agité !
"REVEILLES-TOI !" Vous crit-il. Vous ne comprenez pas. "TU ES EN TRAIN DE MOURIR ! REVEILLES-TOI !"
Stupéfait, vous avez pourtant à peine le temps de réagir que votre reflet vous attrape et vous fait sombrer sous cette eau limpide. Vous n'auriez pas dû pouvoir disparaitre de la sorte, la fontaine n'était pas profonde... Mais voilà, vous êtes comme prit dans un océan, désormais. Vous recevez un coup de tête sévère de votre double et le noir s'installe dans votre esprit.
Lorsque vous rouvrez les yeux, la première sensation qui vous vient est celle de l’étouffement. Pourtant, vous n'avez heureusement pas le temps de vous engluer dans cette sensation que quelque chose - ou quelqu'un vous tire brutalement en arrière, vous faisant tomber sur votre séant. En relevant les yeux, vous découvrez que vous êtes couvert d'une espèce de... mucus de couleur chair. Le mur contre lequel vous étiez visiblement collé, en face de vous, suinte cette même matière.
Et là, dans votre dos, une voix.
"Eh ben, un peu plus et il te digérait sans que tu ne te rende compte de rien toi aussi."
Ce n'est pas un homme qui se tient là, mais une chose que vous n'aviez jamais vu encore.
Un squelette... Monté sur un cheval ? Capable de parole ? Et enflammé, par dessus le marché ? Qu'est-ce que...
"Bon, pendant que tu reprend tes esprit, je vais libérer ta copine, tu permets."
Amaury
Vous ne doutez pas de l'instant, pour le moment. Mais vous vous sentez de plus en plus fatigué.
Hildegard
Diane se rhabille finalement, au même rythme que vous et vous sortez, le roses aux joues toutes les deux. Tout cela vous apparait tellement réel... Vous êtes heureuse. Quel dommage que ce maudit mal de crâne vous empêche de savourer pleinement l'instant.
Vous voyez finalement la silhouette de Lou, votre servante, en train d'essayer de remonter un sceau d'eau du puits familial, probablement pour s’acquitter de ses tâches ménagères. La jeune femme ne parvient pas à remonter le sceau. Vous décidez d'aller l'aider mais Diane vous retient par le bras. "Hildegarde... Où vas-tu ?"
Vous la rassurez en disant que vous revenez bientôt, vous ne pouvez pas laisser la gentille Lou se débattre ainsi sans l'aider. Votre main vient bientôt se poser sur la corde du sceau pour aider à le remonter. Tout se passe bien... jusqu'à la fin de la remontée. Car en effet, lorsque vos yeux se pose sur la surface de l'eau contenue dans le sceau, un reflet de... vous-même - ?- y apparaît.
"MAIS TU VAS ÉMERGER, BON SANG ?!"
Avant même que vous ne puissiez réagir, votre reflet vous attrape et vous bascule dans le puits. Vous avez seulement le temps d'entendre les voix de Lou et de Diane vous appeler avant d'être avalée par l'obscurité. Lorsque vos yeux se rouvrent, un besoin de respirer puissant se fait sentir. Mais impossible. Vous êtes comme paralysée. Heureusement, cela ne dure pas puisque vous êtes tirée en arrière, depuis un mur gluant, jusqu'à pouvoir respirer à grandes goulées d'air. Vous êtes couverte d'un mucus de couleur et de texture répugnantes et le mur d'où vous avez été extraite ne semble pas en bon état. Il suinte dudit mucus.
Dans votre dos, une voix.
"Ça y est ? Ça se réveille ?"
Mais. Quoi ?
Hildegard & Charles
La "chose" vous adresse la parole comme si de rien n'était. "Avant de vouloir probablement me trucider, on va peut-être aller aider votre ami, non ?" Il désigne, de son doigt squelettique, Amaury en train d'être... Absorbé par le mur contre lequel il se trouve. Lui aussi est couvert de mucus. "Depêchez-vous ou laissez-moi faire mais il faut vraiment agir maintenant si vous voulez le sauver."
Jeu 11 Nov - 23:55
Ce... rêve (en est-ce un ?) est de plus en plus perturbant. Ne dit-on pas que les songes trahissent certaines de nos envies ? Amaury ne saurait quoi en penser, complètement happé par les images qui s'imposent à lui. Oz tout d'abord, dont le vol n'a rien de la précision habituelle qu'il lui connait, et puis... Héloïse. Belle et jeune Héloïse, rayonnante et toute tournée vers lui.
Il ne saisit pas de suite, avant de remarquer les regards et les sourires, tout autour. Il voit son frère, sa mère également et... elle. Dans une robe magnifique, les cheveux élégamment coiffée, elle n'a d'yeux que pour lui. Amaury a beau savoir que cela ne se peut pas, que lui-même n'a jamais eu que des sentiments fraternels envers la fille du Duc, comme un protecteur se prenant un peu trop au jeu... il n'empêche. C'est comme une flamme, toute petite flamme vacillante, menaçant de s'éteindre bien vite, qui vient de naître en lui.
Transporté par le moment, le Chevalier aurait toutes les raisons du monde de croire. Tout cela n'a rien de déplaisant. Au contraire. Tout cela pourrait presque sonner juste... comme un bonheur qu'il n'a jamais eu la prétention d'effleurer.
Alors il serre la main désormais dans la sienne et sourit avec la même ferveur. Rien ne pourrait gâcher cet instant, si ce n'est peut-être cette redoutable sensation de fatigue qui l'habite. Comme s'il venait de combattre non stop pendant des jours et des jours, sans dormir.
Il se force à garder les yeux ouverts. Ce n'est pas la fatigue qui viendra ternir pareil moment.
La charrue sans les boeufs.
Ce... rêve (en est-ce un ?) est de plus en plus perturbant. Ne dit-on pas que les songes trahissent certaines de nos envies ? Amaury ne saurait quoi en penser, complètement happé par les images qui s'imposent à lui. Oz tout d'abord, dont le vol n'a rien de la précision habituelle qu'il lui connait, et puis... Héloïse. Belle et jeune Héloïse, rayonnante et toute tournée vers lui.
Il ne saisit pas de suite, avant de remarquer les regards et les sourires, tout autour. Il voit son frère, sa mère également et... elle. Dans une robe magnifique, les cheveux élégamment coiffée, elle n'a d'yeux que pour lui. Amaury a beau savoir que cela ne se peut pas, que lui-même n'a jamais eu que des sentiments fraternels envers la fille du Duc, comme un protecteur se prenant un peu trop au jeu... il n'empêche. C'est comme une flamme, toute petite flamme vacillante, menaçant de s'éteindre bien vite, qui vient de naître en lui.
Transporté par le moment, le Chevalier aurait toutes les raisons du monde de croire. Tout cela n'a rien de déplaisant. Au contraire. Tout cela pourrait presque sonner juste... comme un bonheur qu'il n'a jamais eu la prétention d'effleurer.
Alors il serre la main désormais dans la sienne et sourit avec la même ferveur. Rien ne pourrait gâcher cet instant, si ce n'est peut-être cette redoutable sensation de fatigue qui l'habite. Comme s'il venait de combattre non stop pendant des jours et des jours, sans dormir.
Il se force à garder les yeux ouverts. Ce n'est pas la fatigue qui viendra ternir pareil moment.
Sam 13 Nov - 22:27
Même dans ses songes les plus profanes, jamais Hildegard n'aurait osé imaginé levé les yeux sur le corps dénudé de la dame d'Orléans. En tout cas pas comme ça, pas avec son odeur sur sa propre peau, la trace encore tiède de leurs étreintes sur la paille et le rouge sur leurs joues en preuves de leurs embrassades. Oh non, jamais Hildegard n'aurait osé partager la couche de la vertueuse Diane, soeur de son ami Charles et aimée de son autre ami Alaric. Comment pourrait-elle les regarder dans les yeux désormais maintenant qu'elle savait qu'elle avait goûté au fruit interdit en entrainant avec elle sur le chemin de la dépravation l'une des plus précieuses dames de Sa Majesté ? Et surtout comment leur avouer la fierté immense qui enflammait sa poitrine de savoir que Diane, Diane si convoitée, avait été sienne rien qu'un instant ?
▬ Pardonne-moi Seigneur, purifie-moi de tous mes péchés... Marmonna-t-elle en se retournant pour s'habiller, dos à Diane, le visage encore écarlate et l'esprit embrumé d'un mélange de bonheur et de culpabilité.
Fort heureusement, l'extérieur de la grange était désert. Osant timidement glisser une main dans celle de la blonde, Hildegard la menait déjà vers le sentier qui menait à la demeure principale lorsque son attention fut attirée par la présence de Lou.
▬ Pars devant, je te rejoins. Lui souffla-t-elle avant de rejoindre Lou.
En remontant le seau, Hildegard contempla un instant le reflet dessiné à la surface de l'eau. Le ciel était si bleu, le sourire sur ses lèvres si grand. Tout était si paisible... paisible.
▬ MAIS TU VAS ÉMERGER, BON SANG ?!
La surprise lui fit lâcher le seau mais déjà des mains froides l'entrainait de l'autre côté du miroir. Avant qu'elle n'ait eu le temps de crier, la milicienne plongeait déjà dans le noir, un univers où tout était froid et sans air. L'air ! Elle était en train de se noyer ! Elle voulut ouvrir la bouche ou inspirer par les narines mais son corps ne répondait plus, comprimé dans un cocon moite et glacé. La panique commença à l'envahir alors qu'elle sentait la mort venir. Était-ce le poids de ses péchés qui l'entrainait vers le fond ? Si tel était le cas, Hildegard était prête à l'accepter tant que... tant que les autres iraient bien.
Elle fermait déjà les yeux, presque prête à cesser sa lutte quand la même voix déplaisante que toute à l'oreille lui râpa les oreilles tandis qu'un halo de lumière entrait dans son champ de vision.
▬ GASP. La De Bayard émergea avec un grand hoquet, puis tomba à genoux avec une expression d'horreur confuse sur le visage. Levant la tête, elle recula maladroitement devant l'abominable silhouette qui semblait l'avoir tirée de ce maléfice. Sa main cherchait sa masse d'armes quand son regard tomba sur Charles, lui aussi présent et recouvert d'une substance ragoutante, puis sur Amaury.
▬ CHEVALIER DE BRAY ! S'exclama-t-elle alors en se précipitant vers son camarade, glissant presque sur le mucus dans sa précipitation avant de poser ses mains sur ses épaules et de commencer à tirer de toutes ses forces pour l'extirper de là.
▬ Pardonne-moi Seigneur, purifie-moi de tous mes péchés... Marmonna-t-elle en se retournant pour s'habiller, dos à Diane, le visage encore écarlate et l'esprit embrumé d'un mélange de bonheur et de culpabilité.
Fort heureusement, l'extérieur de la grange était désert. Osant timidement glisser une main dans celle de la blonde, Hildegard la menait déjà vers le sentier qui menait à la demeure principale lorsque son attention fut attirée par la présence de Lou.
▬ Pars devant, je te rejoins. Lui souffla-t-elle avant de rejoindre Lou.
En remontant le seau, Hildegard contempla un instant le reflet dessiné à la surface de l'eau. Le ciel était si bleu, le sourire sur ses lèvres si grand. Tout était si paisible... paisible.
▬ MAIS TU VAS ÉMERGER, BON SANG ?!
La surprise lui fit lâcher le seau mais déjà des mains froides l'entrainait de l'autre côté du miroir. Avant qu'elle n'ait eu le temps de crier, la milicienne plongeait déjà dans le noir, un univers où tout était froid et sans air. L'air ! Elle était en train de se noyer ! Elle voulut ouvrir la bouche ou inspirer par les narines mais son corps ne répondait plus, comprimé dans un cocon moite et glacé. La panique commença à l'envahir alors qu'elle sentait la mort venir. Était-ce le poids de ses péchés qui l'entrainait vers le fond ? Si tel était le cas, Hildegard était prête à l'accepter tant que... tant que les autres iraient bien.
Elle fermait déjà les yeux, presque prête à cesser sa lutte quand la même voix déplaisante que toute à l'oreille lui râpa les oreilles tandis qu'un halo de lumière entrait dans son champ de vision.
▬ GASP. La De Bayard émergea avec un grand hoquet, puis tomba à genoux avec une expression d'horreur confuse sur le visage. Levant la tête, elle recula maladroitement devant l'abominable silhouette qui semblait l'avoir tirée de ce maléfice. Sa main cherchait sa masse d'armes quand son regard tomba sur Charles, lui aussi présent et recouvert d'une substance ragoutante, puis sur Amaury.
▬ CHEVALIER DE BRAY ! S'exclama-t-elle alors en se précipitant vers son camarade, glissant presque sur le mucus dans sa précipitation avant de poser ses mains sur ses épaules et de commencer à tirer de toutes ses forces pour l'extirper de là.
Résumé : Hildegard se jette sur Amaury, se casse presque la gueule sur lui et le saisit comme une bourrine pour le sortir de là.
Dim 14 Nov - 17:27
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Charles se doutait que son mariage avec Victoire n'allait pas être de tout repos mais tout de même. S'il rêvait d'en finir pour être au calme et dans les bras de sa bien aimée, il allait devoir prendre sur lui et se dirigea vers la fontaine pour se réveiller. Pourtant l'eau fraîche ne sembla pas si fraîche que cela. Sourcils froncés, il cligna des yeux en voyant son reflet.
REVEILLE-TOI! TU ES EN TRAIN DE MOURIR ?
Mourir ? Comment ça ? Était-il si fatigué que cela? Charles n'aura pas le temps de se poser plus de question qu'il se fit happé dans la fontaine, se retrouva plongé dans l'obscurité.
Lorsqu'il tenta de reprendre pied avec la réalité... Charles avait l'impression de suffoquer. Mais la sensation sera brève puisqu'on le tira vers l'arrière. Son corps était lourd... De quelque chose. Mais il oublia bien vite en apercevant l'apparition étrange squelettique et enflammé, le laissant sans voix. Il enregistra à peine ses paroles, l'observa, toujours interdit, libérer également Hildegard. Voir son amie dans le même état que lui le fit au moins réagir et le fit bondir sur ses pieds. Son regard se posa sur la milicienne puis sur la silhouette du chevalier qui s'enfonçait d'avantage dans ce mur étrange. Sans se poser de question, Charles vint prêter main forte à Hildegarde et saisit Amaury par la taille pour le tirer de toutes ses forces.
Pas encore, par pitié...
REVEILLE-TOI! TU ES EN TRAIN DE MOURIR ?
Mourir ? Comment ça ? Était-il si fatigué que cela? Charles n'aura pas le temps de se poser plus de question qu'il se fit happé dans la fontaine, se retrouva plongé dans l'obscurité.
Lorsqu'il tenta de reprendre pied avec la réalité... Charles avait l'impression de suffoquer. Mais la sensation sera brève puisqu'on le tira vers l'arrière. Son corps était lourd... De quelque chose. Mais il oublia bien vite en apercevant l'apparition étrange squelettique et enflammé, le laissant sans voix. Il enregistra à peine ses paroles, l'observa, toujours interdit, libérer également Hildegard. Voir son amie dans le même état que lui le fit au moins réagir et le fit bondir sur ses pieds. Son regard se posa sur la milicienne puis sur la silhouette du chevalier qui s'enfonçait d'avantage dans ce mur étrange. Sans se poser de question, Charles vint prêter main forte à Hildegarde et saisit Amaury par la taille pour le tirer de toutes ses forces.
Pas encore, par pitié...
(c) codée par evangeline
Mar 16 Nov - 21:44
Amaury
On vous apporte un verre de vin pour fêter l’événement dignement. Mais alors que vous regardez à la surface, vous percevez... Votre reflet - ?! - qui vous regarde. Pire, il vous hurle dessus. "CE N'EST QU'UN RÊVE ! BAS-TOI !"
Dès lors, vous vous sentez chuter de votre chaise et avant même que vous compreniez ce qui se passe ,les hurlements d’Héloïse en votre nom s'étouffe d'eux même et c'est l'obscurité qui vous gagne. Une sensation très désagréable d'étouffement vous saisi pendant une longue poignée de seconde avant que vous ne soyez tiré vers l'arrière. Vous rejoignez bientôt, hagard, vos deux collègues miliciens, les poumons en feu et l'air comme une douce délivrance.
Un squelette monté sur un cheval, tout de feu revêtu, vous observe, sans dire un mot.
Vous trois
Le squelette bouge et les sabots de sa monture claque sur le bois de l'endroit. "Vous avez de la chance que je sois passé par là, sinon vous auriez pu dire adieu à l'air plaisant que vous respirez." Puis après un soupir, il rajoute. "J'imagine que vous devez avoir des questions. Nous avons un peu de temps devant nous, enfin, suffisamment pour que je réponde à une ou deux de vos interrogations alors choisissez bien."
Qu'allez-vous faire ?
• Attaquer.
• Fuir.
• L'interroger.
[Un choix par personnage (vous pouvez choisir la même action)]
La charrue sans les boeufs
Amaury
On vous apporte un verre de vin pour fêter l’événement dignement. Mais alors que vous regardez à la surface, vous percevez... Votre reflet - ?! - qui vous regarde. Pire, il vous hurle dessus. "CE N'EST QU'UN RÊVE ! BAS-TOI !"
Dès lors, vous vous sentez chuter de votre chaise et avant même que vous compreniez ce qui se passe ,les hurlements d’Héloïse en votre nom s'étouffe d'eux même et c'est l'obscurité qui vous gagne. Une sensation très désagréable d'étouffement vous saisi pendant une longue poignée de seconde avant que vous ne soyez tiré vers l'arrière. Vous rejoignez bientôt, hagard, vos deux collègues miliciens, les poumons en feu et l'air comme une douce délivrance.
Un squelette monté sur un cheval, tout de feu revêtu, vous observe, sans dire un mot.
Vous trois
Le squelette bouge et les sabots de sa monture claque sur le bois de l'endroit. "Vous avez de la chance que je sois passé par là, sinon vous auriez pu dire adieu à l'air plaisant que vous respirez." Puis après un soupir, il rajoute. "J'imagine que vous devez avoir des questions. Nous avons un peu de temps devant nous, enfin, suffisamment pour que je réponde à une ou deux de vos interrogations alors choisissez bien."
Qu'allez-vous faire ?
• Attaquer.
• Fuir.
• L'interroger.
[Un choix par personnage (vous pouvez choisir la même action)]
Mer 17 Nov - 16:10
la charrue sans les boeufs
w/ amaury & hildegard
meuh
Tout semblait si irréel. Mais après ce qu'il avait vécu, ce qu'il avait vu, qu'est-ce qui était réel, et qu'est-ce qui ne l'était pas? Charles pourrait tout aussi bien être encore dans un rêve, dans une illusion. Mais la loudeur du mucus sur ses vêtements, ses compagnons dans le même état que lui permettait de s'y retrouver. Reprenant lentement sa respiration, il observa une dernière fois les deux miliciens avant de s'avancer légèrement vers l'apparition étrange.
-Nous aurions effectivement des questions... Mais nous aimerions surtout retrouver Marc et... la jeune fille que nous avons vu, à la peau sombre et aux cheveux rouges. Et si possible... la personne à l'origine de... tout ça. Nous ne lui voulons aucun mal, simplement discuter... Essayer de comprendre.
Et pour faire montre de sa bonne foi, Charles remit son épée dans son fourreau et attendit la réponse du squelette enflammée.
-Nous aurions effectivement des questions... Mais nous aimerions surtout retrouver Marc et... la jeune fille que nous avons vu, à la peau sombre et aux cheveux rouges. Et si possible... la personne à l'origine de... tout ça. Nous ne lui voulons aucun mal, simplement discuter... Essayer de comprendre.
Et pour faire montre de sa bonne foi, Charles remit son épée dans son fourreau et attendit la réponse du squelette enflammée.
(c) codée par evangeline
Ven 19 Nov - 0:19
Un nouveau verre de vin n’est sans doute pas raisonnable vu la sensation de fatigue qui l’habite déjà, mais s’il s’agit de son mariage, il est normal de célébrer. Alors il ne dit pas non au verre qu’on lui tend et le lève avec un sourire tranquille en direction de sa désormais épouse. C’est une chance qu’il a de l’avoir à ses côtés, songe-t-il en remuant doucement le verre. Comme par réflexe, il en observe le contenu, la robe et… son reflet. Sur la surface pourpre, il voit distinctement son visage qui semble lui parler. Pire, qui lui crie littéralement dessus.
« CE N'EST QU'UN RÊVE ! BAS-TOI ! »
Se battre ? Pourquoi ? Contre qui ? Il n’a guère le temps de comprendre et se sent chuter. Une chute lourde et longue, sous les cris inquiets d’Héloïse qui hurle son nom. Il veut lui répondre mais se sent soudainement avalé par l’obscurité. Comme une bulle noire, sans âme et sans vie dans laquelle il a la sensation de flotter. Il s’assure d’avoir les yeux ouverts (c’est bien le cas), rien à faire. Tout est noir autour de lui, sa respiration est difficile. Il étouffe. Va-t-il mourir ici ? Dans ce « non-monde » ? Ce n’est pas ainsi qu’il imaginait l’au-delà. Sa respiration est difficile, l’obscurité cherche donc à l’asphyxier.
Brutalement, une nouvelle chute vers l’arrière. Quand il a la certitude d’atterrir enfin, il ouvre ses yeux (qui ne l’étaient donc pas). Cette fois c’est le visage d’Hildegarde hurlant son nom qui l’accueil. Il sent ses mains sur ses épaules et c’est comme s’il émergeait d’un long rêve comateux. Une substance indéfinie glisse sur ses bras et il lève les yeux, hagard, sur Charles qui semble avoir participé à son… sauvetage ?
« Qu’est-ce… ? »
Il sent alors une présence sur le côté et tourne la tête, pour apercevoir un squelette gigantesque perché sur un cheval tout aussi squelettique et comme enrobé de flammes. La vision est apocalyptique et le de Bray a un grand mouvement de recul. Peut-être n’est-il pas véritablement réveillé ?!
Il se redresse et recul encore, ses yeux allant des deux miliciens à la créature en question. Déjà, il tire son épée, sur ses gardes. Quand Charles fait un pas en direction du squelette Amaury étouffe un hoquet outré. « Charles ! »
Sont-ils en pleine possession de leurs moyens ? Pourquoi est-ce que le blond irait de lui-même s’avancer dans la gueule du loup ? (ou du cheval, dans le cas présent) Et le voilà qui… discute ?
« Charles, ne voyez-vous pas ? C’est une créature du diable, Satan en personne l’habite… il joue avec notre esprit ! » Comment pourrait-il en être autrement.
Il a l’impression de tomber des nues quand il entend le Duc affirmer qu’ils ne veulent aucun mal au squelette. Amaury s’avance d’un grand pas : « Arrière, Démon ! Vous le manipulez mais moi, vous ne m’aurez pas… ! Dieu me guide ! » Il a un grand mouvement de bras comme pour attaquer le cheval.
(va pour attaquer le squelette)
La charrue sans les boeufs.
Un nouveau verre de vin n’est sans doute pas raisonnable vu la sensation de fatigue qui l’habite déjà, mais s’il s’agit de son mariage, il est normal de célébrer. Alors il ne dit pas non au verre qu’on lui tend et le lève avec un sourire tranquille en direction de sa désormais épouse. C’est une chance qu’il a de l’avoir à ses côtés, songe-t-il en remuant doucement le verre. Comme par réflexe, il en observe le contenu, la robe et… son reflet. Sur la surface pourpre, il voit distinctement son visage qui semble lui parler. Pire, qui lui crie littéralement dessus.
« CE N'EST QU'UN RÊVE ! BAS-TOI ! »
Se battre ? Pourquoi ? Contre qui ? Il n’a guère le temps de comprendre et se sent chuter. Une chute lourde et longue, sous les cris inquiets d’Héloïse qui hurle son nom. Il veut lui répondre mais se sent soudainement avalé par l’obscurité. Comme une bulle noire, sans âme et sans vie dans laquelle il a la sensation de flotter. Il s’assure d’avoir les yeux ouverts (c’est bien le cas), rien à faire. Tout est noir autour de lui, sa respiration est difficile. Il étouffe. Va-t-il mourir ici ? Dans ce « non-monde » ? Ce n’est pas ainsi qu’il imaginait l’au-delà. Sa respiration est difficile, l’obscurité cherche donc à l’asphyxier.
Brutalement, une nouvelle chute vers l’arrière. Quand il a la certitude d’atterrir enfin, il ouvre ses yeux (qui ne l’étaient donc pas). Cette fois c’est le visage d’Hildegarde hurlant son nom qui l’accueil. Il sent ses mains sur ses épaules et c’est comme s’il émergeait d’un long rêve comateux. Une substance indéfinie glisse sur ses bras et il lève les yeux, hagard, sur Charles qui semble avoir participé à son… sauvetage ?
« Qu’est-ce… ? »
Il sent alors une présence sur le côté et tourne la tête, pour apercevoir un squelette gigantesque perché sur un cheval tout aussi squelettique et comme enrobé de flammes. La vision est apocalyptique et le de Bray a un grand mouvement de recul. Peut-être n’est-il pas véritablement réveillé ?!
Il se redresse et recul encore, ses yeux allant des deux miliciens à la créature en question. Déjà, il tire son épée, sur ses gardes. Quand Charles fait un pas en direction du squelette Amaury étouffe un hoquet outré. « Charles ! »
Sont-ils en pleine possession de leurs moyens ? Pourquoi est-ce que le blond irait de lui-même s’avancer dans la gueule du loup ? (ou du cheval, dans le cas présent) Et le voilà qui… discute ?
« Charles, ne voyez-vous pas ? C’est une créature du diable, Satan en personne l’habite… il joue avec notre esprit ! » Comment pourrait-il en être autrement.
Il a l’impression de tomber des nues quand il entend le Duc affirmer qu’ils ne veulent aucun mal au squelette. Amaury s’avance d’un grand pas : « Arrière, Démon ! Vous le manipulez mais moi, vous ne m’aurez pas… ! Dieu me guide ! » Il a un grand mouvement de bras comme pour attaquer le cheval.
(va pour attaquer le squelette)
Sam 20 Nov - 17:44
Amaury semblant délivré du mal, Hildegard se concentra sur la démoniaque silhouette perchée sur sa monture enflammée, dégainant à deux mains l'espadon accroché dans son dos avant de rouler des yeux horrifiés vers Charles :
▬ Aucun mal ?! Seule la colère du divin attend l'instigateur de ce sortilège ! S'indigna-t-elle, convaincue qu'il était son devoir de milicienne et de chrétienne de chasser tout monstre sorti des entrailles des enfers. À commencer par celui se tenant en face d'elle. Assurément, aucune parole sortie d'un tel démon ne pouvait être digne de confiance ! Je t'adjure, esprit impur ! Par ma main sois chassé du monde des créatures de Dieu et retourne dans les ténèbres, c'est le Tout-Puissant qui te l'ordonne ! Cracha-t-elle presque de concert avec Amaury avant de bondir du côté opposé à son collègue, s'apprêtant à faucher d'un mouvement de lame horizontal le bassin du squelette.
▬ Aucun mal ?! Seule la colère du divin attend l'instigateur de ce sortilège ! S'indigna-t-elle, convaincue qu'il était son devoir de milicienne et de chrétienne de chasser tout monstre sorti des entrailles des enfers. À commencer par celui se tenant en face d'elle. Assurément, aucune parole sortie d'un tel démon ne pouvait être digne de confiance ! Je t'adjure, esprit impur ! Par ma main sois chassé du monde des créatures de Dieu et retourne dans les ténèbres, c'est le Tout-Puissant qui te l'ordonne ! Cracha-t-elle presque de concert avec Amaury avant de bondir du côté opposé à son collègue, s'apprêtant à faucher d'un mouvement de lame horizontal le bassin du squelette.
Résumé : Hildegard ne négocie pas avec les serviteurs du Malin et attaque avec Amaury
Sam 20 Nov - 17:56
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Sam 20 Nov - 18:16
Amaury
Le squelette ne bouge pas d'un iota en vous voyant arriver vers lui. Pire, alors que votre coup allait le toucher, sa monture effectue un saut d'une rare agilité et vous vous retrouvez martelé de coups de sabots.
Conséquence : épée élite : cassée.
Vos deux jambes sont cassées, de même que votre clavicule.
Hildegard
Même traitement que pour Amaury. Le cheval fait un demi-tour avec une rapidité empruntée à l'inhumain et vous offre une ruade qui vous envoie valser à l'autre bout de la pièce, sans aucun ménagement. Vous souffrez de fêlures sur les os des côtes et des omoplates et votre vision est rougie par le sang qui s’échappe de plusieurs endroits de votre crâne.
Le squelette reprend la parole. "C'est une femme en armure qui ose m'appeler esprit impur ? On aura tout vu..." Il secoue la tête. "Pour ton information, femme, je ne suis pas l'instigateur de ce sortilège. Sinon, pourquoi aurais-je essayé de vous sauver quand vous laisser être digérés vivants m'aurait été plus profitable ?" Même le cheval enflammé semble souffler de dépit.
Conséquence : espadon élite : Très endommagé. Un coup supplémentaire et l'arme se brise totalement.
Charles
Puisque vous êtes le seul à ne pas l'avoir attaqué, le squelette est plus aimable avec vous. "Votre séjour dans ce trou est compromis, semblerait-il. Tes petits copains n'ont aucune chance de s'en sortir dans cet état et je n'ai pas de capacité de soin sur moi. Sauf si vous avez des onguents..."
Il fait craquer sa nuque avant de continuer. "Je n'ai vu aucun garçon nommé Marc, mais sur le chemin j'ai effectivement vu une jeune femme correspondant à votre description. Je peux même vous dire son nom. Elle s'appelle Lili." Puis, regardant la seule porte des lieux il ajoute. "Mon but n'est pas de vous faire concurrence. J'ai senti la présence d'une de mes connaissance dans ce batîment et j'aimerais le tirer de là."
Il fait une pause avant de continuer et ajoute. "Quant à l'instigateur de cette mascarade, il s'appelle Penemue."
De derrière son dos, il s'empare d'une arme, une lance et vous la jette. "Si jamais vous devez croisez le fer avec lui, ça vous sera utile."
Vous obtenez une arme toute neuve et, bien que très légère, elle apparaît extrêmement solide, plus que ce que tout avez jamais eu en main jusqu'à présent.
Obtenu : Lance en ???
La charrue sans les boeufs
Amaury
Le squelette ne bouge pas d'un iota en vous voyant arriver vers lui. Pire, alors que votre coup allait le toucher, sa monture effectue un saut d'une rare agilité et vous vous retrouvez martelé de coups de sabots.
Conséquence : épée élite : cassée.
AMAURY
1%Vos deux jambes sont cassées, de même que votre clavicule.
Hildegard
Même traitement que pour Amaury. Le cheval fait un demi-tour avec une rapidité empruntée à l'inhumain et vous offre une ruade qui vous envoie valser à l'autre bout de la pièce, sans aucun ménagement. Vous souffrez de fêlures sur les os des côtes et des omoplates et votre vision est rougie par le sang qui s’échappe de plusieurs endroits de votre crâne.
HILDEGARDE
25%Le squelette reprend la parole. "C'est une femme en armure qui ose m'appeler esprit impur ? On aura tout vu..." Il secoue la tête. "Pour ton information, femme, je ne suis pas l'instigateur de ce sortilège. Sinon, pourquoi aurais-je essayé de vous sauver quand vous laisser être digérés vivants m'aurait été plus profitable ?" Même le cheval enflammé semble souffler de dépit.
Conséquence : espadon élite : Très endommagé. Un coup supplémentaire et l'arme se brise totalement.
Charles
Puisque vous êtes le seul à ne pas l'avoir attaqué, le squelette est plus aimable avec vous. "Votre séjour dans ce trou est compromis, semblerait-il. Tes petits copains n'ont aucune chance de s'en sortir dans cet état et je n'ai pas de capacité de soin sur moi. Sauf si vous avez des onguents..."
Il fait craquer sa nuque avant de continuer. "Je n'ai vu aucun garçon nommé Marc, mais sur le chemin j'ai effectivement vu une jeune femme correspondant à votre description. Je peux même vous dire son nom. Elle s'appelle Lili." Puis, regardant la seule porte des lieux il ajoute. "Mon but n'est pas de vous faire concurrence. J'ai senti la présence d'une de mes connaissance dans ce batîment et j'aimerais le tirer de là."
Il fait une pause avant de continuer et ajoute. "Quant à l'instigateur de cette mascarade, il s'appelle Penemue."
De derrière son dos, il s'empare d'une arme, une lance et vous la jette. "Si jamais vous devez croisez le fer avec lui, ça vous sera utile."
Vous obtenez une arme toute neuve et, bien que très légère, elle apparaît extrêmement solide, plus que ce que tout avez jamais eu en main jusqu'à présent.
Obtenu : Lance en ???