June profite des derniers instants avant son départ en mission pour faire un détour par la boutique, autant pour acheter le nécessaire que pour... Ah. Chaque chose en son temps.
Poussant la porte de la boutique, il cherche May du regard et lui offre un sourire éclatant en l'apercevant enfin.

« Bonjour May... »

La tendresse dans sa voix ? Évidente. Il approche du comptoir et se passe une main dans les cheveux.

« Je pars en mission demain et... J'aurais besoin d'un onguent, et d'assurer le passage de deux compagnons... Est-ce que vous pourriez m'aider ? »

June lui tend une bourse pleine de pièces avec un air gêné. Il s'y prend un peu tard et s'en voudrait de la déranger... Une fois l'échange effectué, il vérifie que personne d'autre n'est présent dans la boutique avant de se hisser de ses bras sur le bord du comptoir pour atteindre May... et poser un baiser sur sa joue.

« Et ça c'est pour la chance. Il me tarde déjà de vous revoir. »

[On a donc 600*2 + 30... Est-ce qu'on pourrait prendre 500*June, 130*Scar et 600*Eve s'il te plaît ? Merci. ]

May accueille Caelestis avec un sourire de circonstance. "Bien sûr monsieur, se sera fait !" Elle le remercie avant dele voir repartir et quelle n'est pas sa surprise de voir la silhouette de June apparaitre dans son champ de vision. "Duc van Heil !" Minute, elle avait dit ne plus l'appeler ainsi à l'avenir. "Je veux dire, J-June..." Ses joues rosissent mais elle reprend son sérieux en entendant les requêtes de son bon client. "Bien sûr que je peux, je vais organiser tout ceci."

Elle prend l'argent nécessaire, lui tend l'onguent demandé et.. se retrouve bien surprise de recevoir un baiser sur la joue. "Ah !"

Pourtant, elle en est heureuse et ne dit rien de plus. Elle le laisse repartir, une main sur sa joue, là où les lèvres du Duc se trouvaient un instant plus tôt.

[Demandes validées !]

Toujours aussi peu sûr de lui, Constantin entra rapidement dans l'échoppe et fila pour le comptoir pour y déposer une bourse de 600 pièces.

▬ Pour l'embauche d'un curieux ménestrel. Souffla-t-il sans regarder dans les yeux la marchande avant de filer la tête baissée.

(Un qc svp ! Peut-on prendre 225 sur Constantin, 175 sur Mordeuse et 200 sur Hélène je vous prie ? Merciiii )

C'est avec un fin sourire que May accepte cet argent.

"Merci beaucoup pour la confiance que vous me faites, j'accueillerai le ménestrel avec grand plaisir !"

[Demande validée]

Bonjour Madame. Je pousse la porte de votre boutique pour la première fois. À l'enthousiasme que l'on m'avait promis, j'admets devoir confesser un certain plaisir à me trouver ici. La rumeur, si elle disait vraie, ne s'en trouve pas moins dépassée par la réalité. Votre boutique est un enchantement. Permettez que je me présente...

Je suis : Alyana Danesti
Je voudrais contribuer à la : Réouverture du théâtre
Pour cela : j'offre 100 pièces et garde l'espoir d'une initiative qui trouvera écho auprès des mes pairs.
Dans cette attente : j'ose vous confier cette pensée volée à un compositeur : "Les arts sont le plus sûr moyen de se dérober au monde, ils sont aussi le plus sûr moyen de s'unir avec lui" (Franz Liszt).

May s'approcha d'Alyana en effectuant une respectueuse révérence. "Bonjour Mademoiselle, je vous remercie pour votre don." Elle prend les pièces et sourit. "Je vais transmettre immédiatement aux concernés."

Comme la dernière fois le cocher de la baronne, M. Mazan, se présenta à la boutique. Ce n'était pas pour lui déplaire parce qu'il avait ainsi l'occasion de revoir cette jolie demoiselle.

— Bonsoir, mademoiselle. Pardonnez ma venue tardive. Ma maîtresse me charge d'une réservation d'avatar à faire.

Il donna le nom de la baronne Hermance d'Ailly, ainsi que les 100 pièces d'or.

— J'ajoute également qu'elle est très contente de vos services.

M. Mazan sourit et la remercia avant de prendre congé.

Je suis : Nono, l'escargot
Je voudrais acheter : un double sextuple compte
Prix de mon achat : 600 pièces. Et on vide les poches de Jeanne (44), Noah (400) et Hermance (156).
Petit mot : S'il vous plaît et merci

Bonjour.

Ça fait un bon moment maintenant que je n'étais pas tombée sur la mystérieuse boutique voyageuse, j'en profite donc pour faire quelques emplettes, histoire de modifier et compléter mon équipement.
Je trouve même le courage (d'essayer) de faire un brin de causette avec la tenancière.

Hum.. belle journée, pas vrai ?

Il a évidemment fallu que je parle du beau temps, uh..
Peut-être ferais-je mieux la prochaine fois.

Je suis : Sara van Helzen
Je voudrais acheter une épée longue d'élite, un arc d'élite et deux onguents
Prix de mon achat : 250 + 250 + 30x2 = 560
Petit mot : un grand merci à vous

May fait surface de l'arrière boutique l'air un peu essoufflée, quelques mèches de cheveux en bataille et... Une plume blanche perchée dedans. Elle n'en est pas moins tout sourire en vous voyant arriver, il y a du monde aujourd'hui. A l'adresse du cocher de la baronne, elle hoche la tête, respectueuse en prenant la somme offerte.

"Bonsoir Monsieur, et merci pour la confiance que m'accorde votre maîtresse, je me charge de noter cela tout de suite !"

Elle se tourne ensuite vers Noah. "Oh, il me tarde de rencontrer ce nouvel arrivant ! En espérant que Paris lui plaise."

[Demande validée]

Puis finalement, May se tourne enfin vers la jeune Sara à qui elle sourit calmement avant de s'éclipser dans l'arrière boutique pour récupérer les objets demandés. Elle dépose l'ensemble sur le comptoir.

"Voilà pour vous mademoiselle ! C'est effectivement une belle journée, les premiers jours du printemps sont agréables, n'est-ce pas ?"

Charles entre dans la boutique, un fin sourire aimable sur les lèvres et s'incline face à la demoiselle. "Bonjour, Mademoiselle Travel ! Ravi de vous revoir, comment vous portez-vous?" Son regard se dirige finalement vers les armes et il pointe une épée à une main en alliage de cuivre et d'argent. "Je voudrais également un onguent à 30 pièces, s'il vous plaît." Il sort alors une petite bourse et la pose sur le comptoir. "280 pièces le tout, n'est-ce pas?"

Stanislava entre dans la boutique qu'elle connaît bien désormais et offre, comme à son habitude, un sourire à May en la voyant. "Bonjour May ! Je passe en coup de vent mais voici les sous pour faire venir quelqu'un !" La rousse dépose une bourse bien pleine de 600 pièces sur le comptoir, dépose un baiser rapide sur le front de la demoiselle avant de repartir comme une flèche.

[A prendre uniquement sur le compte de Stani o/]

Aujourd'hui, pas de May dans la boutique. Vous aurez sûrement pris le vacarme dans l'arrière boutique pour un signe de sa présence. Insolentes créatures que vous êtes. Non, sortant de derrière le comptoir...


Wow, mais quelle oie magnifique. Sauf que son swagger prend fin lorsqu'elle aperçoit nul autre que le Duc d'Orléans. Ses palmes tapent d'un coup sec son arrêt sur le sol et la voilà à secouer ses plumes avec agacement. L'oie observe le duc, puis l'épée, puis le duc... Prend les sous et s'enfuit avec la bourse au bec.
Ce n'est que quelques instants plus tard que l'oie fait rouler un flacon d'onguent sur le sol pour distraire l'homme avant de flex ses gros muscles en soulevant l'épée mentionnée... La manœuvrer avec une certaine ferveur en tordant le cou (et en manquant presque de vous écorcher avec)... Puis de tout lâcher lorsqu'une belle rousse entre dans la boutique.

D'un coup d'aile, l'oie se recoiffe et honk de sa plus belle note avant de prendre la bourse et d'opiner du chef. Un nouveau visiteur. L'oie espère que ce sera une belle dame.

[Demande oielidée]

Un homme mystérieux en tenue de voyage, capuche sur la tête pour cacher son visage, entre dans la boutique. Il se plante directement devant le comptoir et dépose dix malheureuses petites pièces.

— Pour débloquer un nouveau pays.

Ce sont les seuls mots qu'il prononce avant de s'en aller. Il n'aime pas le gâchis. Même si ça n'avait été que pour une pièce, il serait venu la donner. De plus garder l'argent d'un mort, ça porte malheur.
En effet si vous y regardez de plus près l'une des pièces a été tâchée de quelques gouttes de sang. N'importe quelle créature nocturne comprendrait qu'il s'agit de sang humain.

(10 pièces provenant de Jeanne, ça serait dommage de les perdre)

Lorsque May accueilla le nouvel arrivant, ce fut avec un sourire. Mais ce dernier disparu bien vite à la vue des pièces tâchées de sang. May ne prononça pas un mot mais devint livide. Elle savait qu'elle avait tout type de clients dans sa boutique, mais tout de même...

Etait-ce une larme discrète sur sa joue ?

Céline n'était pas le genre a étre perturbé pour si peu. Ainsi va la vie, dirait-il sans remord. Pourtant, lorsqu'il vit l'état dans lequel May était suite à la visite de cette importun, il se sentit agacé. Il lui en devait plus d'une alors bon, maintenant ou plus tard... "Je reviens. Enferme-toi dans la boutique, s'il faut."

Il sortit pour mieux poursuivre l'étranger qui avait déposé des pièces. Évidemment, maintenant tout paraissait clair. Vraiment, quand il avait dit à à son ami d'être moins naïf, il avait un parfait exemple en face de lui. Céline roula les yeux au ciel et interpella l'étranger pour mieux l'isoler dans une ruelle.

Là, d'un geste souple, il lui retourna la nuque. L'autre n'eut même pas le temps de protester, de comprendre. On ne faisait pas pleurer May.
Il poussa l'injure jusqu'à lui cracher dessus. "Et si ton patron a un problème avec ça, il viendra me voir. Je suis plus à un compte près avec lui."

Le corps aura disparu dans la foulée.

Je suis : Béatrice Botherel
Je voudrais acheter : Une dague classique
Prix de mon achat : 50 pièces d'or
Petit mot : « Merci. Je... J'espère que vous vous portez bien ? »

La porte s'ouvre et c'est la silhouette féline de Layla qui s'engouffre à l'intérieur. Cette fois-ci, la madame ne perd pas son temps à flaner dans la boutique : elle se dirige droit vers le comptoir et dépose une bourse de 150 pièces avant de s'accouder en face de la gérante.

▬ Bonsoir. Le sourire est acéré, le regard pétillant. C'est pour une de vos marchandises humaine. Femelle. L'âge n'est pas importance tant qu'elle parle bien la langue française. Si possible jolie ou belle. Ses longs cheveux tombent sur le comptoir alors qu'elle se rapproche et ne cesse de sourire en regardant May droit dans les yeux. Promise j'en prendrais soin.

Pour peu qu'elle soit utile.

Une esclave humaine s'il vous plaît !

Une nouvelle fois, la Princesse Valaque pousse la porte de la boutique de May. Cette fois moins encline à la conversation et l'air plus maussade, elle se contente de poliment saluer la jeune femme avant de déposer une bourse rebondie sur le comptoir de son magasin.

"Pour la réouverture du théâtre, je vous prie."

400 pièces viennent ainsi compléter le premier don déjà effectué par la noble.

Lorsque la porte s'ouvre, June semble... quelque peu inquiet. Il referme derrière lui et semble se radoucir en apercevant May derrière le comptoir. Un sourire étire ses lèvres et il souffle doucement.

"Je suis soulagé de te trouver ici."

Secouant doucement la cape à ses épaules pour en décrocher les gouttes de la pluie battante à l'extérieur - et surtout par désir de ne pas tremper l'intégralité du sol de la boutique - il approche de la demoiselle et souffle doucement.

"Est-ce que tu pourrais me faire une faveur...? Enfin, non, deux... J'ai besoin d'une dague supérieure en cuivre, et d'assurer le passage d'un ami en ville." Il se frotte la nuque d'un air maladroit. "Non, en fait, une dernière chose... Est-ce que tu pourrais dire à..." Il pince les lèvres et secoue doucement la tête. "Non rien... Désolé..."

Quelque chose de triste brille dans ses yeux. Il attend qu'elle revienne, déposant une bourse sur le comptoir et lorsqu'il peut enfin la rattraper, il repousse une mèche claire du bout des doigts, là, contre sa tempe.

"Prends soin de toi, d'accord ? Promis, la prochaine fois je viendrais pour t'enlever, et pas pour régler mes problèmes."

(En tout, 750 pièces, 180 chez June, 270 chez Scar et 300 chez Even si possible. )

Elle sursauta à votre entrée, comme un peu perturbée. Toutefois les cernes légères de May, peu de personnes seraient aptes à les remarquer. "Bien le bonjour." dit-elle alors en s'approchant de Béatrice pour lui tendre une dague en échange de l'argent. "Je vais bien, je vous remercie."

Elle disparait ensuite un instant dans l'arrière boutique et revient avec une ravissante demoiselle. D'un geste tendre, elle l'approche de vous. "Elle s'appelle Gloria et parle bien le français." May offre un sourire à ladite Gloria et l'on devine la douceur dans les gestes de la commerçante. "Je vous la confie. De toute manière si elle venait à souffrir, je viendrais la récupérer." C'est un avertissement qui, en dépit de la silhouette menue de May, n'est pas là que pour essayer d'impressionner, vous le sentez bien.


Elle s'approche ensuite d'Alyana. "Merci pour votre don, rentez en sécurité chez vous." Et s'approche de June en baissant les yeux vers le sol. "Oui, pas de problème." Elle fourni l'arme en question et hoche la tête, le regard toujours timide. "Oui je... Je vais faire attention."

[Demande validée]

Calla entre dans la boutique, le pas léger, silencieuse. Son regard scanne rapidement les marchandises présentes et s'arrête finalement sur une rapière d'élite. "Bonjour, je vous prendrais cette arme. Voici les 250 pièces." Elle pousse la petite bourse pleine de pièce sur le comptoir. "Merci beaucoup."

Hé bien, quelle jolie boutique vous avez-là !

Première fois que j'y mets les pieds, mais j'ai déjà entendu des rumeurs vis à vis de l'endroit.
Je pose une bourse sur le comptoir et me penche vers la tenante avant de lui murmurer, vouvoiement déjà oublié :

J'aime les potins, tu vois, et je me demandais si tu avais des histoires croustillantes à partager ?

Je suis : Éléonore de Bourbon
Je voudrais acheter :  un secret banal, un secret intermédiaire et un secret lourd
Prix de mon achat : 25 + 50 + 105 = 180 (j'espère pas m'être trompé :pouet)
Petit mot : ça reste entre nous, promis ♪

Je suis : Sara van Helzen
Je voudrais acheter : réserver un avatar
Prix de mon achat : 100 coquillages
Petit mot : merci bien ~