Dim 9 Mai - 8:24
Something new
Something new
Parfois il a tendance à oublier que là où son cœur ne connaît que bien peu de doutes, celui des autres parvient pourtant à les assommer et les étouffer de bien des troubles. June est le genre d’homme à qui la vie peut échapper, une totale perte de contrôle, mais il parviendra malgré tout à retrouver ses repères. Une force des choses, un tempérament voué à la résilience, et un caractère aussi souple qu’il le peut. Qu’importe les maux, les solutions ne manqueront jamais. Qu’importe les peines, il est de mots et des silences pour soulager tous les cœurs, et épargner toutes les âmes.
May porte avec elle le fardeau d’une histoire qu’il ne connaît pas encore. Se blesse de non-dits contre lesquels il se retrouve péniblement désarmé. Il voudrait ravir cet esprit de douceur. Faire virevolter les pans de sa robe jusqu’à ce que la nuit se taise et que l’aube éclaire des yeux aux couleurs des cieux iridescents. Mais même ses frasques ne parviennent pas à effacer la tristesse sur ses traits. Il n’a que ses mains contre sa taille, étroitement titrée contre son sein, pour la protéger de ce qui ne peut être qu'invisible. Voudrait demander à ces lèvres rosées les démons qui la hantent et l’empêchent de revoir ce sourire qu’il aime tant. Mais il n’en fait rien. Laisse émeraudes et or se rencontrer encore une fois. Laisse le loisir à ces mains frêles de mener le combat qu’elle semble sur le point d’abandonner.
Leurs souffles mêlés, chauds et rassurants. June à cet instant précis lui aurait accordé toutes les choses de ce monde et plus, et jusqu’à lui-même. Mais elle se détourne et préfère jouer d’une étreinte. Ment contre sa peau et force les bras du suédois à se refermer plus encore autour d’elle.
Leur danse trouve son terme dans la végétation et les bougies des jardins. Mais il est une autre danse qu’il n’a pas l’intention d’arrêter. Presse doucement sa joue à la sienne et murmure dans sa langue natale.
« Tu n’as pas à avoir peur. Peu importe ce qui pèse à ton cœur, je serai là. Je t’en fait la promesse solennelle. »
Il pourrait sans peine étirer les louanges et les vices d’une verve acérées. Mentir et enrober de sucre des choses qu’ils ne se rediront jamais. Mais May n’est pas un cœur à courtiser à la légère. May compte bien trop pour réduire ainsi l’étendue de ce qui les sépare et les attire pourtant inexorablement.
Il se recule juste assez pour capter à nouveau son regard. Glisse ses doigts contre son minois et se penche pour baiser le coin de ses lèvres. Il ne lui voterait pas plus. Il n’oserait pas. Pas sans son consentement.
Un sourire et il rajoute enfin, tendre et sincère.
« Retiens ces mots qui sont les tiens… Et dis-les moi quand tu seras prête. Je serai là. »
May porte avec elle le fardeau d’une histoire qu’il ne connaît pas encore. Se blesse de non-dits contre lesquels il se retrouve péniblement désarmé. Il voudrait ravir cet esprit de douceur. Faire virevolter les pans de sa robe jusqu’à ce que la nuit se taise et que l’aube éclaire des yeux aux couleurs des cieux iridescents. Mais même ses frasques ne parviennent pas à effacer la tristesse sur ses traits. Il n’a que ses mains contre sa taille, étroitement titrée contre son sein, pour la protéger de ce qui ne peut être qu'invisible. Voudrait demander à ces lèvres rosées les démons qui la hantent et l’empêchent de revoir ce sourire qu’il aime tant. Mais il n’en fait rien. Laisse émeraudes et or se rencontrer encore une fois. Laisse le loisir à ces mains frêles de mener le combat qu’elle semble sur le point d’abandonner.
Leurs souffles mêlés, chauds et rassurants. June à cet instant précis lui aurait accordé toutes les choses de ce monde et plus, et jusqu’à lui-même. Mais elle se détourne et préfère jouer d’une étreinte. Ment contre sa peau et force les bras du suédois à se refermer plus encore autour d’elle.
Leur danse trouve son terme dans la végétation et les bougies des jardins. Mais il est une autre danse qu’il n’a pas l’intention d’arrêter. Presse doucement sa joue à la sienne et murmure dans sa langue natale.
« Tu n’as pas à avoir peur. Peu importe ce qui pèse à ton cœur, je serai là. Je t’en fait la promesse solennelle. »
Il pourrait sans peine étirer les louanges et les vices d’une verve acérées. Mentir et enrober de sucre des choses qu’ils ne se rediront jamais. Mais May n’est pas un cœur à courtiser à la légère. May compte bien trop pour réduire ainsi l’étendue de ce qui les sépare et les attire pourtant inexorablement.
Il se recule juste assez pour capter à nouveau son regard. Glisse ses doigts contre son minois et se penche pour baiser le coin de ses lèvres. Il ne lui voterait pas plus. Il n’oserait pas. Pas sans son consentement.
Un sourire et il rajoute enfin, tendre et sincère.
« Retiens ces mots qui sont les tiens… Et dis-les moi quand tu seras prête. Je serai là. »
Dim 9 Mai - 13:53
@Merill
i am the caged bird that sings
Ses doigts tapotèrent doucement l'avant-bras de la rousse alors qu'il poussait un soupir de soulagement :
▬ Je suis heureux de voir que vous semblez en bonne santé. Vous êtes régulièrement dans mes prières. Et c'était vrai. Il sentait parfois dans la nuit encore la sensation glacée du métal contre sa peau suivi de cet éclair bouillonnant de douleur lui perçant les chairs. À défaut de pouvoir la délester du deuil, il était au moins content d'avoir pu la soulager de quelques souffrances physiques. Mais pour combien de temps ?
Puis, la question de la rousse le prit au dépourvu, le forçant à marquer un temps d'arrêt. Le cardinal semblait perplexe.
▬ Vous voulez parler de Frère Ferdinand ? Non je ne crois pas encore avoir eu ce plaisir. Pourquoi ? Baissant à nouveau la voix tout en jetant un oeil par-dessus son épaule pour s'assurer qu'on ne les épiait pas - comme si les espions de l'Église souterraine seraient assez idiots pour se tenir juste derrière eux : S'agit-il d'un collègue ?
Vraiment, maintenant qu'il savait tout, la moindre des choses de la part du Vatican aurait été au moins de l'informer des identités de ses comparses ! Mais il fallait croire que les opérations secrètes de Sa Papauté étaient définitivement hors de sa portée...
▬ Je suis heureux de voir que vous semblez en bonne santé. Vous êtes régulièrement dans mes prières. Et c'était vrai. Il sentait parfois dans la nuit encore la sensation glacée du métal contre sa peau suivi de cet éclair bouillonnant de douleur lui perçant les chairs. À défaut de pouvoir la délester du deuil, il était au moins content d'avoir pu la soulager de quelques souffrances physiques. Mais pour combien de temps ?
Puis, la question de la rousse le prit au dépourvu, le forçant à marquer un temps d'arrêt. Le cardinal semblait perplexe.
▬ Vous voulez parler de Frère Ferdinand ? Non je ne crois pas encore avoir eu ce plaisir. Pourquoi ? Baissant à nouveau la voix tout en jetant un oeil par-dessus son épaule pour s'assurer qu'on ne les épiait pas - comme si les espions de l'Église souterraine seraient assez idiots pour se tenir juste derrière eux : S'agit-il d'un collègue ?
Vraiment, maintenant qu'il savait tout, la moindre des choses de la part du Vatican aurait été au moins de l'informer des identités de ses comparses ! Mais il fallait croire que les opérations secrètes de Sa Papauté étaient définitivement hors de sa portée...
@Merill
Dim 9 Mai - 15:29
« Non, je ne suis qu'un simple garde au service de l'un des convives de cet événement. »
Il n'en dit pas plus, ne voyant pas l'intérêt d'exposer son statut de mercenaire ni l'identité princière de son employeur.
Après que Sadie eu démenti toute prétention au métier d'astrologue, la conversation se fit facile et plaisante. Il prit le temps de pointer quelques étoiles à sa partenaire du soir, répondit à ses questions quant à leur utilisation en voyage ou en mer. Victoire se trouva être une élève assidue et attentive de cette classe improvisée.
L'échange était loin de véritablement le distraire, la voix d'Aydos restant un fil rouge auquel accrocher son attention, mais au moins devait-il reconnaître que la soirée se passait plus aisément qu'il ne l'aurait prévu. Du moins jusqu'à ce qu'il ne pense reconnaître l'éclat de voix enfantine et la tignasse rousse d'un gamin turbulent, entre les haies du jardin.
Il n'eut pas l'occasion de vérifier sa suspicion, l'arrivée d'un nouvel interlocuteur captant son regard. Sadie plissa discrètement le nez et sa main glissa naturellement au pommeau de son épée. L'homme n'avait rien de menaçant. Comme pour beaucoup d'autres, ses vêtements trahissait une aisance et un statut certains.
« ... ne très charmante soirée que tu nous as organisée là... »
Oh ?
Sadie se leva afin de saluer correctement le nouveau venu, les mots résonnant encore et encore à ses oreilles.
Oh.
Il lui faudrait s'enquérir de cette histoire auprès du prince germain.
« Sadie, » se présenta-t-il toujours aussi simplement.
Le lycan n'avait pas l'intention de changer d'attitude, quant bien même il semblait se trouver en présence, à nouveau, de sang royal. Si son comportement avait pu être qualifié de lèse-majesté et bien soit. Il ne comptait pas faire montre d'une quelconque repentance.
Ouvrant les lèvres pour s'enquérir de la soirée de Charles, la bousculade dont il fut témoin par dessus l'épaule de l'homme le fit fermer la bouche aussi sec, fronçant les sourcils. Il n'y avait plus aucun doute à avoir maintenant qu'Urbain semblait invectiver la personne qu'il venait lui-même d'importuner.
« Victoire, Charles, veuillez m'excuser. J'aperçois un jeune garçon à qui on a semble-t-il trop peu tiré les oreilles dernièrement. »
Il s'inclina devant Victoire pour lui baiser le dos de la main et présenta sa place à Charles.
« Puis-je vous confier ma protégée un bref instant ? Je ne serai pas long. »
Comme à son habitude, Sadie n'attendit ni permission ni réponse pour faire ce qu'il désirait, laissant là les convives pour avaler les quelques pas le menant jusqu'à Urbain et aux pauvres hères sur lesquels ce tourbillon d'énergie était tombé. La petite taloche qu'il lui mit à l'arrière du crâne n'avait rien de violente mais elle aurait le mérite de lui remettre les idées en place.
« Ce n'est pas une façon de s'adresser aux gens Urbain, surtout quand tu es celui qui les importunes. » Ah, les gosses. « Excuse-toi correctement, veux-tu ? »
Puis, inclinant la tête envers la dame et le jeune garçon blond, il poussa sa main dans les cheveux roux pour obliger le gamin à en faire de même. « Veuillez pardonner ce nigaud, j'espère qu'il ne vous a pas blessés dans sa maladresse. »
Il ne manquerait plus qu'Urbain se mettent à dos les nobles de la Cour. Sadie n'avait pas l'intention de laisser tous les efforts fournis pour le sauver d'une mort certaine après son larcin chez Bellevallée tomber à l'eau pour une bête bousculade entre deux buissons. Non mais.
@Victoire de France @Charles d'Orléans @L'Oeil pour Urbain @Hildegard C. De Bayard @Basile De France
EVENT ; La chanson
du printemps —
du printemps —
« Non, je ne suis qu'un simple garde au service de l'un des convives de cet événement. »
Il n'en dit pas plus, ne voyant pas l'intérêt d'exposer son statut de mercenaire ni l'identité princière de son employeur.
Après que Sadie eu démenti toute prétention au métier d'astrologue, la conversation se fit facile et plaisante. Il prit le temps de pointer quelques étoiles à sa partenaire du soir, répondit à ses questions quant à leur utilisation en voyage ou en mer. Victoire se trouva être une élève assidue et attentive de cette classe improvisée.
L'échange était loin de véritablement le distraire, la voix d'Aydos restant un fil rouge auquel accrocher son attention, mais au moins devait-il reconnaître que la soirée se passait plus aisément qu'il ne l'aurait prévu. Du moins jusqu'à ce qu'il ne pense reconnaître l'éclat de voix enfantine et la tignasse rousse d'un gamin turbulent, entre les haies du jardin.
Il n'eut pas l'occasion de vérifier sa suspicion, l'arrivée d'un nouvel interlocuteur captant son regard. Sadie plissa discrètement le nez et sa main glissa naturellement au pommeau de son épée. L'homme n'avait rien de menaçant. Comme pour beaucoup d'autres, ses vêtements trahissait une aisance et un statut certains.
« ... ne très charmante soirée que tu nous as organisée là... »
Oh ?
Sadie se leva afin de saluer correctement le nouveau venu, les mots résonnant encore et encore à ses oreilles.
Oh.
Il lui faudrait s'enquérir de cette histoire auprès du prince germain.
« Sadie, » se présenta-t-il toujours aussi simplement.
Le lycan n'avait pas l'intention de changer d'attitude, quant bien même il semblait se trouver en présence, à nouveau, de sang royal. Si son comportement avait pu être qualifié de lèse-majesté et bien soit. Il ne comptait pas faire montre d'une quelconque repentance.
Ouvrant les lèvres pour s'enquérir de la soirée de Charles, la bousculade dont il fut témoin par dessus l'épaule de l'homme le fit fermer la bouche aussi sec, fronçant les sourcils. Il n'y avait plus aucun doute à avoir maintenant qu'Urbain semblait invectiver la personne qu'il venait lui-même d'importuner.
« Victoire, Charles, veuillez m'excuser. J'aperçois un jeune garçon à qui on a semble-t-il trop peu tiré les oreilles dernièrement. »
Il s'inclina devant Victoire pour lui baiser le dos de la main et présenta sa place à Charles.
« Puis-je vous confier ma protégée un bref instant ? Je ne serai pas long. »
Comme à son habitude, Sadie n'attendit ni permission ni réponse pour faire ce qu'il désirait, laissant là les convives pour avaler les quelques pas le menant jusqu'à Urbain et aux pauvres hères sur lesquels ce tourbillon d'énergie était tombé. La petite taloche qu'il lui mit à l'arrière du crâne n'avait rien de violente mais elle aurait le mérite de lui remettre les idées en place.
« Ce n'est pas une façon de s'adresser aux gens Urbain, surtout quand tu es celui qui les importunes. » Ah, les gosses. « Excuse-toi correctement, veux-tu ? »
Puis, inclinant la tête envers la dame et le jeune garçon blond, il poussa sa main dans les cheveux roux pour obliger le gamin à en faire de même. « Veuillez pardonner ce nigaud, j'espère qu'il ne vous a pas blessés dans sa maladresse. »
Il ne manquerait plus qu'Urbain se mettent à dos les nobles de la Cour. Sadie n'avait pas l'intention de laisser tous les efforts fournis pour le sauver d'une mort certaine après son larcin chez Bellevallée tomber à l'eau pour une bête bousculade entre deux buissons. Non mais.
@Victoire de France @Charles d'Orléans @L'Oeil pour Urbain @Hildegard C. De Bayard @Basile De France
Dim 9 Mai - 16:46
Dim 9 Mai - 21:05
Son regard glissent sur Hermance et Emmery et on sent clairement un élan d'agacement dans son regard. May, Johanna, Emilien, Eve... Tout le monde passe sous ses yeux observateurs. Il soupire. "Incapable de reconnaître sa propre sœur alors même qu'elle se trouve toute proche... Stupide créature."
Puis il observe Victoire, puis Basile. Son poing se serre à s'en faire blanchir les phalanges. Un grondement de colère remonte le long de sa gorge. "Vous..."
Il n'a pas le temps de finir sa phrase qu'une seconde silhouette, toute drapée de rouge, le rejoint.
"Bien le bonsoir... On ne vous a jamais dit qu'il était malpoli de faire du voyeurisme ?"
Visiblement, les deux silhouettes encapuchonnées ne sont pas amies. D'ailleurs, la vermeille se jette immédiatement sur la première, essayant de lui infliger des dégâts. Toutefois, la première ombre sort de sous sa cape une sphère jaune, iridescente qu'elle presse fortement en la dirigeant vers le ciel. C'est alors un changement drastique de climat qui s'opère. Le vent se lève brusquement, une pluie torrentielle s'abat sur Paris et des éclairs tonitruants percent le ciel. Est-ce un cri d'oiseau que vous venez d'entendre ?
La plupart d'entre vous pensera qu'il s'agit là du tonnerre, tout simplement.
Quand aux deux silhouette, la carmin se fait envoyer violemment contre le mur d'un autre batîment proche avant de fuir dans l'obscurité. La première ombre fera de même, dans une direction opposée.
Vous êtes libres d'agrémenter comme vous le souhaitez cette conclusion - si vous le souhaitez. Rien n'est obligatoire.
Merci à tout ceux et celles qui ont participé, nous espérons que ce premier event vous aura plu !
DERNIERE INTERVENTION
La soirée bat son plein, certains la trouve à leurs goûts quand d'autres préfèrent s’éclipser avant la fin. Toutefois, ce que personne n'aura remarqué, c'est qu'une silhouette venait alors d'arriver sur le toit d'un batîment proche, lequel donnait une vue parfaite sur les jardins et le déroulé de la soirée. Ses yeux jaunes, dorés, semblent scruter les personnes qui participent à cette fête nocturne.
Son regard glissent sur Hermance et Emmery et on sent clairement un élan d'agacement dans son regard. May, Johanna, Emilien, Eve... Tout le monde passe sous ses yeux observateurs. Il soupire. "Incapable de reconnaître sa propre sœur alors même qu'elle se trouve toute proche... Stupide créature."
Puis il observe Victoire, puis Basile. Son poing se serre à s'en faire blanchir les phalanges. Un grondement de colère remonte le long de sa gorge. "Vous..."
Il n'a pas le temps de finir sa phrase qu'une seconde silhouette, toute drapée de rouge, le rejoint.
"Bien le bonsoir... On ne vous a jamais dit qu'il était malpoli de faire du voyeurisme ?"
Visiblement, les deux silhouettes encapuchonnées ne sont pas amies. D'ailleurs, la vermeille se jette immédiatement sur la première, essayant de lui infliger des dégâts. Toutefois, la première ombre sort de sous sa cape une sphère jaune, iridescente qu'elle presse fortement en la dirigeant vers le ciel. C'est alors un changement drastique de climat qui s'opère. Le vent se lève brusquement, une pluie torrentielle s'abat sur Paris et des éclairs tonitruants percent le ciel. Est-ce un cri d'oiseau que vous venez d'entendre ?
La plupart d'entre vous pensera qu'il s'agit là du tonnerre, tout simplement.
Quand aux deux silhouette, la carmin se fait envoyer violemment contre le mur d'un autre batîment proche avant de fuir dans l'obscurité. La première ombre fera de même, dans une direction opposée.
--- MARCHE A SUIVRE ---
Vous êtes libres d'agrémenter comme vous le souhaitez cette conclusion - si vous le souhaitez. Rien n'est obligatoire.
Merci à tout ceux et celles qui ont participé, nous espérons que ce premier event vous aura plu !
Lun 10 Mai - 12:20
Elle le savait, que June ne lui ferait jamais de mal. Volontairement, du moins. Dans les faits, ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps mais May avait l’impression qu’il avait toujours fait partie de sa vie. Alors, lorsqu’il lui murmure en suédois que tout va bien, qu’elle peut tout lui dire, c’est une douce amertume qui étire ses lèvres, de l’ordre de celles dont il est agréable de se remémorer en dépit des picotements qu’elles occasionnent.
« Je sais, June, je sais… » Elle confronte leurs yeux. A quoi bon ? « Tu sais, ce genre de promesse, je l’ai déjà entendu et… »
Rien de bon n’en était ressorti. Pourtant May n’a pas le temps de finir sa phrase qu’un coup de tonnerre la fait sursauter et s’agripper à June. Pourtant elle n’avait jamais eu peur de l’orage, mais là… Ses pensées n’ont même pas le temps de se diffuser que, déjà, l’eau vient gorger les pans de sa robe et.. « Aie ! »
Elle réalise maintenant qu’elle est redescendue sur terre que ses talons lui ont occasionnés des pieds en sang. Elle allait devoir utiliser des onguents pour éviter de guérir trop lentement… « Viens, June, rentrons à la boutique le temps que l’orage cesse. »
Elle s’entend à peine parler avec les éclairs.
Mais au moins elle aura passé une plutôt bonne soirée dans l’ensemble.
Elle songera à remercier Branwen en revenant.
Lun 10 Mai - 12:24
@Aerin Brindal
Il aurait voulu pouvoir revenir rapidement à la soirée mais sur le chemin du retour, surprit par la pluie soudaine, Frère Ferdinand ne trouva rien de mieux à faire que de se prendre les pieds dans la capeline qu’il avait trouvé à son église. « AAAH ! »
Et boum. La tête la première sur le trottoir en pavés. Il tomba inconscient et, heureusement, une bonne âme passant par là le reconnu et le porta jusqu’à un lieu sec en attendant que l’orage ne cesse. Il n’aura repris conscience que le lendemain matin, gêné au possible par sa maladresse.
La jeune femme avait dû l’attendre !
Quel enfer…
@Aerin Brindal
Lun 10 Mai - 12:37
Merill ne put s’empêcher de rougir face aux gestes somme toute anodins de Constantin mais qui réveillait chez elle ses envies fleurs bleues. « Je… Vous de même, Grand Cardinal. » Elle n’oubliait pas qu’il lui avait sauvé la vie, là-bas, à Evreux. Au moins, elle avait des choses à raconter au petit mémoriel qu’elle avait construit artisanalement pour Laurent et qui trônait maintenant dans sa modeste chambre – tout ce dont elle avait besoin.
Cependant, lorsqu’elle comprit que Ferdinand ne s’était pas présenté encore, elle gonfla les joues, pareille à une enfant capricieuse. « Celui-là alors ! Je l’ai tiré par la main pour venir exprès pour qu’il vous rencontre et il manque à ses manières ! Je lui tirerais les oreilles quand je le verrais – AAAAH ! »
Lorsque le tonnerre éclata finalement, Merill vint se blottir contre Constantin, comme si sa grande stature aurait pu la protéger de la pluie torrentielle qui s’abattait alors – en vain. « Vite, Grand Cardinal, rentrons à l’Eglise ! »
Elle détestait la pluie.
Ça faisait friser ses cheveux.
Lun 10 Mai - 12:56
Lorsque l’orage se leva brusquement, la première pensée d’Inesis fut de remonter sa veste sur le haut de la tête de sa compagne de la soirée. « Attention Madame, la pluie semble très forte. »
Il ne devait pas rester ici, quelque chose ne le mettait pas en confiance – mais il n’aurait su dire quoi. « Je vais vous raccompagner chez nous au plus vite, Madame. » Ou, au moins, en relative sécurité de la pluie. N’était-ce pas là le minimum pour quelqu’un qui devait protéger Hélène pour au moins l’année à venir.
Si.
Évidemment.
Lun 10 Mai - 23:19
@Aerin Brindal x @Stanislava Braginsky
Event -
La chanson du printemps
La chanson du printemps
Tu auras passé ta soirée seul. La demoiselle qui aurait dû venir te tenir compagnie ne put venir. Et c’est alors que tu t’étais simplement retrouvée avec toi-même. Toi et tes pensées. Cela t’arrangeait en soi. Tu n’étais pas encore remis totalement du passage de ta maladie. Tu fus cloîtré au lit pendant longtemps. Trop longtemps à tes yeux. Cette soirée aurait pu être bien trop fatigante si tu avais eu à danser. Et puis, tu n’étais jamais sûr d’être une bonne compagnie pour une dame. Comment dire… Tu avais si peu l’habitude d’en fréquenter. N’étant point très doué pour les relations dans ce genre de soirée… C’était peut-être une bonne chose au final… Dans tes pensées, tu te remémorais de tout et de rien. Tout un tas de choses se passaient. C’était futile. Ou non. Le temps passait simplement. Tu observais les jardins. Observant tous ces petits détails. Tu bâilles et tu te dis que si tout cela se terminait… Ce serait bien... Pourtant tu fus soudain bousculé par une chevelure flamboyante. Ne l’ayant pas remarqué juste avant. Tu la salues et t’excuses pour l’avoir gêné.
Un soupir franchit tes lèvres. C’est un regard qui balaye les alentours. Les détails. Et c’est la nuit qui vint t’appeler. Ou plutôt ces cheveux qui rappelaient ce tableau. Une image qui te rappelait celle d’un homme que tu avais employé. Elros. Tu n’avais pas encore eu l’occasion d’avoir de ses nouvelles depuis tout ce temps. Trop longtemps, tu fus épuisé et souffrant. Trop fatigué pour faire quoi que ce soit. Et sinon tu étais débordé par ce que tu devais rattraper. Alors, instinctivement, tu fus interpellé. Mais sa longue chevelure bleue te rappelait que c’était une femme. Non un homme. Sa robe en piteux état, te donnait l’impression qu’elle ne passait pas le plus beau de ses souvenirs. Les demoiselles accordaient pourtant de l’importance à ce genre de choses ? Ah… C’est vrai que l’une de tes seules figures féminines était Salomé. Et Salomé est une femme vivante et dansante. Quelques pas, tu t’approches de ce visage familier. Tu t’es présenté à elle. Demandant ce qu’elle attendait ainsi. Voilà un premier pas sociable de ta part.
Quitte à être ici, autant faire un peu connaissance. Bien que c’était surtout de la curiosité à son égard. Elle qui ressemblait tant à Elros. C’était le cas de le dire. Aerin Brindal… Après confirmation auprès de sa part… Il s’agissait de sa sœur… La fraternité hein. C’était quelque chose dont tu avais de merveilleux souvenirs. Quelque chose qui te manquait. Mais au moins, grâce à elle, tu pus demander de ses nouvelles. Quel soulagement de savoir qu’il allait bien. Ton visage en était la preuve même. Une expression qui t’avait échappé.
Le vent se lève brusquement. Des frissons te parcourent. L’homme fragile se fait surprendre. La pluie s’abat soudainement. L’orage s’annonce sans crier gare. Était-ce un oiseau que tu avais entendu ? Tu ne savais pas pourquoi… Mais cela te semblait étrange cette météo. Pourquoi tout d’un coup… Était-ce un mauvais présage ? Tu ne savais pas et tu ne t’en souciais pas. D’un geste galant et préventif, tu te tournes vers la demoiselle à tes côtés :
« Je pense que nous devrions nous abriter au plus vite. »
Tu avais déjà souffert de ta maladie ! Tu n’allais pas attraper froid encore une fois tout de même ? Ce serait le comble et l’ennui. Tu t’y refusais. Alors tu préférais ne pas tarder. Tenant à escorter la jeune femme jusqu’à ce que vos chemins vous séparent. Avant cela, pourtant, tu t’es permis, une demande. Quelques dernières paroles :
«Dame Brindal, auriez-vous l’amabilité de prévenir votre frère que je suis remis ? Je voudrais aussi pouvoir échanger de nouveau avec lui. S’il pouvait m’envoyer ses disponibilités, je serais ravi de l’invité à prendre le thé, là où je loge. Sur ce. »
Ce bal ne fut pas un bal à tes yeux. Plutôt sinistre et solitaire. Mais tu y étais trop habitué pour être dérangé par cela. Quoique tu regrettais de ne pas avoir essayé de te faire des amis… Mais tu n’avais pas vraiment eu la tête à réfléchir à quels stratagèmes tu allais employer pour parvenir à cela. Il faisait plutôt froid. Tu auras contemplé cette sombre et pénible pluie plusieurs minutes.
Un soupir franchit tes lèvres. C’est un regard qui balaye les alentours. Les détails. Et c’est la nuit qui vint t’appeler. Ou plutôt ces cheveux qui rappelaient ce tableau. Une image qui te rappelait celle d’un homme que tu avais employé. Elros. Tu n’avais pas encore eu l’occasion d’avoir de ses nouvelles depuis tout ce temps. Trop longtemps, tu fus épuisé et souffrant. Trop fatigué pour faire quoi que ce soit. Et sinon tu étais débordé par ce que tu devais rattraper. Alors, instinctivement, tu fus interpellé. Mais sa longue chevelure bleue te rappelait que c’était une femme. Non un homme. Sa robe en piteux état, te donnait l’impression qu’elle ne passait pas le plus beau de ses souvenirs. Les demoiselles accordaient pourtant de l’importance à ce genre de choses ? Ah… C’est vrai que l’une de tes seules figures féminines était Salomé. Et Salomé est une femme vivante et dansante. Quelques pas, tu t’approches de ce visage familier. Tu t’es présenté à elle. Demandant ce qu’elle attendait ainsi. Voilà un premier pas sociable de ta part.
Quitte à être ici, autant faire un peu connaissance. Bien que c’était surtout de la curiosité à son égard. Elle qui ressemblait tant à Elros. C’était le cas de le dire. Aerin Brindal… Après confirmation auprès de sa part… Il s’agissait de sa sœur… La fraternité hein. C’était quelque chose dont tu avais de merveilleux souvenirs. Quelque chose qui te manquait. Mais au moins, grâce à elle, tu pus demander de ses nouvelles. Quel soulagement de savoir qu’il allait bien. Ton visage en était la preuve même. Une expression qui t’avait échappé.
Le vent se lève brusquement. Des frissons te parcourent. L’homme fragile se fait surprendre. La pluie s’abat soudainement. L’orage s’annonce sans crier gare. Était-ce un oiseau que tu avais entendu ? Tu ne savais pas pourquoi… Mais cela te semblait étrange cette météo. Pourquoi tout d’un coup… Était-ce un mauvais présage ? Tu ne savais pas et tu ne t’en souciais pas. D’un geste galant et préventif, tu te tournes vers la demoiselle à tes côtés :
« Je pense que nous devrions nous abriter au plus vite. »
Tu avais déjà souffert de ta maladie ! Tu n’allais pas attraper froid encore une fois tout de même ? Ce serait le comble et l’ennui. Tu t’y refusais. Alors tu préférais ne pas tarder. Tenant à escorter la jeune femme jusqu’à ce que vos chemins vous séparent. Avant cela, pourtant, tu t’es permis, une demande. Quelques dernières paroles :
«Dame Brindal, auriez-vous l’amabilité de prévenir votre frère que je suis remis ? Je voudrais aussi pouvoir échanger de nouveau avec lui. S’il pouvait m’envoyer ses disponibilités, je serais ravi de l’invité à prendre le thé, là où je loge. Sur ce. »
Ce bal ne fut pas un bal à tes yeux. Plutôt sinistre et solitaire. Mais tu y étais trop habitué pour être dérangé par cela. Quoique tu regrettais de ne pas avoir essayé de te faire des amis… Mais tu n’avais pas vraiment eu la tête à réfléchir à quels stratagèmes tu allais employer pour parvenir à cela. Il faisait plutôt froid. Tu auras contemplé cette sombre et pénible pluie plusieurs minutes.
@Aerin Brindal x @Stanislava Braginsky
Mar 11 Mai - 1:47
@Victoire de France + @Sadie
Charles se contentera d’un simple sourire et d’un hochement de tête lorsque Sadie décida de leur fausser compagnie pour aller réprimander un… enfant semble-t-il. Il n’eut pas réellement d’apercevoir de qui il s’agissait puisque son attention fut à nouveau sur sa cousine. Serait-ce lui qui assurerait la protection de Victoire pendant un an ? À sa connaissance, elle avait déjà une garde du corps pour ce travail. Et quelle garde du corps. Pour peu qu’il en savait et par ce qu’il avait vu, il avait eu l’impression qu’elle sauterait à la gorge de quiconque adresserait un mot de travers à ou sur Victoire. Il n’avait jamais vu quelqu’un d’aussi zélé. Où l’avait-elle dégoté ?
Il eut envie de lui poser la question mais fut interrompue par une soudaine pluie torrentielle et de l’orage. Évidemment. Charles retira sa veste et l’utilisa pour protéger du mieux qu’il le pouvait Victoire de la pluie en la plaçant au-dessus de sa tête.
-Je suppose que l’on pourra discuter en tête-à-tête une prochaine fois.
Finalement, ils furent rejoints par Braginsky et les voilà deux à escorter la Reine bon gré mal gré. La discussion familiale devra attendre donc.
@Victoire de France + @Sadie
Mar 11 Mai - 1:50
@Serafeím Di Venieri
Dans sa quête pour rejoindre Victoire, une chauve-souris vint se perdre brièvement dans sa chevelure de feu. Ce petit obstacle lui valut de perdre brièvement son équilibre et de bousculer quelqu'un. Un rapide coup d'oeil. Un blond. Un noble. Une tête qu'elle n'avait jamais réellement vu. Stanislava s'excusa brièvement avant de reprendre sa route. Qui fut à nouveau ralentit par cette fois-ci le mauvais temps. Elle souffla brièvement. Cette pluie, ce tonnerre - un tel changement de temps si brusque, était-ce normal, lui fit penser que cela mettrait fin aux festivités. Cela tombait bien, elle commençait à en avoir marre. Elle accéléra le pas et aperçut au loin la Reine ainsi que son cousin qui la protégeait du mieux qui le pouvait de sa veste. Elle lui adressa un mince sourire alors qu'elle ramenait ses cheveux vers l'arrière.
-Majesté... j'espère que vous avez passé une agréable soirée...
Si au moins cela l'avait aidé à se détendre et à oublier un temps soit peu ses tracas, la garde du corps se contenterait de cela. Elle aurait aimé par contre voir qui allait être chargé de la protection de la Reine pendant un an, qu'elle lui en touche deux mots. C'était son travail, après tout.
@Serafeím Di Venieri
Mar 11 Mai - 21:00
Quand bien même les salutations avaient été de rigueur, Victoire ne se sentait pas foncièrement Reine en cet instant. Auprès de Sadie, elle avait surtout la sensation délicieuse de n’être qu’une jeune femme noble parmi tant d’autres, dont le moindre fait et geste ne saurait être épié constamment. Du moins, pas autant que si elle était à la tête du pays. Et ce fut pour le moins rafraichissant pour l’héritière de la couronne, qui se laissa volontiers aller à l’apprentissage bref de quelques étoiles que lui montrait Sadie. Elle tâcha d’être une élève studieuse et posait des questions toujours motivées par une soif de connaissances toujours plus grande.
Pourtant, alors qu’elle s’y attendait le moins, la silhouette d’un homme parvint à la surprendre en un sursaut visible sur ses épaules. « Charles ! » s’exclama-t-elle alors que, la surprise passée, elle se racla la gorge pour ensuite reprendre le sérieux habituel qu’on lui connaissait – trop. Ses sourcil, quelque peu froncés, la tirèrent de sa torpeur étudiante. « J’ai déjà dis que le vouvoiement était de rigueur, en public. »
Pour lui, comme pour tout le monde. Cependant, Victoire n’aurait su dire si c’était la brusque intervention de Charles ou autre chose qui fit disparaitre son protecteur pour l’année mais elle fut déçue, quand bien même elle n’en montra rien. Elle n’en avait pas le droit, même à la faveur d’une faible luminosité.
Faisant volte-face vers son cousin, Victoire s’apprêtait à souffler dans les plumes de Charles, mais un coup de tonnerre particulièrement puissant et une pluie de tous les diables vinrent changer ses plans. Sentant Sire se mettre à l’abri sous sa robe et les armatures de cette dernière, Victoire sentit sa coiffure se fendre à cause de l’eau, laissant sa longue chevelure descendre jusque dans le bas de son dos en une fraction de seconde. « Ah ! » fit-elle alors qu’elle essayait de mettre les choses en ordre. Visiblement, tout était fini pour ce soir. Dommage. Heureusement, la veste de Charles sur le sommet de son crâne empêcha que les choses empirent encore.
« Charles, allons chercher Basile et rentrons. » Clair, net, précis. Lorsque Stanislava les rejoignit, ils purent repartir instamment.
Mer 12 Mai - 23:27
New meeting at the royal gardenFeat - @"Frère Ferdinand - @"Serafeím Di Venieri" "
La jeune femme avait passé une soirée plutôt mouvementée, mais au final plutôt amusant. Elle avait fait de nouvelles connaissances et également revoir brièvement Serafeim de loin. Un léger sourire de satisfaction naquit sur ses lèvres. Les étoiles étaient hautes dans le ciel, les étoiles brillaient d'une lumière vraiment flamboyante. Un petit soupir sorti finalement et elle releva son regard de ses chaussures. Décidément, sa belle tenue n'aura pas tenu l’événement. Les derniers participants commencèrent à échanger les dernières paroles avant de tous rentrer. Aerin pensa, brièvement, qu'est ce que cela aurait été pour elle si elle n'était pas devenue chevalier à la place de son frère. Encore les mêmes genres de question, faudrait arrêter un jour. Elle sourit à elle-même lorsque, contre toute attente, une chevelure blonde fit son apparition. Il ne lui en fallut pas plus pour savoir de qui il s'agissait, Serafeim. Son sourire devint alors chaleureux et se redressa aussitôt pour le saluer convenablement. Les formalités passées, la jeune bleutée du donner une raison de sa ressemblance avec le chevalier qui avait passé du temps avec lui...Ils étaient frères... Enfin, elle était l'Elros en question, mais elle n'allait pas lui dire ainsi. Elle le scruta discrètement et rapidement, rassuré qu'il a bien récupéré de cette fameuse nuit. En y repensant, une douleur au dos se fit ressentir et son visage se crispa une fraction de seconde. Ce Janvier, si elle le recroissait, elle ne se laisserait pas facilement faire.
Elle retourna son attention assez rapidement vers le noble et une brise la fit éternuer de nouveau. Oh non, elle allait tomber malade ! Avant même qu'elle put dire quelque chose, la jeune femme se retrouva littéralement trempée. À ce moment précis, Aerin ne put s'empêcher de ne pas rire. Le timing était trop parfait, elle qui avait tout essayé pour sécher, voilà le résultat. Est ce que c'était le karma ? Cela était possible. Aerin suivit alors l'homme pour se mettre à l'abri et ils continuèrent à parler. Être en Aerin était tellement plus simple, plus naturelle, cela lui faisait du bien. Puis lorsqu'ils parlèrent d'Elros, Aerin vit brièvement, une lueur, soulagement ? Elle sourit intérieurement et se contenta de cela, il était soulagé qu'il aille bien... Donc qu'elle allait bien. Même si cela ne lui était pas, malheureusement, pas réellement destiné. Être jalouse d'un fantôme du passé ? Jamais de la vie...Il lui manquait, son frère...
Puis ils se remirent en route, Serafeim lui proposant de la raccompagner un peu. Heureuse, Aerin accepta l'offre et ils reprirent leurs conversations. Au final, la pluie l'avait bien aidée, elle avait pu passer un peu plus de temps avec le blondinet. Elle l'appréciait vraiment, une personne remplie de qualité et de courage. Bien sûr qu'elle n'oubliera jamais cette nuit-là, quand ils ont failli y passer. Malgré tout, il avait tout essayé pour l'aider, même si cela n'a pas abouti, c'était bien assez.
À présent non loin de l'endroit où elle logeait temporairement, Aerin se tourna alors vers Serafeim pour l'écouter et elle hocha alors la tête, souriante.
La jeune femme le salua une dernière fois avec un grand sourire et une tenue des plus déplorable et reprit également son chemin. Regardant légèrement en arrière, elle se dit que cette soirée n'avait pas été si ennuyante. Au mais attendait...Qu'est devenu Frère Ferdinand ? Il est vrai qu'elle l'attendu pendant un bon moment...Elle pensa qu'au vu de la pluie, il était resté au chaud. Aerin sourit doucement et se dit qui faudrait qu'elle aille le remercier.
Elle retourna son attention assez rapidement vers le noble et une brise la fit éternuer de nouveau. Oh non, elle allait tomber malade ! Avant même qu'elle put dire quelque chose, la jeune femme se retrouva littéralement trempée. À ce moment précis, Aerin ne put s'empêcher de ne pas rire. Le timing était trop parfait, elle qui avait tout essayé pour sécher, voilà le résultat. Est ce que c'était le karma ? Cela était possible. Aerin suivit alors l'homme pour se mettre à l'abri et ils continuèrent à parler. Être en Aerin était tellement plus simple, plus naturelle, cela lui faisait du bien. Puis lorsqu'ils parlèrent d'Elros, Aerin vit brièvement, une lueur, soulagement ? Elle sourit intérieurement et se contenta de cela, il était soulagé qu'il aille bien... Donc qu'elle allait bien. Même si cela ne lui était pas, malheureusement, pas réellement destiné. Être jalouse d'un fantôme du passé ? Jamais de la vie...Il lui manquait, son frère...
Puis ils se remirent en route, Serafeim lui proposant de la raccompagner un peu. Heureuse, Aerin accepta l'offre et ils reprirent leurs conversations. Au final, la pluie l'avait bien aidée, elle avait pu passer un peu plus de temps avec le blondinet. Elle l'appréciait vraiment, une personne remplie de qualité et de courage. Bien sûr qu'elle n'oubliera jamais cette nuit-là, quand ils ont failli y passer. Malgré tout, il avait tout essayé pour l'aider, même si cela n'a pas abouti, c'était bien assez.
À présent non loin de l'endroit où elle logeait temporairement, Aerin se tourna alors vers Serafeim pour l'écouter et elle hocha alors la tête, souriante.
Oui, bien sûr, je passerais le message à mon frère. Je vous remercie pour votre gentillesse à me raccompagner un peu. Rentrez bien Messire Serafeim
La jeune femme le salua une dernière fois avec un grand sourire et une tenue des plus déplorable et reprit également son chemin. Regardant légèrement en arrière, elle se dit que cette soirée n'avait pas été si ennuyante. Au mais attendait...Qu'est devenu Frère Ferdinand ? Il est vrai qu'elle l'attendu pendant un bon moment...Elle pensa qu'au vu de la pluie, il était resté au chaud. Aerin sourit doucement et se dit qui faudrait qu'elle aille le remercier.
Jeu 13 Mai - 17:04
Something new
Something new
Si tout n’était pas parfait, June pouvait au moins dire qu’il ne regrettait pas ses choix. La compagnie de May était un délice dont il ne se serait séparé que par la force… et s’il perçoit sans mal le trait de mélancolie dans sa voix, il ne s’en offense aucunement. Les choses sont différentes. Il est bien des choses dont il n’a pas conscience ni connaissance. Mais le jeune suédois reste pourtant certain d’une chose, il ne laisserait pas tomber cette demoiselle. Pour rien au monde. Refermant sa prise sur sa taille, comme pour lui signifier sans le moindre mot qu’il ne voulait pas la voir s’envoler… C’est un tout autre éclat qui vient ternir cette douce soirée.
La foudre autant que la pluie prennent tous les résidents inhabituels du jardin par surprise. Et si les premières gouttes ne semblent pas perturber June qui n’a d’yeux que pour May à cet instant précis, c’est en voyant le blanc de sa robe s’imbiber d’eau et les premières nuances de sa peau se peindre sous le tissu qu’il s’active, ôtant promptement sa veste pour protéger sa douce de la pluie… Ah. Mais s’il n’y avait que ça.
La douleur de May, il ne l’apprécie pas. Vient naturellement se glisser contre son flanc et la soutenir, là où le reste des convives commencent à s’échapper. Il attend qu’ils ne soient plus à portée des regards de quiconque avant de souffler.
« Tiens-toi à moi, on ira plus vite. »
Il veille à ce que la prise de May soit assurée, rajuste la veste pour la protéger et la soulève, elle et les voilages délicats quand bien même trempés, la portant pour lui éviter toute peine. Et c’est sans la moindre hésitation qu’il accélère le pas pour rallier la boutique de sa belle.
La foudre autant que la pluie prennent tous les résidents inhabituels du jardin par surprise. Et si les premières gouttes ne semblent pas perturber June qui n’a d’yeux que pour May à cet instant précis, c’est en voyant le blanc de sa robe s’imbiber d’eau et les premières nuances de sa peau se peindre sous le tissu qu’il s’active, ôtant promptement sa veste pour protéger sa douce de la pluie… Ah. Mais s’il n’y avait que ça.
La douleur de May, il ne l’apprécie pas. Vient naturellement se glisser contre son flanc et la soutenir, là où le reste des convives commencent à s’échapper. Il attend qu’ils ne soient plus à portée des regards de quiconque avant de souffler.
« Tiens-toi à moi, on ira plus vite. »
Il veille à ce que la prise de May soit assurée, rajuste la veste pour la protéger et la soulève, elle et les voilages délicats quand bien même trempés, la portant pour lui éviter toute peine. Et c’est sans la moindre hésitation qu’il accélère le pas pour rallier la boutique de sa belle.
Ven 14 Mai - 18:34
@Merill
i am the caged bird that sings
Par un drôle d'effet de mimétisme, Constantin rougit à son tour en constatant que Merill avait du rose aux joues. Ou peut-être était-ce la course qui le faisait simplement prendre des couleurs, lui qui n'en avait que très peu de base.
Il s'apprêtait à s'excuser de nouveau pour son silence depuis Évreux quand un bruit effroyable le fit sursauter de telle façon qu'il se blottit lui aussi contre sa partenaire en laissant de même échapper un petit cri terrifié et avouons-le, assez comique. La rousse demeurait tout de même chanceuse d'être tombée sur un autre que lui pour s'assurer sa protection.
Comprenant que ce qui lui avait paru être un hurlement n'était qu'un coup de tonnerre, l'évêque se détacha de la jeune femme avec un petit rire de soulagement. Ce n'était que le ciel qui se déchirait en deux, rien de plus. Il se hâta alors de retirer son manteau pour le passer au-dessus de leurs deux têtes et reprit son bras, l'entrainant à grandes enjambées vers Notre-Dame :
▬ Doux Jesus, vous avez raison, allons nous mettre à l'abri.
Autour d'eux, des dizaines de couples s'éparpillaient à leur tour d'un bout à l'autre des jardins, fuyant la pluie. Il ne retrouva ni Aimable, ni Béatrice de la soirée mais au moins dans sa détresse le Tout-Puissant avait écourté cet événement pour le moins pénible. Toutefois il repensa brièvement à sa rencontre avec Stanislava et se mordit l'intérieur des joues en méditant sur cet immense moment d'embarras. Sans doute avait-elle rejoint la Reine et c'était très bien ainsi.
Tout était très bien ainsi se persuada-t-il en se retournant une dernière fois vers l'allée principale aux bougies étalées au sol sous l'effet de l'averse et de l'empressement des promeneurs. Son regard revint à Merill dont il sentait la chaleur moite contre son torse alors qu'ils trottinaient tout deux en longeant les murs dans l'espoir d'être épargnés par le déluge.
Oui finalement, peut-être que Dieu faisait bien les choses parfois...
Il s'apprêtait à s'excuser de nouveau pour son silence depuis Évreux quand un bruit effroyable le fit sursauter de telle façon qu'il se blottit lui aussi contre sa partenaire en laissant de même échapper un petit cri terrifié et avouons-le, assez comique. La rousse demeurait tout de même chanceuse d'être tombée sur un autre que lui pour s'assurer sa protection.
Comprenant que ce qui lui avait paru être un hurlement n'était qu'un coup de tonnerre, l'évêque se détacha de la jeune femme avec un petit rire de soulagement. Ce n'était que le ciel qui se déchirait en deux, rien de plus. Il se hâta alors de retirer son manteau pour le passer au-dessus de leurs deux têtes et reprit son bras, l'entrainant à grandes enjambées vers Notre-Dame :
▬ Doux Jesus, vous avez raison, allons nous mettre à l'abri.
Autour d'eux, des dizaines de couples s'éparpillaient à leur tour d'un bout à l'autre des jardins, fuyant la pluie. Il ne retrouva ni Aimable, ni Béatrice de la soirée mais au moins dans sa détresse le Tout-Puissant avait écourté cet événement pour le moins pénible. Toutefois il repensa brièvement à sa rencontre avec Stanislava et se mordit l'intérieur des joues en méditant sur cet immense moment d'embarras. Sans doute avait-elle rejoint la Reine et c'était très bien ainsi.
Tout était très bien ainsi se persuada-t-il en se retournant une dernière fois vers l'allée principale aux bougies étalées au sol sous l'effet de l'averse et de l'empressement des promeneurs. Son regard revint à Merill dont il sentait la chaleur moite contre son torse alors qu'ils trottinaient tout deux en longeant les murs dans l'espoir d'être épargnés par le déluge.
Oui finalement, peut-être que Dieu faisait bien les choses parfois...
@Merill
Ven 14 Mai - 18:43
@Inesis Brenzins
I want to know why the caged bird sings
Elle ouvre la bouche pour répondre à son interlocuteur mais c'est le ciel qui parle à sa place. Un son comme un éclair se fait entendre pas loin d'eux et bientôt c'est la pluie qui leur tombe sur la tête.
▬ J'imagine que c'est la fin de la fête. Constate-t-elle en pointant une des ailes du palais. Mes appartements sont dans cette direction.
Et la conversation se meurt tout autant que la soirée. Ce n'est que sur le palier d'une des entrées du palier qu'Hélène reprend la parole, détrempée malgré leurs efforts :
▬ Merci beaucoup Inesis. Soyez accompagnés par mes prières dans le futur et prenez soin de votre personne. L'ottomane semble hésiter un moment et puis se rappelle qu'elle a encore son manteau sur les épaules. Elle se dépêche de retirer le vêtement qui dégouline sur le sol et lui tend avec un air désolé : Écrivez-moi si vous avez besoin de quoi que ce soit. Ou simplement l'envie. Et son regard s'attarde un moment dans celui du jeune homme. Je suis Hélène de Constantinople.
C'est avec un hochement de tête et un dernier sourire faisant office d'au revoir qu'elle s'éclipse à l'intérieur pour rejoindre sa chambre, pressée de sécher ses cheveux et d'enfiler quelque chose de plus confortable et surtout de sec avant d'attraper la mort dans ce foutu pays tout gris.
▬ J'imagine que c'est la fin de la fête. Constate-t-elle en pointant une des ailes du palais. Mes appartements sont dans cette direction.
Et la conversation se meurt tout autant que la soirée. Ce n'est que sur le palier d'une des entrées du palier qu'Hélène reprend la parole, détrempée malgré leurs efforts :
▬ Merci beaucoup Inesis. Soyez accompagnés par mes prières dans le futur et prenez soin de votre personne. L'ottomane semble hésiter un moment et puis se rappelle qu'elle a encore son manteau sur les épaules. Elle se dépêche de retirer le vêtement qui dégouline sur le sol et lui tend avec un air désolé : Écrivez-moi si vous avez besoin de quoi que ce soit. Ou simplement l'envie. Et son regard s'attarde un moment dans celui du jeune homme. Je suis Hélène de Constantinople.
C'est avec un hochement de tête et un dernier sourire faisant office d'au revoir qu'elle s'éclipse à l'intérieur pour rejoindre sa chambre, pressée de sécher ses cheveux et d'enfiler quelque chose de plus confortable et surtout de sec avant d'attraper la mort dans ce foutu pays tout gris.
Sam 15 Mai - 11:57
La chute de pression inattendue, trop brusque dans un ciel de printemps chaud et accueillant, lui fit siffler désagréablement les oreilles. Éclatant sans crier gare, l'orage diluvien doucha la soirée et le peu de bonne humeur et de bonne volonté restant au lycan. Un bref salut, et Sadie embarqua Urbain sous son bras sans plus de cérémonie. Il ignora avec superbe les protestations de l'enfant. Un coup d'oeil en arrière lui indiqua que Victoire était bien entourée pour son retour à l'abri, regard glissant avec brève curiosité sur la guerrière aux cheveux rouges désormais à ses côtés. Bien. Lui-même était attendu ailleurs.
Retrouver le prince germain dans la cohue fut plus simple qu'il ne l'aurait cru. Probablement parce que l'humain avait dû se balader lors de la fête, se rapprochant de l'endroit où Sadie était resté pour la soirée. Et il fut agréablement surpris de le trouver en compagnie de madame Lorient, à tenter de la protéger des torrents pleuvant du ciel.
Déposant Urbain dans les jupes de sa mère, le lycan étendit sa propre veste au dessus du prince.
« Dame Vélizon, Votre Altesse, nous devrions nous mettre à l'abri. Par ici, » ordonna-t-il sous couvert de conseil, conduisant fermement sa petite meute d'humains vers l'aile la plus proche du palais.
Plus vite ils se cacheraient de ce ciel malsain, mieux ce serait.
On l'accuserait de délire ou de psychose, à suspecter les cieux d'une quelconque malice. Et pourtant, la rapidité avec laquelle cette chape de plomb venait de tomber sur Paris, dans une plaine et un pays si peu propice aux tempêtes, ne faisait rien d'autre qu'aguicher ses pires penchants paranoïaques. Mais Victoire et lui comptait encore les étoiles d'un ciel clair, il y a peine cinq minutes, nom de Dieu. Les orages ne surgissaient pas de rien. Le lycan et les siens, autrefois, en avaient essuyé et subi trop souvent dans les canyons du grand Ouest, monstres de la nature comparés au petit caprice tonnant au dessus de leurs têtes désormais au sec. Nuages, pression, air électrique. Les signes annonciateurs étaient trop nombreux pour être aussi peu présents aujourd'hui.
Le cri perçant qu'il crut déceler, dansant dans le vacarme du tonnerre, acheva de froncer son expression en une mine inquiète.
« Nous devrions rentrer à Fontainebleau, votre Altesse. Nous y serons loin des intempéries et j'imagine que les intendants seront soulagés de deux âmes en moins sur les bras dans ce désordre. »
@Aydos Habsbourg & @L'Oeil pour la team Lorient
EVENT ; La chanson
du printemps —
du printemps —
La chute de pression inattendue, trop brusque dans un ciel de printemps chaud et accueillant, lui fit siffler désagréablement les oreilles. Éclatant sans crier gare, l'orage diluvien doucha la soirée et le peu de bonne humeur et de bonne volonté restant au lycan. Un bref salut, et Sadie embarqua Urbain sous son bras sans plus de cérémonie. Il ignora avec superbe les protestations de l'enfant. Un coup d'oeil en arrière lui indiqua que Victoire était bien entourée pour son retour à l'abri, regard glissant avec brève curiosité sur la guerrière aux cheveux rouges désormais à ses côtés. Bien. Lui-même était attendu ailleurs.
Retrouver le prince germain dans la cohue fut plus simple qu'il ne l'aurait cru. Probablement parce que l'humain avait dû se balader lors de la fête, se rapprochant de l'endroit où Sadie était resté pour la soirée. Et il fut agréablement surpris de le trouver en compagnie de madame Lorient, à tenter de la protéger des torrents pleuvant du ciel.
Déposant Urbain dans les jupes de sa mère, le lycan étendit sa propre veste au dessus du prince.
« Dame Vélizon, Votre Altesse, nous devrions nous mettre à l'abri. Par ici, » ordonna-t-il sous couvert de conseil, conduisant fermement sa petite meute d'humains vers l'aile la plus proche du palais.
Plus vite ils se cacheraient de ce ciel malsain, mieux ce serait.
On l'accuserait de délire ou de psychose, à suspecter les cieux d'une quelconque malice. Et pourtant, la rapidité avec laquelle cette chape de plomb venait de tomber sur Paris, dans une plaine et un pays si peu propice aux tempêtes, ne faisait rien d'autre qu'aguicher ses pires penchants paranoïaques. Mais Victoire et lui comptait encore les étoiles d'un ciel clair, il y a peine cinq minutes, nom de Dieu. Les orages ne surgissaient pas de rien. Le lycan et les siens, autrefois, en avaient essuyé et subi trop souvent dans les canyons du grand Ouest, monstres de la nature comparés au petit caprice tonnant au dessus de leurs têtes désormais au sec. Nuages, pression, air électrique. Les signes annonciateurs étaient trop nombreux pour être aussi peu présents aujourd'hui.
Le cri perçant qu'il crut déceler, dansant dans le vacarme du tonnerre, acheva de froncer son expression en une mine inquiète.
« Nous devrions rentrer à Fontainebleau, votre Altesse. Nous y serons loin des intempéries et j'imagine que les intendants seront soulagés de deux âmes en moins sur les bras dans ce désordre. »
@Aydos Habsbourg & @L'Oeil pour la team Lorient
Sam 15 Mai - 15:46