Dim 26 Sep - 22:19
@Calla
Un autre que moi aurait pu se décourager et lever le drapeau blanc devant cette main tendue sans un sourire mais en language Calla, je sais qu'elle est dans le fond contente de me voir. Je connais ma belle ! Si ma présence la contrariait réellement, elle ne m'aurait même pas adressé un regard, pas vrai ?
C'est pourquoi je saute presque de joie devant le geste de la chasseuse. Sans lui laisser le temps de revenir sur sa décision, je prends sa paume dans la mienne et l'entraîne un peu plus loin, pas trop quand même car pas le temps de niaiser ! Et puis je me doute qu'elle veut garder en ligne de mire le Cardinal et le reste de son groupe. Elle semble bien attachée à cette grande perche, peut-être parce que c'est son supérieur ou quelque chose comme ça. Enfin je lui poserai pas de questions, le boulot c'est le boulot et ce soir on est là pour s'enjailler !
▬ Tu es ravissante ce soir, mi sol ! Pas besoin de bijoux ou de parure compliquée pour réhausser ta beauté ! L'ai-je complimentée sans lui lâcher la main avant de me rapprocher un peu, la voix plus basse mais l'enthousiasme toujours aussi brûlant. Bon écoute aujourd'hui je suis occupé donc on a pas le temps de jouer à notre petit jeu habituel, je ne vais pas pouvoir te courir après toute la soirée, donc il faut me dire oui tout de suite sinon c'est trop tard, d'accord ? Pas question de faire les frigides hein !
C'est à ce moment que je la lâche enfin et effectue un petit tour sur moi-même en tendant les bras dans un geste très exagéré :
▬ Calla, ¿Quieres bailar conmigo? Me ferais-tu l'honneur d'une valse ? Une seule promis !
Allez on croise les doigts, c'est dans la poche !
C'est pas comme si j'avais un peu foutu la piste sans dessus sans dessous juste pour l'inviter ! Franchement si c'est pas une preuve d'amour !
C'est pourquoi je saute presque de joie devant le geste de la chasseuse. Sans lui laisser le temps de revenir sur sa décision, je prends sa paume dans la mienne et l'entraîne un peu plus loin, pas trop quand même car pas le temps de niaiser ! Et puis je me doute qu'elle veut garder en ligne de mire le Cardinal et le reste de son groupe. Elle semble bien attachée à cette grande perche, peut-être parce que c'est son supérieur ou quelque chose comme ça. Enfin je lui poserai pas de questions, le boulot c'est le boulot et ce soir on est là pour s'enjailler !
▬ Tu es ravissante ce soir, mi sol ! Pas besoin de bijoux ou de parure compliquée pour réhausser ta beauté ! L'ai-je complimentée sans lui lâcher la main avant de me rapprocher un peu, la voix plus basse mais l'enthousiasme toujours aussi brûlant. Bon écoute aujourd'hui je suis occupé donc on a pas le temps de jouer à notre petit jeu habituel, je ne vais pas pouvoir te courir après toute la soirée, donc il faut me dire oui tout de suite sinon c'est trop tard, d'accord ? Pas question de faire les frigides hein !
C'est à ce moment que je la lâche enfin et effectue un petit tour sur moi-même en tendant les bras dans un geste très exagéré :
▬ Calla, ¿Quieres bailar conmigo? Me ferais-tu l'honneur d'une valse ? Une seule promis !
Allez on croise les doigts, c'est dans la poche !
C'est pas comme si j'avais un peu foutu la piste sans dessus sans dessous juste pour l'inviter ! Franchement si c'est pas une preuve d'amour !
@Calla
Dim 26 Sep - 22:57
Perplexe, le Cardinal plissa un peu plus des yeux à la réponse de Calla, signe qu'il ne la croyait pas tout à fait. Malgré le fait qu'ils vivaient ensemble depuis plusieurs semaines déjà et qu'ils avaient traversé la moitié de la France en calèche à deux, la chasseuse restait toujours un mystère pour lui. Impossible de deviner si elle mentait ou pas, la demoiselle n'affichant jamais guère d'expression sinon parfois une pointe d'agacement.
▬ Bon... Soupira-t-il en se demandant pourquoi ce jeune homme l'aurait sauvé de cette attaque s'il ne s'agissait pas d'un membre de l'Église souterraine.
Ce serait une interrogation pour plus tard, car Eleanor revenait à l'assaut et le maître de danse lui-même les interrompait pour embarquer sa garde du corps, ce qui ne manqua pas de le faire sourire.
▬ Bien sûr, bien sûr. Allez-y roulez jeunesse ! Ah entre Aimable, le Comte de Harcourt et ce jeune ménestrel, Calla était bien populaire !
Se saisissant à nouveau de sa coupe de vin, il revint alors au couple des De Bayard puisqu'Aimable semblait aller un peu mieux.
▬ Patience, patience ma chère, nous avons toute la soirée ! Une gorgée pour se remettre les idées en place et le voici qui commença : Bon imaginez d'abord le contexte. Côme et moi-même étions encore deux jeunes pousses, toutes fraîchement débarquées au monastère dirigé par le Père Horatio, un vieil homme adorable mais un peu dur de la feuille et d'ailleurs qui commençait un peu à avoir une araignée au plafond. Bref, il ne nous avait pas fallu longtemps pour comprendre que l'endroit était en réalité géré par la Mère Supérieur de l'abbaye juxtaposée, la terrible Marie-Hélène de Chambéry. Une religieuse admirable certes mais une bonne femme absolument dénuée d'humour et de joie de vivre, que Dieu me pardonne et que son âme repose en paix ! Il dessina le signe de croix avant de reprendre. Figurez-vous que Mère Marie-Hélène dans sa croisade contre toutes les petites tentations de la vie avait décidé d'interdire aux moines de nourrir les chats errants, soit-disant parce que ces pauvres bêtes étaient des envoyées du malin ! Imaginez-la tous les soirs avec son balai courir comme une furie après les félins qui venaient réclamer les restes du souper que nous leur envoyions en cachette par les fenêtres ! Et nous avions beau redoubler d'ingéniosité pour nourrir ces chats, Mère Marie-Hélène finissait toujours par leur mettre la main dessus et les faire fuir. L'hiver approchant nous savions que sans notre aide, ces créatures n'auraient pas survécu longtemps, c'est pourquoi avec Côme nous mîmes en place un petit stratagème pour mettre fin à la tyrannie anti-matou... Ayant beaucoup parlé, Constantin s'arrêta un instant, remuant le liquide rouge dans son verre avant de reprendre : Pouvez-vous deviner de quoi il s'agissait ?
▬ Bon... Soupira-t-il en se demandant pourquoi ce jeune homme l'aurait sauvé de cette attaque s'il ne s'agissait pas d'un membre de l'Église souterraine.
Ce serait une interrogation pour plus tard, car Eleanor revenait à l'assaut et le maître de danse lui-même les interrompait pour embarquer sa garde du corps, ce qui ne manqua pas de le faire sourire.
▬ Bien sûr, bien sûr. Allez-y roulez jeunesse ! Ah entre Aimable, le Comte de Harcourt et ce jeune ménestrel, Calla était bien populaire !
Se saisissant à nouveau de sa coupe de vin, il revint alors au couple des De Bayard puisqu'Aimable semblait aller un peu mieux.
▬ Patience, patience ma chère, nous avons toute la soirée ! Une gorgée pour se remettre les idées en place et le voici qui commença : Bon imaginez d'abord le contexte. Côme et moi-même étions encore deux jeunes pousses, toutes fraîchement débarquées au monastère dirigé par le Père Horatio, un vieil homme adorable mais un peu dur de la feuille et d'ailleurs qui commençait un peu à avoir une araignée au plafond. Bref, il ne nous avait pas fallu longtemps pour comprendre que l'endroit était en réalité géré par la Mère Supérieur de l'abbaye juxtaposée, la terrible Marie-Hélène de Chambéry. Une religieuse admirable certes mais une bonne femme absolument dénuée d'humour et de joie de vivre, que Dieu me pardonne et que son âme repose en paix ! Il dessina le signe de croix avant de reprendre. Figurez-vous que Mère Marie-Hélène dans sa croisade contre toutes les petites tentations de la vie avait décidé d'interdire aux moines de nourrir les chats errants, soit-disant parce que ces pauvres bêtes étaient des envoyées du malin ! Imaginez-la tous les soirs avec son balai courir comme une furie après les félins qui venaient réclamer les restes du souper que nous leur envoyions en cachette par les fenêtres ! Et nous avions beau redoubler d'ingéniosité pour nourrir ces chats, Mère Marie-Hélène finissait toujours par leur mettre la main dessus et les faire fuir. L'hiver approchant nous savions que sans notre aide, ces créatures n'auraient pas survécu longtemps, c'est pourquoi avec Côme nous mîmes en place un petit stratagème pour mettre fin à la tyrannie anti-matou... Ayant beaucoup parlé, Constantin s'arrêta un instant, remuant le liquide rouge dans son verre avant de reprendre : Pouvez-vous deviner de quoi il s'agissait ?
PARDON POUR LES 10 LIGNES
De toutes vous êtes pas obligés de lire, c'est Coco qui radote
@Aimable E. de Bayard & @CallaDe toutes vous êtes pas obligés de lire, c'est Coco qui radote
Dim 26 Sep - 23:02
@Titi
Un dernier coup d'œil vers le Grand Cardinal et Calla suivit le vampire sans sourciller. Ses compliments glissaient sur sa peau de porcelaine tandis qu'elle le scrutait avec indifférence. Sa requête d'une danse ne l'étonna guère non plus. Sa main désormais libre, elle lissa les plis de sa robe, sentit brièvement sur le bout de ses doigts sa dague dissimulée sous ses jupons. Une danse avec le vampire qu'elle cherchait à planter depuis quelques temps ? La bonne blague.
Un dernier coup d'œil vers la piste et elle lui tendit un ticket. Le ticket numéro 5.
-J'ai un cavalier pour la prochaine danse. Tu seras le dernier.
Elle espérait sincèrement qu'il n'avait pas prévu des danses aussi extravagantes que la troisième pour les deux dernières danses. Se donner en spectacle n'était pas sa spécialité.
@Titi
Lun 27 Sep - 17:59
@Calla
Comment vous décrire le sentiment immense qui s'empare de mon être au moment où je vois apparaître le précieux ticket ? C'est comme si mon coeur bondissait dans ma poitrine alors que des milliers de papillons s'envolaient en même temps dans mon estomac tandis que j'entendais des feux d'artifice exploser au loin à l'arrière de ma tête ! Est-ce que j'en fais trop ? Non absolument pas ! Je bondis sur le bout de papier, m'en emparant à deux mains avec un air triomphal. Si je n'avais pas peur de le perdre, je pourrais presque l'agiter au-dessus de ma tête tel l'emblème de ma victoire.
▬ OUIIII ! Le meilleur pour la fin ! Le ticket disparait à l'intérieur de ma chemise, puis je joins les mains devant mon visage en battant des cils. Merci trésor !
Cependant, les rires et les huées en provenance de la piste me rappellent vite à mon devoir. En tournant la tête, j'observe que mes danseurs sont peut-être un peu trop agités sans moi. Si je suis la dernière personne à m'offusquer d'un mollet ou d'un pectoraux découvert, la grimace sur le visage du Duc de Bourgogne est sûrement signe qu'il est temps de retourner à mon poste.
▬ Aïe aïe aïe, je dois filer mi sol mais je te promets tu ne regretteras pas ton choix !
Et sans attendre de réponse, je fais signe à un des domestiques de m'approcher, leur demande illico presto de puiser dans mes affaires pour ces messieurs (parce que je suis vraiment une âme généreuse) et file sur la piste.
▬ OUIIII ! Le meilleur pour la fin ! Le ticket disparait à l'intérieur de ma chemise, puis je joins les mains devant mon visage en battant des cils. Merci trésor !
Cependant, les rires et les huées en provenance de la piste me rappellent vite à mon devoir. En tournant la tête, j'observe que mes danseurs sont peut-être un peu trop agités sans moi. Si je suis la dernière personne à m'offusquer d'un mollet ou d'un pectoraux découvert, la grimace sur le visage du Duc de Bourgogne est sûrement signe qu'il est temps de retourner à mon poste.
▬ Aïe aïe aïe, je dois filer mi sol mais je te promets tu ne regretteras pas ton choix !
Et sans attendre de réponse, je fais signe à un des domestiques de m'approcher, leur demande illico presto de puiser dans mes affaires pour ces messieurs (parce que je suis vraiment une âme généreuse) et file sur la piste.
@Calla
Mar 28 Sep - 15:31
L’intrusion d’un autre – vampire – lui fait serrer légèrement les mâchoires, il le salue d’un signe de tête. Eleanor lui sourit, raffermissant tendrement son emprise sur le bras de son mari en s’inclinant légèrement devant le ménestrel. Suite à son départ, elle dirige son regard vers Calla.
_ Oh Calla, vous avez rendu deux hommes heureux ce soir ! Enfin…
La rousse se penche vers la jeune femme.
_ Vous ne semblez guère partager ce bonheur… S’il vous enquiquine, faîtes moi signe, Aimable et moi interviendrons !
Aimable cligne des paupières mais déjà, innocemment, Eleanor tourne les yeux vers Constantin pour écouter son récit. Le Chevalier met quelques secondes à l’imiter. L’esprit occupé par la tristesse, la colère de l’Ouroboros qui bouillonnent dans un coin de sa tête. Voir le sang dans le verre de Constantin le prend de court – il se reprend. Ce n’est pas du sang. C’est du vin. Du vin. Il frissonne discrètement.
_... Qu’avez-vous fait ? Demande-t-il, un sourire effleurant pudiquement ses lèvres.
_ … Vous avez parlé de chats, de cordages et d’apparition miraculeuse…, songe Eleanor en fronçant songeusement les sourcils, En pleine messe, avez-vous fait descendre un chat depuis les hautes poutres ? Drapé d’un drap, un ange félin venu des cieux !
@Calla @Constantin de St Hilaire_ Oh Calla, vous avez rendu deux hommes heureux ce soir ! Enfin…
La rousse se penche vers la jeune femme.
_ Vous ne semblez guère partager ce bonheur… S’il vous enquiquine, faîtes moi signe, Aimable et moi interviendrons !
Aimable cligne des paupières mais déjà, innocemment, Eleanor tourne les yeux vers Constantin pour écouter son récit. Le Chevalier met quelques secondes à l’imiter. L’esprit occupé par la tristesse, la colère de l’Ouroboros qui bouillonnent dans un coin de sa tête. Voir le sang dans le verre de Constantin le prend de court – il se reprend. Ce n’est pas du sang. C’est du vin. Du vin. Il frissonne discrètement.
_... Qu’avez-vous fait ? Demande-t-il, un sourire effleurant pudiquement ses lèvres.
_ … Vous avez parlé de chats, de cordages et d’apparition miraculeuse…, songe Eleanor en fronçant songeusement les sourcils, En pleine messe, avez-vous fait descendre un chat depuis les hautes poutres ? Drapé d’un drap, un ange félin venu des cieux !
Mar 28 Sep - 18:15
@Aimable E. De Bayard @Constantin de St Hilaire
Calla se contenta d’hausser un sourcil avant de s’éloigner, laissant Titi retourner à ses occupations, elle même retournant auprès du Grand Cardinal et du couple de Bayard. Du coup de l’oeil, elle avait vu Inesis quitter le bal, ce qui lui fit un poids en moins sur les épaules.
-Je saurai me débrouiller avec lui, ne vous inquiétez pas.
Elle ne savait pas comment elle voyait que danser avec lui le déplaisait. En réalité, elle n’avait aucune préférence. Si elle devait choisir, l’opportunité était trop belle. Elle avait besoin de discuter avec lui, à l’abri des oreilles indiscrètes. Et quoi de mieux qu’une piste de danse où toute l’attention sera concentrée sur comment ne pas se ridiculiser.
@Aimable E. De Bayard @Constantin de St Hilaire
Sam 2 Oct - 18:13
Écarquillant légèrement des yeux devant l'ingéniosité d'Eleanor, le Cardinal claqua des doigts et rétorqua avec enthousiasme :
▬ Oh si seulement j'y avais pensé ! Cela aurait été absolument prodigieux ! Mais non, nous n'allions tout de même pas déranger la prière !
Il reprit donc tandis que Calla se glissait à nouveau parmi eux :
▬ Non, fidèle à sa réputation de gargouille gardienne, Mère Marie-Hélène habitait tout en haut de la tour de l'abbaye. Sans doute pour être au plus près du royaume des cieux j'imagine ! Dans tous les cas, nous décidâmes de lui jouer un petit tour en plaçant une dizaine de chats dans sa chambre alors qu'elle remontait après le coup des 6 heures du soir pour se coucher. Pour se faire, à l'aide de cordages nous escaladâmes - enfin j'escaladai la tour, Côme restant en bas pour tenir la corde, jusqu'à l'unique fenêtre de la chambre à travers laquelle j'introduisis plusieurs chats. Quelle ne fut sa surprise que de découvrir dans ses appartements une armée de félins sortis de nulle part ! Et alors qu'elle les chassait, j'en replaçai d'autres quand elle avait le dos tourné avant de redescendre. Nous répétâmes ce petit jeu plusieurs fois dans les semaines qui suivirent, parfois en pleine nuit, jusqu'à ce qu'un soir un orage n'éclate en plein milieu de l'ascension de Côme. Mais loin de se décourager, ce dernier en profita pour prendre sa plus grosse voix et entre deux coups de tonnerre clamer que le Saint Esprit était en colère, que les chats étaient des créatures de Dieu elles aussi et qu'en tant que serviteuse du Tout-Puissant, il était du devoir de Soeur Marie-Hélène de s'en occuper. Hé bien figurez-vous que le lendemain, la Mère Supérieur demanda à ce que soit érigée un autel à Sainte Gertrude de Nivelles, la sainte patronne des voyageurs, des fileuses, des jardiniers... et des chats ! Conclut-il non sans une pointe de fierté. Ah c'était vraiment une autre époque !
▬ Oh si seulement j'y avais pensé ! Cela aurait été absolument prodigieux ! Mais non, nous n'allions tout de même pas déranger la prière !
Il reprit donc tandis que Calla se glissait à nouveau parmi eux :
▬ Non, fidèle à sa réputation de gargouille gardienne, Mère Marie-Hélène habitait tout en haut de la tour de l'abbaye. Sans doute pour être au plus près du royaume des cieux j'imagine ! Dans tous les cas, nous décidâmes de lui jouer un petit tour en plaçant une dizaine de chats dans sa chambre alors qu'elle remontait après le coup des 6 heures du soir pour se coucher. Pour se faire, à l'aide de cordages nous escaladâmes - enfin j'escaladai la tour, Côme restant en bas pour tenir la corde, jusqu'à l'unique fenêtre de la chambre à travers laquelle j'introduisis plusieurs chats. Quelle ne fut sa surprise que de découvrir dans ses appartements une armée de félins sortis de nulle part ! Et alors qu'elle les chassait, j'en replaçai d'autres quand elle avait le dos tourné avant de redescendre. Nous répétâmes ce petit jeu plusieurs fois dans les semaines qui suivirent, parfois en pleine nuit, jusqu'à ce qu'un soir un orage n'éclate en plein milieu de l'ascension de Côme. Mais loin de se décourager, ce dernier en profita pour prendre sa plus grosse voix et entre deux coups de tonnerre clamer que le Saint Esprit était en colère, que les chats étaient des créatures de Dieu elles aussi et qu'en tant que serviteuse du Tout-Puissant, il était du devoir de Soeur Marie-Hélène de s'en occuper. Hé bien figurez-vous que le lendemain, la Mère Supérieur demanda à ce que soit érigée un autel à Sainte Gertrude de Nivelles, la sainte patronne des voyageurs, des fileuses, des jardiniers... et des chats ! Conclut-il non sans une pointe de fierté. Ah c'était vraiment une autre époque !
PARDON POUR LES 10 LIGNES ! De toutes vous êtes pas obligés de lire, c'est Coco qui radote
@Aimable E. de Bayard & @CallaSam 2 Oct - 21:10
« Alors puisque vous avez été excellent public, passons sur la volte ! »
Danseurs comme spectateurs laissent échapper des cris de surprise. La volte ?! Cette danse que l'Église a voulu interdire ! Voilà qui promet d'être intéressant.
- Si vous vous êtes engagé.es à participer à la quatrième danse vous devez immédiatement rejoindre la piste. Vous ne pouvez pas conclure votre action/dialogue par un autre poste ici et devez vous rendre dans le bon sujet. Tout prochain post dans un autre sujet que celui de la piste impliquera que votre personnage est en retard ou a choisi de ne pas danser et aura des conséquences négatives en jeu.
- Les non danseurs ici présents peuvent commenter ce qu'il se passe et continuer leur RP à leur rythme.
- La dernière danse arrivera le samedi 9 octobre aux alentours de 21h.
Valse n°4
« Alors puisque vous avez été excellent public, passons sur la volte ! »
Danseurs comme spectateurs laissent échapper des cris de surprise. La volte ?! Cette danse que l'Église a voulu interdire ! Voilà qui promet d'être intéressant.
Les règles
- Si vous vous êtes engagé.es à participer à la quatrième danse vous devez immédiatement rejoindre la piste. Vous ne pouvez pas conclure votre action/dialogue par un autre poste ici et devez vous rendre dans le bon sujet. Tout prochain post dans un autre sujet que celui de la piste impliquera que votre personnage est en retard ou a choisi de ne pas danser et aura des conséquences négatives en jeu.
- Les non danseurs ici présents peuvent commenter ce qu'il se passe et continuer leur RP à leur rythme.
- La dernière danse arrivera le samedi 9 octobre aux alentours de 21h.
Dim 3 Oct - 13:13
Le sourire qu’affiche Eleanor trahit une malice qu’Aimable a toujours trouvé… excitante.
Elle lui a appris à rire. A voir le monde comme un jeu. La vie est une succession d’épreuves, d’obstacles à dépasser ! Elle lui a appris à aller de l’avant, aidée par Constantin et sa bienveillance. Auprès d’eux, il se sent serein, accepté, aimé, tant et si bien qu’il s’apaise malgré la vision qu’il a endurée. Son départ précipité pour la danse l’a empêché de réagir à l’histoire, il les a salués d’un geste de la main avant de s’effacer.
Quant à Eleanor, elle lève tendrement les yeux vers Constantin. Elle éclate d’un rire franc et spontané. Le sourire qui reste sur ses lèvres est l’un des plus belles lumières de la soirée. Les paupières mi-closes sur ses prunelles, elle fixe longuement le prêtre du coin des paupières en agitant le contenu de son verre.
_ Quelle bande de galopins vous étiez… Vous allez me faire croie qu’elle ne vous a pas soupçonnés ? Enfin, dîtes vous, Côme parviendrait à faire croire à une vache que le veau qui la tête n’est pas le sien…
Elle marque un silence, avant de reprendre.
_ Une anecdote d’Ulric et d’Hildegard… Êtes vous sûr de vous mon Père ? N’êtes vous pas sans savoir que de telles connaissances sont dangereuses ? Ne vous avisez pas de les leur rappeler. A mon tour de vous donner des indices…. Cela implique donc nos deux joyeux lurons. Une corvée. Une robe.
@Constantin De St HilaireElle lui a appris à rire. A voir le monde comme un jeu. La vie est une succession d’épreuves, d’obstacles à dépasser ! Elle lui a appris à aller de l’avant, aidée par Constantin et sa bienveillance. Auprès d’eux, il se sent serein, accepté, aimé, tant et si bien qu’il s’apaise malgré la vision qu’il a endurée. Son départ précipité pour la danse l’a empêché de réagir à l’histoire, il les a salués d’un geste de la main avant de s’effacer.
Quant à Eleanor, elle lève tendrement les yeux vers Constantin. Elle éclate d’un rire franc et spontané. Le sourire qui reste sur ses lèvres est l’un des plus belles lumières de la soirée. Les paupières mi-closes sur ses prunelles, elle fixe longuement le prêtre du coin des paupières en agitant le contenu de son verre.
_ Quelle bande de galopins vous étiez… Vous allez me faire croie qu’elle ne vous a pas soupçonnés ? Enfin, dîtes vous, Côme parviendrait à faire croire à une vache que le veau qui la tête n’est pas le sien…
Elle marque un silence, avant de reprendre.
_ Une anecdote d’Ulric et d’Hildegard… Êtes vous sûr de vous mon Père ? N’êtes vous pas sans savoir que de telles connaissances sont dangereuses ? Ne vous avisez pas de les leur rappeler. A mon tour de vous donner des indices…. Cela implique donc nos deux joyeux lurons. Une corvée. Une robe.
Dim 3 Oct - 21:42
Quand bien même sa chemise rouge gueularde était d'un mauvais goût et lui donnait envie de mourir, le Duc refit surface vers le buffet, le menton légèrement relevé. A la première occasion, il attrapa un gobelet rempli d'un jus de fruits et commença à zieuter les mets présents. Néanmoins, avec son appétit très complexe et ses nombreux tocs, rien ne trouva grâce à ses yeux : tout avait déjà dû être tripoté ou sali par des postillons. Le Duc de Bourgogne sirotait donc son jus dans un coin, tel un pot de fleur décorant la pièce. Avait-il envie de se sociabilisé ? Nenni.
Lun 4 Oct - 20:33
@Aimable E. de Bayard ; mention de @Guillaume de Bourgogne
Extrêmement fier d'avoir fait rire Eleanor, le Cardinal s'autorisa un nouveau petit four avant de faire un geste de la main à Aimable qui partait rejoindre la piste :
▬ Vous dansez avec votre mari pour la dernière valse ? Le meilleur pour la fin dit-on ! Et à son commentaire, répondit : Je pense que Mère Marie-Hélène nous savait stupides mais pas au point de risquer notre peau plusieurs soirs à escalader la tour pour une affaire de chats.
Intrigué par l'introduction de la rousse, l'évêque fit mine de réfléchir :
▬ Hé bien comment dire non après une telle mise en bouche ? La perspective d'Ulric ou même d'Hildegard en robe promet déjà d'être intéressante !
Du coin de l'oeil, il remarqua la présence d'une nouvelle figure. Un des danseurs qui avait malencontreusement perdu sa chemise lors de la farandole. Heureusement, il s'était changé pour un vêtement d'un rouge pour le moins ostentatoire qui n'était pas sans lui rappeler sa propre tenue. Baissant la voix, Constantin désigna discrètement du regard le messire et avec un sourire moqueur remarqua :
▬ Regardez, je crois que j'ai lancé le pourpre cardinalice à la mode. Nous sommes assortis !
▬ Vous dansez avec votre mari pour la dernière valse ? Le meilleur pour la fin dit-on ! Et à son commentaire, répondit : Je pense que Mère Marie-Hélène nous savait stupides mais pas au point de risquer notre peau plusieurs soirs à escalader la tour pour une affaire de chats.
Intrigué par l'introduction de la rousse, l'évêque fit mine de réfléchir :
▬ Hé bien comment dire non après une telle mise en bouche ? La perspective d'Ulric ou même d'Hildegard en robe promet déjà d'être intéressante !
Du coin de l'oeil, il remarqua la présence d'une nouvelle figure. Un des danseurs qui avait malencontreusement perdu sa chemise lors de la farandole. Heureusement, il s'était changé pour un vêtement d'un rouge pour le moins ostentatoire qui n'était pas sans lui rappeler sa propre tenue. Baissant la voix, Constantin désigna discrètement du regard le messire et avec un sourire moqueur remarqua :
▬ Regardez, je crois que j'ai lancé le pourpre cardinalice à la mode. Nous sommes assortis !
@Aimable E. de Bayard ; mention de @Guillaume de Bourgogne
Lun 4 Oct - 21:31
@Eve de Harcourt
Mention de @Guillaume de Bourgogne, @Constantin de St Hilaire, @Aimable E. de Bayard
Il secoue doucement la tête, tandis qu’il s’efforce de réagir positivement à la plaisanterie d’Eve qu’il suivit au buffet.
- Excusez-moi. Il y a encore des sujets difficiles à aborder, expliqua-t-il simplement.
Un verre sonnait comme une très bonne idée il était vrai. C’est ainsi que le duo de militaire contourna la piste pour rejoindre la nourriture et si le marquis tandis un verre au maréchal avant d’en prendre un à son tour, il observa le duc en bonne compagnie, offrit un hochement de la tête à quiconque croiserait son regard, avant d’observer les différents met et d’ne choisir un au hasard.
- Après l’effort, le réconfort comme on dit ? fit-il à son tour, mutin.
Un pauvre sourire, avant qu’il ne tourne la tête en direction des jardins et qu’il ne se souvienne d’un mouchoir coincé dans sa veste fermée et qui le resterait un moment.
- J’hésite à retourner profiter de la fraicheur de la soirée avant la dernière danse… fit-il simplement, une fois que Harcourt fut revenu à côté de lui.
Et s’il n’y avait pas la cours… ni leurs obligations… ha.
- Excusez-moi. Il y a encore des sujets difficiles à aborder, expliqua-t-il simplement.
Un verre sonnait comme une très bonne idée il était vrai. C’est ainsi que le duo de militaire contourna la piste pour rejoindre la nourriture et si le marquis tandis un verre au maréchal avant d’en prendre un à son tour, il observa le duc en bonne compagnie, offrit un hochement de la tête à quiconque croiserait son regard, avant d’observer les différents met et d’ne choisir un au hasard.
- Après l’effort, le réconfort comme on dit ? fit-il à son tour, mutin.
Un pauvre sourire, avant qu’il ne tourne la tête en direction des jardins et qu’il ne se souvienne d’un mouchoir coincé dans sa veste fermée et qui le resterait un moment.
- J’hésite à retourner profiter de la fraicheur de la soirée avant la dernière danse… fit-il simplement, une fois que Harcourt fut revenu à côté de lui.
Et s’il n’y avait pas la cours… ni leurs obligations… ha.
@Eve de Harcourt
Mention de @Guillaume de Bourgogne, @Constantin de St Hilaire, @Aimable E. de Bayard
Mar 5 Oct - 13:22
@Gabriel de Sercey
Il y a finalement bien plus de monde au buffet qu'elle ne l'aurait cru. Un regard vers l'ensemble des individus se trouvant là et elle décline poliment la coupe offerte avant de lui souffler.
"Il ne semble pas qu'il reste grand-monde du côté des jardins. Sûrement est-ce le moment idéal pour vous y éclipser."
De toute évidence, Eve a plus que conscience que retourner où que ce soit en sa compagnie pourrait attirer les regards. Elle lui offre un sourire rassurant.
"Donnez-vous l'opportunité de profiter pleinement de votre dernière danse. Il m'incombe de garder un oeil sur la piste."
"Il ne semble pas qu'il reste grand-monde du côté des jardins. Sûrement est-ce le moment idéal pour vous y éclipser."
De toute évidence, Eve a plus que conscience que retourner où que ce soit en sa compagnie pourrait attirer les regards. Elle lui offre un sourire rassurant.
"Donnez-vous l'opportunité de profiter pleinement de votre dernière danse. Il m'incombe de garder un oeil sur la piste."
@Gabriel de Sercey
Mar 5 Oct - 13:42
@Constantin De St Hilaire
Désolée pour les 10 lignes ;www;
Avec fierté, Eleanor hoche la tête.
_ En effet ! Je suis heureuse qu’Aimable ait pu profiter de sa soirée, confie-t-elle avec tendresse, Il… Il est toujours mal à l’aise dans ce genre d’évènements.
L’inquiétude passe, dans son regard – elle la partage à Constantin d’une œillade discrète. Son ton moqueur la surprend et elle se retient de le frapper d’un coup de coude, pouffant dans son verre en agitant ses boucles rousses.
_ En effet, vous devez vous sentir moins seul mon Père… Que voulez-vous ! Combien même tenteront-ils de vous imiter, aucun ne saura vous égaler.
Elle laisse planer un silence avant de reprendre.
_ N’êtes-vous pas sans savoir que la Dame Feu de Bayard eut été une femme d’une très grande rigueur ? Suite à la disparition de leur père, c’est d’une main de fer qu’elle a élevé la fratrie. Elle était forte, son cœur était une forteresse impénétrable et sa bouche, aussi aride de mots qu’un ruisseau en été. Le manque de richesses a contraint les De Bayard a œuvré aux corvées sans toujours compter sur l’aide de domestiques… Un jour, Marie et Hildegard avaient pour tâche de se charger du linge. Le laver, l’étendre, pour le sécher. C’était à la fin de l’hiver, alors que le printemps commençait à peine. Il faisait froid, ce jour là. Marie s’est réveillée avec de la fièvre et Ulric a proposé de s’y rendre à sa place. Il a donc accompagné Hildegard jusqu’au lavoir pour s’occuper des vêtements de la fratrie. Je vous laisse imaginer la quantité de vêtements à nettoyer, avec 8 enfants. C’est au moment d’étendre le linge… Qu’est survenu le drame.
Eleanor est d’un sérieux olympien, lorsqu’elle reprend.
_ Ulric a fait l’erreur de négliger la puissance du vent. Il a posé, négligemment, la robe de leur mère sur un fil. Quand le vent l’a emportée. Il s’agissait d’une des robes préférées de leur mère… Si elle disparaissait… C’était leur fin. Quand surgit, soudain ! Un vieux bâtard ! Le chien saisit la robe entre sa gueule et se précipite sur Hildegard. Vaillante, elle se jette sur l’animal, qui lui échappe et s’enfuit à toutes pattes vers les écuries !
Fière de son effet, Eleanor laisse durer le suspens, ses yeux tournés vers ceux de Constantin. Un sourire venant à peine d'éclore sur ses lèvres - le même que le chien a dû afficher en se baladant avec son trophée, à faire tourner en bourrique les deux esprits les plus entêtés de la fratrie.
_ En effet ! Je suis heureuse qu’Aimable ait pu profiter de sa soirée, confie-t-elle avec tendresse, Il… Il est toujours mal à l’aise dans ce genre d’évènements.
L’inquiétude passe, dans son regard – elle la partage à Constantin d’une œillade discrète. Son ton moqueur la surprend et elle se retient de le frapper d’un coup de coude, pouffant dans son verre en agitant ses boucles rousses.
_ En effet, vous devez vous sentir moins seul mon Père… Que voulez-vous ! Combien même tenteront-ils de vous imiter, aucun ne saura vous égaler.
Elle laisse planer un silence avant de reprendre.
_ N’êtes-vous pas sans savoir que la Dame Feu de Bayard eut été une femme d’une très grande rigueur ? Suite à la disparition de leur père, c’est d’une main de fer qu’elle a élevé la fratrie. Elle était forte, son cœur était une forteresse impénétrable et sa bouche, aussi aride de mots qu’un ruisseau en été. Le manque de richesses a contraint les De Bayard a œuvré aux corvées sans toujours compter sur l’aide de domestiques… Un jour, Marie et Hildegard avaient pour tâche de se charger du linge. Le laver, l’étendre, pour le sécher. C’était à la fin de l’hiver, alors que le printemps commençait à peine. Il faisait froid, ce jour là. Marie s’est réveillée avec de la fièvre et Ulric a proposé de s’y rendre à sa place. Il a donc accompagné Hildegard jusqu’au lavoir pour s’occuper des vêtements de la fratrie. Je vous laisse imaginer la quantité de vêtements à nettoyer, avec 8 enfants. C’est au moment d’étendre le linge… Qu’est survenu le drame.
Eleanor est d’un sérieux olympien, lorsqu’elle reprend.
_ Ulric a fait l’erreur de négliger la puissance du vent. Il a posé, négligemment, la robe de leur mère sur un fil. Quand le vent l’a emportée. Il s’agissait d’une des robes préférées de leur mère… Si elle disparaissait… C’était leur fin. Quand surgit, soudain ! Un vieux bâtard ! Le chien saisit la robe entre sa gueule et se précipite sur Hildegard. Vaillante, elle se jette sur l’animal, qui lui échappe et s’enfuit à toutes pattes vers les écuries !
Fière de son effet, Eleanor laisse durer le suspens, ses yeux tournés vers ceux de Constantin. Un sourire venant à peine d'éclore sur ses lèvres - le même que le chien a dû afficher en se baladant avec son trophée, à faire tourner en bourrique les deux esprits les plus entêtés de la fratrie.
@Constantin De St Hilaire
Désolée pour les 10 lignes ;www;
Jeu 7 Oct - 23:29
@Aimable E. de Bayard
Suspendu aux lèvres d'Eleanor, Constantin peinait à imaginer le grand gaillard froid qu'était Ulric se coltiner la lessive. Et pourtant cela faisait sens : de ce qu'il avait vu, personne ne rechignait à la tâche chez les De Bayard. Hommes comme femmes participaient à l'entretien d'une maison où le travail était équitablement partagé. Toutefois...
▬ Vous voulez dire qu'il a suffi d'un chien pour défaire les terribles Ulric et Hildegard ? Impossible ! Sans doute qu'une ou deux bêtes de l'écurie s'est également saisie du vêtement pour leur mettre des batons dans les roues !
Un sourire niais se dessina sur le visage du prêtre qui voyait par contre très bien les deux brutes se rouler dans la paille en jurant contre mules et moutons. Et dire qu'à l'époque Hildegard devait avoir les cheveux longs !
▬ Vous voulez dire qu'il a suffi d'un chien pour défaire les terribles Ulric et Hildegard ? Impossible ! Sans doute qu'une ou deux bêtes de l'écurie s'est également saisie du vêtement pour leur mettre des batons dans les roues !
Un sourire niais se dessina sur le visage du prêtre qui voyait par contre très bien les deux brutes se rouler dans la paille en jurant contre mules et moutons. Et dire qu'à l'époque Hildegard devait avoir les cheveux longs !
@Aimable E. de Bayard
Ven 8 Oct - 10:38
@Constantin De St Hilaire
C'est mon dernier écart pour les 10 lignes
La Mère De Bayard était une femme intransigeante… N’ayant pas les ressources que bien des Nobles pouvaient avoir, elle a élevé la fratrie d’une main de fer. Aucun De Bayard ne rechigne à la tâche, ni à se salir les mains. Côme ne fait pas exception, malgré son apparente fainéantise.
_ Et si ! Imaginez nos deux grands gaillards s’élancer à la suite de l’animal, lui ordonnant de revenir à leurs pieds ! Mais le chien était bien trop fier de son trophée. La robe si bien lavée déjà souillée de terre, voilà que l’animal se glisse dans la paille et entre les pattes des chevaux, le vêtement se souille de purin sous les yeux horrifiés de nos deux guerriers. Ni une, ni deux, Hildegard se poste à l’entrée de l’écurie alors qu’Ulric s’engouffre dans l’écurie pour y traquer le malicieux canidé… L’animal, joueur, prend peur face à l’énorme masse de l’aîné : il prend ses jambes à son cou et se précipite dans les bras d’Hildegard ! Alors qu’elle tient la bête, elle tâche de lui retirer la robe de la gueule jusqu’à ce qu’un craquement les fasse s’immobiliser. Hildegard serait restée de longues minutes avec le morceau de robe dans la main. Elle relâche le chien qui, satisfait de sa bêtise, libère le reste du vêtement avant de s’enfuir. Les deux aînés se retrouvent à contempler l’ampleur du désastre, à entendre déjà l’orage gronder au dessus de leurs têtes…
Eleanor sourit tendrement.
_ Mais vous connaissez les De Bayard. Incapables de reconnaître leur défaite, bien décidé de laver leur honneur, Ulric et Hildegard se sont unis pour retourner à la rivière laver le vêtement. Ils sont rentrés et dans la chambre qu’Hildegard partageait avec leurs sœurs, Hildegard et Ulric ont tenté de recoudre le vêtement. Malgré leurs doigts déjà couverts de corne. Malgré leur entêtement, le résultat n’est pas à hauteur de leurs efforts.
Elle entoure une mèche autour de son doigt.
_ Vous avez parlé d’apparition miraculeuse ? La leur fut leur sœur. Gwendoline. Venue leur rendre visite quelques semaines après son mariage. Alors que son mari occupait inconsciemment leur mère, Gwendoline a récupéré la robe, ses pans déchirés et s’est attelée à la tâche. En moins d’une heure, plus aucun dommage ne fut visible et la robe fut de nouveau accrochée à son fil. La seule remarque qu’eut Mme De Bayard fut de constater qu’un mauvais pli avait disparu de son vêtement, Hildegard comme Ulric furent félicités !
_ Et si ! Imaginez nos deux grands gaillards s’élancer à la suite de l’animal, lui ordonnant de revenir à leurs pieds ! Mais le chien était bien trop fier de son trophée. La robe si bien lavée déjà souillée de terre, voilà que l’animal se glisse dans la paille et entre les pattes des chevaux, le vêtement se souille de purin sous les yeux horrifiés de nos deux guerriers. Ni une, ni deux, Hildegard se poste à l’entrée de l’écurie alors qu’Ulric s’engouffre dans l’écurie pour y traquer le malicieux canidé… L’animal, joueur, prend peur face à l’énorme masse de l’aîné : il prend ses jambes à son cou et se précipite dans les bras d’Hildegard ! Alors qu’elle tient la bête, elle tâche de lui retirer la robe de la gueule jusqu’à ce qu’un craquement les fasse s’immobiliser. Hildegard serait restée de longues minutes avec le morceau de robe dans la main. Elle relâche le chien qui, satisfait de sa bêtise, libère le reste du vêtement avant de s’enfuir. Les deux aînés se retrouvent à contempler l’ampleur du désastre, à entendre déjà l’orage gronder au dessus de leurs têtes…
Eleanor sourit tendrement.
_ Mais vous connaissez les De Bayard. Incapables de reconnaître leur défaite, bien décidé de laver leur honneur, Ulric et Hildegard se sont unis pour retourner à la rivière laver le vêtement. Ils sont rentrés et dans la chambre qu’Hildegard partageait avec leurs sœurs, Hildegard et Ulric ont tenté de recoudre le vêtement. Malgré leurs doigts déjà couverts de corne. Malgré leur entêtement, le résultat n’est pas à hauteur de leurs efforts.
Elle entoure une mèche autour de son doigt.
_ Vous avez parlé d’apparition miraculeuse ? La leur fut leur sœur. Gwendoline. Venue leur rendre visite quelques semaines après son mariage. Alors que son mari occupait inconsciemment leur mère, Gwendoline a récupéré la robe, ses pans déchirés et s’est attelée à la tâche. En moins d’une heure, plus aucun dommage ne fut visible et la robe fut de nouveau accrochée à son fil. La seule remarque qu’eut Mme De Bayard fut de constater qu’un mauvais pli avait disparu de son vêtement, Hildegard comme Ulric furent félicités !
@Constantin De St Hilaire
C'est mon dernier écart pour les 10 lignes
Sam 9 Oct - 16:43
@Eve de Harcourt
Eve est bien plus raisonnable que lui et le marquis ferma un instant les yeux, préférant se ranger à la voix de la raison plutôt que d’aller à l’encontre de son état et de la logique des événements.
- Oui, je vais aller y faire un tour avant la dernière danse, la fraîcheur de la nuit me fera du bien.
A plus d’un titre d’ailleurs. Et si Gabriel ferma un instant les yeux comme s’il hésitait à rajouter quelque chose, il finit par se pencher légèrement en une salutation polie, un léger sourire un peu triste sur les lèvres avant qu’il ne tourne les talons pour rejoindre les jardins. Qu’il fut dur de pas se retourner.
- Oui, je vais aller y faire un tour avant la dernière danse, la fraîcheur de la nuit me fera du bien.
A plus d’un titre d’ailleurs. Et si Gabriel ferma un instant les yeux comme s’il hésitait à rajouter quelque chose, il finit par se pencher légèrement en une salutation polie, un léger sourire un peu triste sur les lèvres avant qu’il ne tourne les talons pour rejoindre les jardins. Qu’il fut dur de pas se retourner.
@Eve de Harcourt
Sam 9 Oct - 21:04
« Tiens, tiens, tiens, je comprends mieux pourquoi l'Eglise en veut à la volte. Certains ici ont autant de grâce qu'un phacochère ! Peut-être devrions-nous conclure sur quelque chose de plus simple ? »
Ouf, pour cette dernière valse on dirait bien que le maître de danse est occupé et qu'il n'y a ni rythme, ni danse imposés ! C'est sûrement l'occasion parfaite pour les timides et les retardataires de tenter leur chance !
- Si vous vous êtes engagé.es à participer à la cinquième danse vous devez immédiatement rejoindre la piste. Vous ne pouvez pas conclure votre action/dialogue par un autre poste ici et devez vous rendre dans le bon sujet. Tout prochain post dans un autre sujet que celui de la piste impliquera que votre personnage est en retard ou a choisi de ne pas danser et aura des conséquences négatives en jeu.
- Exceptionnellement, ceux ou celles qui n'ont pas encore de partenaires peuvent encore en inviter un ou une puis rejoindre la piste avant la fin de la danse !
- Les non danseurs ici présents peuvent commenter ce qu'il se passe et continuer leur RP à leur rythme.
- La dernière danse se terminera le samedi 15 octobre aux alentours de 21h.
Valse n°5
« Tiens, tiens, tiens, je comprends mieux pourquoi l'Eglise en veut à la volte. Certains ici ont autant de grâce qu'un phacochère ! Peut-être devrions-nous conclure sur quelque chose de plus simple ? »
Ouf, pour cette dernière valse on dirait bien que le maître de danse est occupé et qu'il n'y a ni rythme, ni danse imposés ! C'est sûrement l'occasion parfaite pour les timides et les retardataires de tenter leur chance !
Les règles
- Si vous vous êtes engagé.es à participer à la cinquième danse vous devez immédiatement rejoindre la piste. Vous ne pouvez pas conclure votre action/dialogue par un autre poste ici et devez vous rendre dans le bon sujet. Tout prochain post dans un autre sujet que celui de la piste impliquera que votre personnage est en retard ou a choisi de ne pas danser et aura des conséquences négatives en jeu.
- Exceptionnellement, ceux ou celles qui n'ont pas encore de partenaires peuvent encore en inviter un ou une puis rejoindre la piste avant la fin de la danse !
- Les non danseurs ici présents peuvent commenter ce qu'il se passe et continuer leur RP à leur rythme.
- La dernière danse se terminera le samedi 15 octobre aux alentours de 21h.
Sam 9 Oct - 21:33
C’était la dernière danse. Il n’avait pas eu assez de temps pour se remettre du choix sadique et hideux de Titi pour sa chemise rouge, mais qu’importe. Ce soir, il devait se mettre positivement en avant et augmenter sa réputation. Rester sur son incident de craquage de chemise, il avait comme un pressentiment que ce serait une très mauvaise idée. Visiblement, en entendant le ménestrel expliquer les règles de cette dernière danse, il comprit qu’à tout moment, des duos tardifs pourraient rejoindre la piste de danse. Ainsi, il décida de quitter le buffet en direction du carré des dames…
Sam 9 Oct - 22:32
@Serena de Medici
+ Mention de @Hermance de Navarre
- Je suis heureux d’avoir pu vous amuser un peu, sourit le Vicomte avant que la quatrième danse ne se termine et, après une révérence, il ne laisse Hermance avec son dernier cavalier et ne rejoigne finalement le buffet.
Il s’autorisa un soupire, s’accordant quelques minutes pour faire finalement le point sur ces trois danses et ce qui avait pu se passer pendant ce laps de temps, avant de fermer un instant les yeux et corriger sa position. Il devait se reprendre. Après tout, il ne devrait plus y avoir de souci avant la fin de la soirée.
Finalement, il regarda autour de lui, une précédente conversation lui revenant à l’esprit. Heureusement il ne tarda pas à repérer la jeune femme, seule, et à la rejoindre.
- Madame ? fit-il doucement à Serena.
Autour pour attirer son attention que pour chercher ses mots. Après tout, ils ne s’étaient pas vraiment quittés… Ha…
- Si le cœur vous en dit toujours, je serais honoré de vous offrir une meilleure danse que la première.
Il s’autorisa un soupire, s’accordant quelques minutes pour faire finalement le point sur ces trois danses et ce qui avait pu se passer pendant ce laps de temps, avant de fermer un instant les yeux et corriger sa position. Il devait se reprendre. Après tout, il ne devrait plus y avoir de souci avant la fin de la soirée.
Finalement, il regarda autour de lui, une précédente conversation lui revenant à l’esprit. Heureusement il ne tarda pas à repérer la jeune femme, seule, et à la rejoindre.
- Madame ? fit-il doucement à Serena.
Autour pour attirer son attention que pour chercher ses mots. Après tout, ils ne s’étaient pas vraiment quittés… Ha…
- Si le cœur vous en dit toujours, je serais honoré de vous offrir une meilleure danse que la première.
@Serena de Medici
+ Mention de @Hermance de Navarre
Sam 9 Oct - 23:18
@Antoine de Saulx
Les premières danses passées, une certaine quiétude avait enfin envahi les autres lieux que la piste de danse. Tous ces couples semblaient charmants, et elle devait admettre ne pas regretter avoir échappé à ces sautillements, profitant d’un répit mérité sans se mêler au reste de la foule.
Aussi fut-elle surprise lorsque la danse suivante fut annoncée de… trouver ce fameux Antoine à ses côtés pour honorer une promesse qu’il n’avait pas faite. Pire encore, n’avait-elle pas froissé ce jeune homme quelques instants auparavant ? Elle relève les yeux sur lui, quelque chose de curieux dans le regard et finit par lui offrir un sourire léger.
« Vous m’honorez, Monsieur. » Souffle-t-elle doucement en venant glisser sa main doucement contre la paume du Vicomte pour l’entraîner jusqu’à la piste de danse.
Aussi fut-elle surprise lorsque la danse suivante fut annoncée de… trouver ce fameux Antoine à ses côtés pour honorer une promesse qu’il n’avait pas faite. Pire encore, n’avait-elle pas froissé ce jeune homme quelques instants auparavant ? Elle relève les yeux sur lui, quelque chose de curieux dans le regard et finit par lui offrir un sourire léger.
« Vous m’honorez, Monsieur. » Souffle-t-elle doucement en venant glisser sa main doucement contre la paume du Vicomte pour l’entraîner jusqu’à la piste de danse.
@Antoine de Saulx
- Liste de danse de Serena de Medici:
- 1
2 Antoine de Saulx
3 Gabriel de Sercey
4
5 Antoine de Saulx
Dim 10 Oct - 0:24
Mentions de @Calla ; @Amaury de Bray & @Eve de Harcourt
Lorsque la quatrième danse se termine, Adam ressent comme le début d'un regret. Il trouve cette Calla bien intéressante, peut-être d'ailleurs un peu trop pour une simple demoiselle. Mais après tout, quoi de plus normal que le Grand Cardinal soit bien entouré ?
Ayant entraperçu du coin de l'oeil son adelphe en marge de la piste, c'est au buffet que le Comte se rend. Il y croise d'ailleurs l'évêque désormais seul et le salue à nouveau d'un hochement de tête respectueux.
▬ Vous avez une bien fascinante cousine Votre Excellence. Affirme-t-il avant de scruter la foule du regard, à la recherche d'Eve ou d'Amaury.
Ayant entraperçu du coin de l'oeil son adelphe en marge de la piste, c'est au buffet que le Comte se rend. Il y croise d'ailleurs l'évêque désormais seul et le salue à nouveau d'un hochement de tête respectueux.
▬ Vous avez une bien fascinante cousine Votre Excellence. Affirme-t-il avant de scruter la foule du regard, à la recherche d'Eve ou d'Amaury.
Mentions de @Calla ; @Amaury de Bray & @Eve de Harcourt
Dim 10 Oct - 15:04
@Adam de Harcourt et double tag sur @Constantin de St Hilaire & mention de @Victoire de France et @Aymeric Ruiz
Laissant au bal le droit d’expirer son dernier souffle, Eve ne cherche en aucun cas à trouver une nouvelle cavalière. Bien au contraire, c’est quiet et en marge de tous qu’elle surveille d’un œil le dernier cavalier de sa Majesté, peu encline à laisser les choses déraper.
Sûrement était-elle trop absorbée pour ne pas réaliser immédiatement la présence de sa moitié à proximité. Tournant le regard vers Adam se tenant auprès du Grand Cardinal, elle fait le choix scient de rejoindre son frère, glissant ses doigts contre son bras pour lui signaler sa présence sans s’annoncer davantage. Siamois glissés l’un contre l’autre, Eve offre un sourire pudique à l’homme d’église.
« Votre Excellence. Je craignais de ne trouver d’instant convenable pour vous offrir mes hommages. » Puis plus doucement, lançant un regard à Adam avant de reporter son attention pleinement sur Constantin. « Je suis néanmoins ravi de vous voir en compagnie de mon frère. »
Fallait-il faire mention de l'inconvenance de la danse précédente ? Certainement pas.
Sûrement était-elle trop absorbée pour ne pas réaliser immédiatement la présence de sa moitié à proximité. Tournant le regard vers Adam se tenant auprès du Grand Cardinal, elle fait le choix scient de rejoindre son frère, glissant ses doigts contre son bras pour lui signaler sa présence sans s’annoncer davantage. Siamois glissés l’un contre l’autre, Eve offre un sourire pudique à l’homme d’église.
« Votre Excellence. Je craignais de ne trouver d’instant convenable pour vous offrir mes hommages. » Puis plus doucement, lançant un regard à Adam avant de reporter son attention pleinement sur Constantin. « Je suis néanmoins ravi de vous voir en compagnie de mon frère. »
Fallait-il faire mention de l'inconvenance de la danse précédente ? Certainement pas.
@Adam de Harcourt et double tag sur @Constantin de St Hilaire & mention de @Victoire de France et @Aymeric Ruiz
Dim 10 Oct - 17:04
@Eve de Harcourt
Occupé par Eleanor et ayant grandi dans son petit village où les moeurs étaient peut-être un peu plus libres, Constantin sera le dernier à s'indigner du programme du maître de danse. C'était, à vrai dire, à peine s'il avait remarqué la volte et si d'ailleurs il avait vu quelques mollets se découvrir, il n'en aura rien pensé de particulier. Le petit père avait connu (avait commis) bien pire dans sa jeunesse loin des règles parisiennes et de la bienséance nobiliaire.
Aussi notre évêque contempla-t-il un instant le Comte de Harcourt, rapidement rejoint par son double, le Maréchal et cligna un instant des yeux, se demandant s'il n'avait pas un peu trop poussé sur la boisson au point de voir double.
▬ Oh euh oui... Calla est un peu timide, mais je pense qu'elle n'est pas encore habituée aux coutumes françaises mais c'est une demoiselle absolument charmante. Balbutia-t-il en réponse à Adam avant de se tourner vers son frère : Maréchal bonsoir. J'espère que tout se passe à votre convenance.
Ses yeux faisaient des allers-et-retours entre les deux jumeaux et d'une voix candide. le prêtre ne put s'empêcher de remarquer :
▬ Quel cadeau du ciel que de venir au monde à deux ! Lui qui avait toujours rêvé avoir une famille nombreuse songeait au grand bonheur que c'était d'avoir une moitié sur terre et de par définition ne jamais pouvoir se sentir seul. Il rougit légèrement et reprit une gorgée de son breuvage en baissant les yeux. Oh pardonnez-moi, c'est toujours un choc de vous voir tous les deux ensemble.
Aussi notre évêque contempla-t-il un instant le Comte de Harcourt, rapidement rejoint par son double, le Maréchal et cligna un instant des yeux, se demandant s'il n'avait pas un peu trop poussé sur la boisson au point de voir double.
▬ Oh euh oui... Calla est un peu timide, mais je pense qu'elle n'est pas encore habituée aux coutumes françaises mais c'est une demoiselle absolument charmante. Balbutia-t-il en réponse à Adam avant de se tourner vers son frère : Maréchal bonsoir. J'espère que tout se passe à votre convenance.
Ses yeux faisaient des allers-et-retours entre les deux jumeaux et d'une voix candide. le prêtre ne put s'empêcher de remarquer :
▬ Quel cadeau du ciel que de venir au monde à deux ! Lui qui avait toujours rêvé avoir une famille nombreuse songeait au grand bonheur que c'était d'avoir une moitié sur terre et de par définition ne jamais pouvoir se sentir seul. Il rougit légèrement et reprit une gorgée de son breuvage en baissant les yeux. Oh pardonnez-moi, c'est toujours un choc de vous voir tous les deux ensemble.
@Eve de Harcourt
Dim 10 Oct - 19:44
@Constantin de St Hilaire et mon bébou @Adam de Harcourt pcq j'aime bien te spammer de tags.
Il n’y a pas vraiment de surprise sur le minois du Maréchal lorsque l’étonnement de l’ecclésiaste se fait plus évident. Pas avec elle, pas avec eux. Ils avaient bien trop l’habitude d’être si similaires que leurs traits prêtaient à la confusion. Un sourire compatissant et Eve peut admettre sans la moindre peine qu’elle n’a que rarement autant approuvé les propos du Saint Hilaire.
« Je n’aurai changé les choses pour rien au monde. Il n’est aucun doute que le Seigneur a béni de sa Grâce notre naissance. »
Et si les mots sont aussi mielleux que le demande le protocole, le regard que la Petrova lance à son reflet, ce sourire heureux qu’elle lui adresse, il n’y a qu’à lui qu’elle l’accorde en ce bas monde. Elle n’aurait changé les conditions de sa naissance pour rien au monde. Qu’importe les maux et les cicatrices que leur vie leur avait infligée par le passé.
« Il n’est de plus beau présent du Ciel qu’un frère à ses côtés. »
Il n’y a pas le moindre ressentiment dans ses propos, qu’importe ce que les mois passés ont créé à ce sentiment d’abandon qui depuis refuse de la lâcher. Andrei était désormais à ses côtés, rien de plus ne saurait lui être nécessaire. Elle ne garde pourtant pas le sujet sur eux deux et rajoute plus poliment.
« De plus, je crois avoir compris que vous êtes un membre adoptif de la grande fratrie de Bayard. Il n’est parfois plus juste famille que celle que l’on a soi-même choisie. »
« Je n’aurai changé les choses pour rien au monde. Il n’est aucun doute que le Seigneur a béni de sa Grâce notre naissance. »
Et si les mots sont aussi mielleux que le demande le protocole, le regard que la Petrova lance à son reflet, ce sourire heureux qu’elle lui adresse, il n’y a qu’à lui qu’elle l’accorde en ce bas monde. Elle n’aurait changé les conditions de sa naissance pour rien au monde. Qu’importe les maux et les cicatrices que leur vie leur avait infligée par le passé.
« Il n’est de plus beau présent du Ciel qu’un frère à ses côtés. »
Il n’y a pas le moindre ressentiment dans ses propos, qu’importe ce que les mois passés ont créé à ce sentiment d’abandon qui depuis refuse de la lâcher. Andrei était désormais à ses côtés, rien de plus ne saurait lui être nécessaire. Elle ne garde pourtant pas le sujet sur eux deux et rajoute plus poliment.
« De plus, je crois avoir compris que vous êtes un membre adoptif de la grande fratrie de Bayard. Il n’est parfois plus juste famille que celle que l’on a soi-même choisie. »
@Constantin de St Hilaire et mon bébou @Adam de Harcourt pcq j'aime bien te spammer de tags.