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Mer 21 Juil - 23:34
Preux navigateurs que sont ces deux-là. Lorsqu'enfin l'heureuse cloche de leur victoire retentit, c'est avec le naturel de ceux qui ont vécu dans l'insouciance que June étreint Layla, baisant la joue de sa tante avec un rire empli d'ivresse.
"Je pourrais presque plaindre les pauvres diables que nous avons allègrement coulés."
Repoussant tendrement une mèche brune ayant collé aux joues si joliment dessinée de l'ottomane, June lui décoche un clin d’œil plein d'un amusement tout retrouvé.
"Venez donc, ma tante. Il est bien des coeurs que votre ligne ainsi trempée saura faire chavirer." Chantonne-t-il dans la langue de leurs terres oubliées.
Pied enfin mis à terre, s'il ne tend pas sa main à Layla pour l'aider à descendre de leur embarcation - ne serait-elle pas furieuse d'être traitée de créature fragile lorsqu'elle était presque née à flot des eaux ? -, c'est malgré tout son bras qu'il lui offre tout en dignité, la raccompagnant tranquillement jusqu'aux festivités.
@Hélène de Constantinople
"Je pourrais presque plaindre les pauvres diables que nous avons allègrement coulés."
Repoussant tendrement une mèche brune ayant collé aux joues si joliment dessinée de l'ottomane, June lui décoche un clin d’œil plein d'un amusement tout retrouvé.
"Venez donc, ma tante. Il est bien des coeurs que votre ligne ainsi trempée saura faire chavirer." Chantonne-t-il dans la langue de leurs terres oubliées.
Pied enfin mis à terre, s'il ne tend pas sa main à Layla pour l'aider à descendre de leur embarcation - ne serait-elle pas furieuse d'être traitée de créature fragile lorsqu'elle était presque née à flot des eaux ? -, c'est malgré tout son bras qu'il lui offre tout en dignité, la raccompagnant tranquillement jusqu'aux festivités.
@Hélène de Constantinople
Mer 21 Juil - 23:41
La fête bat son plein. Boulets de canons et individus joyeusement mis à l'eau la font applaudir d'une joie fraîchement retrouvée. Joues rougies de contentement et d'ivresse mêlée, c'est au bras de Janvier qu'elle aura assisté - et commenté toutes les stratégies - quand bien même elle n'y connaît absolument rien --. Allant pourtant de sa petite remarque, elle se sera esclaffée à la chute tonitruante du Grand Cardinal - non sans un signe de croix - et aura poussé contre le biceps du lycan lorsqu'un homme brun un peu trop prétentieux à son goût - oula, a-t-elle seulement vu au bras de qui elle se tenait - finit par couler comme dans un mauvais roman à l'eau de rose.
Oh, il y a bien des choses qu'elle ne se permet pas de souligner. Comme le fait qu'il est malgré tout un peu cocasse de voir la Reine ainsi jetée à l'eau. Ou bien toutes ces donzelles poussées hors de leurs embarcations.
"Je n'ai sincèrement aucun regret d'être restée avec toi."
Non, comment pouvait-elle ne pas être heureuse lorsque pour la première fois depuis bien longtemps ils passaient un moment agréable sans une quelconque menace pour les apeurer - enfin, elle, surtout -.
"Hmm... Je crois que la fête va bientôt être terminée..." Une pause et elle ose demander, relevant le nez vers lui, un sourire timide sur les lèvres. "Est-ce que tu crois qu'il y aura un bal pour la mariée...?"
Oh, elle, tendre la perche pour se faire inviter à danser ? Oui. Absolument.
@JanvierOh, il y a bien des choses qu'elle ne se permet pas de souligner. Comme le fait qu'il est malgré tout un peu cocasse de voir la Reine ainsi jetée à l'eau. Ou bien toutes ces donzelles poussées hors de leurs embarcations.
"Je n'ai sincèrement aucun regret d'être restée avec toi."
Non, comment pouvait-elle ne pas être heureuse lorsque pour la première fois depuis bien longtemps ils passaient un moment agréable sans une quelconque menace pour les apeurer - enfin, elle, surtout -.
"Hmm... Je crois que la fête va bientôt être terminée..." Une pause et elle ose demander, relevant le nez vers lui, un sourire timide sur les lèvres. "Est-ce que tu crois qu'il y aura un bal pour la mariée...?"
Oh, elle, tendre la perche pour se faire inviter à danser ? Oui. Absolument.
Mer 21 Juil - 23:53
Stanislava ne put s'empêcher malgré elle de sourire en apprenant que son camp avait gagné la bataille haut la main. Mais peu étonnant au vu de leur réactivité. Elle chercha du regard Victoire mais se détourna de son but quelques instants lorsqu'un jeune homme, plutôt joli garçon, l'aborda pour lui demander si tout va bien.
-Oh, c'est très aimable à vous. Mais je saurai me débrouiller, ne vous en faites pas pour moi.
Elle lui adressa un sourire poli avant de repérer à nouveau Victoire et de se diriger vers elle, emportant de quoi l'aider à se sécher.
-Votre Majesté ! Tenez, de quoi vous sécher.
Elle déposa les couvertures mises à disposition sur les épaules de la souveraine.
-Hm... J'espère que cette activité vous aura permis de vous détendre un peu, lui souffla-t-elle d'un petit sourire.
@Victoire de France @Jean d'Hostun
-Oh, c'est très aimable à vous. Mais je saurai me débrouiller, ne vous en faites pas pour moi.
Elle lui adressa un sourire poli avant de repérer à nouveau Victoire et de se diriger vers elle, emportant de quoi l'aider à se sécher.
-Votre Majesté ! Tenez, de quoi vous sécher.
Elle déposa les couvertures mises à disposition sur les épaules de la souveraine.
-Hm... J'espère que cette activité vous aura permis de vous détendre un peu, lui souffla-t-elle d'un petit sourire.
@Victoire de France @Jean d'Hostun
Jeu 22 Juil - 1:43
@Eudes de Cluny @Lisbeth Corey
Bien entendu, je n'attends pas bien longtemps avant de commencer à engloutir mon gobelet. Le premier de la matinée, imaginez ! Si c'est pas la preuve que j'ai été sage !
Mais la question de mon comparse me prend si brutalement au dépourvu que je manque de m'étouffer avec mon verre. C'est donc en postillonnant et en toussant sur Eudes que je bredouille :
▬ Qu-qué ?! Hum je... oui ? Non ? Enfin c'est compliqué ! Bien sûr que j'apprécie Calla même quand elle essaye de me tuer (c'est-à-dire 90% du temps) mais de là à parler d'amour ! Quoique, il faut être un peu fou amoureux pour trainer avec une chasseuse de l'Église souterraine non ? Je n'ai jamais vu les choses sous cette angle et me voilà maintenant pensif malgré moi. Alors je laisse Eudes continuer, avalant une nouvelle fois de travers quand il me suggère naïvement de lui « partager mes sentiments » en chanson. Oh si tu savais combien de fois j'ai essayé mon ami, mais c'est une vraie sauvage cette femme ! Una salvaje te dis-je ! Tiens pas plus tard que la dernière fois, elle m'embrassait passionnément et pouf de nulle paf, elle sort une dague pour me planter avec ! Ai-je raconté avec de grands gestes de mains exagérés, résumant grossièrement la scène de notre dernière entrevue. Non et puis, je la connais la Calla, si je lui fais la sérénade elle va essayer de me faire bouffer ma guitare par le nez et j'y tiens à ma guitare (et à mon joli nez aussi) !
Toutefois, un détail a attiré mon attention. Passant une main autour des épaules du moine, je le rapporte de moi et lui gratte les cheveux parce que oh oh oh tiens tiens tiens, il cache bien son jeu celui-là !
▬ Allons, allons, allons toi une demoiselle ?! Les traditions se perdent alors ! Le voeu de chasteté ce n'est plus ce que c'était ! Attends laisse-moi deviner à quoi elle ressemblait... Je regarde les dames présentes. Était-elle plutôt douce et mutine comme la Dame d'Orléans ? Ou froide et grande comme la mariée ? Charmante et menue comme sa belle-fille ? Ou carrément une excentrique pleine de fougue comme cette ottomane qui sort de l'eau ?
Non, mon regard s'arrête sur une créature mouillée et muette, se tenant à l'écart des autres convives avec un carnet à la main. Je la pointe du doigt sans gêne et m'exclame : Allez comme elle ! Discrète, petite, brune, un peu sur la réserve mais en réalité très coquine. Jolie, mais sans plus ! Peut-être avec des tâches de rousseur aussi ! Et plus dodue ! C'est mignon les bourrelets sur une femme !
Et sur moi aussi bien évidemment !
Mais la question de mon comparse me prend si brutalement au dépourvu que je manque de m'étouffer avec mon verre. C'est donc en postillonnant et en toussant sur Eudes que je bredouille :
▬ Qu-qué ?! Hum je... oui ? Non ? Enfin c'est compliqué ! Bien sûr que j'apprécie Calla même quand elle essaye de me tuer (c'est-à-dire 90% du temps) mais de là à parler d'amour ! Quoique, il faut être un peu fou amoureux pour trainer avec une chasseuse de l'Église souterraine non ? Je n'ai jamais vu les choses sous cette angle et me voilà maintenant pensif malgré moi. Alors je laisse Eudes continuer, avalant une nouvelle fois de travers quand il me suggère naïvement de lui « partager mes sentiments » en chanson. Oh si tu savais combien de fois j'ai essayé mon ami, mais c'est une vraie sauvage cette femme ! Una salvaje te dis-je ! Tiens pas plus tard que la dernière fois, elle m'embrassait passionnément et pouf de nulle paf, elle sort une dague pour me planter avec ! Ai-je raconté avec de grands gestes de mains exagérés, résumant grossièrement la scène de notre dernière entrevue. Non et puis, je la connais la Calla, si je lui fais la sérénade elle va essayer de me faire bouffer ma guitare par le nez et j'y tiens à ma guitare (et à mon joli nez aussi) !
Toutefois, un détail a attiré mon attention. Passant une main autour des épaules du moine, je le rapporte de moi et lui gratte les cheveux parce que oh oh oh tiens tiens tiens, il cache bien son jeu celui-là !
▬ Allons, allons, allons toi une demoiselle ?! Les traditions se perdent alors ! Le voeu de chasteté ce n'est plus ce que c'était ! Attends laisse-moi deviner à quoi elle ressemblait... Je regarde les dames présentes. Était-elle plutôt douce et mutine comme la Dame d'Orléans ? Ou froide et grande comme la mariée ? Charmante et menue comme sa belle-fille ? Ou carrément une excentrique pleine de fougue comme cette ottomane qui sort de l'eau ?
Non, mon regard s'arrête sur une créature mouillée et muette, se tenant à l'écart des autres convives avec un carnet à la main. Je la pointe du doigt sans gêne et m'exclame : Allez comme elle ! Discrète, petite, brune, un peu sur la réserve mais en réalité très coquine. Jolie, mais sans plus ! Peut-être avec des tâches de rousseur aussi ! Et plus dodue ! C'est mignon les bourrelets sur une femme !
Et sur moi aussi bien évidemment !
@Eudes de Cluny @Lisbeth Corey
Jeu 22 Juil - 1:56
@June van Heil @Diane d'Orléans @Eve de Harcourt
Quand bien même Hélène n'est pas insatisfaite de sa performance, elle reste quelque peu contrariée par la perte de sa boucle d'oreille ainsi que par l'état déplorable de sa tenue et de sa coiffure toutes deux ruinées par l'eau.
▬ Humpf j'aimerais bien savoir qui est le malin qui m'a coulée. Et où a filé ce gredin d'Ignacio mais ne parlons pas de choses qui fâchent, d'autant plus que le baiser de June a pour effet d'adoucir son humeur.
Attrapant volontiers la main offerte de son neveu, la madame pose un pied assuré sur la rive et lui sourit tendrement en se glissant sous son bras avant d'hausser les épaules :
▬ Bah toute l'attention doit être sur Madame d'Orléans et les autres dames mouillées ! Elle a bien entendu remarqué les oeillades du Comte de Harcourt à l'égard de Diane et quand bien même ses servantes l'entourent déjà de serviettes, l'ottomane se rapproche du Maréchal et de son jumeau pour les féliciter : Bravo pour votre victoire en couple messires ! Avec un tel talent de stratège la bonne tenue des armées de France est rassurée !
Elle en profite au passage pour faire un geste de la main à Diane, l'invitant à se laisser entrainer par June vers un endroit où elles pourront se changer car avec tout ça, la forme de leurs dessous est apparente du corset jusqu'aux jupons ! Scandaleux !
▬ Humpf j'aimerais bien savoir qui est le malin qui m'a coulée. Et où a filé ce gredin d'Ignacio mais ne parlons pas de choses qui fâchent, d'autant plus que le baiser de June a pour effet d'adoucir son humeur.
Attrapant volontiers la main offerte de son neveu, la madame pose un pied assuré sur la rive et lui sourit tendrement en se glissant sous son bras avant d'hausser les épaules :
▬ Bah toute l'attention doit être sur Madame d'Orléans et les autres dames mouillées ! Elle a bien entendu remarqué les oeillades du Comte de Harcourt à l'égard de Diane et quand bien même ses servantes l'entourent déjà de serviettes, l'ottomane se rapproche du Maréchal et de son jumeau pour les féliciter : Bravo pour votre victoire en couple messires ! Avec un tel talent de stratège la bonne tenue des armées de France est rassurée !
Elle en profite au passage pour faire un geste de la main à Diane, l'invitant à se laisser entrainer par June vers un endroit où elles pourront se changer car avec tout ça, la forme de leurs dessous est apparente du corset jusqu'aux jupons ! Scandaleux !
@June van Heil @Diane d'Orléans @Eve de Harcourt
Jeu 22 Juil - 2:10
@Diane d'Orléans @Eve de Harcourt
Il n'y a, selon Adam, rien de surprenant à ce que les jumeaux aient sans scrupules raflé la victoire. C'est bien l'ordre naturel des choses. Quand il est avec Eve, rien ne peut l'arrêter et il est bon de rappeler ce point à Paris toute entière même s'il ne s'agit qu'au fond d'un jeu ridicule.
C'est à deux d'ailleurs qu'ils aident la ravissante Madame d'Orléans à regagner la terre ferme, Adam lui offrant sa main en l'avertissant également :
▬ Attention à ne pas glisser très chère, appuyez-vous donc sur nous.
Et occupé à dévorer du regard la physicienne, il laisse son adelphe aider une autre jolie jeune femme blonde quand une dame à la peau trop foncée à son goût ne leur adresse la parole. Adam la détaille un instant sans un sourire et touche sa propre oreille :
▬ Il vous manque une boucle Ma Dame. Il est complètement insensible au compliment ainsi qu'au sourire de cette étrangère qui lui évoque malgré elle une époque pénible passée à lutter contre ses semblables tout à l'Est de l'Europe. Prenez garde, votre maquillage a coulé. Ajoute-t-il même en détournant le regard comme indisposé par sa présence.
Non vraiment Adam n'est aimable que lorsque cela l'arrange.
C'est à deux d'ailleurs qu'ils aident la ravissante Madame d'Orléans à regagner la terre ferme, Adam lui offrant sa main en l'avertissant également :
▬ Attention à ne pas glisser très chère, appuyez-vous donc sur nous.
Et occupé à dévorer du regard la physicienne, il laisse son adelphe aider une autre jolie jeune femme blonde quand une dame à la peau trop foncée à son goût ne leur adresse la parole. Adam la détaille un instant sans un sourire et touche sa propre oreille :
▬ Il vous manque une boucle Ma Dame. Il est complètement insensible au compliment ainsi qu'au sourire de cette étrangère qui lui évoque malgré elle une époque pénible passée à lutter contre ses semblables tout à l'Est de l'Europe. Prenez garde, votre maquillage a coulé. Ajoute-t-il même en détournant le regard comme indisposé par sa présence.
Non vraiment Adam n'est aimable que lorsque cela l'arrange.
@Diane d'Orléans @Eve de Harcourt
Jeu 22 Juil - 13:37
La fin de l'activité avait sonné avec une certaine satisfaction pour une partie des gens présents. Il était certain que les occupants du petit bateau qu'était le leur en faisaient parti, tandis qu'ils rejoignaient doucement la rive et le plancher des vaches et que les résultats de ce petite jeu leurs étaient offerts.
- Permettez que je vous aide à retrouver la rive sans malencontreux accident? propose-t-il à ses deux passagers, tandis qu'il offre sa main à Béatrice pour lui permettre de passer en toute sécurité.
Du bleu attire son attention, et bientôt Eve se tient de l'autre côté, offrant également son aide à la jeune femme. Le marquis ne peut s'empêcher de sourire, sourire d'autant plus présent qu'Eve rayonne son bonheur. Et c'était le genre de chose qui avait tendance à facilement déteindre sur les autres.
- Félicitation Comte de Harcourt. Une victoire digne de notre Maréchal.
Son autre main se tendit en une invitation auprès de Lycoris, à qui il adressa un léger sourire.
A la guerre comme à la guerre. Ce petit combat avait été remporté d'une main de maître.
@Eve de Harcourt, @Béatrice Botherel, @Lycoris Lýgur
- Permettez que je vous aide à retrouver la rive sans malencontreux accident? propose-t-il à ses deux passagers, tandis qu'il offre sa main à Béatrice pour lui permettre de passer en toute sécurité.
Du bleu attire son attention, et bientôt Eve se tient de l'autre côté, offrant également son aide à la jeune femme. Le marquis ne peut s'empêcher de sourire, sourire d'autant plus présent qu'Eve rayonne son bonheur. Et c'était le genre de chose qui avait tendance à facilement déteindre sur les autres.
- Félicitation Comte de Harcourt. Une victoire digne de notre Maréchal.
Son autre main se tendit en une invitation auprès de Lycoris, à qui il adressa un léger sourire.
A la guerre comme à la guerre. Ce petit combat avait été remporté d'une main de maître.
@Eve de Harcourt, @Béatrice Botherel, @Lycoris Lýgur
Jeu 22 Juil - 15:18
Un peu à l'écart des invités mais restant tout de même un peu au soleil, Ignacio avait un peu triché en usant - très discrètement - de ses pouvoirs pour se sécher. Il avait profité que tout le monde soit encore concentré sur la bataille pour le faire, de la vapeur s'était brièvement dégagée de sa peau. Il avait prit une couverture pour faire bonne figure avant de revenir près de la rive pour observer la suite et la fin de la bataille navale. Une activité somme toute très amusante. Il était bien content d'y avoir participé, même s'il faisait parti des premiers éjectés. Ca lui avait permis de boire une petite coupe de vin.
La bataille terminée, il se rapprocha de la rive mais surtout de June et de Layla.
-Une très belle victoire, tu ne trouves pas? souffla-t-il au suédois avant de se tourner vers l'ottomane. Un verre de vin pour vous réchauffer un peu, ma chère ?
De la provocation? Si peu. Ignacio adorait taquiner. C'était dans sa nature et plus fort que lui. Ca se retourna contre lui un jour, il le savait.
@June van Heil @Hélène de ConstantinopleLa bataille terminée, il se rapprocha de la rive mais surtout de June et de Layla.
-Une très belle victoire, tu ne trouves pas? souffla-t-il au suédois avant de se tourner vers l'ottomane. Un verre de vin pour vous réchauffer un peu, ma chère ?
De la provocation? Si peu. Ignacio adorait taquiner. C'était dans sa nature et plus fort que lui. Ca se retourna contre lui un jour, il le savait.
Jeu 22 Juil - 16:52
@Titi @Gabriel de Sercey @Eve de Harcourt @Diane d'Orléans @Eudes de Cluny
Et juste ainsi, leur petite promenade maritime prit fin tandis que leur embarcation amarra sur terre. Foule de gens s’y pressaient déjà, et Béatrice se rappela sous la vision de ces belles robes luxueuses que la sienne n’avait pas eu le temps de sécher. Tandis que le rouge lui montait aux joues, elle regarda mi-désolée mi-amusée les deux mains tendues à son honneur : celle du marquis et celle d’un autre homme d’une beauté tout aussi époustouflante. Elle ne le connaissait pas mais le devinait noble sans difficulté.
Le maréchal des armées...
Hésitant un instant, presque paniquée, elle finit par les saisir toutes les deux pour se sortir de l’embarcation, de peur qu’un choix ne froisse l’autre.
Avec un petit rire devant la mention du saint plancher, songeant que Constantin crierait sans doute au blasphème s’il était là (où avait-il atterri, d’ailleurs ?), elle dit à l’intention du comte Harcourt :
— Merci Messire. Et, se tournant vers Gabriel, elle ajouta, toujours amusée : Merci, Messire.
S’en suivit un festival de courbette au jumeau du Maréchal, à l’autre dame près de celui-ci, et puis encore l’autre da —
— Ma dame, s’exclama-t-elle doucement quand elle reconnut Diane d’Orléans.
Ils furent bientôt attirés d’un côté un peu plus éloigné des festivités, et Béatrice se fit envieuse. Cela signifiait-il que son frère, Charles, était dans les parages ? Elle l’ajouta à sa liste de personne à saluer, lui et la petite Iris.
— Mes félicitations pour votre victoire, Maréchal, ajouta-t-elle affable. À vous, et votre frère. Elle lança un regard à celui-ci, à quelques mètres. C’était une belle bataille.
Bon, maintenant, où était Constantin ? Aux dernières nouvelles, il se noyait à moitié dans le lac et elle préférait voir par elle-même qu’il avait bien recraché toute l’eau avalée.
— ... Si vous le permettez, je m’inquiète pour un ami que j’ai vu tomber à l’eau durant la partie. Je vais donc partir à sa recherche pour ma propre tranquillité d’esprit. Elle disait la chose sur le ton de la rigolade, mais avec lui, on se savait jamais. Merci beaucoup de votre compagnie, Monsieur de Sercey. Quant à vous Maréchal, ce fut un plaisir.
Avec un dernier sourire, une dernière courbette, elle se retira, devinant qu’il devait se remettre de ses émotions près des délicieuses crêpes... Qu’elle n’avait toujours pas goûté. Où était Sara, d’ailleurs ? Elle ne l’avait vu sur aucun bateau, avait-elle été dans le camp adverse ? Avec la distance, on voyait mal où l’on tirait : elle espérait ne pas avoir tiré sur un bateau lui appartenant.
Juste alors qu’elle regardait à droite et gauche, s’avançant bon gré mal gré, son regard se posa tout net sur un visage familier... Mais pas celui qu’elle cherchait. Celui du ménestrel itinérant avec qui elle avait fui quelque gredin dans les rues de Paris.
— Oh, c’est vous.
Son regard tomba sur son doigt pointé dans sa direction, devinant qu'elle était passée devant l'objet de son intérêt. Elle se retourna pour l'apercevoir, mais n'était pas plus renseignée en vu du monde derrière eux.
— Laissez-moi deviner, commença-t-elle d'un ton taquin, c'est une femme que vous désignez ainsi ?
Le maréchal des armées...
Hésitant un instant, presque paniquée, elle finit par les saisir toutes les deux pour se sortir de l’embarcation, de peur qu’un choix ne froisse l’autre.
Avec un petit rire devant la mention du saint plancher, songeant que Constantin crierait sans doute au blasphème s’il était là (où avait-il atterri, d’ailleurs ?), elle dit à l’intention du comte Harcourt :
— Merci Messire. Et, se tournant vers Gabriel, elle ajouta, toujours amusée : Merci, Messire.
S’en suivit un festival de courbette au jumeau du Maréchal, à l’autre dame près de celui-ci, et puis encore l’autre da —
— Ma dame, s’exclama-t-elle doucement quand elle reconnut Diane d’Orléans.
Ils furent bientôt attirés d’un côté un peu plus éloigné des festivités, et Béatrice se fit envieuse. Cela signifiait-il que son frère, Charles, était dans les parages ? Elle l’ajouta à sa liste de personne à saluer, lui et la petite Iris.
— Mes félicitations pour votre victoire, Maréchal, ajouta-t-elle affable. À vous, et votre frère. Elle lança un regard à celui-ci, à quelques mètres. C’était une belle bataille.
Bon, maintenant, où était Constantin ? Aux dernières nouvelles, il se noyait à moitié dans le lac et elle préférait voir par elle-même qu’il avait bien recraché toute l’eau avalée.
— ... Si vous le permettez, je m’inquiète pour un ami que j’ai vu tomber à l’eau durant la partie. Je vais donc partir à sa recherche pour ma propre tranquillité d’esprit. Elle disait la chose sur le ton de la rigolade, mais avec lui, on se savait jamais. Merci beaucoup de votre compagnie, Monsieur de Sercey. Quant à vous Maréchal, ce fut un plaisir.
Avec un dernier sourire, une dernière courbette, elle se retira, devinant qu’il devait se remettre de ses émotions près des délicieuses crêpes... Qu’elle n’avait toujours pas goûté. Où était Sara, d’ailleurs ? Elle ne l’avait vu sur aucun bateau, avait-elle été dans le camp adverse ? Avec la distance, on voyait mal où l’on tirait : elle espérait ne pas avoir tiré sur un bateau lui appartenant.
Juste alors qu’elle regardait à droite et gauche, s’avançant bon gré mal gré, son regard se posa tout net sur un visage familier... Mais pas celui qu’elle cherchait. Celui du ménestrel itinérant avec qui elle avait fui quelque gredin dans les rues de Paris.
— Oh, c’est vous.
Son regard tomba sur son doigt pointé dans sa direction, devinant qu'elle était passée devant l'objet de son intérêt. Elle se retourna pour l'apercevoir, mais n'était pas plus renseignée en vu du monde derrière eux.
— Laissez-moi deviner, commença-t-elle d'un ton taquin, c'est une femme que vous désignez ainsi ?
- Résumé:
- — Béa quitte enfin le bateau et se rappelle qu'elle a été arrosée d'eau en soulevant Lycoris hors de celle-ci.
— Elle prend les deux mains d'Eve et Gabriel parce que why not both, et salue toutes les personnes présentes autour d'eux : Gabriel est populaire alors il y a du monde.
— Même un peu trop de monde à son goût, du coup elle va chercher Constantin qui buvait la tasse aux dernières nouvelles. Elle se demande aussi où est passée Sara.
— Au final, elle passe devant Titi qui montre quelqu'un du doigt et lui fait la conversation.
@Titi @Gabriel de Sercey @Eve de Harcourt @Diane d'Orléans @Eudes de Cluny
Jeu 22 Juil - 21:36
@Titi @Béatrice Botherel
Avoir réussi à décontenancer Titi, même une seconde, peint un petit sourire satisfait sur tes lèvres -grandement aidé par l’alcool, sans quoi tu n’oserais même pas le moquer si ouvertement. Mais pour une fois que c’était lui qui se faisait tourner en bourrique, tu t’en délectais.
(plus délicieux encore que tous les mets devant vous)
Tu fais un pas de côté pour éviter de te prendre une beigne lors de son explication: décidément, le barde était bien agité quand il s’agissait de cette soi-disante ‘sauvage’, ce qui ne fait que poindre plus de malice sur ton visage. “Une dague ??” D’habitude, tu serais horrifié par ce récit, et pourtant, c’est avec un grand sourire que tu le demandes. Peut-être que c’était bien ce genre de caractère fort qu’il fallait pour tenir tête à Titi.
(difficile de croire que d’une manière ou d’une autre, il n’avait pas cherché ce coup de poignard)
Tu trinques à cette pensée, manquant de te renverser le fond de ta coupe dessus en te faisant prendre en étaux par ton compagnon d’infortune. Même en te débattant, impossible de t’en défaire, et ce qu’il dit manque de te faire cracher ta gorgée sur lui. “C’était avant que je prenne mes vœux !” t’exclames-tu trop fort pour ne pas immédiatement le regretter.
Tu abandonnes, suivant anxieusement le regard du barde sur l’assemblée que tu observes enfin; bien de nouvelles têtes avaient -des fois littéralement- émergées depuis que tu avais posé le nez sur le buffet, et les jolies femmes ne manquaient pas.
(quelle horrible influence il peut avoir sur toi !)
Et voilà que ton cœur bat à la chamade avant même que Titi n’en désigne une. Pire encore, alors qu’il est occupé à déballer des insanités, toi, tu vois arriver la jeune femme aux cheveux blonds, alors tu te remets à te débattre comme une poule dans la gueule d’un renard. “P-pas du tout ! Je ne suis pas comme ça--” Ce n’est pas à lui que tu t’adresses, mais à la nouvelle venue dans votre conversation. “Pardonnez-le-- il est insortable-”
Tu n’as pas souvent recours à la violence, mais il le faut bien si tu veux te sortir de cette position gênante: tu pinces ses poignées d’amour à travers son pourpoint le plus fort possible.
(Dieu te le pardonnera)
(plus délicieux encore que tous les mets devant vous)
Tu fais un pas de côté pour éviter de te prendre une beigne lors de son explication: décidément, le barde était bien agité quand il s’agissait de cette soi-disante ‘sauvage’, ce qui ne fait que poindre plus de malice sur ton visage. “Une dague ??” D’habitude, tu serais horrifié par ce récit, et pourtant, c’est avec un grand sourire que tu le demandes. Peut-être que c’était bien ce genre de caractère fort qu’il fallait pour tenir tête à Titi.
(difficile de croire que d’une manière ou d’une autre, il n’avait pas cherché ce coup de poignard)
Tu trinques à cette pensée, manquant de te renverser le fond de ta coupe dessus en te faisant prendre en étaux par ton compagnon d’infortune. Même en te débattant, impossible de t’en défaire, et ce qu’il dit manque de te faire cracher ta gorgée sur lui. “C’était avant que je prenne mes vœux !” t’exclames-tu trop fort pour ne pas immédiatement le regretter.
Tu abandonnes, suivant anxieusement le regard du barde sur l’assemblée que tu observes enfin; bien de nouvelles têtes avaient -des fois littéralement- émergées depuis que tu avais posé le nez sur le buffet, et les jolies femmes ne manquaient pas.
(quelle horrible influence il peut avoir sur toi !)
Et voilà que ton cœur bat à la chamade avant même que Titi n’en désigne une. Pire encore, alors qu’il est occupé à déballer des insanités, toi, tu vois arriver la jeune femme aux cheveux blonds, alors tu te remets à te débattre comme une poule dans la gueule d’un renard. “P-pas du tout ! Je ne suis pas comme ça--” Ce n’est pas à lui que tu t’adresses, mais à la nouvelle venue dans votre conversation. “Pardonnez-le-- il est insortable-”
Tu n’as pas souvent recours à la violence, mais il le faut bien si tu veux te sortir de cette position gênante: tu pinces ses poignées d’amour à travers son pourpoint le plus fort possible.
(Dieu te le pardonnera)
- Résumé:
- - Eudes gueule un peu trop fort qu'il a fait des choses avant de prendre ses voeux
- Il n'écoute plus Titi et essaie de justifier leur conversation sur ses goûts (supposés) en matière de femme à Béatrice
- Il s'en prend au poignée d'amour de Titi pour qu'il le lâche
@Titi @Béatrice Botherel
Jeu 22 Juil - 23:49
@Constantin de St Hilaire (merci pour la crêpe \o/)
Si Emilien est plutôt content d’avoir retrouvé la terre ferme, il doit avouer être un peu déçu qu’aucun de ses boulets n’ait touché sa cible. Mais très heureux d’entendre que c’est l’équipe à laquelle il appartenait qui a remporté ce jeu. Certes, ça ne lui rapportait rien, mais la sensation était agréable. Tout à ses pensées, il lui fallut un moment pour se rendre compte que quelqu’un se tenait à ses côtés et, lorsqu’il leva la tête dans la direction de l’homme, il se rendit compte que non seulement il s’agissait de celui qui avait crié une partie du jeu, mais surtout de l’homme ayant célébré le mariage.
Emilien resta un moment à le regarder, les yeux tout ronds, avant de se redresser en avisant la crêpe qu’il lui tendait.
– Je veux bien, je vous remercie.
Un sourire et Emilien tendit la main, oubliant un instant qu’il dégoulinait littéralement, ce qui stoppa son mouvement au vol furent les gouttes qui s’écrasèrent sur le sol. Il afficha une grimace et, après une hésitation, prit la crêpe.
– Vous avez vu, notre équipe a gagné.
Un peu d’enthousiasme ne faisait pas de mal, loin de là après tout.
Emilien resta un moment à le regarder, les yeux tout ronds, avant de se redresser en avisant la crêpe qu’il lui tendait.
– Je veux bien, je vous remercie.
Un sourire et Emilien tendit la main, oubliant un instant qu’il dégoulinait littéralement, ce qui stoppa son mouvement au vol furent les gouttes qui s’écrasèrent sur le sol. Il afficha une grimace et, après une hésitation, prit la crêpe.
– Vous avez vu, notre équipe a gagné.
Un peu d’enthousiasme ne faisait pas de mal, loin de là après tout.
Ven 23 Juil - 21:49
Je suis tombée à l'eau, notre dernière embarcation s'est faite canarder de tous les côtés et voici venue l'annonce officielle de notre défaite. Reste maintenant à rejoindre la rive à la nage, une tâche assez simple vu que je me suis toujours sentie à l'aise dans l'eau - c'est l'avantage d'avoir grandit à La Haye. Il me faut toutefois reconnaître que c'est un peu plus compliqué de nager avec une robe sur le dos, ayant surtout eu l'habitude de me baigner dévêtue avec ma sœur et les autres filles du quartier. Complication ou non, il ne me faut pas longtemps avant de rejoindre la berge.
Si me faire jeter à l'eau m'a bien amusée, me retrouver trempée jusqu'aux os à la vue de tous est une expérience beaucoup moins agréable ; c'est pourquoi je m'empresse de me mettre un peu en retrait de la foule et m'attèle à essorer au mieux ma robe gorgée d'eau.
Une fois ma besogne terminée, je m'assied sous un arbre, toujours en retrait, jambes contre ma poitrine et bras autour des genoux, afin d'observer les gens profiter des festivités et, accessoirement, de laisser le soleil finir de me sécher. Où est Béatrice, tiens ? S'est-elle amusée autant que moi ? Avec tout ça, nous n'avons même pas encore pu profiter des crêpes et mon ventre ne se prive pas de me le rappeler à grand renfort de gargouillements. Ça ne peut plus durer, j'irai rendre une petite visite au buffet dès que je serai à nouveau présentable.
Résumé :
✗ Sara sort de l'eau, s'éloigne de la foule et fait son asociale sous un arbre.
✗ Puis elle attend de sécher, aussi, parce que voilà, quoi, l'eau ça mouille.
✗ Elle pense à Béatrice (comme toujours winkwink) et aux crêpes.
✗ Dès qu'elle sera sèche, elle ira ENFIN en goûter une.
Je suis tombée à l'eau, notre dernière embarcation s'est faite canarder de tous les côtés et voici venue l'annonce officielle de notre défaite. Reste maintenant à rejoindre la rive à la nage, une tâche assez simple vu que je me suis toujours sentie à l'aise dans l'eau - c'est l'avantage d'avoir grandit à La Haye. Il me faut toutefois reconnaître que c'est un peu plus compliqué de nager avec une robe sur le dos, ayant surtout eu l'habitude de me baigner dévêtue avec ma sœur et les autres filles du quartier. Complication ou non, il ne me faut pas longtemps avant de rejoindre la berge.
Si me faire jeter à l'eau m'a bien amusée, me retrouver trempée jusqu'aux os à la vue de tous est une expérience beaucoup moins agréable ; c'est pourquoi je m'empresse de me mettre un peu en retrait de la foule et m'attèle à essorer au mieux ma robe gorgée d'eau.
Une fois ma besogne terminée, je m'assied sous un arbre, toujours en retrait, jambes contre ma poitrine et bras autour des genoux, afin d'observer les gens profiter des festivités et, accessoirement, de laisser le soleil finir de me sécher. Où est Béatrice, tiens ? S'est-elle amusée autant que moi ? Avec tout ça, nous n'avons même pas encore pu profiter des crêpes et mon ventre ne se prive pas de me le rappeler à grand renfort de gargouillements. Ça ne peut plus durer, j'irai rendre une petite visite au buffet dès que je serai à nouveau présentable.
Résumé :
✗ Sara sort de l'eau, s'éloigne de la foule et fait son asociale sous un arbre.
✗ Puis elle attend de sécher, aussi, parce que voilà, quoi, l'eau ça mouille.
✗ Elle pense à Béatrice (comme toujours winkwink) et aux crêpes.
✗ Dès qu'elle sera sèche, elle ira ENFIN en goûter une.
Sam 24 Juil - 2:27
@Eudes de Cluny @Béatrice Botherel
Est-ce que c'est misogyne si je dis que les femmes ont quand même un instinct de groupe absolument incroyable ? Genre limite animal. Dîtes du mal de l'une, vous pouvez être sûr que dans les secondes qui suivent une autre va rappliquer pour vous rabattre le caquet. Non mais c'est fou ça, je ne l'ai pourtant pas sonnée cette blonde qui vient grossièrement m'interrompre alors que je ris grassement du malaise de ce pauvre Eudes en train de mollement se débattre contre moi. Pour quelqu'un qui passe sa vie à marcher, il n'est pas bien vigoureux celui-là ! Et je n'ai même pas le temps de rebondir sur cette fameuse, cette délicieuse révélation sur ce qu'il a pu faire avant ses voeux que la demoiselle m'adresse la parole.
▬ Bella ! Je retiens toujours un joli minois. Surtout quand il est accompagné d'un tempérament aussi mordant. J'en lâche même le moine pour me redresser tout droit l'air de rien car non, non demoiselle, je ne faisais pas de bêtises, pas de chahut, je suis un garçon sage pas vrai ! Une femme ? Battement de cils. Dommage que ses vêtements ne soient pas trempés parce qu'elle vient clairement, littéralement de débarquer. Pourquoi je regarderai d'autres femmes quand j'ai la plus mignonne devant m-AÏEUH ! Le petit couinement qui s'échappe de ma bouche est provoqué par une sournoise attaque à mon gras, mon précieux gras qui me tient si chaud l'hiver et me donne cet adorable petit ventre rebondi. PAS LÀ ! Je lâche alors prise et jette un regard offusqué au bénédictin, au traitre qui ose s'en prendre à mes parties sensibles. Insortable ? Ce n'est pas moi qui tripote les autres invités ! Ai-je grondé en partant malgré moi vers l'aigu et en soufflant par le nez.
Tiens en guise de punition je chipe le moelleux qu'il a gardé entre les mains et croque dedans. C'est après tout bien mérité ! Et la bouche pleine je reprends la conversation avec la demoiselle tant qu'à faire :
▬ Alors vous ch'avez gagné ou perdu ?
Bon d'accord, peut-être que je suis un tout petit peu insortable mais après tout je suis ni noble, ni prêtre, ni bon à marier. Je fais absolument ce que je veux !
▬ Bella ! Je retiens toujours un joli minois. Surtout quand il est accompagné d'un tempérament aussi mordant. J'en lâche même le moine pour me redresser tout droit l'air de rien car non, non demoiselle, je ne faisais pas de bêtises, pas de chahut, je suis un garçon sage pas vrai ! Une femme ? Battement de cils. Dommage que ses vêtements ne soient pas trempés parce qu'elle vient clairement, littéralement de débarquer. Pourquoi je regarderai d'autres femmes quand j'ai la plus mignonne devant m-AÏEUH ! Le petit couinement qui s'échappe de ma bouche est provoqué par une sournoise attaque à mon gras, mon précieux gras qui me tient si chaud l'hiver et me donne cet adorable petit ventre rebondi. PAS LÀ ! Je lâche alors prise et jette un regard offusqué au bénédictin, au traitre qui ose s'en prendre à mes parties sensibles. Insortable ? Ce n'est pas moi qui tripote les autres invités ! Ai-je grondé en partant malgré moi vers l'aigu et en soufflant par le nez.
Tiens en guise de punition je chipe le moelleux qu'il a gardé entre les mains et croque dedans. C'est après tout bien mérité ! Et la bouche pleine je reprends la conversation avec la demoiselle tant qu'à faire :
▬ Alors vous ch'avez gagné ou perdu ?
Bon d'accord, peut-être que je suis un tout petit peu insortable mais après tout je suis ni noble, ni prêtre, ni bon à marier. Je fais absolument ce que je veux !
@Eudes de Cluny @Béatrice Botherel
- Résumé:
- :mais: à l'attaque d'Eudes
intérieurement mais extérieurement à Béa
le moelleux d'Eudes
Sam 24 Juil - 2:40
@June van Heil @Ignacio Hernandez
La réponse plus que sèche du Comte de Harcourt fait l'effet à Hélène d'un verre d'eau jeté à la figure. Prise au dépourvu, l'ottomane sent ses joues s'empourprer et bredouille quelques excuses maladroites avant de se retirer et d'essuyer le noir sous ses yeux d'un revers de manche.
C'est sans compter le retour d'Ignacio qui décidément a bien choisi son moment pour pointer le bout de son nez. Immédiatement, Hélène croise les bras sur sa poitrine comme si elle craignait de trop en révéler quand bien même c'est déjà toute sa silhouette qui visible.
▬ Si tu avais un tant soit peu de considération à mon égard, tu te souviendrais que je ne bois pas ! Réplique-t-elle dans un espagnol bien meilleur que son français. En effet, si le Grand Cardinal en personne l'a baptisée, Hélène reste fidèle à bien des préceptes de sa terre natale.
Un détail la frappe. Pourquoi est-il entièrement sec ? A-t-il déjà eu le temps de se changer et de faire sécher ses cheveux. Elle fronce les sourcils :
▬ À qui as-tu dérobé ces habits de rechange ? L'accuse-t-elle en tapotant plus ou moins discrètement le bras de son neveu dans l'espoir qu'il comprenne qu'elle n'a absolument aucune envie de rester une seconde de plus dans cet état avec ce grossier personnage.
C'est sans compter le retour d'Ignacio qui décidément a bien choisi son moment pour pointer le bout de son nez. Immédiatement, Hélène croise les bras sur sa poitrine comme si elle craignait de trop en révéler quand bien même c'est déjà toute sa silhouette qui visible.
▬ Si tu avais un tant soit peu de considération à mon égard, tu te souviendrais que je ne bois pas ! Réplique-t-elle dans un espagnol bien meilleur que son français. En effet, si le Grand Cardinal en personne l'a baptisée, Hélène reste fidèle à bien des préceptes de sa terre natale.
Un détail la frappe. Pourquoi est-il entièrement sec ? A-t-il déjà eu le temps de se changer et de faire sécher ses cheveux. Elle fronce les sourcils :
▬ À qui as-tu dérobé ces habits de rechange ? L'accuse-t-elle en tapotant plus ou moins discrètement le bras de son neveu dans l'espoir qu'il comprenne qu'elle n'a absolument aucune envie de rester une seconde de plus dans cet état avec ce grossier personnage.
@June van Heil @Ignacio Hernandez
- Résumé:
- Battre en retraite devant Adamn, tomber sur Ignanope et envoyer des signes par la pensée à June qu'il faut entamer une manoeuvre d'Ignaciao.
Sam 24 Juil - 13:47
La demoiselle avait la gentillesse de le rembarrer… gentiment. Mais Jean se trouva stupide et ses oreilles rougirent un peu. Quand il vit @Stanislava Braginsky fuir auprès de la reine, Jean fut pris de stresse. C’était une proche de la reine. S’était-il seulement bien comporté ? Il lui semblait. Jean avait envie de se jeter dans le lac pour s’y cacher.
En tournant le regard ailleurs, il vit de plus en plus de monde revenir par ici. La partie était donc terminée. Chacun s’affairait à se sécher ou à s’occuper de son prochain. Jean pensait être inutile et il cherchait Aimable du regard avec l’espoir d’échanger quelques mots ensemble. Mais son instinct protecteur fut le plus fort et il repéra une demoiselle en difficulté. Ni une, ni deux, il trouva une couverture qu’il emmena avec lui.
La demoiselle était toute recroquevillée sur elle-même sous un arbre. Elle n’allait pas sécher à ce rythme-là et allait attraper la mort. Oh ! Mais c’était @Sara van Helzen avec qui il avait partagé sa dernière embarcation avant d’être éliminé. Regagnant en confiance, il s’approchait tout guilleret.
— Tenez, dit-il en tendant la couverture. Vous avez très bien joué.
Il arborait son sourire de chevalier servant à toute épreuve.
En tournant le regard ailleurs, il vit de plus en plus de monde revenir par ici. La partie était donc terminée. Chacun s’affairait à se sécher ou à s’occuper de son prochain. Jean pensait être inutile et il cherchait Aimable du regard avec l’espoir d’échanger quelques mots ensemble. Mais son instinct protecteur fut le plus fort et il repéra une demoiselle en difficulté. Ni une, ni deux, il trouva une couverture qu’il emmena avec lui.
La demoiselle était toute recroquevillée sur elle-même sous un arbre. Elle n’allait pas sécher à ce rythme-là et allait attraper la mort. Oh ! Mais c’était @Sara van Helzen avec qui il avait partagé sa dernière embarcation avant d’être éliminé. Regagnant en confiance, il s’approchait tout guilleret.
— Tenez, dit-il en tendant la couverture. Vous avez très bien joué.
Il arborait son sourire de chevalier servant à toute épreuve.
Sam 24 Juil - 14:11
Noah ne pensait/voulait pas attire l’attention sur lui et pourtant on vint lui parler. C’était une sale journée pour lui, pourquoi venait-on l’enquiquiner maintenant ? Il leva les yeux sur cette grande perche aux cheveux d’un blond surprenant. En plus son accent était bizarre.
— Mouais. Ch’connaissais pas aussi.
Est-ce que Noah avait une tête à taper la discute avec le premier venu ? En y regardant de plus près, cet homme n’était pas trop mal habillé. Mouillés, il avait l’air tout aussi piteux que Noah bien sûr. C’était une maigre satisfaction que de voir les habits de tous ces noblaillon en triste état. Peut-être la seule chose positive de cette journée.
— Mouais. Ch’connaissais pas aussi.
Est-ce que Noah avait une tête à taper la discute avec le premier venu ? En y regardant de plus près, cet homme n’était pas trop mal habillé. Mouillés, il avait l’air tout aussi piteux que Noah bien sûr. C’était une maigre satisfaction que de voir les habits de tous ces noblaillon en triste état. Peut-être la seule chose positive de cette journée.
Sam 24 Juil - 15:03
La manière de parler de cet homme était bien étrange. Ne devait-on pas dire « non plus » lorsqu’il s’agissait de négation ? Mihnea était un tantinet perplexe. Et le Ch’, qu’était-ce ? Une façon de dire moi ? Mihnea avait beau connaître la langue. Il y avait des choses qui lui étaient inconnues. Mais il n’était pas stupide et comprenait le sens des mots tout de même. Il était seulement perplexe.
Plus proche de celui qui était assis au sol, il pouvait mieux voir ses cicatrices. Et à en juger par la gravité, c’était un miracle qu’il soit en vie. Toutefois cela n’existait pas. Les miracles. La seule explication probable tenait dans le fait qu’il n’était pas humain. Et ce devait être un sacré accident pour que cela cicatrice aussi mal. Fouillant sa mémoire, Mihnea ne trouva pas d’informations concernant un tel blessé. Il ne faisait donc pas partie des personnes disparues durant la guerre. Tant mieux. En réalité il y avait peu de chances d’en trouver ici. Pour preuve, son père n’y était pas non plus. Au moins il avait pu mettre des noms sur des visages. Sa journée n’était pas perdue.
— Bonne fin de journée, Monsieur.
Mihnea tourna les talons aussi simplement. Il allait voir s’il hésitait à traîner encore dans les parages en espionnant un peu les autres ou s’il rentrait chez lui.
Plus proche de celui qui était assis au sol, il pouvait mieux voir ses cicatrices. Et à en juger par la gravité, c’était un miracle qu’il soit en vie. Toutefois cela n’existait pas. Les miracles. La seule explication probable tenait dans le fait qu’il n’était pas humain. Et ce devait être un sacré accident pour que cela cicatrice aussi mal. Fouillant sa mémoire, Mihnea ne trouva pas d’informations concernant un tel blessé. Il ne faisait donc pas partie des personnes disparues durant la guerre. Tant mieux. En réalité il y avait peu de chances d’en trouver ici. Pour preuve, son père n’y était pas non plus. Au moins il avait pu mettre des noms sur des visages. Sa journée n’était pas perdue.
— Bonne fin de journée, Monsieur.
Mihnea tourna les talons aussi simplement. Il allait voir s’il hésitait à traîner encore dans les parages en espionnant un peu les autres ou s’il rentrait chez lui.
Sam 24 Juil - 17:55
Incroyable ! Diane faisait partie du camp des vainqueurs ! Son cher @Charles d'Orléans avait-il assisté à cela depuis le rivage ? Était-il fière de sa sœur ? Certes, elle ne faisait pas partie du podium, mais elle avait réussi à inverser la tendance alors qu’on avait essayé de la couler….
Le sourire de la dame d’Orléans était presque enfantin et elle sentit même le rose lui monter aux joues. Il était assez rare qu’elle se prenne à ce genre de jeux… Et puis elle avait également une petite dualité en elle : la honte d’être restée jusqu’au bout alors qu’une partie de son équipage avait été éliminé le tour précédent. Le pauvre Duc @Alaric de Normandie n’avait pas réussi à aller jusqu’au bout de la partie…
Alors que tous les joueurs à bord de leurs embarcations rejoignaient le rivage, la physicienne songea à son amie ottomane et au Duc. Mais bien vite ses pensées furent occupées par le duo des Harcourt qui avait été tout simplement brillant lors de cette activité. Sans oublier qu’ils lui avaient réservé un accueil qu’elle n’était pas prête d’oublier. L'un des frères, @Eve de Harcourt, se préoccupa en premier de son sort, tout juste suivi du deuxième. Encore toute amusée par cette partie, elle s’adressa à eux deux avec enthousiasme alors qu’on l’aida à débarquer :
- Je vous remercie de m’avoir prise sous vos ailes pour aller jusqu’au bout de ce jeu. Et toutes mes félicitations pour votre victoire écrasante, vous avez tout simplement dominé cette partie. Puis elle s’adressa plus particulièrement à @Adam de Harcourt : Je suis navrée pour votre manteau, je l’ai quelques peu ruiné, mouillée comme j’étais. Je vous garantie qu’il vous reviendra plus tard avec son allure éclatante.
Sur ces belles paroles, son amie et également dame de compagnie de la reine, @Hélène de Constantinople, les rejoignit. Un échange peu agréable se déroula entre elle et l’un des Harcourt, ce qui mit mal à l’aise l'ottomane et la poussa à fuir. Alors que son sourire se crispa sur son visage, @Béatrice Botherel la salua. Elle fit de même, se souvenant de la charmante journée qu’elles avaient passé avec Charles et Iris.
Petit à petit, des groupes se formèrent ou se séparèrent. La physicienne voulut chercher son frère le duc d’Orléans du regard, mais elle ne parvint pas à le trouver. Elle quitta le duo des Harcourt en les félicitant une dernière fois. C’est qu’elle était tout de même dans une tenue plus qu’incorrecte pour son rang et elle venait seulement de se rendre compte à quel point sa toilette dévoilait sa féminité. Elle s'agrippa au manteau d’Adam tandis qu’elle rejoignit l’espace aménagé pour que les dames puissent se changer.
Le sourire de la dame d’Orléans était presque enfantin et elle sentit même le rose lui monter aux joues. Il était assez rare qu’elle se prenne à ce genre de jeux… Et puis elle avait également une petite dualité en elle : la honte d’être restée jusqu’au bout alors qu’une partie de son équipage avait été éliminé le tour précédent. Le pauvre Duc @Alaric de Normandie n’avait pas réussi à aller jusqu’au bout de la partie…
Alors que tous les joueurs à bord de leurs embarcations rejoignaient le rivage, la physicienne songea à son amie ottomane et au Duc. Mais bien vite ses pensées furent occupées par le duo des Harcourt qui avait été tout simplement brillant lors de cette activité. Sans oublier qu’ils lui avaient réservé un accueil qu’elle n’était pas prête d’oublier. L'un des frères, @Eve de Harcourt, se préoccupa en premier de son sort, tout juste suivi du deuxième. Encore toute amusée par cette partie, elle s’adressa à eux deux avec enthousiasme alors qu’on l’aida à débarquer :
- Je vous remercie de m’avoir prise sous vos ailes pour aller jusqu’au bout de ce jeu. Et toutes mes félicitations pour votre victoire écrasante, vous avez tout simplement dominé cette partie. Puis elle s’adressa plus particulièrement à @Adam de Harcourt : Je suis navrée pour votre manteau, je l’ai quelques peu ruiné, mouillée comme j’étais. Je vous garantie qu’il vous reviendra plus tard avec son allure éclatante.
Sur ces belles paroles, son amie et également dame de compagnie de la reine, @Hélène de Constantinople, les rejoignit. Un échange peu agréable se déroula entre elle et l’un des Harcourt, ce qui mit mal à l’aise l'ottomane et la poussa à fuir. Alors que son sourire se crispa sur son visage, @Béatrice Botherel la salua. Elle fit de même, se souvenant de la charmante journée qu’elles avaient passé avec Charles et Iris.
Petit à petit, des groupes se formèrent ou se séparèrent. La physicienne voulut chercher son frère le duc d’Orléans du regard, mais elle ne parvint pas à le trouver. Elle quitta le duo des Harcourt en les félicitant une dernière fois. C’est qu’elle était tout de même dans une tenue plus qu’incorrecte pour son rang et elle venait seulement de se rendre compte à quel point sa toilette dévoilait sa féminité. Elle s'agrippa au manteau d’Adam tandis qu’elle rejoignit l’espace aménagé pour que les dames puissent se changer.
- Résumé:
- - Merci les Harcourt pour votre karma et votre gentillesse <3
- Promis elle rendra le manteau d'Adam tout beau tout propre
- Elle voulait papoter avec Hélène mais elle a fuit
- Elle a fait coucou à Béatrice
- Elle va se changer avant de créer de nouveau ragots à son égard
Mar 27 Juil - 19:56
Ça ne sèche pas aussi vite que je l'aurais espéré mais un jeune homme vient à moi avec une couverture entre les mains, ce même jeune homme qui a trouvé refuge sur notre embarcation au cours de l'activité.
Oh ! Merci, monsieur.
En voilà une charmante attention ! Je lui rends son sourire et m'enroule dans sa couverture sans attendre, contente et tout aussi reconnaissante : grâce à sa bienveillance, je peux à présent soustraire mes vêtements trempés à la vue de la foule et me sécher. Et comme si monsieur n'était pas encore assez aimable, il m'a également offert un compliment à l'égard de ma performance durant la bataille navale ; un compliment que je ne pense pas mériter mais que je rends volontiers avec un sourire de circonstance.
Vous vous êtes très bien débrouillé également.
Il s'est bien débrouillé et a même écopé jusqu'à ce que notre embarcation se fasse canarder.. tout de même, j'avais déjà assisté à des jeux de bateaux mais c'est la première fois que j'ai la chance d'y participer et j'ose espérer que ce ne sera pas la dernière.
Pas trop déçu que nous ayons perdu ?
C'est sans doute une question bête, parce que j'ai du mal à l'imaginer frustré à cause d'un jeu, mais je ne voulais pas laisser le silence s'installer et je n'ai pas trouvé mieux à demander - c'est que je n'ai jamais été très habile en matière de conversation avec les inconnus.
Résumé :
✗ Sara fait la conversation avec @Jean d'Hostun
✗ Elle est nulle en matière de conversation
Ça ne sèche pas aussi vite que je l'aurais espéré mais un jeune homme vient à moi avec une couverture entre les mains, ce même jeune homme qui a trouvé refuge sur notre embarcation au cours de l'activité.
Oh ! Merci, monsieur.
En voilà une charmante attention ! Je lui rends son sourire et m'enroule dans sa couverture sans attendre, contente et tout aussi reconnaissante : grâce à sa bienveillance, je peux à présent soustraire mes vêtements trempés à la vue de la foule et me sécher. Et comme si monsieur n'était pas encore assez aimable, il m'a également offert un compliment à l'égard de ma performance durant la bataille navale ; un compliment que je ne pense pas mériter mais que je rends volontiers avec un sourire de circonstance.
Vous vous êtes très bien débrouillé également.
Il s'est bien débrouillé et a même écopé jusqu'à ce que notre embarcation se fasse canarder.. tout de même, j'avais déjà assisté à des jeux de bateaux mais c'est la première fois que j'ai la chance d'y participer et j'ose espérer que ce ne sera pas la dernière.
Pas trop déçu que nous ayons perdu ?
C'est sans doute une question bête, parce que j'ai du mal à l'imaginer frustré à cause d'un jeu, mais je ne voulais pas laisser le silence s'installer et je n'ai pas trouvé mieux à demander - c'est que je n'ai jamais été très habile en matière de conversation avec les inconnus.
Résumé :
✗ Sara fait la conversation avec @Jean d'Hostun
✗ Elle est nulle en matière de conversation
Dim 8 Aoû - 20:07
L'activité étant terminée, tous les personnages ayant participé recevront 200 pièces chacun. Merci beaucoup pour votre participation !
Activité 1
L'activité étant terminée, tous les personnages ayant participé recevront 200 pièces chacun. Merci beaucoup pour votre participation !
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