Lun 11 Oct - 11:19
@Amaury de Bray
Liste de Merill :
Ticket 1 : UN PEON
Ticket 2 : Ignacio
Ticket 3 : Ignacio
Ticket 4 : //
Ticket 5 : Amaury de Brest
Faisant en sorte de combler la carence des mouvements de son partenaire avec les siens, Merill tâche de rendre mémorable cette dernière danse. Il était... Adorable ! Oui, voilà, c'était le mot qu'elle cherchait. Adorable. Son sourire ne la quittait toujours pas et, laissant ses yeux dériver de temps à autre sur les couples autour d'eux ou au plafond, elle revint les planter dans ceux d'Amaury, qui pourrait y lire toute l'intensité de son âme s'il y prêtait attention. "Vous êtes libre de croire mes paroles ou de penser que je ne suis qu'une menteuse, très cher. Sachez seulement que je dis toujours ce que je pense." Merill aimait complimenter les gens, ne serait-ce que pour la gentillesse du geste.
"Disons que mon métier ne me permet pas souvent ce genre de faste, alors... quand j'ai l'occasion de m'y perdre un peu, je n'hésites pas !" Un rire. "Mais j'imagine que cela doit être bien différent pour vous."
@Amaury de Bray
Liste de Merill :
Ticket 1 : UN PEON
Ticket 2 : Ignacio
Ticket 3 : Ignacio
Ticket 4 : //
Ticket 5 : Amaury de Brest
Lun 11 Oct - 11:24
Résumé :
@Aymeric Ruiz
Allons bon. Elle en avait connu, des personnes au regard aussi dur que l'âme. L'un de ses beaux-fils, bien plus âgés qu'elle par ailleurs, ne l'avait pas mieux regardé lors de son arrivé à la cour de Hohenzollern. Et pourtant, avec sa sincérité et sa patience, elle était arrivée, sinon à s'en faire apprécier, au moins à établir le dialogue. Victoire ne désespérait pas déjà.
"Ne répondez que ce que vous voulez répondre. Je ne vous oblige à rien." Ne resterait entre eux qu'une banalité affligeante, mais si cela doit en être ainsi, c'est que Dieu l'avait décidé de la sorte et elle n'aurait rien à redire à ce propos. "Mais puisque vous êtes un de mes sujets, j'aurais simplement aimé vous connaître et savoir si je pouvais faire quelque chose pour vous, peu importe comment."
Résumé :
@Aymeric Ruiz
- Liste de Victoire:
- Ticket numéro 1 : Guillaume de Bourgogne
Sadie
Ticket numéro 2 : Charles d'Orléans
Ticket numéro 3 : June van Heil
Ticket numéro 4 : Aydos Habsbourg
Ticket numéro 5 : Aymeric Ruiz
Lun 11 Oct - 11:29
@Charles d'Orléans
Ticket numéro 1 : Adam d'Harcourt
Ticket numéro 2 ://
Ticket numéro 3 : //
Ticket numéro 4 : //
Ticket numéro 5 : Charles d'Orléans
Cette danse était parfaite, à tous les niveaux. Elise n'aurait pu être plus heureuse qu'en cet instant, elle le savait. "Je... Vous m'en voyez ravie, dans ce cas..." Elle ne voulait pas se dévaluer, loin de là. Bien consciente de ses atouts, elle avait aussi conscience de ses faiblesses. "Pourtant... Bien de belles dames d'importance sont là ce soir. Ma mère, pour commencer..." Même si Hermance avait eut un malencontreux accident de cheville, elle possédait tout de même une prestance certaine.
@Charles d'Orléans
Ticket numéro 1 : Adam d'Harcourt
Ticket numéro 2 ://
Ticket numéro 3 : //
Ticket numéro 4 : //
Ticket numéro 5 : Charles d'Orléans
Lun 11 Oct - 12:30
Mentions de @Constantin de St Hilaire et de @Mihnea Drăculea
_ Tu ne t’es pas ennuyée ?
_ Comment aurais-je pu ? Le Grand Cardinal m’a tenue compagnie. Nous avons pu échanger sur de nombreux sujets… Tous plus intéressants les uns que les autres. L’amitié entre lui et ton frère ne cessera jamais de me surprendre. J’ai aussi croisé un jeune homme à la recherche de son père…
_ L’a-t-il retrouvé ?
_ Je ne sais pas. Je l’ai cherché en tous cas. Un grand homme blond… Enfin il y a de nombreux ici, constate Eleanor dans une petite moue. Puis, pleine de malice, elle reprend dans un grand sourire taquin, De nombreux qui ont attiré mon regard… Décidément, je ne me suis pas ennuyée sans toi, ne t’inquiète pas.
Aimable cligne des yeux et, bougon, a une petite moue. Eleanor rit et, en réponse, accélère la cadence de la danse. C’est à son tour d’attraper la main de son mari pour le faire tourner, Aimable doit se pencher pour l’y aider puis il la saisit par la taille pour la faire tourner avec élégance. Elle repose ses deux mains sur les siennes, ravie, revenant entremêler ses doigts aux siens une fois qu’elle a posé pied à terre.
_ Mais tu es, de loin, celui que j’ai préféré contempler.
Aimable rougit comme une pivoine et détourne les yeux.
_ Comment aurais-je pu ? Le Grand Cardinal m’a tenue compagnie. Nous avons pu échanger sur de nombreux sujets… Tous plus intéressants les uns que les autres. L’amitié entre lui et ton frère ne cessera jamais de me surprendre. J’ai aussi croisé un jeune homme à la recherche de son père…
_ L’a-t-il retrouvé ?
_ Je ne sais pas. Je l’ai cherché en tous cas. Un grand homme blond… Enfin il y a de nombreux ici, constate Eleanor dans une petite moue. Puis, pleine de malice, elle reprend dans un grand sourire taquin, De nombreux qui ont attiré mon regard… Décidément, je ne me suis pas ennuyée sans toi, ne t’inquiète pas.
Aimable cligne des yeux et, bougon, a une petite moue. Eleanor rit et, en réponse, accélère la cadence de la danse. C’est à son tour d’attraper la main de son mari pour le faire tourner, Aimable doit se pencher pour l’y aider puis il la saisit par la taille pour la faire tourner avec élégance. Elle repose ses deux mains sur les siennes, ravie, revenant entremêler ses doigts aux siens une fois qu’elle a posé pied à terre.
_ Mais tu es, de loin, celui que j’ai préféré contempler.
Aimable rougit comme une pivoine et détourne les yeux.
Mentions de @Constantin de St Hilaire et de @Mihnea Drăculea
Lun 11 Oct - 13:25
Le petit air de surprise niais de l'ottomane était particulièrement horripilant. Madame je me mêle de tout ne devait vraiment pas se douter qu'interférer dans les danses de Sa Majesté, en faveur du Duc certes, lui porterait préjudice. Après tout, Guillaume n'avait rien demandé et s'était dignement incliné face à sa petite défaite.
- Objectivement, je ne peux qu'être d'accord avec vous Madame.
Lui donner l'illusion d'être de son côté, l'étape numéro trois de son plan. La danse n'avait jamais cessé entre eux. Et ses pas avaient gagné en vitesse progressivement, attendant la fameuse prochaine pirouette.
- Subjectivement, j'aurais aimé être au courant que Sa Majesté n'était pas vraiment enchantée que vous agissiez de la sorte, de votre chef, sans me consulter avant.
@Hélène de Constantinople
- Objectivement, je ne peux qu'être d'accord avec vous Madame.
Lui donner l'illusion d'être de son côté, l'étape numéro trois de son plan. La danse n'avait jamais cessé entre eux. Et ses pas avaient gagné en vitesse progressivement, attendant la fameuse prochaine pirouette.
- Subjectivement, j'aurais aimé être au courant que Sa Majesté n'était pas vraiment enchantée que vous agissiez de la sorte, de votre chef, sans me consulter avant.
@Hélène de Constantinople
Lun 11 Oct - 14:36
@Antoine de Saulx
A bien y regarder, la mélancolie passée du jeune homme semblait s’être doucement estompée. Était-elle devenue malgré elle le rappel d’un souvenir déplaisant ? Aucun intérêt cependant à s’éterniser sur ces tristes faits. Mieux valait-il tourner les choses à leur avantage. Et si un sourire pouvait en évoquer un autre chez son cavalier, Serena ne manquait pas de ressources sur ce front.
Du moins, elle pensait ne pas en manquer jusqu’à ce qu’il la fasse rougir. Oh, ce n’est pas du malaise sur son visage. Peut-être même est-elle finalement encore plus souriante désormais.
« Je dois tout ceci à mon cavalier. Le plaisir est tout partagé. » Elle incline doucement la tête sur le côté et le scrute du regard avant de demander, prudente. « Je ne suis pas de la capitale, sûrement mes manières en diront autant… Auriez-vous quelques idées d’où des soirées moins… Mondaines, se tiendraient ? »
Un rire, elle se laisse guider à une nouvelle boucle sur la piste, elle semble à l’aise, là, à danser avec lui.
« Par habitude je danse trop souvent seule sous la pluie… Mais vous me rappelez combien il est doux d’avoir un partenaire pour oublier le reste du monde. » Et dans son regard, il serait presque évident qu’elle n’ose pas lui demander s’il serait disposé à être à nouveau son cavalier.
Du moins, elle pensait ne pas en manquer jusqu’à ce qu’il la fasse rougir. Oh, ce n’est pas du malaise sur son visage. Peut-être même est-elle finalement encore plus souriante désormais.
« Je dois tout ceci à mon cavalier. Le plaisir est tout partagé. » Elle incline doucement la tête sur le côté et le scrute du regard avant de demander, prudente. « Je ne suis pas de la capitale, sûrement mes manières en diront autant… Auriez-vous quelques idées d’où des soirées moins… Mondaines, se tiendraient ? »
Un rire, elle se laisse guider à une nouvelle boucle sur la piste, elle semble à l’aise, là, à danser avec lui.
« Par habitude je danse trop souvent seule sous la pluie… Mais vous me rappelez combien il est doux d’avoir un partenaire pour oublier le reste du monde. » Et dans son regard, il serait presque évident qu’elle n’ose pas lui demander s’il serait disposé à être à nouveau son cavalier.
@Antoine de Saulx
Lun 11 Oct - 15:06
@Diane d'Orléans
« Ah, vous me voyez rassuré. J’ai conscience de ne pas être le plus distingué danseur de cette soirée… Les familles de Normandie semblent bien mieux rendre honneur aux fins arts de la danse. »
Oh, s’il savait. Il entend par Normandie l’ensemble de la région… Et par la suite il invoque sagement le Maréchal de France… Mais si elle devait le comprendre, là était une tout autre question.
« N’êtes-vous pas proche ? »
Mais le malentendu se voit très vite levé lorsqu’il rajoute, un sourire timide aux lèvres.
« Je doute malheureusement d’être à la hauteur de votre première danse. Mais il n’est aucun regret à mon cœur de partager ce moment privilégié en votre compagnie. » Puis plus bas. « D’autant qu’il ne peut qu’être en ma faveur d’être vu en compagnie de la future gagnante du prix de joyau de la saison. »
La fortune n’existe pas. Il est des choses qu’il faudrait être aveugle pour ne pas réaliser.
Oh, s’il savait. Il entend par Normandie l’ensemble de la région… Et par la suite il invoque sagement le Maréchal de France… Mais si elle devait le comprendre, là était une tout autre question.
« N’êtes-vous pas proche ? »
Mais le malentendu se voit très vite levé lorsqu’il rajoute, un sourire timide aux lèvres.
« Je doute malheureusement d’être à la hauteur de votre première danse. Mais il n’est aucun regret à mon cœur de partager ce moment privilégié en votre compagnie. » Puis plus bas. « D’autant qu’il ne peut qu’être en ma faveur d’être vu en compagnie de la future gagnante du prix de joyau de la saison. »
La fortune n’existe pas. Il est des choses qu’il faudrait être aveugle pour ne pas réaliser.
@Diane d'Orléans
Lun 11 Oct - 16:39
@Gabriel de Sercey
Hermance n’attendait rien de moins que de l’honnêteté. Elle se demandait si c’était Antoine qui avait délivré toutes ces phrases préconçues à Gabriel.
— Votre lien est en effet évident. Mais vous auriez pu me surprendre en m’annonçant qu’il était ce qu’il y avait de plus ordinaire.
Elle semblait amusée à l’idée qu’Antoine aurait été humain et au drame que cela aurait pu causer s’il ignorait que Gabriel était un loup-garou.
Sa bonne humeur s’envola lorsqu’elle vérifia la présence de Vlad au carré des dames. Elle amorçait le mouvement pour s’arrêter, mais se reprenait au dernier moment. Elle jetait désormais des regards vers le buffet. Aucune trace de lui. Hermance serrait les dents. L’angle de sa mâchoire plus prononcé, les traits de son visage se durcissait.
— Un assassin se promène ici. Mais n’ayez crainte, je compte bien lui mettre la main dessus avant que vous ou le Vicomte ne croisiez sa route.
Il y avait peu de chance pour que les deux messieurs ne se soient trahis au cours de cette soirée, mais on n’était jamais trop prudents.
— Votre lien est en effet évident. Mais vous auriez pu me surprendre en m’annonçant qu’il était ce qu’il y avait de plus ordinaire.
Elle semblait amusée à l’idée qu’Antoine aurait été humain et au drame que cela aurait pu causer s’il ignorait que Gabriel était un loup-garou.
Sa bonne humeur s’envola lorsqu’elle vérifia la présence de Vlad au carré des dames. Elle amorçait le mouvement pour s’arrêter, mais se reprenait au dernier moment. Elle jetait désormais des regards vers le buffet. Aucune trace de lui. Hermance serrait les dents. L’angle de sa mâchoire plus prononcé, les traits de son visage se durcissait.
— Un assassin se promène ici. Mais n’ayez crainte, je compte bien lui mettre la main dessus avant que vous ou le Vicomte ne croisiez sa route.
Il y avait peu de chance pour que les deux messieurs ne se soient trahis au cours de cette soirée, mais on n’était jamais trop prudents.
@Gabriel de Sercey
- Résumé:
- Conversation agréable jusqu'à ce qu'elle remarque la disparition de Vlad.
Gabriel se fait un peu secouer, mais tout va bien.
Hermance parle comme un preux chevalier.
Lun 11 Oct - 18:14
@June van Heil et mention de @Diane d'Orléans
Dahlia était sur un petit nuage alors qu'elle entamait sa dernière danse en charmante compagnie. Elle n'aurait jamais pu assister à ce genre d'évènements si elle était restée dans le Sud de la France. June est un excellent partenaire de danse, elle n'avait pas à s'en plaindre. Elle le suivait en rythme, un sourire radieux sur les lèvres.
-Je ne pouvais rêver meilleure soirée comme premier bal. Il me tarde de savoir qui sera nommé le joyau de la saison.
Pour être honnête, si elle le devenait, elle serait sans aucun doute gêné mais ravi. Mais elle avait bien vu que d'autres demoiselles avaient su briller et se démarquer.
-A votre avis, qui l'heureuse élue? Il est une dame que j'ai trouvé superbe mais son nom m'échappe... Une chevelure blonde et des yeux bleus. Elle portait une magnifique toilette blanche. Vous la connaissez, peut-être?
Vraiment, elle devrait se mettre au courant des nobles éminents de la Cour...
- Liste de Dahlia:
Ticket numéro 1 : Vlad III Basarab
Ticket numéro 2 : Serafeim Di Venieri
Ticket numéro 3 : //
Ticket numéro 4 : //
Ticket numéro 5 : June van Heil
@June van Heil et mention de @Diane d'Orléans
Lun 11 Oct - 19:52
@Guillaume de Bourgogne
Au fur et à mesure que le rythme de leurs pas s'accélère, Hélène sent le doute remonter dans sa poitrine. L'ottomane affiche une claire expression de surprise et ne répond pas immédiatement. Tâchant de ne pas s'emmêler dans ses pas, elle trébuche sur les mots du Duc et n'est pas certaine de la teneur de ses paroles. Est-ce un reproche ou un compliment ? Que veut dire subjectivement ? Qu'il est un sujet de Sa Majesté ? Non, ça n'a pas d'importance. Comment ça « pas enchantée » ? Comment est-il arrivé à cette conclusion ? Il lui semble pourtant avoir obtenu l'aval de la Reine qui sur le balcon n'a rien fait pour la stopper ?
▬ Je ne suis pas certaine de comprendre. Sa Majesté a-t-elle indiqué être mécontente ? Oh. Oh ! Est-ce que Victoire aurait rejeté entièrement le blâme de l'incident avec son garde du corps sur elle-même. C'est... culotté. Je n'aurais jamais eu l'audace de vous transmettre un message de la Reine sans son accord, Messire ! Lâche-t-elle alors, les joues définitivement rouges, non plus parce que le Duc la flatte mais parce qu'il lui fait prendre conscience du pétrin dans lequel elle semble s'être fourrée !
D'un geste ferme, Hélène marque un arrêt un peu brusque dans la cadence. Son partenaire réalisera qu'elle a la poigne bien plus ferme que ce qu'elle veut bien laisser croire.
▬ Pardonnez-moi, pouvons-nous désaccélerer un peu je vous prie ? Souffle-t-elle en reprenant plus doucement le mouvement, craignant que la situation soit en train de lui échapper - si tel n'est pas déjà le cas.
▬ Je ne suis pas certaine de comprendre. Sa Majesté a-t-elle indiqué être mécontente ? Oh. Oh ! Est-ce que Victoire aurait rejeté entièrement le blâme de l'incident avec son garde du corps sur elle-même. C'est... culotté. Je n'aurais jamais eu l'audace de vous transmettre un message de la Reine sans son accord, Messire ! Lâche-t-elle alors, les joues définitivement rouges, non plus parce que le Duc la flatte mais parce qu'il lui fait prendre conscience du pétrin dans lequel elle semble s'être fourrée !
D'un geste ferme, Hélène marque un arrêt un peu brusque dans la cadence. Son partenaire réalisera qu'elle a la poigne bien plus ferme que ce qu'elle veut bien laisser croire.
▬ Pardonnez-moi, pouvons-nous désaccélerer un peu je vous prie ? Souffle-t-elle en reprenant plus doucement le mouvement, craignant que la situation soit en train de lui échapper - si tel n'est pas déjà le cas.
@Guillaume de Bourgogne
Lun 11 Oct - 22:48
Amaury se reconnait bien là. En peu de mots il parvient à lui laisser croire qu’il la prend pour une menteuse. Ce qui n’est pas le cas, mais comme toujours sa façon de répondre peut sembler parfois abrupte. Il faut dire qu’il connait bien plus ce genre de réaction que celle qui l’associe à des mots comme « beauté » et « charisme ». Il s’empresse toutefois à la corriger : « Non, excusez-moi, ce n’est pas ce que je voulais dire. Vous… vous êtes étonnante, par vos mots. »
Pas que ses mots, d’ailleurs. Elle parle et rit sans filtre, ne tournant guère autour du pot. Très différente de sa précédente cavalière, elle n’en est pas moins intrigante à sa façon, elle aussi.
« J’ai plutôt l’habitude de ce genre d’évènement, en effet. Cela ne m’y rend pas plus à l’aise pour autant. Je suis à Paris depuis quelques temps et tout y est toujours plus grand qu’en Normandie. » Ce n’est pas peu dire.
« Puisque vous êtes des plus honnêtes, vous pardonnerez sans doute ma curiosité. Quel est donc le métier qui occupe vos journées, Mademoiselle Merill ? » Les métiers du peuple sont nombreux et il ne sait guère dans quelle case la positionner, à première vue. Certainement pas couturière, vu son attitude vive, il ne la voit pas vraiment œuvrer sur de toutes petites choses fragiles.
Pas que ses mots, d’ailleurs. Elle parle et rit sans filtre, ne tournant guère autour du pot. Très différente de sa précédente cavalière, elle n’en est pas moins intrigante à sa façon, elle aussi.
« J’ai plutôt l’habitude de ce genre d’évènement, en effet. Cela ne m’y rend pas plus à l’aise pour autant. Je suis à Paris depuis quelques temps et tout y est toujours plus grand qu’en Normandie. » Ce n’est pas peu dire.
« Puisque vous êtes des plus honnêtes, vous pardonnerez sans doute ma curiosité. Quel est donc le métier qui occupe vos journées, Mademoiselle Merill ? » Les métiers du peuple sont nombreux et il ne sait guère dans quelle case la positionner, à première vue. Certainement pas couturière, vu son attitude vive, il ne la voit pas vraiment œuvrer sur de toutes petites choses fragiles.
été 1590
Lun 11 Oct - 23:02
Résumé : @Amaury de Bray
Liste de Merill :
Ticket 1 : UN PEON
Ticket 2 : Ignacio
Ticket 3 : Ignacio
Ticket 4 : //
Ticket 5 : Amaury de Brest
Rassurée quant à l’image que l’homme avait d’elle, Merill poursuit la danse. C’est avec bienveillance qu’elle continue de tournoyer avec lui. Jamais trop proche, Merill le regrette presque. C’est qu’à part Ignacio et… le soldat dont elle a déjà oublié le nom, elle doit bien l’admettre, du début de soirée, elle n’a pas eu l’occasion de se trouver si proche d’un homme depuis bien longtemps. Proche sans danger, bien sûr. Frère Ferdinand ne compte pas, lui c’est presque comme un petit frère dont elle doit s’occuper tant il est maladroit !
« J’aide les plus démunis, entre autre chose… Je travaille main dans la main avec l’Église pour fournir régulièrement des repas chauds aux nécessiteux. Si vous passez dans une rue près de Notre-Dame, un de ces jours, peut-être même m’y verrez-vous jongler et danser pour leur remonter le moral ! » Elle adorait faire ça. Et elle y excellait. « Dites… Messire de Bray, puis-je vous demander une faveur ? »
Regard pétillant et moue presque mutine, elle ose formuler son souhait, comme un enfant qui s’apprête à confesser une grosse bêtise. « Pouvez-vous me faire tournoyer ? J’adore danser de la sorte ! » Elle ne perdait rien à demander après tout, pas vrai ?
Résumé : @Amaury de Bray
Liste de Merill :
Ticket 1 : UN PEON
Ticket 2 : Ignacio
Ticket 3 : Ignacio
Ticket 4 : //
Ticket 5 : Amaury de Brest
Mar 12 Oct - 9:44
Le Prince fit preuve de modestie, selon la Duchesse. Après tout, au moment même où ils conversaient, leurs pas étaient parfaitement accordés avec la musique, mais aussi entre eux. Il n'y avait aucune faute de la part de l'un comme de l'autre.
Puis vint le sujet des frères Normands. En effet, Diane ne pourrait nier qu'ils s'étaient tous les deux démarqués tant par leur grâce que par leurs mots, néanmoins elle n'en dirait rien, ne souhaitant pas paraître médisante envers son cavalier actuel, qu'elle jugeait tout à fait bon danseur. Et puis, que voulait-il dire ?
- Proche ? Et bien, j'ai eu l'honneur de danser avec le Maréchal et le Comte, néanmoins, jamais il ne me viendrait à l'esprit de dire cela...
Ses joues lui picotaient tandis qu'elle essayait de comprendre ses propos. Et sa petite révélation, à voix basse, lui fit le même effet que dans la bouche de ses précédents cavaliers. Quand bien même elle n'était pas préoccupée par ce titre et se "battre" pour l'obtenir, l'idée qu'on le lui attribue éventuellement lui fit extrêmement plaisir.
- Je vais finir par être persuadée de l'obtenir à la fin de la soirée. Vous êtes au moins mon troisième cavalier à me désigner joyau, Altesse. Ce serait mentir que de dire que cela ne me ferait pas plaisir...
Le plaisir n'était pas tant de renforcer sa popularité auprès de la gente masculine, que de faire taire les bruits de couloir à l'égard de son âge avancé et de son célibat. Diane était séduisante plus jeune et cela ne semblait prêt de s'arrêter. Ce sont ses parents qui devaient être fières de l'observer depuis... sans doute le Paradis.
@Aydos Habsbourg
Puis vint le sujet des frères Normands. En effet, Diane ne pourrait nier qu'ils s'étaient tous les deux démarqués tant par leur grâce que par leurs mots, néanmoins elle n'en dirait rien, ne souhaitant pas paraître médisante envers son cavalier actuel, qu'elle jugeait tout à fait bon danseur. Et puis, que voulait-il dire ?
- Proche ? Et bien, j'ai eu l'honneur de danser avec le Maréchal et le Comte, néanmoins, jamais il ne me viendrait à l'esprit de dire cela...
Ses joues lui picotaient tandis qu'elle essayait de comprendre ses propos. Et sa petite révélation, à voix basse, lui fit le même effet que dans la bouche de ses précédents cavaliers. Quand bien même elle n'était pas préoccupée par ce titre et se "battre" pour l'obtenir, l'idée qu'on le lui attribue éventuellement lui fit extrêmement plaisir.
- Je vais finir par être persuadée de l'obtenir à la fin de la soirée. Vous êtes au moins mon troisième cavalier à me désigner joyau, Altesse. Ce serait mentir que de dire que cela ne me ferait pas plaisir...
Le plaisir n'était pas tant de renforcer sa popularité auprès de la gente masculine, que de faire taire les bruits de couloir à l'égard de son âge avancé et de son célibat. Diane était séduisante plus jeune et cela ne semblait prêt de s'arrêter. Ce sont ses parents qui devaient être fières de l'observer depuis... sans doute le Paradis.
@Aydos Habsbourg
Mar 12 Oct - 13:40
Le pavé était jeté dans la mare. A mesure qu'il parlait, les pupilles du Duc se rétrécirent, signe de sa colère, pourtant modérée dans le reste de son comportement. Il avait envie de l'humilier devant tout le monde, pour sa vengeance personnelle. Néanmoins, l'ottomane n'était pas prête à se laisser berner. Il sentait bien qu'elle avait du répondant tant dans les mots que dans les gestes. Visiblement mal à l'aise par la tournure que prenait la conversation et par la rapidité des pas, n'étant plus du tout en accord avec le rythme des notes de l'orchestre, elle le pria de ralentir.
- Vous souhaitez "désaccélérer", Madame... Et bien soit...
Il avait presque envie de rire en l'entendant parler. Finalement, elle n'avait pas besoin de lui pour s'humilier. Et puis, il songea au mea-culpa de la reine. Soudain il lui apparut que quelqu'un avait dû la raisonner, lui montrer ses fautes envers le Duc de Bourgogne. Ou alors elle avait simplement réfléchi par elle-même, pour une fois. Ainsi peut-être viendrait-elle à se dire qu'il faudrait rabrouer sa Dame de compagnie et lui rappeler sa place, mais aussi sa condition précaire d'étrangère.
Finalement, pas de pirouette vertigineuse et non contrôlée. Ils avaient tout deux une place à la cour et donc la possibilité de se croiser, plus tard, pour qu'il puisse mieux se venger... Aujourd'hui, il se contenterait de la surprise mêlée à l'appréhension dans son regard.
- ... Puisque la France doit agir selon votre avis. En espérant que Sa Majesté soit assez lucide pour ne pas me tenir rigueur de ce malentendu, portant davantage préjudice à ses liens avec la Bourgogne, qu'avec sa Dame de compagnie.
@Hélène de Constantinople
- Vous souhaitez "désaccélérer", Madame... Et bien soit...
Il avait presque envie de rire en l'entendant parler. Finalement, elle n'avait pas besoin de lui pour s'humilier. Et puis, il songea au mea-culpa de la reine. Soudain il lui apparut que quelqu'un avait dû la raisonner, lui montrer ses fautes envers le Duc de Bourgogne. Ou alors elle avait simplement réfléchi par elle-même, pour une fois. Ainsi peut-être viendrait-elle à se dire qu'il faudrait rabrouer sa Dame de compagnie et lui rappeler sa place, mais aussi sa condition précaire d'étrangère.
Finalement, pas de pirouette vertigineuse et non contrôlée. Ils avaient tout deux une place à la cour et donc la possibilité de se croiser, plus tard, pour qu'il puisse mieux se venger... Aujourd'hui, il se contenterait de la surprise mêlée à l'appréhension dans son regard.
- ... Puisque la France doit agir selon votre avis. En espérant que Sa Majesté soit assez lucide pour ne pas me tenir rigueur de ce malentendu, portant davantage préjudice à ses liens avec la Bourgogne, qu'avec sa Dame de compagnie.
@Hélène de Constantinople
Mar 12 Oct - 20:56
@Dahlia Di Croissanti + mention de @Diane d'Orléans
L’instant est sans nul doute des plus agréables. D’autant que fin de soirée oblige, la jeune Dahlia semble parfaitement à ses aises et ne montre aucun signe d’une défaillance proche. Un sourire fleurit aux lèvres du duc tandis qu’il la guide sans la moindre crainte, évitant les couples manquant d’approcher trop prestement de leur duo.
« Votre premier bal ? Seigneur, et vous dansez avec tant de grâce et d’aisance. Vous êtes probablement prodige en la matière. »
Croisant le regard de la jeune italienne, son sourire ne faiblit pas le moins du monde, quand bien même l’idée lui effleure l’esprit que –
« Parleriez-vous par hasard de la Duchesse d’Orléans ? » Un regard de côté et June effectue un tour supplémentaire pour permettre à Dahlia d’avoir un point de vue plus approprié sur le couple dansant à quelques enjambées de là. « Il est certain que sa grâce sur la piste n’aura manqué au regard de personne. D’autant qu’elle n’a dansé qu’auprès d’éminents cavaliers. Il aurait été difficile pour elle de ne pas être remarquée… »
Puis après une brève pause, reportant son attention sur la jeune blonde.
« Mais ne laissez pas vos yeux briller d’admiration. Votre jeune âge vous promet d’être à votre tour une Dame digne de la distinction de la Duchesse d’Orléans. Il ne serait à mon sens pas impossible que vous soyez vous-même en lice pour le titre. Ne diminuez pas ainsi vos chances. »
« Votre premier bal ? Seigneur, et vous dansez avec tant de grâce et d’aisance. Vous êtes probablement prodige en la matière. »
Croisant le regard de la jeune italienne, son sourire ne faiblit pas le moins du monde, quand bien même l’idée lui effleure l’esprit que –
« Parleriez-vous par hasard de la Duchesse d’Orléans ? » Un regard de côté et June effectue un tour supplémentaire pour permettre à Dahlia d’avoir un point de vue plus approprié sur le couple dansant à quelques enjambées de là. « Il est certain que sa grâce sur la piste n’aura manqué au regard de personne. D’autant qu’elle n’a dansé qu’auprès d’éminents cavaliers. Il aurait été difficile pour elle de ne pas être remarquée… »
Puis après une brève pause, reportant son attention sur la jeune blonde.
« Mais ne laissez pas vos yeux briller d’admiration. Votre jeune âge vous promet d’être à votre tour une Dame digne de la distinction de la Duchesse d’Orléans. Il ne serait à mon sens pas impossible que vous soyez vous-même en lice pour le titre. Ne diminuez pas ainsi vos chances. »
@Dahlia Di Croissanti + mention de @Diane d'Orléans
Mar 12 Oct - 21:04
@Diane d'Orléans + mention de @Sadie
Ainsi la jeune Duchesse n’était pas courtisée par ses cavaliers. Quelle curieuse situation. Ou était-elle simplement vouée de trop d’humilité pour l’avouer ? Aydos ne laisse rien paraître de son léger étonnement – pour ce que cela lui importait de connaître les dessous des courtisanes de la cour (les dessous des histoires, pas leurs culottes) –. Il se contente simplement d’opiner du chef de façon entendue, retenant néanmoins que la jeune femme ne semblait pas si hâtive à trouver soulier à son pied. Curieuses qu’étaient ces dames de France.
« Soyez certaine que si trois hommes s’entendent à vous accorder la grâce du plus grand honneur d’une soirée, il n’est en aucun cas question d’une coïncidence mais d’une certitude. Tout autre résultat à ces festivités me laisserait grandement contrit. Je ne pourrais qu’apprécier l’honneur d’avoir dansé au bras de l’une des femmes les plus réputées de France une fois cette soirée terminée. »
Quelle pacotille, pensa-t-il doucement. A son grand soulagement pourtant, candeur et douceur sauvaient cette jeune Duchesse de tout vice incommodant. Était-ce une ride qu’il pouvait voir se dessiner sous la fine pellicule de poudre dessinant ses traits ? Aydos se promit d’avoir la curiosité de se quérir de davantage d’informations sur le Duché d’Orléans. Sûrement Sadie ne verrait-il aucun inconvénient à retourner visiter les grandes bibliothèques du pays.
« S’il n’est pas votre nom aux lèvres de la Dame de Châtillon, cependant. Quelle autre dame pensez-vous digne de ce titre ? N’y avait-il pas également un… couple ? Ah, tout ceci semble si cavalier, pardonnez mes propos. »
« Soyez certaine que si trois hommes s’entendent à vous accorder la grâce du plus grand honneur d’une soirée, il n’est en aucun cas question d’une coïncidence mais d’une certitude. Tout autre résultat à ces festivités me laisserait grandement contrit. Je ne pourrais qu’apprécier l’honneur d’avoir dansé au bras de l’une des femmes les plus réputées de France une fois cette soirée terminée. »
Quelle pacotille, pensa-t-il doucement. A son grand soulagement pourtant, candeur et douceur sauvaient cette jeune Duchesse de tout vice incommodant. Était-ce une ride qu’il pouvait voir se dessiner sous la fine pellicule de poudre dessinant ses traits ? Aydos se promit d’avoir la curiosité de se quérir de davantage d’informations sur le Duché d’Orléans. Sûrement Sadie ne verrait-il aucun inconvénient à retourner visiter les grandes bibliothèques du pays.
« S’il n’est pas votre nom aux lèvres de la Dame de Châtillon, cependant. Quelle autre dame pensez-vous digne de ce titre ? N’y avait-il pas également un… couple ? Ah, tout ceci semble si cavalier, pardonnez mes propos. »
@Diane d'Orléans + mention de @Sadie
Mar 12 Oct - 21:51
Même si la dernière danse s’était plutôt bien passée, tu avais eu un peu plus de mal avec la conversation. Mais qu’importe… Il ne restait plus qu’une danse. Une dernière danse. Tu étais un peu fatigué, tu sentais ton coeur sans cesse palpiter. Tu pris une grande respiration avant de tendre ta main vers la demoiselle. Aerin semblait quelque peu mélancolique. La perte de son frère était une blessure récente. Toi-même tu avais dû mal à le réaliser en réalité. Tant de personnes sont décédées dans ton entourage. Mais beaucoup sont encore en vie malgré tout. Tu étais encore là toi aussi. Il fallait continuer d’avancer. Pourtant tu sais quelle douleur c’est de ne pas pouvoir dire au-revoir à un frère. De se séparer de cette personne qui nous a tant comprise. C’est une blessure impossible à complètement refermer, tu ne le sais que trop bien :
« J’en suis tout autant ravi. J’ai bien plus profiter de la soirée que je ne l’aurais cru. Je n’ai guère l’habitude de danser, je suis plutôt surpris d’avoir si peu quitter la piste de danse. Et vous ?»
Tu commences à suivre le rythme tandis que ton regard se pose sur elle, que tu remarques cette tristesse. :
« Profitons-donc de cette dernière danse, même si je m’excuse d’avance si j’aurais le pas plus lent. »
Heureusement, ce n’était pas de nouveau une volte. Tu voudrais essayer de consoler un peu la demoiselle. Mais tu ne sais pas vraiment comment faire.
@Aerin Brindal
« J’en suis tout autant ravi. J’ai bien plus profiter de la soirée que je ne l’aurais cru. Je n’ai guère l’habitude de danser, je suis plutôt surpris d’avoir si peu quitter la piste de danse. Et vous ?»
Tu commences à suivre le rythme tandis que ton regard se pose sur elle, que tu remarques cette tristesse. :
« Profitons-donc de cette dernière danse, même si je m’excuse d’avance si j’aurais le pas plus lent. »
Heureusement, ce n’était pas de nouveau une volte. Tu voudrais essayer de consoler un peu la demoiselle. Mais tu ne sais pas vraiment comment faire.
@Aerin Brindal
Mar 12 Oct - 23:50
@Serafeím Di Venieri
Aerin prit doucement la main de Serafeim et commença la danse d'un pas assurée mais avec un regard bien triste. Commençant la conversation, elle réussit à parler d'autres choses, pensant directement à comment il avait profiter de la soirée. Elle fut rassurée de l'entendre dire qu'il en avait bien profiter et hausse les épaules en souriant un peu.
- Je n'ai pas eut cette chance malheureusement... Mais bon ce n'est pas grave, je me rattraperais la prochaine fois ahah Mais ne vous en faites pas, je me suis quand même bien amusée !
Elle sourit doucement en regardant les autres danseurs prêt d'eux. Tout le monde avait l'air pas mal fatigué, mais tout le monde profitait de ce dernier moment.
- oula ce n'est point moi qui vais vous le reprocher, je suis moi-même un peu fatiguée.
@Serafeím Di Venieri
Mer 13 Oct - 0:43
Est-ce à cause des quelques verres qu’il a bu jusque-là ? Amaury a l’impression que cette soirée le pousse dans une attitude qui est rarement la sienne. Jouer le gentleman à danser avec les dames quand il aurait nettement mieux à faire sur un tout autre terrain, à combattre et respecter ses engagements envers Dieu… Pire, il ne s’en rend même pas compte.
Il y a quelque chose de magnétique dans la jeune femme qui danse avec lui, en cet instant. Elle n’est pas comme les femmes apprêtées qu’il s’attendait à croiser ici et qui danse, par chance, avec d’autres. Cela ne fait que se confirmer quand elle lui répond. Elle dit travailler avec l’Église et aider les pauvres… « Vous êtes dame de Foi ? » En le demandant il sent très bien que sa question est absurde. Elle dit aider l’Église, pas être nonne. « Votre charité chrétienne vous honore, Mademoiselle. Il m’arrive de me rendre à la cathédrale mais je n’ai pas eu l’occasion de vous croiser, jusque-là. Sans doute ne dois-je pas passer aux bons endroits. » Ou bien trop tôt, en général.
Quand elle lui demande une faveur, cela semble lui tenir à cœur et Amaury ne peut qu’acquiescer, ignorant de ce qu’elle peut lui réclamer. Quand elle reprend la parole, toutefois, c’est un sourire sincère – et rare – qui prend place sur le visage du Chevalier. Certains diront qu’il fait peur quand il sourit ainsi mais peu importe. La demande est si ingénue qu’il ne s’y attendait pas.
« Oh, bien entendu. » Il se met discrètement sur la pointe des pièces et fait en sorte de positionner son bras autour d’elle afin de la faire danser et tourner comme il se doit. « Tournoyez donc, Mademoiselle Merill ! » Dans un mouvement circulaire, elle tourne sur elle-même et c’est toute une chevelure rousse qui vient glisser sur le visage d’Amaury. Il n’en dit rien et s’applique à la faire tourner une deuxième fois. La musique ne s’y prête pas forcément mais… c’est la dernière danse dans la soirée alors, qui les jugera ?
En faisait cela il retrouve un peu la candeur de ses danses d’enfant, quand les réceptions au château de Bray n’étaient pas complètement gâchées par l’hypocrisie latente. Il oublie un peu le reste.
Il y a quelque chose de magnétique dans la jeune femme qui danse avec lui, en cet instant. Elle n’est pas comme les femmes apprêtées qu’il s’attendait à croiser ici et qui danse, par chance, avec d’autres. Cela ne fait que se confirmer quand elle lui répond. Elle dit travailler avec l’Église et aider les pauvres… « Vous êtes dame de Foi ? » En le demandant il sent très bien que sa question est absurde. Elle dit aider l’Église, pas être nonne. « Votre charité chrétienne vous honore, Mademoiselle. Il m’arrive de me rendre à la cathédrale mais je n’ai pas eu l’occasion de vous croiser, jusque-là. Sans doute ne dois-je pas passer aux bons endroits. » Ou bien trop tôt, en général.
Quand elle lui demande une faveur, cela semble lui tenir à cœur et Amaury ne peut qu’acquiescer, ignorant de ce qu’elle peut lui réclamer. Quand elle reprend la parole, toutefois, c’est un sourire sincère – et rare – qui prend place sur le visage du Chevalier. Certains diront qu’il fait peur quand il sourit ainsi mais peu importe. La demande est si ingénue qu’il ne s’y attendait pas.
« Oh, bien entendu. » Il se met discrètement sur la pointe des pièces et fait en sorte de positionner son bras autour d’elle afin de la faire danser et tourner comme il se doit. « Tournoyez donc, Mademoiselle Merill ! » Dans un mouvement circulaire, elle tourne sur elle-même et c’est toute une chevelure rousse qui vient glisser sur le visage d’Amaury. Il n’en dit rien et s’applique à la faire tourner une deuxième fois. La musique ne s’y prête pas forcément mais… c’est la dernière danse dans la soirée alors, qui les jugera ?
En faisait cela il retrouve un peu la candeur de ses danses d’enfant, quand les réceptions au château de Bray n’étaient pas complètement gâchées par l’hypocrisie latente. Il oublie un peu le reste.
été 1590
Mer 13 Oct - 7:43
@Serena de Medici
Une boucle, il la laisse doucement tourner, reprends sa position pour continuer la danse. La jeune femme semblait passer un bon moment et c’était tout ce qu’il aurait pu espérer. Il hoche doucement la tête avant que sa question ne le laisse pensif.
- Ne rougissez pas de vos origines Madame. Malheureusement je… heu… Je ne suis pas un habitué des soirées mais… Si vous restez dans la capitale, je suis certain que vous pourrez trouver votre bonheur.
Une pause, tandis qu’il observait la jeune femme.
- Je ne sais pas ce qui a pu vous mener en France mais j’ose espérer que vous resterez avec nous quelques temps ?
Et si la mention d’une danse sous la pluie attisa sa curiosité, comprenant qu’il y avait des non-dit mais qu’il ne se risqua pas à aborder ou chercher à comprendre (lui-même avait déjà refusé de le faire plus tôt, après tout)…
- Je danserais en votre compagnie avec plaisir si nos chemins venaient à se recroiser.
Et sans chute, cette fois.
- Ne rougissez pas de vos origines Madame. Malheureusement je… heu… Je ne suis pas un habitué des soirées mais… Si vous restez dans la capitale, je suis certain que vous pourrez trouver votre bonheur.
Une pause, tandis qu’il observait la jeune femme.
- Je ne sais pas ce qui a pu vous mener en France mais j’ose espérer que vous resterez avec nous quelques temps ?
Et si la mention d’une danse sous la pluie attisa sa curiosité, comprenant qu’il y avait des non-dit mais qu’il ne se risqua pas à aborder ou chercher à comprendre (lui-même avait déjà refusé de le faire plus tôt, après tout)…
- Je danserais en votre compagnie avec plaisir si nos chemins venaient à se recroiser.
Et sans chute, cette fois.
@Serena de Medici
Mer 13 Oct - 17:09
@Elise de Navarre et mention de @Hermance de Navarre
Danser avec Élise lui rappelait ses jeunes années, sa première danse avec Camille a ce même bal. Que les temps étaient plus doux et insouciants. Il espérait épargner Iris de tous les tracas de la Cour encore quelques années. Mais pour l'heure, il devait rassurer la demoiselle qu'il fit tournoyer avec douceur.
-Votre mère a su rester digne malgré ses imprévus et c'est tout à son honneur. J'imagine sans peine qu'il la choisit pour sa ténacité. Sans nulle doute que son Duché est entre de bonnes mains.
Beaucoup diront que l'homme était le seul maître de ses terres mais Charles ne pensait pas ainsi. Quand bien même un noble pouvait être exceptionnel, il ne pouvait pas tout gérer à lui seul. Il était bien placé pour le savoir. Il commençait à en voir les limites.
-Mais la soirée n'est pas terminée. Et vous êtes jeune. Vous avez encore toutes vos chances de briller. Mais si je peux me permettre, vous êtes tout aussi exquise que toutes ces dames d'importance.
@Elise de Navarre et mention de @Hermance de Navarre
Mer 13 Oct - 17:56
@June van Heil et mention de @Diane d'Orléans
Quand bien même elle connaîssait désormais June, ses compliments réussirent bien évidemment à empourprer ses joues.
-Ne dites pas de sottises. J'aurai tout aussi bien pu m'emmeler dans les jupons de ma robe durant les deux précédentes danses.
Surtout la troisième. Le rythme était si effréné. A un moment ou à un autre elle se serait gamelé et attiré toute l'attention sur elle. Et pas de la bonne façon. Pas comme la duchesse d'Orléans qui semblait en compagnie d'un représentant de l'empire germanique à en juger par les armoiries. Elle soupira brièvement lorsqu'il évoqua son jeune âge. Effectivement, elle était jeune en quelque sorte.
-Je suppose qu'être nommée joyau de la saison serait un honneur... Surtout que j'ai eu la chance de danser avec d'éminents cavaliers également. J'ai sans aucun doute toutes mes chances avec vous comme dernier cavalier.
L'assurance faisait aussi son petit bout de chemin chez elle. Lentement mais sûrement.
- Liste de Dahlia:
Ticket numéro 1 : Vlad III Basarab
Ticket numéro 2 : Serafeim Di Venieri
Ticket numéro 3 : //
Ticket numéro 4 : //
Ticket numéro 5 : June van Heil
@June van Heil et mention de @Diane d'Orléans
Mer 13 Oct - 20:57
L'insistance de son partenaire sur le sujet lui laissa penser qu'on essayait peut-être de la préparer psychologiquement à recevoir l'honneur de ce titre.
- Soyez certains qu'à l'issue de cette danse j'attendrai avec beaucoup d'engouement le dénouement dans la bouche de Madame de Châtillon. Et selon ses dires, j'aurai peut-être un regard amusé vers vous.
Mais avant cela, nul doute qu'elle chercherait les prunelles de son frère, pour y voir sa fierté, puis celle de sa cousine. Enfin, tout cela restait utopique. Diane ne s'emballa pas non plus, un seul faux pas et les prédictions de trois hommes pouvaient tomber à l'eau.
- Il n'y a pas de mal, Altesse. Nul besoin de vous excuser. Quant à mon avis... J'ai trouvé Mademoiselle de Navarre particulièrement ravissante. Madame de Constantinople ne cesse de se démarquer depuis un certains temps et il me semble qu'elle a dansé tout au long de la soirée avec des personnalités de la haute noblesse.
Elle jeta d'ailleurs en regard vers son amie, en pleine conversation avec le Duc de Bourgogne. Étrangement, elle n'avait pas l'air de passer un si bon moment.
- Peut-être êtes vous lassé de tels sujets, Votre Altesse... Êtes-vous satisfait de votre visite à la cour de France ?
@Aydos Habsbourg
Mention de @Hélène de Constantinople @Elise de Navarre
- Soyez certains qu'à l'issue de cette danse j'attendrai avec beaucoup d'engouement le dénouement dans la bouche de Madame de Châtillon. Et selon ses dires, j'aurai peut-être un regard amusé vers vous.
Mais avant cela, nul doute qu'elle chercherait les prunelles de son frère, pour y voir sa fierté, puis celle de sa cousine. Enfin, tout cela restait utopique. Diane ne s'emballa pas non plus, un seul faux pas et les prédictions de trois hommes pouvaient tomber à l'eau.
- Il n'y a pas de mal, Altesse. Nul besoin de vous excuser. Quant à mon avis... J'ai trouvé Mademoiselle de Navarre particulièrement ravissante. Madame de Constantinople ne cesse de se démarquer depuis un certains temps et il me semble qu'elle a dansé tout au long de la soirée avec des personnalités de la haute noblesse.
Elle jeta d'ailleurs en regard vers son amie, en pleine conversation avec le Duc de Bourgogne. Étrangement, elle n'avait pas l'air de passer un si bon moment.
- Peut-être êtes vous lassé de tels sujets, Votre Altesse... Êtes-vous satisfait de votre visite à la cour de France ?
@Aydos Habsbourg
Mention de @Hélène de Constantinople @Elise de Navarre
Mer 13 Oct - 21:43
- Est-ce une façon de me dire d’être plus discret sur ce sujet ? demanda-t-il.
Le ton cependant, était simplement amusé. Saulx et Sercey avait un long passif d’amitié, qui remontait bien avant eux. Même s’il y avait eu quelques ratés, certes. Il tairait cependant à quel point ils pouvaient être proche. Rien de répréhensible mais que peu pourrait comprendre.
- Je ne suis pas sûr que…
Mais il ne finit par sa phrase.
- Un souci ?
Tandis qu’il percevait les tentatives de cette dernière de stopper leur danse et de regarder dans certaines directions et si le marquis tenta bien de comprendre, il ne put que hausser un sourcil à la réflexion qui suivit.
- Un assassin vous dites ?
Si le loup grogna qu’il était capable de se défendre seul, l’humain ne put que rester confus face à ce soudain volteface.
- Qui ? Je vous en prie, ne vous mettez pas non plus en danger.
@Hermance de Navarre
Résumé: mais qu'est ce que c'est que ce pataquès?
Le ton cependant, était simplement amusé. Saulx et Sercey avait un long passif d’amitié, qui remontait bien avant eux. Même s’il y avait eu quelques ratés, certes. Il tairait cependant à quel point ils pouvaient être proche. Rien de répréhensible mais que peu pourrait comprendre.
- Je ne suis pas sûr que…
Mais il ne finit par sa phrase.
- Un souci ?
Tandis qu’il percevait les tentatives de cette dernière de stopper leur danse et de regarder dans certaines directions et si le marquis tenta bien de comprendre, il ne put que hausser un sourcil à la réflexion qui suivit.
- Un assassin vous dites ?
Si le loup grogna qu’il était capable de se défendre seul, l’humain ne put que rester confus face à ce soudain volteface.
- Qui ? Je vous en prie, ne vous mettez pas non plus en danger.
@Hermance de Navarre
Résumé: mais qu'est ce que c'est que ce pataquès?
Mer 13 Oct - 23:09
Résumé:
Le regard qu’il jeta à Victoire dût trahir ouvertement ce qu’il pouvait bien penser de la situation. Que cette gentillesse le laissait indifférent, que la Reine ne devait (et n’avait aucune raison) de se soucier de ce qu’il pourrait bien vouloir ou penser précisément. Pour lui qui n’était qu’un homme du bas peuple, asocial à la première occasion. Et dans le même temps, ce qui pourrait presque être qualifié de condescendance.
- Soyons sérieux, fit-il, claquant la langue, demandez-vous cela à tout le monde ?
Aussi il se retint de justesse de lever les yeux au ciel mais les détourna un instant, balayant rapidement la salle, voir s’il retrouvait certaines têtes. Il ne comprendrait pas un traitement de faveur quand il ne faisait rien, absolument rien, pour en avoir.
- Je ne vois pas l’intérêt.
Autant de raconter que d’écouter quiconque déblatérer sa vie. Quand bien même il aurait été à son avantage de flatter la reine… Il n’était pas exactement de ceux capable de faux semblant sur ce terrain-là.
- Commencez par gouverner convenablement. C’est tout ce que peut demander votre... sujet.
@Victoire de France- Soyons sérieux, fit-il, claquant la langue, demandez-vous cela à tout le monde ?
Aussi il se retint de justesse de lever les yeux au ciel mais les détourna un instant, balayant rapidement la salle, voir s’il retrouvait certaines têtes. Il ne comprendrait pas un traitement de faveur quand il ne faisait rien, absolument rien, pour en avoir.
- Je ne vois pas l’intérêt.
Autant de raconter que d’écouter quiconque déblatérer sa vie. Quand bien même il aurait été à son avantage de flatter la reine… Il n’était pas exactement de ceux capable de faux semblant sur ce terrain-là.
- Commencez par gouverner convenablement. C’est tout ce que peut demander votre... sujet.
Résumé: