It’s a wedding?

Un tour de lac qui, si elle avait simplement eu l’intention de surveiller les alentours – après tout, bien des soldats étaient disposés autour du périmètre… Mais jamais plus Eve ne croirait que tout pouvait se passer sans la moindre accroche. L’histoire lui avait appris sa leçon. – C’est loin du brouhaha qu’Eve évite la majorité de la foule… Avant d’apercevoir au loin un groupe d’individus particulièrement louche… Dont un dont elle éviterait la compagnie avec le plus grand des plaisirs. Oh, personne ne l’aura aperçue, à couvert des bois, alors qu’elle rebrousse chemin avec un soupir las. Probablement pourrait-elle retrouver Adam, s’il n’était plus accroché aux jupons de la jeune duchesse de Navarre. Ou peut-être Hermance avait-elle finalement décidé de jeter son dévolu sur son adelphe. L’idée lui arrache un frisson.

Rejoignant après une poignée de minutes le lieu principal des festivités, elle aperçoit avec soulagement que son charmant frère avait trouvé à s’éloigner du commun des mortels. C’est d’un pas silencieux qu’elle se glisse près de lui, consciente qu’il l’aurait certainement sentie approcher malgré tout – c’est une question d’instinct, lorsqu’il s’agit d’eux deux –. Effleurant le bras d’Adam, elle murmure à peine dans leur langue maternelle.

« Il se pourrait que tu aies eu raison… »

Mais en aucun cas elle n’aurait pu se départir de ses responsabilités. Un souffle et elle observe la coupe de son frère sans réellement ressentir le désir d’y tremper les lèvres. Au moins, le silence qu’ils pourraient partager serait une forme de réconfort comme une autre.

Résumé:

Résumé:

Cette bêtise étonne toujours. Pourquoi venir lui parler ? Pour avoir l'air idiote ?
La fascination sans doute. Ce n'est pas le bon mot. Mais c'est le premier qui vient à l'esprit.
L'admiration peut-être. Pourtant, la honte monterait presque aux joues.
Après s'être donnée en spectacle, on vient vers lui. Comme si nous étions son amie.
Nous ne sommes qu'une inconnue. Une inconnue dont on connaît à peine le nom.
Il le sait lui, son maudit nom. Alors elle devrait plutôt se cacher de lui, le chasseur.
Mais irrémédiablement, elle revient vers lui.
Comme s'il était la seule lumière pour cette créature de la nuit.
Imbécile.

Bonjour, Caelestis.

Rend un sourire et se surprend à se demander s'il est aussi doux que le sien.
Belle, c'est un adjectif qui lui va si bien. On le lui a dit si souvent.
Pourtant dans son reflet, Johanna ne voit plus rien de beau.  
Alors on doute de soi. Un peu.
Mais pourquoi douter de soi ? C'est bien de ne pas être beau. C'est mieux.
Si elle n'avait pas été belle, peut-être qu'elle vivrait heureuse dans un petit village non loin de sa famille ?
Le sourire disparaît rapidement, comme s'il était une erreur.

Ma mère ?... Oui, c'est ma mère. Elle murmure. Adoptive.
Un coup d'œil dans sa direction. Aux côtés de deux jeunes femmes à qui elle ne prête pas attention.
Dis, Zuicher, qu'est-ce qu'on est vraiment ?
Nous sommes venues pour trouver de nouveaux clients. Ma … mère est chapelière.

Venir célébrer un mariage ? Quelle blague.
Le mariage, en a-t-elle voulu un jour ?
Qu'est-ce qu'un mariage ? L'union sacrée entre un homme et une femme devant Dieu et ceux qui sont proches de notre cœur ?
Non, Johanna se serait mariée pour l'argent. Pour l'argent de ce riche marchand.
Tant qu'il aurait été une aide financière à sa famille, Johanna serait partie avec lui. Elle se serait donnée à lui. Elle lui aurait donné des enfants, s'en serait occupée, s'occuperait de lui aussi.
Ca ne l'aurait pas dérangée. Un mariage de convenance. Un mariage de raison.
Et lui. Lui aussi voulait l'épouser.
Il avait tout fait pour qu'elle lui donne son cœur. Il avait donné tout son argent, tous les bijoux, tout ce dont une femme -superficielle- aurait pu rêver.
Mais il lui avait aussi arraché la raison même qui la poussait à épouser un homme pour quelques pièces.
Il voulait un mariage "d'amour". Un mariage de passion.

Frisson qui parcourt l'échine quand la cérémonie commence.
Veut-elle encore se marier un jour ? Non. Elle n'a pas de raison de se marier.
Elle n'a pas besoin d'argent. Elle n'a pas besoin d'attention indésirable.

Ses yeux en amande observent la mariée, dans sa robe grise. La femme qui l'accompagne, dans sa robe blanche.
A nouveau, elle parle sans savoir.

A quoi bon se marier ? Ca n'apporte jamais rien que le malheur…

{ @Caelestis Amarillo ;  @Zuicher Torsdag;  ((@Hermance d'Ailly;  @Elise de Navarre)) }

cactus

Résumé pardon j'ai oublié oopsie:

Le sourire qui illumina le visage de Sébastien ne fit que le rendre plus charmant encore. « C’est décidé alors ! Je vous laisserai le soin de me dire quand et où vous serez disponible. Je m’en voudrais de vous imposer mes disponibilités… Surtout que vous êtes fort occupée. » ajouta-t-il avant de laisser ses dents riper contre la surface du verre.

Les musiciens entonnèrent alors une nouvelle mélodie, signe que quelque chose allait se passer. « Eh bien eh bien ! On dirait que le mariage va vraiment commencer. » Il étira ses bras devant lui. « Vous allez vous rapprocher, vous ? J’hésite encore, personnellement. »

Il aimait bien les mariages, mais aller s’agglutiner pour voir une mariée, ce n’était pas vraiment son truc. Et puis il préférait les robes un peu moins clinquantes. « Vos blessures vont mieux, au fait ? » Il n’oubliait pas qu’elle avait traversé l’Enfer pour ces maudites autruches.

Résumé:

Si la demoiselle brune ne sembla pas se faire farouche, la blonde en revanche se laissait aller à un caractère un peu revêche. Sans doute une fille de noble qui pensait être supérieure aux autres de par sa naissance. Ah, que Zuicher pourrait rire de tout cela. Ces femmes étaient décidément toutes les mêmes. Elle cligna des yeux tout en lenteur et lui sourit de plus belle. Mieux valait la brosser dans le sens du poil, après tout, c’était aussi le cœur de cible de sa clientèle.

« Zuicher Torsdag, chapelière de Paris. » Dit-elle pour se présenter convenablement. En soit, la mention de la capitale était peut-être de trop, Zuicher n’avait pas – encore – été reconnue comme étant la chapelière incontournable, mais elle comptait bien y parvenir. Non pas en éliminant la concurrence d’une façon violente, comme les humains savent si bien le faire, mais en démontrant que ses techniques et ses productions étaient parmi le haut du panier, tout simplement. « D’ailleurs j’aurais dû en amener un aujourd’hui, avec tout ce soleil, vous ne trouvez pas ? »

Une musique un peu plus rythmée que précédemment la sortie de son petit manège. "Oh, serais-ce enfin venu le moment de l'union ?" Enfin, si on pouvait appeler cela ainsi.

Résumé:

Oh, ainsi cette jeune femme avait été adoptée ? Caelestis lui offrit un nouveau sourire, doux comme l’aurore. Après tout, lui aussi avait été adopté chez les moines d’Islande alors, qui aurait-il pu être pour prétendre que cela ne lui semblait pas merveilleux ? Le Seigneur formait des familles, peu importait qu’elles soient liées par le sang.

L’amour était l’essence principale, la réponse à tout.

Il trouva cela réconfortant de savoir que Johanna n’était pas seule dans ce monde. Cette jeune femme avait été balancée dans un monde qui n’était pas le sien, alors avoir un point d’ancrage tel ne pouvait que lui être bénéfique. Il en était convaincu.

Lorsque la musique retentit pour annoncer le début de la cérémonie, Caelestis ne put s’empêcher de répondre aux mots de Johanna.

« Si vous me le permettez, je ne suis pas en accord avec ce que vous venez de dire. Le mariage est un moment sacré et devrait toujours être porteur de félicitée. » Il prend une inspiration et observe la foule se rassembler. « Je conçois cependant qu’en des termes nobiliaires, ce ne soit guère toujours le cas… Mais je peux vous garantir que des unions heureuses existent."

Une idée lui vint alors. « Un jeune couple d’amoureux s’apprête à célébrer leur mariage la semaine prochaine, aimeriez-vous que je vous invite à la cérémonie ? » Et puis… « Nous resterions dehors, bien entendu, je ne tiens pas à vous pousser à vous faire d mal, au contraire. »

Juste lui montrer que tout est encore possible.

Résumé:

« Votre neveu ? Qui est-il ? Une personne que je suis susceptible de connaître ? » Victoire réalisa alors qu’elle ne connaissait que très peu Hélène et que rien ne pouvait justifier ce manquement. Doucement, elle se repositionna d’une façon plus confortable dans son siège pour poursuivre ses discussions. « J’espère que vous trouverez un moyen de vous entendre rapidement dans ce cas. » Elle le pensait sincèrement.

La mention de l’oiseau connecte avec ce qu’elle a dans un coin de sa tête depuis quelques instants maintenant. « Non non, je ne m’en suis pas débarrassée, loin de là ! J’aime son chant. Je l’ai confié aux responsables de la ménagerie. Normalement l’oiseau devrait être entre de très bonnes mains. » Cependant, une question lui vient presque immédiatement en bouche. « Mais je pensais que ces oiseaux devaient vivre en coup- »

Victoire n’a pas le temps de finir sa phrase que son cousin, Charles, apparaît devant elle. « Charles ! Vous voici, finalement ? » Elle l’avait su retenu pour une affaire importante chez lui, mais il n’empêchait qu’elle demeurait ravie de le voir ici. Elle salue donc le Duc ainsi que la très jeune Duchesse qui l’accompagne avant que le nom de Diane ne soit avancé. « Je l’ai vu il y a peu de temps… Justement je comptais aller marcher un peu avec ma Dame de Compagnie. Peut-être pourrions-nous chercher Diane par la même occasion ? »

Mais la musique sonna plus fort encore et annonça le début des festivités. « Oh… Semblerait-il que nous allons devoir attendre encore un peu pour une réelle marche. » La reine se leva de son assise malgré tout. « Allons rejoindre la foule, nous aurons sans doute plus de chance de retrouver Diane là-bas, qu’en dites-vous ? »

De toute manière, elle ne pouvait pas échapper à cette office. Autant bien s’entourer.

Résumé:

Le verre est déjà dans ses mains avant même qu’il ne le réalise vraiment. Emmanuel trouve la force de porter le liquide à sa bouche. En réalité, c’est surtout là une bonne excuse pour ne pas parler immédiatement.

Lars semble souffrir des mêmes plaies que lui et Emmanuel sait qu’il n’éprouve lui-même qu’une petite partie de ladite souffrance. Si lui avait perdu sa meute, il pouvait se figurer le genre de mal qui prenait au cœur à ce point. Il sait devoir parler, même pour dire autre chose que des banalités ou des mots se rapportant à la peine.

Mais il n’en a pas le temps qu’une troisième personne vient interrompre leur duo. Emmanuel laisse son œil unique décrire l’individu, sans doute un noble, vu son allure. La musique les appelle à venir se regrouper avec le reste de la foule mais Emmanuel hésite. « Tu vas y aller, Lars ? »

Puis, une question curieuse. « Tu connais ce jeune homme ? » A peine chuchotée près de Lars.
Sait-on jamais.

Résumé:

Quand bien même Emilien lui avait certifié que ce chevalier n’allait pas la dévorer – du haut de son petit mètre cinquante-cinq, Françoise était pourtant persuadée du contraire -, elle ne parvenait pas à se détendre. Les deux hommes parlaient de crêpes avec une facilité déconcertante.

Françoise n’osa pas s’immiscer une fois de plus dans la conversation et, lorsque la musique s’emballa quelque peu, elle y trouva n certain réconfort. Une excuse pour ne plus rester ici, donc ! Parfait !

« Oh, la cérémonie va commencer, nous devrions nous hâter ! » Et sans bien s’en rendre compte, la voici partie bille en tête, des pans de sa robe rose dans une main et la main d’Emilien dans son autre paume. « Vite vite vite, il ne faudrait pas rater le commencement ! » En réalité, elle voulait surtout s’éloigner d’Aimable, le plus possible.

…Et dans tout ça, elle avait oublié, non loin dudit chevalier le tableau bien emballé qu’elle devait apporter à Hermance.

Oops, quel fâcheux oubli.

Résumé:

Elise laissa sa mère aller se placer devant l’autel improvisé, non loin de l’estrade. Les compliments de l’homme blond qui conversait jusqu’alors avec Hermance lui allèrent droit au cœur. « Vous êtes flatteur, je vous en remercie. »

Elle le trouvait absolument charmant. Elise se dit qu’elle aimerait l’inviter à ses futures soirées mondaines, lorsqu’elle aurait l’opportunité d’en organiser – rapidement, elle espérait !

Mais le devoir l’appelait et la musique avec lui. « Je vous dit à bientôt, Monsieur le Comte. » A très bientôt oui, espérait-elle.

Elise vint ensuite se placer aux côtés d’Hermance pour officier son rôle de procuration, afin de représenter son père. Ses joues rosées ne pouvaient trahir qu’une chose en pareille circonstance, la joie et le cœur battant à mille à l’heure.

Quel moment vivifiant !

Résumé:

Il ne répond même pas à la réprimande somme toute gentillette d’Embre. Aucun intérêt. Cependant, avant même qu’il ne puisse répliquer, la musique vient bousculer ses tympans de lycans, sensibles. « Urf, vraiment, je ne sais pas qui a autorisé une telle cacophonie mais ce devrait être punie par une loi divine ou quelque chose du genre… »

Non, il n’était pas vraiment amateur de ce genre de musique, il l’avouait.

« T’veux aller reluquer les mariées d’un peu plus près ? Sinon j’peux toujours te ramener chez toi, ça ira plus vite que de te laisser risquer de te perdre toute seule hein. » Adorable, non ?

Non. « Faut pas chercher, les nobles sont les nobles et nous, on est des roturiers, point. On pourra jamais changer ça. » C’était la stricte vérité et Janvier ne voyait aucun intérêt de la maquiller ou autre. C’était comme ça et pas autrement.

Résumé:

Spoiler:

         

c'est la fête

w/ pleins de gens

       

vive les mariés!

Stanislava fit de son mieux pour reprendre une couleur normale. Est-ce qu’elle venait vraiment de s’engager dans une relation ? Peut-être. Qu’est-ce qu’il y avait dans le vin ? Ou bien c’était l’idée d’être à un mariage qui la faisait prendre des décisions peu habituelles ? Peut-être un peu des deux.

-Je vous tiendrai au courant.

Elle voulut lui dire également que si jamais il venait à rencontrer quelqu’un qui lui plaisait, qu’il n’avait pas à se retenir – parce qu’elle n’allait pas le faire de son côté – et parce qu’elle n’était pas sûre de la fréquence à laquelle ils se verraient. Ils pourraient en parler un autre jour, après tout. Pour l’heure, la cérémonie allait enfin commencer. La rousse chercha la Reine du regard et la remarqua immédiatement auprès du Duc d’Orléans. La ressemblance avec Francis de Saint-Cloud était perturbante, vraiment.

Pour répondre à sa question donc, elle resta un peu en retrait, chercha un lieu en peu en élévation pour avoir une vue sur l’ensemble des invités. Elle était encore en service, après tout.

-A part une nouvelle cicatrice, elles vont beaucoup mieux, merci de vous en inquiéter, souffla-t-elle entre les dents en repensant à ces maudites créatures.

Elle pinça les lèvres et baissa légèrement le ton de sa voix.

-Et… toi ? Pas trop… secoué ?

Pour une créature de la nuit comme elle, encaisser la nouvelle fut moins compliquée. Elle n’osait pas imaginer ce que ça donnerait sur un humain ignorant.

       

         

(c) codée par evangeline

résumé:

         

C'est la fête!

w/ beaucoup de gens

       

vive les mariés

Lorsqu’Ignacio revint auprès des deux Duc, l’ambiance n’était pas au beau fixe mais il ne le relèvera pas. Il se contentera de boire une gorgée de vin – enfin ! - tout en écoutant les paroles de June qui visiblement, décida de prendre congé de l’autre June afin d’aller saluer la mariée. C’est vrai qu’il ne s’était pas approché depuis qu’il était arrivé. Il devrait, plutôt que de rester dans son coin à boire tranquillement. Ah, sa mère aurait eu honte de ses manières médiocres, à ne point en douter. L’ancien pirate salua donc le Duc de Normandie en s’inclinant légèrement avant de suivre le suédois.

Mais voilà qu’ils durent changer de plan puisqu’une musique tonna, annonçant le début de la cérémonie. Une main dans une poche, Ignacio resta aux côtés de son ami tout en sirotant son verre.

-Ce Duc… pas un grand ami à toi, hein ?

Pas besoin d’être génie pour comprendre l’évidence. Mais il se demandait bien ce qui s’était passé entre eux pour qu’il en soit ainsi.

         

(c) codée par evangeline

résumé:

     

c'est la fête

w/ pleins de gens

   

vive les mariés!

-Je ne fais que passer en coup de vent, à vrai dire. Je passais dans le coin, et j’ai pensé y faire un crochet et, accessoirement y amener Iris, pour lui dégourdir les jambes.

Il voyait d’ailleurs la petite Duchesse sautiller presque sur place alors qu’elle était en pleine discussion avec la Princesse tout en lui tenant la main. En parlant de tenir la main, Charles proposa son bras à Victoire lorsqu’elle lui évoqua d’aller chercher sa sœur parmi les invités, en compagnie d’Héléne.

Mais la musique se fit plus présente et il était temps que la cérémonie commence. Ce qui eut pour effacer d’exciter d’avantage Iris qui accourut jusqu’à lui, tirant sur la manche de son manteau.

-Oui mon coeur, ne t’agite trop pas et pas de bruit pendant la cérémonie, d’accord ?

La fillette acquiesça vigoureusement avant de glousser doucement lorsqu’elle se retrouva soudainement presque aussi grande que son père qui la tenait d’un bras. Toute curieuse depuis son perchoir, elle regarda autour d’eux et souffla dans son oreille lorsqu’elle reconnut quelques visages familiers.

-Papa, Béatrice est là. Je peux aller la voir ?
-Après la cérémonie, d’accord ?

Elle se concentra alors sur le marié et la mariée et voulut poser des questions mais se retint parce que c’était devenu bien cérémonieux tout d’un coup et son père lui avait dit qu’il ne fallait pas parler quand tous les adultes étaient sérieux. Charles quand à lui se contenta d’accompagner Victoire là où elle le souhaitait.
   

     

(c) codée par evangeline

résumé:

         

c'est la fête !

w/ trop de gens

       

vive les mariés!

Lars observa Emmanuel boire son verre d’une traite du coin de l’oeil, un fin rictus relevant ses lèvres très brièvement. Et s’ils étaient peut-être partis pour se morfondre dans leur coin, c’est pourtant un visage familier – pour Lars – qui vint leur tendre la perche pour qu’ils arrêtent d’être dans leur coin.

-Monsieur de Kerret, bonjour. Vous ne nous importunez nullement.

Mais à peine eut-il prononcé ces mots que la musique pour annoncer le début de la cérémonie tonna autour d’eux. La foule commença petit à petit à se ressembler et le suédois ne suivit par le mouvement dans l’immédiat. Il préféra répondre, dans un chuchotement également, à la question de Mezariel.

-Un jeune… médecin… qui a peut-être la solution à mon problème.

Lars ne pouvait certainement pas parler tout haut de ce genre de choses avec autant de monde. En parlant de son problème, il plia et déplia distraitement ses doigts, plutôt satisfait de voir que les douleurs ne s’étaient pas manifestés. On touche du bois.
       

         

(c) codée par evangeline

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